Ils entrent en scène en écartant d’une main les rideaux de la célébrité, et face à eux, soudain, des milliers de regards impatients que la cérémonie commence… Ils font face au public et aussitôt un masque couvre leur visage, comme une seconde peau. Et pourtant le masque, parfois, se fissure. Une timidité soudaine, un moment de repli, de doute ou de rage.
Un retour sur soi fugace et sincère, comme un mot échangé entre l’être et son double. Alors l’humain s’expose et transcende le personnage… Cette série de photos de concerts procède de cette idée, ou plus justement de cette quête : prendre sur le fait, au beau milieu d’un spectacle d’aveuglement collectif ou derrière la scène, cet entre-deux fragile, ce moment suspendu où l’artiste se révèle à lui même tel qu’il est et non tel qu’on croit le voir.
« Je photographie des artistes sur scène, en tournée, en studio, backstage, je fais des photos de concerts depuis une quinzaine d’années. Ces 10 premières années m’ont permis de croiser beaucoup de musiciens, de traverser la France, la Belgique, d’atterrir à Londres, à Montréal, de me coucher dans des tours bus en Suisse pour me réveiller en Allemagne, de voyager plus de 100.000 km, …
…de dérusher mes photos avec Bjork en peignoir dans sa loge, de manger entre The Hives et Disclosure, faire du quad avec Slipknot, d’être invité dans le plus grand Apple store du monde à Londres pour y faire une conférence…
…d’être photographe officiel de grands festivals, de tester l’alcool des loges aux Eurocks, au Hellfest, au Sonisphere, au Heavy Montréal, au Main Square, à Garorock, dans des salles minuscules ou très grandes, de faire des photos de fin de concerts avec 50.000 personnes qui lèvent les bras, de boire quelques semi-remorques de bières, de me coucher trop tard et me réveiller trop tôt, de traverser cette frénésie pour y capter quelques moments . »
Photos de concert de Nin Inch Nails, Olivia Ruiz, The Arrs, Refused, photos de concert de Paul Mc Cartney, Lenny Kravitz, Walls Of Jericho, Massive Attack, Kezia Jones, Stromae, Sting, The Bloody Beetroots, Sick Ofit All, The Dead Weater, Motorhead, Arctic Monkeys, Rodriguez Jr, Jane’s Addiction, Flea, Lee Fields, photos de concert de Jamie Cullum, Tricky, Royal Republic, Dead Weather, Bring Me The Horizon, etc…
Livre photos de concert : Interview pour Daily Rock par Nicolas Keshvary
Eric Canto, bien connu dans le milieu de la photo et de la musique, est un photographe hors pair, avec un talent fou et un énorme cœur. Mais arrêtons-là les flatteries, car si, à ce jour, il est d’une grande humilité, il risquerait de vite prendre la grosse tête.
À l’occasion de la sortie prochaine de son livre « A suspended moment in time », il nous livre les secrets de sa conception, dans une ambiance plutôt détendue ! Les premiers mots du livre résument l’idée de ce bouquin :
« Ils entrent en scène en écartant d’une main les rideaux de la célébrité, et face à eux, soudain, des milliers de regards impatients que la cérémonie commence… Ils font face au public et aussitôt un masque couvre leur visage, comme une seconde peau. »
Tout d’abord Eric, tous nos lecteurs ne te connaissent pas encore, alors peux-tu te présenter en quelques mots ?
Je fais des photos de concert depuis dix ans maintenant, pour des labels, des magazines et des artistes. Je fais des photos de concert, mais aussi du portrait, de la conception de pochettes d’albums des photos presse et de la communication qui tourne autour de leur sortie.
Beaucoup de monde te connaît via ton travail avec les MassHysteria. Quels sont les autres artistes avec lesquels tu as travaillé ?
On me connaît en effet surtout dans le milieu métal grâce aux albums de Mass Hysteria que j’ai fait, mais j’ai aussi travaillé avec des groupes comme Lofo, ou encore Unswabbed. Mais je vais t’étonner, j’ai aussi bossé avec Olivia Ruiz, et tout récemment avec des artistes comiques comme Pierre Emmanuel Barré.
Je travaille surtout sur des coups de cœur en fonction des rencontres que je peux faire, mais la base reste avant tout le métal et le rock.
Sur l’ensemble de ton travail artistique sur les différents albums, quel est celui qui, à ton goût, est le plus abouti ou réussi ?
En fait il y en a deux, non plutôt trois au final (rires) ! Je suis assez content du dernier album studio des Mass (Matière noire), car il a été « accouché dans la douleur ».
Il y a eu une grande réflexion et un travail pointu suite a huit mois de discussion avec Yann, qui a des idées très arrêtées et qui sait où il veut précisément aller, que ce soit musicalement ou graphiquement.
Pour « Failles » c’était plus simple, car il cherchait une « gueule », du coup j’ai cherché pendant de nombreux mois dans des foyers d’accueil et d’autres endroits une gueule.
Pour « Matière noire » il avait une idée précise du modèle, de la matière, et on a échangé longtemps pour aboutir à ce résultat. La séance photo qui a été faite 3 mois avant la sortie de l’album a été drastique et militaire. Cette pochette me plaît, car on a synthétisé tout ce que l’on voulait faire, une déclinaison intéressante.
L’autre pochette que j’aime beaucoup est celui de Lofofora « Monstre ordinaire », car je n’avais pas beaucoup d’indications pour arriver au projet final. Reno est venu en me disant « je recherche un visuel qui puisse représenter la monstruosité ordinaire sans passer par le cliché simple du patron en costard cravate en guise de monstre ».
Il fallait que ça soit beaucoup plus fin. Il fallait réfléchir, chercher, tester cette idée de ce type qui s’éloigne avec sa pelle avec la vision du gars au sol qui se la serait prise. Il n’y a rien de monstrueux ni de sanguinolent, mais on pouvait très bien s’imaginer que quelque chose s’était passé. De montrer cette part de monstruosité qui se cache en chacun d’entre nous.
Nous avons donc évoqué ce que tu as fait par le passé, mais tu as une nouvelle actualité, c’est la sortie de ton livre. Comment est venue cette idée ?
L’idée m’est venue il y a un peu plus de 8 mois de faire un livre de photos de concert et quelqu’un m’a relancé sur le sujet quelque temps après et m’a parlé du mode participatif pour le financement de ce dernier.
Je suis parti sur un concept pour voir si les gens allaient adhérer ou non. L’idée d’un livre de photos de concert ma parlait, mais cette idée allait-elle parler à d’autres ?
Sortir un bouquin de photos de concert à tant d’exemplaires juste pour le plaisir ne m’intéressait pas.
L’idée était de montrer mon concept, tout comme je peux le faire pour une pochette d’album et voir si cela peut intéresser du monde ou pas, tout en étant maître de ce que je voulais faire sans aucune directive de qui que ce soit.
Et le financement participatif permet vraiment de faire cela, et d’avoir la totale liberté de faire ce que j’ai envie de faire. Je ne fais quasiment pas d’expo, mais l’idée de compiler mes photos pour les présenter a commencé à germer quand j’ai trouvé la trame de ce que je voulais faire.
Vu la multitude de clichés que tu as pu faire, comment s’est fait le choix des photos de concert pour le bouquin ?
Le fait de présenter une série de photos de concert sans lien ne m’intéresse pas. En regardant ses propres photos et celles des autres, on remarque au fil des années le chemin que le photographe prend.
Dans mon cas j’au noté que je recherchais des moments très précis dans mes photos de concert, que ce soit au niveau du cadrage ou du sujet, des moments où l’artiste est dépouillé avec généralement une lumière derrière et peu d’objet, et il y a comme un moment de flottement, un moment suspendu.
Je pense que cela doit venir de mes études de psychologie qui font que je m’interroge sur la présence d’une personne face à une foule de 50000 personnes et ce qui peut se passer dans sa tête à ce moment.
À vraie dire, je ne fais pas que m’interroger, cela me fascine. L’idée qu’un artiste ou un groupe se mette un masque à un moment donné pour affronter le public et supporter la pression qui l’attend m’intéresse beaucoup.
Je me suis rendu compte que c’est ce que je cherchais dans la plupart de mes photos et j’ai décidé de travailler avec un ami écrivain et je lui ai demandé de transcrire en mot cette idée sur mes photos que je lui avais apportée.
Il a écrit un texte qui exprime exactement ce que je voulais dire, et j’ai décidé de m’en servir comme support.
En en parlant je me rappelle d’une interview d’il y a quelque temps de Corey Taylor, le chanteur de Slipknot aux Eurockéennes où je lui avais posé la question de savoir si l’apport du masque, qui permet de se lâcher complètement, n’est pas une frustration au final de ne pas être reconnu.
Il m’avait dit que dès que le masque est mis, il n’y a plus de limite et cela est salvateur, car on peut tout se permettre. Le masque est pour lui quelque chose de libérateur, une soupape.
Donc le contenu du livre n’est pas une compilation de photos de concert, ces moments suspendus reflètent ce que l’on peut trouver qu’on peut trouver également backstage, en loge, ou derrière la scène.
Ce ne sont pas forcément des moments dramatiques, mais cela peut être des moments de rires avant de monter sur scène par exemple.
Ton livre sortant au mois d’octobre, est-ce que d’ici là tu vas encore faire tout une série de photos, le choix des photos est il définitivement fait ou cela peut encore changer d’ici la ?
Le choix va évoluer obligatoirement, j’ai beaucoup de matière et je vais travailler avec un ami graphiste qui fait un travail de mise en page fabuleux, pour trouver le raccord parfait entre photos en graphisme. Ça ne va pas être la course à la photo.
J’ai vraiment la liberté de faire comme j’ai envie sans passer par l’aval de qui que ce soit, à l’instar d’un travail que je peux faire pour un artiste et qui doit être validé en amont. C’est aussi pour moi une possibilité de mettre en perspective mon travail en gardant la main à chaque moment de la création du livre.
Bonus :10 conseils pour capturer des photos de concert.
1. Éteignez votre flash
Vous êtes sur place et si vous avez de la chance, vous pourriez même être dans la fosse. La première règle principale consiste à désactiver votre flash, que ce soit sur votre téléphone ou votre appareil photo. Si vous ne le faites pas, vous ennuierez invariablement le groupe ou l’artiste et deuxièmement, les images ne seront généralement pas si bonnes.
