BOUTIQUE TIRAGES PHOTO DE CONCERTS & LIVRES
- ÉDITIONS LIMITÉES & SIGNÉES -

Tokyo International Foto Award

TOKYO INTERNATIONAL FOTO AWARDS
· GOLD WINNER 2025 ·


IPA International Photography Award

INTERNATIONAL PHOTOGRAPHY AWARDS
· PHOTO OF THE YEAR 2025 ·
· SILVER AWARD 2024 ·
Les Tirages Noir et Blanc
Les Livres & Reproductions
Les Tirages Couleur

“LE LIVE. EN TIRAGE D’ART.”

Photographies de concerts éditées en tirages limités, signées par l’auteur.

TIRAGES PHOTO DE CONCERTS, PAPIER FINE ART HAHNEMÜHLE, SIGNÉS ET NUMÉROTÉS.


Depuis plus de vingt ans, Eric Canto photographie la scène, des clubs aux grands festivals. Des images réalisées au plus près des artistes, sur scène comme en coulisses.

Chaque photographie est proposée en open édition ou en édition limitée à 30 exemplaires. Les tirages sont numérotés, signés par l’auteur et réalisés en impression fine art.
Impression qualité musée sur papier Fine Art Hahnemühle, 308g, 100% coton, sans acide et sans lignine, conforme ISO 9706, pour une conservation optimale dans le temps.

Tirage photo Fine Art Hahnemühle

STUDIO CERTIFIÉ

Les incontournables
de la galerie

Les plus demandés, l’essentiel de la boutique.


JAY-Z

Référence 00432
80€
✔ Papier fine art mat 100% coton
Choisir la version :
Option encadrement
En stock
1
JAY-Z
Détails du produit

Tirage "open édition" 21x30cm. Tirage signé. Papier Fine Art 100 % coton blanc mat avec marges blanches. Qualité musée pour la conservation.

Tirage d'art 40x60cm. Tirage signé et numéroté limité à 30 exemplaires avec certificat d'authenticité. Papier Fine Art 100% coton blanc mat avec marges blanches. Qualité musée pour la conservation.

Tirage d'art 50x70cm. Tirage signé et numéroté limité à 30 exemplaires avec certificat d'authenticité. Papier Fine Art 100% coton blanc mat sans marge blanche. Qualité musée pour la conservation.

Tirage d'art sur dibond 70x100cm signé et numéroté limité à 30 exemplaires avec certificat d'authenticité. Papier Fine Art 100% coton blanc mat sans marge blanche. Qualité musée pour la conservation.



À propos de Jay-Z

Puissance tranquille d’un empire né de la rue

Jay-Z, Shawn Carter, s’est imposé comme un cas à part dans le rap américain parce qu’il a refusé l’excès comme méthode. Son point de départ est connu, Brooklyn, Marcy Projects, une réalité dure, mais sa singularité vient de la façon dont il transforme cette matière en langage. Chez lui, la rue n’est pas un décor, c’est un système. Reasonable Doubt arrive à un moment où le rap new yorkais oscille entre vantardise et tragédie stylisée. Jay-Z choisit une troisième voie, la lucidité froide. Il parle d’argent comme d’un outil et d’un piège, pas comme d’une récompense morale. Il décrit le commerce illégal avec une précision de comptable, pas avec l’euphorie d’un conquérant. Ce n’est pas un album qui cherche l’admiration. C’est un album qui cherche la crédibilité, au sens strict, qu’on croit à ce qui est dit parce que c’est structuré, pesé, contradictoire.

Son écriture repose sur le détail et la coupe nette. Jay-Z ne remplit pas, il vise. Il construit des couplets comme des bilans, avec des équations où le gain cache toujours une perte. Il préfère la suggestion au slogan. Son flow participe de cette posture. Il est posé, parfois presque en retrait, comme s’il parlait depuis un pas de côté. Cette distance n’est pas un manque d’émotion, c’est une maîtrise. Jay-Z ne hurle pas pour exister, il verrouille le tempo, il impose une autorité qui tient sans forcer. Il rappe comme quelqu’un qui sait que le plus important n’est pas d’être entendu, mais d’être pris au sérieux.

