Depuis les débuts de la photographie, le portrait a été l’un des sujets les plus prisés des photographes. Et parmi les nombreux styles de portrait, le portrait noir et blanc reste une option populaire, même à l’ère de la photographie numérique.
Leportrait en noir et blanc offre un rendu intemporel et intemporel qui peut être à la fois élégant et dramatique. De plus, en utilisant cette technique, les photographes peuvent mettre en avant la texture, la forme et la composition de leur sujet sans que les couleurs ne viennent distraire le spectateur.
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Présentation du portrait en noir et blanc et de ses avantages
Le portrait en noir et blanc est une technique photographique classique qui consiste à réaliser des images sans utiliser de couleurs. Cette technique permet de mettre en avant les formes, les textures et les expressions des sujets, en se concentrant sur les nuances de gris et de blanc.
Le portrait en noir et blanc offre un rendu intemporel et élégant, qui peut être à la fois dramatique et émotionnellement puissant.
Cette technique peut être utilisée pour créer des portraits de famille, des portraits d’artistes, des portraits de mariage, des portraits d’animaux, ou tout autre type de portrait. Les avantages du portrait en noir et blanc sont multiples : il offre une esthétique classique et intemporelle, il permet de se concentrer sur les expressions et les émotions des sujets, il est idéal pour les photographes qui souhaitent se démarquer en offrant une approche artistique de leur travail.
Comment réussir un portrait en noir et blanc
La clé pour créer un portrait en noir et blanc réussi est de comprendre comment les couleurs se traduisent en nuances de gris dans une photographie. Les tons clairs deviennent blancs et les tons sombres deviennent noirs, tandis que les couleurs intermédiaires se transforment en différentes nuances de gris.
Il est important de prêter attention à l’éclairage et aux ombres lors de la prise de vue, car cela peut avoir un impact significatif sur les contrastes et les tons de gris dans la photographie finale. En utilisant une lumière douce et en évitant les reflets indésirables, les photographes peuvent créer une image nette et claire qui met en valeur les contours et les détails de leur sujet.
Le post-traitement est également essentiel pour obtenir un portrait en noir et blanc réussi. En ajustant la luminosité, le contraste et la saturation des couleurs, les photographes peuvent affiner leur image et la rendre plus expressive.
Portrait noir et blanc
Les avantages du portrait noir et blanc pour le référencement
En tant que photographe, le portrait en noir et blanc peut être un excellent moyen de se démarquer de la concurrence en offrant une approche artistique et classique pour capturer les émotions et les caractéristiques de vos sujets.
En ce qui concerne le référencement, les photographes peuvent bénéficier de la popularité des termes de recherche liés au portrait en noir et blanc.
En utilisant des mots-clés pertinents dans le contenu de leur site web et dans les descriptions de leurs images, les photographes peuvent améliorer leur visibilité dans les moteurs de recherche et attirer des clients potentiels à la recherche de portraits en noir et blanc.
Portrait noir et blanc
Pourquoi choisir un portrait en noir et blanc ? Avantages artistiques et esthétiques
Le portrait en noir et blanc offre plusieurs avantages artistiques et esthétiques, qui expliquent pourquoi de nombreux photographes choisissent cette technique pour créer des portraits.
Tout d’abord, le noir et blanc permet de se concentrer sur les formes et les textures du sujet, en éliminant toute distraction liée aux couleurs. Cela permet de créer des images intemporelles, qui ne sont pas limitées par les modes et les tendances actuelles. De plus, le noir et blanc permet de mettre en avant les contrastes et les ombres, créant ainsi une atmosphère dramatique et expressive.
Ensuite, le noir et blanc est idéal pour créer des portraits émotionnellement forts. En se concentrant sur les expressions et les émotions des sujets, le photographe peut capturer des images qui communiquent la personnalité et l’histoire de chaque individu.
Les portraits en noir et blanc peuvent ainsi être utilisés pour raconter une histoire, pour transmettre une émotion ou pour exprimer une certaine ambiance.
Portrait noir et blanc
Portrait noir et blanc : les bases techniques pour réussir. éclairage, ombres, contraste et post-traitement
Pour réussir un portrait en noir et blanc, il est important de maîtriser certaines bases techniques. Voici quelques éléments clés à prendre en compte :
Éclairage : L’éclairage est l’un des éléments les plus importants pour réussir un portrait en noir et blanc. Il est recommandé d’utiliser une lumière douce et directionnelle, comme la lumière naturelle ou une source lumineuse artificielle, pour créer des ombres et des contrastes marqués. Les lumières de studio peuvent également être utilisées pour contrôler l’éclairage de manière précise.
Ombres : Les ombres sont un élément essentiel pour créer des portraits en noir et blanc saisissants. Les ombres peuvent être utilisées pour créer des contrastes forts, donner de la profondeur et de la dimension à l’image, et ajouter de l’émotion et de la dramaturgie. Il est important de trouver l’équilibre entre les zones sombres et claires de l’image pour créer un portrait équilibré et harmonieux.
Contraste : Le contraste est l’un des éléments clés pour créer un portrait en noir et blanc réussi. Un contraste élevé peut donner une apparence dramatique à l’image, tandis qu’un contraste faible peut donner une apparence douce et romantique. Il est important de jouer avec les niveaux de contraste pour obtenir l’effet désiré.
Post-traitement : Le post-traitement est une étape importante pour créer un portrait en noir et blanc réussi. Il est recommandé d’utiliser des logiciels de traitement d’image pour ajuster le contraste, la luminosité, la saturation et la netteté de l’image. Il est important de trouver l’équilibre entre le post-traitement et la photo originale pour conserver l’aspect naturel et authentique de l’image.
En résumé, la maîtrise de l’éclairage, des ombres, du contraste et du post-traitement sont des éléments clés pour réussir un portrait en noir et blanc réussi. Il est important de pratiquer et d’expérimenter pour trouver les techniques qui conviennent le mieux à chaque situation de prise de vue.
Exemples de portraits en noir et blanc célèbres : une inspiration pour les photographes
Le portrait en noir et blanc est une technique photographique classique qui a été utilisée par de nombreux photographes célèbres pour créer des images puissantes et intemporelles. Voici quelques exemples de portraits en noir et blanc célèbres qui peuvent inspirer les photographes :
« Migrant Mother » de Dorothea Lange : Cette image est l’une des plus célèbres de l’histoire de la photographie. Elle montre une mère migrante pendant la Grande Dépression, avec ses enfants à côté d’elle. Cette image en noir et blanc est un exemple parfait de la puissance émotionnelle que peut avoir un portrait en noir et blanc.
« Che Guevara » de Alberto Korda : Ce portrait en noir et blanc de Che Guevara est devenu un symbole de la révolution cubaine et de la lutte contre l’injustice sociale. La composition simple et le contraste élevé créent une image puissante et iconique.
« Audrey Hepburn » de Philippe Halsman : Ce portrait en noir et blanc d’Audrey Hepburn est un exemple classique de l’esthétique élégante et intemporelle du portrait en noir et blanc. La composition simple et l’éclairage doux créent une image intemporelle et élégante.
« Albert Einstein » de Yousuf Karsh : Ce portrait en noir et blanc de l’un des plus grands scientifiques de l’histoire est un exemple de la capacité d’un portrait en noir et blanc à capturer la personnalité et l’essence d’un sujet. L’éclairage dramatique et la composition précise créent une image qui transmet la sagesse et l’intelligence du sujet.
Ces exemples de portraits en noir et blanc célèbres sont une source d’inspiration pour les photographes qui cherchent à créer des images puissantes et intemporelles. Ils montrent comment le portrait en noir et blanc peut être utilisé pour capturer l’essence et l’émotion des sujets de manière artistique et expressive.
Comment choisir son photographe pour un portrait en noir et blanc ?
Choisir un photographe pour un portrait en noir et blanc peut être une décision difficile, car il est important de trouver un professionnel compétent qui comprend vos attentes et qui peut réaliser le portrait que vous désirez. Voici quelques critères de sélection pour vous aider à trouver le photographe idéal :
Expérience : Recherchez un photographe qui a de l’expérience dans la photographie de portrait en noir et blanc. Les photographes expérimentés ont une connaissance approfondie de l’éclairage, des ombres, du contraste et du post-traitement, ce qui leur permet de créer des images exceptionnelles.
Portfolio : Examinez le portfolio du photographe pour voir s’il a des exemples de portraits en noir et blanc dans son travail. Cela vous donnera une idée de son style et de sa capacité à capturer l’essence d’un sujet en noir et blanc.
Communication : Assurez-vous que le photographe a une bonne communication avec vous. Il doit comprendre vos attentes et vos souhaits pour le portrait, et être en mesure de répondre à toutes vos questions.
Qualité : Recherchez un photographe qui utilise des équipements de qualité et qui travaille avec des techniques de traitement d’image modernes pour produire des images de haute qualité.
Coût : Assurez-vous que le photographe offre un tarif raisonnable et transparent pour ses services. Il est important de comprendre ce qui est inclus dans le coût et s’il y a des frais supplémentaires à prévoir.
Eric CANTO Photographe : Photos de concerts, portraits, pochettes d’albums.
Helmut Newton est un photographe de mode allemand, né le 31 octobre 1920 à Berlin et décédé le 23 janvier 2004 à Los Angeles. Il commence sa carrière de photographe à l’âge de 16 ans en travaillant pour la presse allemande.
Après avoir fui l’Allemagne nazie en 1938, il s’installe en Australie où il travaille pour des magazines tels que Vogue, Harper’s Bazaar et Elle.
Photos érotiquesEn 1957, il s’installe à Paris et commence à travailler pour de grandes marques de mode telles que Chanel, Yves Saint Laurent et Dior. Ses photographies sont connues pour leur esthétique provocante et érotique, mettant souvent en scène des femmes nues ou partiellement dénudées.
En 1981, il publie son premier livre « White Women » qui devient rapidement un best-seller. Il continue ensuite à publier de nombreux livres de photographies, notamment « Big Nudes » en 1981 et « Sumo » en 1999, un livre géant de plus de 400 pages qui est considéré comme le plus grand livre de photographies jamais publié.
Au cours de sa carrière, Helmut Newton a également travaillé pour des magazines de mode tels que Vogue, Vanity Fair et Playboy. Il a également réalisé des portraits de célébrités telles que Mick Jagger, Catherine Deneuve et David Bowie.
Helmut Newton a reçu de nombreuses distinctions pour son travail, notamment le prix de la photographie de mode de l’Association française pour le développement de l’art de la photographie (AFAP) en 1985 et le prix culturel de la Société allemande de photographie en 1999.
Il est décédé en 2004 à Los Angeles, à l’âge de 83 ans, dans un accident de la route. Son travail est toujours considéré comme une référence dans le domaine de la photographie de mode.
Importance de ses photos érotiques dans l’histoire de la photographie
Les photos érotiques d’Helmut Newton ont été très importantes dans l’histoire de la photographie, en raison de leur approche novatrice et provocante de la représentation de la sexualité.
Newton a créé un style de photographie qui a mis en avant l’esthétique de la provocation, de la sensualité et de l’érotisme, avec des images souvent très explicites, érotiques. Il a utilisé des techniques de composition, d’éclairage et de mise en scène pour créer des images audacieuses qui ont été très controversées à leur époque.
Ses photos de charme ont été considérées comme une rupture avec les conventions de la photographie de mode traditionnelle, qui était souvent plus douce et plus romantique. Newton a introduit des éléments de domination et de soumission dans ses images, qui ont été interprétées comme une critique de la culture patriarcale et du sexisme.
Ses photos ont également été importantes pour la représentation des femmes dans la photographie, en particulier en ce qui concerne la représentation de la sexualité féminine. Les femmes dans les photos de Newton étaient souvent très puissantes, dominantes et sexuellement libérées, ce qui était une rupture avec les stéréotypes de la femme soumise et passive souvent représentée dans la photographie de mode.
En résumé, les photos de charme d’Helmut Newton ont été importantes dans l’histoire de la photographie pour leur approche novatrice et provocante de la représentation de la sexualité, leur critique de la culture patriarcale et leur représentation des femmes en tant que figures de pouvoir et de liberté sexuelle.
Succès et reconnaissance internationale
Les photos érotiques d’Helmut Newton ont connu un grand succès et une reconnaissance internationale considérables. En effet, Newton a été l’un des photographes de mode les plus influents de son temps et ses photographies ont eu un impact significatif sur l’esthétique de la photographie de mode contemporaine.
Ses photos érotiques ont été publiées dans de nombreux magazines de mode prestigieux, tels que Vogue, Harper’s Bazaar, Elle et Playboy. Ses photographies ont également été exposées dans des galeries et des musées du monde entier, y compris au Museum of Contemporary Art de Chicago, au Centre Pompidou à Paris et au Museum für Fotografie à Berlin.
Photos érotiques d’Helmut Newton – Helmut Newton et ses photos érotiques
En 1981, il a publié son premier livre « White Women », qui a été un best-seller international et a connu un grand succès critique. Il a ensuite publié de nombreux autres livres de photographies, notamment « Big Nudes » en 1981, « Polaroids » en 1991 et « Sumo » en 1999, qui est considéré comme l’un des plus grands livres de photographies jamais publiés.
Au cours de sa carrière, Helmut Newton a reçu de nombreuses distinctions pour son travail, notamment le prix de la photographie de mode de l’Association française pour le développement de l’art de la photographie (AFAP) en 1985 et le prix culturel de la Société allemande de photographie en 1999. Il a également été nommé Commandeur de l’Ordre des Arts et des Lettres en France et a reçu la Médaille de l’Ordre du Mérite de Berlin.
En résumé, les photos érotiques d’Helmut Newton ont connu un succès et une reconnaissance internationale considérables, avec des publications dans des magazines de mode prestigieux, des expositions dans des galeries et des musées du monde entier, ainsi que des distinctions pour son travail.
Photos érotiques d’Helmut Newton – Helmut Newton et ses photos érotiques
Les thèmes érotiques de prédilection d’Helmut Newton
elmut Newton était connu pour ses photographies de charme provocatrices et érotiques, qui ont souvent été qualifiées de controversées. Ses thèmes de charme de prédilection incluaient principalement des femmes, souvent nues ou partiellement dévêtues, dans des poses provocantes et des environnements sophistiqués.
Newton avait une prédilection pour les femmes puissantes et fortes, et cela se reflétait dans ses photographies. Ses images présentaient souvent des femmes avec des poses dominantes et confiantes, posant dans des vêtements de haute couture et des accessoires luxueux. Il aimait également jouer avec les stéréotypes de genre, créant des images où les femmes étaient vues comme des personnages dominants et les hommes comme des personnages soumis.
Newton était également intéressé par la relation entre le sexe et le pouvoir, et cela se reflétait dans ses images. Il aimait créer des scènes où la sexualité était utilisée comme une forme de pouvoir ou de manipulation, avec des femmes séduisantes des hommes faibles ou vice versa.
Photos érotiques d’Helmut Newton – Helmut Newton et ses photos érotiques
Enfin, Newton aimait explorer les thèmes de la sexualité et de la transgression, créant des images qui étaient souvent considérées comme choquantes ou subversives. Il a utilisé des lieux inhabituels, tels que les rues et les parkings, pour créer des images provocatrices qui ont souvent été qualifiées de pornographiques ou d’obscènes.
En résumé, les thèmes de charme de prédilection d’Helmut Newton incluaient les femmes puissantes et confiantes, les stéréotypes de genre, la relation entre le sexe et le pouvoir, et la sexualité transgressive. Ses images ont souvent été considérées comme controversées en raison de leur nature érotique et de leur représentation de sujets tabous.
Les techniques photographiques d’Helmut Newton
Helmut Newton était un photographe connu pour sa maîtrise des techniques photographiques, qui ont été très influentes dans l’histoire de la photographie.
L’une des techniques les plus marquantes qu’il utilisait était l’éclairage, qu’il manipulait avec précision pour créer des effets dramatiques dans ses images. Il utilisait souvent des sources de lumière fortes et contrastées pour accentuer les formes et les textures des sujets, et pour créer des ombres denses et marquées.
Newton était également très méticuleux dans sa composition, travaillant avec un grand souci du détail pour créer des images dynamiques et équilibrées. Il avait une sensibilité particulière pour les lignes et les formes, et aimait jouer avec la symétrie et l’asymétrie pour créer des images saisissantes.
Photos érotiques d’Helmut Newton – Helmut Newton et ses photos érotiques
Il utilisait souvent des objectifs grand-angle pour capturer des images larges et panoramiques, qui donnaient une impression d’espace et de profondeur. Il était également connu pour sa manipulation de la profondeur de champ, créant des images nettes et précises avec des arrière-plans flous pour attirer l’attention sur le sujet principal de l’image.
Enfin, Newton était également connu pour sa capacité à travailler avec des modèles, en les dirigeant avec précision pour créer des poses dramatiques et expressives. Il avait une approche très professionnelle de la photographie de mode, travaillant avec des équipes de stylistes et de maquilleurs pour créer des images cohérentes et évocatrices.
En résumé, les techniques photographiques d’Helmut Newton étaient très maîtrisées et influentes, utilisant l’éclairage, la composition, la profondeur de champ et la direction de modèle pour créer des images dramatiques et provocantes.
Les influences d’Helmut Newton
Helmut Newton a été influencé par plusieurs courants artistiques et culturels qui ont marqué son travail et ont contribué à la création de son style unique.
Tout d’abord, Newton a été influencé par le mouvement surréaliste, dont les artistes ont cherché à créer des images qui défient la réalité et l’imaginaire. Il a souvent utilisé des éléments surréalistes dans ses photographies, créant des images qui étaient souvent étranges et dérangeantes.
