Focus Magazine: Votre porte d’entrée sur la scène culturelle dynamique

Focus Magazine: Votre porte d’entrée sur la scène culturelle dynamique

focus magazineMes photos sont publiées depuis de nombreuses années dans Focus Magazine. À chaque numéro, une double page est consacrée aux concerts du moment ou à un report photo d’un événement de l’actualité culturelle.

Pour un photographe de concert, c’est l’occasion de mettre en avant certaines photos de concert.

J’ai eu l’occasion d’y publier quelques photos de grands artistes, notamment : MetallicaMuse, Rihanna, Lenny Kravitz, The Roots, Paul Mc Cartney, Oasis, Kiss, Deftone, Slayer, U2,Jamie cullum, Stromae,Elton John, Jay-Z, Sting, Rammstein, Korn, Black Keys, The Cure,Toto, M, Supertramp, Ub 40, Twenty one Pilots,  Marilyn Manson, The Offspring, Iggy Pop,Marcus Miller, Gojira, SlashRobert Plant, Miley Cyrus,RadioheadDepeche mode,  The Hives, skrillex, System of a Down, Julien DoréBring Me The Horizon, Refused, Scorpions, SlipknotBring Me The Horizon, The Prodigy, NIN, Placebo Seal, Motorhead, Alice Cooper, Leonard Cohen, Neil Young, Gun’s & Roses, Bruce Springsteen, No one is innocent, Pink, Jamiroquai, Soulfly, Massive Attack, N*E*R*D, etc…

 

focus magazine montpellier

Quelques grands festivals figurent également dans ces pages : Le Hellfest, Les Eurockéennes de Belfort, le Festival de Nîmes, le Mainsquare, les Déferlantes, etc.

 

Sommaire

  1. Introduction à Focus Magazine Montpellier
  2. L’histoire du magazine
  3. Le contenu : couverture et rubriques
  4. La présence en ligne et l’édition numérique
  5. Les événements soutenus par le Magazine 
  6. L’engagement communautaire et l’impact local
  7. Conclusion : pourquoi choisir ce Magazine 

Introduction à Focus Magazine Montpellier

Focus Magazine Montpellier est une publication mensuelle qui met en lumière la vie culturelle, artistique et sociale de la ville de Montpellier. Chaque numéro offre un regard approfondi sur les événements, les lieux et les personnalités qui font la richesse de cette métropole méditerranéenne. Dans cet article, nous vous présenterons l’histoire du magazine, son contenu, ses différentes rubriques, sa présence en ligne, ses engagements locaux et comment s’abonner.

 

Focus magazine Montpellier

 

L’histoire du magazine

Fondé en 2003, Focus Magazine Montpellier a rapidement gagné en popularité auprès des lecteurs et des annonceurs locaux grâce à sa couverture exhaustive des sujets d’intérêt pour la population montpelliéraine. Depuis lors, le magazine n’a cessé de se développer et d’évoluer pour répondre aux attentes de son lectorat et des annonceurs.

 

Le contenu : couverture et rubriques

Focus Magazine Montpellier offre une variété de rubriques pour satisfaire les goûts et les intérêts de ses lecteurs. Voici un aperçu des rubriques les plus populaires :

Actualités culturelles

Cette rubrique présente les dernières nouvelles concernant les événements culturels, les expositions, les spectacles et les concerts à venir à Montpellier et dans ses environs.

Portraits

Dans cette rubrique, Focus Magazine Montpellier dresse le portrait de personnalités locales qui se distinguent par leur talent, leur engagement ou leur parcours exceptionnel. Ces portraits permettent de mieux connaître les acteurs de la vie montpelliéraine.

Lieux incontournables

Cette rubrique met en avant les lieux emblématiques de Montpellier, qu’il s’agisse de musées, de galeries d’art, de salles de concert ou de théâtres. Les lecteurs peuvent ainsi découvrir ou redécouvrir les trésors cachés de leur ville.

Agenda

L’agenda de Focus Magazine Montpellier fournit un calendrier complet des événements à venir dans la ville et ses environs. Il aide les lecteurs à planifier leurs sorties culturelles et à ne rien manquer des rendez-vous incontournables.

Cuisine et gastronomie

Cette rubrique gourmande explore l’univers culinaire montpelliérain, avec des critiques de restaurants, des recettes locales et des portraits de chefs et de producteurs locaux.

 

Focus Magazine

La présence en ligne et l’édition numérique

Focus Magazine Montpellier est également présent sur Internet avec un site web complet et une édition numérique. Les lecteurs peuvent ainsi consulter les articles du magazine en ligne, accéder à des contenus exclusifs et partager leurs découvertes avec leurs amis sur les réseaux sociaux.

Le site web

Le site web de Focus Magazine Montpellier offre un accès facile aux articles du magazine, ainsi qu’à des contenus exclusifs tels que des interviews, des vidéos et des galeries de photos. Il permet également de consulter l’agenda des événements à venir et de s’abonner à la newsletter pour recevoir les dernières actualités directement dans sa boîte e-mail.

L’édition numérique

L’édition numérique de Focus Magazine Montpellier est disponible sur les principales plateformes de lecture en ligne, telles que Magzter, Zinio et Joomag. Elle offre une expérience de lecture interactive et dynamique, avec des fonctionnalités telles que le zoom, la recherche d’articles et la possibilité de partager des extraits sur les réseaux sociaux.

Focus magazine Montpellier

 

Les événements soutenus par Focus Magazine Montpellier

Focus Magazine Montpellier est un acteur engagé dans la vie culturelle locale. Le magazine soutient et sponsorise régulièrement des événements tels que des expositions, des festivals de cinéma, des concerts et des spectacles. En s’associant à ces événements, il contribue au rayonnement culturel de la ville et à la promotion des talents locaux.

 

L’engagement communautaire et l’impact local

Focus Magazine Montpellier est bien plus qu’un simple magazine : c’est un véritable acteur de la vie locale, engagé dans le soutien aux initiatives culturelles et artistiques. Grâce à sa couverture médiatique et à ses partenariats, le magazine contribue à la promotion des talents locaux et au développement de la scène culturelle montpelliéraine.

 

Conclusion : pourquoi choisir Focus Magazine Montpellier

Focus Magazine Montpellier est un incontournable pour tous ceux qui souhaitent découvrir ou approfondir leur connaissance de la vie culturelle montpelliéraine. Grâce à ses articles de qualité, ses rubriques variées et sa présence en ligne, le magazine offre un véritable panorama de la scène artistique et culturelle de la ville. N’attendez plus pour plonger dans l’univers passionnant ce magazine Montpellier et laissez-vous surprendre par les trésors cachés de la métropole méditerranéenne.
Focus Magazine

 

Focus Magazine recherche continuellement les tendances, les nouveaux talents, la nouveauté. La magazine impose le tour de force de la gratuité et de la qualité, le rendant incontournable dans le sud de la France. Bimestrielle créatif, il est un concentré «de vie urbaine et chic».

  • Dossier high-tech et design
  •  Actualités
  •  Interviews et portraits de designers, de grands artistes, chefs…
  •  Escapade dans les plus belles villes du monde
  •  Voitures de légende
  •  Sélection de concerts, d’expositions, de spectacles… dans le Grand Sud
  •  Chroniques d’albums et de bouquins
  • Guide urbain & fooding
  • Sorties

 

Où trouver Focus Magazine ?

Vous pouvez retrouver Focus Magazine tous les deux mois dans les meilleurs spots du sud de la France :  Montpellier, Nîmes, Avignon, Aix-en-Provence et Marseille.

 
Focus Magazine
 
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Focus magazine Montpellier
 
 

Focus Magazine : déjà 100 numéros

Focus magazine a commencé avec 36 pages, après 100 numéros, le magazine en a à présent 160.

Au fil des années Focus développé son contenu et a créé une direction artistique unique et de grande qualité à chaque numéro. Dernièrement, le numéro 100 a été publié, un véritable cap pour la magazine.

Pour l’occasion, le magazine à créé plusieurs couvertures différentes, et a fait appel au graphiste Supakich. SupaKitch est un artiste plasticien. Né à Bagnolet , il vit et travaille à Biarritz avec sa femme Koralie, également artiste reconnue.