Ce sérieux traverse sa carrière et explique pourquoi il n’a pas été avalé par sa propre légende. Jay-Z a compris tôt que la musique ne suffisait pas si les structures restaient aux mains d’autres. Roc-A-Fella puis Roc Nation ne sont pas seulement des entreprises, ce sont des réponses concrètes à l’industrie. Contrôler, distribuer, décider, c’est protéger la création. Dans ses textes, l’argent devient donc un sujet double, à la fois moteur, menace, preuve, et responsabilité. Il ne l’utilise pas pour briller, il l’utilise pour raconter ce qu’il coûte, ce qu’il impose, ce qu’il déplace.

De Reasonable Doubt à The Blueprint, le rap comme contrôle

Entre Reasonable Doubt et The Blueprint, Jay-Z installe une idée simple, le rap peut être adulte sans perdre sa force. Il ne s’agit pas d’être sage, il s’agit d’être précis. The Blueprint, souvent résumé à sa chaleur soul, fonctionne surtout comme une démonstration d’équilibre. Les productions paraissent accueillantes, mais les couplets restent durs, aiguisés, concentrés. Jay-Z y affine une manière de rapper qui repose sur la retenue, sur le placement, sur la capacité à faire sentir la domination sans la crier. Là où certains cherchent l’explosion, lui cherche la ligne claire.

Cette période affirme aussi une intelligence de situation. Jay-Z navigue dans un rap compétitif, parfois féroce, sans se laisser réduire à la posture du guerrier permanent. Il répond quand il faut, il se tait quand c’est plus efficace. Il sait que l’image se fabrique autant par ce qu’on fait que par ce qu’on refuse. C’est une approche qui tranche avec l’époque, et qui finit par redéfinir ce qu’on attend d’un rappeur installé, pas seulement un catalogue de morceaux, mais une cohérence de trajectoire.

American Gangster et 4:44, vieillir sans se caricaturer

Quand beaucoup d’artistes deviennent prisonniers de la période qui les a faits connaître, Jay-Z choisit le déplacement. American Gangster travaille un imaginaire américain, celui du criminel élégant, du self made man, de la réussite construite sur des zones grises. L’album n’est pas une glorification. Il ressemble davantage à une lecture critique, une façon de montrer le mythe et son revers, le prix, la paranoïa, l’isolement. Jay-Z y adopte un ton de narrateur, mais un narrateur qui ne se pardonne pas.

4:44 va plus loin parce qu’il expose l’intime et la faute. Infidélité, culpabilité, réparation, héritage familial, transmission. Jay-Z renonce à la posture de l’homme intouchable. Il parle comme un adulte qui doit répondre de ses actes. Dans un genre où la domination est souvent performée, accepter d’être faillible n’a rien d’un geste décoratif. C’est une manière de déplacer la définition de la force. Le disque ne cherche pas la confession facile. Il cherche la responsabilité, la conséquence, l’idée qu’un homme peut se corriger sans se renier.

Ce basculement s’inscrit dans une question plus large, que devient le rap quand ses figures principales refusent de rester figées dans la jeunesse. Jay-Z ne se contente pas de survivre à l’époque de ses débuts. Il cherche à rester pertinent, au sens strict, dire quelque chose qui corresponde au présent. Il ne s’abrite pas derrière la nostalgie. Il travaille le temps.

Sur scène, une autorité sans théâtre

Le concert chez Jay-Z n’est pas un concours d’agitation. Il n’a pas besoin de courir pour occuper l’espace. Son autorité vient de la stabilité, du regard, du placement, de la façon d’attaquer un couplet comme on scelle une décision. La scène devient un lieu de contrôle, pas un défouloir. Il laisse la foule faire le bruit, et lui tient la barre. Cette économie de gestes crée une tension particulière, le public comprend que l’énergie ne vient pas des artifices, mais de la maîtrise.