Essayez d’utiliser les conditions d’éclairage existantes. Souvent, l’éclairage dans les petites salles ne sera pas excellent; essayez de l’utiliser à votre avantage en devenant plus créatif avec vos angles.
2. Travaillez rapidement
Si vous êtes dans la fosse (la zone protégée entre la scène et la barrière de la foule), il y a généralement trois chansons et vous ne disposez que de 10 à 15 minutes pour obtenir les clichés dont vous avez besoin.
Shootez avec diligence et assurez-vous de couvrir autant d’angles et les différents membres du groupe que vous le pouvez.
3. Observez et soyez conscient
Regardez comment le groupe se déplace sur scène, observez l’interaction entre les membres du groupe. Essayez de vous assurer d’obtenir une gamme d’expressions, assurez-vous que vos photos sont propres sans que les microphones, etc. n’obstruent le visage du chanteur.
4. Visez à obtenez leur meilleur côté
Les images sont-elles flatteuses? Les membres du groupe sont humains; si une photo montre quelqu’un d’une manière négative ou peu flatteuse, jetez-la. Les plans montrant l’émotion, l’énergie brute et les expressions dynamiques sont excellentes, mais évitez autant que possible les doubles mentons manifestes ou les angles pas terribles.
5. Maîtrisez votre appareil photo
Que vous photographiez avec un reflex numérique de base ou même un iPhone, sachez quels paramètres vous utiliserez à l’avance. Mon conseil – dans la mesure du possible – est de shooter en RAW et avec l’appareil photo en mode manuel. Utilisez une application telle que Photoshop pour modifier vos images.
Si vous n’êtes pas familier avec les logiciels d’imagerie, cela peut sembler assez intimidant au premier abord. Mais une fois que vous vous y serez habitué, cela améliorera considérablement la qualité de vos images.
6. Alternez les cadrages
Essayez de photographier une gamme de formes et d’angles, prenez des photos plus larges montrant l’artiste en relation avec la mise en scène. L’une des principales erreurs que les gens font est d’essayer de recadrer de manière trop serrée.
Essayez un mélange de portraits et de paysages. Si vous avez l’occasion de vous déplacer, tirez sur l’artiste à partir de différentes positions. Essayez d’incorporer la foule dans vos photos, cela peut ajouter une atmosphère à vos images.
7. N’exagérez pas la retouche
Si vous utilisez une application de retouche photo, n’exagérez pas la retouche. Une tendance récente est de sursaturer les images et de les faire apparaître comme si elles avaient été prises en HDR, cela peut donner un effet de dessin animé et devrait être évité.
8. Respectez le public
Que vous tiriez de la foule ou dans la fosse, respectez toujours le public et les autres photographes. Ne tenez pas votre appareil photo en l’air pendant de longues périodes, faites preuve de courtoisie et de respect, en particulier envers le public qui aura payé pour son billet et qui aura peut-être même fait la queue pour se rendre à l’avant pour voir sa vue interrompue par vous et votre appareil photo.
9. Recherchez sur youtube…
Si le groupe ou l’artiste est assez célèbre, recherchez des vidéos YouTube de sa tournée actuelle ou consultez les dernières images en ligne. Cela vous donnera une indication des conditions de prise de vue et de l’éclairage, etc. Aussi, si vous pouvez vous attendre à des prises de vue ou à d’autres moments passionnants pendant le spectacle.
10. Profitez de l’expérience
Le shooting de photos de concert peut être extrêmement difficile, mais aussi très amusant.
Pratiquez votre art: la plupart des petites salles vous permettront d’utiliser votre appareil photo, alors shootez. Apprenez à être constructif sur vos images. Organisez un site Web pour illustrer votre travail.
Une fois que vous avez un portfolio, commencez à contacter des groupes locaux et des lieux locaux et vous pourrez éventuellement commencer à construire un relationnel qui, espérons-le, pourra un jour vous permettre de vous faire payer pour vos images.
Def Leppard, un nom qui évoque à lui seul le glamour et la grandeur du rock des années 80. Ce groupe britannique est l’une des formations les plus emblématiques du rock classique, ayant vendu plus de 100 millions d’albums à travers le monde.Mélangeant des riffs puissants, des refrains accrocheurs et une production léchée, Def Leppard a marqué l’histoire avec des albums comme « Pyromania » et « Hysteria », devenus des piliers du rock.Mais derrière les projecteurs et les hits planétaires, leur parcours est semé de défis, de drames et de résilience. Plongeons dans l’univers du groupe, leurs succès, leurs luttes, et pourquoi ils continuent de captiver des millions de fans à travers les générations.
Def Leppard
Les débuts de Def Leppard : D’un rêve d’adolescents à la conquête du rock mondial
L’origine du groupe et les premières influences
Fondé en 1977 à Sheffield, au Royaume-Uni, Def Leppard est le fruit de la passion de jeunes musiciens influencés par le heavy metal et le glam rock. À l’origine, le groupe était connu sous le nom de Atomic Mass, mais avec l’arrivée du chanteur Joe Elliott, le nom change pour devenir Def Leppard. Ce choix, inspiré par les groupes de glam rock comme T. Rex et Mott the Hoople, marque le début d’une ascension rapide vers la gloire.
Leurs premières influences se situent à la croisée du heavymetal naissant et du rock classique des années 70, notamment des groupes comme Led Zeppelin, Thin Lizzy, et Queen. Cependant, Def Leppard souhaitait se démarquer en injectant une dose de mélodie dans leur musique, rendant leurs chansons plus accessibles tout en restant ancrées dans l’énergie brute du hard rock.
« On Through the Night » : Le premier album et l’émergence d’un son unique
En 1980, Def Leppard sort son premier album, « On Through the Night ». Ce disque marque leurs premiers pas sur la scène internationale, bien que leur son soit encore en développement. Les morceaux sont imprégnés d’un style heavy metal traditionnel, mais des éléments plus mélodiques pointent déjà le bout de leur nez, annonçant la direction que le groupe prendra dans les années à venir.
Si l’album est relativement bien accueilli, c’est leur deuxième opus, « High ‘n’ Dry », sorti en 1981, qui va commencer à attirer l’attention. Produit par Mutt Lange, célèbre pour son travail avec AC/DC, cet album marque une évolution dans leur son avec des morceaux comme « Bringin’ On the Heartbreak », un titre qui deviendra l’un de leurs premiers succès radio.
L’explosion de « Pyromania » et le triomphe de Def Leppard dans les années 80
« Pyromania » : Un album révolutionnaire
C’est en 1983 que Def Leppard frappe un grand coup avec l’album « Pyromania ». Propulsé par des singles comme « Photograph », « Rock of Ages », et « Foolin’ », l’album est un succès immédiat, atteignant la deuxième place des charts américains et se vendant à des millions d’exemplaires. La production léchée de Mutt Lange, associée à des riffs accrocheurs et des refrains qui restent en tête, fait de Def Leppard l’un des groupes les plus populaires de la scène rock de l’époque.
« Photograph », en particulier, devient un hymne pour la jeunesse des années 80, avec ses paroles évoquant l’obsession et le désir, des thèmes récurrents dans la culture pop de cette époque. Le son de Def Leppard, mélodique mais toujours résolument rock, devient la référence pour de nombreux groupes de hard rock à suivre.
La montée en puissance du groupe et l’ère des superstars
Avec le succès de « Pyromania », Def Leppard entre dans la catégorie des superstars du rock. Le groupe tourne dans le monde entier, remplissant les stades et devenant une référence incontournable de la scène glam metal et hard rock. Mais malgré le succès, des défis majeurs attendent le groupe.
En 1984, alors que Def Leppard prépare ce qui deviendra leur plus grand album, « Hysteria », le batteur Rick Allen est victime d’un accident de voiture qui lui fait perdre son bras gauche. Un coup dur pour le groupe, mais au lieu d’abandonner, Rick Allen décide de continuer à jouer de la batterie en développant une technique unique avec un kit de batterie électronique spécialement conçu pour lui.
« Hysteria » : L’album de la consécration et des records
Un album hors norme
Après quatre ans de travail acharné, Def Leppard sort enfin « Hysteria » en 1987. L’album est immédiatement un triomphe planétaire. Avec pas moins de sept singles à succès, dont « Pour Some Sugar on Me », « Love Bites », et « Armageddon It », « Hysteria » devient l’un des albums les plus vendus de l’histoire du rock, dépassant les 25 millions de copies vendues dans le monde.
Ce qui distingue « Hysteria », c’est son mélange parfait de riffs rock et de mélodies pop, renforcé par une production ultra-sophistiquée, encore une fois sous la direction de Mutt Lange. L’album est conçu pour plaire à un public large, combinant l’énergie brute du rock avec des refrains catchy et des harmonies vocales complexes.
« Pour Some Sugar on Me » devient l’hymne de l’été 1987, propulsant Def Leppard encore plus haut dans le panthéon des légendes du rock. Grâce à des vidéoclips omniprésents sur MTV, le groupe devient une figure incontournable de la culture pop des années 80.
La tournée mondiale et le statut de légendes vivantes
La tournée qui suit la sortie de « Hysteria » est l’une des plus impressionnantes de l’époque. Def Leppard remplit des stades à travers le monde, avec des shows spectaculaires et une mise en scène digne des plus grandes productions. À la fin des années 80, le groupe atteint des sommets inégalés, rivalisant avec des groupes comme Bon Jovi, Van Halen, et Guns N’ Roses.
Mais derrière les paillettes et le glamour, Def Leppard doit faire face à des défis personnels et professionnels. Le succès massif entraîne des tensions au sein du groupe, et la pression pour continuer à produire des hits est immense. Cependant, malgré ces obstacles, Def Leppard continue à sortir des albums qui trouvent leur public.
L’après Hysteria : Résilience et longévité dans une industrie changeante
Tragedy strikes again : la mort de Steve Clark
Alors que le groupe est au sommet de sa popularité, une autre tragédie frappe en 1991 avec la mort de Steve Clark, le guitariste principal, après une longue bataille contre l’alcoolisme. Sa disparition est un coup dur pour le groupe, mais Def Leppard décide de continuer, et Vivian Campbell, ancien guitariste de Dio, rejoint la formation.
Le groupe sort « Adrenalize » en 1992, un album qui rencontre un grand succès, même s’il n’atteint pas les sommets de « Hysteria ». Le single « Let’s Get Rocked » devient néanmoins un hit, prouvant que Def Leppard reste une force majeure sur la scène rock.