 

 

SUPAKITCH dans Focus Magazine

Élevé dans la culture manga et hip-hop, passionné de dessin et de musique depuis son enfance, SupaKitch trouve dans la rue une multitude de soutiens qui lui permettent de grandir. Ses premiers graffitis datent de 1990. Vers 1994, le Graffiti prend une vraie place dans sa vie: sous le pseudonyme de « Ride » il fonde l’équipe HV. Un an plus tard, une rencontre avec Hazy (photographe et graffeur) et Eone (producteur de musique et graffeur) le conduiront à son premier travail dans lequel il mélange différentes techniques (peinture, photo et graphisme), dont le thème principal est la musique.

Véritable compositeur de mélodies graphiques, il continue d’explorer son concept « Listen To My Picture », s’appropriant la technologie des circuits imprimés. Cette technique, similaire à la technique des « gravures » des illustrateurs des siècles passés, symbolise aujourd’hui le début d’un progrès dans le domaine de l’électronique. Ce contraste de temps, de nostalgie et de progrès technologique est omniprésent dans son travail.

Focus Magazine
À la fin des années 90, il a commencé à mixer différentes techniques sur les murs, usant ainsi de la peinture aérosol, peinture avec pinceau, le pochoir ou encore le collage. Originaire du mouvement graffiti où le choix du mur et du fond joue un rôle essentiel, SupaKitch a commencé à créer ses propres résines en 2016 embellies de différents motifs.

Ces motifs lui rappellent la surface de l’océan, mais également la texture des éléments. La feuille d’or étant utilisée pour améliorer la réflexion du soleil. À travers la technique empruntée aux shapers, SupaKitch aime être surpris par les schémas que prennent ses oeuvres, moment où l’art suit son propre chemin.

La surface devient ainsi un objet qui peut être coupé pour créer un rythme dans la composition des oeuvres qui se fige ensuite grâce à la résine qui se solidifie.

 

Focus Magazine Crédit Photo Eric CANTO

Focus Magazine Crédit Photo Eric CANTO

Focus Magazine Crédit Photo Eric CANTO

Focus Magazine Crédit Photo Eric CANTO

Focus Magazine Crédit Photo Eric CANTO

 

Interview se Christophe MALSERT, Directeur de publication

Christophe Malsert est le directeur de la publication de ce magazine gratuit ; magazine papier bimensuel et magazine de style de vie en ligne. Distribué à Montpellier, Nîmes, Avignon et Marseille et s’adresse à tous les citadins dynamiques. J’aime vraiment sa ligne éditoriale.

Nous découvrons des articles sur de nombreux sujets tels que l’architecture et le design, l’évasion, la gastronomie, la musique … Sa coopération artistique dans le domaine du graphisme avec des illustrateurs talentueux rend ce city guide très attractif. Très curieux de ce « concentré urbain et vie stylée », c’est pour moi une sorte de contenu riche et innovant dont je suis un fan absolu! C’est pourquoi je suis heureux d’avoir eu le plaisir d’interviewer Christophe Malsert.

 

Comment gérez-vous la crise sanitaire actuelle de votre activité professionnelle ?

Christophe Malsert  :  Nous ne vous mentirons pas, les 4-5 premiers jours d’emprisonnement ont été très difficiles pour l’équipe, car nous préparions le magazine avril-mai. Nous ne savions pas combien de temps durerait la crise. Au début, nous devions également résoudre rapidement avec notre comptable un licenciement partiel de notre équipe et analyser notre capacité à rester dans le temps. Ensuite, nous avons commencé à réfléchir à la manière de rester en contact avec nos lecteurs (via les réseaux sociaux) et à essayer de soutenir nos partenaires (commerçants, très petites entreprises, etc.).

Focus est aussi un studio graphique, c’est pourquoi nous avons utilisé notre savoir-faire dans le domaine de la communication au service de nos clients. Actuellement, nous sommes tous en contact constant pour discuter de nouveaux sujets dont nous aimerions discuter dans les magazines suivants.

Le comportement de chacun d’entre nous va changer après cette crise et après cette période particulière, nous devons essayer de nous réinventer.

 

Quels sont vos « trucs et astuces » pour vous adapter à la nouvelle situation ?

Christophe Malsert   : Nous n’avons pas vraiment de « trucs et astuces », mais ce que nous disons est logique. Même si la crise a changé notre rythme de vie, nous essayons d’imposer un petit horaire quotidien. Rester en forme (exercice physique régulier) est déjà une priorité. Si le corps est en forme, la tête et le moral suivent, mais nous en aurons besoin lorsque nous récupérerons.

Il y a aussi une bonne fermeture, il est TEMPS …. Du temps pour lire, du temps pour cuisiner (bien sûr avec des produits de saison pour les circuits courts), du temps pour s’entraîner … Du temps pour faire toutes les choses que nous repoussons habituellement plus tard dans l’année 😊. Il est particulièrement important de ne pas tomber dans le désastre, étant ivre de trop de messages anxieux (ou de faux messages) qui abondent dans les réseaux sociaux.

Essayons de rester positifs, il existe de nombreuses initiatives formidables, et les retenir crée une vague de solidarité sans précédent. Pensons à demain et apprenons à faire évoluer notre société (à notre niveau), qui est à un tournant.

Interview réalisée par myurbansweetnesses.fr

 


 

Eric CANTO Photographe : Photos de concerts, portraits, pochettes d’albums.

 

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PHOTO Magazine : les plus belles covers

PHOTO Magazine : les plus belles covers

PHOTO Magazine est un magazine français qui paraît chaque deux mois. Photo magazine est entièrement consacré à la photographie. Le magazine traite de la photographie sous de nombreux aspects, du photojournalisme à la photographie d’avant-garde, en passant par la mode, la nature et le nu artistiques, ce qui caractérisent la plupart de ses couvertures.

Photo magazine traite la photographie et les nombreuses tendances en France et dans le monde. Il aborde la technique photographique et séduit les grands photographes en leur les pages du magazine. Photo magazine, de par sa longévité et sa présence internationale, est, comme il aime à l’avancer en signature, « une référence à l’image depuis 1967. »

 

PHOTO Magazine : les plus belles couvertures 

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Magazine photo années 80 – magazine photo

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Magazine photo années 80 – magazine photo

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L’histoire de PHOTO Magazine

En 1967, Daniel Filipacchi qui est à la tête d’un groupe d’une vingtaine de titres de presse, crée le magazine sur une idée de Walter Carone, photojournaliste pour le magazine Paris Match.

Walton Carone 1920-1982. Walter Carone a appris le métier de photographe auprès de son père, un Italien immigré à Cannes, spécialisé dans les mariages et les banquets.
En 1945, il part tenter sa chance à Paris, équipé d’une caméra et de plusieurs pellicules. Il a débuté à Cinévie avant de travailler pour France-Dimanche, Point de Vue, Elle et enfin pour Paris-Match, qui l’a engagé trois mois avant la parution du premier numéro.
Sa carrière est étroitement liée au développement de Paris-Match, dont il était journaliste vedette, chef du département photographie et rédacteur en chef adjoint. Il a ensuite mis son talent et son expérience au service des amateurs, en créant Photo magazine, puis Photo Journal.

Catherine Deneuve inaugurera le magazine en juillet 1968, photographiée par David Bailey, son compagnon du moment.

Roger Thérond

Roger Thérond, ancien rédacteur en chef de Paris Match, rejoint la direction de du magazine et lance en 1977 le « concours amateur » (qui se poursuit à ce jour avec 50 000 candidats).

Il est officiellement directeur de la publication de PHOTO Magazine depuis avril 1969. Il recherche continuellement les photographes les plus prestigieux du moment, comme Rizzo, Brassaï, Lachapelle ou encore Richard Avedon.

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Jean-Louis Swiners

Ancien rédacteur en chef de Terre d’Images, a rejoint l’équipe dans le deuxième numéro et est devenu directeur de la publicité jusqu’en 1974. Régis Pagniez a conçu non seulement le logo, mais également le design, et créé de très nombreux portfolios qui ont contribué au succès du magazine.

Quelques années plus tard, il quitte la rédaction pour émigrer en Amérique. Walter Carone sera nommé rédacteur en chef dans les années 1970-1973.