Il y a aussi une dimension de confrontation calme. Jay-Z observe la salle, il l’évalue, il la prend au sérieux. Il ne joue pas au copain. Il joue au patron du récit, celui qui dicte le rythme et impose la concentration. Cette façon de tenir un concert ressemble à son écriture, nette, serrée, sans surplus.

Regard du photographe

Photographier Jay-Z demande de comprendre que le spectaculaire n’est pas forcément dans le mouvement. Son corps parle peu, mais il dit beaucoup. Les photos fortes se jouent dans la mâchoire serrée, dans un regard qui découpe, dans une posture verticale qui tient le cadre. Le photographe doit travailler avec la lumière comme un scalpel, chercher des contrastes, isoler une expression, capter un instant où l’autorité devient visible sans effet de manche.

La difficulté est là, la scène bouge autour, la foule pulse, les écrans, les mains levées, les flashes, et Jay-Z reste souvent fixe. Il faut donc composer avec cette fixité, utiliser l’environnement pour renforcer la présence, cadrer serré quand le visage raconte, cadrer large quand la solitude au milieu de la masse devient le sujet. Dans ce type de photographie, l’important n’est pas de prouver qu’il se passe quelque chose, mais de montrer comment il tient quelque chose.

Pourquoi Jay-Z reste central

Jay-Z reste une figure clé parce qu’il a contribué à déplacer le rap vers une logique de durée. Il a montré qu’on pouvait bâtir une œuvre sur la retenue, sur la précision, sur l’analyse, sans abandonner l’impact. Il a aussi rappelé qu’une carrière ne se résume pas à une série de succès, mais à une suite de décisions, artistiques, économiques, publiques, personnelles. Il a traversé plusieurs âges du rap, la compétition frontale, l’industrialisation totale, le retour du récit intime, sans se dissoudre. Ce n’est pas une légende intouchable. C’est un artiste qui a compris que rester debout demande parfois de se contredire, de se déplacer, de se remettre en jeu.

Tirages d’art et papier Fine Art

Chaque tirage est réalisé sur papier Fine Art 100 pour cent coton, sans acide, afin d’assurer une stabilité de conservation sur le long terme. L’impression pigmentaire est choisie pour sa capacité à restituer des noirs profonds, des dégradés propres et une bonne tenue des couleurs dans le temps, avec une permanence annoncée d’au moins soixante quinze ans dans des conditions normales d’archivage. Ce type de papier, plus dense et plus stable qu’un support standard, permet de conserver la texture, la matière, et la nuance des zones sombres sans effet de brillance inutile.

Les tirages sont produits en édition limitée. Chaque exemplaire est numéroté et signé, puis accompagné d’un certificat d’authenticité mentionnant l’œuvre, le format, la technique d’impression et le numéro dans la série. Ce certificat formalise un engagement clair, pas de réimpression hors série, pas de duplication qui viendrait diluer la rareté. Avant validation, un contrôle couleur est effectué pour maintenir une cohérence entre les exemplaires, et garantir que l’intention initiale, contrastes, densité, détails, reste fidèle au résultat final. L’impression est réalisée en France, avec une attention portée à la régularité, à la qualité d’exécution et à la durabilité de l’objet, afin que le tirage reste une pièce de collection solide, lisible, stable, et pas un simple produit dérivé.

Les Tirages Couleur

Photographies couleur aux noirs veloutés, nuances riches et pigments éclatants. Chaque tirage reçoit une finition de niveau galerie, avec une présence visuelle qui habille l’espace plutôt qu’elle ne le décore. Une pièce pensée pour sublimer un intérieur, comme un accrochage privé.