Def Leppard
La survie dans un paysage musical en mutation
Avec l’arrivée des années 90 et du mouvement grunge, le rock glamour et flamboyant de Def Leppard devient moins à la mode. Mais le groupe, loin de s’effondrer, choisit de persévérer. Leur son évolue pour s’adapter à de nouvelles tendances tout en restant fidèle à leurs racines rock. Des albums comme « Slang » (1996) montrent une approche plus sombre et expérimentale, tandis que « Euphoria » (1999) ramène une énergie plus proche des grandes heures du groupe.
La longévité de Def Leppardest remarquable. Contrairement à de nombreux groupes de leur époque, ils continuent de tourner, d’enregistrer de nouveaux albums, et de remplir des stades. Leur résilience face aux défis personnels et à l’évolution de l’industrie musicale témoigne de leur passion pour la musique et de leur capacité à se renouveler sans perdre leur essence.
Conclusion
Def Leppard est bien plus qu’un simple groupe de rock des années 80. Avec des albums qui ont marqué l’histoire et des concerts légendaires, ils ont prouvé qu’ils étaient une force durable dans l’univers musical. Leur capacité à surmonter des obstacles, des tragédies personnelles aux changements dans l’industrie musicale, les a placés parmi les légendes vivantes musicales.
Def Leppard a non seulement défini ce qu’était le rock grand public dans les années 80, mais ils ont également prouvé que leur musique était intemporelle. Avec des hymnes comme « Pour Some Sugar on Me », « Photograph », et « Love Bites », ils ont touché des millions de fans à travers plusieurs générations.
Leur longévité dans une industrie aussi volatile témoigne de leur résilience, de leur passion pour la musique et de leur capacité à évoluer tout en restant fidèles à eux-mêmes. Que ce soit sur scène ou en studio, Def Leppardcontinue d’écrire son histoire, rappelant à tous que le rock est bien plus qu’un genre musical : c’est une manière de vivre.
FAQ : Tout savoir sur Def Leppard
1. Quels sont les albums incontournables de Def Leppard ? Def Leppard compte plusieurs albums emblématiques. Les plus incontournables sont :
« Pyromania » (1983) : Cet album est celui qui a véritablement mis le groupe sur la carte du rock mondial avec des hits comme « Photograph » et « Rock of Ages ».
« Hysteria » (1987) : Considéré comme leur chef-d’œuvre, cet album est devenu l’un des plus vendus de l’histoire du rock, avec des titres comme « Pour Some Sugar on Me », « Love Bites », et « Armageddon It ».
« Adrenalize » (1992) : Bien qu’il soit sorti après la mort de Steve Clark, cet album a consolidé la place du groupe dans l’industrie avec des hits comme « Let’s Get Rocked ».
2. Comment Def Leppard a-t-il surmonté la perte de Steve Clark ?
La mort de Steve Clark en 1991 a été une épreuve difficile pour Def Leppard, mais le groupe a décidé de continuer malgré tout. Ils ont trouvé en Vivian Campbell, ancien guitariste de Dio, un nouveau membre qui a apporté une nouvelle énergie au groupe. Le groupe a poursuivi sa carrière avec succès, en sortant l’album « Adrenalize » en 1992, qui a connu un succès mondial.
3. Comment Rick Allen joue-t-il de la batterie après la perte de son bras ? Rick Allen, le batteur de Def Leppard, a perdu son bras gauche dans un accident de voiture en 1984. Au lieu d’abandonner, Allen a travaillé avec des ingénieurs pour développer un kit de batterie électronique sur mesure, qui lui permet de jouer à la batterie avec un bras et ses pieds. Sa détermination et son talent ont inspiré des millions de fans à travers le monde.
4. Def Leppard a-t-il été influencé par d’autres genres musicaux ?
Oui, bien que Def Leppard soit principalement associé au glam metal et au hard rock, ils ont également incorporé des éléments de pop et de rock mélodique dans leur musique. L’influence de producteurs comme Mutt Lange a permis au groupe de créer des chansons plus accessibles avec des refrains accrocheurs et des harmonies vocales sophistiquées. Au fil des années, ils ont aussi expérimenté avec des sons plus modernes, comme sur l’album « Slang » (1996).
5. Def Leppard continue-t-il à tourner et à sortir de nouveaux albums ?
Oui, Def Leppard est toujours actif. Malgré les changements dans l’industrie musicale et les défis personnels, le groupe continue à enregistrer et à tourner dans le monde entier. En 2019, ils ont été intronisés au Rock and Roll Hall of Fame, un témoignage de leur impact durable sur la musique rock. Ils continuent de remplir des stades et de captiver un public fidèle avec leurs performances énergiques et leurs hymnes intemporels.
Le phénomène Limp Bizkit : un groupe de nu metal américain
Limp Bizkit est sans doute l’un des groupes les plus controversés et à la fois les plus populaires du genre nu metal. Originaires de Jacksonville, en Floride, ces musiciens ont réussi à créer un son unique ayant marqué une génération. Dans cet article, nous explorerons leur parcours ainsi que les éléments qui ont contribué à leur succès fulgurant.
La genèse du groupe : rencontre entre Fred Durst et Sam Rivers
C’est en 1994 que Fred Durst, alors tatoueur, fait la rencontre de Sam Rivers, bassiste de formation. Les deux hommes deviennent rapidement amis et décident de former leur propre groupe de musique, avec l’idée d’allier rock et hip-hop. Ils sont rapidement rejoints par le cousin de Sam, John Otto, à la batterie et Wes Borland, guitariste aux talents multiples et à l’apparence excentrique.
Un nom original pour un groupe original
Pour trouver le nom de leur groupe, ils ont choisi « Limp Bizkit », qui signifie littéralement « biscuit mou » en anglais. Un choix étrange, mais qui reflète bien l’esprit décalé et provocateur du band, qui marquera toute leur carrière.
Une ascension fulgurante
Dès leurs premières performances, le groupe se fait remarquer pour son énergie incroyable sur scène et sa capacité à électriser le public. Leur style musical mélangeant habilement rock, metal, hip-hop et autres sonorités leur permet de se démarquer rapidement. C’est cette singularité qui va les amener à signer avec le label Flip/Interscope alors qu’ils n’ont encore rien enregistré.
Le succès de l’album « Three Dollar Bill, Y’all$ »
En 1997, Limp Bizkit sort son premier album intitulé « Three Dollar Bill, Y’all$« . Celui-ci est marqué par la chanson phare « Counterfeit« , qui sera leur premier single. Le succès de cet opus leur ouvrira les portes du fameux festival Ozzfest et de nombreuses autres dates de concert aux côtés de groupes renommés comme Korn ou Deftones.
La consécration : « Significant Other » et « Chocolate Starfish and the Hot Dog Flavored Water
L’année 1999 marque une étape cruciale dans la carrière de Limp Bizkit. Leur deuxième album, « Significant Other« , fait un véritable carton avec des titres emblématiques tels que « Nookie » et « Break Stuff« . Ces morceaux provoquent une véritable hystérie chez leurs fans et assurent au groupe une place indéniable sur la scène internationale du nu metal.
Toile de fond controversée en streaming
C’est également durant cette période que le groupe fait parler de lui pour d’autres raisons. En effet, ils sont controversés notamment pour leur participation au désastreux festival Woodstock 99, durant lequel des violences et incendies ont eu lieu. Cette polémique n’empêche pourtant pas Limp Bizkit de continuer sur sa lancée.
En 2000, ils sortent leur troisième album : « Chocolate Starfish and the Hot Dog Flavored Water« . Celui-ci se vend à plus de six millions d’exemplaires aux États-Unis seulement, preuve du succès phénoménal du groupe. Parmi les morceaux les plus populaires, on retrouve « Rollin’ » ou encore « My Way« .
Départs et retours au sein du groupe
Le parcours de Limp Bizkit est également marqué par des tensions internes ayant mené à plusieurs départs et retours de membres. Le guitariste emblématique Wes Borland a notamment quitté le groupe deux fois avant de revenir finalement en 2009. Par la suite, la formation aura quelques changements, tels que l’arrivée du DJ Franko Carino.
Un nouvel album attendu
Nouveau single « Dad Vibes »
Album toujours en préparation
Aujourd’hui, les fans de Limp Bizkit sont toujours impatients de découvrir un nouvel album, qui semble être en préparation depuis quelques années déjà. En attendant, ils peuvent se réjouir avec le nouveau single du groupe, « Still Sucks », que Fred Durst a révélé lors d’un récent concert.
Il est indéniable que Limp Bizkit a marqué de son empreinte l’histoire de la musique, en étant à la fois adulés et décriés. Mais une chose est sûre : leur héritage perdure encore aujourd’hui auprès des fans du monde entier.
EN SAVOIR PLUS…
Pivot de la scène nu-métal de la fin des années 90, Limp Bizkit a fait connaître le rap au grand public avec les albums qui ont défini sa carrière, Defined Other , Chocolate Starfish et Hot Dog Flavored Water .
Mené par le charismatique – et polarisant – leader Fred Durst , le groupe Limp Bizkit a connu une série de succès radio (« Counterfeit », « Faith », « Nookie », « Break Stuff », « Rollin’ (Air Raid Vehicle) » et « Behind Blue Eyes ») avant de faire une pause au milieu des années 2000, alors que leur mélange frénétique de hip-hop, de métal et de post-grunge tombait en désuétude.
Limp Bizkit s’est réuni en 2009 et a sorti Gold Cobra, deux ans plus tard. Depuis lors, Limp Bizkit a continué à tourner et à sortir des singles occasionnels. En 2021, Limp Bizkit a annoncé que le Stampede des Disco Elephants, leur premier nouvel album studio depuis plus d’une décennie, était presque terminé.
Limp Bizkit
Limp Bizkit : Three Dollar Bill
Limp Bizkit a été formé en Floride en 1994 par le chanteur Fred Durst et son ami, le bassiste Sam Rivers. Le cousin de Rivers , John Otto, s’est rapidement joint à la batterie et le guitariste Wes Borland a complété le quatuor original (plus tard complété par DJ Lethal ).
