Godox, marque chinoise pionnière de flashs existe depuis 1933. Au fil des décennies, elle s’est imposée comme marque de flash et d’éclairage de référence pour les photographes amateurs et professionnels.
Godox propose toute une gamme de caméras, d’équipements d’éclairages de grande qualité et de performance.
Godox, est un fabricant chinois dont le siège se situe à Shenzhen, en Chine.
Fondée en 1993, la société, dirigée par Eugène Zeng depuis 25 ans, propose une gamme assez riche d’équipements de photographie de studio, tels que des flashs de studio, des flashs d’appareil photo, un éclairage continu, des accessoires de flash, un bloc d’alimentation, un système de déclenchement et de contrôle du flash et d’autres accessoires de studio, etc.
Elle a connu une période de crise, se retrouvant même au bord de la faillite, mais avec l’arrivée d’Eugène Zeng, l’entreprise retrouve une nouvelle croissance, plus rapide, grâce à l’important investissement dans l’innovation, devenant ainsi le premier producteur d’éclairage de studio de Chine.
Chaque année, le leader augmente ses investissements dans les talents créatifs de conception, de vente, de gestion, faisant ainsi passer l’innovation au premier plan
Soucieuse d’offrir d’excellentes solutions d’éclairage et audio, la marque a toujours repoussé les limites de la technologie et a constamment essayer apporter des produits professionnels de qualité aux industries, élargissant les gammes et diversifiant les produits.
Pour ses produits d’entrée de gamme, elle autorise certaines entreprises à changer le nom de la marque tant qu’une certaine quantité de produits est vendue (en moyenne minimum 1000 unités).
Par exemple, les produits de la marque, aux Etats-Unis sont vendus sous le nom « Flashpoint », en Angleterre et au Canada, sous le nom de Pixpro, en Allemagne sous le nom de Walimex, en Pologne sous le nom de Quantuum.
Pourquoi ce choix ? Tout simplement parce que tant que la marque Godox ne sera pas en capacité d’offrir aux acheteurs étrangers un bon service clients (après-vente, de réparation…), alors, la société ne veut pas s’étendre sur le marché extérieur.
De plus, cette stratégie commerciale permet à la marque d’assurer et de pérenniser la vente de ses produits sur différents marchés (Américains, Européens, Australien…) et ceci à avec un rapport qualité-prix indéniable.
En effet, les prix des produits Godox sont abordables tout en étant de bonne qualité, notamment sur les prix des équipements et d’accessoires de caméra, qui là sont imbattables.
Godox, la diversité des modèles
Polyvalents et légers, les modèles proposés par la marque chinoise sont divers.
En effet, la marque propose du matériel d’éclairage (lampes flash, Led, panneaux Led, macro, kits), des accessoires comme les modificateurs d’éclairage (boite lumière, alimentation, bol beauté, adaptateurs…), des tables et des tentes lumineuses, des trépieds d’éclairage, des sacs de transports, des têtes flash et des tubes éclairs, des batteries, chargeurs, adaptateurs…
La marque propose également des lampes reporters, accessoires flash, stroboscopiques et des moniteurs de caméra, ainsi que des systèmes audio (système movelink, wmic, microphones) et des déclencheurs.
De plus, la marque Godox propose une série de produits compatible avec d’autres marques. En voici quelques exemples :
Godox TT 600 Flash Caméra compatible avec Nikon, Fudjifilm, Pentax, Olympus et Panasonic,
Godox 5*4inches /13*10cm Softbox Diffuseur Lumière compatible avec Sony, Canon et Nikon,
Godox Déclencheur de Flash XPro-C compatible avec Canon, Panasonic et fudjifilm,
Godox Flash TT6850 TTL et Godox Flash TT3500 compatibles avec Olympus et Panasonic.
Godox, comment choisir son flash?
Première chose à savoir, il existe trois sortes de flashs :
– le flash studio (gros flash de reportage puissant branché sur secteur ou générateur)
– le flash de reportage dit « cobra » qui est le plus répandu et le plus utilisé car, fixé sur le griffe porte-flash de l’appareil photo, il sert à la fois d’éclairage principal et d’éclairage secondaire.
– le flash annulaire qui se fixe sur l’objectif, majoritairement utilisé pour la reproduction ou la photo macro.
Le flash boitier quant à lui, sert surtout à déclencher d’autres flashs.
De fait, en fonction de l’utilisation, la puissance est l’un des 1ers critères à retenir. Votre flash doit donc avoir une puissance 36 nombre guide (mini 28) pour 100 ISO (sensibilité) et sa focale doit être comprise entre 35 et 50mm.
Le mode flash c’est-à-dire le mode d’exposition et d’éclairs, est à retenir. Le plus fréquemment utilisé est le TTL car il mesure l’intensité de l’éclair pour affiner le réglage mais vous devez également vous assurer que le mode M (manuel) est assuré car il permet soi-même de régler l’appareil finement.
De la même manière, assurez-vous que votre flash dispose de filtres flash, nécessaires pour équilibrer les températures de couleurs
Soyez également attentifs aux modes d’alimentation (piles, accus, batterie rechargeable…), et au temps de recyclage c’est-à-dire au temps entre deux éclairs (plus le temps est court, mieux c’est). Assurez-vous que la tête de flash est bien orientable tant verticalement et horizontalement et que le réflecteur est bien intégré (ce qui permet de donner une lumière directe sur un visage).
Autres aspects pratiques à ne pas négliger : la présence d’un bouton de test de flash, d’un sabot de verrouillage (afin d’éviter que le flash ne sorte de la grille porte-flash).
Enfin, le poids, la taille et les accessoires fournis sont des critères évidents.
Godox, propose de nombreux modèles à prix abordables, rendant ainsi un bon rapport qualité prix.
Godox, comment utiliser un flash?
Pour vous aider, rien de mieux que de laisser parler des professionnels !
Vidéo 1 : comment utiliser un flash ?
Vidéo 2: Comment utiliser un flash cobra?
Godox: présentation du Godox V1
Ce flash TTL HSS (synchronisation à grande vitesse), à la fois utilisable en flash maître ou esclave, compatible avec Sony MIS, possède un nombre-guide de 92, une grande puissance, une durée de recyclage de 1.5 seconde à puissance maximale, et une température de couleur de 5600ºK+/-200ºK.
Il est donc utilisable partout, tant en intérieur qu’en extérieur. Pouvant être utilisé jusqu’ à 100 mètres de distance, il permet de contrôler d’autres flashs Godox. S
Sa tête frontale, circulaire (pour une lumière plus diffuse) a une grande mobilité puisqu’elle s’incline entre 7 et 120°, et peut pivoter jusqu’à 330°. Fonctionnant avec une batterie au lithium rechargeable, ce flash a une durée de vie bien plus longue que les flashs fonctionnant à piles puisqu’il offre la possibilité de réaliser 480 flashs à pleine puissance sur une charge.
Enfin, son écran LCD, à l’arrière permet un meilleur contrôle des paramètres et reste très facile à comprendre et à prendre en main.
Pour le prix, comptez entre 200 et 300 euros.
Vidéo: présentation et utilisation du Godox V1
Godox: présentation du Godox Witstro ad200
Ce flash autonome, spécialement conçu pour les photographes nomades, présente de belles qualités, notamment celle de pouvoir changer de tête flash (cobra ou studio).
Compact, ce flash TTL HSS, Manuel sans fil, détient une puissance de 200 Watts avec un NG 60 (ISO 100 / 1m / réflecteur standard), et offre grâce à sa batterie au lithium, la possibilité de réaliser jusqu’à 500 éclairs à pleine puissance, avec un temps de recyclage de 2,1s à puissance maxi.
Son nombre-guide est de 52 pour la tête cobra et 60 pour la tête studio. Sa température de couleur est de 5600K.
Dimensions : 168 x 75x 50mm Poids : 560 g
Il est utilisable en HSS jusqu’au 1/8000ème de seconde est donc idéal si vous souhaitez immortaliser un mouvement rapide ou modifier la quantité de lumière ambiante.
Vidéo: Présentation et mode d’emploi du Godox ad200:
Eric CANTO Photographe : Photos de concerts, portraits, pochettes d’albums.
Mary Ellen Mark n’était pas une photographe comme les autres. Elle avait cette rare capacité de capturer l’essence même des personnes qu’elle photographiait, de révéler des émotions brutes, sans fioritures. Que ce soit dans les rues de Seattle ou dans les hôpitaux psychiatriques, elle a su transformer chaque portrait en une véritable histoire.
Mais qui était-elle vraiment ? Et pourquoi son nom continue-t-il de résonner dans le monde de la photographie ? C’est ce que nous allons découvrir dans cet article.
Mary Ellen Mark : La photographe qui capturait l’âme humaine
Qui est Mary Ellen Mark ?
Une icône de la photographie documentaire
Il n’y a pas d’exagération à dire que Mary Ellen Mark est une figure légendaire de la photographie documentaire. Née en 1940 à Philadelphie, elle a très tôt montré un intérêt pour les histoires humaines. Après avoir étudié la peinture et la photographie à l’Université de Pennsylvanie, elle a rapidement embrassé la photographie comme son moyen d’expression principal.
Ce qui la distingue, c’est sa capacité à s’immerger totalement dans la vie de ses sujets. Elle n’a jamais été une observatrice distante ; au contraire, elle est entrée dans les mondes les plus intimes, les plus cachés, pour en ressortir avec des images bouleversantes. Elle n’était pas là pour faire du sensationnalisme. Elle voulait que ses photos racontent des histoires vraies, poignantes, et souvent négligées.
Mary Ellen Mark a couvert de nombreux sujets sensibles : les sans-abris, les patients d’hôpitaux psychiatriques, les prostituées de Bombay, les enfants de la rue. Elle ne se contentait pas de capturer des images, elle tissait des liens humains avec ses sujets. Et cela se voit dans ses photographies, où l’authenticité transpire à chaque pixel.
**Mary Ellen Mark n’a jamais eu peur d’aller là où d’autres ne voulaient pas aller**. C’était une photographe de l’extrême, dans le sens où elle s’immergeait dans des univers souvent négligés ou ignorés par les médias. Que ce soit dans un hôpital psychiatrique ou au milieu de la rue, elle savait comment approcher ses sujets avec respect et créer une connexion authentique.
Cette proximité, cette empathie profonde, c’est ce qui donne à ses images une intensité si rare. Elle n’était pas là pour juger ou faire du sensationnel. Non, Mary Ellen Mark cherchait simplement à capturer la vérité, sans fard, sans artifice. C’est ce qui rend son travail si puissant.
Ses œuvres marquantes
Si l’on devait citer quelques projets qui illustrent le génie de Mary Ellen Mark, il faudrait mentionner Streetwise, Ward 81, Prom, et Falkland Road.
**Streetwise (1984)** : Un documentaire poignant sur la vie des enfants sans-abris à Seattle. Mary Ellen Mark a passé plusieurs mois avec ces jeunes, gagnant leur confiance, pour ensuite capturer leurs vies difficiles mais pleines d’humanité. Ce travail est un témoignage brut de la réalité urbaine américaine. Ces enfants de la rue, qui semblaient invisibles aux yeux de la société, ont trouvé dans le travail de Mark une voix, une représentation. Streetwise est bien plus qu’une série de photos, c’est un véritable portrait social de l’Amérique des années 80, un témoignage fort et indélébile.
**Ward 81 (1979)** : Ce projet offre un regard rare et intime sur la vie des patientes d’un hôpital psychiatrique pour femmes. Mark a obtenu un accès inédit dans un milieu où très peu de photographes s’aventuraient. Elle a passé six semaines avec ces femmes, et les images qui en résultent montrent des femmes vulnérables, mais jamais déshumanisées. Ce projet est un bel exemple de sa capacité à capturer l’essence humaine, même dans les conditions les plus extrêmes. Elle a su montrer la dignité et la souffrance de ces femmes d’une manière qui force le respect.
**Prom (2012)** : Une série de portraits d’adolescents lors de leurs bals de fin d’année. Ce projet capture les espoirs, les rêves, mais aussi les angoisses des jeunes Américains, en plein rite de passage. Ces images, à première vue légères et festives, sont en réalité beaucoup plus profondes. Elles révèlent les aspirations et les peurs d’une jeunesse en quête de sens, dans une société souvent marquée par le paraître.
**Falkland Road (1981)** : Un voyage visuel dans les bordels de Bombay. Mary Ellen Mark s’est immergée dans ce monde difficile et a capturé des images à la fois dures et émouvantes des travailleuses du sexe. Contrairement à d’autres photographes qui auraient pu se concentrer uniquement sur le côté sordide, elle a choisi de montrer l’humanité de ces femmes, leur force, mais aussi leur vulnérabilité. C’est un travail puissant qui a marqué les esprits et qui montre une nouvelle fois sa capacité à aller au-delà des apparences.
Federico Fellini on the Set of « Fellini Satyricon », Rome, Italy, 1969
Le style photographique de Mary Ellen Mark
La photographie documentaire dans toute sa splendeur
Il est difficile de définir le style de Mary Ellen Mark sans évoquer la force de l’instantané. Pour elle, chaque image était une rencontre, une vérité nue capturée en un seul clic. Pas de pose élaborée, pas de manipulation excessive de l’image. Tout ce qu’elle recherchait, c’était l’instant où son sujet révélait quelque chose de profondément humain.
Son approche est ce qu’on appelle de l’empathie visuelle. Elle ne regardait jamais ses sujets de haut, elle se plaçait à leur niveau, émotionnellement et physiquement. C’est ce qui rend ses images si puissantes. Prenez le regard d’une enfant dans Streetwise – il est impossible de ne pas ressentir l’émotion brute qu’elle transmet à travers l’objectif. C’est cette capacité à capturer les moments intimes qui la distingue des autres photographes documentaires.
Mark n’était pas seulement une observatrice. Elle était une participante. Elle vivait avec ses sujets, elle passait du temps avec eux, elle écoutait leurs histoires. C’est cette immersion totale qui permettait à ses photographies de résonner autant. Elle ne cherchait pas seulement à capturer une image, mais à raconter une histoire.
Une technique entre art et réalité
Mary Ellen Mark utilisait souvent lenoir et blanc dans ses photographies, ce qui ajoutait une dimension intemporelle à son travail. Le noir et blanc permet de se concentrer sur l’essence même du sujet sans la distraction des couleurs. Les ombres, la lumière, les contrastes, tout cela donne une profondeur supplémentaire à ses portraits.
Quant à sa manière de composer ses images, elle était d’une audace rare. Elle jouait avec les lignes, les angles, et même avec l’espace vide pour créer des images d’une grande puissance visuelle. Son usage du cadre était si minutieux qu’on avait souvent l’impression que chaque détail était intentionnel, chaque espace parfaitement calculé pour intensifier l’émotion.
Son travail ne se limitait pas à la pure documentation. Il y avait une dimension artistique dans chaque cliché. Elle maîtrisait la lumière, les ombres, et savait comment composer une image pour qu’elle ait un impact maximal. Il y a une esthétique dans son travail qui va au-delà du simple photojournalisme. C’était une artiste autant qu’une documentariste.
L’héritage de Mary Ellen Mark
Son influence sur la photographie moderne
On ne peut pas parler de l’héritage de Mary Ellen Mark sans évoquer son impact sur les photographes contemporains. Beaucoup s’inspirent de son travail aujourd’hui. Elle a pavé la voie pour une nouvelle génération de photographes qui cherchent à créer des œuvres documentaires empreintes d’humanité et d’empathie.
Son travail a influencé non seulement les photographes, mais aussi le monde du cinéma et de l’art en général. De nombreux réalisateurs et artistes contemporains citent Mary Ellen Mark comme une source d’inspiration. Son approche narrative de la photographie a influencé des générations de créateurs visuels.
Par ailleurs, ses images continuent de résonner parce qu’elles transcendent le temps. Que ce soit des photos prises dans les années 70 ou 80, elles restent incroyablement actuelles. Ce regard, ce souci de capturer l’âme humaine, est universel et intemporel. Et c’est cette capacité à faire ressortir l’émotion pure qui rend son travail si puissant encore aujourd’hui.
Leçons à tirer pour les photographes d’aujourd’hui
Si vous êtes photographe et que vous cherchez à vous améliorer, il y a beaucoup à apprendre de Mary Ellen Mark. L’une de ses grandes leçons est de photographier avec une intention forte. Chaque cliché que vous prenez doit avoir un sens, raconter une histoire. Ce n’est pas juste appuyer sur un bouton, c’est créer une connexion avec votre sujet et capturer quelque chose de réel.
Autre leçon : aller au-delà de la surface. Ne vous contentez pas de prendre une jolie photo. Cherchez à comprendre votre sujet, passez du temps avec lui, et attendez le moment où il se révélera pleinement à vous. C’est là que vous obtiendrez des clichés mémorables.
Mary Ellen Mark nous enseigne également l’importance de la patience et de la persévérance. Elle passait des heures, des jours, voire des semaines avec ses sujets avant de capturer l’image parfaite. Cette patience, cette détermination à attendre le bon moment, est une qualité essentielle pour tout photographe qui souhaite vraiment raconter une histoire à travers ses images.
Comment adopter l’approche de Mary Ellen Mark dans votre propre photographie
Techniques pour capturer l’émotion dans vos photos
Photographier comme Mary Ellen Mark, ce n’est pas juste une question de technique, c’est aussi une question de mentalité. La première étape, c’est d’apprendre à connaître vos sujets. Passez du temps avec eux, parlez-leur, écoutez leurs histoires. Plus vous comprendrez vos sujets, plus vous serez en mesure de capturer quelque chose de profond et d’authentique.
Ensuite, cherchez toujours l’authenticité. Évitez les poses figées ou artificielles. Laissez votre sujet être lui-même, et soyez prêt à capturer ces moments spontanés qui révèlent leur véritable personnalité.
Enfin, n’ayez pas peur de vous aventurer dans des territoires inconnus. Mary Ellen Mark a souvent photographié des sujets et des lieux difficiles ou inconfortables. Elle ne cherchait pas à embellir la réalité, mais à la montrer telle qu’elle est, dans toute sa complexité et sa brutalité. Si vous voulez vraiment capturer l’essence de vos sujets, vous devez être prêt à sortir de votre zone de confort.
L’importance de la patience et de l’observation
Une des clés de la réussite de Mary Ellen Mark, c’était sa patience. Elle attendait le moment parfait, celui où l’émotion brute allait émerger. En tant que photographe, ne vous précipitez pas. Observez, attendez, et quand vous sentirez que c’est le bon moment, déclenchez.
Enfin, il est essentiel de s’imprégner du contexte dans lequel vous travaillez. Mary Ellen Mark passait des jours, voire des semaines, à comprendre l’environnement dans lequel elle photographiait. Cela lui permettait de capturer non seulement ses sujets, mais aussi l’essence du lieu et de l’époque. Cette immersion totale est ce qui donnait à son travail une authenticité et une profondeur inégalées.
Pourquoi Mary Ellen Mark reste une référence dans le monde de la photographie
Son impact sur la culture visuelle
Le travail de Mary Ellen Mark a eu un impact considérable sur la manière dont nous percevons certains sujets dans la société. En photographiant des personnes souvent ignorées ou marginalisées, elle a contribué à les ramener sous les projecteurs et à changer les perceptions. Elle a donné une voix visuelle aux invisibles, ceux dont on ne parle pas souvent, mais qui ont des histoires puissantes à raconter.
Elle a changé la façon dont la photographie documentaire est perçue, en plaçant l’humain au centre de chaque image. Au lieu de simplement documenter des faits, elle racontait des histoires. Elle montrait la réalité, mais à travers un prisme profondément empathique. C’est cette capacité à voir au-delà de l’objectif qui fait de Mary Ellen Mark une référence incontournable.
Une approche humaniste
Mary Ellen Mark n’était pas seulement une photographe, elle était une conteuse d’histoires humaines. Son appareil photo était son stylo, et chaque image était un chapitre d’une histoire plus vaste. Elle utilisait la photographie pour montrer la beauté, la douleur, l’espoir et la souffrance, le tout avec une humanité et une compassion inégalées.
Il n’y a pas beaucoup de photographes capables de capturer l’essence humaine avec une telle justesse. Elle avait une sensibilité unique, une capacité à voir les détails que d’autres auraient ignorés. C’est ce qui la distingue, et c’est pour cela qu’elle reste une figure emblématique dans le monde de la photographie.
Conclusion
Mary Ellen Mark restera à jamais l’une des photographes les plus emblématiques de notre époque. Son travail documentaire a changé la manière dont nous percevons le photojournalisme et la photographie d’art. Elle a su montrer la beauté brute et l’humanité dans les endroits les plus sombres, et son héritage continue d’inspirer de nombreux photographes à travers le monde. Alors, si vous voulez vraiment capturer l’essence humaine dans vos photos, suivez les traces de Mary Ellen Mark : plongez dans l’histoire de vos sujets, attendez l’instant parfait, et laissez vos photos parler pour eux.
FAQ : Tout savoir sur Mary Ellen Mark et son approche photographique
1. Quelle est la spécificité du style de Mary Ellen Mark ?
Mary Ellen Mark se distingue par son style profondément humaniste et empathique. Contrairement à de nombreux photographes qui adoptent une approche plus distante, elle s’immergeait pleinement dans la vie de ses sujets, que ce soit dans les rues de Seattle avec les enfants sans-abri ou dans les hôpitaux psychiatriques. Son objectif n’était pas seulement de documenter des faits, mais de capturer l’essence des personnes qu’elle photographiait. Elle cherchait à établir une connexion émotionnelle avec ses sujets, ce qui transparaît dans ses images pleines d’humanité.
2. Quels sont les thèmes principaux abordés dans l’œuvre de Mary Ellen Mark ?
Les thèmes récurrents dans le travail de Mary Ellen Mark incluent la marginalité, la souffrance humaine, et la vulnérabilité. Elle a consacré une grande partie de sa carrière à documenter des populations souvent oubliées ou négligées, telles que les enfants des rues, les patients psychiatriques, les prostituées, et d’autres individus marginalisés. À travers ces thèmes, elle a toujours cherché à montrer la dignité et la force de ses sujets, même dans les situations les plus difficiles. Son travail met souvent en lumière des histoires personnelles fortes, qui témoignent de la résilience humaine.
3. Quelle influence Mary Ellen Mark a-t-elle eu sur le monde de la photographie ?
L’influence de Mary Ellen Mark sur la photographie moderne est immense. Elle a repoussé les limites du photojournalisme traditionnel en y apportant une dimension artistique et émotionnelle. De nombreux photographes contemporains citent son travail comme une source d’inspiration, notamment pour son approche immersive et empathique. Son utilisation du noir et blanc, ses compositions audacieuses, et son engagement envers ses sujets ont ouvert la voie à une nouvelle génération de photographes documentaires. En tant que pionnière dans la représentation des invisibles, elle a également contribué à changer la manière dont la photographie documentaire est perçue.
4. Comment puis-je adopter l’approche de Mary Ellen Mark dans ma propre photographie ?
Pour suivre les traces de Mary Ellen Mark, il est essentiel de développer une connexion avec vos sujets. Prenez le temps de les connaître, de comprendre leurs histoires, et d’établir un lien de confiance. En photographie documentaire, il ne s’agit pas simplement de capturer une image, mais de raconter une histoire. Mark passait souvent des semaines, voire des mois, à vivre aux côtés de ses sujets pour saisir des moments d’authenticité. Soyez patient et prêt à attendre le moment où l’émotion brute apparaîtra. Enfin, ne craignez pas d’explorer des sujets difficiles ou inconfortables. Ce sont souvent ces sujets qui révèlent le plus sur l’humanité.
5. Quel équipement Mary Ellen Mark utilisait-elle pour ses photographies ?
Mary Ellen Mark utilisait principalement des appareils photo argentiques, et elle était une fervente adepte du format noir et blanc. Elle a travaillé avec des appareils photo tels que le Rolleiflex et le Leica, des appareils emblématiques pour la photographie documentaire. Elle appréciait la simplicité et la rigueur technique que nécessitait la photographie argentique, ce qui lui permettait de se concentrer pleinement sur la composition et le moment capturé. Même avec l’avènement du numérique, elle est restée fidèle à l’argentique pour ses projets les plus personnels, car elle estimait que cela apportait une qualité intemporelle à ses images.
6. Pourquoi le noir et blanc était-il si important dans le travail de Mary Ellen Mark ?
Le noir et blanc est une composante essentielle du style de Mary Ellen Mark. Elle croyait que ce format permettait de se concentrer davantage sur l’émotion, la composition, et la lumière, sans les distractions que peuvent parfois apporter les couleurs. Le noir et blanc ajoute une dimension intemporelle à ses images et permet de renforcer l’impact émotionnel. Cela crée également un contraste plus fort, ce qui intensifie les détails des visages, des expressions, et des environnements dans lesquels elle photographiait. En d’autres termes, le noir et blanc permet de focaliser l’attention du spectateur sur ce qui est vraiment important dans l’image.
7. Quels sont les projets les plus célèbres de Mary Ellen Mark ?
Parmi les projets les plus connus de Mary Ellen Mark, on trouve :
Streetwise (1984) : Une série de photographies poignantes sur les enfants des rues de Seattle, qui a également donné lieu à un documentaire. Ce projet met en lumière la dure réalité de la vie de jeunes sans-abri.
Ward 81 (1979) : Une immersion au sein d’un hôpital psychiatrique pour femmes, où Mark a passé six semaines à photographier des patientes, montrant à la fois leur vulnérabilité et leur humanité.
Falkland Road (1981) : Une série de photographies prises dans les bordels de Bombay, qui explore la vie des travailleuses du sexe dans ce quartier célèbre.
Prom (2012) : Un projet plus léger qui se concentre sur les bals de fin d’année aux États-Unis, capturant les espoirs et les rêves des jeunes lors de cette soirée marquante de leur adolescence.
8. Comment Mary Ellen Mark établissait-elle une relation avec ses sujets ?
Mary Ellen Mark consacrait beaucoup de temps à établir des relations de confiance avec ses sujets. Elle croyait fermement que pour capturer l’essence d’une personne, il fallait d’abord créer un lien fort. Cela signifiait passer du temps avec eux, les écouter, comprendre leur histoire et leur contexte. Mark n’était pas seulement une observatrice silencieuse ; elle interagissait avec ses sujets, se montrait respectueuse et attentive à leurs émotions. C’est cette approche empathique qui permettait à ses sujets de s’ouvrir devant son objectif, révélant des moments de grande intimité et d’authenticité.
9. Quelles sont les difficultés que Mary Ellen Mark a rencontrées dans sa carrière ?
Comme beaucoup de photographes documentaires, Mary Ellen Mark a souvent dû surmonter des obstacles pour mener à bien ses projets. Travailler dans des environnements difficiles, comme les rues de Seattle avec des enfants sans-abri ou dans un hôpital psychiatrique, nécessitait du courage et de la persévérance. Elle a également dû gagner la confiance de ses sujets, ce qui pouvait prendre des semaines voire des mois. Par ailleurs, en tant que femme dans un domaine souvent dominé par les hommes, elle a dû s’imposer et prouver que sa vision était tout aussi valable, sinon plus, que celle de ses homologues masculins.
10. Pourquoi Mary Ellen Mark est-elle toujours une référence dans la photographie documentaire ?
Mary Ellen Mark reste une référence pour sa capacité à capturer l’humanité dans toute sa complexité. Son travail est intemporel parce qu’il ne se contente pas de documenter des faits ; il raconte des histoires profondément humaines, avec toutes leurs nuances. Son approche empathique, son souci du détail et sa capacité à établir des liens avec ses sujets sont des qualités que tout photographe documentaire aspire à développer. Elle a montré qu’au-delà de la technique, la photographie est avant tout un moyen de comprendre et de révéler l’essence même de la condition humaine.
Dorothea Lange, fondatrice du photojournalisme aux Etats-Unis, est une spécialiste de la photographie d’après-guerre, notamment du temps de la Grande Dépression et de la crise économique américaine des années 30. Elle a été missionnée par la Farm Security Administration (FSA « Administration de la sécurisation des fermiers ») pour relater la réalité de la vie des américains appauvris et permettre à l’Etat de soutenir financièrement les plus précaires.
Durant toute sa carrière, elle dénonce avec réalisme les injustices de manière émouvantes dans le but de sensibiliser, de mobiliser l’opinion publique et de faire changer les choses.
Retour sur la vie de cette artiste réaliste et engagée.
Dorothea Lange, fiche d’identité
Naissance : le 26 Mai 1895 à Hoboken, New-Jersey, Etats-Unis
Décès : le 11 octobre 1965 à San Francisco, Californie, Etats-Unis
Enfants : Daniel Dixon et John Dixon
Époux : Paul Schuster Taylor (m. 1935-1965) et Maynard Dixon (m. 1920-1935)
Distinctions: Bourse Guggenheim en 1941, National Women’s Hall of Fame en 2003 et California Hall of Fame en 2008, un cratère de la planète Mercure est nommé Lange en son honneur depuis 2009
Emploi: Farm Security administration (FSA), War Relocation Authority, San Francisco Art Institute
Portrait de Dorothea Lange joyeuse
Dorothea Lange, biographie
Née le 26 mai 1895 à Hoboken, elle vient d’une famille d’origine allemande installée dans le New Jersey. Plusieurs épreuves vont jalonner son enfance. D’abord atteinte d’une poliomyélite à l’âge de 7 ans qui la handicape toute sa vie, elle est abandonnée par son père à l’âge de 12 ans.
Dorothea suit des études à l’Université Columbia de New-York, et travaille pour le photographe Arnold Genthe.
Après la 1ère guerre mondiale, en 1918, elle s’installe en Californie, à San Francisco, où elle ouvre un studiophoto qui devient vite florissant. C’est l’époque des années folles et de la forte croissance économique. En 1920, elle épouse Maynard Dixon qui lui donne deux fils, Daniel et John.
Après leur divorce en 1935, Dorothea a élevé les deux enfants seule, tout en poursuivant sa carrière de photographe.
Daniel et John ont tous deux suivi des voies créatives. Daniel est devenu un célèbre musicien de jazz, connu sous le nom de Dan Dixon. Il a enregistré plusieurs albums de jazz au cours de sa carrière, dont certains ont été nominés pour des prix Grammy. John, quant à lui, est devenu un photographe et cinéaste documentaire, suivant les traces de sa mère. Il a notamment réalisé des documentaires sur des sujets tels que la guerre en Irak et la lutte pour les droits des travailleurs agricoles aux États-Unis.
Les fils de Dorothea Lange ont tous deux reçu une éducation artistique grâce à leur mère, qui les a encouragés à poursuivre leurs passions créatives. Ils ont également tous deux été influencés par le travail de leur mère en photographie documentaire et sociale, et ont continué à poursuivre cette tradition dans leur propre travail.
Dorothea Lange a eu trois petits-enfants, issus de son fils John et de sa femme, la photographe et documentariste Elizabeth Partridge. Leur fils, Dylan, est un musicien et compositeur de musique de films. Leur fille, Anna, est une artiste et graphiste. Leur autre fils, Walker, est également artiste et photographe, et a travaillé sur plusieurs projets documentaires.
Bien que Dorothea Lange ne soit pas directement impliquée dans le travail de ses petits-enfants, son héritage en tant que photographe documentaire a certainement influencé leur travail et leur vision artistique. En outre, Elizabeth Partridge a travaillé sur plusieurs livres documentaires pour enfants, en utilisant souvent les photographies de Dorothea Lange pour illustrer les histoires de la Grande Dépression et d’autres sujets historiques importants.
Mais, 1929 et son krach boursier, suivi de la Grande Dépression arrivent, faisant plus de 14 millions de chômeurs. Les entreprises font faillite, les agriculteurs serrent les dents face à la sécheresse, aux tempêtes de sable, aux exportations fermées.
En plus de la crise économique et de l’exode rural, les migrants arrivent en masse, fuyant les régimes totalitaires européens. Des camps de réfugiés se forment dans les campagnes américaines.
Face à ce chaos, Dorothea Lange abandonne le studio et décide de photographier les sans-abris, la pauvreté, cette population en souffrance. Son objectif est de sensibiliser l’Amérique sur les difficultés rencontrées par toute une population. Sa photographie se politise. L’artiste s’engage.
« J’ai réalisé que je photographiais les seules personnes qui m’ont payée pour cela. Cela m’a dérangé. Alors j’ai fermé ce lieu, et démonté ma chambre noire. Je me suis demandé : qu’est-ce que j’essaie de dire ? J’ai vraiment voulu me regarder en face. »
En 1935, elle est l’assistante de son 2ème mari Paul Schuster Taylor qui travaille pour la RA (Resettlement Administration – Office de la réinstallation qui aide les familles migrantes à se reloger). Cet office est crée par l’administration de F.D. Roosevelt du New Deal pour prélever les informations sur le terrain, mettre en lumière les inégalités et ainsi mettre en place une politique plus « sociale ».
Lange touche les lecteurs avec ses clichés ainsi que la Federal Emergency Relief Administration (office de l’aide d’urgence fédérale), et grâce à ses images, elle arrive à débloquer un financement pour la construction d’un camp de migrants à Marysville.
Ses travaux photographiques suscitant l’intérêt, elle est recrutée comme photographe de terrain par la RA qui devient en 1937 la Farm Security Administration.
Ses publications dans le San Francisco News vont permettre de débloquer des fonds pour une aide alimentaire en urgence pour les plus démunis.
Cette période est une charnière, un tournant important dans la carrière de la photographe et du photojournalisme.
C’est à cette période que sera pris son plus célèbre cliché « Migrant Mother » portrait de Florence Thompson, mère de 32 ans d’origine amérindienne, veuve sans argent, qui vit dans un camp de cueilleurs, et vend des pneus pour nourrir ses enfants.
« J’avais vu et je m’étais alors rapprochée de cette mère affamée et désespérée, comme attirée par un aimant. Je ne me souviens pas comment je lui ai expliqué ma présence ou mon appareil photo, mais je me souviens qu’elle ne posait aucune question. J’ai fait cinq prises, en travaillant de plus en plus près dans la même direction. Je ne lui ai pas demandé ni son nom ni son histoire.
Elle m’a dit son âge, qu’elle avait trente-deux ans. Elle a dit qu’ils avaient vécu grâce à des légumes dans les champs environnants, et les oiseaux que les enfants avaient tués. Elle venait de vendre les pneus de sa voiture pour acheter de la nourriture. Là, elle était dans cette tente, avec ses enfants blottis autour d’elle, et semblait savoir que mes photos pourraient l’aider, et elle m’a aidée. Il y avait une sorte d’égalité à ce sujet. »
Elle travaille pour la FSA jusqu’en 1939, sort la même année son livreAmerican Exodus : a record of Human Erosion, puis reçoit la bourse Guggenheim en 1941.
Elle décide de s’envoler pour le Japon en 1942 après l’attaque de Pearl Harbor, pour le compte de l’Office of War Information. Le but étant de documenter la vie des Japonais dans les camps d’internement américains et de démontrer la bienveillance du régime américain envers la population japonaise.
Malheureusement le photo reportage montre une réalité bien différente, des conditions de vie choquantes et déshumanisées.