Photos érotiques d’Helmut Newton – Helmut Newton et ses photos érotiques
Newton a également été influencé par la photographie de mode des années 1920 et 1930, qui se caractérisait par une esthétique sophistiquée et élégante. Il a cherché à réinterpréter ce style en y ajoutant une touche de provocation et de subversion, en créant des images qui étaient à la fois sophistiquées et provocantes.
En outre, Newton a été influencé par la culture populaire de son époque, notamment la musique rock et punk, ainsi que les films d’horreur et de science-fiction. Il a intégré ces influences dans ses photographies en créant des images qui étaient souvent sombres et macabres, mais qui avaient également une touche de glamour et de sophistication.
Enfin, Newton a été influencé par les femmes fortes et indépendantes, qu’il a souvent représentées dans ses photographies. Cette fascination pour les femmes fortes peut être attribuée en partie à son enfance passée en Allemagne nazie, où les femmes étaient souvent des figures importantes de la résistance et de la lutte contre l’oppression.
En résumé, les influences d’Helmut Newton comprennent le mouvement surréaliste, la photographie de mode des années 1920 et 1930, la culture populaire de son époque, ainsi que sa fascination pour les femmes fortes et indépendantes. Il a intégré ces influences dans son travail pour créer un style unique qui a été très influent dans l’histoire de la photographie.
Les Photos Érotiques D’Elmut Newton
Les Photos Érotiques D’Elmut Newton
Eric CANTO Photographe : Photos de concerts, portraits, pochettes d’albums.
Helmut Newton (1920-2004) était un photographe allemand connu pour son travail de mode, de portraits et de nus. Ses photographies sont souvent controversées et considérées comme érotiques en raison de leur contenu explicite et de leur esthétique provocante.
2. Quel était le style photographique d’Helmut Newton ?
Le style photographique d’Helmut Newton est caractérisé par des compositions fortes et graphiques, des poses et des expressions provocantes, ainsi qu’une esthétique sombre et cinématographique. Ses photographies étaient souvent prises en noir et blanc, ce qui renforçait leur caractère dramatique.
3. Quels sont les sujets abordés dans les photos érotiques d’Helmut Newton ?
Les photos érotiques d’Helmut Newton abordent des sujets tels que la sexualité, le pouvoir, l’identité de genre et les stéréotypes de genre. Ses photographies présentent souvent des femmes fortes et dominantes, ainsi que des hommes soumis ou impuissants.
4. Les photos érotiques d’Helmut Newton sont-elles considérées comme de l’art ou de la pornographie ?
La distinction entre l’art et la pornographie est souvent subjective et dépendante de la culture et des normes sociales. Les photos érotiques d’Helmut Newton ont été considérées à la fois comme de l’art et de la pornographie en fonction des points de vue individuels.
5. Quelle a été l’influence d’Helmut Newton sur la photographie contemporaine ?
L’influence d’Helmut Newton sur la photographie contemporaine a été considérable. Ses photographies ont inspiré de nombreux artistes et ont influencé le développement de l’esthétique de la photographie de mode et de la photographie érotique.
6. Les photos érotiques d’Helmut Newton ont-elles été critiquées ?
Les photos érotiques d’Helmut Newton ont été critiquées pour leur contenu explicite et leur représentation controversée des femmes et des hommes. Certaines personnes ont considéré ses photographies comme sexistes et offensantes, tandis que d’autres les ont défendues comme des représentations honnêtes et provocantes de la sexualité.
7. Les photos érotiques d’Helmut Newton ont-elles été exposées dans des musées ?
Les photographies d’Helmut Newton ont été exposées dans de nombreux musées et galeries du monde entier, notamment au Museum of Modern Art à New York, au Victoria and Albert Museum à Londres et au Centre Pompidou à Paris.
8. Comment les photos érotiques d’Helmut Newton ont-elles été reçues par le public ?
Les photos érotiques d’Helmut Newton ont été reçues de manière mitigée par le public. Certaines personnes ont été choquées ou offensées par leur contenu explicite, tandis que d’autres les ont appréciées pour leur esthétique provocante et leur représentation honnête de la sexualité.
9. Quel est l’héritage d’Helmut Newton dans la photographie érotique?
L’héritage d’Helmut Newton dans la photographie érotique est immense. Il a non seulement redéfini la photographie de mode, mais a également repoussé les limites de la photographie érotique en la transformant en une forme d’art sophistiquée.
Son style unique, caractérisé par un contraste élevé, des cadrages serrés et un sens aigu du pouvoir, a inspiré de nombreux autres photographes.
En plus de cela, Newton a également introduit une vision nouvelle et audacieuse de la sexualité féminine. Plutôt que de représenter les femmes comme des objets passifs de désir, il a créé des images de femmes puissantes et dominantes qui étaient clairement conscientes de leur propre sexualité et de leur pouvoir sur les hommes.
Cette représentation audacieuse de la sexualité féminine a été particulièrement radicale pour son époque et a contribué à briser les stéréotypes sexistes dans la photographie érotique.
Pourquoi les photos érotiques d’Helmut Newton ont-elles été critiquées?
Les photos érotiques d’Helmut Newton ont été critiquées pour leur contenu controversé et leur représentation de la sexualité. Certains critiques ont considéré ses images comme sexistes et offensantes pour les femmes.
Ils ont accusé Newton de promouvoir une vision rétrograde et dégradante de la sexualité féminine en la représentant comme un moyen de contrôle et de pouvoir sur les hommes.
D’autres ont critiqué la nature élitiste et hautaine de son travail, affirmant que ses images n’étaient destinées qu’à une audience de connaisseurs de l’art et qu’elles étaient déconnectées de la réalité des femmes ordinaires.
En fin de compte, cependant, il est impossible de nier l’importance des photos érotiques d’Helmut Newton dans l’histoire de la photographie et leur impact sur la représentation de la sexualité féminine.
Même si elles ont été critiquées pour leur contenu controversé, elles restent des œuvres d’art puissantes et influentes qui ont repoussé les limites de la photographie érotique.
Il y a eu de nombreux concerts légendaires en France au fil des ans. Il est difficile de réduire la liste à seulement 15, mais voici une sélection de certains des concerts les plus marquants et les plus populaires des meilleurs groupes de l’histoire de la musique en France, classés par ordre chronologique.
1. Concerts populaires des meilleurs groupes produits en France: The Beatles – Olympia (1964)
Le concert des Beatles à l’Olympia de Paris en 1964 a été un moment marquant de l’histoire de la musique. Le groupe déjà célèbre à l’époque, était dans le top 5 des meilleurs groupes du monde. Ce concert les a catapultés à un niveau de notoriété encore plus élevé. Il est et restera un des meilleurs groupes du monde.
Le concert des Beatles à l’Olympia de Paris en 1964 était un événement historique pour la musique en France. Il s’agissait de la première tournée du groupe en France, qui avait déjà conquis l’Amérique et le Royaume-Uni. Voici quelques détails sur ce concert mémorable :
Date : 16 janvier 1964
Lieu : L’Olympia de Paris
Nombre de spectateurs : Environ 2 000 personnes
Setlist : Le groupe a interprété des chansons telles que « I Want to Hold Your Hand », « She Loves You », « All My Loving » et « Twist and Shout ». Au total, le groupe a joué douze chansons pendant leur set.
Réception : Le concert des Beatles à l’Olympia a été un énorme succès, malgré les protestations de certains parents et membres de la presse qui ne comprenaient pas l’engouement pour ce groupe de rock anglais. La presse française a rapidement été conquise par les « Fab Four », et leur visite en France a été largement couverte par les médias.
Influence : Le concert des Beatles à l’Olympia a été une influence majeure pour de nombreux artistes français, qui ont été inspirés par le son et le style des Beatles. Certains ont même commencé à écrire des chansons en anglais pour atteindre une audience internationale, comme Serge Gainsbourg.
En bref, le concert des Beatles à l’Olympia de Paris en 1964 est devenu un moment clé de l’histoire de la musique en France et a contribué à populariser la musique pop et rock dans le pays.
Paul Mc Cartney
2. Concerts populaires des meilleurs groupes produits en France: Bob Dylan – Palais des Sports, Paris (1966)
Le concert de Bob Dylan au Palais des Sports de Paris en 1966 a été l’un des plus controversés de sa carrière. Dylan a été hué par le public français pour avoir joué de la musique électrique, mais ce concert est aujourd’hui considéré comme un moment historique dans l’histoire de la musique.
Le concert de Bob Dylan au Palais des Sports de Paris en 1966 était un événement controversé et mémorable pour plusieurs raisons. Voici quelques détails sur ce concert légendaire :
Date : 24 mai 1966
Lieu : Palais des Sports de Paris
Nombre de spectateurs : Environ 16 000 personnes
Setlist : Le concert a duré environ une heure et demie, et Dylan a joué des chansons de son album « Blonde on Blonde », ainsi que quelques morceaux plus anciens. Il a notamment interprété des chansons telles que « Rainy Day Women #12 & 35 », « Just Like a Woman » et « Ballad of a Thin Man ».
Réception : Le concert de Dylan a été marqué par des tensions entre l’artiste et le public français. En effet, une partie du public a commencé à protester contre le son électrique de Dylan, qui représentait un changement de style radical par rapport à ses précédents albums acoustiques. Certains ont même scandé des insultes et des slogans hostiles à Dylan. Cependant, une partie du public a également applaudi et soutenu Dylan.
Conséquences : Le concert de Dylan à Paris en 1966 a été considéré comme un tournant dans sa carrière, car il représentait une rupture avec son passé acoustique et un virage vers une musique plus électrique. Le concert a également influencé de nombreux musiciens français, qui ont été inspirés par l’audace de Dylan et ont cherché à explorer de nouveaux horizons musicaux.
En bref, le concert de Bob Dylan au Palais des Sports de Paris en 1966 a été un moment marquant de l’histoire de la musique en France, qui a suscité des réactions passionnées et a influencé de nombreux musiciens et fans.
3. Concerts populaires des meilleurs groupes produits en France: Pink Floyd – Parc des Expositions, Colmar (1971)
Le concert des Pink Floyd, un des meilleurs groupes des années 70, au Parc des Expositions de Colmar en 1971 était un événement légendaire pour le groupe et ses fans. Voici quelques détails sur ce concert mémorable :
Date : 29 octobre 1971
Lieu : Parc des Expositions de Colmar
Nombre de spectateurs : Environ 7 000 personnes
Setlist : Le groupe a joué des morceaux de leur album « Meddle », sorti quelques semaines auparavant, ainsi que quelques chansons plus anciennes. Ils ont notamment interprété des titres tels que « One of These Days », « Echoes » et « A Saucerful of Secrets ».
Réception : Le concert des Pink Floyd à Colmar a été très bien reçu par le public et la presse. Les fans ont été particulièrement impressionnés par la qualité de la performance et les effets visuels utilisés par le groupe, tels que les projections lumineuses et les lasers. Le concert a également marqué la première utilisation du fameux éclairage en forme de cercle que le groupe a utilisé lors de ses tournées ultérieures.
Influence : Le concert des Pink Floyd à Colmar a eu une influence durable sur la scène musicale française et européenne. Le groupe a ouvert la voie à une nouvelle ère de rock progressif, qui a été très populaire en France dans les années 1970. Leur utilisation innovante de l’éclairage et des effets visuels a également inspiré de nombreux groupes et artistes dans les années qui ont suivi.
En bref, le concert des Pink Floyd au Parc des Expositions de Colmar en 1971 est devenu un moment légendaire de l’histoire de la musique en France, qui a marqué l’histoire du rock progressif et influencé de nombreux musiciens et fans.
4. Concerts populaires des meilleurs groupes produits en France: The Who – Palais des Sports, Paris (1972)
Le concert de The Who au Palais des Sports de Paris en 1972 était leur premier concert en France. Le groupe a offert une performance explosive avec des morceaux tels que « Baba O’Riley » et « Won’t Get Fooled Again ».
Le concert de The Who au Palais des Sports de Paris en 1972 était un événement mémorable pour le groupe et ses fans. Voici quelques détails sur ce concert légendaire :
Date : 25 février 1972
Lieu : Palais des Sports de Paris
Nombre de spectateurs : Environ 13 500 personnes
Setlist : Le groupe a joué des morceaux de leur album « Who’s Next », ainsi que des chansons de leurs précédents albums. Ils ont notamment interprété des titres tels que « Baba O’Riley », « Won’t Get Fooled Again » et « My Generation ».
Réception : Le concert de The Who à Paris a été très bien reçu par le public et la presse. Les fans ont été particulièrement impressionnés par la qualité de la performance et l’énergie dégagée par le groupe, qui a donné une performance électrisante. Le concert a également été marqué par la destruction spectaculaire de certains instruments, une pratique courante pour le groupe à l’époque.
Influence : Le concert de The Who à Paris a eu une influence durable sur la scène musicale française et européenne. Le groupe a été l’un des pionniers du rock britannique et a influencé de nombreux musiciens et groupes qui ont suivi. Leur utilisation innovante de la guitare électrique et leur énergie scénique ont été des inspirations pour de nombreux musiciens.
En bref, le concert de The Who au Palais des Sports de Paris en 1972 est devenu un moment légendaire de l’histoire de la musique en France, qui a marqué l’histoire du rock britannique et influencé de nombreux musiciens et fans. The Who est également un des meilleurs groupes au monde.
5. Concerts populaires des meilleurs groupes produits en France: The Rolling Stones – Hippodrome de Vincennes, Paris (1976)
Le concert des Rolling Stones à l’Hippodrome de Vincennes en 1976 était leur premier concert en France depuis cinq ans, et le public était en ébullition. Le groupe a offert une performance explosive qui a captivé les fans français.
Le concert des Rolling Stones à l’Hippodrome de Vincennes de Paris en 1976 était un événement mémorable pour les fans et le groupe lui-même. Voici quelques détails sur ce concert légendaire :
Date : 4 juin 1976
Lieu : Hippodrome de Vincennes, Paris
Nombre de spectateurs : Environ 80 000 personnes
Setlist : Le concert a duré environ deux heures et demie et a été marqué par des chansons des albums des Stones des années 1960 et 1970, ainsi que des titres plus récents de l’album « Black and Blue ». Ils ont notamment interprété des chansons telles que « Jumpin’ Jack Flash », « Brown Sugar » et « Satisfaction ».
Réception : Le concert a été très bien reçu par le public et la presse. Les fans ont été impressionnés par l’énergie et la présence scénique du groupe, qui a livré une performance électrique et inoubliable. Le concert a également été marqué par un grand spectacle, avec des feux d’artifice et des effets visuels époustouflants.
Influence : Le concert des Rolling Stones à Vincennes a eu une influence durable sur la scène musicale française et européenne. Il a été considéré comme un point culminant de l’ère du rock’n’roll classique, et a influencé de nombreux artistes et groupes qui ont suivi. Le concert a également été une étape importante pour les Stones eux-mêmes, qui ont continué à être l’un des groupes les plus influents et les plus populaires du monde.
En bref, le concert des Rolling Stones à l’Hippodrome de Vincennes de Paris en 1976 reste un moment légendaire de l’histoire de la musique en France, qui a marqué l’histoire du rock’n’roll et influencé de nombreux musiciens et fans. Les Rolling Stones resteront dans le top 5 des meilleurs groupes de musique.
6. Concerts populaires des meilleurs groupes produits en France: AC/DC – Palais Omnisports de Paris-Bercy (1984)
Le concert d’AC/DC à Paris-Bercy en 1984 a été un moment légendaire dans l’histoire du hard rock. Le groupe était au sommet de sa forme, offrant une performance électrisante et mémorable pour les fans français.
Le concert d’AC/DC au Palais Omnisports de Paris-Bercy en 1984 était un événement mémorable pour le groupe et ses fans. Voici quelques détails sur ce concert légendaire :
Date : 22 septembre 1984
Lieu : Palais Omnisports de Paris-Bercy
Nombre de spectateurs : Environ 17 000 personnes
Setlist : Le groupe a joué des chansons de leur album « Back in Black », ainsi que des titres de leurs précédents albums. Ils ont notamment interprété des morceaux tels que « Highway to Hell », « Whole Lotta Rosie » et « Hells Bells ».
Réception : Le concert d’AC/DC à Paris-Bercy a été très bien accueilli par le public et la presse. Les fans ont été impressionnés par l’énergie et la présence scénique du groupe, qui a donné une performance électrisante. Le concert a également été marqué par des effets pyrotechniques impressionnants et une ambiance survoltée.
Influence : Le concert d’AC/DC à Paris-Bercy a eu une influence durable sur la scène musicale française et européenne. Le groupe a été l’un des pionniers du hard rock et du heavy metal, et a influencé de nombreux musiciens et groupes qui ont suivi. Leur énergie scénique et leur attitude rock’n’roll ont été une source d’inspiration pour de nombreux fans de musique.
En bref, le concert d’AC/DC au Palais Omnisports de Paris-Bercy en 1984 reste un moment légendaire de l’histoire du rock en France, qui a marqué l’histoire du hard rock et du heavymetal et influencé de nombreux musiciens et fans. AC/DC figurant au dans le top 10 des meilleurs groupes du monde de hard rock.
7. Concerts populaires des meilleurs groupes produits en France: Bruce Springsteen – Palais Omnisports de Paris-Bercy (1985)
Le concert de Bruce Springsteen à Paris-Bercy en 1985 était une expérience inoubliable pour les fans français de rock. Le « Boss » a offert une performance énergique avec un mélange de chansons classiques et de nouvelles chansons.