Après que Korn ait joué dans la région de Jacksonville en 1995, le bassiste Fieldy s’est fait tatouer plusieurs fois par Durst (un tatoueur) et les deux sont devenus amis. La fois où Korn était dans la région, ils ont récupéré la démo de Limp Bizkit et ont été tellement impressionnés qu’ils l’ont transmise à leur producteur, Ross Robinson..
Grâce principalement au bouche-à-oreille, le groupe Limp Bizkita été choisi pour tourner avec House of Pain et les Deftones .
Les contrats avec le label affluent et après avoir signé avec Flip/Interscope, Limp Bizkit sort son premier album, Three Dollar Bill Y’All . À la mi-1998, Limp Bizkit était devenu l’un des groupes les plus en vogue de la scène rap-metal en plein essor, aidé également par plus d’action en tournée – cette fois avec Faith No More et plus tard, Primus – ainsi qu’une apparition sur Défilé de mode Spring Break ’98 de MTV.
La plus grande pause, cependant, a été une place sur la tournée des valeurs familiales de cet été, qui a considérablement rehaussé le profil du groupe.
Limp-Bizkit
Avec leur premier label, Three Dollar Bill Y’All , Limp Bizkit s’est rapidement hissé au sommet du sous-genre alt-metal connu sous le nom de « rapcore ». Une partie de la raison pour laquelle le groupe se démarquait de ses pairs était son énergie cinétique et frénétique.
Ils n’ont peut-être pas beaucoup d’idées originales – ils sont en grande partie une excroissance de Korn , Faith No More et les Red Hot Chili Peppers – mais ils le font bien.
Ils ont une section rythmique puissante et des punch line mémorables, dont la plupart compensent l’écriture inégale. Là encore, vous ne recherchez pas la perfection pour un premier album – vous recherchez un son prometteur, et sur ce front, Limp Bizkit est à la hauteur.
Limp Bizkit
Limp Bizkit : Significative Other
Le deuxième album très attendu de Limp Bizkit, Significative Other , est sorti en juin 1999, et lui et la vidéo qui l’accompagne pour « Nookie » ont fait du groupe des superstars. Significative Other a fait ses débuts au numéro un et s’était vendu à plus de quatre millions d’exemplaires à la fin de l’année, aidant également à pousser Three Dollar Bill Y’All au- delà de la barre des disques de platine.
Durst , quant à lui, a été sélectionné pour un poste de vice-président senior chez Interscope Records début juillet. Cependant, au milieu de ce succès massif, la controverse a poursuivi le groupe après la performance de cet été à Woodstock ’99.
À la suite des émeutes et des agressions sexuelles qui se sont avérées être l’héritage malheureux du festival, Durst a été fortement critiqué pour avoir encouragé la foule déjà tapageuse et l’avoir incitée à « casser des trucs ».
Non seulement au moins un viol par mosh pit a été signalé pendant le set du groupe (en plus de nombreuses autres blessures), mais le chaos qui s’en est suivi a forcé les organisateurs du festival à débrancher la prise au milieu de leur spectacle.
Même si la performance de Limp Bizkit a eu lieu la veille des tristement célèbres émeutes de clôture du festival, le groupe a été éreinté par les médias, qui leur ont reproché d’avoir déclenché l’étincelle qui a enflammé une atmosphère potentiellement volatile. Intrépide,
Limp Bizkit a fait la une de la tournée Family values cette année-là, avec le nouveau controversé Durst faisant la une des journaux pour des affrontements périodiques avec les compagnons de tournée de Bizkit .
Limp-Bizkit
Limp Bizkit s’est fait une réputation grâce à un travail acharné, faisant une tournée infernale de leur premier album Three Dollar Bill Y’All et s’élevant ainsi au statut de popularité de leurs mentors de métal alternatif Korn , tout aussi influencés par le rap .
Avec leur deuxième album, Significative Other , Limp Bizkit frôle le niveau artistique de Korn ; à tout le moins, c’est considérablement plus ambitieux et multidimensionnel que Three Dollar Bill . Boite Bizkit, bien sûr, n’a pas abandonné leur signature sonore surchargée de testostérone, ils l’ont juste construit.
Il y a des fioritures de néo-psychédélia sur des numéros de métal martelant et il y a des tourbillons de cordes, même des crooning, au fond le plus inattendu. Tout cela renforce simplement la force de leur attaque rap-metal, qui peut devenir un peu fastidieuse si elle est sans fioritures. Ce n’est pas un hasard si la palette sonore élargie sert également de coloration émotionnelle aux paroles de Fred Durst .
Il a rompu avec sa petite amie de longue date – son autre significatif, si vous voulez — pendant l’écriture de l’album, et son angoisse est apparente tout au long du disque, car presque chaque chanson est imprégnée de la culpabilité, de la colère et du regret qui ont été soulevés à la suite de la séparation.
Cela donne cependant l’impression qu’il s’agit d’un Blood on the Tracks alt-metal . Ce n’est pas. Néanmoins, il a plus de poids émotionnel que Three Dollar Bill , avec une musique plus efficace et aventureuse.
Plus important encore, il équilibre ces nouvelles préoccupations avec des traces de leur humour juvénile ainsi que le puissant aggro rap-metal qui est leur stock dans le commerce.
Ce qui en fait un rare bond en avant artistique qui plaira toujours au public qui en veut juste plus.
Limp Bizkit
Limp Bizkit : Results may vary
Pendant la crise de Napster en 2000, Durst est devenu l’un des défenseurs les plus virulents du commerce de musique en ligne ; cet été-là, Limp Bizkit s’est lancé dans une tournée gratuite parrainée par Napster.
Tout cela a préparé le terrain pour la sortie en octobre du troisième album du groupe, Chocolate Starfish and the Hot Dog Flavored Water .
Wes Borland a quitté le groupe peu de temps après, nécessitant une longue recherche d’un guitariste de remplacement de valeur comparable; enfin, après avoir passé près de trois ans sans nouvel album, le groupe Limp Bizkit a sorti Results May Vary , qui a culminé au numéro 3 du Billboard 200 américain et est finalement devenu platine.
Borlandest revenu après sa sortie, et le groupe a publié The Unquestionable Truth, Pt. 1 EP en 2005.
limp bizkit
Limp Bizkit
Limp Bizkit – Greatest Hitz
The Bizkit a ensuite publié Greatest Hitz , une enquête sur les carrières en 17 pistes qui comprenait tous les succès de leur apogée. En 2009, le groupe retourne en studio pour enregistrer avec sa formation originale.
Après un certain nombre de retards,Limp Bizkit sort son cinquième album studio, Gold Cobra, à l’été 2011. Avec le single « Shotgun », The LP a été généralement bien reçu et classé dans plusieurs pays.
En 2012, le groupe Limp Bizkit a quitté Interscope, a rejoint la liste de Cash Money Records et est retourné en studio pour commencer à travailler sur l’album numéro sept. Ils ont sorti les singles « Ready To Go » et « Endless Slaughter » en 2013, mais il faudra des années avant que le nouveau disque ne voit le jour.
Marqué par des difficultés créatives et des changements de label et de personnel, le Stampede of the Disco Elephants qui en résulte est apparu à l’horizon après la sortie du single « Dad Vibes » en 2021.
Six mois après la sortie de Limp Bizkit The Unquestionable Truth, Pt. De 1 à l’apathie quasi universelle – ce qui peut arriver lorsque vous sortez un album sans aucune promotion – le groupe s’est précipité sur la compilation Greatest Hitz , une généreuse promenade de 17 titres dans le passé.
Franchement, il est difficile d’imaginer comment cette collection aurait pu être mieux exécutée. Bien que cela puisse ne rien contenir de The Unquestionable Truth, Pt. 1 — ce qui est en fait un peu dommage, car c’était un bien meilleur album que son prédécesseur de 2003, Results May Vary, mais une règle cardinale des albums à succès (ou hitz) est qu’ils doivent contenir des chansons que les gens ont réellement entendues – il contient tous les grands succès de MTV ou de rock actif du groupe.
Deux singles mineurs dans les charts sont MIA – « Crushed » en 2000 et « Almost Over » en 2004 pour être précis – mais tout ce dont on se souvient est ici. Il y a leur premier single, « Counterfeit »; il y a « Faith », le premier de leur série interminable de reprises embarrassantes, est ici, avec leur pire (« Behind Blue Eyes ») et leur dernier.
Il y a les grands succès « Nookie », « Break Stuff », « Rollin’ (Air Raid Vehicle) », « My Way » et « My Generation »; et il y a « Take a Look Around », leur contribution à la bande originale de Mission Impossible 2, qui est moins oubliable que les trois sélections de Results May Vary .
Rien de tout cela n’a bien vieilli – en fait, il a vieilli incroyablement vite, sonnant plus vieux que les tubes de rock alternatif du milieu des années 90 – mais c’est presque hors de propos, car cela fait bien son travail, et les auditeurs ceux qui veulent avoir du Limp Bizkit dans leur collection trouveront cela pour leur fournir plus de ce qu’ils veulent que tout autre dizc Bizkit .
Limp Bizkit : Gold Cobra
Arrivant à la conclusion que The Unquestionable Truth était si puissant qu’il n’avait jamais eu besoin du deuxième volume promis, Limp Bizkit a fait une pause au cours de la seconde moitié des années 2000, le leader Fred Durst étant beaucoup plus acclamé par la critique en tant que réalisateur qu’il ne l’a jamais fait en tant que réalisateur. un chanteur.
Malgré ces hosannas à contrecœur, Durst s’est senti obligé de réunir le Bizkit , d’effacer les souvenirs du programme raté de The Unquestionable Truth et de Wes Borland-moins « Répéter si nécessaire », pour trouver un moyen d’exploiter la colère qui a déclenché tout le processus.
Une tâche difficile pour n’importe quel groupe, mais en plus de se frotter à Auto-Tune – l’effet vocal électronique tremblant qui est embroché sur « AutoTunage » – Limp Bizkit a l’ intention de revenir en arrière et de revenir à l’attaque à plein régime de Three Billet d’un dollar Y’All .
Si le groupe Limp Bizkit est déterminé à agir comme si les 15 dernières années ne s’étaient jamais produites, Durst est déterminé à agir comme s’il avait 15 ans, en lançant toujours des flèches douloureuses à quiconque aurait pu se mettre sur son chemin.
Le contexte compte et l’angoisse des adolescents est un peu plus difficile à digérer venant d’un homme adulte que d’une vingtaine d’années, en particulier si cet adulte est un millionnaire qui ressemble maintenant un peu à Le frère le plus lourd de Michael Stipe .