Le gouvernement interdit la diffusion des clichés de la photographe. Il faut attendre 2006 et la publication du livre Impounded : Dorothea Lange and the censored impages of Japanese americain internment pour que l’on découvre ces photos de guerre.
S’en suivent de graves soucis de santé, qui nécessitent un « break » pour la photographe.
Dorothea Lange reprend son activité en 1951 et travaille pour Life en Irlande, au Venezuela, en Syrie…
La photographe décède le 11 octobre 1965 à San Francisco, en Californie, des suites d’un cancer, à l’âge de 70 ans.
En effet, la cause de sa mort était une rupture d’estomac, qui s’est produite peu de temps après une intervention chirurgicale pour retirer une tumeur cancéreuse. Elle avait souffert d’un cancer du pancréas depuis quelque temps avant sa mort.
Malgré sa maladie, Lange a continué à travailler jusqu’à la fin de sa vie et a laissé derrière elle un héritage important en tant que l’une des photographes les plus influentes et les plus importantes du 20ème siècle.
Toutes ses œuvres sont léguées à l’Oakland Museum of California Art Department et plusieurs expositions posthumes s’organisent comme la rétrospective du MoMA de 1966.
Dorothea Lange, bibliographie
Partridge, Dorothea Lange, A Visual Life, Washington-Londres, Smithionian Press, 1994
Dorothea Lange, Photographies d’une vie, Könemann, 1998
An American Exodus : A Record of Human Erosion, Éditions Jean-Michel Place, 1999 (1reéd. 1939 (Reynal and Hitchcock))
Hans-Michael Koetzle, Photo Icons, the story behind the pictures, Volume 2, Taschen, coll. « Icons », 2002
Pierre Borhan, Dorothea Lange, le cœur et les raisons d’une photographe, Éditions du Seuil, 2002
Linda Gordon et Gary Y. Okihiro(en), Impounded : Dorothea Lange and the Censored Images of Japanese American Internment, éditions Norton, 2006
Spécificité des photos de Dorothea Lange
Dorothea Lange est une photographe américaine connue pour ses photographies documentaires qui témoignent de la vie des travailleurs migrants pendant la Grande Dépression des années 1930 aux États-Unis. Ses photographies sont considérées comme des icônes de l’histoire de la photographie documentaire et ont eu un impact significatif sur la prise de conscience sociale et la lutte pour les droits civiques.
La spécificité des photos de Dorothea Lange réside dans leur capacité à capturer l’humanité et la dignité de ses sujets, souvent en situation de précarité et de souffrance. Ses photographies, souvent en noir et blanc, sont composées de manière à mettre en avant les expressions et les gestes de ses sujets, soulignant ainsi leur histoire et leur vécu.
Lange a souvent travaillé avec des appareils photographiques légers et portatifs, ce qui lui a permis de se déplacer facilement et de prendre des photos sur le vif, dans des conditions souvent difficiles. Elle a également utilisé des cadrages serrés pour créer une proximité émotionnelle avec ses sujets et montrer les détails de leur vie quotidienne.
Enfin, les photographies de Lange ont souvent été accompagnées de légendes et de commentaires écrits, qui ont contribué à leur dimension documentaire. Ces textes ont souvent été écrits en collaboration avec les sujets eux-mêmes, ce qui a permis de donner une voix à ceux qui étaient souvent ignorés ou marginalisés dans la société.
Dans l’ensemble, la spécificité des photographies de Dorothea Lange réside dans leur capacité à raconter des histoires complexes et à susciter l’empathie et la compassion pour ceux qui souffrent et qui sont exclus de la société. Ses photographies sont un témoignage poignant de l’histoire de l’Amérique et de l’humanité universelle.
FOCUS sur la photographie Mère Migrante
Migrant Mother, est le portrait noir et blanc phare de Dorothea Lange, symbole également du photojournalisme d’après-guerre, et œuvre symbolique de la Grande Dépression américaine. Elle est sa photographie la plus célèbre, prise en 1936 dans un camp de travailleurs migrants en Californie.
La photo montre Florence Owens Thompson, une mère de sept enfants, qui se tient en regardant vers le bas avec un regard grave tandis que ses trois enfants se blottissent contre elle. La photo est devenue un symbole de la Grande Dépression et de la lutte pour la survie de la classe ouvrière américaine.
« Migrant Mother » a été largement publiée et exposée, et est devenue l’une des images les plus emblématiques de l’histoire de la photographie américaine. Elle a également contribué à faire connaître le travail de Dorothea Lange et son engagement envers la photographie documentaire et sociale.
Décryptage.
migrant mother
Ce portrait pris en mars 1936, présente Florence Owens Thompson, 32 ans, mère de sept enfants, dans un camp provisoire de cueilleurs de pois qui manquent de tout. Ce camp est habité par plus de 2500 migrant.e.s.
Son visage marqué, le regard perdu dans le vide, et son expression préoccupée traduisent une extrême détresse : celle de la survie. Florence Owens Thompson incarne la misère du monde rural aux États-Unis, touché par la chute des prix agricoles et par des phénomènes climatiques extrêmes comme le Dust Bowl.
Se saisissant de la photographie comme preuve et arme de dénonciation, Dorothea Lange a rendu visible cette terrible pauvreté. Le succès de la photographie est fulgurant. Les migrants de ce camp reçoivent une aide immédiate.
Malgré qu’il ait été retouché (un pouce sur l’arbre en bas à droite a été supprimé pour des raisons d’esthétisme), ce portrait acquiert une portée universelle, rappelant la peinture « de la Vierge à l’enfant » et Dorothea Lange est pour toujours associée au visage de Florence Owens Thompson.
Malgré les tentatives en 1978 de Florence Thompson de faire interdire la photographie ; las d’être l’icône de la misère humaine ; sa famille, quelques années plus tard, a réutilisé le succès international de ce cliché pour lever des fonds afin d’aider Florence à lutter contre son cancer.
Dorothea Lange a réalisé de nombreuses photographies célèbres pendant la Grande Dépression. Outre « Migrant Mother », une autre de ses photos les plus célèbres s’intitule « White Angel Breadline » (La file d’attente de la White Angel). Cette photo a été prise en 1933 à San Francisco et montre des hommes faisant la queue pour obtenir de la nourriture et de l’aide dans une soupe populaire.
La photo montre une longue file d’hommes en haillons, certains assis, d’autres debout, attendant leur tour pour recevoir de la nourriture. Elle a été prise pendant une période de grande pauvreté et de chômage dans tout le pays et témoigne de la misère de l’époque.
Comme « Migrant Mother », « White Angel Breadline » est devenue une image emblématique de la Grande Dépression et est largement reconnue comme l’une des photographies les plus importantes de l’histoire de la photographie documentaire.
white angel breadline
Dorothea Lange a réalisé de nombreuses photographies célèbres pendant la Grande Dépression, certaines sont :
« Toward Los Angeles, California » (Vers Los Angeles, Californie), une photo prise en 1937 qui montre des travailleurs migrants assis dans un train, avec pour toile de fond une usine en ruine. Cette image symbolise la migration massive de travailleurs pauvres vers la Californie à la recherche de travail.
« Destitute pea pickers in California. Mother of seven children. » (Ramasseurs de pois sans ressources en Californie. Mère de sept enfants), une photo prise en 1936 qui montre une famille de travailleurs migrants assis dans un campement de fortune. La photo montre l’impact de la Grande Dépression sur les familles les plus pauvres.
« An American Exodus » (Un exode américain), une série de photos prises entre 1935 et 1939 qui documentent la migration de travailleurs pauvres et de fermiers de l’Oklahoma vers la Californie. Cette série de photos est considérée comme l’une des plus importantes œuvres documentaires de Dorothea Lange.
Ces photos sont toutes des exemples de l’engagement de Dorothea Lange envers la photographie documentaire et sociale, et de son désir de mettre en lumière les conditions de vie difficiles des Américains pendant la Grande Dépression.
FAQ sur Dorothea Lange
Qui est Dorothea Lange ?
Dorothea Lange était une photographe américaine qui a produit des images puissantes et influentes qui documentent la Grande Dépression, le mouvement des droits civiques et les déplacements des populations rurales. Elle a été reconnue pour avoir capturé les visages et les conditions de vie de l’Amérique durant une période historique difficile.
Où a grandi Dorothea Lange ?
Dorothea Lange est née le 26 mai 1895 à Hoboken, dans le New Jersey. Elle a grandi à Hoboken et a ensuite déménagé à San Francisco en 1918.
Quand a-t-elle commencé à prendre des photos ?
Dorothea Lange a commencé à prendre des photos à l’âge de 16 ans et a commencé à travailler en tant que photographe professionnelle à l’âge de 30 ans.
Quels sont ses principaux sujets photographiques ?
Les principaux sujets photographiques de Dorothea Lange étaient la pauvreté et le dénuement des familles de la Grande Dépression, le mouvement des droits civiques et le déplacement des populations rurales.
Quel est son travail le plus célèbre ?
Le travail photographique le plus célèbre de Dorothea Lange est probablement sa série sur la Grande Dépression intitulée «Migrant Mother», qui a été prise en 1936. Cette photo a été largement considérée comme un symbole visuel de la misère et de la détresse des familles durant la Grande Dépression.
Quelle est la plus grande réussite de Dorothea Lange ?
La plus grande réussite de Dorothea Lange est probablement sa capacité à capturer visuellement l’expérience et les conditions de vie des personnes durant la Grande Dépression et le mouvement des droits civiques, ce qui a permis aux gens de mieux comprendre et de s’engager avec ces sujets.
Qu’est-ce que Dorothea Lange a apporté à l’art de la photographie ?
Dorothea Lange a apporté une nouvelle approche à la photographie documentaire en utilisant une approche plus empathique et humaine pour capturer ses sujets. Elle a également inventé la technique de «photographie documentaire» qui a influencé de nombreux photographes documentaires à travers le monde.
Qui était le mari de Dorothea Lange ?
Le mari de Dorothea Lange était Paul Schuster Taylor, un professeur d’histoire et un défenseur des droits des travailleurs agricoles. Ils se sont mariés en 1935.
Quelles sont les expositions les plus importantes de Dorothea Lange ?
Les expositions les plus importantes de Dorothea Lange comprennent une rétrospective en 1939 à la Galerie Julian Levy à New York, une exposition à la San Francisco Museum of Modern Art en 1949 et une exposition au Museum of Modern Art de New York en 1966.
Quand est-elle décédée ?
Dorothea Lange est décédée le 11 octobre 1965 à San Francisco, Californie, des suites d’un cancer du col utérin. Elle était âgée de 70 ans.
Eric CANTO Photographe : Photos de concerts, portraits, pochettes d’albums.
Le médiator personnalisé existe depuis de nombreuses années, même s’il reste assez récent. Il est difficile de donner une date précise de son apparition. En effet, les musiciens ont toujours cherché à personnaliser leur équipement, y compris leurs médiators, pour obtenir un son ou une sensation de jeu spécifique.
Cependant, avec l’avènement de la technologie moderne, il est devenu plus facile et plus courant de fabriquer des médiators personnalisés. Les fabricants de médiators ont commencé à proposer des services de personnalisation pour permettre aux musiciens de concevoir leur propre médiator avec des matériaux, des formes et des épaisseurs spécifiques.
De plus, avec l’avènement de l’impression 3D, le musicien a désormais la possibilité de créer son propre médiator personnalisé à partir de matériaux tels que le plastique, le métal et même le bois. Cette technologie a ouvert de nouvelles possibilités pour la personnalisation des médiators, permettant aux musiciens de concevoir des médiators uniques, adaptés à leurs besoins et à leurs préférences.
La popularité du médiator personnalisé a donc augmenté avec l’avènement de la technologie moderne et des services de personnalisation proposés par les fabricants de médiators. De nos jours, le médiator personnalisé est de plus en plus courant et est apprécié par de nombreux musiciens pour sa capacité à offrir un son et une sensation de jeu uniques.
Retour sur l’histoire du médiator personnalisé, ce petit accessoire indispensable pour les guitaristes, les bassistes et les autres musiciens qui jouent d’un instrument à cordes et qui perdent, cassent et remplacent fréquemment leur médiator.
Le médiator, ou plectre, est un accessoire utilisé pour gratter les cordes d’une guitare ou d’un autre instrument à cordes. Les premiers médiators remontent au début du 20ème siècle, lorsqu’ils ont commencé à être utilisés comme une alternative aux ongles ou aux doigts nus pour jouer de la guitare. Les premiers médiators étaient souvent fabriqués à partir d’os, de corne, de nacre ou d’autres matériaux naturels.
Au fil du temps, de nouveaux matériaux ont été introduits pour la fabrication du médiator, tels que le celluloïd, qui était très populaire dans l’industrie de la musique dans les années 1920 et 1930. Depuis lors, de nombreux autres matériaux ont été utilisés pour fabriquer des médiators, notamment le nylon, le Delrin, l’ultem, la gomme naturelle et divers métaux.
Le médiator personnalisé, est utilisé par de nombreux musiciens à travers le monde pour jouer de la guitare, de la basse et d’autres instruments à cordes pincées. Il est difficile de dire avec certitude qui utilise le plus le médiator, car cela dépend de nombreux facteurs tels que le genre musical, la culture musicale et les préférences individuelles de chaque musicien.
Scorpions
Cependant, le médiator personnalisé est particulièrement populaire dans les genres de musique rock, pop, blues, jazz, country et folk, où il est souvent utilisé pour créer des sons plus puissants et plus percussifs. Les guitaristes célèbres tels que Jimi Hendrix, Eric Clapton, Eddie Van Halen, Jimmy Page, Stevie Ray Vaughan, et bien d’autres ont tous utilisé des médiators pour jouer de la guitare.
Jimi Hendrix : « Je ne suis pas le meilleur joueur de guitare du monde, mais je suis assez bon pour savoir qu’un médiator peut faire une énorme différence dans le son que vous obtenez. J’utilise souvent des médiators en nylon pour jouer de la guitare électrique, car ils me donnent une attaque plus douce et plus souple. »
Eddie Van Halen : « Je suis très particulier sur les médiators que j’utilise pour jouer de la guitare. J’aime les médiators en métal avec des bords pointus pour une attaque plus nette et plus précise. Je peux vraiment sentir la différence quand j’utilise le bon médiator. »
John Mayer : « J’ai commencé à jouer de la guitare avec mes doigts, mais j’ai rapidement réalisé que j’avais besoin d’un médiator pour créer les sons que je voulais. J’utilise souvent des médiators en plastique plus épais pour une attaque plus puissante et plus percussive. »
Bonnie Raitt : « J’utilise des médiators en acier inoxydable pour jouer de la guitare slide. Ils sont très résistants et me permettent de jouer avec un peu plus de force sans me blesser les doigts. »
Mark Knopfler : « Je joue souvent de la guitare avec mes doigts plutôt qu’avec un médiator, mais j’utilise parfois des médiators en cuir pour créer un son plus doux et plus chaleureux. »
Ces témoignages montrent que les musiciens ont des préférences et des habitudes différentes en ce qui concerne l’utilisation du médiator. Certains préfèrent jouer avec leurs doigts, tandis que d’autres considèrent le médiator comme un outil indispensable pour obtenir le son qu’ils recherchent.
L’histoire du médiator
Le médiator est un petit accessoire en forme de triangle utilisé pour gratter les cordes d’une guitare, d’une basse ou d’un ukulélé. Aussi connu sous le nom de « plectre », le médiator est fabriqué dans une variété de matériaux, allant du plastique aux métaux précieux, et est disponible dans une gamme de tailles et d’épaisseurs pour répondre aux besoins de chaque musicien.
L’histoire du médiator remonte au début du 20e siècle, lorsque les guitaristes ont commencé à chercher des alternatives aux doigts nus ou aux ongles pour jouer de la guitare. Les premiers médiators étaient en fait des morceaux d’os, de corne ou de nacre, mais ont rapidement été remplacés par des matériaux plus modernes, tels que le celluloïd, qui était alors un matériau de pointe dans l’industrie de la musique.
Au fil des ans, de nombreuses marques de médiators ont émergé sur le marché, chacune offrant des caractéristiques uniques pour répondre aux besoins de chaque musicien. Voici quelques-unes des marques les plus connues dans le monde des médiators :
Dunlop : Fondée en 1965, la marque Dunlop est l’une des plus célèbres dans l’industrie des médiators. La marque propose une large gamme de médiators, allant des modèles en nylon standard aux modèles en Delrin, en ultex ou en gomme naturelle.
Fender : Fender est une marque de guitare bien connue, mais elle fabrique également des médiators de haute qualité. Les médiators Fender sont disponibles dans une gamme de tailles, d’épaisseurs et de matériaux, et sont connus pour leur qualité de fabrication supérieure.
Gibson : La marque Gibson est également célèbre pour ses guitares, mais fabrique également des médiators de qualité supérieure. Les médiators Gibson sont disponibles dans une gamme de matériaux, allant de l’acétate au celluloid, et sont connus pour leur durabilité et leur qualité sonore.
Jim Dunlop : Jim Dunlop est le fondateur de la marque Dunlop, mais fabrique également des médiators sous son propre nom. Les médiators Jim Dunlop sont fabriqués à partir de matériaux de haute qualité et sont connus pour leur durabilité et leur précision.
Clayton : La marque Clayton propose une gamme de médiators de qualité supérieure, allant des modèles en nylon standard aux modèles en acétate, en ultem ou en métal. Les médiators Clayton sont connus pour leur confort de jeu et leur sonorité exceptionnelle
En conclusion, le médiator est un petit accessoire essentiel pour tout guitariste, et les marques mentionnées ci-dessus sont toutes des choix de qualité pour les musiciens de tous niveaux et de tous styles musicaux. Quel que soit votre choix, il est important de trouver un médiator qui convient à votre style de jeu et à vos préférences personnelles, afin de tirer le meilleur parti de votre expérience musicale.
Le médiator, sa fabrication
Le processus de fabrication d’un médiator peut varier en fonction du matériau utilisé, du type de médiator et de la méthode de fabrication. Cependant, voici une description générale du processus de fabrication d’un médiator en plastique, qui est l’un des matériaux les plus couramment utilisés :
Préparation du matériau : Le plastique utilisé pour fabriquer les médiators est souvent fourni sous forme de feuille ou de bobine. Les feuilles sont découpées en bandes de la largeur voulue, puis ces bandes sont découpées en carrés ou en formes triangulaires.
Découpe : Les carrés ou les formes triangulaires sont découpés en médiators individuels à l’aide d’une presse de découpe spéciale. La presse est souvent équipée d’un moule en acier qui permet de découper les médiators à la forme et à la taille voulues.
Finition des bords : Les bords des médiators découpés peuvent être rugueux et avoir des bavures. Pour lisser les bords, les médiators peuvent être placés sur une machine à poncer qui les polit et les lisse.
Personnalisation : Si les médiators sont destinés à être personnalisés, cette étape peut être réalisée à l’aide d’une imprimante UV ou d’une machine de gravure laser. Les musiciens peuvent ainsi ajouter leur logo, leur nom ou leur image préférée sur le médiator.
Conditionnement et emballage : Les médiators sont ensuite triés en fonction de leur taille et de leur forme, puis emballés en vrac ou conditionnés dans des pochettes spéciales.
En somme, le processus de fabrication d’un médiator peut être relativement simple ou plus complexe en fonction du matériau et du type de médiator fabriqué. Cependant, la plupart des médiators sont fabriqués en utilisant une presse de découpe et une machine à poncer pour lisser les bords, avant d’être personnalisés et emballés pour la vente.
Le médiator personnalisé, une innovation récente
Le médiator personnalisé est une innovation relativement nouvelle dans le monde de la musique, qui permet aux musiciens de créer des médiators qui répondent exactement à leurs besoins individuels en termes de jeu de guitare. Les médiators personnalisés sont fabriqués à partir de matériaux de haute qualité, tels que du nylon, du Delrin ou de l’ultex, et sont disponibles dans une variété de tailles, de formes et d’épaisseurs.
Les médiators personnalisés offrent de nombreux avantages par rapport aux médiators standards. Tout d’abord, ils sont plus confortables à jouer, car ils sont spécialement conçus pour s’adapter à la taille et à la forme de la main du musicien. De plus, les médiators personnalisés peuvent être conçus pour offrir une réponse sonore spécifique, avec une attaque plus nette ou plus douce, une plus grande précision, ou encore une meilleure résistance à l’usure.
Pour créer un médiator personnalisé, un musicien peut utiliser un logiciel en ligne ou un service de fabrication spécialisé pour télécharger son design. Les designs peuvent inclure une variété d’éléments, tels que des images, des logos, des photos et des motifs personnalisés. Le musicien peut également choisir la taille, la forme et l’épaisseur du médiator en fonction de ses préférences.
Une fois que le design est finalisé, le médiator personnalisé est fabriqué à partir du matériau choisi et découpé selon les spécifications du design. Le processus de fabrication peut prendre quelques jours à plusieurs semaines, en fonction de la complexité du design et des matériaux utilisés.
Les médiators personnalisés sont populaires auprès des musiciens de tous niveaux, du débutant à l’expert. Les débutants peuvent trouver un médiator personnalisé qui leur convient parfaitement dès le début de leur apprentissage, ce qui peut améliorer leur technique et leur confort de jeu. Les musiciens plus avancés peuvent créer des médiators personnalisés pour répondre à des besoins spécifiques en termes de son et de jeu, et pour se démarquer de la foule.
Le médiator personnalisé est de fait, un outil précieux pour les musiciens qui cherchent à améliorer leur confort de jeu et leur son, tout en exprimant leur personnalité artistique. Les médiators personnalisés sont de plus en plus populaires, et leur disponibilité en ligne et en magasin spécialisé rend cette innovation accessible à tous les musiciens, quels que soient leur niveau et leur style musical.
Voici quelques citations de musiciens qui utilisent des médiators personnalisés :
Eddie Van Halen : « Je suis très pointilleux sur les médiators que j’utilise pour jouer de la guitare. J’ai même conçu mes propres médiators en collaboration avec la société Dunlop pour obtenir exactement le son que je recherchais. »
John Mayer : « J’utilise des médiators personnalisés depuis des années. Je préfère des médiators en plastique plus épais avec une surface texturée pour une attaque plus puissante et plus précise. »
Billy Gibbons (ZZ Top) : « Je joue avec un médiator personnalisé en os depuis des années. J’aime la façon dont il se sent dans ma main et la façon dont il sonne sur les cordes de ma guitare. »
Mark Tremonti (Alter Bridge) : « Je préfère des médiators personnalisés plus larges pour une meilleure prise en main et un meilleur contrôle de mes attaques. J’utilise souvent des médiators en nylon personnalisés avec une surface texturée pour une adhérence supplémentaire. »
Ces citations montrent que les musiciens sont très passionnés par leurs médiators personnalisés et qu’ils sont prêts à investir du temps et de l’argent pour trouver le médiator parfait pour leur son et leur style de jeu. Les médiators personnalisés offrent aux musiciens un moyen de se connecter encore plus étroitement avec leur instrument et de créer un son unique et personnel.
La fabrication d’un médiator personnalisé peut varier en fonction du fabricant et de la méthode de personnalisation utilisée. Voici cependant un aperçu général du processus de fabrication d’un médiator personnalisé :
Conception : Le premier pas pour fabriquer un médiator personnalisé consiste à concevoir la forme, la taille et les caractéristiques du médiator. Le musicien peut concevoir son médiator personnalisé en utilisant un logiciel de conception assistée par ordinateur (CAO), en dessinant à la main ou en envoyant des spécifications à un fabricant de médiators personnalisés.
Choix des matériaux : Le musicien peut également choisir les matériaux à utiliser pour son médiator personnalisé. Les médiators personnalisés peuvent être fabriqués à partir de divers matériaux tels que le plastique, le métal, le bois et même l’ivoire végétal.
Prototypage : Une fois que le design est finalisé, le fabricant de médiators personnalisés peut créer un prototype pour vérifier que le médiator fonctionne correctement et que sa forme et sa taille sont conformes aux spécifications du musicien. Ce prototype peut être créé en utilisant une imprimante 3D ou en sculptant à la main.
Production : Après la validation du prototype, le fabricant peut commencer la production en série du médiator personnalisé. Les médiators sont généralement produits en utilisant des presses de découpe ou des machines à commande numérique qui peuvent découper les médiators à la forme et à la taille voulues.
Personnalisation : La personnalisation est généralement réalisée à l’aide d’une imprimante UV ou d’une machine de gravure laser. Les musiciens peuvent ainsi ajouter leur logo, leur nom ou leur image préférée sur le médiator.
Finition : Après la personnalisation, le médiator personnalisé est souvent poncé pour lisser les bords et éliminer toute rugosité ou bavure.
Conditionnement et emballage : Les médiators personnalisés sont ensuite triés en fonction de leur taille et de leur forme, puis emballés dans des pochettes spéciales ou dans des boîtes personnalisées pour la vente.
En somme, la fabrication d’un médiator personnalisé implique des étapes supplémentaires de conception et de personnalisation par rapport à la fabrication d’un médiator standard, mais elle suit généralement un processus similaire de production en série et de finition.
Le médiator personnalisé, en bref
Le médiator personnalisé est de plus en plus populaire auprès des musiciens car il offre la possibilité d’avoir un outil de jeu unique et adapté à ses préférences individuelles. Un médiator personnalisé peut être fabriqué à partir de matériaux spécifiques, tels que des métaux, des plastiques, des bois exotiques, des cornes animales ou même des matériaux composites.
La forme et la taille du médiator peuvent également être personnalisées pour s’adapter à la main et au style de jeu du musicien. Certains musiciens préfèrent des médiators plus larges pour une meilleure prise en main, tandis que d’autres préfèrent des médiators plus minces pour une attaque plus rapide et plus précise.
Enfin, la texture de la surface du médiator peut également être personnalisée pour offrir une meilleure adhérence ou une meilleure résistance à l’usure. Certains musiciens choisissent des médiators avec des surfaces lisses, tandis que d’autres préfèrent des médiators avec des surfaces texturées pour une meilleure accroche.
En somme, l’utilisation d’un médiator personnalisé peut offrir un certain nombre d’avantages pour un musicien, notamment en termes de confort, de son et de technique de jeu. Cependant, il est important de noter que les préférences en matière de médiator peuvent varier considérablement d’un musicien à l’autre et qu’il est important de trouver le médiator qui convient le mieux à son propre style de jeu.
Eric CANTO Photographe : Photos de concerts, portraits, pochettes d’albums.
Man Ray, peintre, photographe surréaliste et réalisateur du XXe siècle a toujours la côte.
Man Ray (1890-1976) était un artiste américain qui a marqué l’histoire de l’art du XXe siècle. Né sous le nom d’Emmanuel Radnitzky à Philadelphie, Man Ray a grandi à Brooklyn avant de déménager à Manhattan pour poursuivre une carrière d’artiste. Il a été actif dans de nombreux mouvements artistiques, notamment le dadaïsme et le surréalisme.
Man Ray est surtout connu pour ses photographies expérimentales, qui ont repoussé les limites de l’art photographique de l’époque. Il a notamment inventé une technique appelée « rayographie », qui consiste à créer des images sans appareilphoto en plaçant des objets directement sur du papier photo sensible à la lumière.
Man Ray a également travaillé dans d’autres domaines de l’art, comme la peinture, le dessin, la sculpture et le cinéma. Il a travaillé avec de nombreux artistes et personnalités célèbres de son époque, notamment Marcel Duchamp, Salvador Dali et Coco Chanel.
Man Ray a passé la majeure partie de sa carrière en Europe, principalement à Paris, où il est devenu une figure centrale de la vie artistique de la ville. Il a créé de nombreuses œuvres d’art importantes et influentes au cours de sa carrière, qui ont eu un impact significatif sur l’art moderne et contemporain
Le 2 mai 2022, son Violon d’Ingres (1924) s’est vendu aux enchères 12 millions d’euros. Cette photographie devient la plus chère vendue au monde, démontrant l’engouement des collectionneurs du XXIe siècle pour les œuvres surréalistes.
Les 28 et 29 juin 2022, soit quarante-cinq ans après sa mort, de nouvelles enchères ont eu lieu à l’Hôtel Drouot, à Paris avec environ 200 lots de photographies, objets et lithographies signés pour la plupart de l’auteur.
Retour sur cet artiste hors du commun en 6 points.
Man Ray
Qui est Man Ray ?
Artiste américain, Man Ray est le pionnier de la peinture moderne, surréaliste, du cinéma et de la photographie. Connu pour ses photos noir et blanc, comme le Violon d’Ingres (1924) et Larmes (1930-1932), son style onirique est caractéristique du mouvement dadaïste.
Man Ray dédie son activité principalement à la photographie, en redécouvrant la solarisation (procédé permettant d’accentuer les contours par des lignes noires) et en utilisant la technique du rayogramme (silhouettes abstraites d’objets).
Dans les années 20, il réalise également quelques films courts-métrages comme le Retour à la raison en 1923 et l’Etoile de mer en 1928.
Pour lui, la technique et l’instrument sont accessoires. Seuls comptent l’œil et l’idée. André Breton le surnomme « L’homme à tête de lanterne magique » et Man Ray dit de lui:
« Quand j’ai vu que j’étais attaqué de toute part, j’ai su que j’étais sur le bon chemin. » Man Ray.
Quelles sont les œuvres les plus connues de Man Ray ?
The Lovers (Les Amants), huile sur toile, 24,7 × 35,2 cm (1914)
Autoportrait, assemblage (1916)
Danseuse de corde s’accompagnant de son ombre (1916)
Marcel Duchamp en Rose Sélavy (1921)
Le Cadeau(1921) – sculpture dans l’esprit ready-made
The Fisherman’s Idol, 1926, morceaux de liège récupérés sur la plage de Biarritz puis assemblés
Lee Miller(1930) – portrait
Autoportrait, photographie obtenue à partir d’une solarisation (1931)
Glass Tears(1932) – portrait
Les Mains libres, dessins pour des poèmes de Paul Éluard, Jeanne Bucher, Paris (1937)
Le Rébus, huile sur toile, 55 × 46 cm, Paris (1938)
Les Vingt jours et nuits de Juliette (1952)
Où est né Man Ray ?
Man Ray, naît Emmanuel Radnitsky le 27 août 1890 dans le sud de Philadelphie, en Pennsylvanie.
Surnommé « Manny, il est l’aîné d’une fratrie, Sam son frère, Dorothy et Essie ses deux sœurs. Sa famille est juive ashkénaze d’origine russe. Il est l’oncle de Naomi Savage, photographe américaine (1927-2005).
Son père tient un atelier de confection tandis que sa mère est couturière.
Man Ray a grandi à Brooklyn, dans la ville de New York, et a commencé à dessiner et à peindre à un jeune âge. Il a fréquenté la Boys High School, une école publique de Brooklyn, où il a étudié l’art. Après avoir obtenu son diplôme, il a travaillé comme illustrateur et dessinateur de publicité pour diverses agences de New York.
Il commence des études d’architecture avant de se tourner vers l’art. Son éducation est déterminante dans le choix de sa voie artistique et son engouement pour l’innovation. Pour lui, caméra, pinceaux, machine à écrire, appareil photo, sont tous des instruments égaux et équivalents.
Dans les années 1910, Man Ray a commencé à fréquenter le cercle d’artistes de Greenwich Village, un quartier de Manhattan connu pour sa vie culturelle et artistique. Il a commencé à s’intéresser à l’art moderne et expérimental, et a commencé à expérimenter avec la photographie. C’est à cette époque qu’il a rencontré Marcel Duchamp et Francis Picabia, deux artistes qui allaient devenir des amis proches et des collaborateurs de Man Ray.
Très tôt, Man Ray fréquente les milieux avant-gardistes.
En 1912, la famille change son nom, en réaction à l’antisémitisme de l’époque. Les Radnitzky deviennent les Ray. « Manny » devient « Man ».
Quelles sont les dates clés de la vie de Man Ray ?
Man Ray, son début de carrière à New-York
La carrière de Man Ray débute à New York , en 1911, dans la Galerie 291 du photographe Alfred Stieglitz, puis chez un graveur, puis dans la publicité et chez un éditeur de cartes comme dessinateur.
Il rencontre Marcel Duchamp en 1915 dans le cadre de ses fréquentations avant-gardistes. Avec son acolyte, ils sont les représentants de la branche américaine du dadaïsme.
En effet, en 1915, Man Ray a déménagé à Ridgefield, dans le New Jersey, où il a ouvert son propre studio photographique. Il a rapidement acquis une réputation pour ses photographies expérimentales, qui utilisaient des techniques telles que le surréalisme et le photogramme (une technique de photographie sans caméra). Il a également commencé à travailler sur des œuvres de collages et d’objets trouvés.
Avec la naissance du mouvement intellectuel, littéraire et artistique Dada (mouvement anticonformiste et anti conventionnel) en 1916, il trouve un sens à son art. Le mouvement dadaïste a des adeptes à Paris, New-York, Berlin et Cologne. Le mot « dada » ne signifie rien, mais désigne le « néant absolu », cette volonté de lutter contre l’absurdité de la guerre, et la volonté de détruire l’art et la littérature conventionnels.
C’est en 1917 qu’il publie ses premières œuvres variant de la peinture (telles que Aérographes, peinture au pistolet, 1917) à la photographie, qui restent infructueuses.
Face à cet échec, il déclare « Dada ne peut pas vivre à New-York », et décide de s’envoler pour Paris.
En 1921, Man Ray a quitté New York pour s’installer à Paris, où il a poursuivi sa carrière artistique et est devenu un membre important de la communauté artistique de la ville. Cependant, ses premières années à New York ont été très formatrices pour sa pratique artistique, et ont contribué à façonner sa vision et son style artistique.
Man Ray poursuit sa carrière à Paris
Il débarque à Paris en juillet 1921, à l’âge de 30 ans, et s’installe chez Marcel Duchamp.
Très rapidement, il rencontre les artistes surréalistes parisiens que sont Louis Aragon, André Breton, Paul Eluard… mais surtout Kiki de Montparnasse, chanteuse de modèle français, qui devient sa compagne, son modèle et sa muse.
Il se lance dans la photographie de mode et dès 1922, ses portraits sont publiés dans Vanity Faire et commence dès 1924 à collaborer avec Vogue.
Man Ray et la mode
En 1924, toujours, il contribue aux publications surréalistes et publie également l’un de ses chefs d’œuvres le Violon d’Ingres.
Sa première exposition a lieu dans la Galerie Pierre à Paris en 1925.
En 1929, Man Ray démarre un travail avec Lee Miller qui devient son assistante et sa compagne, jusqu’en 1932. Ensemble ils développent la technique de solarisation.
Il tourne également « Les Mystères du Château des Dés » dans la villa Noailles à Hyères. Ce film est dédié à la maîtresse des lieux.
En 1931, il réalise Electricité, album photographique destiné à promouvoir la modernité de l’usage domestique de l’électricité.
Pendant vingt ans, l’artiste révolutionne l’art photographique et beaucoup de grands noms du milieu artistique comme Jean Cocteau, Meret Oppenheim (dont les photographies de nus deviendront une série très célèbre), James Joyce poseront sous son objectif.