Le concert de Bruce Springsteen au Palais Omnisports de Paris-Bercy en 1985 était un événement marquant pour le Boss et ses fans. Voici quelques détails sur ce concert légendaire :
Date : 29 mai 1985
Lieu : Palais Omnisports de Paris-Bercy
Nombre de spectateurs : Environ 16 000 personnes
Setlist : Le concert a inclus des chansons de son album « Born in the USA », ainsi que des titres de ses précédents albums. Il a également interprété une reprise de « Twist and Shout » des Beatles. Les fans ont été ravis de voir Springsteen jouer ses morceaux phares, tels que « Dancing in the Dark », « Born to Run » et « Thunder Road ».
Réception : Le concert de Springsteen à Paris-Bercy a été acclamé par les fans et la presse. Springsteen a livré une performance énergique et passionnée, avec des solos de guitare électrisants et des moments émouvants. Les fans ont chanté en chœur avec Springsteen tout au long du concert, créant une ambiance électrique.
Influence : Le concert de Springsteen à Paris-Bercy a eu une influence importante sur la scène musicale française et européenne. Le Boss a été considéré comme l’un des artistes les plus influents de son époque, et son énergie scénique et son lyrisme ont inspiré de nombreux musiciens et fans. Le concert de Paris-Bercy est également connu pour être l’un des meilleurs concerts de Springsteen de tous les temps.
En bref, le concert de Bruce Springsteen au Palais Omnisports de Paris-Bercy en 1985 reste un moment légendaire de l’histoire du rock en France, qui a marqué l’histoire du rock américain et influencé de nombreux musiciens et fans.
8. Concerts populaires des meilleurs groupes produits en France: Nirvana – Théâtre de l’Empire, Paris (1991)
Le concert de Nirvana au Théâtre de l’Empire de Paris en 1991 était le premier concert de la bande en France. Le groupe a offert une performance enflammée et chaotique qui a laissé une impression durable sur les fans français.
Le concert de Nirvana au Théâtre de l’Empire à Paris en 1991 était un événement important pour le groupe et pour le grunge en général. Voici quelques détails sur ce concert légendaire :
Date : 14 novembre 1991
Lieu : Théâtre de l’Empire, Paris
Nombre de spectateurs : Environ 400 personnes
Setlist : Le groupe a joué des chansons de son album « Nevermind », ainsi que des morceaux de ses précédents albums. Ils ont également interprété des reprises, dont « The Money Will Roll Right In » de Fang et « Love Buzz » de Shocking Blue. Le concert a été marqué par une ambiance intime et intense, avec Kurt Cobain qui a invité les fans à se rapprocher de la scène.
Réception : Le concert de Nirvana au Théâtre de l’Empire a été un moment clé dans l’histoire de la musique alternative. Le groupe était encore relativement peu connu en France à l’époque, mais le concert a été acclamé par les fans et la presse. Les critiques ont souligné l’énergie brute et la spontanéité du groupe, ainsi que le charisme de Cobain.
Influence : Le concert de Nirvana au Théâtre de l’Empire a eu une influence durable sur la scène alternative française et européenne. Le grunge était en train de devenir un mouvement musical majeur, et Nirvana était l’un des groupes phares de cette scène. Le concert a contribué à renforcer la réputation de Nirvana en France, et a inspiré de nombreux musiciens et fans.
En bref, le concert de Nirvana au Théâtre de l’Empire à Paris en 1991 reste un moment clé de l’histoire de la musique alternative, qui a marqué l’histoire du grunge et inspiré de nombreux musiciens et fans en France et dans le monde entier. Nirvana est toujours l’un des meilleurs groupes du monde.
Nirvana
9. Concerts populaires des meilleurs groupes produits en France: Johnny Hallyday – Parc des Princes, Paris (1993)
Le concert de Johnny Hallyday au Parc des Princes de Paris en 1993 était l’un des plus grands spectacles jamais réalisés dans ce stade. Le « Taulier » a offert une performance épique avec un mélange de chansons classiques et de nouvelles chansons.
Le concert de Johnny Hallyday au Parc des Princes à Paris en 1993 était un événement majeur pour le chanteur français et ses fans. Voici quelques détails sur ce concert légendaire :
Date : 18 juin 1993
Lieu : Parc des Princes, Paris
Nombre de spectateurs : Environ 60 000 personnes
Setlist : Le concert a inclus des chansons de différents albums de Johnny Hallyday, ainsi que des reprises de chansons célèbres. Les fans ont été ravis de voir leur idole jouer des morceaux phares, tels que « Allumer le feu », « Que je t’aime », « Laura » et « Oh Marie ».
Réception : Le concert de Johnny Hallyday au Parc des Princes a été un événement majeur pour la scène musicale française. Hallyday était l’un des chanteurs les plus populaires de son époque, et le concert a été acclamé par les fans et la presse. Hallyday a livré une performance énergique et passionnée, avec une mise en scène spectaculaire comprenant des feux d’artifice, des écrans géants et des chorégraphies.
Influence : Le concert de Johnny Hallyday au Parc des Princes a eu une influence durable sur la scène musicale française. Hallyday a été considéré comme l’un des artistes les plus influents de son époque, et son énergie scénique et son charisme ont inspiré de nombreux musiciens et fans. Le concert de Paris est également connu pour être l’un des meilleurs concerts de Hallyday de tous les temps.
En bref, le concert de Johnny Hallyday au Parc des Princes à Paris en 1993 reste un moment légendaire de l’histoire de la musique française, qui a marqué l’histoire du rock français et inspiré de nombreux musiciens et fans. Le concert est également considéré comme l’un des plus grands événements de la carrière de Hallyday.
Johnny et les vieilles canailles
10. Concerts populaires des meilleurs groupes produits en France: Daft Punk – Palais Omnisports de Paris-Bercy (2007)
Le concert de Daft Punk à Paris-Bercy en 2007 était une expérience inoubliable pour les fans français de musique électronique. Le groupe a offert une performance visuellement spectaculaire avec des lumières et des lasers époustouflants.
Le concert de Daft Punk au Palais Omnisports de Paris-Bercy en 2007 était un événement majeur pour le duo électronique français et ses fans. Voici quelques détails sur ce concert légendaire :
Date : 14 juin 2007
Lieu : Palais Omnisports de Paris-Bercy, Paris
Nombre de spectateurs : Plus de 17 000 personnes
Setlist : Le concert a présenté les plus grands tubes de Daft Punk, tels que « One More Time », « Harder, Better, Faster, Stronger » et « Around the World », ainsi que des morceaux de leur album « Human After All ». Le concert était accompagné d’un impressionnant spectacle visuel, comprenant des lasers, des écrans géants et des costumes futuristes.
Réception : Le concert de Daft Punk à Paris a été acclamé par la critique et les fans. Les médias ont salué l’aspect spectaculaire du concert, en particulier la mise en scène futuriste et les effets visuels. Le concert a également marqué la fin de la tournée « Alive 2007 » de Daft Punk, qui a été l’une des plus grandes tournées de l’année.
Influence : Le concert de Daft Punk à Paris a eu une influence durable sur la musique électronique et la scène musicale française. Le duo a été considéré comme l’un des actes les plus importants de l’histoire de la musique électronique, et leur concert a renforcé leur position en tant qu’innovateurs dans le domaine. Le spectacle visuel et la mise en scène de leur concert ont également inspiré de nombreux artistes et ont contribué à définir l’esthétique futuriste de la musique électronique.
En résumé, le concert de Daft Punk au Palais Omnisports de Paris-Bercy en 2007 est considéré comme l’un des concerts les plus mémorables de l’histoire de la musique électronique française. La mise en scène futuriste et les effets visuels spectaculaires ont contribué à faire de ce concert une expérience inoubliable pour les fans de Daft Punk et les amateurs de musique électronique. Daft Punk restera un des meilleurs groupes de musique électronique toujours cité en référence.
11. Concerts populaires des meilleurs groupes produits en France: U2 – Stade de France, Paris (2009)
Le concert de U2 au Stade de France de Paris en 2009 a été l’un des plus grands spectacles jamais réalisés dans ce stade. Le groupe a offert une performance épique avec un mélange de chansons classiques et de nouvelles chansons.
Le concert de U2 au Stade de France à Paris en 2009 était une étape de leur tournée « 360° Tour », qui a été l’une des plus grandes tournées de tous les temps. Voici quelques détails sur ce concert :
Date : 11 juillet 2009
Lieu : Stade de France, Paris
Nombre de spectateurs : Plus de 95 000 personnes
Setlist : Le concert a présenté des tubes de U2 tels que « Vertigo », « Beautiful Day » et « With or Without You », ainsi que des chansons de leur album à succès « The Joshua Tree ». Le spectacle était également accompagné d’une scénographie impressionnante comprenant une immense structure en forme de toile d’araignée, des écrans géants et des effets pyrotechniques.
Réception : Le concert de U2 à Paris a été acclamé par la critique et les fans. Les médias ont salué la qualité de la performance de U2, ainsi que la mise en scène spectaculaire et l’impressionnante scénographie. Le concert a également été un succès commercial, battant des records de vente de billets pour un événement musical en France.
Influence : Le concert de U2 à Paris a eu une influence durable sur la musique et la scène musicale. La tournée « 360° Tour » a été l’une des plus grandes tournées de tous les temps, avec plus de 7 millions de spectateurs dans le monde entier. Le spectacle et la scénographie ont également inspiré de nombreux artistes, en particulier dans le domaine de la pop et du rock.
En résumé, le concert de U2 au Stade de France en 2009 était un événement majeur pour le groupe et leurs fans, et a été l’un des concerts les plus marquants de l’histoire de la musique. La performance de U2, un des meilleurs groupes de la scène internationale, ainsi que la mise en scène et la scénographie spectaculaires, ont contribué à faire de ce concert une expérience inoubliable pour les spectateurs et ont influencé la musique et la scène musicale pour les années à venir.
U2
12. Concerts populaires des meilleurs groupes produits en France: Prince – Palais Omnisports de Paris-Bercy (2011)
Le concert de Prince à Paris-Bercy en 2011 était le dernier concert de sa tournée européenne « Welcome 2 America ». Le spectacle était rempli d’énergie et de puissance, mettant en valeur la voix incroyable de Prince et sa virtuosité musicale.
Le concert de Prince au Palais Omnisports de Paris-Bercy en 2011 était une étape de sa tournée « Welcome 2 America », qui a été l’une de ses dernières tournées avant sa mort en 2016. Voici quelques détails sur ce concert :
Date : 30 juin 2011
Lieu : Palais Omnisports de Paris-Bercy, Paris
Nombre de spectateurs : Environ 17 000 personnes
Setlist : Le concert a présenté un mélange de chansons classiques de Prince, telles que « Purple Rain », « Kiss » et « When Doves Cry », ainsi que des chansons de son album « Welcome 2 America », qui n’était pas encore sorti à l’époque. Le spectacle était également accompagné de danseurs, d’un grand écran vidéo et d’effets lumineux.
Réception : Le concert de Prince à Paris a été acclamé par la critique et les fans. La performance de Prince a été saluée pour sa virtuosité musicale et son énergie sur scène. Les médias ont également souligné l’importance de Prince pour la musique pop et sa capacité à réunir un public diversifié.
Influence : Le concert de Prince à Paris a eu une influence durable sur la musique et la scène musicale. Prince était connu pour ses performances légendaires et sa capacité à mélanger différents genres musicaux, et ce concert en est un excellent exemple. Le spectacle a également été l’un des derniers de Prince en Europe avant sa mort en 2016, ce qui ajoute à son importance historique.
En résumé, le concert de Prince au Palais Omnisports de Paris-Bercy en 2011 était un événement majeur pour les fans de Prince et la scène musicale en général. La performance de Prince, la mise en scène spectaculaire et la diversité de la setlist ont contribué à faire de ce concert une expérience inoubliable pour les spectateurs et ont influencé la musique et la scène musicale pour les années à venir.
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13. Concerts populaires des meilleurs groupes produits en France: Radiohead – Arènes de Nîmes (2012)
Le concert de Radiohead aux Arènes de Nîmes en 2012 était un moment mémorable dans l’histoire de la musique alternative. Le groupe, célèbre et considéré comme une référence parmi les meilleurs groupes du monde, a offert une performance intense et poignante, jouant des chansons de leur album « The King of Limbs » ainsi que des classiques plus anciens.
Le concert de Radiohead aux Arènes de Nîmes en 2012 était une étape de leur tournée « The King of Limbs ». Voici quelques détails sur ce concert :
Date : 10 juillet 2012
Lieu : Arènes de Nîmes, Nîmes
Nombre de spectateurs : Environ 16 000 personnes
Setlist : Le concert a présenté un mélange de chansons de différents albums de Radiohead, avec une concentration particulière sur leur album « The King of Limbs ». Le groupe a également interprété quelques-unes de leurs chansons les plus populaires, telles que « Karma Police » et « Paranoid Android ». Le concert était également accompagné d’effets visuels impressionnants et d’un système de sonorisation puissant.
Réception : Le concert de Radiohead à Nîmes a été acclamé par la critique et les fans. La performance du groupe a été saluée pour son énergie et son intensité, ainsi que pour la qualité de la musique et de la production. Les médias ont également souligné l’importance de Radiohead pour la musique populaire et leur capacité à innover constamment.
Influence : Le concert de Radiohead à Nîmes a eu une influence durable sur la musique et la scène musicale. Radiohead était connu pour ses performances intenses et expérimentales, et ce concert en est un excellent exemple. Le spectacle a également été salué pour sa production innovante, qui a utilisé des effets visuels et sonores de pointe pour créer une expérience immersive pour les spectateurs.
En résumé, le concert de Radiohead aux Arènes de Nîmes en 2012 était un événement important pour les fans de Radiohead et la scène musicale en général. La performance énergique du groupe, la mise en scène innovante et la qualité de la musique ont contribué à faire de ce concert une expérience inoubliable pour les spectateurs et ont influencé la musique et la scène musicale pour les années à venir. Radiohead restera un des meilleurs groupes de la scène musicale.
Tom Yorke de Radiohead
14. Concerts populaires des meilleurs groupes produits en France: Metallica – Stade de France, Paris (2012)
Le concert de Metallica au Stade de France de Paris en 2012 a été l’un des plus grands spectacles jamais réalisés dans ce stade. Le groupe a offert une performance explosive avec des morceaux tels que « Master of Puppets » et « Enter Sandman ».
Le concert de Metallica au Stade de France en 2012 était une étape de leur tournée « World Magnetic Tour ». Voici quelques détails sur ce concert :
Date : 12 mai 2012
Lieu : Stade de France, Paris
Nombre de spectateurs : Environ 80 000 personnes
Setlist : Le concert a présenté un mélange de chansons de différents albums de Metallica, avec une concentration particulière sur leur album « Black Album », sorti en 1991. Le groupe a également interprété quelques-unes de leurs chansons les plus populaires, telles que « Enter Sandman » et « Master of Puppets ». Le concert était également accompagné d’un spectacle visuel impressionnant et d’un système de sonorisation puissant.
Réception : Le concert de Metallica au Stade de France a été très bien accueilli par la critique et les fans. La performance du groupe a été saluée pour son énergie et son intensité, ainsi que pour la qualité de la musique et de la production. Les médias ont également souligné la longévité de Metallica et leur capacité à rester pertinents dans l’industrie de la musique pendant plus de 30 ans.
Influence : Le concert de Metallica au Stade de France a eu une influence durable sur la musique et la scène musicale. Metallica était connu pour ses performances intenses et leur capacité à mélanger différents genres musicaux, et ce concert en est un excellent exemple. Le groupe a également été salué pour sa production innovante, qui a utilisé des effets visuels et sonores de pointe pour créer une expérience immersive pour les spectateurs.
En résumé, le concert de au Stade de France en 2012 était un événement majeur pour les fans de Metallica, un des meilleurs groupes de la scène metal et la scène musicale en général. La performance énergique du groupe, la mise en scène innovante et la qualité de la musique ont contribué à faire de ce concert une expérience inoubliable pour les spectateurs et ont influencé la musique et la scène musicale pour les années à venir.
Metallica
15. Concerts populaires des meilleurs groupes produits en France: Beyoncé – Stade de France, Paris (2016)
Le concert de Beyoncé au Stade de France de Paris en 2016 était un spectacle éblouissant et époustouflant. La chanteuse a offert une performance dynamique avec des danses incroyables
Le concert de Beyoncé au Stade de France en 2016 était une étape de sa tournée mondiale « Formation World Tour ». Voici quelques détails sur ce concert :
Date : 21 juillet 2016
Lieu : Stade de France, Paris
Nombre de spectateurs : Environ 75 000 personnes
Setlist : Le concert a présenté un mélange de chansons de différents albums de Beyoncé, avec une concentration particulière sur son album « Lemonade », sorti la même année. Elle a également interprété quelques-unes de ses chansons les plus populaires, telles que « Crazy in Love » et « Single Ladies ». Le concert était également accompagné d’un spectacle visuel impressionnant, avec des costumes et des chorégraphies élaborés.
Réception : Le concert de Beyoncé au Stade de France a été très bien accueilli par la critique et les fans. La performance de Beyoncé a été saluée pour son énergie et sa puissance, ainsi que pour la qualité de la production et des effets visuels. Les médias ont également souligné le message politique et social du spectacle, qui a abordé des thèmes tels que le féminisme et les droits des Noirs.