À PROPOS DU PHOTOGRAPHE

  

D’abord guitariste, Eric CANTO se tourne vers la photographie en 2005. Très rapidement, la scène devient son terrain principal. Clubs, salles intermédiaires, grandes scènes et festivals internationaux, il photographie le concert comme un espace de tension, où tout se joue en quelques secondes. Au fil des années, il photographie de nombreux artistes majeurs de la scène internationale, parmi lesquels U2, Muse, Oasis, Metallica, Radiohead, Daft Punk, Lenny Kravitz, Elton John, P!nk ou Jay-Z. Ses images sont publiées dans des médias reconnus tels que Rolling Stone, Technikart, Rock Sound, BEST, PHOTO, The Sun ou Playboy.

Son travail est récompensé à l’international, notamment par un Gold Winner 2025 aux Tokyo International Foto Awards, ainsi que plusieurs distinctions aux International Photography Awards de Los Angeles, dont un Photo of the Year 2025 et un Silver Award 2024. Présent sur les grandes scènes européennes, Eric CANTO collabore régulièrement avec des festivals emblématiques comme le Hellfest, le Sonisphere, les Eurockéennes ou le Festival de Nîmes. Il accompagne également certains artistes sur le long terme. Le groupe Mass Hysteria lui confie ainsi la direction artistique de huit albums en treize ans, une collaboration durable qui témoigne d’une confiance rare entre un regard et une identité musicale.

Les tirages proposés sur ce site sont issus de ce travail mené sur scène comme en coulisses. Chaque photographie est éditée, numérotée et signée par le photographe, pour être conservée dans le temps.

Tirage photo noir et blanc

Les Tirages NOIR ET BLANC

Choisissez la profondeur du noir et blanc : des tirages Fine Art qui façonnent les visages, les gestes et les éclats de lumière avec une précision presque sculpturale. Un rendu dense, intemporel, pensé pour donner de la présence à l’image, comme une pièce accrochée en galerie.

“CHAQUE TIRAGE EST SIGNÉ PAR LE PHOTOGRAPHE”

La boutique réunit une sélection de photographies de concerts et d’artistes. Les tirages, proposés en open édition ou en édition limitée, sont imprimés à la demande sur papier Fine Art Hahnemühle 308 g, signés par l’auteur et édités exclusivement pour cette boutique.

Hahnemühle Certified Studio

le Papier : Qualité musée

Chaque tirage est imprimé sur papier Fine Art Hahnemühle 100 % coton, référence mondiale du tirage d’art haut de gamme. Ce papier d’exception offre des noirs profonds et une restitution fidèle des détails, conçus pour une conservation pouvant dépasser 100 ans dans des conditions de conservation adaptées.

Les impressions sont réalisées au sein d’un Hahnemühle Certified Studio, label attribué uniquement aux studios respectant les exigences techniques et qualitatives les plus strictes de la marque pour un rendu irréprochable.

  LA PRESSE PARLE DE ROADBOOK

“Des images sublimes”, MyRock Magazine Le livre 100% pop rock, RTL2 Livre du mois ★★★★, Playboy Livre du mois ★★★★, Best Magazine Livre du mois ★★★★, Rock Sound Mag Livre du mois ★★★★, Guitar Part “Un livre magnifique”, Plugged Magazine “Superbe”, Hard Force Sélection du mois, Batterie Mag Sélection de Noël, Bassiste Magazine “Véritable trésor…”, Guitare Sèche Magazine Sélection de Noël, Guitare Xtreme Magazine “Des photos MAgnifiques”, Bang Bang / RSTLSS
Bon Cadeau - Tirages Photo - Livres

Le BON CADEAU

Une invitation à offrir une œuvre, pas un simple cadeau.

Disponible immédiatement, prêt à être imprimé ou envoyé, il permet d’offrir un tirage photographique d’art ou un livre signé d’Eric CANTO, choisi librement sur la galerie en ligne.

Chaque tirage est réalisée à la demande, imprimée sur papier Fine Art Hahnemühle de qualité muséale, puis signée par l’auteur. Un objet pensé pour durer. Valable 12 mois sur l’ensemble de la boutique.

Livraison offerte

Transaction 100% sécurisée et cryptée

Tirages photo
sur mesure

Frais de port
offerts

Tirages réalisés
en France

Une question ?
Cliquez ici : FAQ