Il adore peindre le corps féminin. Les femmes ont toujours été très présentes dans son travail ainsi que dans son existence. Sa vie artistique et sa vie amoureuse sont presque impossibles à démêler, toutes deux sources de création.
Un véritable échange existe avec ses modèles. Certaines étaient des muses, comme Kiki de Montparnasse, Nush Eluard, Juliet Browner… D’autres étaient des confrères comme Lee Miller et Dora Maar. Chaque relation lui apportait une nouvelle source d’inspiration et un point de vue différent.
En 1933, il participe au Salon des sur-indépendants avec ses amis surréalistes.
En 1934, il rencontre sa nouvelle jeune compagne Adrienne Fidelin, de plus de 20 ans sa cadette, qui prend le nom de Ady Fidelin. Leur idylle durera 5 ans.
Man Ray et Adrienne
En 1937, il publie avec André Breton le manifeste La photographie n’est pas l’art.
Ses années parisiennes intenses artistiquement finissent par se terminer avec la 2eme guerre mondiale, car, inquiété par la défaite de la France et ses origines juives, il décide de retourner aux Etats-Unis en compagnie de Salvador Dali.
Man Ray retourne aux Etats-Unis
En 1940, Man Ray s’installe à Hollywood, Los Angeles, en Californie avec Salvador Dali et René Clair (cinéaste). C’est là qu’il renoue avec la peinture, reçoit des propositions d’expositions et rencontre Juliet Browner, danseuse et mannequin, dans un night club. Il l’épouse en 1946. Elle devient Juliet Man Ray.
Man Ray est retourné aux États-Unis après avoir passé la majeure partie de sa carrière à Paris pour des raisons personnelles et professionnelles.
Sur le plan personnel, Man Ray avait des liens forts avec sa famille et ses amis aux États-Unis, et il a maintenu des contacts avec eux tout au long de sa vie. En outre, sa femme Juliet Browner, qu’il avait rencontrée à Paris, était originaire de Los Angeles, et ils ont finalement décidé de s’installer là-bas.
Sur le plan professionnel, Man Ray avait de nombreuses opportunités aux États-Unis, notamment en tant que photographe pour l’industrie du cinéma. Il a travaillé sur plusieurs films à Hollywood dans les années 1940, notamment en tant que photographe de plateau pour des films tels que « The Enchanted Cottage » et « Julie » (tous deux sortis en 1945).
Man Ray a également exposé ses œuvres aux États-Unis et a reçu de nombreuses commandes pour des portraits de personnalités telles que Salvador Dali et Igor Stravinsky.
Cependant, Man Ray a continué à voyager et à travailler en Europe même après son retour aux États-Unis. Il est retourné en France à plusieurs reprises, et il a également travaillé en Italie, en Espagne et en Angleterre. Finalement, il est revenu à Paris et y a passé les dernières années de sa vie avant de décéder en 1976
C’est durant ces années californiennes, il expérimente la photographie en couleurs, peint des sculptures mathématiques découvertes en 1930 et réalise son portrait rayographique.
rayographie
“Je photographie ce que je ne désire pas peindre, et je peins ce que je ne peux pas photographier.”
Man Ray finit sa vie à Paris
Il retourne à Paris en 1951, installe son atelier au 2 bis rue Ferou et devient Satrape du Collège de Pataphysique en 1963.
En 1963, il publie son autobiographie Self Portrait.
En 1966, il reçoit le prix culturel de la Société allemande de photographie et en 1974, la médaille du progrès de la Royal Photographic Sociéty.
Man Ray meurt d’une infection pulmonaire le 18 novembre 1976 à l’âge de 86 ans.
Il est inhumé au Cimetière du Montparnasse et sa tombe porte l’épitaphe « Unconcerned, but not indifferent » (« Détaché, mais pas indifférent »).
Sa tombe est profanée en mars 2019 à cinq reprises. Le médaillon représentant le couple ainsi que la stèle de son épouse (Juliet Man Ray née Browner 1911-1991) sont détruits.
En hommage à l’artiste, Michel Berger lui consacre en 1990 une chanson « Chanson pour Man Ray » sur son album Ca ne tient pas debout, et un restaurant Parisien dans le 8e arrondissement porte son nom.
Man Ray était un artiste profondément novateur qui voulait ardemment révolutionner l’art. Ancré dans le dada puis profondément dans le surréalisme, le photographe et peintre américain a nourri son art des deux mouvements.
Ses créations font écho à son état intérieur, ses œuvres devenant catharsis. Il dépeint ce qu’il voit, ce qu’il pense et ce qu’il désire.Man Ray et ses amis artistes ont sans aucun doute redonné vie à Paris, libérant l’art de ses carcans traditionnels.
May Ray, sa vie de famille
Man Ray a vécu une vie personnelle assez mouvementée, marquée par des relations compliquées et des événements tragiques.
En 1921, Man Ray s’est marié avec la danseuse et modèle belge Adon Lacroix, mais leur mariage a été de courte durée et ils ont divorcé peu de temps après. En 1929, Man Ray s’est remarié avec la chanteuse et actrice américaine Juliet Browner, qui était originaire de Los Angeles. Le couple s’est installé à Paris, où ils ont vécu pendant plusieurs années avant de retourner aux États-Unis en 1940.
Le couple a eu une fille, nommée Julie, qui est née en 1940 à Los Angeles. Julie a été diagnostiquée avec une paralysie cérébrale sévère, ce qui a été un défi pour la famille. Man Ray a consacré beaucoup de temps et d’énergie à s’occuper de sa fille, qui est décédée en 1956 à l’âge de 16 ans.
En 1947, Juliet a donné naissance à un autre enfant, une fille nommée Daphne, qui est devenue elle aussi une artiste. Daphne a écrit une biographie de son père intitulée « Man Ray: An American Artist in Paris », qui a été publiée en 1998.
Malgré les difficultés personnelles qu’il a rencontrées, Man Ray a maintenu des relations étroites avec sa famille et ses amis tout au long de sa vie. Il est resté en contact avec son frère, qui était médecin à New York, et avec de nombreux artistes et écrivains de renom.
La Photographie n’est pas l’art : 12 photographies, Paris, Éd. GLM, 1937, avec un avant-propos d’André Breton, Convulsionnaires.
Alphabet for adults, Beverly Hills, California, Copley Galleries, 1948.
Photographs-Portraits, Paris, Édition Prisma.
Self Portrait, Londres, André Deutsch, 1963 ; Autoportrait, traduit de l’américain par Anne Guérin, Paris, Robert Laffont, 1964 ; réédité chez Seghers, 1986.
Ses œuvres sont exposées dans de nombreux musées et galeries du monde entier. Voici quelques exemples de lieux où vous pourriez voir des œuvres de Man Ray :
Le Centre Pompidou à Paris, France : le Centre Pompidou est l’un des musées d’art moderne et contemporain les plus importants au monde, et il possède une importante collection d’œuvres de cet artiste.
Le Museum of Modern Art (MoMA) à New York, États-Unis : le MoMA est un musée d’art moderne et contemporain qui possède également une collection importante d’œuvres de l’artiste, notamment ses photographies expérimentales.
La Tate Modern à Londres, Royaume-Uni : la Tate Modern est un musée d’art moderne et contemporain qui possède également des œuvres de Man Ray, notamment ses photographies, ses objets et ses films expérimentaux.
Le Musée national d’art moderne de Tokyo à Tokyo, Japon : ce musée possède une importante collection d’art moderne et contemporain.
Le Musée national d’art moderne et contemporain d’Alger à Alger, Algérie : ce musée possède une importante collection d’art moderne et contemporain..
Il existe également de nombreuses autres galeries et musées dans le monde entier qui exposent des œuvres de Man Ray. Les expositions temporaires sont également organisées régulièrement dans ces lieux.
Atelier Man Ray. Unconcerned but not indifferent, Pinacothèque de Paris, du 5 mars au 1erjuin 2008
Man Ray, vues de l’esprit, Musée Toulouse-Lautrecet Médiathèque Pierre-Almaric, Albi, du 8 octobre 2018 au 5 janvier 2019
Man Ray et la mode, Musée Cantini, du 8 novembre 2019 au 8 mars 2020.
Eric CANTO Photographe : Photos de concerts, portraits, pochettes d’albums.
Le Festival de Nîmes est de retour pour une nouvelle édition explosive en 2023 ! Avec une programmation qui s’annonce des plus prometteuses, les amoureux de musique rock vont être comblés.
Des artistes renommés se produiront sur la scène mythique de l’amphithéâtre romain de Nîmes, offrant aux festivaliers des performances mémorables. Les têtes d’affiche sont déjà annoncées.
Mais le Festival de Nîmes ne se résume pas seulement à ses artistes légendaires. L’ambiance qui règne sur le site est également une expérience à part entière. La ville de Nîmes, chargée d’histoire, offre un cadre unique pour les festivaliers qui pourront se plonger dans une ambiance rock’n’roll et festive. Les bars et restaurants de la ville s’animent également durant la période du festival pour accueillir les visiteurs venus du monde entier.
Les équipes de production travaillent d’arrache-pied pour que le Festival de Nîmes soit un événement inoubliable, avec une scénographie impressionnante et des effets spéciaux à couper le souffle. Les festivaliers pourront également profiter de stands de merchandising pour repartir avec un souvenir de leur passage au festival.
Alors préparez-vous à vivre une expérience inoubliable au Festival de Nîmes 2023 ! Des billets sont disponibles en ligne, et nous vous invitons à vous dépêcher pour ne pas manquer l’un des événements rock les plus prestigieux de l’année.
Voici donc pour sa 26ème édition, la présentation du Festival de Nîmes en 6 points.
Le festival Nîmes 2023, un événement incontournable du Sud de la France
Comme chaque année, depuis 1997, le Festival de Nîmes 2023 réunit de nombreux artistes de la scène nationale et internationale dans un lieu empreint d’histoire que sont les Arènes de Nîmes.
Le Festival de Nîmes se déroule entre les mois de juin et juillet, et il met en avant des artistes de différents genres musicaux, tels que le rock, le reggae, le hip-hop, la pop et la musique électronique. Les concerts ont lieu dans des sites historiques de la ville, notamment l’amphithéâtre romain de Nîmes, qui peut accueillir jusqu’à 24 000 spectateurs.
C’est la société Adam concerts qui organise le Festival de Nîmes 2023. En 2023, pour sa 26ème édition, le festival de Nîmes se déroulera du 23 juin au 22 juillet.
Depuis plus de vingt ans, le Festival de Nîmes propose une programmation riche, offrant à des milliers de festivaliers des spectacles musicaux inoubliables dans un cadre exceptionnel.
Le Festival de Nîmes est devenu un événement majeur dans le calendrier estival français et attire chaque année des milliers de visiteurs qui viennent profiter de la musique, de l’histoire et de la culture de la ville de Nîmes.
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Le festival de Nîmes 2023 propose un programme qui réunit les plus grands noms de la musique.
Des artistes français les plus connus (Johnny Hallyday et les vieilles canailles, Kenji Girac, Michel Polnareff, Renaud, Patrick Bruel, Matthieu Chedid…) aux plus belles révélations musicales (Stromae, Saka Ponk, Angele, Maître Gim’s…) en passant par le métal (Slipknot,Rammstein, Metallica…), les plus grandes stars internationales (Placebo, Foo Fighters, Bjork, Lenny Kravitz, Arcade Fire, Red Hot chilly Peppers…) et les grandes légendes de la musique (Sting, Kiss, Santana, Daft Punk, Slash, Radiohead, David Bowie…), les concerts investissent les Arènes et rassemblent en un seul lieu tous les goûts musicaux.
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Un partage large et riche entre les nouveaux talents et des stars mythiques de la musique pour vivre une expérience folle dans ce lieu mythique.
Le festival de Nîmes 2023, un cadre exceptionnel
Les arènes de Nîmes sont situées au cœur de la commune de Nîmes, une ancienne citée prospère sous l’Empire Romain,Nemausus, qui, aujourd’hui est la préfecture du département du Gard, en Occitanie, dans le sud de la France.
Nîmes était une ville importante au temps de l’Empire romain. Elle est connue pour ses monuments bien conservés, tels que la Maison Carrée, La Tour Magne ou encore le Temple de Diane.
L’ amphithéâtre de Nîmes, conçu pour le spectacle est communément appelé « Arènes de Nîmes ». Ce nom provient de son origine latine « arena » qui signifie aire de sable où se déroulent les courses ; et fait partie des plus grands amphithéâtres de la Gaule Romaine les mieux conservés du monde antique.
La qualité de conservation du site antique des Arènes de Nîmes, fait de ce lieu, un endroit idéal pour accueillir une foule de spectateurs, sous un ciel étoilé, dans le cadre d’un festival de musique, celui du Festival de Nîmes,
Festival de Nîmes 2023
En effet, les Arènes, construction architecturale classée monument historique conçue vers 100 après J.C sous le règne de l’Empereur Auguste, sont utilisées pour de multiples événements culturels tels que concerts, pièces de théâtres, manifestations sportives, ou encore corridas pendant les férias. Le système de galeries et d’escaliers (appelés vomitoires) a été pensé pour éviter les bousculades et faciliter la circulation des presque 14 000 spectateurs pouvant être accueillis.
Quelles sont les meilleures places aux Arènes de Nîmes ?
Quelque soit votre emplacement, vous aurez une vue magnifique. Mais, il faut savoir que, plus vous serez placés dans le bas des gradins, plus vous serez proches de(s) artiste(s) et de la scène. En définitive, si vous souhaitez être proches de la scène, assis, optez pour la catégorie 1 ou carrément le carré Or. Ces emplacements ont un prix plus élevé.
Pour vivre une expérience plus forte, au cœur de l’ambiance, debout, assez proches de la scène, dans la fosse, emportés par la foule, optez pour la catégorie 3. Quelquefois pour certains spectacles, la fosse est aussi occupée par des sièges. Les places, sont alors vendues en catégorie 1 ou carrée or (pour les 1ers rangs)
Festival de Nîmes 2023
Pour ceux, dont les moyens sont un peu plus limités et qui ne veulent pas être debout dans la fosse, alors choisissez des places dites « en général » avec placement libre c’est- à -dire en catégorie 2 (places choisies). Elles seront situées aux points les plus hauts.
Pour finir, un conseil toutefois, évitez les places de catégorie 4, c’est-à- dire, celles situées sur le côté de la scène. Ces emplacements, sont certes situés à la même hauteur que celles de catégorie 1, mais la vue est clairement moins bonne. En effet, même si vous êtes bien placés, les structures de la scène peuvent vous empêcher visuellement, de profiter pleinement du spectacle, et vous serez surexposés aux décibels! Si vous êtes sensibles aux ondes sonores, équipez vous de bouchons d’oreille ou d’un casque.
Le festival de Nîmes 2023, une programmation éclectique !
Depuis longtemps, la plupart des festivals culturels se déroulent dans le sud de la France dans toutes les disciplines: théâtre, musique, danse, street art …
Festival de Nîmes 2023
Dans cette architecture incroyable, le Festival de Nîmes, lieu unique et magique, propose un savant mélange de musiciens, d’artistes mythiques, internationaux, nationaux, ou encore stars de demain.
Festival de Nîmes 2023, la programmation annoncée, à ce jour, est la suivante :
23 juin 2023, DAMSO (ouverture de la billetterie le 16 décembre 2022)
24 juin, MATT POKORA / JENIFER (ouverture de la billetterie le 17 décembre 2022)
25 juin 2023, SIMPLY RED / SELAH SUE (ouverture de la billetterie le 15 décembre 2022)
27 juin 2023, SLIPKNOT (ouverture de la billetterie le 02 décembre 2022)
29 juin 2023, SOPRANO (ouverture de la billetterie le 08 décembre 2022)
30 juin 2023, FLORENT PAGNY / ZAZIE (ouverture de la billetterie le 16 décembre 2022)
01 juillet 2023, DAMIEN SAEZ, la symphonie des siècles (ouverture de la billetterie le 01 février 2023)
02 juillet 2023, GOJIRA (ouverture de la billetterie le 16 décembre 2022)
04 juillet 2023, THE BLACK KEYS / SPOON (ouverture de la billetterie le 15 décembre 2022)
06 juillet 2023, PLACEBO (ouverture de la billetterie le 23 décembre 2022)
08 juillet 2023, MICHEL POLNAREFF (ouverture de la billetterie le 16 novembre 2022)
09 juillet 2023, STARS 80 (ouverture de la billetterie le 28 novembre 2022)
10 juillet 2023, SAM SMITH (ouverture de la billetterie le 09 décembre 2022)
12 juillet 2023, LOMEPAL (ouverture de la billetterie le 24 novembre 2022)
13 juillet 2023, ARTIC MONKEYS / WILLIE J HEALEY (ouverture de la billetterie le 14 décembre 2022)
14 juillet 2023, LUDOVICO EINAUDI (ouverture de la billetterie le lundi 16 janvier 2023)
15 juillet 2023, SIGUR ROS / CHILLY GONZALES (ouverture de la billetterie le 14 décembre 2022)
16 juillet 2023, CHRISTOPHE MAE (ouverture de la billetterie le 28 novembre 2022)
19 juillet 2023, DJADJA & DINAZ (ouverture de la billetterie le 09 décembre 2022)
21 juillet 2023, LOUISE ATTAQUE (ouverture de la billetterie le 30 septembre 2022)
23 juillet 2023, GIMS ET DADJU (ouverture de la billetterie le 02décembre 2022)
Mais peut-être que de nouvelles dates seront annoncées dans les prochains jours…
Festival de Nîmes 2023
Tous les concerts sont également disponibles sur l’application @passcultureofficiel.
La billetterie est ouverte, mais pour plus d’informations, restez connectés !
Accès autoroutiers : A 54 en provenance d’Arles, Marseille, Côte d’Azur, Italie // A 7 en provenance d’Avignon, Valence, Lyon // A 9 en provenance de Montpellier, Narbonne, Perpignan, Espagne
Festival de Nîmes 2023
Où se loger pour aller au Festival de Nîmes 2023?
Entre hôtels, locations Airbnb, de nombreuses possibilités sont proposées. Pensez à regarder sur les communes à proximité de Nîmes, comme Lunel, Vergèze, Baillargues, desservies par le TER à moins de 15 min.
Il existe de nombreuses options d’hébergement pour les visiteurs qui souhaitent assister au festival. Nîmes est une ville touristique populaire, donc les hôtels, les appartements de vacances, les chambres d’hôtes et les campings peuvent être réservés rapidement. Il est recommandé de réserver votre hébergement dès que possible, surtout si vous prévoyez de visiter Nîmes pendant la haute saison touristique.
Voici quelques suggestions pour se loger à proximité des sites du Festival de Nîmes :
Les hôtels situés dans le centre-ville de Nîmes offrent un accès facile aux sites du festival, ainsi qu’aux restaurants et aux bars de la ville. Il y a des hôtels pour tous les budgets, allant des hôtels économiques aux hôtels de luxe.
Les appartements de vacances sont une option populaire pour les visiteurs qui souhaitent avoir plus d’espace et d’intimité pendant leur séjour. Il y a de nombreux sites de réservation en ligne, tels que Airbnb et HomeAway, qui proposent des appartements à Nîmes.
Les campings sont également une option pour les visiteurs qui souhaitent être en contact avec la nature. Il y a plusieurs campings situés dans la région de Nîmes, offrant des installations modernes et un accès facile aux sites du festival.
Il est recommandé de vérifier la distance entre votre lieu d’hébergement et les sites du festival, afin de planifier votre trajet et de vous assurer que vous pouvez facilement vous rendre aux concerts.
Où se garer pour aller au Festival de Nîmes 2023?
Le stationnement à Nîmes peut être un peu difficile pendant les périodes de forte affluence, notamment lors du Festival de Nîmes, qui attire de nombreux visiteurs chaque année. Cependant, il y a plusieurs options de stationnement disponibles dans la ville pour les visiteurs qui se rendent aux concerts.
De fait, Il est facile de stationner à proximité des Arènes, puisque des parkings souterrains sont situés tout autour et dès la Gare Feuchères, située à quelques dizaines de mètres de l’édifice.
Les parkings publics : Il y a plusieurs parkings publics situés à proximité des sites du Festival de Nîmes, tels que le parking des Arènes, le parking du Colisée et le parking de la Maison Carrée. Ces parkings sont généralement payants, avec des tarifs horaires ou quotidiens. Il est recommandé de vérifier les tarifs et les heures d’ouverture à l’avance pour éviter les mauvaises surprises.
Le stationnement dans la rue : Il est possible de trouver des places de stationnement gratuites ou payantes dans les rues autour des sites du festival. Cependant, ces places sont souvent prises rapidement, surtout pendant les périodes de forte affluence.
Le covoiturage : Si vous voyagez avec des amis ou en famille, le covoiturage peut être une option pratique et économique pour se rendre au Festival de Nîmes. Vous pouvez partager les frais de stationnement et diviser le coût de l’essence entre les passagers.
Il est important de noter que la circulation peut être dense pendant les périodes de pointe, donc il est recommandé d’arriver tôt pour éviter les embouteillages et pour avoir suffisamment de temps pour trouver une place de stationnement
Retrouvez toutes les informations sur les parkings sur le site de l’Office du Tourisme de la Ville de Nîmes → https://www.ot-nimes.fr/ (Onglet « Pratique » → « Parkings »). Le + proche étant le parking des Arènes !
Focus sur quelques têtes d’affiche du Festival de Nîmes 2023
Festival de Nîmes 2023
SLIPKNOT:
The End, So Far , à l’origine The End, for Now… , est le septième album studio du groupe mythique de heavy metal américain Slipknot, connu pour son image saisissante (masques et combinaisons), sa musique forte de nu metal et ses performances scéniques incroyables.
The End, So Far est aussi leur dernier album avec Roadrunner. Il était initialement prévu pour une date de sortie printemps/été 2022, mais a finalement été publié le 30 septembre 2022.Slipknot a confirmé que cela serait leur dernier album.
GOJIRA : Tirant son nom de la prononciation japonaise originale de Godzilla, le quatuor de death metal français Gojira est passé de la plus grande obscurité au cours de la première moitié de sa carrière à une reconnaissance mondiale, nommé deux fois aux Grammy Awards en 2017. Leur dernier et 7e album Fortitude est de loin leur meilleur d’après les critiques.
ARTIC MONKEYS : Ce groupe de rock britannique formé en 2002, a conquis le public au niveau international avec ses tubes comme « Fluorescent Adolescent » « Do I wanna Know ». Depuis leur premier album sorti en 2006 « Whatever People Say I Am, That’s What I’m Not », le groupe Artic Monkeys est devenu très populaire pour preuve, il a remporté 7 Brit Awards, a été nommé trois fois aux Grammy Awards. et a remporté le Mercury Prize en 2006 pour leur premier album,.
CHILLY GONZALES : auteur, compositeur interprète, ce musicien de jazz canadien est citoyen français. Artiste atypique, il propose des shows à la fois intimistes et drôles.
Pianiste hors-pair, il compte à son actif de nombreux albums studio, dont Solo Piano III – Gentle Threat en 2018, A very chilly Christmas – Gentle Threat en 2020, ainsi que des musiques « Earworms » comme Gogol, Overnight, Knight Moves, Oregano…
Il a collaboré avec de nombreux artistes tels que Daft Punk, Jane Birkin, Drake, Feist… endossé le rôle d’acteur dans différents films comme Je crois que je t’aime de Pierre Jolivet en 2007, Gainsbourg vie héroïque, de Joann Sfar en 2010… composé les musiques originales de Je crois que je t’aime de Pierre Jolivet, Ivory Tower d’Adam Traynor en 2010 ou encore de An Ordinary Man de Brad Silberling sorti en 2017.
Festival de Nîmes 2023
SIMPLY RED : groupe de pop britannique fondé au début de l’année 1985, Simply Red est un des rares groupes de soul à avoir vendu plus de 60 millions d’albums dans le monde. Son leader Mick Hucknall, chanteur du groupe en est le représentant.
Leurs singles « If you don’t know me by now », « Stars », “Holding back the years” “for your babies” “Something Got Me Started’ sont et resteront de grands tubes.
Malgré l’annonce de Mick Hucknall en 2009 « j’ai décidé que 25 années sont suffisantes, et que 2009 sera la dernière tournée de Simply Red. », le groupe se reforme en 2014 pour preuve leur présence au festival de Nîmes 2023.
SAM SMITH : connu à l’échelle internationale pour ses tubes “I’m not The Only One” et “Stay With Me”, cet auteur interprète britannique fait partie des révélations de la musique pop de ces dernières années. Il reçoit un Brit Awards en 2014, est élu meilleur artiste pop/rock masculin en 2014 aux American Music Awards, est couronné aux Grammy Awards en 2015 (meilleur nouvel artiste, chanson de l’année…) et est honoré par un oscar en 2016 pour la meilleure chanson originale pour « Writing’s On The Wall », le thème du dernier volet de la saga James Blond, « Spectre ».
FAQ sur le Festival de Nîmes 2023
Q1: Quand aura lieu le Festival de Nîmes 2023 ?
R1: Il aura lieu du jeudi 23 juin au dimanche 23 juillet 2023.
Q2: Où se trouve le Festival de Nîmes ?
R2: Il se déroule sur l’Esplanade Charles de Gaulle, au sein des Arènes de Nîmes, situées dans le centre-ville de Nîmes.
Q3: Quel type de musique y sera jouée lors du Festival de Nîmes 2023 ?
R3: Cette manifestation proposera une variété de musiques allant du rock, du métal, au rap et à l’électro.
Q4: Y aura-t-il des boissons disponibles sur place ?
R4: Oui, des boissons alcoolisées et non alcoolisées seront disponibles sur place.
Q5: Sera-t-il possible d’acheter des tickets le jour du concert ?
Oui, des tickets pour chaque jour seront disponibles à l’entrée des arènes.
Q6: Est-ce que les animaux sont autorisés ?
Non, les animaux ne sont pas autorisés à l’intérieur des Arènes.
Q7: Y aura-t-il des toilettes sur place ?
Oui, des toilettes sur place seront disponibles à l’intérieur et à l’extérieur des Arènes
Q8: Y aura-t-il des food trucks ?
Non, il n’y a pas de food trucks mais un point de restauration à l’intérieur des Arènes ainsi que des restaurants tout autour des Arènes qui proposeront une variété de plats à l’intérieur et à l’extérieur du site des Arènes.
Steve Mc Curry photoreporter a eu sa première rétrospective de 40 ans de carrière ; soit plus de 150 photos grand format ; organisée en décembre 2021 au Musée Maillol, à Paris.
Steve Mc Curry est connu à travers le monde pour son portrait de l’adolescente afghane aux yeux verts, Sharbat Gula, nommée « Afghan Girl », pris pendant la guerre d’Afghanistan en 1984.
Cette photographie, en couverture du numéro de juin 1985 du National Geographic Magazine, est devenue iconique. Cette image est d’ailleurs reprise comme couverture de l’ouvrage rétrospectif du National Geographic 100 Best Pictures en 2002.
Steve-Mc-Curry-photographe
Ce photo-reporter de l’agence Magnum est l’un des plus grands photojournalistes du monde.
Marié à Andie, amérindienne Hopi et papa à 72 ans d’une petite Lucia Assella, âgée de 5 ans, Steve Mc Curry continue de parcourir le monde.
Retour sur la vie de Steve Mc Curry en 5 points.
Steve Mc Curry, ses débuts
Steve Mc Curry est né le 24 février 1950 à Philadelphie, dans l’État de Pennsylvanie, aux États-Unis.
Très tôt, Steve Mc Curry rêvait de devenir cinéaste documentaire. C’est pour cela qu’il fit ses études au Collège d’arts et d’architecture de l’université d’État de Pennsylvanie.
Steve Mc Curry obtient un diplôme avec félicitations en 1974.
Steve Mc Curry est d’abord photographe pour le journal de l’Etat de Pennsylvanie puis travaille pendant deux ans pour le Today’s Post King of Prussia, toujours en Pennsylvannie avant de se lancer dans le photojournalisme.
Steve Mc Curry, photoreporter : Je crois que j’ai toujours voulu voir le monde
A 19 ans, Steve Mc Curry décide de voyager en Europe puis en Amérique du Sud puis en Afrique. Dès 1978, il se lance dans le photojournalisme et se lance comme photoreporter en freelance.
« Je crois que j’ai toujours voulu voir le monde, explorer de nouvelles cultures », dit-il.
Steve Mc Curry part en Inde comme photojournaliste pigiste, désireux de découvrir « l’inattendu, le moment du hasard maîtrisé, qui permet de découvrir par accident des choses intéressantes que l’on ne cherchait pas ».
Il se rend au cœur de nombreuses zones de conflits internationaux pour couvrir les événements, rencontrer les populations.
Steve Mc Curry couvre les zones de conflits dont la guerre Iran-Irak, la guerre civile libanaise, le Cambodge, les Philippines, la guerre du Golfe, l’éclatement de l’ex-Yougoslavie et l’Afghanistan, mais il se dit être surtout intéressé par les conséquences de la guerre sur les populations au cœur des conflits.
C’est le conflit entre le Pakistan et l’Afghanistan, qui fait décoller sa carrière lorsque, réussissant avec courage à pénétrer les zones contrôlées par les moudjahiddins (« combattants d’Islam »), juste avant l’invasion soviétique, il ressort clandestinement avec une série d’images incroyable, premières à montrer le conflit.
Son photo-reportage obtient le Prix Robert Capa en 1980.
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The Afghan Girl est l’une de ses photos les plus célèbres. Prise en 1984, elle montre une adolescente de 12 ans, orpheline de guerre, vivant dans un camp de réfugiés au Pakistan, le regard profondément triste. La photo a été prise dans l’école du camp.
Sur son visage se lit la terreur de la guerre, son courage. Ses yeux verts, son regard percutant, sont mis en avant par le foulard rouge qu’elle porte autour de la tête.
«En l’espace de quelques secondes, tout était parfait, la lumière, l’arrière-plan et l’expression de ses yeux.»
En 2002, le magazine National Geographic organise un voyage pour retrouver The Afghan Girl. Sharbar Gula vit toujours dans un camp de réfugiés, a été mariée avant ses 15 ans, a eu plusieurs enfants dont une fille décédée.
En 2016, Sharbat Gula, toujours réfugiée sans papiers, est incarcérée, expulsée puis accueillie de nouveau par les dirigeants afghans. Finalement, elle est évacuée sous le régime taliban en 2021 pour être accueillie en Italie.
Steve Mc Curry se souvient : « Elle s’est souvenue de moi même si je n’étais à l’école que pendant environ 20 minutes. Elle est analphabète et ne parle pas anglais et dans cette culture, les filles ne sont pas censées interagir avec des hommes qui ne sont pas de leur famille. »
Steve Mc Curry
Au travers de ses images puissantes, Steve Mc Curry montre la vie bouleversée des peuples pris au milieu des conflits, leurs émotions prises sur le vif, exprimées sur leurs visages.
« La plupart de mes clichés sont centrés sur l’individu. Je recherche des moments d’abandon, ceux où l’âme devient visible, où l’expérience transparaît sur le visage. »
« Je ne me suis jamais considéré comme un photographe de guerre, bien que mon travail en Afghanistan soit, je pense, l’une des périodes les plus dangereuses de ma vie. »
Steve Mc Curry est membre de l’Agence Magnum depuis 1986.
Steve Mc Curry, le 11 septembre 2001
Le 11 Septembre 2001, malgré l’émotion suscitée par l’effondrement des tours du World Trade Center, à New York, il photographie depuis le toit de son immeuble l’effondrement de la première tour, puis se rend précipitamment sur les lieux et immortalise le chaos indescriptible qui se déroulait sous ses yeux.
« La tristesse était indescriptible. J’avais vu ces bâtiments chaque jour de ma fenêtre. Ils étaient, pour moi, encadrés avec la voûte de Washington Square », et encore : « J’ai essayé de traduire sur la pellicule ce que je ressentais, l’horreur et la perte. C’était totalement un autre niveau du mal. »
Steve Mc Curry et le scandale, 2016
En avril 2016, Steve Mc Curry est accusé de retoucher ses photos ; dont le portrait de l’Afghane aux yeux verts ; modifiant ainsi la réalité, cette vérité, cette objectivité qu’il revendique tant vouloir mettre en avant.
Par ces modifications visuelles, Steve Mc Curry est accusé de remettre en question son respect de l’éthique du photojournalisme sur laquelle Steve Mc Curry a bâti sa carrière.
Face à cette avalanche de critiques et à la preuve incontestable de ses retouches visuelles, le 31 mai 2016, Steve Mc Curry redéfinit son statut, comme photographe artistique et déclare « Je suis un conteur visuel, pas un photojournaliste. »
Steve Mc Curry
L’agence Magnum et le National Geographic retirent également certaines photographies suspectées de manipulation de leurs sites web et le Comité d’éthique du National Press Photographers Association des États-Unis publie un communiqué sévère contre le photographe, le 25 mai 2016.
« Nonobstant le titre que Steve Mc Curry se donne aujourd’hui, il a la responsabilité de respecter les standards éthiques de ses pairs et du public, qui voit en lui un photojournaliste », écrit le comité, qui conclut que « toute altération de la vérité constitue un manquement à l’éthique».
Steve Mc Curry est défendu par ses confrères comme Peter van Agtmael, photographe à l’agence Magnum qui réagit à la polémique en expliquant que « La photographie est une profession incroyablement subjective.
Les mots “vérité” et “objectivité”, très forts, reviennent beaucoup. Je ne crois pas vraiment en ces mots. […] La subjectivité donne lieu donc à des « manipulations » telles que le : Style, choix d’objectif, position, quoi montrer et quoi exclure du cadre, éditer, choix de l’équipement, contraste, séquence. »
Malgré ce scandale, Steve Mc Curry reste l’une des figures les plus emblématiques de la photographie contemporaine depuis plus de cinq décennies. Son travail est récompensé par de nombreux prix et est exposé à travers le monde.
En effet, il a reçu notamment le prix Robert Capa en 1980, celui de « photographe de l’année » en 1984 par l’Association Nationale des Photographes de presse américaine », le concours World Press Photo en 1985, et le prix Olivier Rebbot, un Emmy Award en 2003 , le prix Leica Hall of Fame en 2011, et le grand prix de reconnaissance spécial du jury concours POYI en 2012.
Enfin, Steve Mc Curry est promu Chevalier de l’ordre des Arts et des lettres en 2013. Steve Mc Curry a également publié plus d’une vingtaine d’ouvrages, dont « Enfants du monde » en 2021 aux éditions La Martinière, « A la recherche d’un ailleurs », paru en 2020 aux éditions la Martinière, « Inde », et « Portraits » parus aux éditions Phaidon en 2020 et 2013, ou encore « Une vie en images » paru en 2018 aux éditions La Martinière, « The iconic Photographs » en 2012 chez Phaidon, « Steve Mc Curry Animals » chez Taschen en 2019 et tant d’autres encore…
Steve Mc Curry, ses expositions
2021 : Le Monde de Steve McCurry,du 9 décembre 2021 au 31 juillet 2022, Musée Maillol, Paris, France.