Influence : Le concert de Beyoncé au Stade de France a eu une influence durable sur la musique et la culture pop. Beyoncé était déjà connue pour ses performances énergiques et ses messages politiques, mais ce concert en est un excellent exemple. La mise en scène élaborée et la qualité de la production ont également influencé la façon dont les concerts pop sont réalisés et présentés. Enfin, le concert a également inspiré une nouvelle génération de fans de Beyoncé et a renforcé sa position en tant que l’une des artistes les plus influentes de sa génération.
En résumé, le concert de Beyoncé au Stade de France en 2016 était un événement majeur pour les fans de musique pop et la culture pop en général. La performance puissante de Beyoncé, la mise en scène impressionnante et les messages politiques ont contribué à faire de ce concert une expérience inoubliable pour les spectateurs et ont influencé la musique et la culture pop pour les années à venir.
Eric CANTO Photographe : Photos de concerts, portraits, pochettes d’albums.
1. Pour suivre les concerts de votre artiste préféré: Scrutez ses réseaux sociaux
La plupart des artistes annoncent leurs tournées sur les réseaux sociaux, notamment sur Facebook, Twitter et Instagram. En suivant les pages officielles de votre artiste préféré, vous pourrez être informé des dates de tournée et des billets en vente. N’hésitez pas à vous inscrire à leur newsletter pour être sûr de ne rien manquer.
Pour les non-initiés, voici quelques étapes pour suivre votre artiste préféré sur les réseaux sociaux :
Recherchez le nom de l’artiste sur les réseaux sociaux : La plupart des artistes ont des comptes sur les principales plateformes de réseaux sociaux tels que Facebook, Twitter, Instagram, YouTube, etc.
Suivez le compte de l’artiste : Cliquez sur le bouton « Suivre » ou « Abonné(e) » sur le profil de l’artiste pour commencer à recevoir les mises à jour de ses publications.
Activez les notifications : Si vous souhaitez être informé(e) en temps réel des publications de l’artiste, vous pouvez activer les notifications en cliquant sur l’icône en forme de cloche sur son profil.
Rejoignez les groupes de fans : Sur Facebook ou d’autres plateformes, il est possible de rejoindre des groupes de fans dédiés à l’artiste que vous aimez. Cela peut vous permettre d’être informé(e) des dernières nouvelles, des dates de concerts, des sorties de nouveaux albums, etc.
Utilisez des hashtags : Les artistes et les fans utilisent souvent des hashtags spécifiques sur les réseaux sociaux pour discuter de leur musique. Vous pouvez utiliser ces hashtags pour trouver des publications, des photos et des vidéos liées à votre artiste préféré.
En suivant ces étapes, vous pourrez facilement suivre votre artiste préféré sur les réseaux sociaux et être au courant de toutes ses dernières actualités.
Les magazines de musique sont aussi de bonnes sources d’informations. Ils vous permettent de suivre les concerts de votre artiste préféré.
2. Pour suivre les concerts de votre artiste préféré: Utilisez les sites de billetterie en ligne
Les sites de billetterie en ligne, tels que Ticketmaster, Fnac Spectacles ou Digitick, sont des moyens pratiques et rapides pour acheter des billets de concert. Ils vous permettent de rechercher les concerts par artiste, ville ou salle de concert et de réserver vos places en ligne. Il est important de noter que ces sites facturent souvent des frais de réservation.
Il existe plusieurs billetteries en France pour acheter des billets de concert. Voici une liste non exhaustive des billetteries les plus populaires :
Pour suivre les concerts de votre artiste préféré, il est important de noter que certaines billetteries sont spécifiques à certaines salles de concert ou à certains événements, il peut donc être utile de vérifier auprès de l’organisateur de l’événement ou de la salle de concert pour connaître les options de billetterie disponibles.
Et pour les plus jeunes, le PASS CULTURE vous permet de suivre les concerts de votre artiste préféré!
3. Pour suivre les concerts de votre artiste préféré: Consultez les sites de salles de concert
Les salles de concert ont souvent leur propre site web, sur lequel vous pouvez trouver des informations sur les événements à venir, les artistes et la disponibilité des billets. Certaines salles de concert proposent également des abonnements pour plusieurs concerts à un prix réduit.
Voici quelques-unes des grandes salles de concerts en à Paris :
L’AccorHotels Arena à Paris (anciennement Bercy) : Cette salle est l’une des plus grandes en France, avec une capacité de 20 000 places. Elle accueille des concerts de musique, des événements sportifs et des spectacles.
Le Zénith de Paris : Situé dans le parc de la Villette, le Zénith de Paris est l’une des plus grandes salles de concert de la ville, avec une capacité de 6 293 places. Elle est également connue pour ses productions de théâtre et de danse.
La salle Pleyel: Située dans le 8ème arrondissement de Paris, la salle Pleyel est une salle de concert historique inaugurée en 1927. Elle a été rénovée en 2006 et dispose d’une capacité d’environ 2 000 places assises. Elle est connue pour son acoustique exceptionnelle et son architecture Art Déco.
Le Grand Rex: Également situé dans le 8ème arrondissement de Paris, Le Grand Rex est une salle de cinéma et de spectacle construite en 1932. Avec une capacité de plus de 2 700 places, elle est la plus grande salle de cinéma d’Europe. Le Grand Rex est connu pour son intérieur Art Déco, son écran géant et son atmosphère unique.
L’Olympia: Située dans le 9ème arrondissement de Paris, L’Olympia est l’une des salles de concert les plus célèbres de France. Elle a ouvert ses portes en 1888 et a accueilli des artistes tels que Édith Piaf, Jacques Brel et The Beatles. Avec une capacité d’environ 1 800 places, L’Olympia est connue pour son histoire riche et sa scène iconique en forme de coquillage.
Le Trianon: Situé dans le 18ème arrondissement de Paris, Le Trianon est une salle de concert et de spectacle qui a ouvert ses portes en 1894. Elle a été rénovée en 2009 et dispose d’une capacité d’environ 1 000 places assises. Le Trianon est connu pour son décor élégant et sa programmation variée, allant du rock au jazz en passant par la musique électronique.
Le Trianon
Le Stade de France à Saint-Denis : Bien qu’il soit principalement utilisé pour les événements sportifs, le Stade de France peut accueillir des concerts de musique en plein air, avec une capacité pouvant atteindre 80 000 personnes.
Le Palais des Sports de Paris : Le Palais des Sports est une salle de spectacle située dans le 15ème arrondissement de Paris. Elle peut accueillir jusqu’à 4 500 personnes et est souvent utilisée pour les concerts de musique populaire.
En province, voici les plus grandes salles de concerts:
La Halle Tony Garnier à Lyon : Avec une capacité de plus de 17 000 places, la Halle Tony Garnier est l’une des plus grandes salles de concert de France. Elle a accueilli des concerts de nombreux artistes célèbres, tels que Johnny Hallyday et Céline Dion.
Le Zénith de Toulouse: Inauguré en 1999, le Zénith de Toulouse est situé à Blagnac, en banlieue de Toulouse. Il dispose d’une capacité de plus de 11 000 places assises et debout. La salle est équipée d’un système de son et de lumière de pointe et accueille des concerts de tous genres musicaux.
Le Zénith de Nantes Métropole: Situé dans la ville de Saint-Herblain, le Zénith de Nantes Métropole a ouvert ses portes en 2006. Il peut accueillir jusqu’à 9 000 personnes assises et debout et est équipé d’une technologie de son et de lumière de pointe. La programmation de la salle comprend des concerts, des spectacles de danse et de cirque, ainsi que des événements sportifs.
Le Zénith de Strasbourg Europe: Inauguré en 2008, le Zénith de Strasbourg Europe est situé dans le quartier Wacken de Strasbourg. Il peut accueillir jusqu’à 12 079 spectateurs assis ou debout. La salle est équipée d’une technologie de son et de lumière de pointe et accueille des concerts, des spectacles de danse et de cirque, ainsi que des événements sportifs.
Le Zénith Sud de Montpellier: Situé dans la ville de Montpellier, le Zénith Sud a ouvert ses portes en 1986. Il dispose d’une capacité d’environ 7 000 places assises et debout et est équipé d’un système de son et de lumière de pointe. La programmation de la salle comprend des concerts, des spectacles de danse et de cirque, ainsi que des événements sportifs.
Le Zénith de Rouen: Ouvert en 2001, le Zénith de Rouen est situé dans la ville de Le Grand-Quevilly, à proximité de Rouen. Il peut accueillir jusqu’à 8 000 spectateurs assis et debout et est équipé d’un système de son et de lumière de pointe. La programmation de la salle comprend des concerts, des spectacles de danse et de cirque, ainsi que des événements sportifs.
Les arènes de Nîmes: Les Arènes de Nîmes sont un amphithéâtre romain antique situé dans la ville de Nîmes, dans le sud de la France. Ils ont été construits au premier siècle après J.-C. et peuvent accueillir environ 24 000 personnes. Aujourd’hui, les Arènes de Nîmes sont utilisées comme salle de concert pour des artistes de renommée internationale tels que Elton John, Sting, Phil Collins, ou encore Metallica. Ils sont également utilisés pour des festivals de musique et d’autres événements culturels.
Il y a bien sûr de nombreuses autres salles de concerts en France, mais celles-ci figurent parmi les plus grandes et les plus populaires.
4. Pour suivre les concerts de votre artiste préféré: Recherchez les festivals de musique
Les festivals de musique sont un excellent moyen de découvrir de nouveaux artistes, de suivre les concerts de votre artiste préféré, et de profiter de performances live en plein air. En France, il existe de nombreux festivals de musique, tels que Rock en Seine, Les Vieilles Charrues, Solidays, les Déferlantes du Sud, Le Main Square Festival…
Vous pouvez consulter les sites web de ces festivals pour obtenir des informations sur les artistes et acheter des billets. Voici quelques-uns des plus grands festivals de musique en France :
Les Vieilles Charrues : Ce festival de musique a lieu chaque année en juillet dans la ville de Carhaix, en Bretagne. Il attire des milliers de spectateurs et présente une grande variété de styles musicaux, allant du rock au hip-hop en passant par la musique électronique.
Le Festival de Cannes : Bien qu’il soit surtout connu pour son prestigieux festival de cinéma, la ville de Cannes accueille également chaque année un important festival de musique. Le Festival de Cannes de la Musique Électronique, ou Cannes Dance Event, attire des artistes de renom et des milliers de spectateurs.
Rock en Seine : Ce festival de musique rock a lieu chaque année à la fin de l’été, au Domaine National de Saint-Cloud, à proximité de Paris. Il propose une programmation variée avec des artistes nationaux et internationaux.
Les Eurockéennes de Belfort: Ce festival de musique rock et pop se déroule chaque année dans la ville de Belfort, en Franche-Comté, en juillet. Il accueille des artistes de renommée internationale et a une grande notoriété en France.
La Route du Rock : Ce festival de musique rock et pop a lieu chaque année à Saint-Malo, en Bretagne. Il se déroule en août et propose une programmation variée avec des artistes émergents et confirmés.
Le festival de Nîmes: Le Festival de Nîmes est un festival de musique qui a lieu chaque été dans la ville de Nîmes, dans le sud de la France. Il se déroule généralement en juin et juillet, et propose une programmation variée avec des artistes de renommée nationale et internationale.
Depuis sa création en 1997, le festival a accueilli des artistes tels que Bob Dylan, Neil Young, Sting, Elton John, Depeche Mode, Muse et bien d’autres. Le festival se déroule dans un cadre exceptionnel, les Arènes de Nîmes, un amphithéâtre romain du 1er siècle qui peut accueillir jusqu’à 16 000 spectateurs. Les concerts ont lieu en soirée, avec une ambiance magique créée par les lumières et la vue imprenable sur les arènes.
Les Arènes de Nîmes
Les Arènes de Nîmes
Les Arènes de Nîmes
Les Arènes de Nîmes
Le Hellfest:le Hellfest est un festival de musique de heavy metal qui a lieu chaque année en juin dans la ville de Clisson, dans le département de la Loire-Atlantique en France. Depuis sa création en 2006, il est rapidement devenu l’un des plus grands festivals de heavymetal au monde. Le Hellfest propose une programmation impressionnante avec des artistes de renommée internationale, des groupes émergents et des légendes du heavy metal. Les genres musicaux présentés vont du thrash metal au black metal en passant par le death metal et le metalcore.
Le Hellfest se déroule sur trois jours, avec une atmosphère unique et festive. Le festival propose plusieurs scènes, des stands de nourriture et de boissons, des animations et des zones de détente pour les festivaliers. Le festival attire chaque année plus de 60 000 fans de heavy metal venus de partout dans le monde pour vivre une expérience musicale unique et intense.
Il y a bien sûr de nombreux autres festivals de musique en France, mais ceux-ci figurent parmi les plus grands et les plus populaires.
5. Pour suivre les concerts de votre artiste préféré: Planifiez à l’avance
Les billets pour les concerts les plus populaires se vendent souvent rapidement, il est donc important de planifier à l’avance. Lorsque les billets sont mis en vente, n’hésitez pas à les acheter immédiatement pour éviter la déception. Si vous n’êtes pas sûr de pouvoir assister au concert à une date donnée, il peut être judicieux d’acheter une assurance billet pour vous protéger en cas d’empêchement.
Planifier une sortie à un concert de musique peut être une expérience amusante et agréable. Voici quelques étapes clés pour vous aider à vous organiser :
Choisissez le concert : Trouvez un concert qui vous intéresse et assurez-vous qu’il convient à votre budget et à votre emploi du temps.
Achetez les billets : Achetez les billets pour le concert dès que possible pour vous assurer une place et pour bénéficier de tarifs avantageux.
Vérifiez les détails de l’événement : Vérifiez les détails de l’événement, tels que l’emplacement, l’heure de début, les artistes et les restrictions éventuelles. Assurez-vous également d’avoir des informations sur le transport, le stationnement et l’hébergement si nécessaire.
Habillez-vous en conséquence : Habillez-vous confortablement et en fonction du style de musique et du lieu de l’événement. Assurez-vous d’avoir des vêtements appropriés pour la météo et les conditions de la salle.
Prévoyez les dépenses : Prévoyez les dépenses supplémentaires telles que la nourriture, les boissons, les souvenirs et les transports. Apportez suffisamment d’argent liquide ou une carte bancaire pour couvrir ces dépenses.
Arrivez à l’heure : Arrivez suffisamment tôt pour éviter le stress et pour profiter de l’ambiance avant le début du concert.
Respectez les règles de la salle : Respectez les règles de la salle de concert, notamment en ce qui concerne l’utilisation des téléphones portables et des appareils photo. Certaines salles interdisent les enregistrements vidéo et audio.
Profitez de l’événement : Profitez de l’ambiance et des performances des artistes en vous relaxant et en vous amusant.
Prenez soin de vous : Prenez soin de votre santé en vous hydratant, en évitant l’alcool excessif et en prenant des pauses si nécessaire.
Rentrez en sécurité : Assurez-vous de rentrer chez vous en toute sécurité après le concert, en utilisant les transports en commun ou en demandant à un ami de vous raccompagner si nécessaire.
En suivant ces étapes, vous pourrez planifier une sortie réussie à un concert de musique.
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6. Pour suivre les concerts de votre artiste préféré: Profitez de l’expérience du concert
Assister à un concert est une expérience inoubliable, alors assurez-vous de profiter pleinement de l’événement. Arrivez tôt pour profiter de l’ambiance et pour éviter les longues files d’attente. N’oubliez pas de vous hydrater et de manger avant le concert pour être en forme. Enfin, soyez prêt à vous amuser et à chanter avec votre artiste préféré.
Assister à un concert de musique est une expérience unique et excitante. Voici donc quelques conseils simples, pour bien profiter de cette expérience :
Arrivez tôt : Arrivez suffisamment tôt pour vous installer confortablement et profiter de l’ambiance avant le début du concert. N’oubliez pas de passer par la case WC avant le début du concert.
Habillez-vous confortablement : Portez des vêtements confortables et appropriés pour le type de concert et pour le temps qu’il fait. Évitez les talons hauts si vous prévoyez de rester debout pendant tout le concert.
Respectez les règles de la salle : Respectez les règles de la salle de concert, notamment en ce qui concerne l’utilisation des téléphones portables et des appareils photo. Certaines salles interdisent les enregistrements vidéo et audio.
Profitez de l’ambiance : Imprégnez-vous de l’ambiance en appréciant les lumières, le son, les effets visuels et les interactions avec le public. Profitez de l’instant présent et du plaisir que procure la musique en direct.
En suivant ces conseils, vous serez en mesure de suivre les concerts de votre artiste préféré en France et de profiter d’une expérience unique.
Eric CANTO Photographe : Photos de concerts, portraits, pochettes d’albums.
FAQ sur comment suivre les concerts de son artiste préféré
Question 1: Comment savoir quand mon artiste préféré va donner un concert ?
Il y a plusieurs moyens de savoir quand votre artiste préféré va donner un concert. Vous pouvez consulter son site web officiel, suivre ses comptes de réseaux sociaux, consulter des sites web de billetterie en ligne, ou vous inscrire à sa liste de diffusion ou newsletter pour recevoir des mises à jour sur ses concerts à venir.
Question 2: Comment acheter des billets pour un concert ?
Il existe plusieurs sites web de billetterie en ligne où vous pouvez acheter des billets pour des concerts. Vous pouvez également vous rendre directement sur le site web officiel de l’artiste pour acheter des billets. Assurez-vous de vérifier la date, l’heure et le lieu du concert avant d’acheter vos billets.
Question 3: Comment connaître les lieux de concert près de chez moi ?