 

Jean-Jacques Naudet

Jusqu’en 1988, Jean-Jacques Naudet exerce des responsabilités au sein de la rédaction puis, en 1988, il laisse la place à Michel Decron, qui devient rédacteur en chef.

 

Agnès Grégoire

Agnès Grégoire a rejoint Photo magazine en 1988, en tant que rédactrice puis est devenue rédactrice, puis chef de département puis rédactrice adjointe, elle est devenue rédactrice en 2011 puis rédactrice en chef en 2015.

Son expérience en photographie est conséquente et il lui a permis de devenir rapporteur à l’Académie des Beaux-Arts. Elle exerce régulièrement des fonctions de conseil dans le domaine de la photographie.

Agnès Grégoire contribue à Photo España (lecture de portfolio),  aux festivals de Guangzhou et de Lianzhou en Chine, au Zoom Photo Festival au Saguenay, Québec.

 

PHOTO Magazine

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Évolution du contenu de PHOTO Magazine

La photo avant-gardiste a donné le ton du magazine à la fin des années 1960 (Art Kane, Pete Turner, Jay Maisel). Dès le tout début Photo s’est distingué comme le premier magazine présentant les shootings de grands photographes tels que Richard Avedon, Peter Lindhberg, David Lachapelle, Robert Capa, Guy Bourdin, Henri Cartier-Bresson

Entre deux scoops « sexy », le magazine fait parfois scandale, révélant parfois en couverture de transsexuels et hermaphrodites ou offrant des photos de mineurs par Louis Malle.

En 1975 la célèbre photo de Brooke Shield jeune fit la une de Photo Magazine en 1978. Mais lorsque 3 ans plus tard, l’adolescente tente d’empêcher de nouvelles parutions et tente de récupérer les négatifs, Brooke Shield se heurte à la justice. Conclu entre sa mère et Garry Cross, le contrat prévoyait une cession totale des droits au photographe.

Après deux années de bataille juridique, Brooke Shield est finalement déboutée, et Gross ruiné.

 

Le magazine a été créé pendant la guerre du Vietnam et avant mai 1968. Il offre également un espace de reportage sur le terrain puis sur des sujets liés à la nature et s’inscrit dans son histoire proche du monde de la mode, l’accueillant avec des exemples d’œuvres de Cecil Beaton, Helmut Newton, William Klein …

En 1989, Photo Magazine crée le festival « Visa pour l’image« , qui rassemble chaque année des photojournalistes du monde entier (expositions, rencontres, spectacles). Le festival est rapidement reconnu internationalement par les professionnels de l’image, et le directeur est Jean-François Leroy.

La photographie utilise des relations privilégiées avec les grands photographes, les engageant dans l’écriture par écrit, avec divers acteurs étrangers dans le monde de la photographie. Plusieurs de ces correspondants ont parrainé le numéro annuel des « amateurs spéciaux » en présentant un des thèmes en lien avec leur spécialisation. PHOTO Magazine reçoit jusqu’à 50 000 photos chaque année dans le cadre du « World’s Largest Photo Contest ».

Publié en impression papier au début des années 90. Photo lance son site Internet en 1995. Après le décès de Roger Thérond en 2001, le groupe HFM, qui détenait déjà 50% du capital mensuel, obtient le solde des héritiers en 2002. Dix ans plus tard, en 2011, le magazine a été vendu à Magweb. Monika Bacardi et David Swaelens-Kane sont devenus propriétaires en 2014.

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Autour de PHOTO Magazine

Le magazine s’est associé à diverses activités liées à la photographie, dont le Photo Management (« coaching » d’artistes), initié par l’EPMA depuis 2015. Photo Management intervient, accompagne les jeunes talents, les expose en Europe et en Amérique, à travers différents partenariats.

Le magazine réalise plus de la moitié de ses ventes à l’étranger dans environ 70 pays. PHOTO Magazine Entretient des relations privilégiées avec les professionnels de la photo, y compris les photographes.

 

PHOTO Magazine : Infos et chiffres

  • Directeur de la rédaction : Agnès Grégoire
  • Date de fondation : 1967
  • Ville d’édition : Paris
  • Prix au numéro : 6,90 €
  • Diffusion : 26 000 ex
  • Périodicité : bimestriel

 

PHOTO MAGAZINE, la référence depuis 1968

 

 


 

Eric CANTO Photographe : Photos de concerts, portraits, pochettes d’albums.

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FAQ sur le magazine PHOTO

1. Qu’est-ce que le magazine PHOTO ?

Le magazine PHOTO est un magazine mensuel français consacré à la photographie. Il a été créé en 1967 et est considéré comme l’un des magazines les plus respectés dans le monde de la photographie. Il propose des articles sur l’histoire de la photographie, des interviews de photographes célèbres, des critiques d’expositions, des astuces techniques, des portfolios de photographes et bien plus encore.

2. Qui est le public cible du magazine PHOTO ?

Le magazine PHOTO s’adresse principalement aux amateurs et aux professionnels de la photographie. Il est destiné à toute personne qui s’intéresse à la photographie en tant qu’art ou en tant que métier, qu’il s’agisse de la photographie numérique ou de la photographie argentique.

3. Comment s’abonner au magazine PHOTO ?

Il est possible de s’abonner au magazine PHOTO en ligne sur le site officiel du magazine ou en appelant le service abonnement. Différentes formules d’abonnement sont proposées, allant de l’abonnement annuel au tarif standard à l’abonnement en ligne pour une durée de trois mois.

4. Quels types d’articles sont publiés dans le magazine PHOTO ?

Le magazine PHOTO propose une variété d’articles sur la photographie, notamment des articles techniques sur les techniques de prise de vue, de traitement d’images et d’impression, des articles sur l’histoire de la photographie, des interviews de photographes renommés, des portfolios de photographes émergents et établis, des critiques d’expositions et de livres de photographie, et bien plus encore.

PHOTO magazine photomagazine 28

5. Comment soumettre des images pour publication dans le magazine PHOTO ?

Le magazine PHOTO n’accepte pas les soumissions non sollicitées d’images pour publication. Cependant, il organise régulièrement des concours photo sur différents thèmes ouvert à tout le monde. Les concours sont annoncés sur le site web du magazine ou dans les pages du magazine.

6. Le magazine PHOTO est-il disponible en version numérique ?

Oui, le magazine PHOTO est disponible en version numérique. Les abonnés peuvent télécharger le magazine au format PDF sur le site web du magazine. Des applications mobiles sont également disponibles pour les smartphones et tablettes, permettant de lire le magazine sur ces appareils.

7. Le magazine PHOTO est-il disponible en anglais ?

Non, le magazine PHOTO n’est disponible qu’en français. Cependant, certaines parties du site web du magazine, comme les interviews de photographes célèbres, peuvent être disponibles en anglais.

8. Y a-t-il un forum ou une communauté en ligne associée au magazine PHOTO ?

Oui, le site web du magazine propose une section communauté où les lecteurs peuvent partager leurs images, discuter de la photographie et échanger des astuces techniques. Le magazine organise également des événements et des ateliers en personne pour les membres de la communauté.

9. Quels sont les photographes célèbres qui ont été présentés dans le magazine PHOTO ?

Le magazine PHOTO a présenté de nombreux photographes célèbres au fil des ans, tels que Sebastião Salgado, Henri Cartier-Bresson, Annie Leibovitz, Richard Avedon, Robert Capa, William Klein, et bien d’autres encore. Régulièrement des interviews et des portraits de photographes renommés, ainsi que des critiques d’expositions présentant les œuvres de photographes établis et émergents.

10. Quelles sont les tendances actuelles en matière de photographie présentées dans le magazine PHOTO ?

Le magazine PHOTO est à l’affût des tendances actuelles en matière de photographie. Ces dernières années, il s’est intéressé aux tendances émergentes telles que la photographie de rue, la photographie de paysage, la photographie documentaire et le photojournalisme, ainsi qu’à l’utilisation de nouvelles technologies dans la photographie, telles que la réalité augmentée et la photographie 360 degrés.

Le magazine explore également les nouvelles façons de présenter et de partager les images, notamment en ligne sur les réseaux sociaux et les plateformes de partage de photos.