2021 : In Search Of Elsewhere, du 4 mars au 30 avril 2021, Galerie Polka, Paris, France
2019: Le Monde de Steve McCurry, du 6 février 2019 au 26 mai 2019, La Sucrière, Lyon, France
2016: Steve McCurry, du 27 mai 2016 au 30 juin, Galerie Got, Montréal, Québec
2014 : Steve McCurry – Rétrospective, du 27 juin 2014 au 21 septembre 2014, Théâtre de la Photographie et de l’Image, Nice, France.
2008 : Jordan Festival, du 8 juillet 2008 au 9 août 2008, Contemporary Arts Jordan Festival, Jordan Tourism Board, Zara Centre, Jordanie
2008 : Renaître à la vie– Agence Magnum, du 29 décembre 2008 au 30 décembre 2008, Musée de l’Homme, Palais de Chaillot, Paris, France.
2007 : Magnum à l’affiche, Une expo dans la rue, du 5 juillet 2007 au 25 juillet 2007.
2007 : Steve McCurry Photographies, du 1er juillet 2007 au 31 juillet 2007, Galerie Frédéric Got FineArt, Paris, France.
2007 : Exposition de Steve McCurry, du 7 septembre 2007 au 7 octobre 2007,Rennes, France.
2007 : Exposition de Steve McCurry,du 3 mai 2007 au 23 juin 2007, Fahey Klein Gallery, Los Angeles, États-Unis.
2006: Sojourn: Narratives of Asia, du 25 novembre 2006 au 27 janvier 2007, ModenArte. Modena, Italie.
2005: Paris Photo 2005, du 17 novembre 2005 au 20 novembre 2005, Carrousel du Louvre, Paris, France.
BONUS : interview de Steve Mc Curry , 17 octobre 2022 de Hannah Rooke pour Digital Camera World
Steve Mc Curry a passé les 40 dernières années à raconter des histoires à travers des photos – maintenant son histoire est racontée dans The Pursuit of ColorDepuis plus de quarante ans, Steve Mc Curry parcourt le monde en capturant les personnes et les lieux qu’il a visités.
Des camps de réfugiés en Afghanistan aux jungles de l’Ouganda et aux rues de l’Inde, la compassion de Steve Mc Curry y pour ses sujets est inébranlable.
Steve Mc Curry a consacré quatre décennies à raconter les histoires des autres, mais The Pursuit of Color est l’histoire de sa vie extraordinaire – les débuts, les difficultés rencontrées et la façon dont sa carrière a décollé.Dès son plus jeune âge, Steve Mc Curry savait qu’il voulait voyager, mais ne savait pas comment.
Steve Mc Curry a quitté la maison à 19 ans et a entrepris son premier de nombreux voyages en Inde, l’endroit qui a suscité son désir de voir le monde à l’âge de 12 ans. Partant de zéro, Mc Curry a dû trouver son propre chemin et ses propres ressources, mais il était complètement libre.
Steve Mc Curry est un photographe et photojournaliste emblématique depuis plus de cinquante ans.
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Sa photo Afghan Girl a été présentée à plusieurs reprises sur la couverture de National Geographic et il a photographié de nombreuses missions pour la publication.
Steve Mc Curry et est membre de Magnum Photos depuis 1986, et son travail couvre les conflits, les traditions anciennes, la culture et les voyages, tout en conservant toujours l’élément humain.« J’avais l’impression d’avoir tout le temps du monde.
Tout était frais et neuf. C’est très excitant de sortir et de photographier quelque chose pour la première fois. L’un de mes premiers voyages à l’étranger a été au Mexique.
J’ai aimé pouvoir me promener et photographier sans aucun délai, aucune tâche ou aucune pression ; le monde était une toile vierge.
Même ceux qui ne connaissent pas Steve Mc Curry connaîtront le portrait Afghan Girl. La puissante photo du réfugié Sharbat Gula a été prise en 1984 lorsque Steve a été chargé par National Geographic de documenter la crise des réfugiés à la frontière afghane.
Dans The Pursuit of Color, il explique son processus et la signification durable de la photo.« Je pense toujours que c’est une photo importante et nous sommes restés en contact au cours des 20 dernières années. Nous nous parlons toutes les deux semaines et j’ai toujours essayé d’être à ses côtés et de l’aider de toutes les manières possibles.
Elle et sa famille vivent maintenant en Italie à cause des troubles en Afghanistan.Dans The Pursuit of Color et sur Instagram, Steve Mc Curry utilise l’expression « faire une photo » au lieu de « prendre une photo ».
Au sein de la communauté de la photographie, que vous fassiez ou preniez une photo est un débat en cours – un débat que Steve Mc Curry a rencontré pour la première fois lorsqu’il a étudié la cinématographie à l’Université d’État de Pennsylvanie.« Cet argument du faire ou du prendre remonte à 50 ans, je me souviens en avoir parlé au collège en 1972 » se souvient-il.
Il utilise l’exemple d’une personne prenant une photo rapide de la tour Eiffel comme prenant une photo, mais quelqu’un qui regarde la lumière et la composition comme en faisant une. « Un instantané d’un chalet est une représentation pure de la chose que vous photographiez, peut-être que faire référence à une composition plus réfléchie. »
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Alors que les travaux récents de Steve Mc Curry se sont concentrés sur le pouvoir positif de l’humanité dans des séries comme Le pouvoir du jeu et de la lecture, la carrière de Steve Mc Curry a véritablement commencé dans les montagnes du Pakistan et de l’Afghanistan où il a été embauché par les troupes afghanes pour documenter la guerre sur le point de commencer avec la Russie.
Être témoin de la souffrance à ses débuts pendant le temps passé dans les zones de guerre l’a amené à s’intéresser à la condition humaine et aux conséquences de la guerre.« Vous devez juste trouver quelque part en vous et réaliser que le but est de faire la lumière sur une situation et j’espère que les gens seront mieux informés sur le monde dans lequel nous vivons.
Peut-être que cela peut créer un changement positif, alors c’est bien de l’obtenir. là-bas. Chacun s’en occupe à sa manière. »
Bien que la technologie de l’appareil photo ait énormément progressé depuis qu’il a possédé son premier appareil photo, un Miranda, Steve Mc Curry est resté à l’avant-garde : « Je n’ai jamais vraiment raté un battement, passer du film au numérique pour moi était en quelque sorte transparent.
« Les smartphones ont indéniablement rendu la photographie plus accessible et Steve Mc Curry, adepte des nouvelles technologies, est là pour ça.« Pouvoir documenter nos vies, nos amis, nos événements familiaux et nos vacances si facilement, c’est formidable.
Je pense qu’avoir un enregistrement de nos vies est vraiment précieux, je suis un grand fan, j’ai 140 000 photos sur mon téléphone !Steve n’a pas l’intention de ralentir malgré le fait qu’il ait maintenant une jeune fille. Équilibrer le travail dans ce domaine et une famille est difficile, mais Steve a trouvé un moyen de le faire fonctionner. « Nous voyageons tous ensemble, l’année dernière nous sommes allés en Italie, en Espagne, au Portugal et en Islande donc c’est super j’adore voyager avec eux. »
Il est difficile d’imaginer Steve Mc Curry faire autre chose que de la photographie. Voir le monde à travers ses yeux est passionnant, coloré, émotif et parfois stimulant.
The Pursuit of Color explore ses motivations et ses désirs autour des principes de la photographie, mais ce sont les opportunités uniques qui lui sont présentées à travers son travail qu’il apprécie le plus ; « La meilleure partie de mon travail est de pouvoir errer et explorer le monde dans lequel nous vivons, d’aller dans des endroits dont j’ai rêvé et de rencontrer des gens intéressants.
Aussi pour avoir l’opportunité de documenter des cultures en voie de disparition »Une carrière dans la création d’images était inévitable pour Steve Mc Curry, « Pour moi, il a toujours été question d’histoire, et le film est un autre moyen de transmettre une histoire sur un moment et un lieu particuliers ».
L’art de la narration transcende le support qui le porte, et les histoires que Steve Mc Curry fait devant la caméra sont aussi captivantes que son histoire derrière elle.
Eric CANTO Photographe : Photos de concerts, portraits, pochettes d’albums.
Marilyn Manson, de son vrai nom Brian Hugh Warner, est l’un des artistes les plus controversés et fascinants du paysage musical contemporain. Connu pour son style unique mêlant rock industriel, gothique et provocations visuelles, Manson s’est imposé dans les années 1990 comme une figure majeure de la contre-culture.Plus qu’un simple chanteur, il est un personnage à part entière, utilisant son image et ses performances pour choquer, questionner, et souvent, déranger. Cet article explore la carrière de Marilyn Manson, ses portraits emblématiques, et l’impact culturel qu’il a eu sur plusieurs générations de fans et d’artistes.
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1. Les Débuts et la Formation de Marilyn Manson
1.1 Les Origines de Brian Hugh Warner
Né en 1969 à Canton, Ohio, **Brian Warner** grandit dans une famille de classe moyenne. Avant de devenir Marilyn Manson, il est un jeune homme passionné par la musique, le journalisme et les arts visuels. À l’adolescence, il découvre des groupes comme **David Bowie**, **Alice Cooper**, et **Kiss**, des artistes qui n’hésitent pas à associer la musique à des performances théâtrales et provocantes. C’est de là que vient sa fascination pour les identités multiples et la transgression des normes culturelles.
Warner choisit le nom de scène **Marilyn Manson**, en combinant deux figures iconiques et opposées de la culture américaine : l’actrice glamour **Marilyn Monroe** et le criminel tristement célèbre **Charles Manson**. Ce choix de nom symbolise parfaitement la dualité et les contradictions qui définiront sa carrière : la beauté contre la violence, le glamour contre l’horreur.
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1.2 La Création du Groupe Marilyn Manson
En 1989, Brian Warner fonde le groupe **Marilyn Manson & the Spooky Kids**, qui deviendra plus tard simplement **Marilyn Manson**. À cette époque, le groupe commence à se faire un nom sur la scène underground de **Floride**, avec des performances qui allient musique industrielle, metal et un visuel saisissant inspiré par l’esthétique gothique et le cinéma d’horreur.
Le groupe signe rapidement avec le label de **Trent Reznor**, leader du groupe **Nine Inch Nails**, et sort son premier album ** »Portrait of an American Family »** en 1994. Cet album, bien qu’ayant attiré l’attention des critiques, ne rencontre pas immédiatement le succès grand public. Cependant, c’est avec la sortie de leur second album, ** »Antichrist Superstar »** en 1996, que Marilyn Manson atteint la célébrité mondiale.
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1.3 L’Ascension avec « Antichrist Superstar »
En 1996, la sortie de ** »Antichrist Superstar »** marque un tournant décisif dans la carrière de **Marilyn Manson**. Cet album, produit par **Trent Reznor**, est un succès commercial et critique. Il est salué pour sa production soignée, ses paroles provocantes, et sa capacité à repousser les limites de la musique rock. Le personnage de Marilyn Manson devient alors une véritable figure publique, à la fois adulée et détestée.
Provocation et symbolisme : Avec « Antichrist Superstar », Manson se place en opposition directe à la religion, à la culture de masse et aux valeurs traditionnelles américaines. L’album est un concept dans lequel Manson se réinvente en figure messianique, à la fois sauveur et destructeur. Cette dualité, omniprésente dans son œuvre, est également reflétée dans ses visuels et ses performances scéniques, où il combine des éléments gothiques, religieux, et militaristes.
Ce disque controversé lui vaut des critiques acerbes de la part des groupes conservateurs, mais il attire aussi un public de jeunes en quête de rébellion et d’expression de soi. Le personnage de **Marilyn Manson** devient une icône de l’anti-establishment, défiant les normes et se moquant des conventions.
2. Des Portraits Qui Traversent les Décennies
2.1 L’Image de Marilyn Manson : Un Visuel Choc et Inoubliable
Ce qui fait de **Marilyn Manson** une icône intemporelle, c’est sa capacité à manipuler son image. Dès ses débuts, il a compris l’importance du visuel dans la musique et a adopté une esthétique choquante, inspirée par les films d’horreur, l’art surréaliste, et la culture gothique. Il a créé une image immédiatement reconnaissable, avec son maquillage blafard, ses lentilles de contact excentriques, et ses tenues provocantes. Cette construction visuelle était non seulement un moyen d’attirer l’attention, mais aussi une façon de défier les attentes de la société quant à ce que devait être une star du rock.
Avec des photographes de renom comme **David LaChapelle** ou **Perou**, Manson a produit des portraits emblématiques qui sont devenus des références dans la culture populaire. Ses images reflètent une réflexion sur l’identité, le pouvoir et la décadence. Ces portraits sont souvent aussi dérangeants qu’envoûtants, créant un lien indissociable entre son personnage public et son art.
Le pouvoir du visuel : L’un des portraits les plus célèbres de **Marilyn Manson** est celui réalisé par **David LaChapelle** pour la promotion de l’album ** »Mechanical Animals »** (1998). Dans cette photo, Manson apparaît sous les traits d’une créature androgyne, à mi-chemin entre l’humain et le robot. La peau blanche, le corps longiligne et lisse, les cheveux orange, tout dans cette image rappelle la fascination de Manson pour la transformation et le dépassement des normes.
Ce portrait, plus qu’une simple image de promotion, est devenu une icône culturelle, symbolisant à la fois la rupture avec les codes traditionnels de genre et l’obsession de la société pour la perfection artificielle.
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2.2 Une Métamorphose Continue à Travers les Albums
Tout au long de sa carrière, **Marilyn Manson** a utilisé son apparence pour incarner différents personnages, chaque album étant l’occasion d’une nouvelle métamorphose. Il n’a jamais eu peur d’explorer des thèmes sombres et dérangeants à travers son apparence, que ce soit en tant qu’anti-héros, créature futuriste, ou figure quasi religieuse. Ce processus de transformation perpétuelle fait de lui un caméléon du rock, un artiste capable de réinventer son image tout en restant fidèle à son univers visuel et conceptuel.
Antichrist Superstar : Dans la période ** »Antichrist Superstar »**, Manson adopte un look inspiré par l’imagerie religieuse et militaire. Ses performances scéniques sont marquées par des références au fascisme, à la religion, et à la politique, créant une atmosphère de provocation constante. Ses portraits durant cette période sont souvent sombres et brutaux, reflétant l’hostilité de l’album et de son message.
Mechanical Animals : Pour la sortie de ** »Mechanical Animals »** en 1998, Manson choisit une approche radicalement différente. Le personnage qu’il incarne dans cet album est une créature androgyne et extraterrestre, un être à la fois vulnérable et dangereux. Les photos de cette époque, notamment celles de **David LaChapelle**, sont saturées de couleurs vives et d’effets surréalistes. Ce changement de ton est non seulement visuel, mais aussi musical, l’album étant plus influencé par le glam rock et moins sombre que ses précédents travaux.
Born Villain : Au début des années 2010, avec la sortie de l’album ** »Born Villain »**, Manson revient à une esthétique plus brute et plus minimaliste. Les portraits de cette époque montrent un homme vieillissant, mais toujours aussi provocateur, avec un look plus dépouillé et une énergie brute. Ce retour à une forme plus simple de provocation montre que Manson, même après deux décennies de carrière, est toujours capable de se réinventer tout en conservant l’essence de son personnage transgressif.
2.3 Un Héritage Visuel et Culturel Durable
Les portraits de **Marilyn Manson** ont laissé une marque indélébile sur la culture populaire. Ils sont devenus des symboles de la rébellion, du rejet des normes et de la provocation. Que ce soit à travers ses visuels choquants ou son image de caméléon, Manson a influencé des générations d’artistes, de musiciens et de créateurs de mode.
Sa capacité à manipuler son image et à incarner des personnages extrêmes fait de lui un modèle pour ceux qui cherchent à repousser les limites de l’expression artistique.
En utilisant son apparence comme un moyen de communication, Manson a compris le pouvoir du visuel dans la musique. Ses portraits sont des œuvres d’art à part entière, créant une esthétique qui a redéfini le look du rock industriel et gothique. Aujourd’hui encore, ses images continuent d’influencer les jeunes artistes et les photographes, qui voient en lui un pionnier de l’auto-représentation et de la transgression visuelle.
Au-delà de la musique, Manson est également une figure culturelle qui a marqué le cinéma, la mode, et l’art contemporain. Son influence s’étend bien au-delà des frontières de la scène musicale, faisant de lui une icône intemporelle de la contre-culture moderne.
FAQ
Quel est le vrai nom de Marilyn Manson ?Le véritable nom de **Marilyn Manson** est **Brian Hugh Warner**. Né le 5 janvier 1969 à Canton, dans l’Ohio, Warner a adopté le pseudonyme de **Marilyn Manson** dans le cadre de son projet artistique pour incarner un personnage complexe, à la fois séducteur et perturbant. En combinant deux figures emblématiques de la culture américaine, il a cherché à créer un contraste entre le glamour et la violence, incarné par **Marilyn Monroe** et **Charles Manson**.
Pourquoi a-t-il choisi le nom « Marilyn Manson » ?Le nom **Marilyn Manson** est un mélange de deux icônes contrastées de la culture américaine : l’actrice glamour **Marilyn Monroe** et le criminel notoire **Charles Manson**. Manson a expliqué qu’il souhaitait symboliser les deux forces contradictoires qui coexistent dans la société américaine : la fascination pour la célébrité et la beauté, incarnée par Monroe, et l’obsession pour la violence et la criminalité, incarnée par Charles Manson. Ce choix de nom reflète également sa volonté de remettre en question les normes culturelles et de susciter une réflexion sur la dualité entre bien et mal.
Quels sont les albums les plus célèbres de Marilyn Manson ?Parmi les albums les plus célèbres de **Marilyn Manson**, on trouve :
« Antichrist Superstar » (1996) : Cet album a propulsé Marilyn Manson au rang de superstar et a été un succès majeur à la fois commercial et critique. Avec des thèmes sataniques et des critiques virulentes contre la société américaine, il a choqué les médias et les groupes conservateurs.
« Mechanical Animals » (1998) : Cet album marque un tournant dans la carrière de Manson, avec une influence plus marquée du glam rock et une esthétique futuriste. Il aborde des thèmes comme l’aliénation et l’obsession pour la célébrité, et est souvent considéré comme l’un de ses albums les plus artistiques.
« The Golden Age of Grotesque » (2003) : Inspiré par l’expressionnisme allemand et l’esthétique des cabarets des années 1920, cet album explore des thèmes comme la décadence et le grotesque. Il a reçu des critiques mitigées, mais reste un album clé dans l’évolution artistique de Manson.
« The Pale Emperor » (2015) : Cet album a été salué comme un retour en forme pour Manson, avec une influence blues et une production plus épurée. Il aborde des thèmes sombres comme la mort et le désespoir, tout en étant plus accessible que certains de ses travaux précédents.
Ces albums, parmi d’autres, ont marqué l’évolution artistique de **Marilyn Manson** et son influence durable sur la scène rock et metal.
Qui a influencé l’esthétique visuelle de Marilyn Manson ?**Marilyn Manson** a été influencé par un éventail varié d’artistes et de mouvements culturels qui ont façonné son esthétique visuelle unique. Parmi les influences notables, on trouve :
David Bowie : Comme Bowie, Manson a exploré l’androgynie, la transformation physique et l’art de la performance. Son personnage de **Ziggy Stardust** a particulièrement marqué Manson dans sa recherche d’une identité multiple.
Alice Cooper : Alice Cooper est souvent considéré comme l’un des pionniers du shock rock, un style que **Marilyn Manson** a ensuite embrassé et radicalisé. Les performances scéniques théâtrales de Cooper, avec des thèmes de mort et d’horreur, ont inspiré Manson dans ses propres concerts provocateurs.
David Lynch : Le réalisateur de films comme ** »Blue Velvet »** et ** »Twin Peaks »** a influencé l’esthétique cinématographique et psychologique de Manson. Lynch est connu pour ses œuvres mêlant le surréalisme, l’angoisse et le grotesque, des éléments que Manson a intégrés dans sa musique et ses clips vidéo.
Les films d’horreur classiques : **Marilyn Manson** a toujours été fasciné par l’horreur, qu’il s’agisse des films de monstres classiques comme ** »Frankenstein »**, ou des films plus modernes comme ** »L’Exorciste »**. Cette fascination pour le macabre est omniprésente dans son œuvre visuelle et musicale.
Andy Warhol et le mouvement Pop Art : L’idée de l’art comme une réflexion sur la célébrité et la culture de masse a également influencé Manson, qui utilise son image publique pour questionner et parodier la société de consommation.
Ces influences variées se retrouvent dans les visuels marquants de **Marilyn Manson**, qu’il s’agisse de ses clips, de ses performances scéniques, ou de ses séances photo avec des photographes de renom comme **David LaChapelle**.
Marilyn Manson est-il toujours actif dans la musique ?Oui, **Marilyn Manson** est toujours actif dans la musique. Bien qu’il ait traversé des périodes de controverses et de changements personnels, il continue de produire des albums et de tourner à travers le monde. Son dernier album en date, ** »We Are Chaos »**, est sorti en 2020. Cet album a reçu des critiques globalement positives, saluant le retour à une forme plus introspective et émotionnelle pour Manson.En plus de sa carrière musicale, Manson a également exploré d’autres domaines artistiques, comme le cinéma, la télévision et la peinture. Il a notamment joué dans plusieurs films et séries télévisées, ajoutant à son image de caméléon artistique capable de transcender les genres.Malgré les défis auxquels il a été confronté au fil des ans, **Marilyn Manson** reste une figure emblématique et influente du rock industriel et de la culture pop.
Sarah Moon est une photographe française connue pour son travail dans le domaine de la mode, de la publicité et de la photographie artistique. Elle est née le 21 février 1941 à Vichy, en France.
Avant de devenir photographe, Sarah Moon a été mannequin pendant plusieurs années. Elle a commencé à travailler comme photographe dans les années 1970 et a rapidement acquis une réputation pour ses images évocatrices, poétiques et souvent oniriques.
Son style distinctif est caractérisé par des images floues, des couleurs délavées et une esthétique sombre et romantique. Elle a travaillé pour de nombreux clients de renom, notamment Chanel, Dior, Comme des Garçons, Cacharel, Vogue, et The New Yorker.
En plus de la photographie de mode et de publicité, Sarah Moon a également travaillé dans la photographie artistique et a exposé ses œuvres dans des galeries et des musées du monde entier. Elle a également réalisé plusieurs films, notamment un court-métrage intitulé « La Neige en deuil » en 1999.
Aujourd’hui, Sarah Moon est considérée comme l’une des photographes les plus influentes de sa génération, avec une carrière qui s’étend sur plusieurs décennies et qui continue à inspirer les photographes du monde entier.
En novembre 2022, La Maison Dior publie un ouvrage d’exception « Dior par Sarah Moon » regroupant 120 photographies en noir et blanc de la célèbre photographe Sarah Moon .
Dior par Sarah Moon, éditions Delpire & co, disponible le 3 novembre 2022, 120€
Les créations de Sarah Moon suscitent encore étonnement et fascination. Retour sur la vie de cette photographe française de mode incontournable.
Qui est Sarah Moon photographe?
Sarah Moon, est née Marielle Sarah Warin le 17novembre1941 à Vernon dans l’Eure. Mannequin jusqu’en 1966 puis photographe de mode et réalisatrice française, Sarah Moon est aujourd’hui encore, toujours reconnue comme une grande artiste.
Née dans une famille juive contrainte de quitter la France sous le régime de Vichy pendant l’occupation allemande, Sarah Moon passe une partie de son enfance en Angleterre ou elle y étudie le dessin. Au début des années 60, elle exerce la profession de mannequin sous le nom de Marielle Hadengue, puis se tourne vers la photographie de mode après avoir été publiée dans l’Express en 1967, à l’âge de 26 ans.
Photographe de mode autodidacte, inspirée par l’œuvre de Guy Bourdin, Sarah Moon conçoit pour la marque Cacharel ses premières campagnes de mode, univers qui, à cette époque était encore dominé par les hommes.
Son approche artistique lui permettra rapidement d’être reconnue au niveau international comme photographe de mode. Influencée par le pictorialisme, Sarah Moon photographe de mode, façonnera ses photos aux références littéraires (telles que les contes pour enfants) et cinématographiques (cinéma expressionniste allemand et celui des années 30), en montrant les femmes sous un angle particulier, dans un temps suspendu, nouant une réelle complicité avec ses modèles.
Pendant quinze années, Sarah Moon photographe, travaillera pour des marques de haute couture prestigieuses telles de Cacharel, Chanel et Dior et sera publiée dans des magazines internationaux tels que Harper’s Bazaar,Vogue et Elle. Elle reste la première femme à avoir photographié le calendrier Pirelli (1972).
« J’ai eu la chance d’être au bon endroit au bon moment. Mes photographies étaient différentes des autres. Les mannequins étaient mes copines, avec elles j’étais dans la complicité et non dans la séduction. » Sarah Moon.
Sarah Moon
“Mon statut de femme mannequin m’a aidée à être un artisan dans la photo de mode” Sarah Moon.
Sarah Moon photographe, le tournant de sa carrière
C’est au début des années 1980, que Sarah Moon débute une pratique plus personnelle, introspective et artistique. Présentés en 1983 au Centre Photographique International de New-York, ses travaux lui valent en 1984 le prix Clio. Elle sera exposée aux Rencontres d’Arles en 1980, 1981, 1994, 2005 et 2006. Ses clichés font le tour des salles d’expositions à travers le monde ; de Paris (Jeu de Paume, Maison Européenne de la Photographie, Muséum national d’histoire naturelle…), à San Francisco, en passant par Tokyo, Londres ou encore Moscou.
Tout en continuant d’honorer des commandes pour les maisons de haute couture, Sarah Moon photographe, fait de Paris son décor et adopte le Polaroïd noir et blanc avec négatif comme support de son expression.
Elle se lance également dans la réalisation de films publicitaires ; pour lesquels elle sera récompensée par un Lion D’Or à Cannes en 1979, 1986 ,1987 et 1989 ; mais également dans la réalisation de films dès 1990 avec « Mississipi One » «Circuss » en 2002, « l’Effraie » en 2004 , « Le Fil rouge » en 2005, « La Sirène d’Auderville » en 2007, « Le Petit Chaperon Noir » en 2010 ou encore « 5H-5 » en 2013.
Sarah Moon photographe
Sarah Moon photographe, ses inspirations
Inspirée par les contes de Lewis Caroll, le cinéma et la fiction, Sarah Moon photographe rend son univers particulièrement chargé en émotions et accorde une grande importance à la mise en scène, ce qui ancre son travail photographique dans une dimension intemporelle.
Elle aime évoquer dans ses travaux les thèmes de la solitude, de l’enfance, de la féminité, de l’imaginaire, de la mort et apporte une perception différente du sujet selon qu’il soit traité en noir et blanc ou en couleur. De plus, elle met souvent en scène des enfants, des animaux, des usines délabrées, toujours en référence à ses racines européennes, une gare froide à Saint Petersbourg, un chantier à Berlin ou encore un paysage Italien aux allures de cimetière.
Le conte, en référence aux thèmes de l’enfance et de l’imaginaire, est souvent pris comme sujet. Elle réalise notamment une série d’illustrations du conte du Petit Chaperon rouge, en 1983, ; ouvrage lauréat du prestigieux Premio Grafico Fiera di Bologna per la Gioventù, de la Foire du livre de jeunesse de Bologne (Italie) en 1984 ; et son film La Sirène d’Auderville (2007) révèle également son intérêt pour les contes d’Andersen.
«Je ne témoigne de rien. Je n’affirme rien. En ce sens, mes photos ne sont pas engagées. Par contre, je me sens totalement impliquée dans la vision fictionnelle que je propose – et qui en fait n’est qu’un écho entre le monde et moi. » Sarah Moon.
Ses clichés sont volontairement flous, tâchés, grattés, marqués par des dégradations « accidentellement minutieuses », évoquant le temps, la douleur, la contrainte, la décomposition, la mise en abîme en filigrane de la photographie, ancrant ainsi les tirages dans la fiction, hors du réel et du temps.
Son esthétique photographique fait également référence à l’esthétisme des années 30 puisque ce dernier s’enrichit d’une grande diversité de matières, de corsets, griffures, ainsi que la présence de personnages amputés, sûrement un lien inconscient avec la guerre qui a marqué son enfance.
C’est à Kyoto en 2002, qu’une exposition est présentée au musée d’Art Contemporain, rendant hommage à cette œuvre alliant grâce et violence, dans un style sombre et raffiné.
Sarah Moon, ses clichés les plus célèbres
Sarah Moon a créé de nombreuses photographies remarquables tout au long de sa carrière, mais il n’y a pas de consensus sur la photo la plus célèbre de son travail. Voici quelques-unes de ses images les plus connues :
« Monnaie de Paris », une série de photographies en noir et blanc qu’elle a réalisées pour l’ouverture de la Monnaie de Paris en 2014.
« Les Filles d’Arles », une série de portraits de jeunes femmes qu’elle a photographiées dans la ville d’Arles en France en 2001.
« Mermaid », une image sombre et mystérieuse d’une femme dans l’eau, prise en 1995.
« Untitled (Feathers) », une photographie de mode en couleur mettant en vedette un modèle portant une robe en plumes, prise dans les années 1990.
« Lips », une image en noir et blanc d’une bouche féminine en gros plan, prise en 1994.
Ces images sont toutes emblématiques du style de Sarah Moon, avec leur utilisation distinctive de la couleur ou du noir et blanc, leur ambiance poétique et onirique, et leur évocation d’un univers féminin complexe et énigmatique.
Sarah Moon, ses consécrations et ses récompenses
Les travaux et nombreuses publications de Sarah Moon lui valent de nombreuses récompenses. Sa toute première date de 1972 ou elle reçoit le D&DA d’or et d’argent à New York, États-Unis.
En 1995 Sarah Moon reçoit le prestigieux Grand prix de la photographie de Paris.
En plus du Lion d’Or pour ses films publicitaires reçu en 1979, 1986, 1987 et 1989 à Cannes, et du Clio Award en 1984 (New York, États-Unis), elle recevra en 1985 le Prix de la photographie appliquée (ICP, New-York), le prix du film de femme, long métrage en 1991 pour « Mississipi one », le FIPA d’or en 1994 pour « Contacts » (Cannes), le prix Martell à Shanghai en 2005, le prix Lucie Award en 2006 (New-York, Etats-Unis), le prix du public en 2007 (Moscou, Russie), le prix culturel de la Société allemande de photographie, à Berlin en 2007, et le prix Nadar en 2008 pour « 1,2,3,4,5″ en France.
Elle est nommée Commandeur de l’ordre des Arts et des Lettres en 2009.
Sarah Moon, sa vie de famille
Sarah Moon est une personne très discrète sur sa vie privée et familiale, et peu d’informations sont disponibles sur sa vie de famille. Cependant, on sait qu’elle a été mariée au photographe Robert Delpire, qui a également été son éditeur pour plusieurs livres de photographies.
Sarah Moon et Robert Delpire ont travaillé ensemble sur de nombreux projets, notamment sur la publication de plusieurs livres de photographies. Ils ont eu deux enfants ensemble, une fille nommée Melissa et un fils nommé Victor.
Melissa Delpire a également travaillé dans le domaine de la photographie, en tant qu’éditrice et commissaire d’exposition. Elle a travaillé avec sa mère sur plusieurs projets, notamment l’exposition « From One Season to Another » au Musée d’Art Moderne de la Ville de Paris en 2011.
Bien que la vie privée de Sarah Moon soit peu connue, elle a toujours mis en avant le rôle important que sa famille a joué dans sa vie et sa carrière, en particulier son mari Robert Delpire. Elle a également déclaré dans des interviews que sa relation avec ses enfants a été une source d’inspiration pour son travail.
Eric CANTO Photographe : Photos de concerts, portraits, pochettes d’albums.
Sarah Moon: The transcendence of fashion – BRITISH JOURNAL OF PHOTOGRAPHY
« Je pars de rien, j’invente une histoire qui n’est pas racontée, j’imagine une situation qui n’existe pas »
« Pour moi, la photographie est une pure fiction – je ne crois pas faire une déclaration définie. Au lieu de cela, j’exprime quelque chose, un écho du monde peut-être », a déclaré Sarah Moon, dans une interview avec The Independent en 2008.
Née en 1941 à Vernon, en France, Moon, anciennement connue sous le nom de Marielle Warin, est devenue célèbre dans les années 1970 pour son approche unique et insaisissable de la photographie de mode.
En 1972, elle est devenue la première femme à photographier le calendrier Pirelli et, tout au long des années 70, elle a travaillé sur des commandes pour Chanel, Dior, Vogue, etc. Connue pour ses images douces, oniriques et graphiques axées sur la composition et la forme, le style inhabituel de Moon lui a valu le respect au sein de l’industrie. Mais, à partir de 1985, Moon s’est tournée vers un travail personnel, qui comprend des courts métrages basés sur la fantaisie et les contes de fées.
Maintenant, une exposition des images de Moon est présentée à la Peter Fetterman Gallery de Santa Monica, en Californie. Il couvre plus de trois décennies de sa photographie, du travail commercial au travail personnel, explorant son utilisation dynamique de la forme et de la composition, et sa capacité à déplacer un spectateur sans avoir besoin d’établir un contact visuel.
Dans une citation fournie par la galerie, Moon dit de son processus : « Je pars de rien, j’invente une histoire qui n’est pas racontée, j’imagine une situation qui n’existe pas, j’efface un espace pour en inventer un autre, je décale la lumière, je rends irréel et puis j’essaie. Je fais attention à ce à quoi je ne m’attendais pas. J’attends de voir ce dont je ne me souviens pas. Je défais ce que j’ai assemblé, j’espère avoir de la chance, mais plus que tout, j’aspire à être touché pendant que je tire.
Sarah Moon: The transcendence of fashion sera exposée à la Peter Fetterman Gallery du 07 juin au 06 septembre 2019
Sarah Moon: FAQ
Question 1: Qui est Sarah Moon ?
Sarah Moon est une artiste française née en 1941, connue pour son travail en tant que photographe, réalisatrice et artiste visuelle.
Question 2: Quel est le style artistique de Sarah Moon ?
Le travail de Sarah Moon est souvent caractérisé par son esthétique onirique et poétique, ainsi que par l’utilisation de la lumière, de la couleur et de la texture pour créer des images émotionnelles et évocatrices.
Question 3: Quels sont les sujets de prédilection de Sarah Moon ?
Les sujets de prédilection de Sarah Moon sont souvent les femmes, les enfants et les paysages, et elle est particulièrement connue pour ses portraits et ses nus.
Question 4: Comment Sarah Moon a-t-elle commencé sa carrière artistique ?
Sarah Moon a commencé sa carrière en tant que mannequin dans les années 1960 avant de devenir photographe de mode pour des magazines tels que Vogue, Marie Claire et Elle. Elle a ensuite poursuivi sa carrière en tant qu’artiste indépendante, travaillant dans la photographie, la vidéo et la réalisation.
Question 5: Quelles sont les expositions les plus célèbres de Sarah Moon ?