Durst ne peut toujours pas s’empêcher de crier à chaque fois qu’il est en colère, et il est souvent en colère : il est fou d’Auto-Tune, il est fou des connards de Beverly Hills, il se demande pourquoi il devrait essayer, il pense que tu devrais avoir une vie et te préparer vous-même pour une « attaque de requin ».
Moins un détail ou deux, c’est le même ensemble de griefs qu’il colporte depuis le début, les similitudes si frappantes qu’elles sont sûrement aussi intentionnelles que Bizkit sortir leur mouture métallique pré-millénaire, agissant comme si les années W n’avaient jamais eu lieu.
Bien sûr, en tant que son pur, il est bien exécuté – plus assuré, musical et, bien, professionnel que n’importe lequel de leurs autres albums, leur âge leur conférant une dextérité absente de leurs tubes – mais la rétro-rage délibérée soulève la question : à qui s’adresse cette musique exactement ? Est-il destiné à attirer un nouveau lot d’adolescents frustrés qui bégaient ou est-ce pour des adultes abattus et déçus qui n’ont pas encore ébranlé les ressentiments des adolescents?
L’argent sûr est sur ce dernier, mais cela suggère seulement que toute cette rage est un acte calculé, que Limp Bizkit – dont les membres sont bien plus intelligents que leur art, comme toute interview avec Durst ou Borland prouve — n’agit de cette façon que parce que c’est tout ce qu’ils savent faire ou parce que ça se vend… du moins ça l’a fait à un moment donné.
Eric CANTO Photographe : Photos de concerts, portraits, pochettes d’albums.
1. Qui est Limp Bizkit et comment ont-ils commencé leur carrière musicale?
Limp Bizkit est un groupe de rock américain formé en 1994 à Jacksonville, en Floride. Le groupe est composé de Fred Durst au chant, Wes Borland à la guitare, Sam Rivers à la basse, John Otto à la batterie et DJ Lethal aux platines. Ils ont commencé leur carrière musicale en jouant dans des clubs locaux en Floride et ont rapidement gagné en popularité grâce à leur son unique et énergique.
2. Quel est le style musical de Limp Bizkit?
Le style musical de Limp Bizkit est un mélange de rap, de rock, de metal et de punk. Leur musique est caractérisée par des riffs de guitare puissants, des rythmes de batterie lourds et des paroles qui reflètent souvent la colère et la frustration.
3. Quels sont les albums les plus connus de Limp Bizkit?
Limp Bizkit a sorti six albums studio au cours de leur carrière, mais leurs deux albums les plus connus sont « Significant Other » (1999) et « Chocolate Starfish and the Hot Dog Flavored Water » (2000). Ces albums ont été des succès commerciaux et ont propulsé le groupe au sommet des charts.
4. Quelles sont les chansons les plus célèbres de Limp Bizkit?
Certaines des chansons les plus célèbres de Limp Bizkit sont « Nookie », « Break Stuff », « My Way », « Rollin' », et « Behind Blue Eyes ».
5. Comment Limp Bizkit a-t-il influencé la musique?
Limp Bizkit a influencé la musique en introduisant un son hybride de rap et de rock qui a ouvert la voie à de nombreux autres groupes de rap-rock et de nu-metal. Le groupe a également été l’un des premiers à intégrer un DJ à leur formation, ce qui est maintenant devenu une pratique courante dans de nombreux genres musicaux.
6. Comment le groupe a-t-il évolué au fil du temps?
Au fil du temps, Limp Bizkit a évolué en explorant différentes sonorités et en expérimentant de nouveaux styles musicaux. Leur album « Results May Vary » (2003) a marqué un tournant dans leur carrière avec une approche plus douce et plus introspective, tandis que leur album « Gold Cobra » (2011) a vu le retour du son plus agressif et énergique pour lequel ils sont connus.
7. Quels sont les membres actuels de Limp Bizkit?
Les membres actuels de Limp Bizkit sont Fred Durst (chant), Wes Borland (guitare), Sam Rivers (basse), John Otto (batterie) et DJ Lethal (platines).
8. Le groupe a-t-il remporté des prix pour leur musique?
Oui, Limp Bizkit a remporté plusieurs prix pour leur musique, notamment un Grammy Award pour la meilleure performance hard rock en 2001 pour leur chanson « Take a Look Around ».
9. Quels sont les moments forts de la carrière de Limp Bizkit?
Limp Bizkit a connu de nombreux moments forts au cours de leur carrière, notamment leur performance à Woodstock ’99 qui a été marquée par des troubles et des incendies, leur tournée mondiale en 2001 qui a été un immense succès, et leur collaboration avec le rappeur Method Man sur la chanson « N 2 Gether Now » qui a été un grand succès.
10. Quel est l’héritage de Limp Bizkit dans l’histoire de la musique?
Limp Bizkit a laissé un héritage durable dans l’histoire de la musique en tant que groupe pionnier du mouvement nu-metal et du rap-rock. Leur mélange unique de rap et de rock a influencé de nombreux autres groupes et a ouvert la voie à de nouveaux genres musicaux. Leur son énergique et leur présence sur scène ont également inspiré des générations de fans de musique à travers le monde.
Le prochain documentaire « The Beatles: Get Back » réalisé par Peter Jackson offrira un regard révélateur sur le groupe. Voici ce que nous savons jusqu’à présent.
The Beatles Get Back, le documentaire
The Beatles Get Back, le documentaire
Les Beatles sont peut-être l’un des groupes les plus intensément documentés et étudiés de l’histoire – ils ont dominé la liste des 100 plus grands artistes de tous les temps de Rolling Stone , et de nombreux films ont été réalisés sur leur ascension vers la gloire et leur impact culturel. Leur héritage se perpétue dans la musique moderne et la culture populaire.
Il semble presque étrange qu’il puisse y avoir tellement plus à apprendre sur le groupe britannique emblématique, mais heureusement pour les fans des Beatles, Disney + a collaboré avec WingNut Films pour réaliser une série documentaire en trois parties qui examinera de toutes nouvelles séquences des Beatles, comme enregistré par Michael Lindsay-Hogg en 1969.
The Beatles: Get Back plongera profondément dans la vie et les sessions d’enregistrement des Beatles du début janvier 1969 jusqu’à leur incroyable ensemble sur le toit sur Savile Row le 30 janvier 1969, qui était la dernière performance publique en direct du groupe de leur carrière .
La série présente le tout premier enregistrement complet du spectacle en direct et offrira un regard incroyablement approfondi sur les derniers jours des Beatles en tant que groupe. The Beatles: Get Back sera diffusé pendant trois jours pendant les vacances de Thanksgiving, à partir du 25 novembre 2021 , et vous pourrez regarder chaque épisode lors de sa diffusion sur Disney+ .
Où trouver The Beatles: Get Back quand il sortira ?
Le réalisateur Peter Jackson a passé trois ans à reconstituer les images de Michael Lindsay-Hogg, tout en utilisant des technologies modernes de montage et de restauration.
The Beatles: Get Back
DISNEY+
Vous pouvez diffuserThe Beatles: Get Back à sa sortie, ainsi que d’autres séries documentaires, sur Disney+. Le service de streaming est disponible via une connexion Internet si vous habitez en Australie, Autriche, Canada, îles anglo-normandes, France, Allemagne, Inde, Irlande, île de Man, Italie, Monaco, Pays-Bas, Nouvelle-Zélande, Porto Rico, Espagne, La Suisse, le Royaume-Uni ou les États-Unis La plate-forme de streaming direct de Disney est accessible à partir de navigateurs de bureau, d’appareils mobiles, de consoles de jeux, etc.
Disney+ abrite les films Walt Disney Studios, les films et séries Marvel, les séries originales de Disney Channel, les films et courts métrages Pixar, les films et séries Star Wars et les titres National Geographic. La plateforme publie également en permanence de nouveaux contenus , tels que The Mandalorian , Raya et le dernier dragon , ainsi que des séries à venir comme Obi-Wan Kenobi , et des films à venir comme Luca .
De quoi parlera The Beatles : Get Back ?
Réalisé par Peter Jackson et produit par The Walt Disney Studios et WingNut Film Productions Ltd., The Beatles: Get Back présentera des séquences inédites de Michael Lindsay-Hogg (réalisateur de films comme Brideshead Revisited et Waiting for Godot ), qui documente les Beatles au cours de la préparation et de la performance de leur spectacle de 1969, qui présentait leur dernière performance en direct en tant que groupe, aboutissant à une interprétation de la chanson « Get Back ».
L’ensemble sur le toit, qui comprenait des mélanges et des versions de chansons qui apparaîtraient sur le dernier album studio des Beatles, Let It Be , vit à travers 150 heures d’audio inédit et 60 heures de séquences inédites, qui capturent le quotidien de les sessions d’enregistrement intimes qui ont précédé le spectacle. Paul McCartney, Ringo Starr, Yoko Ono Lennon et Olivia Harrison ont tous déclaré leur soutien à la série documentaire de six heures.
The Beatles: Get Back
Jackson, un fan autoproclamé des Beatles, a passé trois ans à reconstituer les images de Lindsay-Hogg, en utilisant des technologies modernes de montage et de restauration. Le résultat est quelque chose qu’il décrit comme une « histoire d’amis et d’individus », qui offrira un aperçu de la vie et des relations des Beatles.
Jackson est la première personne en 50 ans à avoir eu accès aux archives médiatiques que le documentaire point culminant, et The Beatles: Get Back offrira au public une chance de découvrir la musique des Beatles comme jamais auparavant. La série documentaire arrivera également sur les talons d’un livre compagnon, The Beatles: Get Back , qui fait ses débuts le 12 octobre et présente des transcriptions de la audio du documentaire, des centaines de nouvelles photos, et plus encore.
Comment regarder The Beatles : Get Back ?
Pour commencer à regarder The Beatles: Get Back le 25 novembre 2021, vous pouvez vous abonner à Disney+ dès aujourd’hui à partir de 7,99 $ ou 79,99 $ pour un abonnement d’un an. Envisagez d’investir dans un forfait avec Hulu ou ESPN+ pour tirer le meilleur parti de votre abonnement, ou même de vous abonner pendant un an pour économiser un peu d’argent supplémentaire.