RAMMSTEIN MAKING OF D’UNE SESSION PHOTO

RAMMSTEIN MAKING OF D’UNE SESSION PHOTO

Rammstein nouvel album

Rammstein est un groupe perfectionniste. Cela devient  encore plus clair lorsque  l’on regarde le nouveau making of des photos de leur nouvel album.

2019 était sans aucun doute l’année de Rammstein. Après dix ans, Till Lindemann and Co. ont sorti un nouvel album et le sextet a également effectué une tournée des stades en Europe. Maintenant, les métalleux  donnent un aperçu des préparations du shooting. Personnellement, les documentaires sur les artworks me passionnent. Concernant Rammstein, nous sommes face à une véritable machine de guerre, dont les budgets permettent toutes les folies.

 

Une mise en scène somptueuse

Rammstein présente un documentaire de huit minutes sur YouTube (voir ci-dessus).

Une équipe de vidéastes a accompagné le groupe lors d’une séance photo de quatre jours. C’est le photographe Jes Larsen qui s’est occupé du shooting photo, avec lequel il a ensuite conçu l’illustration du nouvel album.

Ce shooting nous présente Larsen lui-même, le retoucheur Marty Bo Kristensen et le styliste Vibe Dabelsteen.

Rammstein nouvel album

Rammstein nouvel album

 

Rammstein nouvel album : le rouleau compresseur allemand

Dix ans après « Liebe ist für alle da », Rammstein a finalement rompu le silence avec un nouvel album sans titre, dont l’image est une allumette sur un fond blanc immaculé. La mèche est aussitôt allumée, dès le premier passage mis en évidence par le clip controversé « Deutschland », qui dévoile une génération mal à l’aise avec l’histoire de son pays.

« L’Allemagne, mon cœur en flammes / Je veux t’aimer et je te maudis », a scandé le chanteur Till Lindemann avec un grand froid. Le groupe reste le même avec ses rythmes de guerre puissants. Des guitares saturées sont présentes, tout comme les effets électroniques emblématiques de ce « tanzmetal » allemand que le groupe berlinois maîtrise à la perfection.

Rammstein nouvel album

Rammstein nouvel album

Ce septième album  a été un énorme succès, catapultant d’abord en termes de ventes en Europe et dans le top 10 aux États-Unis et en Australie.

Pour le groupe utilisant la langue Goethe, qui est plutôt du genre métal industriel, il n’y a pas de précédent. Certes, le groupe allemand a légèrement adouci son point de vue alors que le tempo ralentit au son d’un arpège plus léger après l’introduction de « Puppe » ou d’une ballade propre comme « Diamond » avec une guitare classique et un violoncelle à la fin.

Le diable restant caché dans les détails, onze chansons couchées sur le CD méritent une écoute attentive, car l’album est plein de découvertes, d’arrangements et de messages de guerre condamnant les monstres pédophiles, ou les effets pervers du nationalisme.

Après la première tournée à guichets fermés des stades européens en 2019, un nouvel ensemble de dates pour l’été 2020 étaient prévus.

Malheureusement, le COVID 19 aura eu la peau des guerriers allemands

 

Rammstein nouvel album

Rammstein nouvel album

Rammstein nouvel album

Rammstein nouvel album


Rammstein nouvel album : Le groupe ?

Rammstein est un groupe de métal allemand de Berlin. Créée en 1994, elle était composée des débuts de six membres d’Allemagne de l’Est; décrit comme appartenant au genre Neue Deutsche Härte, est le représentant le plus connu. Les paroles du groupe sont principalement en allemand, c’est aussi le groupe germanophone le plus vendu au monde, près de 20 millions d’albums ont été vendus, mais parfois il comprend également des paroles en anglais, français, espagnol et même russe.

Connu pour ses concerts multipliant les effets de la pyrotechnie et de la mise en scène créative,il a à son actif depuis sa création sept albums studio, dont la musique est souvent considérée comme du métal industriel. La classification exacte de la musique du groupe est souvent remise en cause, car elle contient également de fortes influences de la musique électronique, du rock.

Groupe hybride à l’empreinte reconnaissable immédiatement, Rammstein est aujourd’hui un énorme poids lourd du métal mondial et ne joue principalement que dans des stades.

 

RAMMSTEIN crédit photo Eric CANTO

Tirage photo RAMMSTEIN crédit photo Eric CANTO – Visiter le shop

 

 


 

Eric CANTO Photographe : Photos de concerts, portraits, pochettes d’albums.

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Metallica: Une Histoire de Succès

Metallica: Une Histoire de Succès

Metallica : Retour sur l’histoire d’un groupe de métal légendaire

Depuis leur formation en 1981, Metallica a marqué la scène metal et musicale mondiale. Ce groupe de metal américain originaire de Californie a réussi à s’imposer grâce à son talent et sa passion pour la musique. Dans cet article, nous allons revenir sur l’histoire du groupe et les événements qui ont construit cette légende vivante.

Les débuts du groupe

Metallica voit le jour lorsque que Lars Ulrich, un jeune batteur danois venu tenter sa chance aux États-Unis, passe une annonce dans un journal local afin de trouver des musiciens partageant son amour pour le heavy metal anglais. C’est ainsi qu’il rencontre James Hetfield, chanteur et guitariste amateur, avec qui il décide de former Metallica.

Metallica concert

 

Dave Mustaine et l’album « Kill ‘Em All »

Rejoint par le bassiste Ron McGovney et le guitariste Dave Mustaine, originellement prévu pour jouer seulement quelques jours, le groupe commence à répéter et joue ses premiers concerts locaux. En 1984, ils présentent leur premier album, « Kill ‘Em All« .

Toutefois, dû à des tensions internes, Dave Mustaine est congédié du groupe peu avant le début de l’enregistrement de l’album. Il est remplacé par Kirk Hammett et fonde plus tard le groupe Megadeth. Malgré ces changements, « Kill ‘Em All » connait un succès sur la scène underground et Metallica est désormais sur le radar des fans de metal.

L’ascension vers la gloire

Ce n’est que deux ans plus tard, avec la sortie de leur deuxième album « Ride the Lightning« , que Metallica connait une explosion de popularité. Cet album introduit des éléments plus progressifs, ainsi qu’une utilisation notable du chant clair de James Hetfield, montrant la volonté du groupe à explorer de nouvelles voies artistiques.

Master of Puppets : l’apogée

En 1986, Metallica sort son troisième album, « Master of Puppets« . Considéré comme l’un des meilleurs albums de heavy metal de tous les temps, il propulse le groupe au rang d’icônes du genre et renforce sa position en tant que pilier du mouvement thrash metal américain.

Mais cette année est aussi marquée par un événement tragique : lors d’une tournée européenne, le groupe est victime d’un accident de bus qui coûte la vie à Cliff Burton, leur bassiste très talentueux. Traumatisés mais déterminés à continuer, Metallica recrute Jason Newsted pour prendre sa place et poursuit sa route.

Les années 1990 : évolutions et succès commercial

Avec l’arrivée de Newsted, le groupe connaît plusieurs changements artistiques. Leurs deux premiers albums de la décennie, « Metallica » (aussi appelé « The Black Album ») et « Load », montrent une nette évolution vers un style plus accessible, combinant heavy metal et rock n’ roll.

La controverse Napster et le départ de Jason Newsted

En 2000, Metallica se retrouve au centre d’un scandale lorsque leur chanson inédite « I Disappear » est leakée sur la plateforme de téléchargement Napster. Déclenchant une bataille juridique majeure contre Napster, les membres du groupe deviennent alors les figures de proue de la lutte contre le piratage en ligne.

Cette même année, Jason Newsted quitte soudainement le groupe, invoquant des raisons personnelles. Il sera remplacé quelques années plus tard par Robert Trujillo, qui assure toujours aujourd’hui la basse pour Metallica.

Metallica dans les années 2010 et au-delà

Avec l’album « Death Magnetic » en 2008 et surtout « Hardwired… to Self-Destruct » en 2016, Metallica revient à ses racines thrash et continue de dominer la scène métal mondiale, multipliant les tournées et les passages lors de différents festivals.