Sarah Moon a exposé dans de nombreuses galeries et musées à travers le monde, notamment au Musée d’Art Moderne de Paris, au Victoria and Albert Museum de Londres, au International Center of Photography de New York, et au Stedelijk Museum d’Amsterdam.
Question 6: Quels sont les livres les plus connus de Sarah Moon ?
Sarah Moon a publié de nombreux livres de photographies, dont « Improbable Memories » (1980), « Little Red Riding Hood » (1996), et « Now and Then » (2010).
Question 7: Quels sont les prix et distinctions que Sarah Moon a remportés au cours de sa carrière ?
Sarah Moon a remporté de nombreux prix et distinctions pour son travail, notamment le Prix Nadar en 1981, le Grand Prix National de la Photographie en 1995, et le Prix de la Photographie de l’Académie des Beaux-Arts en 2018.
Question 8: Où peut-on trouver des œuvres de Sarah Moon ?
Les œuvres de Sarah Moon sont présentes dans de nombreuses collections publiques et privées à travers le monde, notamment au Musée d’Art Moderne de Paris, au Victoria and Albert Museum de Londres, au International Center of Photography de New York, et au Musée d’Art Moderne de la Ville de Paris.
Question 9 : Quels sont les techniques de photographie que Sarah Moon utilise pour créer son style unique ?
Sarah Moon utilise une variété de techniques de photographie, y compris des pellicules et des appareils photo expérimentaux, ainsi que des effets tels que la surexposition et le flou pour créer une esthétique douce et atmosphérique.
Question 10 : Comment Sarah Moon a-t-elle évolué en tant qu’artiste au fil du temps ?
Au fil des ans, le travail de Sarah Moon est devenu de plus en plus abstrait et conceptuel, explorant des thèmes tels que la mémoire, l’identité et la perception.
Question 11: Quelles sont les influences artistiques de Sarah Moon ?
Sarah Moon a été influencée par des artistes tels que Man Ray, Edward Steichen et Diane Arbus, ainsi que par des mouvements artistiques tels que le surréalisme et la Nouvelle Vague.
Question 12 : Quel est le lien entre la photographie de mode et l’art dans le travail de Sarah Moon ?
Bien que Sarah Moon soit surtout connue pour son travail en tant que photographe de mode, elle a également utilisé cette plateforme pour explorer des thèmes plus larges et pour créer des images qui sont à la fois belles et évocatrices.
Question 13 : Comment les critiques ont-ils réagi au travail de Sarah Moon ?
Les critiques ont souvent salué le travail de Sarah Moon pour son esthétique poétique et émouvante, ainsi que pour sa capacité à transformer des sujets ordinaires en images extraordinaires
KISS est un groupe de rock américain formé en 1973 à New York. Le groupe est composé de Paul Stanley, Gene Simmons, Eric Singer et Tommy Thayer. Le groupe a été fondé par Paul Stanley et Gene Simmons, qui sont les seuls membres constants depuis sa création.
KISS est connu pour son style de hard rock, ainsi que pour son spectacle de scène extravagant, qui inclut des costumes de scène, du maquillage, des feux d’artifice et des effets pyrotechniques. Le groupe a également été un pionnier dans la commercialisation de la musique, en utilisant des produits dérivés tels que des jouets, des vêtements, et des comics pour renforcer la marque KISS.
KISS a sorti plusieurs albums qui ont été des succès commerciaux, tels que Alive!, Destroyer, Rock and Roll Over, et Love Gun. Le groupe a également remporté des prix tels que le Hollywood Walk of Fame en 2014, et a été introduit au Rock and Roll Hall of Fame en 2014.
KISS
En résumé, KISS est un groupe de rock américain connu pour son style de hard rock, pour ses spectacles de scène extravagants et pour sa capacité à commercialiser sa musique à travers des produits dérivés. Le groupe a été fondé en 1973 et est encore actif aujourd’hui.
Vêtu de costumes et de maquillages outrageusement flamboyants, le groupe a conçu un spectacle captivant sur scène avec de la glace, des fumigènes, un éclairage élaboré, des crachats de sang et des crachats de feu qui ont capturé l’imagination de milliers d’enfants.
Kiss est le fruit de Gene Simmons (basse, chant) et Paul Stanley (guitare rythmique, chant), anciens membres du groupe de hard rock new-yorkais Wicked Lester. Le duo a fait venir le batteur Peter Criss à travers une publicité dans Rolling Stone, tandis que le guitariste Ace Frehley a répondu à une publicité dans The Village Voice.
Même lors de leur premier concert à Manhattan en 1973, l’approche du groupe était théâtrale et le producteur de Flipside Bill Aucoin a proposé au groupe un contrat après le concert.
Deux semaines plus tard, le groupe a été signé sur le nouveau label de Neil Bogart, Casablanca. Le groupe sortit son premier album éponyme en février 1974; culminant au numéro 87 sur les charts américains.
En avril 1975, le groupe a sorti trois albums et a constamment tourné en Amérique, créant une base de fans considérable.
Tiré de ces nombreux concerts, Alive! (sorti à l’automne 1975) a fait du groupe des superstars du rock & roll; il a grimpé dans le Top Ten et son single, « Rock ‘N’ Roll All Nite », a atteint le numéro 12.
KISS Destroyer
Destroyer sorti en mars 1976 est devenu le premier album de platine du groupe; il a également présenté leur premier single Top Ten, la ballade de puissance de Peter Criss « Beth ».
La Kiss mania battait son plein; des milliers de déclinaisons sont arrivées sur le marché (flippers, du maquillage, des masques et des jeux de société), et le groupe a publié deux bandes dessinées par Marvel ainsi qu’un téléfilm d’action : Kiss Meet the Phantom of the Park.
Le groupe n’a jamais été vu en public sans maquillage, leur popularité augmentait à pas de géant; la Kiss Army, le fan club du groupe, comptait des millions de fans.
Cependant, une telle popularité a ses limites et le groupe l’atteignit en 1978, lorsque les quatre membres sortirent des albums solos le même jour. Le disque de Simmons a été le plus réussi, atteignant le numéro 22 des charts, mais ils ont tous fait partie du Top 50.
L’album Dynasty
Dynasty, sorti en 1979, a poursuivi cette série d’albums de platine, mais ce fut leur dernier disque avec la programmation originale – – Criss part en 1980.
L’album Unmasked
Sorti à l’été 1980, a été enregistré avec le batteur de session Anton Fig ; Le véritable remplaçant de Criss , Eric Carr, a rejoint le groupe à temps pour leur tournée mondiale en 1980.
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Unmasked est le premier disque depuis Destroyer à ne pas être passé disque de platine. Music from the Elder en 1981, leur premier album enregistré avec Carr, n’est même pas passé disque d’or – il n’a pas dépassé le numéro 75 des charts.
Ace Frehley a quitté le groupe après sa sortie; il a été remplacé par Vinnie Vincent en 1982. Le premier album de Vincent avec le groupe, 1982’s Creatures of the Night , l’album s’est mieux comporté que Music from the Elder, mais il n’a pas pu dépasser le 45e rang des charts.
Lick It Up et Animalize (Kiss band )
Sentant qu’il était temps de changer, le groupe se dispensa de se maquiller pour Lick It Up de 1983 . La publicité a fonctionné, car l’album est devenu leur premier disque de platine en quatre ans.
Animalize, sorti l’année suivante, a tout aussi réussi et le groupe a essentiellement repris son créneau. Vincent est parti après Animalize et a été remplacé par Mark St. John, bien que St. John soit rapidement tombé malade du syndrome de Reiter et ait quitté le groupe.
Bruce Kulick est devenu le nouveau guitariste principal de Kiss en 1984. Pendant le reste de la décennie, Kiss a enregistré une série d’albums à succès, culminant avec la ballade à succès du début de 1990 « Forever », qui était leur plus gros single depuis « Beth ».
Le groupe devait enregistrer un nouvel album avec leur ancien producteur, Bob Ezrin , en 1990 quand Eric Carr est tombé gravement malade d’un cancer; il meurt en novembre 1991 à l’âge de 41 ans.
Kiss le remplace par Eric Singer et enregistre Revenge (1992), leur premier album depuis 1989; c’est un hit dans le Top 10 et il devient disque d’or. le groupe l’a suivi avec la sortie d’ Alive III l’année suivante; un disque live qui n’est pas à la hauteur de leurs deux précédents disques live.
KISS Psycho Cirque (Kiss band )
En 1996, la programmation originale de Kiss – avec Simmons , Stanley , Frehley et Criss – s’est réunie pour effectuer une tournée internationale, avec leur maquillage et leurs effets spéciaux. La tournée a été l’une des plus réussies de 1996 et, en 1998, le groupe réuni a publié Psycho Circus .
Alors que la tournée qui a suivi pour soutenir Psycho Circus a été un succès, les ventes de l’album de réunion de Kiss n’ont pas été aussi stellaires que prévu. Réminiscence de la période floue du groupe à la fin des années 70, quelques morceaux sur Psycho Circus.
Les quatre membres jouaient ensemble (la plupart des morceaux étaient complétés par des musiciens de session), car le groupe semblait plus intéressé à inonder le marché de merchandising au lieu de faire de la musique sa priorité.
Alors que les rumeurs coururent selon lesquelles la tournée Psycho Circus serait la dernière, le quatuor a annoncé au printemps 2000 qu’il lancerait une tournée d’adieu aux États-Unis pour l’été, qui est devenue l’un des meilleurs concerts de l’année.
Mais à la veille d’une tournée japonaise et australienne au début de 2001, Peter Criss a soudainement quitté le groupe une fois de plus, soi-disant mécontent de son salaire.
A la fin de 2001, le groupe a continué à faire le tour du monde sans nouvel album en magasin, mais en 2008, ils sont retournés au studio, ont réenregistré leurs succès et ont sorti Jigoku-Retsuden alias KISSology ou Kiss Klassics (la sortie était initialement exclusive au Japon).
Au printemps 2009, le groupe a commencé à enregistrer son premier album studio en 11 ans, et a publié les résultats en octobre sous le titre Sonic Boom . Produit par Paul Stanley et Greg Collins , l’album a été exclusivement distribué en Amérique du Nord par Wal-Mart.
En 2014, après 15 ans d’éligibilité, le groupe a été intronisé au Rock & Roll Hall of Fame. L’année suivante, ils sortirent un single collaboratif avec le groupe d’idols japonais Momoiro Clover Z. En 2017, Kissworld , un best-of, a été publié pour coïncider avec une tournée mondiale massive du même nom.
KISS – Festival de Nîmes 2022 : Grandeur, déculotté et pain de mie.
Tu vois, mon ami, le monde se divise en deux catégories, ceux qui ont un pistolet chargé et ceux qui creusent. Musicalement, c’est la même. Le monde se divise en deux catégories. Ceux qui adulent Kiss et ceux qui ne comprennent pas le délire. Moi, je creuse.
Globalement, il est de bon ton de dénigrer KISS. Tout ce carnaval, le maquillage, les feux d’artifice, le merchandising et l’approche mercantile. Alors, bien sûr, il y a les afficionados, les fans, transits d’émotion à la vue d’un goodies KISS, arborant une collection de tee-shirts, ils ont le livre KISS, les chaussettes KISS, le bol KISS. On est en droit de se demander ce qu’ils viennent encore chercher auprès d’un groupe dont le moyenne d’âge est de 70 ans.
Alors oui, le groupe a 50 ans, il a vendu 150 millions d’albums 30 disques d’or, 10 disques multi-platine, et alors ? La période est-elle au respect du travail accompli ? N’est-elle pas à l’avis tranché du pinpin s’autoproclamant spécialiste sur les réseaux sociaux ? C’est la beauté de notre période, tu peux, sans n’avoir jamais mangé autre chose que du pain de mie, monter une chaine youtube de critique gastronomique et abreuver le monde de tes avis creux sur le sujet, du haut sur ton inexpérience crasse.
Mais revenons à KISS et à cette expérience live. Les arènes de Nîmes accueillaient cet été, la dernière date Française du groupe qui prend sa retraite et fait un dernier « End of the road world tour ». J’aurais dû me douter qu’elle serait folle cette soirée, j’avais croisé en arrivant, à côté des arènes, un des plus grands photographes, Ross Halfin, photographe de : AC/DC, Led Zeppelin, Metallica, Van Halen, Gun’s & Roses, Foo Figthters, Aérosmith, etc. Quand tu échanges avec ce type de pointure, tu te dis que même si la soirée est affreuse, tu n’as pas perdu ton temps.
Passons sur une première partie anecdotique et n’y allons par quatre chemins, ce fût magnifique. Depuis 50 ans, Kiss a le même rituel, avant chaque concert, une phrase retentit dans la salle avant le lever de rideau: « You want the best. You got the best. The hottest band in the World : KISS ». Je dois l’avouer, un petit frisson parcourt l’échine de celui qui entend la foule hurler de toutes ses forces cette phrase.
La suite ? Deux heures de show dans le cadre exceptionnel des arènes, de la pyro, du sang, des larmes, du grandiose, une envie folle d’être sur scène après 50 ans de concerts : déconcertant. Une déculottée en bonne et due forme pour les sceptiques comme moi. Le chanteur Paul Stanley attrape le public par les noix et ne le lâche plus pendant deux heures, les tubes s’enchaînent, du feu, des lights, des explosions, près de 12 semi-remorques de matos, le groupe n’est pas venu ici pour beurrer des biscottes. Musicalement, scéniquement c’est rodé, et pour le reste, la légende prend tout son sens.
Les tubes s’enchaînent, le groupe pose pour les photographes, il harangue la foule. Cinquante ans de labeur sur les 5 continents expliquent sûrement cette maîtrise dans le fond et la forme. Y aura-il une succession à de tels monstres ? Il y a de quoi en douter. L’époque me semble plus proche de mon pinpin pétri de conformisme et de pain de mie derrière son écran que de papis rock’n roll jouant avec le feu et le son aux quatre coins du monde.
Alors finalement que viennent chercher les fans à un concert de Kiss ? Peut-être une certaine constance, 50 ans à enfoncer un clou, ce n’est pas rien. Un concert de Kiss, c’est une immense fête ou l’insouciance croise une jubilation rock’n roll d’une autre époque. Kiss a inventé un style et l’a poli jusqu’à l’étincelle. Les membres de Kiss ont créé une légende qui les dépasse à présent.
J’y suis allé plein de questions, j’en suis revenu avec plein de réponses.Du coup, j’ai laissé tomber ma pelle.
Eric CANTO Photographe : Photos de concerts, portraits, pochettes d’albums.
KISS band Festival de NÎMES : Le groupe Kiss a donné un concert exceptionnel le mardi 5 juillet 2022 dans les arènes de Nîmes. Le festival de Nîmes accueillit en 2022 la légende américaine pour la tournée d’adieu du groupe au 150 millions d’albums vendus à travers le monde.
KISS Festival de NÎMES 2021
Le groupe mythique Kiss est revenu en France à l’occasion de sa tournée d’adieu intitulée « End of The Road » !
Le public français a pu donc retrouver Paul Stanley, Gene Simmons, Tommy Thayer et Eric Singer sur scène à l’été 2022, dont le 5 juillet 2022 au Festival de Nîmes et faire des adieux bien mérités au groupe culte.
Depuis 1997, le Festival de Nîmes investit chaque été les arènes de la musique contemporaine dans toute sa diversité. De la chanson française (LES VIEILLES CANAILLES, MICHEL POLNAREFF, RENAUD, FRANCIS CABREL …) au métal (METALLICA, RAMMSTEIN …), des grandes stars de la variété internationale (DEPECHE MODE, MUSE, BJÖRK, PLACEBO …) aux nouvelles révélations (STROMAE), KENDJI GIRAC, GIMS …).
Nîmes accueille des légendes de la musique (NEIL YOUNG, DAVID GILMOR, SANTANA …) et des concerts (DAVID BOWIE, RADIOHEAD …) dans un cadre unique. Durant l’été 2022, ce fût au tour de KISS de rejoindre la longue liste.
KISS Festival de NÎMES
KISS Festival de NÎMES : UN PROGRAMME INTERNATIONAL
Le sud de la France accueille depuis longtemps le plus grand nombre de festivals culturels dans toutes les disciplines: théâtre, musique, danse, arts de la rue, etc.
Dans ce paysage extrêmement dense, le Festival de Nîmes a aujourd’hui pris une place unique et pertinente: il offre à un public très diversifié un lieu de rencontre estival, alliant les grands noms de la musique live dans tous ses genres aux conditions d’un cadre unique.
Dans un mélange unique d’artistes de renom et de stars de demain, il offre le plaisir de l’actualité, découvrant mais aussi redécouvrant des musiciens légendaires pour une expérience unique en son genre.
KISS Festival de NÎMES : UN LIEU UNIQUE
Les Arènes de Nîmes attirent des foules de visiteurs fascinés par la qualité de ce lieu. Appartenant aux monuments historiques, de par leur fonction architecturale, elles sont un lieu de spectacle et de plaisir partagé.
Des Jeux Romains d’hier aux fêtes de la Pentecôte et de la Fête des Vendanges en passant par les concerts d’été par une nuit étoilée, cet endroit n’a jamais cessé de susciter des rêves.
KISS Festival de NÎMES
Kiss, End of the Road Opening Night
La tournée mondiale End of the Road a été la dernière tournée de concerts du groupe de rock américain Kiss . La tournée a commencé le 31 janvier 2019 à la Rogers Arena de Vancouver, au Canada et s’est poursuivie à travers le globe.
La tournée a été annoncée le 19 septembre 2018, suite à une représentation de « Detroit Rock City » sur America’s Got Talent . Les dates de tournée ont été officiellement annoncées pour l’Amérique du Nord, l’Europe et l’Océanie le 30 octobre 2018.
Le peintre professionnel David Garibaldi a servi de première partie pour Kiss pour les étapes nord-américaines et européennes 2019 de la tournée. David Lee Roth a été annoncé plus tard comme première partie nord-américaines de 2020.
En raison de la pandémie de COVID-19 , la plupart des spectacles qui devaient avoir lieu en 2020 ont été reportés à 2021.
Kiss a révélé que leur dernier concert aura lieu le 17 juillet 2021 à New York dans un lieu non spécifié.
Le groupe avait fait l’annonce sur scène avant le deuxième et dernier concert en salle de Kiss Kruise , déclarant également que 90 nouvelles dates de tournée seraient bientôt confirmées.
« Nous avons participé à la tournée End of the Road, et les gens ont dit: » Quand est le dernier concert? « , A déclaré le leader Paul Stanley . « Donc, nous sommes ici pour vous dire que la fin de la route prend fin le 17 juillet 2021 à New York. »
Un compte à rebours gigantesque derrière le groupe pendant l’annonce indiquait 622 jours, 23 heures et 51 minutes.
La tournée End of the Road a débuté le 31 janvier 2019 à Vancouver, en Colombie-Britannique.
Ce n’est pas la première tournée de Kiss à être commercialisée comme étant la dernière: la formation originale réunie du groupe de Gene Simmons , Stanley, Peter Criss et Ace Frehley a monté une tournée d’adieu de 142 dates qui a commencé en 2000 et s’est terminée en avril 2001.
Deux des années plus tard, le groupe a repris la route avec l’actuel guitariste Tommy Thayer prenant la place de Frehley.
« Nous avons ramené ces gars-là et ils étaient complètement excusés, pleins de remords et reconnaissants d’être de retour », a déclaré plus tard Stanley à propos de Criss et Frehley .
Et pendant un certain temps, honnêtement, nous avons perdu de vue le fait que nous n’avions pas à nous arrêter – nous devions nous en débarrasser.
La programmation actuelle – avec Stanley, Simmons, Thayer et le batteur Eric Singer – a annoncé la tournée End of the Road en octobre 2018.
«Ce sera la célébration ultime pour ceux qui nous ont vus et une dernière chance pour ceux qui ne l’ont pas », ont-ils déclaré à l’époque.
« Kiss Army, nous disons au revoir à notre dernière tournée avec notre plus grand spectacle à ce jour et nous sortirons de la même manière que nous sommes arrivés. … Sans excuse et imparable.
Le Main Square Festival est un festival de musique qui se déroule chaque année à la Citadelle d’Arras, dans le nord de la France. Le festival a été créé en 2004 et a depuis accueilli de nombreux artistes nationaux et internationaux de renom, couvrant une variété de genres musicaux, tels que le rock, le pop, le hip-hop et l’électronique.
Le Main Square Festival dure généralement trois jours et se déroule en été, généralement en juillet. Il propose une programmation variée, avec des artistes de renommée internationale tels que Coldplay, Muse, Pearl Jam, Radiohead, Depeche Mode, Green Day, Black Eyed Peas, Macklemore & Ryan Lewis, David Guetta, et bien d’autres encore.
Le festival propose également une grande variété d’activités et de divertissements, notamment des espaces de restauration, des bars, des stands de merchandising, des expositions d’art, des performances de rue et des animations pour les enfants.
Le Main Square Festival est devenu un événement majeur de la scène musicale française et européenne, attirant des milliers de spectateurs chaque année. Il est considéré comme l’un des festivals les plus populaires de France et de la région Hauts-de-France en particulier.
Main Square Festival : les débuts en 2004
Le Main Square Festival a débuté en 2004 avec un simple concert placebo dans le centre d’Arras et dix ans plus tard, il est devenu un festival important en France et même en Europe. Cette année, il devrait recevoir plus de 130 000 spectateurs dans le château (Citadelle) qui a vécu depuis 2010.
Depuis sa création, la place principale a joué certaines des plus grandes stars de la musique à Arras. Son histoire est également marquée par la controverse et les revers, qui remontent à dix ans de festivals.
En juillet 2004, elle ne s’appelait pas la place principale et ce n’était pas encore un festival. La première partie a été fournie par le groupe de rock nordique Gomm. La première édition était un concert de Placebo en plein air organisé par la productrice France Leduc sous la décoration luxueuse d’Arras Grand Place.
15 000 spectateurs ont participé à la représentation de 3 heures. En ce qui concerne la mairie d’Arras, elle souhaite rivaliser avec les Eurockéennes de Belfort, qui se tient également dans l’est de la France.
Où a lieu le Main Square festival?
Le festival de musique Main Square Festival se déroule le premier week-end de juillet dans la Citadelle d’Arras. Le festival aura lieu le 30 Juin, 1er et 2 Juillet 2023. Une des caractéristiques de ce festival est son programme international et l’emplacement de la citadelle d’Arras, classée au patrimoine mondial de l’UNESCO.
Un lieu assez magique pour un photographe de concert avec une programmation somptueuse. Metallica est passé par le Main Square mais aussi Prince…
Selon les données disponibles de l’édition 2019, le festival peut accueillir environ 40 000 personnes par jour sur le site de la Citadelle.
Les organisateurs du festival dévoilent généralement la programmation plusieurs mois avant l’événement, donc je vous recommande de consulter régulièrement leur site officiel ou leurs réseaux sociaux pour les dernières mises à jour. Vous pouvez également vous inscrire à leur newsletter pour recevoir les annonces directement dans votre boîte mail.
Main Square Festival : L’édition 2005
L’édition 2005 est très similaire à l’édition précédente – la même date, la même décoration, le même prix – mais l’organisation a mandaté une autre société de production pour l’utiliser. En conséquence, il n’était pas officiellement considéré comme une version de la Grand Place.
Il y a deux gros titres dans l’émission: le Français de Kyo (toujours le disciple du succès du populaire Le Chemin) et le groupe pop / punk canadien Sum 41.
Main Square Festival : Le virage de l’édition 2008
L’édition 2008 marque une nouvelle étape dans l’histoire du festival: il s’étend à présent sur trois jours et il est désormais soutenu par un géant mondial de la production: Live Nation.
Le Festival est désormais en mesure d’attirer plusieurs grands calibres internationaux tels que The Chemical Brothers et Radiohead, qui offriront un spectacle grandiose et enchanteur sur la Grand’Place grâce aux connexions avec le Belgian Rock Werchter Festival, qui a lieu le même week-end
La place principale devient une grande machine de guerre qui crée des tensions avec les commerçants de la Grand-Place, contraints par exemple de ne vendre que la bière partenaire du festival. Mika, BB Brunes et une dizaine d’autres groupes et artistes sont également dans la programmation du festival cette année-là. Avec plus de 60 000 spectateurs présents, cette édition est un grand succès.
Cette année-là, Live Nation proposa également deux « extras » sur la Grand Place en dehors de la programmation du festival : un concert le 7 juillet de Céline Dion, puis un autre de Metallica, le 8 aout, sous le label « Rock en France ».
Programme Main Square Festival 2020
L’histoire du Main Square Festival
En 2004, la ville d’Arras veut relancer la région en créant un événement culturel majeur. La musique est le vecteur retenu.
La première édition du festival a eu lieu en juillet 2004 sous la direction de France Leduc Productions. Le groupe anglais Placebo est la première star du festival et apparaît devant 10 000 spectateurs, avec le groupe régional en première partie.
En 2006, le jeune festival a reçu Depeche Mode et Muse, dont la visite a réuni près de 45 000 personnes en deux jours. Les années suivantes sont marquées par le développement du festival, devenu un événement musical important en France grâce à la collaboration de France Leduc Productions et Live Nation.
Le festival sur la place principale doit son nom et une partie de son succès à la Grand’Place d’Arras, où le festival s’est déroulé pendant six ans. Grand’Place est un ensemble architectural unique en Europe, qui offre une orientation de plus d’une centaine de façades dans le style du baroque flamand.
Le Main Square Festival peut accueillir environ 30 000 festivaliers par jour.
Où acheter ses Billets pour le Main Square Festival ?
La billetterie ouvrira ses portes le 30 novembre 2022 à 10h. Pour le moment seul le site du Festival annonce les premières programmations mainsquarefestival.fr/
Pour le moment sont annoncés Maroon 5 le vendredi 30 juin, Aya Nakamura et Orelsan le samedi 1er juillet, Macklemore et David Guetta le dimanche 02 juillet.
Comment aller au Main Square Festival?
Cette édition du Main Square Festival se déroulera dans la Citadelle d’Arras, le 30 juin, 1er et 2 juillet 2023. L’entrée publique du festival s’effectue par la Porte Royale de la Citadelle, depuis le Boulevard du Général De Gaulle.
Voici quelques options pour y accéder :
En voiture : Si vous venez en voiture, il est possible de se garer dans les parkings prévus à cet effet. Suivez simplement les indications « Main Square Festival » sur les panneaux de signalisation autour de la ville d’Arras.
En train : Arras est desservie par des trains en provenance de nombreuses villes de France. De la gare d’Arras, vous pouvez prendre un taxi, un bus ou une navette spéciale pour vous rendre au site du festival.
En avion : Les aéroports les plus proches sont Lille-Lesquin et Paris-Charles de Gaulle. À partir de là, vous pouvez prendre un train ou une navette pour arriver à Arras.
En bus : Il est également possible de prendre un bus en provenance de certaines villes françaises. Des navettes spéciales sont également organisées pour transporter les festivaliers depuis certaines villes environnantes.
Je vous recommande de vérifier les options de transport les plus pratiques pour vous sur le site officiel du Main Square Festival et de planifier votre voyage à l’avance pour éviter les complications le jour du festival.
FAQ en 10 points sur le Main Square Festival :
1. Qu’est-ce que le Main Square Festival ?
Le Main Square Festival est un festival de musique qui a lieu chaque année à Arras, dans le nord de la France. Il accueille des artistes de renommée mondiale dans une variété de genres musicaux, allant du rock et de la pop au hip-hop et à l’électronique.
2. Quand a lieu le Main Square Festival ?
Le Main Square Festival a lieu généralement chaque année au début du mois de juillet, pendant un week-end de trois jours.
3. Qui sont les artistes qui se produisent au Main Square Festival ?
Le Main Square Festival attire des artistes de renommée mondiale dans une variété de genres musicaux. Des artistes tels que Muse, Coldplay, Depeche Mode, Black Eyed Peas, Macklemore, Queens of the Stone Age, et bien d’autres encore, ont tous performé au Main Square Festival dans le passé.
4. Comment acheter des billets pour le Main Square Festival ?
Les billets pour le Main Square Festival peuvent être achetés en ligne ou via des points de vente locaux. Il existe plusieurs options de billetterie pour répondre aux besoins des festivaliers, notamment des billets d’une journée, des forfaits pour le week-end et des options VIP.
5. Quelles sont les options d’hébergement disponibles pour les festivaliers ?
Le Main Square Festival propose un certain nombre d’options d’hébergement pour les festivaliers, y compris des campings sur place, des hôtels locaux et des appartements de vacances. Il est important de réserver à l’avance pour garantir l’hébergement de votre choix.
6. Puis-je apporter de la nourriture et des boissons au festival ?
Les festivaliers ne sont pas autorisés à apporter de la nourriture ou des boissons sur le site du festival. Des stands de nourriture et de boissons sont disponibles sur place pour répondre aux besoins des festivaliers.
7. Quelles sont les règles à suivre pour assister au Main Square Festival ?
Le Main Square Festival a des règles strictes en matière de sécurité pour garantir la sécurité de tous les festivaliers. Les organisateurs du festival ont mis en place des mesures de sécurité pour prévenir les incidents tels que le vol, la violence et l’utilisation de drogues. Les festivaliers doivent se conformer à ces règles pour être autorisés à entrer sur le site.
8. Y a-t-il des mesures d’accessibilité pour les personnes à mobilité réduite ?
Le Main Square Festival s’efforce d’être accessible à tous les festivaliers, y compris ceux qui ont des besoins spécifiques en matière d’accessibilité. Des zones réservées aux personnes à mobilité réduite sont disponibles, ainsi qu’un service de navette pour les personnes à mobilité réduite. Les organisateurs du festival fournissent des informations détaillées sur les règles à suivre et les mesures d’accessibilité pour assurer la sécurité et le bien-être de tous les festivaliers.
9. Comment se rendre au Main Square Festival ?</h eric.canto@groupe-grim.com continue 2>
Le Main Square Festival est situé dans la ville d’Arras, dans le nord de la France. Les festivaliers peuvent se rendre au festival en voiture, en train ou en bus. Des navettes sont également disponibles pour transporter les festivaliers depuis les gares et les parkings locaux jusqu’au site du festival.
10. Y a-t-il des mesures de sécurité particulières à prendre en compte lors de la participation au Main Square Festival ?
Le Main Square Festival a mis en place des mesures de sécurité pour garantir la sécurité de tous les festivaliers. Les organisateurs du festival recommandent aux festivaliers de prendre certaines mesures de sécurité, telles que de rester vigilants et de signaler toute activité suspecte. Il est également important de se conformer aux règles du festival en matière de sécurité, telles que les restrictions concernant les objets interdits sur le site du festival.
En conclusion, le Main Square Festival est un événement de musique incontournable en France, offrant une variété d’artistes de renommée mondiale dans une variété de genres musicaux. Les festivaliers peuvent profiter d’options d’hébergement, de nourriture et de boissons sur place, ainsi que de mesures de sécurité pour garantir la sécurité de tous les participants. Il est important de se conformer aux règles du festival en matière de sécurité et de respecter les autres festivaliers pour garantir une expérience de festival agréable pour tous.
Main Square Festival programme : les 7 dernières années
Main Square Festival – Edition 2022
Louane, SCH, Angèle, DJ Snake, Yungblud, Sting, Feu ! Chatterton, Niska, Alan Walker, Matthieu Chedid, Black Eyed Peas, Vald, Twenty One Pilots, Skip The Use…
Main Square Festival – Edition 2020
Twenty One Pilots • Sting • -M- • Black Eyed Peas • Pixies • LP – Nekfeu • Sum 41 • Cage The Elephant • Alan Walker • Vald • Therapie Taxi • Koba LaD • Supertramp’s Roger Hodgson • Larkin Poe • Jehnny Beth • Brass Against • RÜFÜS DU SOL • Alec Benjamin • Last Train • Caballero & JeanJass • Tones And I • Izia • Marcel et son orchestre • Henri PFR • Yuzmv • Madeon
Main Square Festival – Edition 2019
DJ Snake • Christine and The Queens • Damso • Martin Garrix • Ben Harper & The Innocent Criminals 6Charlotte de Witte • Skip the Use • Cypress Hill • Angèle • Lomepal • Arnaud Rebotini • Editors • Eddy de Pretto • Jain • Bring Me The Horizon • Macklemore • Christine and the Queens • Bekar • Edgär • Editors • Rival Sons • Tamino • Bigflo et Oli • Bring Me the Horizon • The John Butler Trio • Idles • Jonathan Wilson • Old Tree’z • Bisou Bisou • Caravan Palace • Gavin James • Miles Kane • Lizzo • Les Rappeurs En Cartons • Agar Agar • Shame • Warhola • Todiefor • Masego • Maggie Rogers • Matt Corby
Main Square Festival – Edition 2018
Depeche Mode • Queens of The Stone Age • Orelsan • Nekfeu – Jamiroquai • Liam Gallagher • IAM • Justice • Girls in Hawaii • The Breeders • The Courteeners • Youngr • Wolf Alice • The Blaze • Jungle • Pleymo • Tom Walker • Portugal. The Man • Roméo Elvis • Kid Francescoli • The Hunna • Double T • PVRIS • Black Foxxes • Baasta! • Okay Monday • Loïc Nottet • Damian Marley • BB Brunes • Nothing But Thieves • Gojira • Boris Brejcha • Paul Kalkbrenner • Feder
Main Square Festival – Edition 2017
Radiohead • System of a Down • Major Lazer – Biffy Clyro • Vitalic • Machine Gun Kelly • Die Antwoord • Jain • Kaleo • Kungs • Dirtyphonics • Xavier Rudd • June Bug • Savages • La Femme • Seasick Steve • Mark Lanegan Band • Highly Suspect • Above and Beyond • Frank Carter And The Rattle Snakes • Don Broco • The Inspector Cluzo
Main Square Festival – Edition 2016
Les Insus (Téléphone) • Macklemore & Ryan Lewis • The Offspring • Iggy Pop – Disclosure • Louise attaque • Jake Bugg • Ellie Goulding • Birdy Nam Nam • Lonely The Brave • Mass Hysteria• Yelawolf • Jeanne Added • Flume • Boys Noize • Cardri • Bear’s Den • Nathaniel Rateliff • Marina Kaye • X Ambassadors • Nekfeu • Salut c’est cool • EVRST • Tiggs Da Author • A-Vox • LEJ • Years & Years • Odesza • Walk off the Earth • The Struts • Last Train • Band of Horses • Ghinzu • Editors • Cayman Kings • The London Souls
Main Square Festival – Edition 2015
Lenny Kravitz • Muse • Shaka Ponk- Pharrell Williams • Lilly Wood • Mumford & Sons • Skip The Use • Patrice • Rudimental • Hozier • Twin Atlantic • Tiken Jah Fakoly • The Script • Rival Sons • IAM • Lindsey Stirling • BRNS • ILoveMakonnen • Isaac Delusion • James Bay • Oscar and the Wolf • Kodaline • Royal Blood • Sam Smith • Rone • Charli XCX • The Avener • Fakear• Circa Waves • The Arrogants • A-Vox • Tim Fromont Placenti • Sheppard • Coasts • Josef Salvat
Eric CANTO Photographe : Photos de concerts portraits, pochettes d’albums.