Disney+ est disponible sur des appareils tels que les produits Apple, les appareils de diffusion en continu Roku, Google Chromecast, les téléphones Android et les téléviseurs, XBOX One, PlayStation 4, les téléviseurs LG, les produits Samsung, Chrome OS, Mac OS ou Windows PC.
En plus de tous ses nouveaux contenus, Disney+ abrite également des films classiques comme Aladdin , Sleeping Beauty , Robin Hood , A Bug’s Life et The Princess and The Frog que vous pouvez regarder à la demande, ainsi que des émissions Disney Channel Original comme Sky High , Elena of Avalor , Kim Possible et The Owl House . Ils ont également beaucoup de propriétés auxquelles vous ne vous attendez pas , comme Pixar Shorts, The Princess Bride , The Simpsons , Home Alone ,Les Chroniques de Narnia : Le Lion, la Sorcière et l’Armoire , Hamilton , et plus encore.
Début 2019, Apple Corps Ltd et WingNut Films Ltd ont annoncé un nouveau documentaire sur les Beatles , qui serait basé sur environ 55 heures de séquences de studio inédites des sessions « Get Back » et Let It Be du groupe en 1969 . Au cours des deux dernières années, de nouvelles informations ont continué à tomber sur le film, dirigé par le réalisateur oscarisé Sir Peter Jackson. Initialement prévu pour une sortie en septembre 2020, The Beatles: Get Back sera diffusé sur Disney + du 25 au 27 novembre.
En attendant sa première, voici ce que nous savons jusqu’à présent sur The Beatles: Get Back .
Il a été réalisé avec l’entière coopération du groupe
Les deux Paul McCartney et Ringo Starr ont chanté les louanges du film, tandis que John Lennon veuve de, Yoko Ono Lennon et George Harrison « veuve, Olivia Harrison, ont également offert leur soutien du projet.
Ce sera l’expérience ultime de voler sur le mur
« C’est comme si une machine à remonter le temps nous ramène en 1969, et nous pouvons nous asseoir dans le studio en regardant ces quatre amis faire de la bonne musique ensemble », a déclaré Peter Jackson.
Les images utilisées dans Get Back ont été tournées à l’origine pour le documentaire de Michael Lindsay-Hogg de 1970, Let It Be , qui a capturé des moments intimes en studio pendant que le groupe répétait et enregistrait les chansons de ce qui serait leur dernier album.
Le métrage, maintenant revisité par Jackson sous un nouveau jour, est le seul matériel à noter qui documente les Beatles au travail en studio.
The Beatles: Get Back
Il mettra en vedette la célèbre performance sur le toit dans son intégralité
Le 30 janvier 1969, les Beatles ont joué une performance surprise sur le toit de leur studio Savile Row. Bien que les images du tournage en direct aient été bien documentées au fil des ans, elles n’ont jamais été montrées dans leur intégralité. The Beatles: Get Back de Jackson comprendra l’intégralité de la performance de 42 minutes.
Ringo a récemment partagé ses souvenirs de cette performance emblématique avec Variety : « Nous avions décidé de jouer ensemble, en tant que groupe live. Et nous avons pensé à d’autres lieux, puis nous avons pensé : ‘Attendez, montons juste sur le toit.’ Et Michael a filmé ce truc sur le toit vraiment bien, avec beaucoup de caméras. »
Alors que le film original montrait environ 20 minutes de la performance, Ringo a déclaré qu’il était ravi de voir l’ensemble dans son intégralité, ajoutant « c’est génial ».
Le premier montage était de 18 heures
« Le premier montage a duré 18 heures et j’espérais qu’il y aurait un appétit pour dire: » OK, faisons une version de six heures « , a partagé Jackson dans une nouvelle interview avec GQ .
Toutes les séquences que nous avons tournées sont là et nous les avons simplement laissées comme scène coupée, il ne nous a donc pas fallu longtemps pour en faire une version plus longue.
Je savais que dans ce monde d’Internet, de streaming et de tout le reste, nous trouverions un chez-soi quelque part pour une version plus longue, ce qui évite d’avoir à couper des choses. »
Jackson a utilisé la technologie numérique en combinaison avec des images d’archives
Jackson a expliqué dans la même interview qu’ils avaient adopté la technologie du film They Shall Not Grow Old pour équilibrer la palette de couleurs du film, mais rien d’autre n’a été changé. Cela a laissé le réalisateur envieux de la mode à cette époque.
« Tout ce que nous avons fait, c’est d’utiliser la technologie que nous avons développée pour le film de la Première Guerre mondiale ‘Ils ne vieilliront pas’, en prenant toutes ces vieilles images de la Première Guerre mondiale et en les restaurant.
Nous n’avons pas essayé de pousser les couleurs primaires des vêtements vers le haut ou quoi que ce soit. Nous n’avons fait aucun truc comme ça. Nous venons d’équilibrer les tons de peau, et les couleurs que vous voyez, je suppose, sont les couleurs qui étaient là ce jour-là. Je veux dire, ça te rend jaloux des années 60, parce que les vêtements sont tellement fantastiques.
The Beatles: Get Back
‘Get Back’ est une célébration
Dans l’introduction de son interview avec Peter Jackson dans GQ , le journaliste Dylan Jones a expliqué à quel point le nouveau film est moins décevant que l’original.
« ‘The Beatles: Get Back’ est une autre étape sur la route longue et sinueuse vers une immortalité améliorée, car les films montrent les Beatles au sommet de leur art et ne se détériorent pas, comme ils semblaient l’être dans ‘Let de Michael Lindsay-Hogg Il soit.’
Le tout dernier film des Beatles a été un énorme échec lors de sa sortie en 1970 et il est resté un échec depuis. » Bref, Get Back est une célébration.
Vous pouvez vous attendre à entendre de la nouvelle musique
En plus des 55 heures de film, Jackson travaille également avec 140 heures d’enregistrements audio. Plusieurs des chansons sélectionnées au cours des sessions ont été incluses dans la compilation Anthology 3 de 1996, qui comprenait des extraits et des démos de « The White Album », Abbey Road et Let It Be . Cependant, il y a beaucoup de musique qui n’a pas été officiellement publiée.
Il offrira également une chance d’observer le développement des membres du groupe en tant qu’artistes solos. La plupart des morceaux qui n’ont pas été diffusés sur Let It Be ont ensuite été développés et inclus dans leurs albums solo, notamment le « Teddy Boy » écrit par Paul McCartney, qui est apparu sur son premier album solo de 1970, McCartney , et celui de George Harrison. Hear Me Lord’ et ‘Isn’t It A Pity’, qui ont ensuite été publiés sur son album de 1970, All Things Must Pass .
John Lennon, quant à lui, peut être entendu en train de travailler sur « Gimme Some Truth » et « Oh My Love », qui sont tous deux apparus dans Imagine en 1971 .
La vraie relation du groupe est révélée
Alors que le long métrage de Lindsay-Hogg offrait un regard en profondeur sur les sessions des Beatles, il révélait également certains des moments de tension dans le studio. À bien des égards, il documente un groupe au bord de la rupture.
Get Back , en revanche, regarde les images dans leur ensemble et brosse un tableau très différent du temps passé ensemble par le groupe. Dans une récente interview sur The Howard Stern Show , Paul McCartney a déclaré : « Nous nous amusons évidemment ensemble. Vous pouvez voir que nous nous respectons et que nous faisons de la musique ensemble, et c’est une joie de la voir se dérouler.
Pendant ce temps, dans une déclaration, Ringo a rappelé: « Nous avons passé des heures et des heures à rire et à jouer de la musique… Il y avait beaucoup de joie, et je pense que Peter le montrera. Je pense que cette version sera beaucoup plus paisible et aimante, comme nous l’étions vraiment.
S’adressant à Variety , Ringo a ajouté que le film original, « se concentrait uniquement sur le moment le plus bas… Tout le monde connaît ma position. Je pensais que le downer était beaucoup plus gros que le reste (dans Let It Be ). J’étais là . C’était très amusant… J’ai dit : « Je sais qu’il y a beaucoup d’humour là-bas. »
« La réalité est très différente du mythe », a confirmé Jackson dans un communiqué de presse. « Après avoir revu toutes les séquences et l’audio que Michael Lindsay-Hogg a tourné 18 mois avant leur rupture, c’est tout simplement un incroyable trésor historique. Bien sûr, il y a des moments dramatiques, mais aucune des discordes auxquelles ce projet a longtemps été associé. »
« The Beatles: Get Back crée un contre-récit joyeux au film Let It Be des Beatles de 1970, la chanson du cygne , qui a essentiellement documenté la rupture du groupe et est une expérience plutôt déprimante. Le nouveau film est complètement différent, avec les quatre membres qui rient et font le clown à la manière classique de la vadrouille », a écrit Variety , qui a pu visionner des segments du film.
The Beatles, Get Back: la fiche technique
– Titre original : The Beatles: Get Back
– Réalisation : Peter Jackson, avec des archives filmées par Michael Lindsay-Hogg
– Musique : The Beatles (remastérisée par Giles Martin et Sam Okell)
– Photographie : Anthony B. Richmond
– Montage : Jabez Olssen
– Production : Jonathan Clyde, Peter Jackson et Clare Olssen
– Producteurs délégués : Jeff Jones et Ken Kamins
– Sociétés de production : Apple Corps et WingNut Films
– Société de distribution : Walt Disney Pictures
– Pays d’origine : Drapeau du Royaume-Uni Royaume-Uni, Drapeau des États-Unis États-Unis, Drapeau de la Nouvelle-Zélande Nouvelle-Zélande
– Format : Couleurs
– Genre : documentaire musical
– Durée : 6 heures
– Dates de sortie : 25, 26 et 27 novembre 2021 (Disney+)
The Beatles, Get Back: La Distribution
John Lennon
Paul McCartney
George Harrison
Ringo Starr
Billy Preston
Yoko Ono
Mal Evans
George Martin
Linda McCartney
Heather McCartney
The Beatles, Get Back: La génése
Initié par le directeur général de Apple Corps Jeff Jones et son collègue Jonathan Clyde, Peter Jackson est approché afin d’effectuer la restauration des images tournées en janvier 1969 pour un nouveau film documentaire.
Le réalisateur qui devait effectuer ce nouveau montage ayant démissionné, Jackson se montre intéressé au projet. Mais celui-ci, possédant une copie du film original et réticent de réaliser un film sur la dissolution de ce groupe mythique, n’a pas accepté de s’impliquer avant de visionner ces heures de séquences filmées.