Innovations musicales et projets parallèles

Tout en restant fidèle à leur style initial, Metallica a également exploré plusieurs projets innovants, comme leur collaboration avec le compositeur Michael Kamen et l’orchestre symphonique de San Francisco en 1999 (« S&M »), ou encore leur album en collaboration avec Lou Reed, « Lulu », en 2011. Ces expériences ont montré que le groupe n’a jamais cessé d’expérimenter et de repousser les limites de leur art.

Une influence sur la culture et la société

Au fil des ans, Metallica est devenu bien plus qu’un simple groupe de metal : c’est une véritable institution qui a inspiré de nombreux artistes, contribué à populariser le genre auprès du grand public et laissé une empreinte indélébile dans l’histoire de la musique.

  • Lars Ulrich, batteur et fondateur du groupe, s’est illustré en tant que militant pour la protection des droits d’auteur et la lutte contre le téléchargement illégal.
  • Kirk Hammett, guitariste principal, est également auteur et collectionneur de films d’horreur, ayant même lancé son propre festival dédié au genre.
  • James Hetfield, chanteur et guitariste rythmique, soutient activement plusieurs associations caritatives et utilise sa notoriété pour promouvoir des causes environnementales et sociales.

Metallica, sans aucun doute, restera dans les mémoires comme l’un des groupes les plus marquants et influents du monde du métal. Leurs succès commerciaux, tout autant que leurs prises de position et leur travail sur la scène musicale, montrent un engagement sincère envers leur art et leur public. Et avec plus de quarante ans de carrière derrière eux, on ne peut qu’être impressionné par leur longévité et leur passion inaltérable pour la musique.

 

 

 

Quel est l’origine de la création de Metallica ?

Metallica a été formé à Los Angeles en 1981 par le chanteur/guitariste James Hetfield et le batteur Lars Ulrich. Les deux musiciens ont rapidement commencé à chercher des membres pour compléter leur groupe, recrutant le guitariste Dave Mustaine et le bassiste Ron McGovney pour former la formation originale de Metallica.

Après avoir enregistré une démo et joué des concerts locaux, Mustaine a été renvoyé du groupe en 1983 en raison de problèmes de drogue et d’alcool, et a ensuite formé son propre groupe, Megadeth. Kirk Hammett a été recruté pour remplacer Mustaine à la guitare solo peu de temps après.

 

Membres actuels :

  • James Hetfield – chant & guitare
  • Lars Ulrich – batterie
  • Kirk Hammett – guitare
  • Robert Trujillo – basse

Anciens membres :

  • Lloyd Grant – guitare
  • Ron McGovney – basse
  • Dave Mustaine – guitare
  • Cliff Burton – basse
  • John Marshall guitare
  • Jason Newsted – basse
  • Bob Rock – basse

 

Les albums de Metallica

Metallica : Kill ‘Em All en 1983

La sortie de Kill ‘Em All en 1983 a marqué le début de la légitimation du underground du heavy metal, apportant une nouvelle complexité et profondeur au thrash metal.

Avec chaque album, le jeu et l’écriture du groupe se sont améliorés; James Hetfield a développé un rythme qui correspondait à son grognement, tandis que le guitariste principal Kirk Hammett est devenu l’un des guitaristes les plus copiés du métal.

Pour compléter le package, la batterie tonitruante (mais complexe) de Lars Ulrich s’est parfaitement adaptée au jeu de basse innovant de Cliff Burton .

La vraie naissance du thrash. Sur Kill ‘Em All , Metallica fusionne le riffing complexe de New Wave de groupes britanniques de Heavy Metal comme Judas Priest , Iron Maiden et Diamond Head avec la vélocité de Motörhead et du punk hardcore. James Hetfield Le style de guitare rythmique très technique anime la majeure partie de l’album, établissant de nouvelles normes de puissance, de précision et d’endurance.

Metallica concert

 

Mais vraiment, le reste du groupe est tout aussi adroit, jouant avec une fureur contrôlée, même aux tempos les plus ridiculement rapides. Il existe déjà plusieurs compositions étendues et multi-sections préfigurant les épopées progressives ultérieures du groupe, bien que celles-ci soient motivées par l’adrénaline, pas par la texture.

Quelques hommages au heavy metal lui-même sont un peu datés lyriquement; comme Diamond Head , la plus grande influence du groupe, le son le plus efficace de Kill ‘Em All est celui de la malveillance surnaturelle – en tant que son pur, le disque est déjà tout droit sorti des enfers. Ex-membre Dave Mustainea co-écrit quatre des dix pistes originales, mais le matériau fait tous les sons d’une pièce.

Et en fait, quiconque a travaillé en arrière dans le catalogue du groupe pourrait ne pas apprécier pleinement l’impact de Kill ‘Em All lors de sa première apparition – contrairement aux versions ultérieures, il n’y a tout simplement pas beaucoup de variations musicales (à part un solo de basse lyrique de Cliff Burton ). L’ambition musicale du groupe a également grandi rapidement, alors aujourd’hui, Kill ‘Em All sonne plus comme le fondement de plus grandes choses à venir.

Mais cela n’enlève rien à la fraîcheur de son son lors de la première sortie, et le temps n’a pas atténué la montée vertigineuse de l’excitation dans ces performances. Effrayant, impressionnant et absolument implacable, Kill ‘Em All est un pouvoir destructeur pur, exécuté avec des niveaux de précision scientifique à couper le souffle.

 

Metallica : Master of Puppets 1986

Même si Master of Puppets n’a pas fait un bond en avant aussi gigantesque que Ride the Lightning , c’était la plus grande réussite du groupe, saluée comme un chef-d’œuvre par des critiques bien en dehors du public principal du heavy metal.

Il a également été un succès substantiel, atteignant le Top 30 et se vendant à trois millions d’exemplaires malgré une diffusion aérienne absolument inexistante. Au lieu d’une réinvention radicale, Master of Puppets est un raffinement des innovations passées.

En fait, il est possible de comparer la chanson Ride the Lightning et Master of Puppets pour la chanson et de noter les similitudes frappantes entre les positions de piste correspondantes sur chaque enregistrement .

Metallica concert

 

Ce soupçon de conservatisme est vraiment le seul défaut imaginable ici. Bien que ce ne soit pas aussi surprenant que Ride the Lightning , Master of Puppets se sent plus unifié, à la fois sur le plan thématique et musical. Tout y est explosé dans des proportions épiques (en effet, les chansons sont en moyenne beaucoup plus longues), et le groupe se sent plus en contrôle de sa direction.

Cependant, vous ne le sauriez jamais par les paroles – d’une manière ou d’une autre, presque toutes les chansons de Master of Puppets traitent de la peur de l’impuissance. Parfois, il s’agit d’une autorité hypocrite (chefs militaires et religieux), parfois d’impulsions humaines primaires et incontrôlables (drogues, folie, rage), et,Mode HP Lovecraft , parfois des monstres.

Pourtant, en coupant l’album avec deux tranches de chaos de thrash (« Battery » et « Damage, Inc. »), le groupe règne triomphant par la force – du son, de la volonté, de la méchanceté. Les arrangements sont épais et musclés, et le matériau varie suffisamment en texture et en tempo pour retenir l’intérêt à travers tous ses rebondissements.

Certains critiques ont appelé Master of Puppets le meilleur album de heavy metal jamais enregistré; si ce n’est pas le cas, cela se rapproche certainement. [En 2017, le groupe a sorti une énorme édition élargie de l’album avec une variété d’options de package physique, dont la plus ambitieuse était un coffret exhaustif qui comprenait un livre relié, des extraits et des interviews inédites, trois LP, dix CD, un cassette, deux DVD, une lithographie, un dossier avec des paroles manuscrites et un ensemble de six boutons.]

Après avoir sorti leur chef-d’œuvre Master of Puppets en 1986, la tragédie a frappé le groupe lorsque leur bus de tournée s’est écrasé lors d’un voyage en Suède.

Burton est décédé dans l’accident. Lorsque le groupe a décidé de continuer, Jason Newsted a été choisi pour remplacer Burton ; deux ans plus tard, le groupe a sorti le concept ambitieux … Et Justice for All , qui a frappé le Top Ten sans aucun single et très peu de soutien de MTV.