Vous pouvez utiliser des sites web de billetterie en ligne pour trouver des concerts près de chez vous. Vous pouvez également consulter les sites web des salles de concert et des festivals de musique de votre région pour voir les événements à venir.
Question 4: Comment savoir si le concert est annulé ou reporté ?
Si le concert est annulé ou reporté, vous devriez recevoir un e-mail ou un message de la part du site web de billetterie en ligne ou de l’organisateur du concert. Vous pouvez également consulter les réseaux sociaux de l’artiste ou du lieu du concert pour obtenir des informations sur les annulations ou les reports.
Question 5: Comment se préparer pour un concert ?
Avant d’assister à un concert, vous devriez vous renseigner sur les règles de la salle de concert, telles que les règles de sécurité, les heures d’ouverture et les politiques en matière de nourriture et de boisson. Vous devriez également vous assurer d’avoir vos billets en main, de vous habiller confortablement et de prendre les mesures de sécurité appropriées, telles que porter un masque ou se faire vacciner, si nécessaire.
Question 6: Comment profiter au maximum d’un concert ?
Pour profiter au maximum d’un concert, assurez-vous d’arriver tôt pour avoir une bonne place, d’écouter attentivement la musique et de participer à l’ambiance du concert. Vous devriez également éviter de prendre des photos ou des vidéos tout le temps, car cela peut distraire les autres spectateurs et perturber l’ambiance du concert.
The Black Keys, formés en 2001 par le guitariste/chanteur Dan Auerbach et le batteur/producteur Patrick Carney à Akron dans l’Ohio sont à l’origine de nombreux tubes dont le célèbre morceau Howlin’for.
D’une variété plus grungy que les White Stripes, inspiré par le rocker Junior Kimbrough et influencé par le delta blues, ce duo de blues rock américain sort son 11e album en 2022, Dropout Boogie, et annonce une tournée mondiale en 2023 avec notamment une date parisienne au Zénith les 18 et 19 juin et une au festival de Nîmes le 04 juillet.
J’aurai donc l’occasion de les photographier à nouveau.
En attendant de retrouver The Black Keys, sur scène, voici leur histoire.
The Black keys, des débuts prometteurs 2001-2007
Dan et Patrick sont amis d’enfance puisque voisins, ils ont côtoyé la même école, dans les années 90, le Firestone High School. Les deux garçons se lient d’amitié malgré leurs différences ; alors que Patrick Carney est réservé, Dan Auerbach lui est capitaine de l’équipe de football.
Ils commencent à s’amuser ensemble sur différents instruments à l’adolescence ne faisant qu’un passage éclair à l’Université d’Akron.
Dan Auerbarch est un fan du bluesman Junior Kimbrough. C’est en écoutant ses chansons qu’il décide de se mettre à la guitare.
Les deux acolytes décident donc d’arrêter les études pour se consacrer pleinement à la musique, gagnant leur vie grâce à des petits boulots.
Chacun dans sa famille est associé à un musicien. Dan a pour cousin le guitariste Robert Quine, et Patrick est le neveu du saxophoniste Ralph Carney.
Ils forment leur groupe, The Black Keys en 2001, dont le nom vient de Alfred Mc Moore, un homme schizophrène qu’ils connaissent, et qui les menaçait de les envoyer en prison parce qu’il détenait des dossiers sur eux, « des notes noires ».
Très rapidement, The Black Keys sortent sont premier album, The Big Come Up, au début de l’année 2002, enregistré dans le garage de Patrick et produit par le label indépendant Alive Records, spécialisé en musique underground.
L’album, malgré des ventes modestes est une jolie réussite puisque il attire le public et leur permet avec des titres (reprises) comme I’ll Be Your Man (thème de la série Hung sur HBO) Leavin’ Trunk et She Said, She Said de signer chez le label Fat Possum Records.
Sur cet opus, The Black Keys rendent hommage au défunt guitariste Junior Kimbrough en réarrangeant certains de ses titres comme Everywhere I Go.
Très rapidement, le groupe The Black Keys enregistre (en quatorze heures) et sort son 2e album Thickfreakness en avril 2003, avec des titres phares comme Hard Row, Set You Free (utilisé dans les show TV), Have Love, Will Travel (une reprise de Richard Berry).
Après un certain succès commercial, s’en suit un tournée éreintante que The Black Keys ne pourront pas honorer jusqu’au bout, devant annuler les dates européennes.
Ils enchaînent les apparitions TV notamment dans Late Night with Conan O’Brien.
En 2004, après la sortie d’un EP The Moan, le 19 janvier, The Black Keys est en difficultés financières et cumule les dettes. En effet, leur tournée européenne est déficitaire. Pour renflouer les caisses, The Black Keys décident de vendre Set You Free à Nissan pour une publicité, mais également pour les médias télévisés. Le groupe se produit également dans des festivals tels que le Coachella et le Bonnaroo.
Finalement l’année 2004 se terminera sous de meilleurs auspices avec la sortie de leur 3e album en septembre Rubber Factory, enregistré dans une usine désaffectée.
Cet opus confirme leur succès avec des singles tels que 10 A.M. Automatic, ‘Til I Get My Way, et Girl Is on My Mind ou encore When the Lights Go Out.
L’album atteint la 143ème place au Billboard 200 et leur musique est exploitée dans des jeux vidéos, publicités et films. The Black Keys enchaîne alors avec une tournée en Amérique du Nord, en Europe et en Australie, pour terminer par le festival Lollapalooza puis sort en 2005 un album live intitulé Live.
Le 2 mai 2006, The Black Keys sortent Chulahoma: The Songs of Junior Kimbrough, un album six-titres de reprises de blues de Junior Kimbrough.
Encore une fois, le succès est au rendez-vous , puisque cet album permet à The Black Keys de signer chez un label majeur Nonesuch Records qui produit Magic Potion leur 4e album, plus morose.
The Black Keys, le succès continue depuis 2008
Le 1er avril 2008, The Black Keys sort son 5e album Attack and Release, toujours ancré dans des racines bluesy-rock. Malgré des critiques mitigées, il culmine à la 14e place au Billboard 200 avec des titres comme Strange Times et I Got Mine qui sera d’ailleurs utilisé dans la bande originale du film Homefront sorti en 2014. Leur musique sera aussi exploitée dans Grand Theft Auto IV et la série canadienne The Bridge.
Après un projet en 2009 avec Damon Dash, producteur de hip-hop, leur musique prend une nouvelle couleur.
The Black Keys se sépare quelques temps. Le batteur devant régler des problèmes conjugaux.
Puis c’est au tour de l’album Brothers, sorti le 18 mai 2010, de marquer le public. Avec ses 15 titres dont les singles Tighten Up, Howlin’ for Youet Next Girl, il se vend à plus d’un million d’exemplaires, est récompensé par l’Award du meilleur album dans la catégorie musique alternative, et se classe à la seconde place du classement des meilleurs albums de 2010 selon le magazineRolling Stone.
Il reste le plus gros album de The Black Keys.
La tournée qui s’enchaîne est aussi épuisante que les précédentes. Dan et Patrick font une pause et se retrouvent pour l’enregistrement de El Camino qui sort en 2011.
Ce 7e album fait référence à l’histoire du rock américain avec des singles comme, Gold On The Ceiling et Little Black Submarines, Lonely Boy. C’est aussi un triomphe commercial puisque dès la 1ere semaine aux Etats-Unis, il se vend à plus de 200 000 exemplaires, se positionne 2e au Billboard et reçoit l’Award du meilleur album de rock en 2013. Il obtient également un disque de platine aux Etats-Unis et en Grande-Bretagne.
Leur huitième album, Turn Blue, toujours en collaboration avec Danger Mouse, sort le 7 mai 2014. Il se place rapidement dans les charts pop.
Malheureusement, suite à un accident de surf sur une plage de Saint-Barthélemy, en janvier 2015, Patrick Carney est contraint de se mettre au repos. Finalement après un cycle promotionnel fatiguant, et des projets personnels entrepris chacun de leurs côtés, The Black Keys font une pause.
Pendant cette période Auerbach crée son studio et son label Easy Eye Sound.
Il faut attendre 2019 pour découvrir les singles Lo/Hi en mars, puis Eagle Birds en avril, extraits de leur 9e album Let’s Rock, qui parait le 28 juin 2019.
Cet opus de The Black Keys occupe la 4e place du Billboard 200 et la 3e place dans les charts britanniques. Puis parait Delta Kream en 2021 où sont mis en avant des artistes blues du Mississippi comme R.L. Burnside et Junior Kimbroug.
Cet album de reprises est nominé aux Grammy Awards.
Leur 12e et dernier album à ce jour Dropout Boogie sort le 13 mai 2022, avec comme premier extrait le single Wild Child. Pour cet opus The Black Keys collaborent avec des artistes tels que Billy F. Gibbons de ZZ Top, Angelo Petraglia de Kings of Leon et Greg Cartwright de Reigning Sound.
The Black Keys, leur discographie
2002: The Big Come Up , Alive Records
2003: Thickfreakness , Fat Possum Records
2004: Rubber Factory, Fat Possum Records
2006: Magic Potion, Nonesuch Records
2006 : Chulahoma, Nonesuch Records
2008: Attack and Release, Nonesuch Records
2010: Brothers, Nonesuch Records
2011: El Camino, Nonesuch Records
2014: Turn Blue, Nonesuch Records
2019: Let’s Rock, Nonesuch Records
2021: Delta Kream, Easy Eye Sound Records
2022: Dropout Boogie (Nonesuch Records)
BONUS : Interview de Dan Dan Auerbach of The Black Keys is ready for a rock ‘n’ roll revival
Pour le Detroit Free Press , Brian McCollum, septembre 2019
Ne négligez pas l’avenir du rock ‘n’ roll pour l’instant.
Le genre vénérable peut être éclipsé en ce moment par d’autres sons, styles et modes de la culture américaine, et certaines personnes semblent déterminées à écrire sa nécrologie.
Mais pas si vite, déclare Dan Auerbach des Black Keys : Une étincelle, une explosion d’énergie juvénile, un riff entendu dans le monde entier, peut déclencher la prochaine révolution rock.
« On ne sait pas où va aller l’industrie de la musique. Mais en termes de rock ‘n’ roll et d’enfants qui jouent de la guitare électrique : mec, je pense qu’il suffit d’un seul groupe avec une seule chanson – vous savez, une personne de 18 ans -vieux gamin écrivant une chanson follement bonne », dit Auerbach. « Et ça va changer tout le paysage. C’est aussi simple que ça. »
Le guitariste voit des parallèles historiques qui suggèrent que le baril de poudre se met en place. « Aussi édulcoré et commercial que soit le hip-hop, c’est presque comme si le hip-hop d’aujourd’hui était un peu comme le rock dans les années 80.
C’est un peu gonflé et ça roule dans la pâte. Tout sonne pareil », dit-il. . « Je pense que ce n’est qu’une question de temps – quelqu’un va faire quelque chose (en révolte). »Greta Van Fleet, le jeune quatuor du Michigan dont le son Zeppelinesque s’est révélé diviseur, ne reçoit que des félicitations d’Auerbach.
« Écoutez, je ne reprocherai jamais à personne de jouer de la musique et de faire ce qu’il aime. Je suis trop vieux pour faire ça », dit-il. « C’est cool. Peut-être que leurs fans ne connaissent pas certaines des références que d’autres peuvent entendre si facilement. C’est juste un tout nouveau monde de fans de musique prêts à en entendre (rock). »Auerbach et son compagnon de groupe, l’ami batteur d’enfance Patrick Carney, ont certainement fait leur part en portant le drapeau de la musique graveleuse et axée sur la guitare.
Leur travail cinétique et accrocheur – au son frais mais ancré dans la tradition – a fait de The Black Keys l’un des rares groupes de rock du 21e siècle à atteindre le statut de tête d’affiche et de tête d’affiche.
Le duo originaire de l’Ohio, cette fois rejoint par deux autres guitaristes et un bassiste, fléchira ce muscle samedi à Little Caesars Arena, une première étape d’une tournée des Black Keys soutenant l’album d’été « Let’s Rock ». La course a débuté le 19 septembre au Wiltern Theatre de Los Angeles.
La tournée fait suite à une pause de quatre ans qu’Auerbach décrit comme un besoin, pas un choix : face à l’épuisement professionnel, les Black Keys ont choisi de s’effacer pendant un certain temps. Non pas qu’Auerbach et Carney se soient cachés, exactement.
Tous deux ont poursuivi des projets individuels, y compris un emploi du temps chargé pour Auerbach dans son rôle de producteur dans son studio de Nashville. Ce travail comprenait l’album « Tell Me I’m Pretty », lauréat d’un Grammy en 2015, de Cage the Elephant.Pourtant, sur scène la semaine dernière, le groupe se sent rajeuni et réorienté.
Le guitariste-chanteur dit que les musiciens ajoutés – de vieux copains de l’Ohio Zach et Andy Gabbard des Shams, ainsi que le musicien vétéran Delicate Steve – ont apporté un nouveau coup de poing à la musique avec l’effet ironique de ramener les Black Keys à leur deux-homme les racines.
« Pour être honnête, c’est presque mieux que jamais, avec cette équipe qui joue avec nous – trois guitares électriques, une basse et une batterie », a déclaré Auerbach. « Pour une raison quelconque, cela ressemble presque plus à la façon dont nos anciens disques sonnaient que jamais sur scène. Donc ça fait vraiment du bien là-haut. »
Un autre ancien compatriote est également à bord, contribuant à donner au spectacle un coup digne d’une arène.« Avec toute la grande scène, toutes les lumières, c’est sauvage », dit Auerbach. « Le gars qui dirige nos lumières, Mike Grant, est l’un de nos employés les plus âgés.
Il faisait le tour de la fourgonnette avec nous à l’époque. Alors il a juste laissé les choses se déchaîner. Il se passe toutes sortes de trucs fous. dans ma tête pendant le spectacle. »
La réactivation des Black Keys a été stimulée par une connexion encore plus profonde avec l’Ohio – une connexion qui remonte à la fascination adolescente d’Auerbach pour le jeu de Glenn Schwartz, le guitariste de Cleveland surtout connu pour son travail avec le James Gang.Auerbach s’est retrouvé à travailler dans son studio de Nashville avec le musicien vétéran et collègue guitariste de James Gang Joe Walsh, et l’expérience a fait tourner les roues mentales.
« Nous jouions toutes les vieilles chansons de Glenn, toutes celles que j’écoutais quand j’avais 17, 18 ans, quand je jouais pour la première fois avec Pat (Carney). Et il était clair et clair comme le jour que son ADN était partout. des trucs Black Keys que j’avais fait », raconte Auerbach. « Dès que j’ai terminé ce disque, j’ai appelé Pat. Depuis, c’est très centré sur la guitare électrique.
« Cela m’a juste ramené à cet endroit – avoir 18 ans, regarder jouer Glenn et être tellement bouleversé par ça. Cela m’a donné le même sentiment de vouloir immédiatement aller jouer de la musique avec Pat. C’est tellement drôle comment ça a fonctionné. »
Cela fait 17 ans que The Black Keys a émergé d’Akron en tant qu’un autre groupe indépendant qui exerce son métier au milieu du renouveau du garage-rock. Et cela fait une décennie que la stature grand public du duo a augmenté de façon spectaculaire, via une série d’albums à succès (« Attack & Release », « Brothers », « El Camino ») qui en ont fait les chouchous de la radio et des émissions de récompenses.
La scène de Detroit de l’époque s’est avérée cruciale pour la cause, dit Auerbach. Bien que le groupe de l’Ohio ne soit pas affilié à des groupes et à des événements dans la Motor City, il était parfaitement conscient de l’explosion de garage-rock qui s’y produisait, via des groupes tels que les Dirtbombs, Detroit Cobras, Rocket 455 et finalement les White Stripes.
« Nous ne serions même pas ici sans toute cette résurgence du garage rock qui se produisait autour du studio Jim Diamond (à Detroit) », dit-il. « Cette renaissance était ce dans quoi nous nous sommes en quelque sorte entraînés, et cela a aidé. Cela nous a donné notre petite longueur d’avance. »Et il était logique qu’une si grande partie de la substance provienne du Midwest.
« Vous ne pouvez pas nier qu’il n’y a que l’esthétique musicale de Rust Belt », déclare Auerbach. « C’est dans le subconscient. Nous sommes juste câblés d’une certaine manière. »
Auerbach est heureux de s’extasier sur l’héritage musical de Detroit – et pas seulement de flatter les milliers de fans qu’il est sur le point de visiter à la Little Caesars Arena.
À 40 ans, il s’enthousiasme toujours comme un jeune de 18 ans lorsqu’il s’agit de s’extasier sur la musique, y compris sur une certaine institution imposante de Motor City.« Honnêtement, j’ai l’impression que la musique est peut-être la plus grande forme d’expression que l’humanité ait inventée.
C’est comme le sommet d’une montagne », dit-il. « Et pour moi personnellement, ces choses qu’ils ont faites à Motown sont comme les plus grandes choses que l’humanité ait jamais concoctées. Ça ne va pas mieux. »En effet, Motown reste une star pour Auerbach alors qu’il nourrit son label et son studio, Easy Eye Sound.
« Vous n’aviez même pas besoin de connaître l’anglais pour aimer les chansons de Motown – les mélodies sont si bonnes. Ensuite, les musiciens sont tellement fous et tous les ingénieurs sont les meilleurs. Il n’y avait aucune faille dans leur armure. Aucun point faible nulle part. »
Auerbach n’a pas grand-chose à dire sur l’étrange et courant bœuf entre les Black Keys et le natif de Detroit Jack White, qui a été révélé en 2012 lorsque White a banni Auerbach de son studio de Nashville. Après des années de poussées périodiques – y compris la prétendue menace de coups de poing à un moment donné – White a fait l’éloge du groupe dans une interview de Rolling Stone cet été.