Par la suite, il affirme : « Ce que j’ai trouvé, c’est que j’ai ri continuellement. Je ne faisais que rire. Je riais et riais et riais et je ne pouvais pas m’arrêter. » Lorsqu’il rencontre Paul McCartney à l’arrière-scène de son spectacle à Auckland en 2017, il surprend l’ex-beatle quand il lui décrit ce qu’il a vu.
Refusant de permettre la restauration du film d’origine et inquiété par ses propres souvenirs de ses séances, teintées par la perception généralement glauque de ce mois en studio, McCartney est rassuré et le projet peut alors débuter.
Eric CANTO Photographe : Photos de concerts, portraits, pochettes d’albums.
Quelle est l’histoire derrière l’album Get Back des Beatles ?
L’album Get Back a une histoire assez complexe et mouvementée. À l’origine, le projet était de faire un documentaire cinématographique sur l’enregistrement d’un nouvel album des Beatles, qui aurait pour titre provisoire Get Back.
Le réalisateur Michael Lindsay-Hogg a filmé le groupe pendant plusieurs semaines, notamment pendant les sessions d’enregistrement au studio Twickenham à Londres et dans les studios d’Apple Corps à Savile Row. Le projet a été marqué par des tensions au sein du groupe, notamment entre Paul McCartney et les autres membres, ainsi que des problèmes techniques et artistiques.
Finalement, le projet a été abandonné, mais les enregistrements ont été retravaillés et ont abouti à la sortie de l’album Let It Be, qui est sorti en 1970, peu après la séparation du groupe. En 2003, une version alternative de l’album, intitulée Let It Be… Naked, a été publiée, qui présente les chansons dans une version dépouillée, sans les ajouts et les effets sonores qui avaient été ajoutés à l’époque.
En 2021, une nouvelle version de l’album, intitulée Get Back, est sortie, qui a été remixée et restaurée à partir des enregistrements originaux.
Quelles sont les chansons les plus connues de l’album Get Back des Beatles ?
L’album Get Back a donné naissance à plusieurs chansons qui sont devenues des classiques du répertoire des Beatles. La chanson-titre, « Get Back », est sans doute la plus célèbre, avec son riff de guitare entraînant et son refrain accrocheur. « Let It Be » est également un classique, avec sa mélodie émouvante et ses paroles qui ont une signification spirituelle pour beaucoup de gens.
« The Long and Winding Road » est une ballade puissante avec des arrangements orchestraux, tandis que « Across the Universe » est une chanson plus expérimentale avec des paroles inspirées de la méditation transcendantale.
Quelle a été la réception de l’album Get Back des Beatles ?
L’album Get Back a été accueilli de manière mitigée par la critique à sa sortie, en partie en raison de la façon dont les enregistrements ont été produits et des conflits internes du groupe. Cependant, certaines des chansons de l’album sont devenues des classiques indémodables et ont été saluées pour leur qualité musicale.
La version remixée et restaurée de l’album qui est sortie en 2021 a été saluée par les fans et la critique pour sa qualité sonore améliorée et pour le fait qu’elle présente le groupe de manière plus positive, en montrant leur collaboration créative et leur complicité.
Quand est-ce que l’album « Let It Be » est sorti ?
« L’album « Let It Be » est sorti le 8 mai 1970, après que le groupe ait déjà annoncé sa séparation. Cependant, l’enregistrement de l’album a été tumultueux et il y avait beaucoup de tension entre les membres du groupe. Pour cette raison, la production de l’album a été mise en attente et le groupe a enregistré l’album « Abbey Road » avant de finaliser « Let It Be ».
Quelle est la signification de la chanson « Get Back » ?
« Get Back » a été écrite par Paul McCartney et a été inspirée par la ségrégation raciale aux États-Unis à l’époque. McCartney a imaginé une histoire dans laquelle Jojo était un homme blanc qui voulait aller à Los Angeles pour rencontrer une femme noire nommée Loretta Martin. La chanson a été enregistrée avec Billy Preston, un pianiste américain qui a également joué avec les Beatles lors de la session de « Let It Be ».
Comment a été enregistré l’album « Let It Be » ?
L’album « Let It Be » a été enregistré en grande partie en janvier 1969, dans les studios de Twickenham Film Studios à Londres. Le groupe a également enregistré des sessions à la fin du mois d’août de la même année aux studios Apple, également à Londres. L’album a été produit par Phil Spector, qui a ajouté des arrangements orchestraux à certaines chansons, y compris « The Long and Winding Road ».
L’album a été enregistré en utilisant un équipement relativement simple, car le groupe cherchait à enregistrer un album dans un style « live ». Cependant, le processus d’enregistrement a été marqué par des tensions et des désaccords, et il y avait des divergences sur la façon dont l’album devait être produit.
La musique métal : présentation, origine et culture
Vous avez probablement entendu parler de la musique métal…, ma mère aussi.
J’ai beau lui expliquer depuis des années le pourquoi du comment, elle ne comprend toujours pas. Voilà donc une synthèse pour qu’enfin, elle comprenne… Le métal, savez-vous vraiment ce qu’est la musique métal ? Connaissez-vous cette musique et sa culture? Vous pouvez avoir des hypothèses erronées sur ce sujet.
La musique métal : c’est quoi ?
La musique métal est un style musical qui provient de nombreux courants, principalement du hard rock. Le rock est généralement l’un des styles musicaux les plus importants du 20e siècle.
Après Psychedelic Rock et Blues Rock des années 60 avec Sweet Smoke et Yardbirds, un nouveau genre est apparu au début des années 70: le Hard Rock. Ce rock est beaucoup plus musclé, avec des riffs puissants *, un son de guitare riche et souvent un tempo plus rapide.
Le chanteur de hard rock est très souvent charismatique et forme « la marque » du groupe. La liste des groupes d’anthologie est longue dans ce genre, mais on peut citer, par exemple, Led Zep, Aerosmith, Deep Purple, Van Halen et bien sûr AC / DC.
A partie de 1969, un groupe quelque peu différent a commencé à faire parler de lui : Black Sabbath. C’était du hard rock ? Pas vraiment, car même si le chanteur Ozzy Osbourne avait une voix aussi charismatique que celle de Robert Plant (Led Zeppelin) ou Bon Scott (AC / DC), le tempo était beaucoup plus lent, les riffs beaucoup plus durs.
Les chansons étaient souvent composées en mode mineur, contrairement au hard rock, qui avait tendance à être en mode majeur. En termes simples, un mode majeur donne généralement à la chanson un ton plus joyeux et dynamique qu’un mode mineur, qui lui donne un sentiment plus triste, plus mélancolique, plus sombre et plus mystérieux. Attention cependant, ce n’est pas systématique et il existe de nombreux contre-exemples.
Black Sabbath a réussi et de nombreux groupes s’en sont inspirés. Compte tenu de l’expansion de ce style, il a finalement été caractérisé et nommé : le métal. La musique métalest née.
La musique métal est un genre extrêmement complexe et diversifié, il est donc assez difficile de généraliser la musique métal, mais certains éléments typiques sont toujours présents dans les différents sous-genres. Tout d’abord, le mode mineur prédomine dans les compositions, ce qui donne aux chansons une connotation sombre.
Ce sentiment est renforcé par l’utilisation massive de l’intervalle « Newt » (exactement trois tons, ce qui correspond à un cinquième augmenté ou un cinquième réduit), qui est considéré comme un accord dissonant par excellence et contribue au fait que l’impression peut être entendue dans une musique agaçante et grinçante, d’où le nom « Métal ». Un très bon exemple est la chanson « Black Sabbath » du groupe du même nom, dans laquelle le gimmick principal repose sur le triton.
Crédit photo : Eric CANTO
Les instruments de la musique métal
Au niveau des instruments, on retrouve dans la musique métal la combinaison caractéristique du hard rock: une ou deux guitares électriques (en l’occurrence lead et rythmique), une basse et un kit de batterie. Les musiciens peuvent également utiliser un clavier, en particulier dans des genres comme le métal symphonique et d’autres instruments folkloriques (violon, cornemuse, flûte, etc.) en métal folklorique.
Le rythme des compositions de la musique métal est généralement très rapide et s’approche parfois des limites de la capacité humaine. Un exemple bien connu est la chanson « Through the Fire and Flames » de DragonForce, dont le tempo est de 200 battements par minute.
Le rythme de la musique métal
Le rythme très rapide de la musique métal oblige souvent les musiciens à avoir une grande maîtrise technique de leurs instruments, voire une certaine virtuosité. C’est généralement le cas pour les batteurs qui utilisent beaucoup de toms et la double pédale.
Une exception notable concerne le Doom Metal, qui se caractérise par un rythme très lent. Les techniques utilisées sur la guitare vont des accords de puissance (accords simples, mauvais harmoniques qui sonnent puissants) à des accords plus complexes et virtuoses comme le shred (qui combine vitesse et technique) ou le picking de trémolo (note répétée très rapidement).
Le chant de la musique métal
Concernant la chanson, on associe souvent (à tort!) Le chant de la gorge (la chanson qui donne l’impression que le chanteur mange son déjeuner) avec du métal.
Ce type de chanson n’existe pas dans tous les sous-genres de la musique métal, bien au contraire! Le type de voix et la technique vocale utilisés sont des caractéristiques distinctives importantes des sous-genres, c’est pourquoi j’y reviendrai dans un autre article.
L’esprit du métal: un mouvement satanique ?
Le métal est souvent associé à tort au satanisme. Pourquoi ? Il s’avère que le métal est un style résolument provocateur. Cet esprit existe également dans le punk, mais ce genre attaque davantage la politique et la société, tandis que le métal est plus contraire à la religion.
En fait, le métal rejette souvent l’influence de la religion sur nos sociétés et les entraves qui leur sont associées.
Cela ne veut pas dire que les métalleux ne sont pas croyants ou impies.
Il y a un petit sous-genre appelé « Christian Métal » qui incorpore des messages chrétiens dans les paroles. Cependant, ce style s’est particulièrement développé dans les pays où le christianisme domine, et les groupes choisissent souvent de marquer leur opposition et de simplement s’inspirer de ce que l’Église condamne: le diable et le satanisme. Pour cette raison, certains éléments rappellent la culture de métal imprégné de Satan:
– Le triton: Cette période a été interdite au Moyen Âge et associée à Satan. L’Eglise l’avait appelé « Diabolus In Musica ».