 

Metallica : And Justice for all

L’aspect le plus immédiatement perceptible de … Justice for all n’est pas la  composition sophistiquée  toujours croissante de Metallica ou le portrait lyrique apocalyptique d’une société en décadence. C’est la production étrange et sèche.

Les guitares bourdonnent légèrement, les tambours cliquent plus que les livres et la basse de Jason Newsted est presque inaudible. C’est dommage que le son froid et plat obscurcisse certains détails sonores, parce que … Et Justice for all est l’œuvre la plus complexe et ambitieuse de Metallica ; chaque chanson est une suite étendue, avec seulement deux des neuf pistes en moins de six minutes.

Metallica concert

Metallica concert

Metallica concert

Il faut du temps pour s’enfoncer, mais compte tenu du temps, … Et Justice for all révèle pour certains, le meilleur matériau de Metallica . Il révèle également la détermination du groupe à retirer tous les arrêts de composition, en ajoutant des sections supplémentaires, des signatures rythmiques impaires et des toiles denses d’arpèges de guitare et de pistes harmonisées. Parfois, il semble qu’ils le font simplement parce qu’ils le peuvent; certaines parties de l’album manquent de direction et auraient probablement dû être coupées pour le moment.

En ce qui concerne le rythme, l’album suit à nouveau de manière lâche le plan de Ride the Lightning , mais pas aussi étroitement que Master of Puppets. Cette fois-ci, la quatrième chanson – une fois de plus une ballade avec un refrain thrashy et un outro – a donné au groupe l’un des 40 singles les plus incroyables de l’histoire; « One » était un classique du métal instantané, basé sur le roman anti-guerre de Dalton Trumbo Johnny Got His Gun et culminant avec une imitation de mitrailleuse pulvérisée.

Dans l’ensemble, les opinions sur And Justice for all restent quelque peu divisées: certains pensent que c’est un chef-d’œuvre légèrement imparfait et le summum des années progressistes de Metallica ; d’autres le voient comme gonflé et trop ambitieux. L’une ou l’autre interprétation peut être facilement appuyée, mais le groupe a clairement pris cette direction aussi loin qu’il le pouvait.

La difficulté de reproduire ces chansons en concert a finalement convaincu Metallica qu’il était temps de procéder à une refonte.

 

Metallica 1991

Metallica a complètement traversé le courant dominant avec Metallica de 1991, un effort éponyme qui a permis au groupe d’échanger ses longues compositions contre des structures de chansons plus concises. Parsemé de succès comme « Wherever I May Roam » et « Enter Sandman », il en est résulté un album numéro un qui s’est vendu à plus de sept millions d’exemplaires aux États-Unis seulement.

Pour soutenir le record, Metallica a lancé une longue tournée qui a gardé les musiciens sur la route pendant près de deux ans.

Après la production confuse et les structures de chansons ultra compliquées de … And Justice for All , Metallica a décidé qu’ils avaient poussé les éléments progressifs de leur musique aussi loin qu’ils le pouvaient et qu’une simplification et une rationalisation de leur son était de mise. Bien que l’évaluation ait du sens d’un point de vue musical, elle a également été l’occasion de commercialiser leur musique, et Metallica atteint les deux objectifs.

Metallica concert

Les meilleures chansons sont plus mélodiques et immédiates, les grooves écrasants et dépouillés de « Enter Sandman », « Sad but True » et « Wherever I May Roam » qui collent aux structures traditionnelles et utilisent les mêmes riffs principaux; la production nette et professionnelle de Bob Rock ajoute à leur accessibilité.

« The Unforgiven » et « Nothing Else Matters » évitent les riffs de guitare slash-and-burn qui ont toujours rythmé les ballades du groupe; ce dernier est une chanson d’amour à part entière avec une section de cordes, qui fonctionne beaucoup mieux que l’on pourrait imaginer.

L’écriture de chansons et de riff glisse ici et là, un événement rare pour Metallica , que certains fans de longue date ont interprété comme un remplisseur à côté d’un lot de singles calculé pour le succès commercial.

Les objections portaient souvent davantage sur l’idée que Metallica faisait quelque chose de explicitement commercial, mais des millions d’autres n’étaient pas d’accord. En fait, la popularité du groupe a explosé à tel point que la plupart de son catalogue arrière a trouvé une acceptation générale à part entière, tandis que d’autres groupes de speed metal progressivement inclinés copiaient le mouvement vers la simplification.

Rétrospectivement, Metallica est un bon groupe, mais pas tout à fait génial, dont les meilleurs moments ont mérité à juste titre la couronne du heavy metal, mais dont l’approche a également laissé présager un déclin créatif.

Dans les années 90, Metallica avait changé les règles de tous les groupes de heavy metal; ils étaient les leaders du genre, respectés non seulement par les headbangers, mais par les acheteurs et les critiques de disques traditionnels.

 

Metallica : Load et Re-load 

Aucun autre groupe de heavy metal n’a jamais réussi un tel exploit. Cependant, le groupe a perdu une partie de son public principal avec son suivi tant attendu de Metallica , 1996’s Load .

L’album déplace le groupe vers le rock alternatif en termes d’image – les membres du groupe se coupent les cheveux et se font prendre en photo par Anton Corbijn . Bien que l’album ait été un succès dès sa sortie d’été, entrant dans les palmarès au premier rang et se vendant à trois millions d’exemplaires en deux mois, certains membres de la « fan base » de Metallica s’est plainte du changement d’image, ainsi que de la décision du groupe de faire le Lollapalooza.

Metallica concert

Metallica concert

Re-Load , qui combinait du nouveau matériel avec des chansons qui n’avaient pas été enregistrées par Load , est apparu en 1997; malgré de mauvaises critiques, il s’est vendu à un rythme généralement soutenu et a donné naissance à plusieurs singles à succès, dont « Fuel » et « The Memory Remains ».

 

Metallica : Garage Inc, une collection de faces B

Garage Inc.,une collection de faces B, de raretés et de covers re enregistrées, a suivi en 1998. La prise de Metallica sur « Turn the Page » de Bob Seger a aidé à maintenir leur présence dans les charts, et le groupe a poursuivi son flot de produits avec S&M en 1999 avec l’Orchestre symphonique de San Francisco .

L’album fait ses débuts dans les charts directement en seconde position, reconfirmant l’immense popularité du groupe.

 

Metallica concert – Festival de Nîmes

 

Metallica : St. Anger

Metallica a passé la majeure partie de 2000 dans la controverse en menant une attaque judiciaire contre Napster, un service de partage de fichiers qui permettait aux utilisateurs de télécharger des fichiers musicaux à partir de leurs ordinateurs respectifs.

Ciblant de manière agressive la violation des droits d’auteur de leur propre matériel, Metallica a notoirement fait condamner plus de 300 000 utilisateurs, créant un débat généralisé sur la disponibilité de la musique numérique qui a fait rage pendant la majeure partie de l’année.

En janvier 2001, le bassiste Jason Newsted a annoncé son départ amical du groupe. Peu de temps après que le groupe soit apparu aux ESPN Awards en avril de la même année, Hetfield , Hammett et Ulrichest entré dans le studio d’enregistrement pour commencer à travailler sur leur prochain album, avec le producteur Bob Rock qui s’occupera de la basse pour les sessions (pendant ce temps, des rumeurs circulaient sur l’ancien bassiste Ozzy Osbourne / Alice in Chains Mike Inez étant envisagé pour le poste vacant).

En juillet, Metallica a abandonné son procès contre Napster, sentant peut-être que leur position controversée faisait plus de mal que de bien à leur image de « groupe du peuple ».

Le même été, les sessions d’enregistrement du groupe (et toutes les autres questions liées au groupe) ont été suspendues alors que Hetfield entrait dans un centre de réadaptation non divulgué pour alcoolisme et autres dépendances. Il a terminé le traitement et a rejoint Metallica alors qu’ils retournaient au studio en 2002 pour enregistrer St. Anger , qui était sorti mi-2003.

L’enregistrement de St. Anger a été couronné par la recherche d’un remplaçant permanent pour Newsted . Après un long processus d’audition, l’ancien bassiste d’ Ozzy Osbourne / Suicidal Tendencies , Robert Trujillo, a été sélectionné et a rejoint Metallica pour leur tournée mondiale 2003-2004.