Interrogé sur la querelle, Auerbach semble réticent à aborder le sujet, disant seulement: « Mec, je ne sais vraiment pas. Je veux dire, tu en sais autant que moi. Je ne sais rien à ajouter.
« Pour l’instant, l’accent est mis sur la route à venir. Les Black Keys ont encore 28 spectacles sur un calendrier qui les mènera jusqu’en novembre, et alors que Carney et Auerbach envisagent toujours leurs plans pour 2020, ils disent qu’ils réduisent définitivement le rythme de tournée qui a dominé leur vie pendant tant d’années.
« Je dirais que si vous êtes en Europe, vous voudrez peut-être réserver un billet pour Detroit », dit Auerbach en riant. « Parce que je pense que nous allons garder la tournée très simple et très axée sur l’Amérique du Nord pour le moment. »
Eric CANTO Photographe : Photos de concerts, portraits, pochettes d’albums.
The Hives, ce nom résonne comme un coup de tonnerre dans l’univers du rock. Ce groupe suédois, avec son énergie débordante et son style inimitable, a redéfini les standards du rock moderne depuis la fin des années 90.
Connus pour leurs performances scéniques électrisantes et leur attitude déjantée, The Hives ont su s’imposer sur la scène internationale en insufflant une nouvelle vie au garage rock. Cet article explore l’histoire fascinante de The Hives, leur impact sur le rock contemporain, et les raisons pour lesquelles ils continuent d’inspirer les fans du monde entier.
Préparez-vous à plonger dans l’univers explosif de ce groupe légendaire.
1. L’Histoire de The Hives : De Fagersta à la Scène Mondiale
1.1 Les Débuts à Fagersta : Un Voyage Audacieux vers la Gloire
The Hives ont vu le jour en 1993 dans la petite ville de Fagersta, en Suède. Ce qui n’était au départ qu’une bande de jeunes amis partageant une passion pour le punk rock est rapidement devenu un phénomène mondial. Menés par le charismatique chanteur Pelle Almqvist, alias Howlin’ Pelle, The Hives ont commencé à jouer dans des clubs locaux, se forgeant une réputation pour leurs concerts dynamiques et leur attitude rebelle.
Les premières influences : The Hives ont puisé leur inspiration dans le punk rock des années 70, notamment des groupes comme The Ramones et The Stooges. Leur son brut, rapide et énergique reflète cette influence, tout en y ajoutant une touche de modernité qui les distingue des autres groupes de l’époque. Les premières compositions de The Hives étaient courtes, percutantes, et pleines d’une énergie contagieuse qui a rapidement capté l’attention du public suédois.
La signature avec Burning Heart Records : En 1995, après seulement deux ans d’existence, The Hives signent avec le label suédois Burning Heart Records. Ce partenariat marque un tournant dans la carrière du groupe, leur permettant de sortir leur premier EP « Oh Lord! When? How? » en 1996. Ce disque, bien que modeste en termes de ventes, pose les bases du son distinctif de The Hives et attire l’attention de la presse musicale suédoise.
The Hives ont su se démarquer dès leurs débuts grâce à une combinaison de talent brut et d’une forte identité visuelle. Leurs costumes noirs et blancs, inspirés des groupes des années 60, sont rapidement devenus leur marque de fabrique. Cette esthétique soignée, combinée à leur énergie explosive sur scène, a fait d’eux un groupe à part dans la scène rock suédoise. Cependant, c’est avec leur premier album que The Hives allaient véritablement entrer dans la cour des grands.
1.2 Barely Legal : La Naissance d’une Légende du Rock
En 1997, The Hives sortent leur premier album Barely Legal, un concentré de punk rock pur et dur qui allait poser les fondations de leur carrière. Cet album, avec des titres comme « A.K.A. I-D-I-O-T » et « Here We Go Again », montre un groupe en pleine possession de ses moyens, prêt à conquérir le monde.
L’impact de Barely Legal : Bien que Barely Legal n’ait pas immédiatement rencontré un succès commercial massif, il a été acclamé par la critique pour son énergie brute et son authenticité. Les critiques ont salué The Hives comme les héritiers naturels du punk rock, capable de capturer l’esprit de rébellion tout en y ajoutant une touche d’humour et d’ironie. Cet album a permis à The Hives de se faire un nom en dehors de la Suède, ouvrant la voie à des tournées internationales.
Les tournées européennes : Suite à la sortie de Barely Legal, The Hives entament une série de tournées en Europe, jouant dans des clubs et des festivals à travers le continent. Ces concerts sont l’occasion pour le groupe de perfectionner leur performance scénique, qui devient rapidement l’une de leurs principales forces. Avec des shows où Pelle Almqvist se donne à 200%, sautant, dansant, et haranguant la foule, The Hives se bâtissent une solide réputation de groupe à voir absolument en live.
La reconnaissance internationale : L’énergie et l’originalité de The Hives commencent à attirer l’attention des médias internationaux. Des magazines comme NME et Rolling Stone commencent à parler du groupe, les présentant comme l’une des nouvelles sensations du rock. Bien que le succès commercial soit encore modeste, la notoriété de The Hives ne cesse de croître, préparant le terrain pour leur percée majeure quelques années plus tard.
1.3 Veni Vidi Vicious : L’Explosion Internationale
Le véritable tournant pour The Hives est venu en 2000 avec la sortie de leur deuxième album, Veni Vidi Vicious. Cet album, avec des hits comme « Hate to Say I Told You So » et « Main Offender », propulse le groupe sur la scène internationale, devenant un phénomène mondial.
Le succès de Veni Vidi Vicious : L’album est un succès critique et commercial, atteignant les sommets des charts dans plusieurs pays. Le single « Hate to Say I Told You So » devient un hymne rock, largement diffusé sur les radios et les chaînes de télévision musicales du monde entier. Avec cet album, The Hives établissent leur son signature : des guitares tranchantes, des rythmes rapides, et la voix puissante de Pelle Almqvist.
La reconnaissance des pairs : The Hives reçoivent des éloges de la part de nombreux artistes et musiciens, qui saluent leur capacité à ramener l’énergie brute du rock à une époque où le genre était en perte de vitesse. Le groupe est invité à jouer dans les plus grands festivals de musique, aux côtés de légendes du rock, ce qui ne fait qu’accroître leur popularité.
Les tournées mondiales : Suite au succès de Veni Vidi Vicious, The Hives entament une tournée mondiale qui les mène dans des salles de concert et des festivals prestigieux à travers le globe. Leur performance explosive à Coachella en 2002 est encore aujourd’hui considérée comme l’un des moments forts de l’histoire du festival. The Hives deviennent ainsi l’un des groupes les plus en vue de la scène rock, capable de remplir des stades et de séduire un public toujours plus large.
2. Le Style Musical et Visuel de The Hives : Un Cocktail Explosif
2.1 Le Son : Un Retour aux Sources du Rock’n’Roll
Le son de The Hives est souvent décrit comme un retour aux racines du rock’n’roll, avec une forte influence du punk rock. Ce qui distingue The Hives, c’est leur capacité à capturer l’essence brute et énergique du rock tout en y apportant une touche de modernité et d’ironie.
Des influences variées : The Hives puisent leur inspiration dans un large éventail d’influences musicales, allant des pionniers du rock’n’roll comme Chuck Berry et Little Richard aux groupes punk des années 70 comme The Ramones et The Clash. Le résultat est un son à la fois rétro et frais, qui rappelle les débuts du rock tout en étant résolument contemporain.
Des compositions percutantes : Les chansons de The Hives sont courtes, dynamiques, et pleines de punch. Les riffs de guitare sont accrocheurs, les rythmes sont rapides, et les paroles sont souvent pleines d’humour et d’autodérision. Ce style percutant et immédiat est l’une des raisons pour lesquelles The Hives ont réussi à se démarquer sur la scène rock internationale.
La voix de Pelle Almqvist : La voix de Pelle Almqvist est l’un des éléments clés du son de The Hives. Sa voix puissante et versatile lui permet de passer du chant au cri, en fonction de l’intensité de la chanson. Ce style vocal énergique et expressif contribue à l’identité unique de The Hives, rendant chaque performance live inoubliable.
2.2 L’Esthétique Visuelle : Un Style Iconique en Noir et Blanc
The Hives sont non seulement connus pour leur musique, mais aussi pour leur esthétique visuelle distinctive. Depuis leurs débuts, le groupe a adopté un look noir et blanc qui est devenu leur marque de fabrique.
Les costumes noirs et blancs : Les membres de The Hives sont presque toujours habillés en noir et blanc, que ce soit sur scène ou dans leurs clips. Ce choix esthétique est un clin d’œil aux groupes de rock des années 60, mais aussi une manière de se démarquer dans une industrie où l’image est souvent aussi importante que la musique.
Une identité visuelle cohérente : L’esthétique noire et blanche de The Hives ne se limite pas à leurs costumes. Elle se retrouve également dans la conception de leurs albums, leurs clips, et leur merchandising. Cette cohérence visuelle contribue à renforcer l’identité du groupe, en faisant d’eux l’un des groupes les plus reconnaissables de la scène rock.
Les performances scéniques théâtrales : The Hives ne se contentent pas de jouer de la musique ; ils offrent un véritable spectacle. Leur énergie sur scène est légendaire, avec Pelle Almqvist qui interagit constamment avec le public, faisant de chaque concert une expérience unique. Cette approche théâtrale des performances live est un autre aspect qui distingue The Hives des autres groupes de rock.
2.3 L’Attitude : Un Mélange de Provocation et d’Autodérision
L’attitude de The Hives est une autre de leurs marques de fabrique. Ils combinent une confiance en eux presque arrogante avec une bonne dose d’humour et d’autodérision, ce qui les rend aussi attachants qu’impressionnants.
La provocation comme art : The Hives n’ont jamais eu peur de provoquer, que ce soit par leurs paroles, leurs clips, ou leurs interviews. Cependant, cette provocation n’est jamais gratuite ; elle est toujours accompagnée d’une certaine intelligence et d’un humour qui montrent que le groupe ne se prend pas trop au sérieux.
L’humour et l’autodérision : Contrairement à de nombreux groupes de rock qui se prennent très au sérieux, The Hives aiment jouer avec leur image. Ils n’hésitent pas à se moquer d’eux-mêmes et à jouer les rock stars déjantées, tout en étant parfaitement conscients de l’absurdité de certaines situations. Cet humour et cette autodérision sont l’une des raisons pour lesquelles The Hives ont su conserver une base de fans aussi fidèle.
La relation avec les fans : The Hives ont toujours cultivé une relation étroite avec leurs fans. Que ce soit sur scène ou en dehors, le groupe fait en sorte que chaque personne se sente impliquée dans l’expérience. Cette approche inclusive et cette capacité à connecter avec le public sont des éléments clés de leur succès continu.
3. L’Influence de The Hives : Un Héritage Durable dans le Monde du Rock
3.1 L’Impact sur la Scène Rock Internationale
The Hives ont eu un impact significatif sur la scène rock internationale, redéfinissant les standards du garage rock et inspirant de nombreux autres groupes à travers le monde.
Le renouveau du garage rock : Avec la sortie de Veni Vidi Vicious, The Hives ont contribué à relancer l’intérêt pour le garage rock, un genre qui avait été quelque peu négligé à la fin des années 90. Leur succès a ouvert la voie à d’autres groupes de garage rock, tels que The White Stripes et The Strokes, qui ont également connu une ascension fulgurante au début des années 2000.
L’influence sur les nouvelles générations : The Hives ont inspiré une nouvelle génération de musiciens, qui admirent leur énergie brute, leur attitude décomplexée, et leur capacité à créer des hymnes rock instantanément reconnaissables. Leur influence se fait sentir dans de nombreux groupes contemporains qui cherchent à capturer la même énergie explosive que The Hives.
Une présence durable : Bien que leur popularité ait fluctué au fil des ans, The Hives ont su rester pertinents, continuant à sortir de la musique et à se produire en concert à travers le monde. Leur influence perdure, tant sur la scène rock que dans la culture populaire en général.
3.2 Des Albums Culte : Une Discographie Marquante
La discographie de The Hives est remplie d’albums qui ont marqué l’histoire du rock. Chaque album apporte sa propre contribution à leur héritage musical, avec des chansons qui résonnent encore aujourd’hui auprès des fans du monde entier.
Barely Legal (1997) : Le premier album de The Hives reste un classique du punk rock. Avec des titres courts et percutants, il capture l’énergie brute du groupe à ses débuts et pose les bases de leur son unique.
Veni Vidi Vicious (2000) : Cet album est sans doute le plus emblématique de leur carrière. Avec des hits comme « Hate to Say I Told You So » et « Main Offender », il a non seulement propulsé The Hives sur la scène internationale, mais a également redéfini le genre du garage rock pour une nouvelle génération.
Tyrannosaurus Hives (2004) : Cet album poursuit sur la lancée de Veni Vidi Vicious, avec un son encore plus raffiné et des compositions toujours aussi énergiques. Des titres comme « Walk Idiot Walk » et « Two-Timing Touch and Broken Bones » sont devenus des classiques instantanés.
The Black and White Album (2007) : Avec cet album, The Hives ont exploré de nouveaux horizons, incorporant des éléments de funk et de musique électronique à leur son punk rock. Bien que plus expérimental, The Black and White Album a été bien accueilli par les critiques et les fans, prouvant que The Hives n’avaient pas peur de repousser les limites de leur propre style.
Lex Hives (2012) : Le cinquième album studio de The Hives marque un retour à un son plus brut et direct. Avec des chansons comme « Go Right Ahead » et « 1000 Answers », The Hives prouvent qu’ils sont toujours capables de créer des hymnes rock percutants qui résonnent avec leur public fidèle.
3.3 L’Héritage Culturel de The Hives
The Hives ont non seulement laissé une empreinte indélébile sur la musique rock, mais ils ont également influencé la culture populaire d’une manière plus large.
Leur influence dans la mode : L’esthétique noire et blanche de The Hives a inspiré non seulement d’autres musiciens, mais aussi des designers de mode et des artistes visuels. Leur style distinctif a été repris et réinterprété dans de nombreux domaines créatifs, faisant de The Hives des icônes de la mode rock.
La persistance de leur attitude : L’attitude provocatrice et ironique de The Hives a laissé une marque durable sur la manière dont les groupes de rock modernes se présentent et interagissent avec le public. Ils ont montré qu’il était possible de combiner l’intensité du rock avec un sens de l’humour et une autodérision qui rendent la musique encore plus accessible et attrayante.
Leur place dans l’histoire du rock : The Hives sont désormais considérés comme l’un des groupes les plus importants du renouveau du rock des années 2000. Leur capacité à capturer l’essence du rock’n’roll tout en y ajoutant leur propre touche unique a fait d’eux des légendes vivantes de la scène rock mondiale.
Willy Ronis, grand photographe humaniste, est mis à l’honneur dans l’exposition « Willy Ronis par Willy Ronis » au Kiosque de Vannes depuis le 09 décembre 2022 et jusqu’au 05 mars 2023.
Ce photographe engagé pour la cause ouvrière, a immortalisé les plus grands mouvements sociaux, capturé le quotidien, en arpentant les rues de Paris et mais aussi celles des villes et campagnes européennes.
Depuis sa mort en 2009 à l’âge de 99 ans, il est exposé partout dans le monde.
Présentation de cette grande figure qui fait partie des témoins de notre siècle.
https://youtu.be/U6zCbq8EkzA
Willy Ronis, son enfance
Né le 14 août 1910 dans le 9e arrondissement de Paris, au pied de la butte de Montmartre, il est le fils Tauba Gluckman, une pianiste juive lituanienne installée à Paris depuis 1899 et de Marcus Ronis, juif ukrainien qui arrive à Paris en 1904.
Tous deux fuient l’Empire Russe et ses pogroms.
Tauba et Marcus, mélomanes, se rencontrent dans une amicale d’exilés russes et tombent amoureux. Ils s’installent dans le 9e arrondissement.
Alors que son père est retoucheur en photographie dans son studio « Roness » (le patronyme a été écorché par un agent de l’état civil)
Willy, lui, rêve de devenir compositeur de musique.
Mais, lorsque son père lui offre son premier appareilphotographique à ses 15 ans, le jeune homme découvre un autre art, celui de la photographie, qui façonnera toute sa vie. Il réalise ses premiers clichés d’un Paris populaire à l’âge de 18 ans. Nous sommes en 1928.
Après une scolarité au Lycée Rollin, il part à l’Université de la Sorbonne en 1929 afin de devenir compositeur de musique.
Willy Ronis, l’épreuve qui change sa vie
C’est au retour de son service militaire en 1932, que Willy voit sa vie bousculée. Son père atteint d’un cancer est très malade.
Il l’assiste alors dans son studio jusqu’à son décès en 1935. A l’époque, Willy déteste ce travail mais se passionne pour les expositions de photographies. Le studio est vendu. La famille déménage dans le 11ème arrondissement.
C’est en 1936 que Willy réalise ses premiers clichés, loin de la photographie conventionnelle de son père. Ses premières photographies, il les réalise place de la Bastille, le 14 juillet 1936, lors de la victoire du Front Populaire et des manifestations ouvrières.
C’est là qu’il immortalise la Petite fille au bonnet phrygien, une enfant, le poing levé sur les épaules de son père.