Le Main square festival 2020 annulé ?
Y aura-t-il un festival Main Square 2020? Alors que le pays est fermé pendant deux semaines pour faire face à l’épidémie de Covid-19, le nombre d’appels à des événements culturels augmente. Y aura-t-il un festival sur la place principale qui aura lieu à Arras du 3 au 5 juillet? Le premier coup de semonce lors des festivals d’été a été publié le 18 mars.
Ce jour-là, les groupes du légendaire festival anglais Glastonbury ont annoncé que l’édition 2020, qui devait avoir lieu du 24 au 28 juin, n’aurait pas lieu. Depuis lors, la question de l’annulation de ces événements s’est inévitablement justifiée. Et qu’adviendra-t-il du festival sur la place principale prévu une semaine après le festival en Angleterre?
Ceux qui suivent l’actualité du festival sur facebook auront remarqué que la communication du festival est désormais orientée sur la manière de s’occuper en temps de confinement tout en mettant en avant les artistes programmés pour cette édition 2020.
Rien sur une éventuelle annulation. Mis à part ce message rappelant les règles sanitaires : « Il n’y a qu’ensemble que nous pourrons garantir un été plein de musique, de divertissements, de voyages, de sports, et d’amitiés. »
Le premier choc concernant les festivals d’été a été donné le 18 mars. Ce jour-là, les équipes du mythique festival anglais Glastonbury annonçaient que l’édition 2020, qui devait avoir lieu du 24 au 28 juin, n’aurait pas lieu.
Forcément, depuis, la question de l’annulation de ces événements devient légitime. Et qu’en sera-t-il pour le Main square festival programmé une semaine après le festival anglais ?
Glastonbury Festival « We are so sorry to announce this, but we are going to have to cancel Glastonbury 2020. Tickets for this year will roll over to next year. Full statement below and on our website. »
Le maire Arras Frédéric Leturque ne sait vraiment pas plus : « Nous nous réunissons à la mi-mai pour évaluer la situation. Il n’y a pas de retour possible aujourd’hui. Nous faisons très attention à la situation. Nous avons eu la chance que la place du marché ait lieu début juillet. » Il a contacté le directeur du festival, Armel Campagna, qui a déclaré « qu’il est encore un peu tôt » pour répondre à la question. Comme tout le monde, il reste suspendu sur les décisions du gouvernement.
Rolling Stone Magazine est un bimensuel américain ayant une présence exceptionnelle dans l’univers de la pop culture et de la musique.
L’histoire du magazine Rolling Stone et son évolution
Fondé en 1967 à San Francisco, le magazine tire son nom d’une chanson des Muddy Waters. Créé par Jann Wenner, ce premier numéro présentait John Lennon sur la couverture.
Au fil des années, Rolling Stonea toujours suivi les tendances musicales avec une attention particulière pour la culture rock. Il est rapidement devenu le mensuel de référence pour obtenir des informations musicales, en plus de porter un regard précis et éclairant sur les actualités culturelles, sociétales et politiques.
Des interviews exclusives et des reportages passionnants
Le succès du magazine repose sur ses interviews exclusives et autres reportages passionnants, mettant en lumière aussi bien les personnalités emblématiques du histoire de la musique que les nouveaux talents. Ainsi, chaque article apporte quelque chose de neuf et captivant sur l’artiste ou le groupe concerné.
Outre les interviews, Rolling Stone propose également des chroniques d’album, des comptes rendus de concert, des sujets sur les tendances du secteur de la musique et du showbiz, ainsi que des articles sur les derniers albums à succès.
Au-delà de la musique, Rolling Stone explore également d’autres thèmes tels que le cinéma, la télévision, la littérature, la mode et l’art contemporain. Le magazine a parfois été controversé pour ses reportages et ses critiques, n’hésitant pas à s’attaquer aux problèmes de société.
Une présence mondiale avec des éditions internationales
En plus de son édition américaine, Rolling Stone possède des moutures nationales dans différents pays qui reprennent les articles publiés aux États-Unis en y ajoutant des contenus locaux comme les sorties d’albums, les concerts, les festivals, les expositions et les manifestations culturelles locales.
L’édition francophone et les autres éditions européennes
De nombreuses éditions européennes ont vu le jour, dont une version française commencée en 1988. D’autres versions ont aussi vu le jour en Italie, en Allemagne ou encore au Royaume-Uni par exemple, attestant de la portée internationale de la marque.
Des supports numériques pour un magazine toujours plus accessible
Soucieux de s’adapter aux nouvelles technologies, Rolling Stone a investi les médias numériques pour proposer une version en ligne enrichie de contenu multimédia, notamment grâce à des vidéos exclusives, mais aussi grâce à la possibilité pour les internautes de participer à diverses enquêtes, sondages et concours.
La version numérique du magazine propose ainsi une grande variété de contenus, qu’il s’agisse d’articles de fond, de brèves actualités, de listes thématiques ou encore de portfolios sur des sujets plus légers et divertissants.
Rolling Stone : un acteur incontournable dans la promotion de la musique
Depuis sa création, Rolling Stone a toujours cherché à mettre en avant les artistes qui ont marqué l’histoire de la musique. Ceci est particulièrement vrai pour la culture rock, dont le magazine se veut dépositaire.
Récompenser et honorer les meilleures créations musicales
À travers ses célèbres classements annuels tels que « Les 500 meilleurs albums de tous les temps » , « Les 100 meilleurs guitaristes » ou encore « Les 100 meilleures chansons », Rolling Stone contribue à récompenser et honorer les meilleures créations musicales et artistique.
Certains voient ces classements comme une forme de favoritisme et craignent qu’ils ne contribuent à figer l’image de la musique plutôt que de la faire évoluer. Néanmoins, force est de constater que les choix du magazine sont reconnus et respectés par la profession et le grand public, qui y voient souvent un repère utile.
Promouvoir la nouvelle génération d’artistes
Bien conscient de l’évolution du monde de la musique, Rolling Stone n’hésite pas à consacrer de la place aux jeunes artistes prometteurs pour les faire connaître auprès d’un public plus large et attiser ainsi l’intérêt des maisons de disques, des tourneurs et autres acteurs du secteur.
Ainsi, grâce au soutien du magazine, un grand nombre de nouveaux talents ont pu émerger et trouver leur voie dans le métier.
Un succès indéniable qui reste intact avec le temps
Malgré quelques polémiques ou critiques prenant parfois à partie sa ligne éditoriale ou ses choix rédactionnels, force est de constater que le magazine a conservé son statut de référence dans le milieu de la musique et culturelle.
Aujourd’hui encore, Rolling Stone reste un véritable passeport vers la réussite pour bon nombre d’artistes et groupes musicaux en quête de reconnaissance. L’aventure continue donc, riche en passion et découvertes, comme le témoignent chaque mois les pages du célèbre magazine américain.
Pour tous les amateurs de musique et de pop culture, Rolling Stone est un rendez-vous à ne pas manquer !
Découvrez les Arènes de Nîmes, cet amphithéâtre romain situé dans la ville de Nîmes, dans le Gard, qui a traversé les siècles et continue d’émerveiller par son architecture et son histoire. Dans cet article, nous vous invitons à explorer ce monument emblématique, ses origines, sa construction et son utilisation au fil des siècles.
Origines et construction des Arènes de Nîmes
Construites durant le Ier siècle après J.C, les Arènes de Nîmes témoignent de la grandeur et de l’influence du monde romain. À l’époque, la ville de Nîmes faisait partie de la province romaine de Gaule Narbonnaise et était un important centre commercial et culturel. La construction de cet amphithéâtre s’inscrit dans le développement urbain de la ville, marqué également par la présence d’autres monuments romains tels que la Maison Carrée ou encore la Tour Magne.
Architecture et dimensions des Arènes de Nîmes
L’amphithéâtre de Nîmes est considéré comme l’un des mieux conservés au monde. Il mesure 133 mètres de longueur, 101 mètres de largeur et possède une hauteur maximale de 21 mètres. De forme ovale, il pouvait accueillir environ 24 000 spectateurs répartis sur deux niveaux de gradins. Les Arènes de Nîmes sont composées de pierres calcaires locales et ont été conçues avec un système de voûtes et d’arcs qui assurent la stabilité et la solidité de l’ensemble.
Dans le souci du détail caractéristique de l’architecture romaine, les façades des Arènes sont ornées de sculptures et de bas-reliefs représentant notamment Neptune et Typhon, divinités marines dans la mythologie romaine. Leur disposition est organisée selon les ordres architecturaux dorique, ionique et corinthien, symboles de raffinement et d’harmonie.
Les Arènes de Nîmes à travers les siècles
L’utilisation des Arènes de Nîmes a évolué au fil des siècles en fonction des besoins et des influences culturelles successives. Découvrons quelques-unes des étapes importantes de cette histoire mouvementée.
Fonction originelle : amphithéâtre romain et spectacles antiques
À l’époque romaine, les Arènes de Nîmes avaient pour principale fonction d’accueillir des spectacles publics, tels que les combats de gladiateurs, les courses de chars ou encore des représentations théâtrales. Ces divertissements étaient organisés pour distraire et impressionner la population locale, mais aussi pour témoigner de la puissance et de la prospérité du monde romain.
Moyen Âge et Renaissance : forteresse et habitat
Au Moyen Âge, les Arènes de Nîmes ont été réutilisées comme forteresse par les seigneurs locaux pour protéger la population lors des conflits et des invasions barbares. Des tours fortifiées ont été ajoutées aux quatre angles de l’édifice afin d’assurer sa défense. À l’intérieur de l’amphithéâtre, des habitations ont été construites pour loger plus de 2 000 personnes. La vie quotidienne s’est alors organisée autour des commerces, des ateliers et des lieux de culte qui ont vu le jour au sein même des Arènes.
Cette période sombre a cependant entraîné une profonde dégradation du monument, qui sera progressivement abandonné dès le XVIe siècle avec la Renaissance et le rétablissement de l’autorité royale.
XIXe siècle : restauration et préservation du patrimoine
L’intérêt pour les vestiges du monde romain renaît au XIXe siècle, à l’image de l’écrivain français Victor Hugo qui célèbre la beauté des Arènes de Nîmes dans son ouvrage « Les Voix intérieures ». Les autorités françaises décident alors de lancer des travaux de restauration et de mise en valeur du monument. La première étape consiste à démanteler les habitations et les structures médiévales qui défiguraient l’architecture originelle des Arènes. Puis, des campagnes de fouilles archéologiques sont menées et several projets de restauration sont entrepris pour redonner leur magnificence aux Arènes de Nîmes.
Les Arènes de Nîmes aujourd’hui : entre histoire et spectacle
Actuellement, les Arènes de Nîmes témoignent de leur passé prestigieux tout en continuant d’accueillir des événements divers, faisant ainsi le lien entre l’histoire romaine et notre époque moderne. Parmi les manifestations les plus connues ayant lieu dans cet amphithéâtre, citons notamment :
La Feria de Nîmes, célèbre fête taurine locale qui se déroule chaque année pendant la Pentecôte et la récolte du vin;
Des corridas traditionnelles, perpétuant ainsi la dimension spectaculaire et combative des Arènes;
Des concerts et festivals, comme les « Nuits Musicales » ou encore les « Grands Jeux Romains », reconstituions historiques mettant à l’honneur la culture antique;
Des expositions temporaires et autres animations autour de l’histoire et de l’archéologie.
Ainsi, grâce aux efforts de préservation et de valorisation, les Arènes de Nîmes demeurent un témoin vibrant du patrimoine architectural et culturel du monde romain, permettant aux visiteurs du monde entier de plonger dans l’univers fascinant de cette période riche en découvertes et en émotions.
EN SAVOIR PLUS…La fascinante histoire des Arènes de Nîmes
Situées dans la ville française de Nîmes, dans le département du Gard, les Arènes de Nîmes sont un amphithéâtre romain édifié au Ier siècle après J.-C. Elles comptent parmi les mieux conservées au monde et témoignent encore aujourd’hui de l’incroyable ingéniosité des architectes de l’époque.
Un héritage architectural impressionnant
Bâties en 70 après J.-C., les Arènes de Nîmes étaient conçues pour accueillir entre 20 000 et 24 000 spectateurs lors de divers spectacles offerts aux habitants de la cité romaine. Grâce à leurs deux niveaux, soit 60 arcades chacun, elles mesurent 133 mètres de longueur pour 100 mètres de largeur. Il s’agit du monument public le plus grand de la ville, suivi de près par la Maison Carrée.
L’amphithéâtre romain
L’amphithéâtre ressemble fortement au Colisée de Rome. Il possède une arène elliptique entourée de gradins dont l’accès était réglementé selon la classe sociale du spectateur. L’arène centrale mesure 69 mètres de long sur 38 mètres de large et servait originellement aux combats de gladiateurs, aux courses de chars et aux chasses d’animaux sauvages. Ces spectacles étaient en effet très prisés par l’élite de l’époque.
La particularité des Arènes de Nîmes
Comme la plupart des amphithéâtres romains, les Arènes de Nîmes étaient dotées de dispositifs ingénieux pour optimiser tant le confort que l’acoustique. Parmi ces innovations : un système de galeries souterraines qui permettait une circulation fluide des spectateurs et des participants aux jeux de surface, ainsi qu’un mécanisme subterfuge composé de poulies et de cordages afin d’afficher en temps réel le déroulement des courses de chars à grand rayon d’action, ou encore les systèmes d’entrées secondaires pour faciliter la sortie des animaux sauvages au cours des représentations.
Les différentes fonctions du site au fil du temps
Au cours des siècles qui ont suivi la construction des Arènes, celles-ci sont passés successivement par différents usages :
En 475 après J.-C., les Arènes ont progressivement perdu leur fonction initiale due à l’interdiction du christianisme et se sont transformées en carrière ouverte ;
Au Moyen-Âge, elles ont servi d’hôtel fortifié, puis de base militaire à partir du XVIIe siècle pour protéger la ville contre les troupes étrangères;
Jusqu’au XIXe= siècle, elles ont accueilli tournois médiévaux et fêtes foraines, avant d’être réinvesties pour leur usage originel à l’initiative de Prosper Mérimée et les premiers spectacles taurins voient le jour.
Depuis le XXe siècle, elles sont utilisées également pour des événements culturels, comme des concerts ou spectacles en plein air.
La restauration et la valorisation des Arènes de Nîmes
Afin de préserver cet héritage patrimonial exceptionnel, les autorités compétentes ont entrepris dès le XIXe siècle un travail de restauration conséquent. Des experts spécialistes dans le domaine classique sont régulièrement sollicités pour mener cette démarche dans le respect des règles de l’art.
Le programme de restauration actuel
Les travaux de restauration actuels ont débuté en 2010 et doivent s’étendre sur plusieurs années encore. Le périmètre couvert par ces interventions englobe :
La consolidation et la rénovation des façades extérieures;
Le remplacement total ou partiel de certaines pierres abimées;
Le nettoyage des surfaces par des techniques douces pour préserver la patine du temps;
La mise en valeur de l’amphithéâtre lui-même, ainsi que de ses annexes (tour médiévale, église Saint-Alexandre, etc.), grâce à des dispositifs muséographiques et d’expositions temporaires.
Les événements organisés aux Arènes de Nîmes
Le caractère unique et le patrimoine exceptionnel qui entoure les Arènes de Nîmes en font également un lieu prisé pour l’organisation d’événements culturels dans la ville. Parmi ceux-ci :
Festival de Nîmes : une série de concerts souvent attendus avec impatience par les amateurs de musique française et internationale;
Les Grands Jeux Romains : cette importante reconstitution historique rassemble chaque année des milliers de participants venus du monde entier pour revivre les combats de gladiateurs ou les courses de chars rendues célèbres à travers le monde;
Expositions temporaires : sur des thèmes liés à l’histoire romaine, elles offrent au public l’occasion de découvrir des objets et documents rares prêtés par plusieurs musées nationaux ou étrangers.
L’impact économique et touristique des Arènes de Nîmes
La visite des prestigieuses Arènes constitue une étape incontournable lors d’un séjour touristique dans le sud de la France, notamment en Languedoc-Roussillon. Classées monument historique depuis 1840, elles attirent chaque année près d’un million de visiteurs et génèrent ainsi d’importantes retombées économiques pour la ville et ses alentours, contribuant grandement à la dynamisation de la région.
Les Arènes de Nîmes
C’est dans ce lieu magique, empreint d’histoire, que de nombreux artistes et groupes prennent plaisir à venir se produire pour des spectacles culturels et festifs où se pressent un public local et international, notamment lors d’un festival bien connu le Festival de Nîmes.
Où se situent les Arènes de Nîmes ?
Joyau de la Romanité, cet amphithéâtre est situé au cœur de la commune de Nîmes ou Nemausus, citée prospère sous l’Empire Romain, aujourd’hui préfecture du département du Gard, en Occitanie, dans le sud de la France. Nîmes, avant-poste important au temps de l’Empire romain, est connue pour ses monuments bien conservés, comme la Maison Carrée, La Tour Magne ou encore le Temple de Diane.
Cet amphithéâtre conçu pour le spectacle et communément appelé « Arènes de Nîmes » ; de part son origine latine « arena » qui signifie aire de sable où se déroulent les courses ; fait partie des plus grands amphithéâtres de la Gaule Romaine les mieux conservés du monde antique.
Qui a construit les Arènes de Nîmes ?
Les Arènes de Nîmes, pensées sur le modèle du Colisée à Rome, ont été construites vers 100 après J.C sous le règne de l’Empereur Auguste. Toujours en usage pour des concerts, des représentations théâtrales, des manifestations sportives et des corridas pendant les férias, cet édifice a été bâti à l’époque romaine pour accueillir des spectacles de gladiateurs qui aujourd’hui revivent au travers de ludi (jeux du cirque)reconstitués chaque année, fin avril, lors des Grands Jeux Romains.
Cette ellipse mesure 133 mètres de long sur 101 mètres de large. Les Arènes de Nîmes possèdent une piste centrale ovale de 68 mètres de long sur 38 mètres de large. La corniche sommitale est située à 21 mètres de haut. Sa forme permet donc d’éviter tout angle mort quelque soit la place occupée et d’avoir une vue incroyable de l’ensemble, en plein air.
Réparties sur 2 étages, 120 arcades sont séparées par 60 colonnes surmontées de blocs en saillie, percés et destinés à recevoir un mat afin d’y tendre des câbles soutenant un Velum (voile immense) protégeant les spectateurs du soleil.
A l’intérieur des Arènes de Nîmes, le système de galeries et d’escaliers, appelés « vomitoires », a été pensé pour éviter les bousculades et faciliter la circulation. Le système architectural permet ainsi de vider l’édifice en un temps record et en toute sécurité.
Combien de places aux Arènes de Nîmes ?
A l’époque Romaine, les Arènes de Nîmes pouvaient accueillir 24 000 spectateurs, sur 34 rangées de gradins réparties en 4 zones. Chaque zone était réservée à une catégorie sociale. Les plus hauts placés socialement étaient placés le plus bas dans les arènes, c’est-à-dire au plus prés du spectacle.
Aujourd’hui la capacité d’accueil a été réduite puisque des rangées de gradins ont été détruites. Les Arènes de Nîmes peuvent accueillir près de 13 800 spectateurs en position assise.
Quelles sont les meilleures places aux Arènes de Nîmes ?
Quelque soit votre emplacement, la vue sera magnifique, mais plus vous serez placés dans le bas des gradins, plus vous serez proches de(s) artiste(s). En définitive, ceux qui souhaitent profiter du concert en étant à quelques mètres de la scène, avec un certain confort, optez pour la catégorie 1 ou carrément le carré Or.
Pour ceux qui veulent vivre une expérience plus intense, au cœur de l’ambiance, assez proches de la scène, et emportés par la foule, optez pour la fosse c’est-à-dire débout (catégorie 3). Attention pour certains spectacles, les places assises occupent la fosse. Dans ce cas vous aurez accès à 2 catégories en fosse : carrée or (tout devant) ou catégorie 1.
Si vos moyens sont plus limités et que vous ne souhaitez pas vous mêler à l’euphorie de la fosse, choisissez une vos places dites « en général » avec placement libre ou en catégorie 2 (places choisies). Elles seront situées aux points les plus hauts.
Enfin, à éviter si vous ne voulez pas louper une miette du show et que vous êtes sensibles aux ondes sonores, la catégorie 4. Ces places sont en fait des sièges situés sur le côté de la scène, à la même hauteur que les places en catégorie 1. Vous serez certes bien placés mais la visibilité ne sera pas optimisée. Et équipez vous de bouchons d’oreille ou d’un casque car niveau décibels vous serez servis.
Peut on visiter les Arènes de Nîmes ?
Même si les Arènes de Nîmes sont classées aux monuments historiques, elles ne sont pas inscrites au patrimoine mondial de l’Unesco. Depuis qu’Edeis a repris la gestion en 2021 en délégation de service public, une nouvelle visite est proposée aux touristes avec un audio-guide en sept langues, des panneaux pédagogiques ainsi que des espaces muséographiques.
Il est donc possible grâce aux nouvelles technologies et à la bonne conservation du lieu, de se plonger à l’époque de nos ancêtres les romains.
Les arènes de Nîmes sont ouvertes tous les jours sur des amplitudes horaires allant de 9h à 20h selon les saisons et les périodes de l’année. La visite des arènes n’est toutefois pas autorisée lors des fêtes, spectacles et férias. Il est facile de stationner puisque des parkings souterrains sont situés tout autour du site et dès la Gare Feuchères, située à quelques dizaines de mètres de l’édifice.
Le festival de Nîmes: le festival des les Arènes de Nîmes
Le Festival de Nîmes est un événement annuel de musique qui se déroule dans la ville de Nîmes, dans le sud de la France. Depuis sa création en 1997, il est devenu l’un des événements musicaux les plus importants de la région, attirant des milliers de visiteurs chaque année.
Le festival se déroule chaque été, généralement en juin et juillet, dans l’amphithéâtre romain de Nîmes, qui est l’un des plus grands et des mieux préservés de l’Antiquité. L’amphithéâtre peut accueillir jusqu’à 16 000 spectateurs et offre une expérience de concert unique avec ses gradins en pierre et son acoustique exceptionnelle.
Au fil des ans, le Festival de Nîmes a accueilli de nombreux artistes de renommée internationale, tels que Bob Dylan, Sting, Elton John, Muse, Metallica, Coldplay, Depeche Mode et bien d’autres. Les concerts sont généralement organisés sur plusieurs jours et offrent une variété de styles musicaux, allant du rock et du pop au reggae, à l’électro et à la musique du monde.
Outre les concerts dans l’amphithéâtre romain, le festival propose également des spectacles dans d’autres lieux de la ville, tels que la Maison Carrée et la Tour Magne. Il y a également une foire aux vins qui propose des dégustations de vins locaux et régionaux ainsi que des produits artisanaux.
Le Festival de Nîmes est une occasion unique de découvrir la beauté de l’amphithéâtre romain tout en profitant de la musique live de certains des artistes les plus célèbres au monde. C’est un événement incontournable pour les amateurs de musique et les passionnés d’histoire et de culture romaine. Si vous envisagez de vous rendre à Nîmes pour le festival, il est recommandé de réserver vos billets et votre hébergement à l’avance car les places sont souvent limitées et se vendent rapidement.
FAQ sur les Arènes de Nîmes
1. Quelle est la capacité des Arènes de Nîmes ?
La capacité des Arènes de Nîmes varie en fonction des événements organisés. Lors de spectacles et concerts, l’amphithéâtre peut accueillir environ 13 000 spectateurs. Cependant, en configuration historique pour les jeux romains, la capacité des Arènes de Nîmes était estimée à environ 24 000 personnes, ce qui montre l’ampleur de cet édifice romain.
2. Quelle est la capacité des Arènes de Nîmes pour les concerts ?
Lors des concerts, la capacité des Arènes de Nîmes est légèrement réduite par rapport à sa capacité historique. Selon la configuration scénique et les dispositions de sécurité, l’arène peut accueillir jusqu’à 13 000 personnes, assurant une ambiance intime malgré la grandeur de l’espace.
3. Quelles sont les meilleures places aux Arènes de Nîmes ?
Les meilleures places aux Arènes de Nîmes pour assister à un concert ou un spectacle dépendent de vos préférences. Pour une vue panoramique, les places situées au sommet de l’amphithéâtre offrent une vision globale de l’arène. Si vous préférez être plus proche de l’action, les places situées au niveau des gradins inférieurs sont idéales. Les places VIP ou de catégorie supérieure, généralement situées au centre, sont aussi très prisées pour leur proximité avec la scène.
4. Combien de places y a-t-il aux Arènes de Nîmes ?
En fonction de la configuration, le nombre de places aux Arènes de Nîmes peut varier. En version concert ou spectacle moderne, la capacité est d’environ 13 000 places. En version historique, lors des spectacles de gladiateurs ou d’événements sportifs dans l’Antiquité, elle pouvait atteindre près de 24 000 places.
5. Quelle est la hauteur des Arènes de Nîmes ?
Les Arènes de Nîmes mesurent environ 21 mètres de hauteur. Cet édifice monumental, construit au 1er siècle après J.-C., impressionne par ses proportions et la qualité de sa préservation. La structure comporte deux étages d’arcades et une série de galeries internes permettant la circulation des spectateurs.
6. Comment est organisé le plan des places pour les concerts aux Arènes de Nîmes ?
Le plan des places pour les concerts aux Arènes de Nîmes est généralement divisé en plusieurs catégories. Les places les plus proches de la scène se situent dans la zone centrale de l’arène, suivies par les gradins inférieurs, puis les gradins supérieurs. Ce système permet à chaque spectateur de bénéficier d’une excellente vue, tout en tenant compte de la configuration historique des lieux.
7. À quoi servaient les Arènes de Nîmes à l’époque romaine ?
À l’époque romaine, les Arènes de Nîmes servaient principalement à accueillir des spectacles de gladiateurs, des combats d’animaux et d’autres événements publics. Construites au 1er siècle après J.-C., elles représentaient un centre majeur de divertissement pour la population de l’époque, un peu comme les stades de football aujourd’hui.
8. Quel est le nombre de places disponibles aux Arènes de Nîmes pour les événements modernes ?
Le nombre de places disponibles aux Arènes de Nîmes pour les événements modernes, tels que des concerts, des festivals ou des spectacles, est d’environ 13 000. Cette capacité est optimisée pour garantir le confort et la sécurité des spectateurs tout en conservant l’authenticité du lieu.
9. Quel est le plan des Arènes de Nîmes pour les concerts ?
Le plan des Arènes de Nîmes lors des concerts varie en fonction de l’événement, mais il est généralement organisé en trois zones principales :
La fosse : située directement devant la scène pour les spectateurs souhaitant être au plus près de l’action.
Les gradins inférieurs : offrant une excellente vue sur la scène tout en étant légèrement surélevés.
Les gradins supérieurs : idéals pour une vue d’ensemble et pour les personnes préférant une vision panoramique.
10. Quelle est l’histoire des Arènes de Nîmes ?
Les Arènes de Nîmes, construites à la fin du 1er siècle après J.-C., sont l’un des amphithéâtres romains les mieux préservés au monde. Leur architecture est inspirée du Colisée de Rome, mais avec des dimensions plus modestes. Au fil des siècles, elles ont servi à de multiples usages, allant des spectacles de gladiateurs à la forteresse médiévale, et aujourd’hui, elles accueillent des concerts et des événements culturels majeurs.
11. Combien de places étaient disponibles dans les Arènes de Nîmes à l’époque romaine ?
À l’époque romaine, la capacité des Arènes de Nîmes était d’environ 24 000 places. L’amphithéâtre pouvait accueillir une grande partie de la population de Nîmes et des environs, pour des spectacles de gladiateurs et d’autres événements publics.
12. Comment accéder aux meilleures places dans les Arènes de Nîmes ?
Pour accéder aux meilleures places des Arènes de Nîmes, il est conseillé de réserver tôt, notamment pour les événements très populaires. Les places situées au centre de l’arène ou dans les gradins inférieurs sont généralement les plus recherchées pour leur proximité avec la scène et leur excellente vue.
13. Quelle est la capacité des Arènes de Nîmes en fonction des événements ?
La capacité des Arènes de Nîmes varie en fonction du type d’événement. Pour les concerts et spectacles, elle est d’environ 13 000 places, tandis qu’à l’époque romaine, elle pouvait atteindre 24 000 personnes lors des combats de gladiateurs et autres spectacles publics.
14. Pourquoi visiter les Arènes de Nîmes ?
Les Arènes de Nîmes sont un monument incontournable pour quiconque s’intéresse à l’histoire romaine et à l’architecture ancienne. Non seulement elles sont parfaitement conservées, mais elles continuent de vivre aujourd’hui grâce aux événements culturels qui y sont organisés. C’est un mélange parfait entre histoire et modernité, qui vous permet de marcher dans les pas des spectateurs romains tout en assistant à des concerts de légendes du rock ou de la musique classique.
15. Quelle est l’importance historique des Arènes de Nîmes ?
Les Arènes de Nîmes représentent un témoignage exceptionnel de l’ingéniosité romaine en matière d’architecture et de divertissement public. Elles ont survécu à des millénaires d’histoire, servant à la fois de stade, de forteresse, et aujourd’hui de salle de spectacle moderne. Leur importance historique réside dans leur capacité à avoir traversé les âges tout en restant un centre de vie culturelle, faisant le lien entre le passé glorieux de la civilisation romaine et notre époque contemporaine.
Hormis Mick Rock, Peu de stars du rock’n’roll ont mieux compris la relation symbiotique entre la musique et l’image. David Bowie a avec le photographe Mick Rock, trouvé le partenaire créatif idéal.
Chargé de faire un article de photojournalisme par le bureau londonien du magazine Rolling Stone, Mick Rock se rendit à un concert de Bowie à la mairie de Birmingham en mars 1972 et noua une relation immédiate avec le gourou du glam rock, juste au moment où il se métamorphosait en son Ziggy Stardust.
Mick Rock est un photographe britannique mondialement connu pour son travail de photographie de rock et de musique. Né en 1948, il a commencé sa carrière artistique dans les années 1970, travaillant en étroite collaboration avec des artistes tels que David Bowie, Lou Reed et Iggy Pop pour créer des images emblématiques du mouvement glam rock.
Mick Rock est souvent considéré comme le photographe le plus célèbre du mouvement, ayant contribué à définir son esthétique flamboyante et colorée. Au cours de sa carrière, il a remporté de nombreux prix et distinctions pour son travail, notamment le Lifetime Achievement Award du Classic Rock Roll of Honour Awards en 2011.
Les œuvres de Mick Rock sont présentes dans de nombreuses collections publiques et privées à travers le monde, faisant de lui l’un des photographes les plus influents de l’histoire de la musique rock.
Avant sa disparition le 18 novembre 2021, Il continuait à travailler en tant que photographe et avait publié un livre de photographies intitulé « Mick Rock: The Rise of David Bowie, 1972-1973 ». Il travaillait également sur des projets tels que la création d’une installation artistique pour la station de métro de Tottenham Court Road à Londres. En plus de son travail de photographie, il était également impliqué dans des projets de musique et de cinéma, travaillant notamment sur la bande sonore du film « The Velvet Underground ».
Retour sur la vie de cet artiste incontournable.
Mick Rock : photographe de Bowie
Mick Rock, décédé à l’âge de 72 ans, est devenu le photographe personnel de Bowie alors que son profil a grimpé en flèche avec la sortie de son cinquième album studio, The Rise and Fall of Ziggy Stardust and the Spiders from Mars, en juin 1972, et a capturé certains des meilleurs souvenirs images de l’étoile mercurielle.
Mick Rock
Celles-ci comprenaient la photo de Bowie et du guitariste Mick Ronson en train de déjeuner dans un train pour Aberdeen, et la célèbre photo provocante de « fellation » du duo sur scène à la mairie d’Oxford.
Comme Mick Rock l’a expliqué plus tard, probablement avec ironie : « Tout ce que David essayait de faire – et il me l’a expliqué plusieurs années plus tard, lorsque nous avons fait le livre Moonage Daydream – était de mordre la guitare. »
Mick Rock jouissait d’un accès intime unique à Bowie (« Je l’ai eu dans sa culotte, juste en train de camper »), et le charisme pionnier de Bowie a attiré d’autres musiciens tels que Lou Reed et Iggy Pop dans son orbite.
Mick Rock était toujours présent avec son appareil photo. Il a pris la photo définitive d’un Reed aux yeux de panda et à l’air mélancolique pour la couverture de son album solo à succès Transformer (1972), et a mis en sac l’image de couverture dramatique d’un Pop torse nu pour Iggy and the Stooges’ RawPower LP ( 1973).
Sa photo de pochette pour Queen’s Queen II (1974) faisait écho de manière mémorable à une image de Marlene Dietrich du film Shanghai Express de 1932 (« Personne n’a jamais été plus glamour que la divine Mme Dietrich », a déclaré Mick Rock), et Queen l’a revisitée dans leur vidéo pour Bohemian Rhapsody en 1975.
1977 :Mick Rock s’installe à New york
Après avoir voyagé à New York en tournée avec Bowie en 1972, Mick Rock s’est de plus en plus entiché de la ville et s’y est installé en 1977. « Il ne fait aucun doute que New York était plus sombre, plus dépravée que Londres », a-t-il déclaré à l’intervieweur Barney Hoskyns.
Mick Rock
« Lou Reed m’a emmené dans des endroits que vous n’auriez jamais trouvés à Londres. » Mick Rock s’est inévitablement retrouvé à photographier des icônes de la scène new-yorkaise comme les Ramones et Debbie Harry de Blondie, et a chéri son cliché de Mötley Crüe dans un bain moussant (« le groupe le plus sale, le plus méchant des années 80, que Dieu les bénisse »).
Mick Rock n’aimait pas parler de ses antécédents et de son éducation, commentant que « je n’aborde pas cela normalement parce que je ne pense pas que ce soit nécessaire », mais il était généralement admis qu’il était né à Hammersmith, Londres, son ses parents Joan et David Rock, ce dernier étant fonctionnaire au ministère du Travail.
Cependant, Mick Rock a jeté un éclairage différent à ce sujet dans une interview de 2017 avec le site Web The Talks . Il a décrit comment il avait été conçu lorsque sa mère mal mariée a eu une liaison avec un aviateur américain, qui est ensuite retourné aux États-Unis. Il a affirmé qu’il avait eu deux certificats de naissance, dont le premier le nommait Michael Edward Chester Smith.
Cependant, c’est sous le nom de Michael Rock qu’il a fréquenté l’école indépendante Emanuel de Battersea, avant de décrocher une bourse au Gonville and Caius College de Cambridge, où il a obtenu un diplôme en langues médiévales et modernes.
À Cambridge, il a d’abord commencé à expérimenter la photographie, en acquérant « un appareil photo Pentax cabossé d’un compagnon pour 40 livres », et là, il a rencontré le garçon local Syd Barrett , membre fondateur de Pink Floyd. Mick Rock photographierait Barrett pour son premier album solo, The Madcap Laughs (1970), avec la couverture arrière représentant une femme nue, et a également pris la photo centrale de l’album Meddle de Pink Floyd en 1971.