 


Les douleurs croissantes que le groupe a connues pendant l’enregistrement de St. Anger ont été capturées dans le célèbre documentaire Some Kind of Monster , qui a vu le jour en 2004. Quatre ans plus tard, le groupe est revenu avec Death Magnetic, un album énergique qui a ramené le groupe à ses racines du début des années 80.

L’ancien producteur de Slayer , Rick Rubin, a dirigé l’album, après avoir remplacé le producteur de longue date du groupe, Bob Rock , tandis que Kirk Hammett (à qui il était interdit de jouer des solos de guitare sur St.Anger ) a parsemé le disque de riffs métalliques et de solos frénétiques.

 

Metallica : Death Magnetic

Death Magnetic a passé trois semaines numéro un des charts Billboard et le groupe l’a soutenu avec une vaste tournée internationale qui comprenait un concert de festival avec Slayer , Megadeth et Anthrax .

Metallica a conclu son contrat Warner avec Death Magnetic – les extraits des sessions sont apparus sous le nom de Beyond Magnetic EP fin 2011 – et alors qu’ils exploraient leurs options, ils ont entamé une collaboration avec Lou Reed , libérant l’ambitieux et arty Lulu dans à l’automne 2011.

 

En 2012, Metallica a lancé son propre label, Blackened, qui serait distribué par Universal; puis, l’année suivante, ils ont annoncé la sortie de leur deuxième film, Through the Never , qui combinait des images de concert spectaculaires d’eux explosant à travers les joyaux de leur catalogue arrière avec une odyssée surréaliste de road-trip avec Dane DeHaan.

Le film et l’album de la bande originale qui l’accompagne sont sortis en septembre 2013.
Au cours des prochaines années, Metallica a joué le concert occasionnel de haut niveau alors qu’ils travaillaient sur un nouvel album studio.

En 2016, le groupe a lancé une série de rééditions étendues, à commencer par les éditions de luxe de Kill ‘Em All et Ride the Lightning . Ces rééditions étaient le préambule de la publication de novembre de Hardwired … To Self-Destruct , un double album qui fut la première nouvelle musique du groupe en huit ans.

Produit par Greg Fidelman , James Hetfield et Lars Ulrich , Hardwired … To Self-Destruct a fait ses débuts au numéro un dans le monde lors de sa sortie en novembre 2016. L’année suivante, le groupe a sorti une édition massive et élargie de leur LP historique de 1986, Master of Puppets .

L’histoire continue pour Metallica…

 


 

Eric CANTO Photographe : Photos de concerts, portraits, pochettes d’albums.

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FAQ sur Metallica

1. Qui est Metallica ?

Metallica est un groupe de heavy metal américain formé en 1981 à Los Angeles, en Californie. Les membres fondateurs du groupe étaient le chanteur et guitariste James Hetfield et le batteur Lars Ulrich, qui ont ensuite été rejoints par le guitariste Kirk Hammett et le bassiste Robert Trujillo.

Le groupe est devenu célèbre dans les années 1980 et 1990 pour leur style musical rapide et agressif, leurs paroles puissantes et leurs performances scéniques énergiques.

2. Quel est le style musical de Metallica ?

Metallica est souvent considéré comme un pionnier du thrash metal, un sous-genre du heavy metal qui se caractérise par des tempos rapides, des riffs de guitare puissants et une agressivité générale. Le groupe est également connu pour son utilisation de solos de guitare complexes et ses paroles sombres et introspectives.

3. Quels sont les membres actuels de Metallica ?

Les membres actuels de Metallica sont James Hetfield (chant, guitare rythmique), Lars Ulrich (batterie), Kirk Hammett (guitare solo) et Robert Trujillo (basse). Le groupe n’a pas changé de formation depuis l’arrivée de Trujillo en 2003, faisant de cette période la plus longue période de stabilité dans l’histoire de Metallica.

4. Quel est l’album le plus vendu de Metallica ?

Le cinquième album studio de Metallica, « Metallica« , communément appelé le « Black Album », est l’album le plus vendu du groupe à ce jour. Sorti en 1991, l’album comprend des chansons comme « Enter Sandman », « The Unforgiven » et « Nothing Else Matters », qui sont devenues des classiques du genre.

« Metallica » s’est vendu à plus de 30 millions d’exemplaires dans le monde entier et a propulsé le groupe au rang de superstar mondial.

5. Quelles sont les chansons les plus populaires de Metallica ?

Metallica a sorti de nombreux tubes tout au long de leur carrière, mais quelques-unes des chansons les plus populaires du groupe comprennent « Enter Sandman », « Master of Puppets », « One », « Nothing Else Matters », « The Unforgiven » et « Fade to Black ».

Ces chansons sont souvent considérées comme des classiques du genre et sont régulièrement jouées lors des concerts de Metallica.

6. Quels sont les prix et distinctions remportés par Metallica ?

Metallica a remporté de nombreux prix et distinctions au cours de sa carrière. Ils ont remporté neuf Grammy Awards, dont deux pour le meilleur album de heavy metal. En 2009, ils ont été intronisés au Rock and Roll Hall of Fame, et en 2018, ils ont reçu le prix Polar Music de la musique, qui est considéré comme le prix Nobel de la musique.

7. Quelle est l’histoire de la rivalité entre Metallica et Megadeth ?

Metallica et Megadeth sont deux groupes de thrash metal qui ont émergé de la scène musicale de la baie de San Francisco dans les années 1980. Dave Mustaine, le fondateur de Megadeth, était en fait un ancien membre de Metallica, mais a été renvoyé du groupe en 1983 en raison de conflits personnels.

Cette rupture a engendré une rivalité entre les deux groupes qui a duré des années, alimentée par des interviews publiques et des chansons dissidentes. Cependant, au fil du temps, les relations entre les membres des deux groupes se sont améliorées et la rivalité s’est atténuée.

8. Quel est l’impact de Metallica sur la musique métal ?

Metallica est considéré comme l’un des groupes les plus influents de l’histoire du heavy metal. Leur style musical rapide et agressif a inspiré de nombreux groupes de thrash metal et de sous-genres connexes, tandis que leurs paroles sombres et introspectives ont également eu un impact sur les paroles de nombreux groupes de métal.

Metallica est également connu pour leur approche innovante de l’industrie musicale, notamment leur utilisation précoce d’Internet pour communiquer avec leurs fans.

9. Quel est l’avenir de Metallica ?

Bien que les membres de Metallica soient tous dans la cinquantaine ou la soixantaine, le groupe continue de tourner et d’enregistrer de la musique. Ils ont récemment sorti leur dixième album studio, « Hardwired… to Self-Destruct », en 2016, et ont fait plusieurs tournées mondiales depuis lors.

Bien que l’avenir de Metallica soit incertain, les membres du groupe ont exprimé leur intention de continuer à faire de la musique et à jouer des concerts pour leurs fans.

 

La Photo artistique

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La photo artistique est une photographie créée conformément à la vision du photographe en tant qu’artiste, utilisant la photographie comme moyen d’expression créative.

Le but de la photo artistique est d’exprimer une idée, un message ou une émotion. Cela contraste avec la photographie figurative, comme le photojournalisme, qui fournit une relation visuelle documentaire de thèmes et d’événements spécifiques, représentant littéralement la réalité objective, et non l’intention subjective du photographe; et la photographie commerciale dont le but principal est la publicité de produits ou de services.

 

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L’invention de la photo artistique : Les années 40

Un historien de la photographie a affirmé que « le premier représentant des » beaux-arts « ou de la photographie de composition était John Edwin Mayall », qui a exposé des daguerréotypes représentant la prière du Seigneur en 1851.  » Margaret Cameron, Charles Lutwidge Dodgson et Oscar Gustave Rejlander et d’autres Aux États-Unis, F. Holland Day, Alfred Stieglitz et Edward Steichen ont aidé à faire de l’art photographique, et Stieglitz était particulièrement connu pour être inclus dans les collections du musée.