« Ce qui m’a sauvé, c’est que je ne suis pas entré en photographie par vocation. Je suis tombé dedans par accident. Je ne le regrette pas puisque ce mariage de raison est devenu mariage d’amour. Mais cela m’a préservé de certains chocs psychologiques, qui m’auraient immanquablement déstabilisé si j’avais dû constater qu’une vocation profonde n’était pas suivie d’effets ou de résultats probants. »
Ces premiers clichés, signés sous le nom de « Roness » jusqu’en 1945, sont publiés par la revue Regards, revue communiste.
« J’ai toujours été motivé par les problèmes économiques et sociaux, disait-il, par la condition humaine… en tant qu’homme et photographe. Je mourrai le cœur à gauche. »
Willy Ronis, le photographe humaniste engagé
Le déclic a lieu.
Willy s’engage dans le photo reportage et plus particulièrement sur le monde ouvrier. L’époque est propice aux commandes.
C’est avec son premier Rolleiflex en 1937, qu’il publie dans Plaisir de France et qu’il réalise ses premiers reportages photographiques.
D’obédience communiste depuis 1923, il est membre du parti communiste de 1945 à 1964, et sera de toutes les manifestations ouvrières comme les grèves chez Citroën en 1938, ou encore chez Renault en 1950.
« J’ai été membre du Parti communiste un certain temps, et j’ai travaillé quelques années pour ce mouvement, tout en restant indépendant. J’étais orienté, certes, mais je suis resté libre! »
« J’avais rencontré Robert Capa et Chim (Seymour) chez mon père, ils venaient se servir de sa glaceuse. Ils étaient reporters de guerre, ils rentraient d’Espagne, ils avaient une auréole ! Moi je ne pouvais pas partir, j’avais ma mère à charge. Mais au moins je pouvais être dehors. » (Arles, juillet 2009)
Pendant la 2e guerre mondiale, après avoir été mobilisé en 1939, il rentre à Paris. Willy fuit le régime de Vichy pour éviter la déportation du fait de ses origines. Il passe clandestinement en zone libre et s’installe à Marseille en 1941, contrairement à sa mère qui malgré son étoile jaune reste vivre à Paris.
C’est pendant cette parenthèse qu’il rencontre et épouse en 1946 Marie-Anne Lansiaux ; la femme de sa vie. Il exerce le métier de décorateur de studio ou encore de régisseur de théâtre.
C’est également pendant ces années Vauclusiennes qu’il immortalise sa femme lors de sa toilette. Ces clichés connaîtront un large succès.
C’est à la Libération que Ronis retourne à Paris. Avec sa femme, ils s’installent dans le 15e arrondissement avec leur fils Vincent Kaldor (fils de Marie-Anne, adopté par Willy).
Il intègre l’agence Rapho en 1946 et reprend le photo-reportage, notamment sur le retour des prisonniers de guerre, les ouvrières, la grève des mineurs de Saint-Etienne en 1948.
Militant pour la reconnaissance de la photographie comme discipline artistique, il collabore avec différentes revues comme Point de vue, l’Ecran français, le Monde et même le magazineLife, parcourt l’Europe au début des années 50, travaille pour Air France, la publicité, enseigne à l’EDHEC…
« Le photographe peut dénoncer des choses. Mais il ne doit pas avoir la prétention de changer les choses. »
Son style est reconnaissable parmi tous, des noir et blanc avec une lumière travaillée. Willy Ronis l’artiste photographe a le vent en poupe et connaît de belles années.
Ce qui l’intéresse, c’est le quotidien, « la poésie de la rue ». Il est le photographe de la vie quotidienne ordinaire, « des tranches de vie », des gens, des passants, du hasard. Son témoignage photographique est universel.
Willy traque l’instant avec un réalisme poétique sans pareil. Pour le photographe, Paris est un cadre parfait pour capturer des images de la vie ordinaire.
Son travail sera récompensé par le « Prix Kodak » en 1947.
« Je ne mets pas en scène, je négocie l’aléatoire. Le photographe ne prémédite pas ses images, Il cherche à capter, dans ses promenades le nez en l’air, les petits bonheurs simples, modestes. »
Il rencontre également un grand succès dans le cadre de son travail, en RDA (République démocratique allemande), pour l’Association d’échanges franco-allemands.
De ce projet où il capture la vie tant industrielle que culturelle du pays, naitra une exposition itinérante, présentée dans 70 sites en France, jusqu’en 1974, puis à Versailles en 2021 « Willy Ronis en RDA – La vie avant tout, 1960-1967 ». Son travail livrera avec empathie et optimisme, la souffrance d’un pays déchiré et coupé en deux.
« J’ai travaillé en parfaite liberté et fait un très beau voyage ! »
Malheureusement, sa manière humaniste de photographier, si particulière, laissant la place à l’instant, à la spontanéité, à la gaieté, à la tendresse, sera critiquée comme étant mièvre, sentimentaliste et trop poétique.
« Vous ne trouverez pas une seule photo méchante, expliquait-il au Monde en 2005. Je n’ai jamais voulu donner des gens une image ridicule. »
Las des critiques, il arrête le photojournalisme en 1972, déçu par le manque de liberté laissée au photographe sur l’utilisation des clichés, et quitte Paris pour s’installer dans le Midi.
Willy Ronis, de la traversée du désert à la renaissance
Sa carrière s’essouffle. Ronis vit une traversée du désert et les années 1970 sont financièrement difficiles.
Il part vivre à L’Isle-sur-la-Sorgue dans le Vaucluse en 1972 avec sa famille. De fait, il rebondit. Il consacre du temps à l’enseignement que cela soit à Marseille, en Avignon, à Aix-en- Provence.
En 1979, il reçoit le Grand Prix national de la photographie. Puis, il retrouve une notoriété en 1980, lorsque il publie sa première monographie Sur le fil du hasard aux Éditions Contrejour, qui reçoit le prix Nadar en 1981.
De nouveaux projets voient le jour, publications, expositions, cartes postales, mais entachés par le deuil. Vincent, son fils décède brutalement dans un accident de deltaplane en 1988, puis Marie-Anne, son amour, en 1991.
Veuf et sans enfant, il fait don de son œuvre à l’Etat (82 000 négatifs, 6 000 diapositives couleurs, 18 000 tirages, 6 albums comportant 590 tirages de référence, 26 cartons d’archives, 720 volumes de bibliothèque, 400 volumes de périodiques), nomme quatre exécuteurs testamentaires, détenteurs du droit moral de son œuvre et chargés de veiller à son utilisation.
En 2001-2002, touché par l’arthrite, il réalise sa dernière série de photos et arrête la photographie à l’âge de 91 ans.
En 2005, une grande rétrospective lui est consacrée à l’Hôtel de ville de Paris (500 000 visiteurs), et en 2009 les 40eRencontres d’Arles le mettent à l’honneur.
Willy Ronis décède à 99 ans dans la nuit du 11 au septembre 2009 à l’Hôpital Tenon dans le 20ème arrondissement de Paris. A presque centenaire, il n’a pas le temps de terminer sa dernière exposition prévue en 2010, pour son 100e anniversaire.
– 2001 : A nous la vie ! : 1936-1958, avec Didier Daeninckx, Éditions Hoëbeke
– 2001 : Pour la liberté de la Presse, Reporters Sans Frontières, Paris,
– 2004 : Le Val et les Bords de Marne, Éditions Terre Bleue, Paris,
– 2005 : Willy Ronis, Actes Sud, Arles,
– 2005 : Paris, éternellement, avec Daniel Karlin, Éditions Hoëbeke, Paris,
– 2006 : Willy Ronis (photogr. Willy Ronis), Ce jour-là, Mercure de France, coll. « Traits portraits »
– 2007 : Les chats de Willy Ronis, Flammarion, Paris
– 2008 : Nues, avec Philippe Sollers, Éditions Terre Bleue, Paris,
– 2008 : Provence, Éditions Hoëbeke, Paris,
-2010 : Derrière l’objectif de Willy Ronis, Éditions Hoëbeke, Paris
– 2012 : Le siècle de Willy Ronis, avec Françoise Denoyelle, Éditions Terre Bleue
– 2018 : Willy Ronis par Willy Ronis – Le regard inédit du photographe sur son œuvre, Flammarion, Paris,
– Willy Ronis en RDA – La vie avant tout, 1960-1967
Willy Ronis, ses plus célèbres clichés
LeNu Provençal, 1949
En 1949 Ronis réalise le « Nu Provençal », qui devient l’une de ces plus célèbres photographies.
On y voit sa femme, Marie-Anne, en contre-jour, un jour de grande chaleur, de dos, se rafraîchissant à l’aide d’une bassine.
« Avec ma femme, nous avions acheté une ruine à Gordes et nous avions décidé d’y passer nos vacances. Le confort était rustique, il n’y avait pas d’électricité et nous devions aller chercher l’eau à une fontaine. Un matin, alors que j’allais prendre mon petit déjeuner, j’ai vu ma femme en train de faire sa toilette. Je lui ai dit, ne bouge pas, et je suis allé chercher en vitesse mon Rolleiflex qui était sur le buffet. J’ai gravi deux marches de l’escalier qui montait au grenier. J’ai pris quatre photos. Pas une de plus. Cela m’a pris à peine une minute. »
Rue Muller, Paris, 1934
« Montmartre, Rue Muller, 1934. C’est la nuit, j’ai travaillé sur pied, c’est rare, j’ai profité de la pluie, pour les reflets. Je préfère travailler en vitesse. Habitant non loin, j’avais repéré cet escalier. C’est une photo dans l’esprit du réalisme poétique de l’époque, on a l’impression d’un décor en studio, à la Trauner, que j’ai connu plus tard. J’ai fait un temps partie de la bande à Prévert. »
Place Vendôme, Paris, 1947
« C’était une fin de matinée, sur la place Vendôme. Tout à coup, je ne sais pas pourquoi, je baisse la tête et je remarque une flaque d’eau. Je me penche encore et en la regardant bien attentivement, je vois qu’un trésor se cache dans cette flaque, la colonne Vendôme s’y reflète, j’ai bien sûr tout de suite envie de faire une photo. »
Le Petit Parisien, 1952
Pour le photographe, cette photographie représente la vie quotidienne de l’époque. Elle offre une image universelle d’un moment de vie ordinaire.
« Il était midi, je suis allé dans mon quartier rôder du côté d’une boulangerie. Dans la queue, j’ai vu ce petit garçon, avec sa grand-mère, qui attendait son tour. Il était charmant, avec un petit air déluré. J’ai demandé à sa grand-mère : S’il vous plaît, madame, est-ce que vous m’autoriseriez à photographier ce garçon quand il sortira avec son pain ? J’aimerais bien le voir courir avec son pain sous le bras. Mais oui, bien sûr, si ça vous amuse, pourquoi pas ? »
Les amoureux de la Bastille, Paris, 1957
Lors d’une balade dans Paris, Ronis aperçoit un couple, de dos, qui contemple les toits de la capitale. Fugacement, il immortalise la scène. Cette image deviendra une des plus célèbres du photographe.
Eric CANTO Photographe : Photos de concerts, portraits, pochettes d’albums.
Il a fait du groupe des « pop stars authentiques », selon le Financial Times. En décembre 1996, ZZ Top Eliminator s’est vendu à plus de 11 millions d’exemplaires aux États-Unis, dix fois plus que n’importe quel album précédent de ZZ Top.
Ce fût la sortie la plus réussie de ZZ Top en 1983Les vidéos des chansons « Gimme All Your Lovin' »,« Sharp Dressed Man » et « Legs » étaient en rotation régulière sur MTV. Retour sur cet album de légende.
Memphis au début du printemps 1982 était chaud, collant et humide, comme n’importe quelle autre année.
Cependant, le changement était définitivement dans l’air pour trois gentlemen texans qui s’étaient réunis dans la ville, même brièvement, pour établir les pistes de base de ce qui serait leur huitième album.
Jusque-là, Billy Gibbons, Dusty Hill et Frank Beard, collectivement ZZ Top, avaient fait ensemble de la musique aussi fidèle à une tradition américaine que la tarte à la citrouille ; une musique imprégnée de blues électrique lancée par Jimmy Reed, Howlin’ Wolf, Muddy Waters et les deux Kings : BB et Albert.
Pourtant, à ce moment précis, ZZ Top se retrouve à un carrefour de sa carrière. Et en tant que leur chef, Gibbons au moins avait déterminé qu’ils ouvraient une nouvelle voie.
C’est Gibbons qui forme le groupe dans sa ville natale de Houston, soutenu par son directeur-producteur dévoué, l’entrepreneur et énigmatique Bill Ham. Le premier line-up de ZZ a duré juste assez longtemps pour couper un single en 1969, un modeste chugger intitulé Salt Lick, et garantir à Gibbons et Ham un accord avec London Records.
ZZ top Eliminator
Après quoi le bassiste Hill et le batteur Beard, déjà des vétérans du bar-band, ont été recrutés.Le troisième album du trio, Tres Hombres de 1973, a été leur percée, avec une série de disques courts, pointus et émouvants qui en ont fait le plus grand groupe culte des États-Unis.
Ce premier chapitre a atteint son apogée avec Tejas de 1976 et la tournée mondiale du Texas qui a suivi sur 19 mois et 96 dates à travers les États-Unis.
Après cette entreprise épique, le groupe s’est interrompu pour une pause de deux ans, au cours de laquelle Gibbons a parcouru l’Europe, Hill a visité le Mexique et Beard a fait un séjour prolongé en Jamaïque. Leur album de retour en 1979, Deguello, est resté fidèle à la formule et s’est vendu à un million.
Mais Gibbons avait ramassé un prototype d’échantillonneur/synthétiseur « Fairlight » lors de ses voyages et avait commencé à l’utiliser pour expérimenter de nouveaux sons.
Le prochain album El Loco de 1981, s’est avéré trop choquant pour le public du cœur de ZZ et s’est vendu moins de la moitié de son prédécesseur.
Transportant avant son groupe son album mal aimé à travers l’Europe, Gibbons est arrivé dans un club tard dans la nuit et a été frappé par le spectacle d’une foule de gens dansant sur le funk-a-thon aux membres élastiques des Rolling Stones Emotional Rescue.
Les aînés de Gibbons d’une demi-décennie et plus, les Stones venaient alors de se redéfinir comme des explorateurs frais, vibrants, voire sonores, alors que son propre groupe s’était coincé dans une ornière de leur propre fabrication.
ZZ top Eliminator, la conception
Le premier fruit éventuel de leur travail a été ZZ Top Eliminator, qui est devenu de loin l’album le plus réussi et le plus controversé de ZZ Top.
Dans les histoires respectives de Gibbons, Hill et Beard, ZZ Top Eliminator a été forgé pendant des mois de jam sessions très soudées, le groupe s’est d’abord retrouvé au Texas, puis dans leur studio préféré à Memphis.
Certes, les travaux ont commencé à la maison de Gibbons sur l’île de South Padre, un bout de terre qui s’avance dans l’océan depuis la côte du golfe du Texas. C’est là-bas au début de 1982 que Manning a expédié un studio d’enregistrement portable.
De là, l’enregistrement s’est déplacé vers la nouvelle maison de Beard à la périphérie de Houston.
Selon le batteur, pendant les semaines suivantes, Gibbons et Hill arrivaient chez lui à 13 heures et ils descendaient ensuite dans son studio au sous-sol pour forer les matières premières.
Ford modèle B8- 1933 Hot Rod
« Nous savions dans quelle direction nous allions, donc nous ne volions pas à l’aveuglette », déclare Beard. « Nous nous battions tous les trois jusqu’à ce que nous soyons fatigués, parfois vers 17 heures, d’autres jusqu’à minuit. Billy plaçait une feuille de papier au milieu du sol et écrivait les paroles sur le sabot. »
Un associé du groupe Linden Hudson, un ancien DJ, fait également partie de l’aventure. Hudson avait construit le studio de Beard au lieu de lui payer un loyer et avait auparavant effectué un travail de pré-production non crédité sur El Loco. Il a repris le même rôle maintenant, travaillant en particulier avec Gibbons. « Linden était une figure assez influente et inspirante », admet Gibbons.
Néanmoins, lorsque l’année suivante ZZ Top Eliminator sort, la contribution d’Hudson n’a pas été créditée une fois de plus. À cette occasion, il a intenté une action en justice, affirmant avoir été étroitement impliqué à la fois dans la création des sons et dans l’écriture des chansons de l’album. « Tout cela a été une déception particulière pour moi », raisonne maintenant Beard. « En gros, Linden était une sorte de gardienne de maison pour moi. Il s’est occupé de ma maison quand nous étions en tournée. Ce qui s’est passé avec lui a été une vraie galère. Mais il faut avancer. »
jaquette de l’album-ZZ Top Eliminator
Le travail sur les morceaux de base a commencé au Studio A des Ardent Studios avec Bill Ham comme producteur.
Installé dans un magasin en briques rouges indéfinissable à un mile du centre-ville et des clubs de blues de Beale Street, Ardent avait accueilli, entre autres, Led Zeppelin, Joe Cocker, Leon Russell et les garçons locaux Big Star et avait été la base d’opérations de ZZ. pour chaque album depuis Tres Hombres. Gibbons affirme que le groupe s’en est tenu dans l’ensemble à une « routine dorée », faisant le plein tous les jours de 9h à 21h.