Mick Rock s’est immergé avec enthousiasme dans le style de vie des artistes qu’il a photographiés et a admis que «à la fin des années 80, début des années 90, mon problème de cocaïne était devenu complètement hors de propos. Je pouvais encore tirer, mais le reste de ma vie était une épave. Il a divorcé de sa première femme, Sheila (également photographe), et s’est remarié avec Pati (qui travaillait dans l’immobilier).
Mick Rock
En 1996, il a subi un quadruple pontage et une greffe de rein, sa facture médicale payée par l’ancien manager des Rolling Stones, Allen Klein , et a ensuite connu une renaissance de carrière. Il avait été irrité par le tag « Man Who Shot the 70s », considérant que cela le rendait obsolète, et il a photographié des pans d’artistes plus récents, dont Snow Patrol, les Black Keys, Snoop Dogg, Foo Fighters, Alicia Keys, Yeah Yeah Yeahs. , Janelle Monae, Rufus Wainwright, Lady Gaga, Miley Cyrus et Pharrell Williams.
En plus de ses photographies, il a créé plusieurs vidéos mémorables avec Bowie, pour Life on Mars, John I’m Only Dancing, Jean Genie et Space Oddity, et Bowie a donné son approbation aux livres de Rock Blood and Glitter : Glam – an Eyewitness Account (2001), Moonage Daydream: The Life and Times of Ziggy Stardust (2002) et The Rise of David Bowie 1972-1973 (2015).
Il a également publié des livres en collaboration avec Debbie Harry, Iggy Pop et les membres de Queen Brian May et Roger Taylor.
En 2016, Mick a animé une série télévisée Ovation Cable acclamée, « On The Record With Mick Rock ». Un documentaire sur sa carrière, produit par Vice Films et Straight Up Films, intitulé « SHOT! », A été lancé au Tribeca Film Festival en avril 2016.
Mick Rock a été présenté dans le documentaire SHOT! de Barney Clay! Le mantra psycho-spirituel du rock (2016). Il a été photographe en chef sur les films The Rocky Horror Picture Show, Hedwig and the Angry Inch et Shortbus.
Mick Rock with his photo of David Bowie and Iggy Pop (Photo by J. Vespa/WireImage for Peoples Revolution)
Mick Rock a eu de grandes expositions à Tokyo, Toronto, Londres, Liverpool, Berlin, Manchester, Mexico, Oslo, Göteborg, Stockholm, Amsterdam, Rotterdam, São Paulo, San Francisco, Las Vegas, EMP Museum Seattle, Buenos Aires, Barcelone, Los Anges, New York et Toulouse.
Il fait également partie de la collection permanente du Victoria & Albert Museum de Londres ainsi que du Brooklyn Museum de New York. Il a été honoré d’une plaque bleue à la salle de concert Scala commémorant le titre de deux nuits (14 juillet 1972) de Lou Reed et Iggy Pop, et la capture par Mick des photos de l’album Transformer et Raw Power.
Mick Rock
Conteur enthousiaste, Mick Rock a souligné que son travail découlait toujours d’une admiration pour les artistes avec lesquels il travaillait. « Pour moi, ces gars étaient comme Baudelaire, Rimbaud, Shelley, Keats, Coleridge, les Beats… J’ai été respectueux parce que j’aime ces gens et je sens que je suis une sorte de gardien de l’image. »
SHOOT! by ROCK – L’autobiographie visuelle d’une icône.
SHOOT! by ROCK, sortie le 22 novembre 2022, est une monographie de luxe pleine de la signature de Mick Rock, de photographies saturées de couleurs et de sujets légendaires, ainsi que de tout nouveaux souvenirs de Mick pour les accompagner.
Né en 1948 à Hammersmith, Londres, Michael Rock a traversé la scène rock londonienne de la fin des années soixante et des années soixante-dix pour devenir l’un des photographes rock et pop les plus emblématiques de tous les temps.
Mick était à la fois photographe et ami de certains des artistes et stars musicaux les plus dynamiques et passionnants de l’histoire du rock, et Shot! by Rock contient des histoires étonnantes et amusantes sur les coulisses de musiciens, de Mick Jagger à Miley Cyrus ; de Queen à Lana Del Ray; de David Bowie à Snoop Dog, et bien au-delà.
Mick a sélectionné des photos à la main et a contribué à de nouvelles histoires de son incroyable carrière. Ce livre inoubliable sert de monument à la brillante carrière de cinquante ans et à la vie étonnante de Mick.
Shot-By-Mick-Rock
Mick Rock : Publications
1995 : A Photographic Record 1969-1980
2002 : Psychedelic Renegades: Syd Barrett
2002 : Moonage Daydream: Ziggy Stardust
2003 : Killer Queen
2004 : Picture This: Debbie Harry and Blondie
2010 : Exposed
Pour conclure, Mick Rock est surtout connu pour son travail de photographie de rock et de musique, notamment pour ses portraits emblématiques d’artistes tels que David Bowie, Lou Reed et Iggy Pop. Voici quelques-unes de ses photographies et publications les plus célèbres :
Les photographies de l’album « Transformer » de Lou Reed, sorti en 1972.
Les photographies de l’album « The Rise and Fall of Ziggy Stardust and the Spiders from Mars » de David Bowie, sorti en 1972.
Les photographies de l’album « Raw Power » des Stooges, sorti en 1973.
Les photographies de l’album « Queen II » de Queen, sorti en 1974.
Les photographies du livre « Rock ‘n’ Roll Eye: The Photography of Mick Rock », publié en 1999.
Les photographies du livre « Exposure: The Music Photography of Mick Rock », publié en 2005.
Les photographies du livre « The Rise of David Bowie, 1972-1973 », publié en 2015.
Ces photographies et publications ont contribué à définir l’esthétique du mouvement glam rock des années 1970 et ont fait de Mick Rock l’un des photographes les plus influents de l’histoire de la musique rock.
Eric CANTO Photographe : Photos de concerts, portraits, pochettes d’albums.
Mick Rock est un photographe britannique né en 1948, connu pour son travail en tant que photographe de rock et de musique. Il est souvent considéré comme le photographe le plus célèbre du mouvement glam rock des années 1970.
Question 2: Quels sont les sujets de prédilection de Mick Rock ?
Mick Rock est surtout connu pour son travail de photographie de rock et de musique, notamment pour avoir photographié des groupes tels que Queen, David Bowie, Lou Reed, Iggy Pop, et les Sex Pistols.
Question 3: Comment Mick Rock a-t-il commencé sa carrière artistique ?
Mick Rock a commencé sa carrière en tant que photographe dans les années 1970, travaillant en étroite collaboration avec des artistes tels que David Bowie, Iggy Pop et Lou Reed pour créer des images emblématiques du mouvement glam rock.
Question 4 : Quels sont les livres les plus connus de Mick Rock ?
Mick Rock a publié plusieurs livres de photographies, notamment « Rock ‘n’ Roll Eye » (1999), « Glam! An Eyewitness Account » (2006), « Exposure: The Music Photography of Mick Rock » (2009), et « The Rise of David Bowie, 1972-1973 » (2015).
Question 5: Quels sont les prix et distinctions que Mick Rock a remportés au cours de sa carrière ?
Mick Rock a remporté de nombreux prix et distinctions pour son travail, notamment le Lifetime Achievement Award du Classic Rock Roll of Honour Awards en 2011, et le Outstanding Contribution to Music Photography Award de la Professional Music Photographers Association en 2015.
Question 6 : Comment Mick Rock a-t-il influencé la photographie de rock et de musique ?
Mick Rock est considéré comme l’un des photographes les plus influents de l’histoire de la musique, ayant capturé certains des moments les plus emblématiques de la musique rock et ayant contribué à définir l’esthétique du mouvement glam rock des années 1970.
Question 7: Où peut-on trouver des œuvres de Mick Rock ?
Les œuvres de Mick Rock sont présentes dans de nombreuses collections publiques et privées à travers le monde, notamment dans des musées tels que le Victoria and Albert Museum de Londres et le National Portrait Gallery de Londres.
Question 8: Quel est le style de photographie de Mick Rock ?
Mick Rock est connu pour son style de photographie flamboyant et coloré, qui a contribué à définir l’esthétique du mouvement glam rock des années 1970. Il utilise souvent des techniques telles que la surexposition et la superposition d’images pour créer des effets visuels saisissants.
Question 9 : Comment Mick Rock travaille-t-il avec les artistes qu’il photographie ?
Mick Rock a souvent travaillé en étroite collaboration avec les artistes qu’il photographie, les aidant à créer des images qui reflètent leur personnalité et leur esthétique. Il a également contribué à définir l’image de nombreux artistes, en leur proposant des idées pour leurs costumes, leur maquillage et leur coiffure.
Question 10 : Quel est le processus créatif de Mick Rock lorsqu’il prend des photos ?
Le processus créatif de Mick Rock varie selon les projets, mais il travaille souvent en étroite collaboration avec les artistes qu’il photographie pour créer des images qui reflètent leur personnalité et leur style. Il utilise également des techniques de post-production pour modifier et améliorer ses images.
Question 11: Quels sont les projets récents de Mick Rock ?
Mick Rock continue de travailler en tant que photographe et a récemment publié un livre de photographies intitulé « Mick Rock: The Rise of David Bowie, 1972-1973 ». Il a également travaillé sur des projets tels que la création d’une installation artistique pour la station de métro de Tottenham Court Road à Londres.
Question 12: Quels sont les conseils de Mick Rock pour les photographes en herbe ?
Mick Rock conseille aux photographes en herbe de travailler dur, d’être passionnés par leur travail, et de ne jamais perdre de vue leur vision artistique. Il recommande également de s’inspirer de la musique et de l’art pour créer des images qui ont une signification et une émotion fortes.
THE CURE concert & histoire : De tous les groupes qui ont émergé immédiatement après le punkrock à la fin des années 70, peu étaient aussi durables et populaires que The Cure.
Dirigé à travers de nombreuses incarnations par le guitariste/chanteur Robert Smith (né le 21 avril 1959), le groupe est devenu célèbre pour ses chants lents et sombres et Smith, l’apparence macabre de Cure, une image publique qui cachait souvent la diversité de la musique de The Cure.
The cure concert
Au début, The Cure jouait des chansons pop irrégulières et énervées avant d’évoluer lentement vers une tenue plus texturée. En tant que l’un des groupes qui a jeté les bases du rock gothique, le groupe a créé d’imposantes couches de guitares et de synthétiseurs, mais au moment où le goth s’est imposé au milieu des années 80, The Cure s’était éloigné du genre.
À la fin des années 80, le groupe était entré dans le courant dominant non seulement dans son Angleterre natale, mais aussi aux États-Unis et dans diverses parties de l’Europe.
The Cure est resté un attrait populaire pour les concerts et un vendeur de disques fiable tout au long des années 90, et leur influence pouvait être clairement entendue sur des dizaines de nouveaux groupes au cours du nouveau millénaire, dont beaucoup n’avaient pas grand-chose à voir avec le gothique.
Initialement appelé Easy Cure, le groupe a été formé en 1976 par des camarades de classe Smith (chant, guitare), Michael Dempsey (basse) et Laurence « Lol » Tolhurst (batterie). Initialement, le groupe s’est spécialisé dans la guitare pop sombre et nerveuse avec des paroles pseudo-littéraires, comme en témoigne le « Killing an Arab » inspiré d’ Albert Camus .
The cure concert
Une cassette démo avec « Killing an Arab » est arrivée entre les mains de Chris Parry , un représentant A&R chez Polydor Records; au moment où il a reçu la cassette, le nom du groupe avait été tronqué à The Cure.
Parry a été impressionné par la chanson et a arrangé sa sortie sur le label indépendant Small Wonder en décembre 1978.Parry a quitté Polydor pour former son propre label, Fiction, et The Cure a été l’un des premiers groupes à signer avec le label parvenu. « Killing an Arab » est ensuite réédité en février 1979, et The Cure entame sa première tournée en Angleterre.
THE CURE : Three Imaginary Boys
Le premier album de The Cure, Three Imaginary Boys , est sorti en mai 1979 avec des critiques positives dans la presse musicale britannique. Plus tard cette année-là, le groupe a sorti les singles non LP « Boys Don’t Cry » et « Jumping Someone Else’s Train ».
Cette même année, The Cure se lance dans une grande tournée avec Siouxsie and the Banshees . Pendant la tournée, le guitariste des Banshees , John McKay , quitte le groupe, et Smith a remplacé le musicien disparu. Pendant la décennie suivante, Smith collaborera fréquemment avec des membres des Banshees .
THE CURE : Seventee seconds
Fin 1979, The Cure sort un single, » I’m a Cult Hero « , sous le nom de Cult Heroes. Suite à la sortie du single, Dempsey quitte le groupe pour rejoindre les Associates ; il est remplacé par Simon Gallup au début des années 1980.
Parallèlement, The Cure s’adjoint un claviériste, Mathieu Hartley , et boucle la production du deuxième album du groupe, Seventeen Seconds ., qui a été publié au printemps 1980.
L’ajout d’un claviériste a élargi le son du groupe, qui était désormais plus expérimental et embrassait souvent des chants lents et sombres. Néanmoins, le groupe écrivait toujours des accroches pop, comme en témoigne le premier single à succès britannique du groupe, « A Forest », qui a culminé au numéro 31. Après la sortie de Seventeen Seconds , The Cure a lancé sa première tournée mondiale.
Après l’étape australienne de la tournée, Hartley a quitté la formation et ses anciens camarades du groupe ont choisi de continuer sans lui, sortant leur troisième album en 1981 ( Faith ) et le regardant culminer au numéro 14 dans les charts. Faith a également engendré le single à succès mineur « Primary ». Le quatrième album de The Cure, le doom-laden,, est sorti peu de temps après en 1982.
Pornography a encore élargi son public culte et a percé le Top Ten britannique. Une fois la tournée Pornography terminée, Gallup a quitté le groupe et Tolhurst est passé de la batterie aux claviers. Fin 1982, The Cure sort un nouveau single, le « Let’s Go to Bed » teinté de danse.
THE CURE : Hyaena
Smith a consacré la majeure partie du début de 1983 à Siouxsie and the Banshees , enregistrant l’ album Hyaena avec le groupe et apparaissant en tant que guitariste du groupe lors de la tournée d’accompagnement de l’album.
Cette même année, Smith forme également un groupe avec le bassiste des Banshees Steve Severin ; après avoir adopté le nom The Glove , le groupe sort son unique album, Blue Sunshine . À la fin de l’été 1983, une nouvelle version de The Cure – mettant en vedette Smith , Tolhurst , le batteur Andy Anderson et le bassiste Phil Thornalley– avait composé et enregistré un nouveau single, un morceau enjoué nommé « The Lovecats ».
La chanson est sortie à l’automne 1983 et est devenue le plus grand succès du groupe à ce jour, culminant à la septième place des charts britanniques. La nouvelle formation de The Cure a sorti The Top en 1984. Malgré les penchants pop du hit numéro 14 « The Caterpillar », The Top était un retour aux paysages sonores sombres de la pornographie .
Au cours de la tournée mondiale soutenant The Top , Anderson a été renvoyé du groupe. Au début de 1985, après la fin de la tournée, Thornalley quitte le groupe. The Cure a réorganisé sa formation après son départ, ajoutant le batteur Boris Williams et le guitariste Porl Thompson; Gallup revient à la basse.
THE CURE : The head on the door
Plus tard en 1985, The Cure sort son sixième album, The Head on the Door . L’album était le disque le plus concis et orienté pop que le groupe ait jamais sorti, ce qui a contribué à l’envoyer dans le Top Ten britannique et au numéro 59 aux États-Unis, la première fois que le groupe avait battu l’American Hot 100.
« In Between Days » et » Close to Me » – tous deux tirés de The Head on the Door – sont devenus des succès britanniques importants, ainsi que des succès populaires de la radio underground et universitaire aux États-Unis.
THE CURE : Kiss me, kiss me,kiss me
The Cure a suivi le succès retentissant de The Head on the Door en 1986 avec la compilation Standing on a Beach : The Singles. Standing on a Beach a atteint la quatrième place au Royaume-Uni, mais plus important encore, il a établi le groupe comme un groupe culte majeur aux États-Unis; l’album a culminé au numéro 48 et est devenu or en un an. En bref, Standing on a Beach a préparé le terrain pour le double album de 1987 Kiss Me, Kiss Me, Kiss Me .
the cure concert
L’album était éclectique mais c’était un succès, engendrant quatre singles à succès au Royaume-Uni (« Why Can’t I Be You », « Catch », « Just Like Heaven », « Hot Hot Hot !!! ») et le groupe premier hit américain du Top 40, « Just Like Heaven ». Après la tournée de soutien pour Kiss Me,, l’activité du Curé s’est ralentie.
Avant que The Cure ne commence à travailler sur leur nouvel album au début de 1988, le groupe a renvoyé Tolhurst , affirmant que les relations entre lui et le reste du groupe avaient été irrévocablement endommagées.
Tolhurst allait bientôt intenter une action en justice, affirmant que son rôle dans le groupe était plus important que celui indiqué dans son contrat et, par conséquent, il méritait plus d’argent.
THE CURE : Désintégration
Entre-temps, The Cure a remplacé Tolhurst par l’ancien claviériste de Psychedelic Furs Roger O’Donnell et a enregistré leur huitième album, Disintegration . Sorti au printemps 1989, l’album était plus mélancolique que son prédécesseur, mais ce fut un succès immédiat, atteignant le numéro trois au Royaume-Uni et le numéro 14 aux États-Unis, et engendrant une série de singles à succès.
» Lullaby » est devenu le plus grand succès britannique du groupe au printemps 1989, culminant au numéro cinq. À la fin de l’été, le groupe a eu son plus grand succès américain avec « Love Song », qui a grimpé au numéro deux. Sur la désintégrationtournée, The Cure a commencé à jouer dans des stades à travers les États-Unis et le Royaume-Uni.
À l’automne 1990, The Cure a sorti Mixed Up , une collection de remixes comprenant un nouveau single, « Never Enough ». Après la tournée Disintegration , O’Donnell a quitté le groupe et The Cure l’a remplacé par leur roadie, Perry Bamonte . Au printemps 1992, le groupe sort Wish .
Comme Disintegration , Wish a été un succès immédiat, entrant dans les charts britanniques au numéro un et les charts américains au numéro deux, ainsi que le lancement des singles à succès « High » et « Friday I’m in Love ».
The Cure s’est lancé dans une autre tournée internationale après la sortie de Wish. Un concert, joué à Detroit, a été documenté sur un film intitulé Show et sur deux albums, Show et Paris . Le film et les albums sont sortis en 1993.
THE CURE : Wild Mood Swings
Thompson a quitté le groupe en 1993 pour rejoindre le groupe de Jimmy Page et Robert Plant . Après son départ, O’Donnell a rejoint la formation en tant que claviériste et Bamonte est passé des fonctions de synthétiseur à la guitare. Pendant la majeure partie de 1993 et au début de 1994, les Cure ont été écartés par un procès en cours de Tolhurst , qui revendiquait la copropriété du nom du groupe et cherchait également à restructurer ses paiements de redevances.
Un règlement (décision en faveur du groupe) est finalement arrivé à l’automne 1994, et les Cure se sont concentrés sur la tâche à accomplir : enregistrer un album de suivi de Wish .
Cependant, le batteur Boris Williams démissionner juste au moment où le groupe se préparait à commencer le processus d’enregistrement. Le groupe a recruté un nouveau percussionniste grâce à des annonces dans les journaux musicaux britanniques; au printemps 1995, Jason Cooper avait remplacé Williams .
Tout au long de 1995, The Cure a enregistré son dixième album studio proprement dit, s’arrêtant pour effectuer une poignée de festivals de musique européens en été. L’album, intitulé Wild Mood Swings , sort finalement au printemps 1996, précédé du single « The 13th ».
THE CURE : Galore
Une combinaison de morceaux pop et de moments plus sombres à la hauteur de son titre, Wild Mood Swings a reçu un accueil mitigé critique et commercial, ralentissant mais n’arrêtant pas l’élan acquis par Wish .
Galore , la deuxième collection de singles de The Cure axée sur les succès du groupe depuis Standing on a Beach, est apparue en 1997 et a présenté la nouvelle chanson « Wrong Number ».
The Cure a passé les années suivantes tranquillement – donnant une chanson à la bande originale de X-Files, Robert Smith apparaissant dans un épisode mémorable de South Park – réapparaissant en 2000 avec Bloodflowers, leur dernier album de matériel original, pour Fiction.
Conçu comme le dernier volet d’une trilogie gothique lourde qui remontait jusqu’à la pornographie et incluait la désintégration , Bloodflowers a été bien accueilli et un succès respectable, remportant une nomination aux Grammy Awards pour le meilleur album de musique alternative.
L’année suivante, The Cure a conclu son contrat avec Fiction avec Greatest Hits , qui a également été accompagné d’une sortie DVD de leurs vidéos les plus populaires. En 2002, ils ont passé du temps sur la route, terminant leur tournée par une aventure de trois nuits à Berlin, où ils ont joué chaque album de leur « trilogie gothique » une nuit différente.
l’événement a été documenté sur la sortie vidéo à domicile Trilogy.
The cure & GEFFEN Records
The Cure signe un contrat international avec Geffen Records en 2003 puis lance une vaste campagne de réédition en 2004 avec le coffret de raretés Join the Dots : B-Sides & Rarities, 1978-2001 (The Fiction Years) ; des éditions étendues à double disque de leurs premiers albums ont rapidement suivi.
Toujours en 2004, le groupe sort son premier album pour Geffen, un effort éponyme enregistré en direct en studio. Plus lourd mais pas nécessairement plus dur – et certainement pas plus sombre que Bloodflowers – The Curea été en partie conçu pour plaire à un public plus jeune familier avec The Cure grâce à leur influence sur une nouvelle génération de groupes, dont beaucoup ont été présentés en première partie de la tournée de soutien du groupe pour l’album.
The Cure a subi un autre changement de composition en 2005, lorsque Bamonte et O’Donnell ont quitté le groupe et que Porl Thompson est revenu pour son troisième passage.
Cette nouvelle formation sans clavier a fait ses débuts en 2005 en tant que tête d’affiche du concert-bénéfice Live 8 Paris, puis s’est dirigée sur le circuit des festivals d’été, dont les temps forts ont été capturés sur la sortie DVD 2006 Festival 2005. The Cure est apparu dans divers festivals au cours des deux années suivantes, jouant une tournée européenne plus étendue au début de 2008, alors qu’ils terminaient leur 13e album.
Conçu à l’origine comme un double album, le disque a été divisé en deux avant sa sortie, avec le matériel plus léger et plus pop sorti en premier sous le nom de 4:13 Dream en octobre 2008. Après une pause de trois ans, le groupe est revenu sur le circuit live avec leur tournée « Reflections » – qui démarre en Australie et voit le retour du batteur et claviériste original Lol Tolhurst après environ 22 ans – qui a vu le groupe jouer ses trois premiers albums, Three Imaginary Boys , Seventeen Seconds et Faith, dans leur intégralité.
Un titre principal de 150 minutes couvrant toute la carrière au Bestival de 2011 sur l’île de Wight a été enregistré et sorti la même année et le groupe a continué à tourner tout au long de 2012 et 2013 avec des spectacles de festivals en Europe et en Amérique du Nord et des spectacles phares en Amérique latine.
Début 2014, Smith a annoncé qu’il sortirait la suite de 4:13 Dream plus tard en 2014, et qu’il poursuivrait également sa tournée « Reflections » avec une autre série d’albums complets, cette fois en interprétant The Top , The Head on the Door , et Kiss Me, Kiss Me, Kiss Me dans leur intégralité.
FAQ The Cure
1. Qui est The Cure ?
Réponse : The Cure est un groupe de rock britannique formé en 1976 par Robert Smith, Michael Dempsey et Lol Tolhurst. Le groupe est connu pour son style musical sombre et mélancolique, ainsi que pour l’apparence excentrique de ses membres.
2. Quelle est la carrière de The Cure ?
Réponse : The Cure a sorti son premier album en 1979, intitulé « Three Imaginary Boys ». Depuis lors, le groupe a sorti 13 albums studio, ainsi que de nombreux singles et compilations. Le groupe est également connu pour ses performances en direct, qui sont souvent accompagnées d’un éclairage et d’une scénographie spectaculaires.
3. Quel est le style musical de The Cure ?
Réponse : Le style musical de The Cure est souvent décrit comme étant du rock gothique, bien que le groupe ait exploré différents genres tout au long de sa carrière, notamment la new wave, le post-punk et le pop rock. Le son distinctif du groupe est caractérisé par la guitare mélancolique de Robert Smith et les textes introspectifs.
4. Quels sont les plus grands succès de The Cure ?
Réponse : The Cure a connu de nombreux succès tout au long de sa carrière, mais certains de ses plus grands hits incluent « Boys Don’t Cry », « Just Like Heaven », « Lovesong », « Friday I’m in Love », et « Pictures of You ».
5. Quel est l’album le plus vendu de The Cure ?
Réponse : L’album le plus vendu de The Cure est « Disintegration », sorti en 1989. L’album a été certifié double platine aux États-Unis et a été salué par la critique pour son atmosphère sombre et sa production élaborée.
6. Quel est le lien entre The Cure et le cinéma ?
Réponse : La musique de The Cure a été utilisée dans de nombreux films, notamment dans « Le Journal de Bridget Jones », « Le Labyrinthe de Pan », et « 500 jours ensemble ». Le groupe a également enregistré des chansons pour plusieurs films, notamment « The Crow » et « Batman Forever ».
7. Quelles sont les influences musicales de The Cure ?
Réponse : Les influences musicales de The Cure sont variées et incluent des groupes tels que Joy Division, Siouxsie and the Banshees, The Velvet Underground, et David Bowie. Le groupe a également été influencé par la musique classique et la musique électronique.
8. Quel est l’héritage de The Cure dans l’industrie musicale ?
Réponse : L’héritage de The Cure dans l’industrie musicale est considérable. Le groupe est considéré comme l’un des pionniers du rock gothique et a influencé de nombreux groupes dans ce genre. The Cure est également connu pour avoir innové dans la production musicale, en utilisant des techniques d’enregistrement avancées pour créer des atmosphères sonores uniques.
9. Quel est le statut actuel de The Cure ?
Réponse : The Cure est toujours actif et continue de tourner et de sortir de la musique. Le groupe a effectué sa dernière tournée en 2019 et a déclaré qu’il travaillait sur un nouvel album. Robert Smith, le leader de The Cure, a également déclaré qu’il avait de nombreuses idées pour l’avenir du groupe.
10. Qu’est-ce qui fait la renommée de The Cure ?
Réponse : La renommée de The Cure est due à son style musical unique, qui a influencé de nombreux autres artistes, ainsi qu’à son apparence excentrique et à ses performances en direct spectaculaires. Le groupe est également connu pour ses paroles introspectives et ses thèmes sombres, qui ont touché de nombreux fans à travers le monde.
Eric CANTO Photographe : Photos de concerts, portraits, pochettes d’albums.
« Comment devient-onphotographe de concert ? J’ai répondu à cette question un million de fois et de différentes manières, car il n’y a pas de moyen simple pour devenir photographe de concert.
Chaque photographe de concert aura son propre parcours créatif et professionnel. Il n’y a pas nécessairement une » bonne « façon de s’y rendre (l’art est subjectif), mais au cours des 10 dernières années en tant que photographe de concert, j’ai appris qu’il y a des choses à ne pas faire ou à faire dans le monde de la photographie de concert.
En tant que débutant, vous ne pouvez pas vous attendre à connaître toutes ces choses dès le départ.
C’est pourquoi je vais tenter de vous donner quelques conseils et astuces si vous êtes un nouveau photographe de concert dans une salle ou dans un festival. Je ne suis pas un expert, mais après quelques années d’expérience, de concerts et de grands festivals, je sais 2-3 choses qui pourront vous intéresser si vous voulez vous lancer dans la photo « live ».
Voici donc dix conseils pour les futurs photographes de concerts :
1. Photographe de concert : Shootez non stop !
Cela devrait être évident, mais vous devez littéralement shooter autant de concerts que vous le pouvez. Vous ne savez pas comment faire entrer votre réflexe en concert?
Ne vous inquiétez pas, je vais tout de suite entrer dans la partie la plus sérieuse. Pour l’instant, contactez certains groupes locaux et demandez si vous pouvez shooter leur concert.
Honnêtement, aucun groupe local ne refuse des photos gratuites si vous devez vous entraîner. Avouons-le, les musiciens sont un peu égoïstes – ils aiment les photos où ils ont l’air super cool sur scène (J’expliquerai en détail, plus tard, de la façon d’obtenir des pass photos pour les grands concerts).
Après…se faire la main au départ est une chose, mais travailler gratuitement en est une autre. Dans l’idée, il faut très rapidement se faire payer en tant que photographe , car c’est un boulot comme un autre.
Cela ne traverse l’esprit de personne d’entrer dans une boulangerie pour demander une baguette gratuite, car, si elle est bonne, vous en ferez la pub qui fera connaître la boulangerie. Pour les photos, c’est la même chose.
Photographes concert- Crédit photo Eric CANTO
2. Apprenez à connaître votre équipement
Apprenez à connaître votre appareil photo et ses paramètres pour devenir photographe . Même si ce n’est pas du live, prenez beaucoup de photos et habituez-vous à utiliser votre appareil, en particulier avec différents types de lumières, car l’éclairage de concert peut être complètement imprévisible (et parfois indésirable).
La plupart des photographes débutants pensent également qu’apprendre à utiliser leur équipement, c’est simplement connaître leur appareil photo, mais je pense aussi aux logiciels.
Utilisez Lightroom et Photoshop. Passez du temps à regarder des tutos relatif au logiciel utilisé– je sais que cela peut sembler ennuyeux …
Prenez une photo et modifiez-la de mille façons différentes. Apprenez à exploiter toutes les possibilités que vous offre le logiciel choisi, notamment en post-traitement, même si vous pensez que vous n’en aurez jamais besoin.
Vous serez reconnaissant quand il sera une heure du matin et que vous aurez un shoot à rendre dans sept heures, et que toutes vos photos auront été prises dans une lumière rouge ou bleue nettement sursaturée.
3. L’importance du Réseau pour le photographe
Je ne parle pas nécessairement de vendre à tous ceux que nous rencontrons, je parle simplement d’être ouvert aux gens, d’apprendre à les connaître. Cela devrait également aller de soi, mais vous serez surpris du nombre de portes qui s’ouvriront à vous si vous êtes amical et détendu.
Si vous êtes sur un festival et attendez le prochain groupe, entamez une conversation avec le service de sécurité. Rencontrez les organisateurs de concerts locaux, les personnes qui dirigent vos salles de concerts locales et les groupes locaux qui y jouent. Soyez présent et accessible.
Il est important d’apprendre, d’être agréable et de simplement travailler en restant cool, par téléphone et par e-mail, car au final, vous ferez beaucoup d’affaires par téléphone ou en ligne.
Cela peut paraître évident…mais vous vous rendrez compte que l’ego un peu démesuré se retrouve aussi auprès de certains photographes de concerts. On se détend, on fait juste des photos de concert, on ne sauve pas de vies.
C’est amusant parce que vous pouvez toujours travailler à trouver votre propre style de photographe , peu importe depuis combien de temps vous faites des concerts (ou autre). Après 10 ans, je continue d’apprendre chaque jour.
Y a-t-il un photographe particulier dont vous appréciez le style ? Jouez avec les photos de grands maîtres et voyez si vous pouvez les recréer ! Passez votre temps libre à découvrir ce qui fonctionne et ce qui ne fonctionne pas dans le cadrage, la composition.
Je ne saurais trop insister sur le fait que les didacticiels YouTube sont nos amis. Il y a toujours quelque chose de nouveau à apprendre !
Si vous ne travaillez pas pour une publication, obtenir un pass photo est probablement un peu plus difficile. Certaines salles et groupes sont plus indulgents que d’autres et vous permettent de photographier leur groupe pour constituer facilement votre portfolio.
Cependant, les places sur la liste des accréditations sont généralement réservées aux publications locales ou aux photographes en place. Parfois, vous obtenez uniquement un laissez-passer photo, mais pas un billet d’entrée.
J’ai profité de ces opportunités chaque fois qu’elles se présentaient, car elles me permettaient de construire mon portfolio de photographe lorsque je shootais pour celui-ci. Parfois, une production ne peut tout simplement pas vous accréditer, et si c’est le cas, soyez amical, respectueux et indulgent.
N’adoptez jamais une mauvaise attitude, les divas sont sur la scène, pas dans la fosse ;). Faites en sorte que l’on se souvienne de vous comme une personne agréable avec qui travailler.
Walls of Jericho – Crédit photo Eric CANTO
6. Pour être un photographe, il faut trouver un support de presse.
Si vous êtes un pigiste et que vous souhaitez passer à l’étape suivante (ou si vous voulez simplement faire plus d’artistes / groupes qui ont besoin d’un support médiatique), vous devez prendre une photo pour faire des publications. Cela inclut les stations de radio locales, les journaux, les blogs, les magazines, etc.
Recherchez partout.
Trouvez des publications nationales qui acceptent des candidatures à travers le pays / la région. Toutes ces autres compétences seront utiles ici. Vous devez envoyer des e-mails à ces personnes, vous devez avoir de l’expérience et un portfolio décent, vous devez être cool accessible, et souple dans votre approche.
Comme pour les tourneurs, certains de ces supports diront non ou ne répondront pas, mais ne vous laissez pas décourager. Essayez de toucher autant de personnes que possible, soyez amical et courtois et, finalement, des portes s’ouvriront à vous.
7. Suivre les règles….
Je pense que c’est l’une des choses les plus importantes de cette liste. Si vous avez reçu une accréditation pour un spectacle, respectez scrupuleusement les règles imposées. TOUJOURS suivre les règles et les conditions fixées par l’organisateur. La plupart du temps, vous serez autorisé à shooter sur les trois premières chansons, du crash, sans flash.
Cependant, cela peut varier selon la salle, l’artiste, le groupe. Dans 99% des cas, les règles sont fixées avant votre arrivée. Cela signifie également que vous devez respecter tous les contrats ou avis de non-responsabilité que vous devrez signer avant le concert.
Si vous prenez des photos du crash et que d’autres photographes sont avec vous, soyez poli. Ne restez pas au même endroit pendant la durée des trois chansons. Bougez.
De cette façon, vous obtiendrez non seulement beaucoup de photos, mais vous aurez également les mêmes chances de prendre de bonnes photos.
Vous ne devez pas vous faire d’ennemis parmi vos pairs, car ils vous aideront lorsque vous en aurez vraiment besoin. De plus, en tant que photographe de concert, vous êtes là pour ramener un extrait visuel du concert, mais jamais pour priver le groupe ou le public de cette expérience.
Ne faites rien que vous ne voudriez pas que quelqu’un vous fasse, par exemple en vous tenant sur les barrières et en bloquant la vue d’un fan.