 

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La photo artistique dans les années 60

En 1960, la photographie n’était pas vraiment considérée comme des beaux-arts en Grande-Bretagne.
Le Dr SD Jouhar a déclaré lors de la fondation de la Société des beaux-arts de la photographie – «La photographie n’est plus considérée aujourd’hui que comme de l’artisanat. la photographie a été reconnue comme beaux-arts dans certains quartiers officiels, elle est présentée dans les galeries et expositions comme de l’art. Dans ce salon de Londres, il n’y a pas de reconnaissance appropriée pour la photographie d’image, mais elle n’est généralement pas comprise comme de l’art.

Que l’œuvre ait ou non une valeur esthétique, elle s’appelle « photographie d’image », terme très ambigu. Le photographe lui-même doit avoir confiance en son travail, en sa dignité et en sa valeur esthétique, ce qui l’oblige à être reconnu comme un art plutôt que comme un métier.  »

 

Photo artistique 3

 

La photo artistique dans les années 70

Jusqu’à la fin des années 1970, plusieurs espèces dominaient, comme les nus, les portraits et les paysages naturels (illustrés par Ansel Adams). Les artistes révolutionnaires vedettes des années 1970 et 1980, tels que Sally Mann, Robert Mapplethorpe, Robert Farber et Cindy Sherman, s’appuyaient toujours sur ces genres, même s’ils les regardaient avec des yeux neufs.

D’autres ont étudié une approche esthétique immédiate. Des organisations américaines telles que l’Aperture Foundation et le Museum of Modern Art ont fait beaucoup pour maintenir la photographie à la pointe des beaux-arts. La création du département photographie par le MOMA en 1940. La première nomination de Beaumont Newhall comme premier conservateur est souvent citée comme une confirmation institutionnelle du statut de la photographie en tant qu’art.

 

La Photo artistique

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De nos jours…

Actuellement, il y a une tendance à régler et à éclairer soigneusement l’image, au lieu d’espérer la « découvrir » prête.

Des photographes comme Gregory Crewdson et Jeff Wall sont connus pour la qualité des oeuvres exposées. De plus, les nouvelles tendances technologiques de la photographie numérique ont ouvert une nouvelle direction dans la photographie à spectre complet, où un filtrage minutieux des choix par ultraviolet, visible et infrarouge conduit à de nouvelles visions artistiques.

Comme la technologie d’impression s’est améliorée depuis environ 1980, les tirages d’art reproduits dans un livre finement imprimé à partir d’une édition limitée sont devenus le sujet d’intérêt des collectionneurs.

Selon Art Market Trend en 2005, 7.000 photos artistique ont été vendues dans des salles de vente aux enchères, et les photos ont enregistré une augmentation annuelle moyenne de 7,6% en 1994-2004. Environ 80% des photo artistique ont été vendus aux États-Unis. Bien entendu, les enchères ne représentent qu’une fraction du total des ventes privées.

Il existe actuellement un marché de collectionneurs de photo artistique en plein développement dans lequel les photographes les plus recherchés créeront des tirages d’archives de haute qualité dans des éditions strictement limitées.

 

La Photo artistique

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Les tentatives des vendeurs d’art en ligne pour vendre de belles photos au grand public ainsi que des tirages d’images ont produit des résultats mitigés, avec de fortes ventes provenant uniquement de «grands noms» traditionnels de la photographie, comme Ansel Adams.

En plus du «mouvement numérique» vers la manipulation, le filtrage ou les changements de résolution, certains grands artistes recherchent intentionnellement un «naturaliste», y compris «l’éclairage naturel» comme une valeur en soi.

Parfois, une œuvre d’art, comme dans le cas de Gerhard Richter, consiste en une image photographique, qui a ensuite été peinte avec des peintures à l’huile et / ou a une signification politique ou historique au-delà de l’image même elle-même. L’existence de «peint avec une projection photographique» brouille désormais la frontière entre peinture et photographie, traditionnellement absolue.

 

Photo artistique 2

 

 

Taille du cadre et impression

Jusqu’au milieu des années 1950, les photos artistiques étaient largement considérées comme un encadrement vulgaire et prétentieux de photographies à exposer dans la galerie.
Les impressions étaient généralement simplement collées sur un panneau ou du contreplaqué ou sur un cadre blanc dans la chambre noire, puis épinglées aux coins des panneaux d’affichage.

Les tirages ont donc été montrés sans les masquer par la réflexion du verre. La célèbre exposition de Steichen, The Family of Man, n’était pas encadrée, les peintures étaient collées sur les panneaux. Même en 1966, l’exposition MoMA de Bill Brandt n’était pas encadrée et de simples impressions étaient collées sur du contreplaqué fin.

Du milieu des années 1950 à environ 2000, la plupart des objets exposés dans la galerie étaient imprimés sur verre. Depuis 2000 environ, on observe une tendance notable à montrer des gravures de galeries modernes sur des planches et sans verre.

 

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Photo artistique et Politique

La photo artistique apparaît principalement comme une expression de la vision de l’artiste, mais en tant que sous-produit, elle joue un rôle important dans la réalisation de certaines des causes.

Un exemple est le travail d’Ansel Adams à Yosemite et Yellowstone. Adams est l’un des photographes les plus reconnaissables du 20e siècle et il était un ardent promoteur de la protection de la nature. Alors que son objectif principal était la photographie en tant qu’art, une partie de son travail a sensibilisé à la beauté de la Sierra Nevada et aidé à obtenir un soutien politique pour leur protection.

Cette photo a également eu un impact sur la censure et le droit à la liberté d’expression, en raison de son inquiétude pour le corps nu.

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Bien que la photo artistique puisse coïncider avec de nombreux autres types de photographie, le chevauchement de la photographie de mode et du photojournalisme mérite une attention particulière. En 1996, il a été annoncé qu ‘ »il y a eu récemment un flou entre l’illustration commerciale et la photographie artistique », notamment dans le domaine de la mode. Les preuves de chevauchement de la photo artistique et de la mode comprennent des conférences, expositions, foires, comme Art Basel Miami Beach et des livres.

L’essai photo et la photo artistique coïncident avec « la fin des années 1960 et 1970, lorsque … les photographes de presse ont pris contact avec la photographie et la peinture artistique ». En 1974, le Centre international de photographie a été ouvert, mettant l’accent à la fois sur le « photojournalisme humanitaire » et la « photographie artistique ».

 

Photo artistique 1

 

En 1987, « Des photos prises lors de missions pour des magazines et des journaux apparaissent régulièrement [ed.] – dans des cadres – sur les murs des musées et des galeries. » De nouvelles applications pour smartphone telles que Snapchat sont parfois utilisées pour la photographie artistique.

 

Bonus : Le travail d’Ansel Adams

Ansel Easton Adams (20 février 1902 – 22 avril 1984) Il était un photographe américain de paysage et d’environnement connu pour ses photos en noir et blanc de l’Ouest américain. Il a aidé à mettre en place le groupe f / 64, une association de photographes prônant la photographie « propre » qui favorisait la mise au point nette et l’utilisation de toute la gamme tonale de la photographie.

En collaboration avec Fred Archer, ils ont développé un système de création d’image exigeant appelé système zonal, une méthode pour obtenir l’impression finale souhaitée par une compréhension technique approfondie de la façon dont la gamme tonale est enregistrée et développée dans l’exposition, le développement négatif et les impressions. La clarté et la profondeur qui en résultent caractérisent sa photographie.

Photo artistique : Ansel Adams

Photo artistique : Ansel Adams

 

Adams a toujours été un défenseur de la protection de l’environnement, et sa pratique photographique était profondément liée à cette intercession. À l’âge de 12 ans, il a reçu son premier appareil photo lors de sa première visite au parc national de Yosemite. Il a développé son premier travail photographique en tant que membre du Sierra Club. Il a ensuite été employé par le Département américain de l’intérieur pour photographier les parcs nationaux. Pour son travail acharné et son soutien, qui ont contribué à étendre le réseau de parcs nationaux, il a reçu en 1980 la Médaille présidentielle de la liberté.

Adams a été un conseiller clé dans la création du département de photographie au Museum of Modern Art de New York, qui est une étape importante pour assurer la légitimité institutionnelle de la photographie. Il a aidé à organiser la première exposition de photos dans ce département, a contribué à la création du magazine de photographie Aperture et a été co-fondateur
le Center for Creative Photography de l’Université de l’Arizona

 


 

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