– Cornes de diable: C’est le symbole collectif des têtes métalliques, de l’index et du petit doigt levé.
– Le nombre 666 signifie « le nombre de la bête », le nombre du diable, contrairement au nombre 333, qui est associé à la Trinité (Dieu, le Christ et le Saint-Esprit). Plusieurs chansons le montrent, y compris la chanson et l’album éponyme d’Iron Maiden « The Number of the Beast ».
– La croix inversée: symbole de l’Antéchrist, qui est contenu dans les logos de certains groupes ou dans des éléments décoratifs scéniques.
– Le pentagramme inversé: figure ésotérique utilisée dans les rituels sataniques et parfois représentée dans les logos de certains groupes. Bien que ces éléments soient très présents dans la culture du métal, très peu de groupes et de métallurgistes sont résolument sataniques.
Ces références ne sont utilisées que pour indiquer le rejet de la religion en général (en particulier les religions chrétiennes) et font largement partie du « folklore ». Le métal n’est donc pas un mouvement satanique, comme certains groupes et politiciens chrétiens veulent le croire.
Crédit photo : Eric CANTO
Thèmes récurrents de la musique métal
Comme je l’ai dit, le métal est un genre qui s’intéresse davantage à la spiritualité, à nos questions intérieures et à nos peurs. Et quoi de plus effrayant pour l’homme à cet égard que la mort, ce grand inconnu ?
Par conséquent, ce dernier est l’un des thèmes récurrents à la fois dans les chansons et les noms des groupes. A travers le métal, les groupes ont aussi le désir de porter nos sentiments négatifs à l’extérieur, de servir brièvement de « catharsis ».
La souffrance physique et mentale, la peur, l’inconfort, la solitude, la colère et la violence sont donc des sources d’inspiration pour de nombreux groupes.
Dans certains genres comme le folk métal et le black métal, les mythologies nordiques et celtiques jouent un rôle important, souvent associé au désir de redécouvrir nos origines et de communiquer avec les forces de la nature. Il convient également de noter que le paganisme a été sévèrement condamné par l’Église et que toutes ces mythologies et cultures ont été abandonnées en raison de l’oppression catholique.
Une manière de marquer à nouveau son opposition aux religions chrétiennes … Les univers qui émergent de la littérature fantastique héroïque (chevalerie, créatures mythiques, magie, quête héroïque, bataille entre le bien et le mal, etc.) sont également une source d’inspiration pour certains groupes, notamment pour le Power Metal et le Metal symphonique.
Cependant, ne croyez pas que les métalleux sont déprimés et à risque de suicide ou même de mystiques! Les Métalleux aiment aussi (et surtout) apprécier et profiter des joies de la vie: l’alcool et le sexe sont des sujets très courants dans les chansons.
.
Crédit photo : Eric CANTO
Culture de la musique métal
Code vestimentaire de la musique métal
La couleur du métal est le noir. Le métal head a souvent les cheveux longs, un t-shirt à l’image de son groupe préféré, un jean ou un pantalon à bretelles, éventuellement des bracelets de force, et le Dr. Martens ou Converse, bref, une tenue pour se sentir bien et faire preuve de passion. Le cuir, les ongles, les pointes diverses et variées sont également des éléments très courants.
La veste à patch est aussi un vêtement associé au hard rock et au métal: c’est une veste (en jean ou en mesh) sur laquelle le métalhead coud des patchs avec les noms et logos des groupes qu’il préfère.
Lors de concerts, vous pouvez également rencontrer des amateurs de musique métal portant un kilt et une corne à boire. Dans ces cas, vous devez traiter avec des amateurs de folk métal. Note importante: Très souvent, des amateurs de musique métal s’intègrent dans la population, car beaucoup ne prennent cette « tenue » que lors de concerts et de festivals.
Un autre point important de l’aspect métallique est certainement les modifications corporelles: les fans de métal portent souvent de nombreux tatouages et couvrent parfois une partie du corps (bras, dos, torse, etc.). Les piercings sont également courants.
Comment bouge un métalleux lors de concerts de métal
Les amateurs de musique métal aiment aller à des concerts ou à des festivals comme le Hellfest. Contrairement à de nombreux concerts d’autres styles musicaux, le public métal est particulièrement dynamique. Le mouvement de base est le headbang, un mouvement de la tête d’avant en arrière qui suit le tempo de la musique. Et les métalleux vous diront que l’effet est beaucoup plus réussi si vous avez les cheveux longs !
Le signe le plus pratiqué est celui des cornes du diable, qui est principalement utilisé pour saluer la fin d’une pièce et d’un concert (le metalhead préfère généralement faire les cornes du diable et sa satisfaction par un cri ou un Exprimez un grognement au lieu d’applaudir).
Des chorégraphies peuvent être réalisées pour les plus sportifs. Tout d’abord, le pogo, inspiré du punk, qui forme la base de la « danse » métal. Il s’agit de sauter de haut en bas et de rencontrer vos voisins, ce qui vous donne l’impression de sauter de haut en bas.
Soyez assuré que si jamais vous tombez dans un pogo, il y aura toujours quelqu’un pour vous aider à vous lever ! Ensuite, il y a d’autres chorégraphies plus extrêmes réservées aux plus audacieux: – The Mosh Pit: Pogo, qui exerce également des mouvements de bras d’avant en arrière et des coups de pied un peu inspirés des arts martiaux. Le mosh pit est principalement pratiqué dans les concerts de métalcore.
Le wall of death
Le mouvement le plus extrême et impressionnant du public ! Afin de former un mur de la mort, le public s’est divisé en deux parties à la demande du chanteur, une à sa droite, une à sa gauche. A son signal, les deux moitiés du public doivent se heurter au milieu du terrain et provoquer une grosse collision. C’est ainsi que se termine cette première partie de « Metal for Dummies« .
Le métal étant un genre très vaste et complexe, dans un prochain article, j’expliquerai les caractéristiques des différents sous-genres qui peuplent ce style de musique.
Maintenant que vous en savez un peu plus sur la culture métal, j’espère que vous n’avez plus peur des amateurs de musique métal et de leur musique, car même si ce style semble violent à première vue, vous constaterez qu’il est très riche et que ses disciples sont des amateurs de bière et de camaraderie, mais surtout…des mélomanes.
Voilà, normalement ma mère a capté ce que nous venons de raconter.
Là franchement, je ne peux pas plus simplifier.
Eric CANTO Photographe : Photos de concerts, portraits, pochettes d’albums.
La musique Métal est un genre musical qui est apparu à la fin des années 1960 et au début des années 1970, principalement en Grande-Bretagne et aux États-Unis. Elle se caractérise par des guitares électriques très saturées, des rythmes lourds et des voix puissantes. Le Métal englobe de nombreux sous-genres, tels que le Heavy Métal, le Thrash Métal, le Death Métal, le Black Métal, le Doom Métal, etc.
2. Quels sont les instruments typiques utilisés dans la musique Métal ?
Les instruments typiques utilisés dans la musique Métal sont la guitare électrique, la basse électrique, la batterie et le chant. Certaines formations incluent également des claviers, des violons ou d’autres instruments plus inhabituels.
3. Qu’est-ce que le headbanging ?
Le headbanging est un mouvement caractéristique associé à la musique Métal. Il consiste en un mouvement de la tête en avant et en arrière, en suivant le rythme de la musique. Le headbanging peut être pratiqué debout ou assis, et peut varier en intensité selon les individus.
4. Quels sont les artistes emblématiques de la musique Métal ?
La musique Métal a donné naissance à de nombreux artistes emblématiques, tels que Black Sabbath, Iron Maiden, Metallica, Slayer, Megadeth, Pantera, AC/DC, Judas Priest, Motörhead, Ozzy Osbourne, et bien d’autres encore.
5. Qu’est-ce que le mosh pit ?
Le mosh pit, également appelé circle pit ou pit, est une pratique associée à la musique Métal. Il s’agit d’un espace dans le public où les spectateurs se regroupent pour danser de manière très énergique en se bousculant. Le mosh pit peut être assez violent et nécessite une grande vigilance pour éviter les blessures.
6. Comment les paroles des chansons Métal sont-elles généralement écrites ?
Les paroles des chansons Métal peuvent aborder de nombreux sujets, tels que la politique, la religion, la guerre, l’amour, la mort, la nature, etc. Elles sont souvent écrites de manière poétique, métaphorique ou imagée, et peuvent être très sombres ou provocatrices.
7. Comment la musique Métal est-elle perçue dans la société ?
La musique Métal est souvent perçue de manière controversée dans la société. Elle est parfois associée à des comportements violents, des drogues, ou des idéologies extrêmes. Cependant, elle est également appréciée par de nombreux fans pour son énergie, sa créativité, et son engagement envers la liberté d’expression.
8. Comment la musique Métal a-t-elle évolué au fil du temps ?
La musique Métal a connu de nombreuses évolutions au fil du temps, avec l’apparition de nouveaux sous-genres et des influences diverses provenant d’autres genres musicaux. Par exemple, le Heavy Métal classique des années 1970 a évolué vers le Thrash Métal dans les années 1980, qui était plus rapide et plus agressif. Dans les années 1990, le Death Métal et le Black Métal ont émergé, avec des paroles plus sombres et des rythmes plus lents. Au cours des dernières années, des genres tels que le Metalcore et le Djent ont vu le jour, apportant des éléments de musique électronique et de Jazz au Métal.
9. Qu’est-ce que le metal underground ?
Le metal underground est une scène musicale alternative qui se caractérise par des groupes indépendants et des labels de musique indépendants. Ces groupes ne sont pas forcément connus du grand public, mais ils sont appréciés par les fans de Métal pour leur originalité, leur créativité et leur engagement envers le genre.
10. Qu’est-ce que le Metallica Black Album et pourquoi est-il important pour le Métal ?
Le Metallica Black Album est le cinquième album studio de Metallica, sorti en 1991. Il s’agit d’un album très important pour la musique Métal, car il a permis au groupe de conquérir un public plus large et de s’affirmer comme l’un des plus grands groupes de Métal au monde. L’album est également important car il a introduit des éléments plus mélodiques dans le son de Metallica, ce qui a influencé de nombreux groupes de Métal ultérieurs.