Scorpions – Crédit photo Eric CANTO –
8. Apprenez à envoyer des e-mails
Je sais que cela semble un peu bizarre, et vous vous demandez peut-être: « Quel est le lien entre la messagerie électronique et la photographie de concert? Je veux juste sortir et prendre des photos! »
En effet, savoir envoyer des emails a tout à voir avec la photographie de concert. Si vous souhaitez prendre une photo d’un groupe local, mais que vous ne le connaissez pas, vous devez lui envoyer un e-mail.
Si vous souhaitez prendre une photo d’un groupe en tournée, vous devez, comme vous le soupçonniez, envoyer une demande par e-mail à son tourneur ou à son management.
Ce sont des gens qui reçoivent des centaines ou des milliers de courriels chaque jour, et la dernière chose à laquelle ils veulent faire face est quelqu’un qui est impoli.
Étonnamment, ils ne veulent pas lire toute l’histoire de votre vie, tous vos groupes préférés ni pourquoi vous voulez shooter cet artiste.
GHOST- Crédit photo Eric CANTO –
Lorsque vous envoyez un e-mail à un tourneur / manager pour demander un pass photo pour un concert, il y a trois choses à considérer: soyez courtois, précis et clair.
Lorsque vous leur envoyez un e-mail, soyez bref, précis: de qui voulez-vous prendre des photos? Où et quand? Quel est votre nom ? Pour qui ou pourquoi photographiez vous? Pour votre portfolio ou pour une publication ? Ce sont toutes des choses qu’un manager aimerait savoir.
Un simple e-mail sans fioritures doit être envoyé 10 à 14 jours avant le spectacle et ressemble à ceci:
« Bonjour [SALLE / MANAGER], Je m’appelle [NOM]. Je vous contacte, car je souhaite photographier [GROUPE] à [SALLE] à [VILLE] le [DATE]. Je n’ai besoin que d’un pass photo pour photographier le spectacle et les images sont utilisées pour mon portfolio. Je peux vous envoyer un lien vers les photos une fois celles-ci terminées. Merci beaucoup pour votre temps !
9. Photographe de concert, kiffez, oubliez la concurrence
L’idée est de passer plus de temps à se concentrer sur son propre travail que sur celui des autres. La concurrence avec vos pairs est absolument inutile, ni pour vous ou pour la scène musicale.
Vous pouvez vous soucier de ce qui vous rend spécial, de ce qui vous rend commercialisable ou de ce qui vous différencie des autres, mais à partir du moment où vous essayez d’être « meilleur que » ou « plus populaire que » quelqu’un d’autre ce n’est plus votre travail artistique, mais celui de quelqu’un d’autre.
Prenez soin de votre boîtier, de vos objectifs et de votre passion. Il s’agit de vous améliorer et de shooter ce que vous aimez shooter. Rester intègre, accessible et modeste vous permettra de faire de belles rencontres, et vous tisserez des liens précieux avec d’autres photographes, vous créerez votre réseau tout au long de cette belle aventure qu’est la photographie de concert.
Les autres photographes sont ceux qui vous prêtent une batterie supplémentaire lorsque la vôtre est morte voire même une carte mémoire de batterie supplémentaire si vous avez oublié la vôtre. Ce sont ces mêmes personnes qui vous alertent lorsqu’un fan atterrit sur votre tête.
Ils vous tapotent doucement l’épaule quand ils veulent vous dépasser dans la fosse photo au lieu de vous cogner et gâcher votre photo. C’est aussi avec eux que vous partagez une bonne bière après un concert. Ces personnes soutiendront votre travail parce que vous soutiendrez le leur, au lieu de vous faire concurrence.
Chacun travaille à son rythme. Vous pouvez utiliser le téléobjectif si vous découvrez à la dernière minute que vous avez besoin de prendre des photos à partir de la table de mix.
Si jamais vous vous sentez découragé par votre travail, je vous recommande de regarder les premières photos que vous avez prises et de les comparer avec vos dernières photos.
Elles sont probablement bien meilleures que celles qui datent de quelques années, même il y a quelques mois. Vous continuerez à grandir en tant que photographe, mais vous devez vous obliger à le faire.
Défiez-vous, des photos ou des artistes que vous ne shootez pas normalement, shootez dans des lieux minuscules et découvrez comment vous en sortir ! Utilisez tous les conseils que vous donnent des photographes avec plus d’expérience et continuez à shooter.
Si vous avez des questions, n’hésitez pas à les poser autour de vous, dans le pit, auprès de vos collègues photographes.
Un photographe de concert ne deviendra jamais millionnaire, par contre, il rencontrera beaucoup de monde, des passionnés, des musiciens, d’autres photographes qui auront, à coup sûr, une passion en commun avec vous : la scène.
Julien Doré – Festival de Nîmes – Crédit photo Eric CANTO
Eric CANTO Photographe : Photos de concerts, portraits, pochettes d’albums.
Vous avez déjà entendu parler de Slash. Si vous aimez le rock, vous connaissez sans doute ses solos endiablés, ses riffs reconnaissables entre mille, et ce look emblématique : un chapeau haut de forme, des lunettes noires, et une GibsonLes Paul qu’il manie comme personne. Slash, c’est la définition même du guitar hero, celui qui a marqué des générations entières avec des morceaux qui résonnent encore aujourd’hui.
Né Saul Hudson à Londres en 1965, Slash est devenu le guitariste principal des légendaires Guns N’ Roses dans les années 80. Mais son influence va bien au-delà d’un groupe. Slash a contribué à la renaissance du rock, un genre en pleine évolution à l’époque. Entre sa technique incroyable et son sens inné de la mélodie, il est devenu une figure incontournable du paysage musical.
Alors, qu’est-ce qui rend Slash si spécial ? Pourquoi est-il considéré comme l’un des plus grands guitaristes de tous les temps ? Plongeons ensemble dans l’univers d’un homme qui a littéralement écrit l’histoire du rock’n’roll avec ses solos de guitare.
I. Les débuts de Slash : d’un enfant de Londres à une légende du rock
1.1 Une enfance bercée par la musique
Slash n’était pas destiné à devenir une légende du rock. Né à Stoke-on-Trent, en Angleterre, en 1965, il est le fils d’un artiste anglais et d’une créatrice de costumes américaine qui a travaillé pour des stars comme David Bowie. À seulement 5 ans, Slash déménage avec sa mère à Los Angeles, une ville qui allait bientôt devenir le terrain de jeu de sa carrière.
Un environnement créatif : Dès son plus jeune âge, Slash a été plongé dans le monde de la création artistique. Sa mère travaillait pour des stars du rock, ce qui lui a permis d’être en contact avec des musiciens et des artistes dès son plus jeune âge. Cette immersion dans la musique et la créativité a fortement influencé son avenir.
L’appel de la guitare : À 14 ans, Slash découvre la guitare grâce à un ami, et là, tout change. Il se consacre corps et âme à l’apprentissage de l’instrument, pratiquant des heures chaque jour, jusqu’à développer son style si unique. Il cite des artistes comme Eric Clapton, Jimi Hendrix, et Jimmy Page comme ses plus grandes influences.
1.2 La rencontre avec Guns N’ Roses
Le destin de Slash change radicalement lorsqu’il rencontre Axl Rose, Izzy Stradlin, Duff McKagan, et Steven Adler. Ensemble, ils forment les Guns N’ Roses en 1985, un groupe qui va révolutionner la scène rock.
Des débuts modestes : Les Guns N’ Roses commencent à se produire dans des clubs de Los Angeles, attirant rapidement l’attention avec leur mélange explosif de punk, rock et blues. Leurs concerts sont sauvages, bruts, et chargés d’énergie.
L’ascension fulgurante : Leur premier album, Appetite for Destruction, sorti en 1987, devient un véritable phénomène. Des titres comme « Sweet Child O’ Mine« , « Welcome to the Jungle« , et « Paradise City » propulsent le groupe au rang de légende. Slash, avec ses solos enflammés et son style unique, devient rapidement une star.
Slash guitariste
II. Le style unique de Slash : entre blues et riffs percutants
2.1 Une technique reconnaissable parmi toutes
Slash est souvent considéré comme un guitariste aux racines blues, mais capable d’ajouter une touche rock moderne qui rend chaque morceau mémorable. Sa technique repose sur plusieurs éléments clés qui ont fait sa renommée.
Le vibrato précis : Un des aspects les plus reconnaissables du jeu de Slash est son vibrato unique. Chaque note qu’il joue semble vibrer avec une émotion brute, donnant à ses solos une intensité particulière. Il a réussi à perfectionner cette technique au point de la rendre instantanément identifiable.
Les bends expressifs : Slash est aussi célèbre pour ses bends, ces notes qu’il fait monter ou descendre tout en douceur, presque comme s’il racontait une histoire avec sa guitare. Dans des solos comme celui de « November Rain« , chaque bend est une montée en puissance, un cri qui transcende la simple technique.
Un mélange de vitesse et de précision : Contrairement à certains guitaristes qui misent tout sur la vitesse, Slash privilégie la précision. Même dans les morceaux les plus rapides, il prend soin que chaque note soit claire et distincte. Il n’est jamais esclave de la technique, mais plutôt au service de l’émotion.
2.2 Gibson Les Paul : l’arme de prédilection de Slash
On ne peut pas parler de Slash sans mentionner sa Gibson Les Paul, un modèle qu’il a rendu encore plus légendaire. Cet instrument, avec ses courbes élégantes et son son chaleureux, est devenu l’extension naturelle du guitariste.
Le choix de la Les Paul : Slash a opté pour la Les Paul parce qu’elle offrait le son qu’il cherchait : riche, épais, avec une capacité à se démarquer dans un mix rock’n’roll. Il a souvent dit que cette guitare était celle qui lui permettait de mieux s’exprimer.
Une symbiose parfaite : Ce modèle de guitare, entre les mains de Slash, est devenu un symbole du rock classique. Chaque note qu’il joue semble couler naturellement de l’instrument, comme si les deux étaient faits l’un pour l’autre.
Le son iconique : Avec ses micros humbucker, la Les Paul produit un son qui est à la fois doux et percutant, parfait pour les solos longs et émotionnels de Slash, mais aussi pour les riffs plus lourds et entraînants.
III. L’après Guns N’ Roses : Slash se réinvente
3.1 Slash’s Snakepit : une aventure solo
Après des tensions internes avec Axl Rose et la dissolution progressive de la formation classique des Guns N’ Roses dans les années 90, Slash décide de créer son propre projet, Slash’s Snakepit, en 1994.
Un retour aux racines : Avec ce projet, Slash voulait revenir à un rock plus brut et direct, loin des tensions et des pressions entourant les Guns N’ Roses. It’s Five O’Clock Somewhere, le premier album de Slash’s Snakepit, reçoit un accueil mitigé, mais les fans de Slash apprécient son retour à un rock authentique et décomplexé.
Un exutoire créatif : Slash a décrit Slash’s Snakepit comme un moyen de s’exprimer sans avoir à se soucier des dynamiques de groupe complexes qui pesaient sur Guns N’ Roses à l’époque. C’était son terrain de jeu personnel, un espace où il pouvait laisser libre cours à ses instincts rock.
3.2 Velvet Revolver : la renaissance
Après quelques années en solo, Slash rejoint un nouveau groupe, Velvet Revolver, en 2002, aux côtés de plusieurs anciens membres des Guns N’ Roses, ainsi que du chanteur de Stone Temple Pilots, Scott Weiland.
Un supergroupe explosif : Velvet Revolver est rapidement salué comme l’un des supergroupes les plus prometteurs du début des années 2000. Leur premier album, Contraband (2004), connaît un succès commercial et critique, en grande partie grâce à des hits comme « Slither » et « Fall to Pieces« .
Une nouvelle énergie : Slash semble revitalisé dans Velvet Revolver, offrant certains de ses solos les plus puissants depuis Guns N’ Roses. Ce groupe permet à Slash de combiner son style classique avec une énergie grunge et moderne qui le connecte à une nouvelle génération de fans.
Slash guitariste
IV. L’héritage de Slash dans le monde du rock
4.1 Une icône toujours active
Même après plusieurs décennies sur le devant de la scène, Slash reste une figure active du rock contemporain. Que ce soit avec Guns N’ Roses, Velvet Revolver ou en tant qu’artiste solo, il continue de se produire, d’enregistrer des albums, et de repousser les limites de son art.
Collaborations et projets solo : Slash a collaboré avec de nombreux artistes, de Michael Jackson à Ozzy Osbourne, prouvant que son talent transcende les genres. Ses projets solo, notamment avec Myles Kennedy (chanteur d’Alter Bridge), ont aussi été salués pour leur qualité et leur créativité.
4.2 Un modèle pour les générations futures
Slash n’est pas simplement un guitariste exceptionnel, il est aussi un modèle pour de nombreux musiciens et fans du monde entier. Il a prouvé que la guitare pouvait être bien plus qu’un simple instrument ; entre ses mains, elle devient une extension de son être, un moyen d’expression unique.
Influence sur les jeunes musiciens : Des générations entières de guitaristes ont été inspirées par son jeu. Nombreux sont ceux qui ont appris leurs premiers riffs sur « Sweet Child O’ Mine » ou ont tenté de reproduire son célèbre solo sur « November Rain« . Pour de nombreux musiciens débutants, Slash représente ce que le rock’n’roll peut avoir de plus pur et de plus passionné.
Un style inimitable : Alors que certains guitaristes sont connus pour leur vitesse ou leur technique, Slash est salué pour sa capacité à raconter une histoire à travers sa guitare. Il joue avec émotion, et chaque note semble avoir un sens. C’est cette capacité à allier technique et expression qui en fait un modèle pour les jeunes musiciens cherchant à développer leur propre style.
Un look iconique : Ce fameux chapeau haut de forme, ces lunettes de soleil, et cette Gibson Les Paul. Le look de Slash est immédiatement reconnaissable et participe à son charisme sur scène. Au-delà de la musique, il a aussi influencé la culture visuelle du rock.
V. Slash aujourd’hui : un héritage vivant et un guitariste indémodable
5.1 Le retour de Guns N’ Roses
Après des années de séparation, les fans du monde entier ont eu la surprise de voir Slash rejoindre Guns N’ Roses pour une tournée mondiale en 2016, intitulée Not In This Lifetime Tour. Cette tournée marquait le grand retour de Slash aux côtés d’Axl Rose, après deux décennies de tensions entre les membres.
Une réunion historique : La tournée Not In This Lifetime a été un véritable événement mondial, rassemblant des millions de fans à travers des concerts mémorables. Les retrouvailles entre Slash et Axl sur scène étaient plus que symboliques, et leur alchimie musicale intacte a ravi les fans de longue date.
Un nouvel album ? : Bien que des rumeurs persistent quant à l’enregistrement d’un nouvel album studio avec les membres historiques de Guns N’ Roses, Slash reste évasif sur la question, laissant le mystère planer. Cependant, les fans sont optimistes et espèrent un retour en studio pour immortaliser cette renaissance.
5.2 Slash, un artiste solo accompli
Outre ses projets avec Guns N’ Roses, Slash continue de développer sa carrière solo. En collaboration avec Myles Kennedy et The Conspirators, il a sorti plusieurs albums qui ont rencontré un succès critique et commercial. Leur chimie musicale est indéniable, et ensemble, ils repoussent les frontières du rock moderne.
Les albums solo : Slash a déjà sorti plusieurs albums sous son propre nom, notamment Apocalyptic Love (2012), World on Fire (2014) et Living the Dream (2018). Ces albums montrent que Slash est toujours aussi créatif, expérimentant de nouveaux sons tout en restant fidèle à son style unique.
Une tournée constante : Qu’il soit sur scène avec Guns N’ Roses ou avec Myles Kennedy, Slash est un performer infatigable. Il passe une grande partie de son temps en tournée, jouant dans les plus grandes salles du monde, prouvant que, même après toutes ces années, il reste l’un des guitaristes les plus respectés de la scène rock.
Conclusion : Slash, une légende du rock’n’roll toujours en mouvement
Slash est plus qu’un simple guitariste ; il est un phénomène. Que ce soit à l’époque des Guns N’ Roses, avec Velvet Revolver ou dans sa carrière solo, il a marqué chaque projet de son empreinte indélébile. Avec son look iconique, son jeu de guitare puissant et sa capacité à transcender les genres, il est devenu un symbole du rock’n’roll dans toute sa splendeur.
Aujourd’hui encore, il continue de faire vibrer les scènes du monde entier, prouvant que son héritage est loin d’être figé dans le passé. Slash est une légende vivante, et chaque nouvelle note jouée est une pièce supplémentaire de l’histoire du rock qu’il continue d’écrire avec passion.
FAQ Slash
1. Pourquoi Slash est-il considéré comme l’un des plus grands guitaristes de tous les temps ?
Slash est souvent cité parmi les plus grands guitaristes de l’histoire du rock pour plusieurs raisons. D’abord, il a développé un style unique, mêlant influences blues et rock avec une fluidité et une expressivité incomparables. Ensuite, ses riffs et solos sont devenus emblématiques, reconnaissables entre mille, et ont marqué des générations de musiciens. Des morceaux comme « Sweet Child O’ Mine », « November Rain », et « Paradise City » sont des exemples parfaits de son génie musical.
Signature sonore : Slash a un son immédiatement identifiable, en partie grâce à sa Gibson Les Paul, mais aussi grâce à sa maîtrise du vibrato et des bends, qui ajoutent une dimension émotionnelle à chaque note.
Solos intemporels : Ses solos ne sont pas seulement techniques, ils racontent une histoire. Par exemple, le solo de « November Rain » est considéré comme l’un des plus grands de tous les temps, grâce à sa progression lente et majestueuse qui culmine dans une explosion d’émotion.
Influence durable : Slash a inspiré des milliers de guitaristes à travers le monde. Même aujourd’hui, des jeunes musiciens apprennent à jouer la guitare en reproduisant ses riffs, preuve de l’impact durable de son style.
2. Comment Slash a-t-il influencé la guitare rock moderne ?
Slash a eu une influence majeure sur la guitare rock moderne, surtout à une époque où le rock était dominé par le heavy metal ou les groupes de hair metal des années 80. Il a ramené un son plus brut et authentique, basé sur les racines du blues et du rock classique.
Retour aux sources : Alors que beaucoup de guitaristes de son époque se concentraient sur la virtuosité technique et la vitesse, Slash a prouvé que l’émotion et le feeling étaient tout aussi importants. Son jeu se distingue par sa capacité à communiquer des sentiments à travers des riffs simples mais puissants, ainsi que des solos mélodiques.
Popularisation de la Gibson Les Paul : Bien que la Les Paul soit un modèle de guitare mythique depuis les années 50, Slash l’a remise sous les feux de la rampe dans les années 80, contribuant à une résurgence de cet instrument auprès des jeunes guitaristes. Il a démontré que la Les Paul pouvait offrir à la fois des sons doux et chauds pour des ballades, mais aussi un ton lourd pour des riffs rock intenses.
3. Quelle est la relation entre Slash et Axl Rose ?
La relation entre Slash et Axl Rose a été tumultueuse, marquée par des périodes d’amitié, de collaboration musicale intense, mais aussi de conflits et de séparations. Les tensions entre les deux icônes du rock ont contribué à la dissolution de la formation originale de Guns N’ Roses dans les années 90.
Collaboration fructueuse : Au début, la collaboration entre Slash et Axl a donné naissance à certains des plus grands hits du rock. Leur alchimie musicale était indéniable, Axl apportant une voix puissante et charismatique, et Slash produisant des riffs et des solos mémorables. Ensemble, ils ont créé des albums légendaires comme Appetite for Destruction.
Conflits internes : Cependant, au fil des années, des divergences artistiques et personnelles ont émergé. Axl Rose a progressivement pris le contrôle créatif du groupe, et Slash, qui voulait plus de liberté musicale, a quitté le groupe en 1996. Pendant près de 20 ans, les deux artistes ont été en froid, échangeant parfois des mots durs dans les médias.
Réconciliation : En 2016, contre toute attente, Slash et Axl se sont réconciliés, marquant le début de la tournée « Not In This Lifetime » qui a vu Guns N’ Roses se reformer avec plusieurs membres originaux. Depuis, leur relation semble apaisée, et ils continuent de collaborer musicalement.
4. Quelle a été l’influence de Slash sur Guns N’ Roses ?
Slash est l’un des piliers fondateurs du son de Guns N’ Roses. Sans lui, les morceaux emblématiques du groupe n’auraient probablement pas eu le même impact.
Des riffs emblématiques : Slash est responsable de certains des riffs les plus célèbres du groupe. Par exemple, le riff d’ouverture de « Sweet Child O’ Mine » a été créé presque par accident, mais il est devenu l’un des riffs les plus reconnaissables de l’histoire du rock. De même, le riff de « Welcome to the Jungle » capte l’énergie brute de la scène rock des années 80.
Solos mémorables : Les solos de Slash ont joué un rôle crucial dans l’identité sonore de Guns N’ Roses. Des morceaux comme « November Rain » et « Estranged » mettent en avant sa capacité à combiner des passages techniques avec des mélodies captivantes et émotionnelles.
Image visuelle : Au-delà de la musique, Slash a contribué à l’image visuelle de Guns N’ Roses. Son look iconique, avec son chapeau haut de forme et ses cheveux longs, est devenu indissociable de l’identité du groupe.
5. Pourquoi Slash a-t-il quitté Guns N’ Roses dans les années 90 ?
Le départ de Slash de Guns N’ Roses dans les années 90 était principalement dû à des conflits internes et des différences créatives avec Axl Rose. Au fur et à mesure que le groupe devenait plus célèbre, Axl a pris de plus en plus de contrôle sur la direction musicale du groupe, ce qui a créé des tensions avec Slash.
Désaccords sur le son : Axl voulait que Guns N’ Roses adopte une approche plus expérimentale et diversifiée, incorporant des éléments de musique électronique et de symphonie, tandis que Slash voulait rester fidèle aux racines rock plus brutes du groupe. Ces différences ont mené à une rupture inévitable entre les deux membres.
Fatigue émotionnelle et épuisement : Après des années de tournées intenses et de pression pour produire des albums à succès, Slash a également ressenti un épuisement émotionnel et créatif. Les conflits au sein du groupe, ainsi que les difficultés de communication avec Axl, ont contribué à sa décision de quitter le groupe en 1996.
6. Comment Slash a-t-il géré sa carrière après Guns N’ Roses ?
Après avoir quitté Guns N’ Roses en 1996, Slash a exploré plusieurs avenues musicales, cherchant à se réinventer tout en restant fidèle à ses racines rock.
Slash’s Snakepit : En 1994, Slash a lancé son projet Slash’s Snakepit, un groupe qu’il a formé en parallèle avec Guns N’ Roses avant de s’y consacrer pleinement après son départ. Le groupe a sorti deux albums, It’s Five O’Clock Somewhere (1995) et Ain’t Life Grand (2000), qui ont reçu des critiques mitigées mais ont trouvé un public fidèle parmi les fans de rock.
Velvet Revolver : En 2002, Slash a rejoint un supergroupe appelé Velvet Revolver, composé d’anciens membres de Guns N’ Roses et du chanteur de Stone Temple Pilots, Scott Weiland. Velvet Revolver a connu un succès commercial avec leur premier album Contraband (2004), qui comprenait des hits comme « Slither » et « Fall to Pieces ». Le groupe a duré jusqu’en 2008, date à laquelle il s’est dissous en raison de conflits internes.
Carrière solo : Depuis 2010, Slash a également poursuivi une carrière solo réussie, collaborant avec le chanteur Myles Kennedy et son groupe, The Conspirators. Ensemble, ils ont sorti plusieurs albums, et leur collaboration continue de susciter l’enthousiasme des fans.
7. Quelle est la relation de Slash avec Myles Kennedy ?
La collaboration entre Slash et Myles Kennedy est l’une des plus fructueuses de la carrière post-Guns N’ Roses de Slash. Kennedy, qui est également le chanteur d’Alter Bridge, a apporté une nouvelle dynamique à la musique de Slash, alliant virtuosité à expressivité vocale.
Chimie musicale : Ensemble, Slash et Myles Kennedy ont sorti plusieurs albums à succès, dont Apocalyptic Love (2012), World on Fire (2014), et Living the Dream (2018). Kennedy est un chanteur polyvalent, capable d’ajouter à la fois puissance et émotion aux compositions de Slash, ce qui en fait un duo complémentaire.
Tournées mondiales : Le groupe Slash featuring Myles Kennedy and the Conspirators a également entrepris plusieurs tournées mondiales, jouant des titres issus de la carrière solo de Slash, ainsi que des classiques de Guns N’ Roses. Leur collaboration continue de se renforcer, et les fans attendent toujours avec impatience leurs nouvelles sorties musicales.
8. Quels sont les albums les plus marquants de Slash en solo ?
Slash a publié plusieurs albums solo qui ont été bien accueillis par la critique et les fans. Voici quelques-uns des plus marquants :
Slash (2010) : Cet album est le premier véritable album solo de Slash, et il fait appel à une série de chanteurs invités, dont Ozzy Osbourne, Fergie, et Chris Cornell. Cet album a montré la capacité de Slash à s’adapter à différents styles tout en restant fidèle à son son caractéristique.
Apocalyptic Love (2012) : Cet album marque le début de sa collaboration avec Myles Kennedy et The Conspirators. Il est plus cohérent que son premier album solo, et contient des morceaux puissants comme « Anastasia », qui met en avant les talents de guitariste de Slash.
World on Fire (2014) : Cet album a été salué pour son intensité et son énergie. Le morceau titre, « World on Fire », est l’un des plus gros succès solo de Slash, combinant riffs percutants et mélodies accrocheuses.
Living the Dream (2018) : Dernier album en date, Living the Dream continue de montrer la vitalité de Slash en tant qu’artiste solo, avec des morceaux comme « Driving Rain » et « Mind Your Manners ».
9. Quels sont les modèles de guitare préférés de Slash ?
Slash est surtout connu pour jouer sur des Gibson Les Paul, un modèle qui est devenu indissociable de son son et de son image.
Gibson Les Paul : La Les Paul est la guitare préférée de Slash, en grande partie grâce à sa tonalité riche et chaleureuse. Slash utilise principalement des modèles Custom Shop qui sont conçus sur mesure pour répondre à ses besoins spécifiques. Il a également une série signature chez Gibson qui reproduit les spécifications exactes de ses guitares les plus utilisées.
B.C. Rich Mockingbird : Au début de sa carrière, Slash a également joué sur une B.C. Rich Mockingbird, notamment sur certains des premiers concerts de Guns N’ Roses. Cette guitare, au design unique, a contribué à façonner son son avant qu’il ne se tourne définitivement vers la Les Paul.
Marshall Amplifiers : En plus de ses guitares, Slash est également connu pour utiliser des amplificateurs Marshall, qui ajoutent une distorsion classique à son son et lui permettent de créer des solos puissants et accrocheurs.
Depuis sa création, le rock est un genre musical qui a toujours rassemblé et offert des concerts de rock incroyables à tous ses fans. Certains concerts de rock restent encore dans les annales comme spectacles mythiques comme The Jimi Hendrix Experience, Monterey en 1967, The Rolling Stones, Hyde Park 1969, The Beatles, Shea Stadium 1965…et j’en passe.
Dans cet article, vous en saurez un peu plus sur les meilleurs et plus mythiques grands concerts de Rock qui ont été donnés dans toute l’histoire du genre.
Chaque concert est un spectacle sans précédent qui démontre que seul le Rock est capable de réunir en un seul et même lieu autant de spectateurs et susciter autant d’émotions et d’énergie.
Concert des Monsters of Rock (1991) Moscou – Tushino Airfield (audience estimée à plus de 1,6 million)
Imaginez qu’un festival puisse réunir tous vos artistes / groupes de rock et de métal préférés. Le festival Tushino Airfield à Moscou est considéré comme l’un des meilleurs de l’histoire, car non seulement il a la réputation d’être l’un des plus massifs qui réussit à rassembler les meilleures icônes du rock et du métal en une journée.
Le Concert des Monsters of Rock (1991) à Moscou est devenu avec le temps une belle référence emprunt de nostalgie, à cause notamment de la disparition de certaines légendes comme le légendaire guitariste de Pantera, Dimebag Darrell. Seuls les monstres du rock pouvaient accomplir cela.
L’aérodrome de Tushino à Moscou était le seul lieu pouvant recevoir toutes ces icônes et légendes de la musique rock et métal pour offrir un spectacle épique dans un endroit où les tensions au niveau politique étaient complètement saturées.
En effet, cet événement a représenté un moment d’exception et de liesse pour beaucoup notamment au regard de cette période historique qu’a été la chute de l’Union Soviétique. Dans ce contexte si tendu, ce concert a été un des plus fantastiques de l’histoire du rock: AC-DC, The Black Crows, Pantera ou encore Metallica, les plus grands noms du rock étaient bien présents.
Concerts de rock : Rolling Stones (2006) à Rio de Janeiro – Copacabana Beach (1,5 million de personnes)
Tout le monde les connaît, leur renommée les précède.
Les Rolling Stones sont l’un des groupes de rock les plus influents qui n’aient jamais existé. Et ils ont toujours marqué une voie à suivre pour les autres artistes du genre.
Les Rolling Stones ont décidé en 2006 de répéter l’exploit de Rod Stewart de 1994, sur la même scène de Rio. Plus de 1,5 million de personnes ont répondu présentes.
Une fois de plus, Copacabana a assisté à un exploit musical qui a réuni près de 2 millions de spectateurs pour voir les fantastiques Rolling Stones jouer les chansons les plus symboliques de leur tournée « A Bigger Bang ».
Mick Jagger, le leader du groupe, a donné au concert le titre de «la plus grande fête du monde».
La scène de cet inoubliable spectacle des Rolling Stones devait être construite à une hauteur difficile à croire, près de 24 mètres de haut pour pouvoir être vue par le plus de monde possible.
Concerts de rock : Rolling Stones
Concerts de rock : Woodstock Festival (1969) Sullivan County, États-Unis (plus de 400.000 personnes)
Quand on dit «festival» ou » Concert de rock« , le premier mot qui nous vient à l’esprit est «Woodstock», car grâce à son succès, il est devenu une référence, une légende.
White Lake, une ferme dans le hameau de Bethel, comté de Sullivan, abritait dans ses 240 hectares plus de 400 000 personnes, réunies pour profiter d’un spectacle sans précédent dans lequel se sont produits les plus grands artistes de la scène rock de l’époque.
Ce festival emblématique n’ a finalement pas duré que 3 jours mais bien 4, en réunissant 32 artistes au total. Même Les conditions météorologiques défavorables et l’organisation chaotique n’ont pas pu faire décourager le demi million de festivaliers.
Non seulement artistiquement et musicalement, ce concert était fou, mais il rassemblait également toute une génération de jeunes, marquée par les violences et les guerres, qui s’élevait ainsi, en prônant paix. L’acheminement de ces 400 000 personnes a causé embouteillages et un certain chaos dans les environs de la ville de Bethel, qui le temps d’un week-end est devenue l’une des trois villes les plus peuplées de l’Etat de New-York.
Cette alternative « anti-guerre et anti-violence », a été décrite comme un festival emblématique de la culture «Hippie», et pour de nombreuses personnes, les symboles emblématiques de la paix sont nés dans cet événement. Toutes les spectateurs et artistes réunis étaient contre la guerre du Vietnam, comme Jimi Hendrix, qui lors de ce festival, pour protester et réclamer la paix, a joué l’hymne national des États-Unis sur un solo de guitare.
De plus, Joe Cocker a également réalisé une performance spectaculaire en jouant une reprise des Beatles «With a little help from my friends». Ce morceau a reçu un accueil incroyable pour toutes les personnes présentes.
Concerts de rock : Woodstock
Concerts de rock : Rod Stewart (1994) Rio de Janeiro – Copacabana Beach (3,5 – 4,2 millions de personnes)
Nous commençons ce festival avec un concert fantastique et inégalé, celui de Rob Stewart à Rio de Janeiro. Plus de 3,5 millions de personnes réunies dans un concert spectaculaire. Copacabana Beach a connu l’un des exploits musicaux les plus spectaculaire de l’histoire.
En décembre 1994, le 31 plus précisément, c’est déroulé un concert entièrement gratuit puisque l’icône du rock britannique a exprimé son intention d’offrir à chaque citoyen un spectacle inoubliable, qu’il puisse ou non payer leur place.
Le sentiment que près de 4 millions de personnes chantent et dansent au rythme de ses chansons les plus célèbres était sûrement écrasant mais certainement inoubliable.
Bien que l’on pense que presque toutes les personnes présentes ne pouvaient le voir sur scène, tout le monde a pleinement apprécié chacune de ses notes.
Rod Stewart était tellement excité à l’idée de partager sa musique avec autant de personnes qu’il a offert une fête inoubliable. Le chanteur écossais a révélé d’ailleurs avoir fait appel à un sorcier brésilien, pour optimiser sa capacité à entrer en communion avec son public.
Concerts de rock : Rod Stewart
Eric CANTO Photographe : Photos de concerts, portraits, pochettes d’albums.
Le Festival de Nîmes 2022 s’est déroulé cette année encore dans ce cadre magnifique que sont les Arènes romaines de Nîmes.
Des artistes nationaux et internationaux se sont produits cet été devant plus de 10 000 spectateurs. Kiss – Nightwish – Deep Purple – Foo Fighters – Dropkick Murphys – Sting – Angele – Booba – PLN – GORILLAZ – Orelsan et d’autres encore sur la scène mythique des arènes.
Festivale de Nîmes 2022 : les captations visuelles
Certains concerts ont déjà fait l’objet de captations visuelles ou sonores lors du Festival de Nîmes, à l’instar du groupeMetallica en 2009 (1), dont le DVD est intituléFrançais pour une nuit, ou encore le groupeJustice (groupe)pour son album live en 2012.
De la chanson française (Johnny Hallyday, Michel Polnareff, Renaud, Patrick Bruel…) au métal (Slipknot, Rammstein, Metallica…), stars internationales (Placebo, Foo Fighters, Bjork, Lenny Kravitz, Arcade Fire, Red Hot chilly Peppers…), artistes confirmés ces dernières années (Stromae, Shaka Ponk, Angele, Maitre Gim’s…), le festival de Nîmes accueille aussi des artistes plus reconnus et adulés (Sting, Santana, Daft Punk, Slash, Radiohead, David Bowie…).
(1) Français pour une nuit est un DVD live du groupe de heavy metal américain Metallica , enregistré à Nîmes , en France, dans les Arènes de Nîmes le 7 juillet 2009, lors du World Magnetic Tour . Il est sorti en trois formats : Un DVD standard dans un digipak comprenant un livret de 16 pages, un Blu-ray , et un digipak avec le livret et un coffret deluxe en édition limitéecomprenant le DVD, une copie de Death Magneticsur CD, un T-shirt, un laissez-passer plastifié et cinq photos exclusives. Bien qu’il n’ait été émis qu’en France, il a été importé en quantité suffisante pour être considéré comme une version régulière. Hormis la photographie de Ross Halfin , l’ensemble du projet a été réalisé par des professionnels français, de la vidéo à la direction artistique.