« Ardent était un endroit tellement remarquable et un grand club de gentlemen », poursuit-il. Une grande partie de ce disque a fini par être faite dans le studio à Memphis. Après près d’un an d’enregistrement puis de mise au point, ZZ Top Eliminator (un terme pour gagner une course de dragsters), est sorti le 23 mars 1983. Convenablement accéléré et à indice d’octane élevé, il était également enveloppé de manière appropriée dans une couverture représentant un Coupé Ford 1933 rouge de course avec un moteur Corvette qui avait été construit sur mesure pour Gibbons en Californie.
L’utilisation de la voiture comme accessoire pour le groupe avait permis au guitariste d’en déduire le coût de l’impôt. Il a également joué un rôle de premier plan dans le médium par lequel ZZ Top Eliminator exploserait en tant que véritable phénomène.
ZZ Top Eliminator, le succès
Au total, cela sonnait le travail d’un tout nouveau groupe, mais encore une fois intemporel. Eliminator était un changement si important qu’il a incité les puristes du blues à accuser le groupe d’un acte de quasi-hérésie.
Pourtant, il a perduré à tel point que, 33 ans plus tard, il a fourni plus d’un tiers des morceaux de Live Greatest Hits From Around The World, l’album live du groupe à l’époque.
« Mais si nous ne jouions pas ces chansons, nous serions probablement suspendus par les talons », note Frank Beard avec optimisme.
Et si à la surface, il est apparu une déclaration musicale entièrement cohérente, il se cache une vérité plus alambiquée et controversée derrière l’histoire de sa fabrication qui continue de garder des secrets et de fermenter le mauvais sang. À ce jour, Eliminator s’est vendu à plus de 20 millions d’exemplaires dans le monde.
De plus, cela a eu un effet quasi instantané et profond sur la façon dont les disques de rock seraient faits pour sonner dans les années 80 et au-delà et en utilisant la technologie nouvellement disponible.
« Bien sûr, c’est toujours génial d’être associé à quelque chose qui devient un succès mondial, et cela a influencé ce qui est arrivé plus tard dans la musique – certains pour le bien, mais d’autres pour le pire », suggère-t-il. « Malheureusement, cela a peut-être contribué à la chute du rock’n’roll, à cause de la façon dont d’autres personnes ont commencé à utiliser des machines et des choses. »
ZZ top Eliminator, Conclusion :
En conclusion, l’album ZZ Top Eliminator est un album incontournable pour tous les fans de rock et de blues. Avec son mélange unique de guitares acérées, de rythmes entraînants et de paroles pleines d’humour, cet album a propulsé le groupe sur le devant de la scène et a contribué à redéfinir le rock pour les années 1980.
L’album contient des classiques tels que « Gimme All Your Lovin' », « Sharp Dressed Man » et « Legs », qui ont tous été des succès majeurs à l’époque et ont continué à être diffusés en radio et à apparaître dans des films et des émissions de télévision. Mais ZZ Top Eliminator est plus qu’un simple album de tubes ; il est cohérent dans son style et son approche, et chaque chanson est un témoignage de la créativité, de l’originalité et de l’habileté musicale du groupe.
Malgré le passage des années, ZZ Top Eliminator reste un album intemporel qui a inspiré des générations de musiciens et de fans de musique à travers le monde. Si vous ne l’avez pas encore écouté, il est grand temps de découvrir ce classique du rock et du blues et de vous laisser transporter par l’énergie contagieuse de ZZ Top.
ZZ Top, Dusty Hill et Billy Gibbons
Eric CANTO Photographe : Photos de concerts, portraits, pochettes d’albums.
1. Qu’est-ce que « ZZ Top Eliminator » de ZZ Top ?
« ZZ Top Eliminator » est le huitième album studio du groupe de rock américain ZZ Top, sorti en 1983. Il est considéré comme l’un des albums les plus influents de l’histoire du rock, car il a marqué un tournant dans le son et le style du groupe.
2. Quel est le son de « ZZ Top Eliminator » ?
Le son de « Eliminator » est un mélange unique de blues, de rock, de funk et de synthpop. Le groupe a utilisé des synthétiseurs pour la première fois sur cet album, ce qui a donné à leur musique un son plus moderne et plus commercial. Cependant, le son de base du groupe, qui est le blues rock, est toujours présent sur l’album.
3. Quels sont les morceaux les plus célèbres de « ZZ Top Eliminator » ?
« ZZ Top Eliminator » contient plusieurs des plus grands succès de ZZ Top, notamment « Gimme All Your Lovin' », « Sharp Dressed Man » et « Legs ». Ces chansons ont été largement diffusées à la radio et ont été accompagnées de clips vidéo très populaires diffusés en rotation sur MTV à l’époque.
4. Quelle est l’histoire derrière la pochette de l’album « Eliminator » ?
La pochette de « ZZ Top Eliminator » présente une voiture personnalisée rouge vif surnommée « The Eliminator », qui est devenue un symbole emblématique du groupe. Cette voiture a été construite spécialement pour le groupe par Billy Gibbons et a été utilisée dans plusieurs de leurs clips vidéo. La voiture est maintenant exposée dans le Rock and Roll Hall of Fame.
5. Quelle est l’influence de « Eliminator » sur la musique rock ?
« ZZ Top Eliminator » a eu une influence considérable sur la musique rock, car il a marqué une évolution importante du son et du style de ZZ Top. L’utilisation de synthétiseurs et de boîtes à rythmes a influencé de nombreux autres groupes de rock des années 1980, notamment Def Leppard et Bon Jovi.
6. Quels sont les producteurs de « Eliminator » ?
« ZZ Top Eliminator » a été produit par Bill Ham, le producteur historique de ZZ Top, et par le célèbre producteur anglais Terry Manning, qui a travaillé avec des artistes tels que Led Zeppelin et Lenny Kravitz.
7. Comment a été accueilli « Eliminator » par la critique à sa sortie ?
« ZZ Top Eliminator » a été très bien accueilli par la critique à sa sortie en 1983. Les critiques ont salué l’album pour son son novateur et son mélange unique de blues et de synthpop. L’album a également connu un grand succès commercial, atteignant la 9e place du Billboard 200 et étant certifié disque de diamant aux États-Unis.
8. Comment a évolué la musique de ZZ Top après « Eliminator » ?
Après « ZZ Top Eliminator », ZZ Top a continué à évoluer et à explorer de nouveaux styles musicaux. Le groupe a sorti plusieurs albums qui ont rencontré un succès modéré, notamment « Afterburner » en 1985, qui a suivi la même direction que « Eliminator » avec l’utilisation de synthétiseurs et de boîtes à rythmes. Cependant, le groupe est retourné à ses racines blues rock avec des albums tels que « Recycler » en 1990 et « Antenna » en 1994. Plus récemment, ZZ Top a sorti « La Futura » en 2012, qui a été salué pour son retour aux sonorités blues rock traditionnelles.
9. Quelle est la place de « Eliminator » dans l’histoire de ZZ Top ?
« ZZ Top Eliminator » est l’album le plus connu et le plus populaire de ZZ Top. Il a permis au groupe de conquérir un nouveau public et a marqué un tournant dans leur carrière musicale. La voiture « The Eliminator » est devenue un symbole emblématique du groupe et est encore associée à leur musique aujourd’hui.
10. Quelles sont les influences de ZZ Top sur la musique rock ?
ZZ Top est considéré comme l’un des groupes les plus influents de l’histoire du rock. Leur son unique, qui mélange blues, rock et funk, a influencé de nombreux autres artistes, notamment Lynyrd Skynyrd, Guns N’ Roses et Black Crowes. De plus, leur utilisation de synthétiseurs et de boîtes à rythmes sur « Eliminator » a eu un impact significatif sur la musique rock des années 1980 et a inspiré de nombreux autres groupes à explorer de nouveaux sons et styles.
Ce groupe de rock américain formé en 1969 à Houston, au Texas a traversé les décennies. De ces cinquante et quelques années de musique, restent des tubes légendaires dont le morceau phare La Grange, ainsi que « Tube Snake Boogie », « I Gotsta Get Paid » et tant d’autres…
Voici la petite histoire de ce tube mondialement connu.
Alors, de quoi parlait vraiment « ZZ Top La Grange » ?
Ce petit groupe du Texas, ZZ Top, est bien connu pour ses paroles humoristiques. Leur première chanson à succès, « La Grange », a attiré l’attention du monde entier sur la ville de La Grange, au Texas. Ou plus précisément, l’une des attractions de La Grange.
Le parolier principal de ZZ Top est le chanteur à la guitare Billy Gibbons. Combinant un mélange d’humour et de narration, il peint un portrait vivant de lieux, de personnes et d’événements qui passeraient autrement sous le radar de la population.
La Grange est le single extrait de leur 3e album Tres Hombres, sorti en 1973.
C’est une petite chansonnette sur une « cabane à l’extérieur de La Grange ». La Grange » est principalement un jam instrumental de forme libre débordant du solo de blues débridé de Gibbons. Les quelques paroles qu’il contient ont été inspirées par le tristement célèbre bordel Chicken Ranch situé à l’extérieur de La Grange, au Texas.
ZZ Top La Grange, The Chicken Ranch
En effet, principalement connu sous le nom de Chicken Ranch (le ranch du poulet), La Grange était un bordel texan ouvert de 1905 à 1973. Une simple ferme sans aucun signe annonçant son objectif, le Chicken Ranch fonctionnait avec la connaissance, sinon la bénédiction, des politiciens locaux et des forces de l’ordre.
The Chicken Ranch », ou la pension de Miss Edna à La Grange, était probablement le plus ancien établissement du Texas dédié à la plus ancienne profession. Il a été fermé par un journaliste de télévision zélé de Houston, qui n’a pas trouvé assez de vice et de corruption pour faire un reportage à Houston.
Il a défié le gouverneur sur la question de savoir pourquoi il continuait à fonctionner à la vue de tous. Le gouverneur n’a eu d’autre choix que d’ordonner au shérif de le fermer.
Les filles de Mlle Edna recevaient des visites hebdomadaires des médecins locaux, elles étaient donc « propres ». Les filles ont dépensé leur argent à La Grange et lorsqu’un nouvel hôpital a été nécessaire, Mlle Edna a fait le premier et le plus gros don.
La majeure partie du bâtiment est toujours debout, seule une pièce a été déplacée à Dallas pour une discothèque.
Un « Dix pour entrer » était le prix. Il y avait un code vestimentaire strict pour les clients – seuls les hommes bien habillés étaient autorisés à entrer.
L’endroit dans cette chanson est le sujet du film de 1982 The Best Little Whorehouse In Texas, avec Dolly Parton et Burt Reynolds, qui a été adapté d’une pièce de Broadway de 1978.
Dans une interview accordée en 1985 au magazine Spin, le bassiste de ZZ Top, Dusty Hill, expliquait :
« Avez-vous déjà vu le film, The Best Little Whorehouse in Texas ? C’est de cela qu’il s’agit. J’y suis allé quand j’avais 13 ans. , quand il est temps d’être un mec, est allé là-bas et l’a fait. Les pères ont emmené leurs fils là-bas.Vous ne pouviez pas jurer là-dedans. Tu ne pouvais pas boire. Il avait un air de respectabilité.
C’est la femme qui dirigeait l’endroit, et vous savez qu’elle ne ressemblait pas non plus à Dolly Parton. Je vais vous dire, c’était une femme d’apparence méchante. Mais les travailleurs des champs pétrolifères et les sénateurs seraient tous les deux là.
L’endroit était ouvert depuis plus de 100 ans, puis ce connard décide qu’il va faire un exposé et le fermer. Et il a tellement remué que ça a dû fermer.La Grange est une toute petite ville, et les petites villes du Texas sont vraiment conservatrices. Mais ils se sont battus contre cela. Ils ne voulaient pas qu’il soit fermé, car c’était comme un point de repère.
C’était dans un petit ranch en dehors de la ville, le Chicken Ranch. Quoi qu’il en soit, nous avons écrit cette chanson et l’avons sortie, et elle était sortie peut-être trois mois avant qu’ils ne la ferment. Ça m’a énervé. C’était un bordel, mais tout ce qui dure cent ans doit avoir une raison. »Comme le rappelle Gibbons, «En grandissant au Texas, il y avait deux exigences pour devenir viril: vous deviez visiter La Grange et vous deviez vous rendre à la frontière mexicaine. Nous avons en quelque sorte capturé les deux en un seul voyage. »
ZZ Top La Grange, un morceau inspiré de Buddy Holly
Le guitariste se réfère à « Peggy Sue Got Married » de Buddy Holly, la suite du pionnier du rock à « Peggy Sue », comme inspiration de composition.
« Cette chanson nous a montré que vous n’aviez pas à rimer chaque strophe ou couplet », dit Gibbons. Ce morceau a non seulement inspiré le hit ZZ Top de 1973, mais aussi les adaptations de Broadway et cinématographiques de The Best Little Whorehouse in Texas.
Billy Gibbons a expliqué comment il avait obtenu son son de guitare sur ce morceau dans une interview de 1995 avec Guitar World.
« C’est de la guitare directement dans l’ampli, une Strat de 1955 avec un cordier d’arrêt via un Marshall Super Lead 100 de 1969. Ce son fuzz dans le lead et à l’avant et à l’arrière de la composition n’est qu’une pure distorsion à lampe.
Les différentiels de réglage tiennent compte des différentes tonalités. La partie d’ouverture a été jouée sur ce que nous avions l’habitude d’appeler «le réglage mystérieux» dans les jours sombres avant l’existence de l’interrupteur à bascule à cinq positions, lorsque trouver ce «tweener» parfait nécessitait du dévouement. »
ZZ top La Grange, un tube mondialement connu
Ce tube blues a été le premier single du groupe à faire une brèche dans le Billboard Hot 100 (atteignant le numéro 41), et il a propulsé leur troisième album, Tres Hombres de 1973, dans le Top 10.
En 1974, il était classé 15ème en Australie dans le Go-Set National Top 40.« La genèse et, bien sûr, le cœur de la chanson était ce backbeat boogie, que tout le monde et leur frère ont appris à jouer », dit Gibbons.
« La rumeur se répand dans cette ville du Texas, au sujet de la grange près de La Grange, et vous savez de quoi je parle. Faites moi juste savoir si vous voulez y aller, dans cette maison là-bas dans les pâturages, oui il y a beaucoup de jolies filles Ah. Ayez pitié, Ah haw, haw, haw, haw, a haw. Bon, j’entends que c’est OK si vous avez le temps, et le pognon pour pouvoir y aller. A hmm, hmm hmm, hmm. Et j’entends que c’est complet presque tous les soirs, mais maintenant je peux me tromper… Hmm, hmm, hmm, hmm. Ayez pitié… »
« C’était une chanson importante en termes de carrière, et à bien des égards, c’était la parfaite introduction de ZZ Top au monde », déclare Billy Gibbons à propos de la chanson.
ZZ Top, Dusty Hill et Billy Gibbons
Eric CANTO Photographe : Photos de concerts, portraits, pochettes d’albums.
« ZZ Top La Grange » est une chanson emblématique du groupe de rock américain ZZ Top, sortie en 1973 sur l’album « Tres Hombres ». Elle a été écrite par le guitariste Billy Gibbons et est considérée comme l’une des chansons les plus populaires et les plus reconnaissables du groupe.
2. Quelle est l’histoire de « ZZ Top La Grange » ?
« ZZ Top La Grange » a été écrite par Billy Gibbons après avoir visité un bordel à La Grange, au Texas. La chanson raconte l’histoire d’un homme qui visite la maison close et tombe sous le charme d’une prostituée nommée Mona. Gibbons a déclaré que la chanson était inspirée par ses expériences personnelles et celles de ses amis qui fréquentaient les bordels du Texas.
3. Quel est le style musical de « ZZ Top La Grange » ?
« ZZ Top La Grange » est un mélange de blues rock et de boogie woogie, avec un rythme entraînant et une guitare électrique saturée caractéristique du son de ZZ Top. La chanson est souvent considérée comme un exemple classique du style de blues rock sudiste, et est souvent utilisée comme référence pour décrire ce genre musical.
4. Comment « ZZ Top La Grange » est-elle devenue populaire ?
« ZZ Top La Grange » a d’abord connu un succès limité, mais elle est devenue beaucoup plus populaire après que la station de radio KILT à Houston, au Texas, l’a ajoutée à sa liste de lecture en 1974. La chanson a ensuite été diffusée dans d’autres stations de radio aux États-Unis et est rapidement devenue un succès national.
5. « La Grange » a-t-elle été reprise par d’autres artistes ?
Oui, « ZZ Top La Grange » a été reprise par de nombreux artistes dans différents styles musicaux. Les versions les plus célèbres incluent celles de Kid Rock, Dwight Yoakam et Motley Crue. La chanson a également été utilisée dans de nombreux films et publicités, et est souvent considérée comme l’un des morceaux les plus emblématiques de ZZ Top.
6. Quelle est la signification des paroles de « ZZ Top La Grange » ?
Les paroles de « ZZ Top La Grange » racontent l’histoire d’un homme qui tombe sous le charme d’une prostituée nommée Mona dans une maison close à La Grange, au Texas. Les paroles sont souvent considérées comme provocantes et crues, mais elles sont également appréciées pour leur langage imagé et leur description vivante de la scène.
7. Qui a écrit « ZZ TopLa Grange » ?
« ZZ Top La Grange » a été écrite par le guitariste de ZZ Top, Billy Gibbons. Gibbons a également chanté la chanson, accompagné de Dusty Hill à la basse et de Frank Beard à la batterie.
8. Quelle est la place de « La Grange » dans l’histoire de ZZ Top ?
« ZZ Top La Grange » est l’une des chansons les plus emblématiques de ZZ Top et a été un grand succès pour le groupe. Elle est considérée comme l’un de leurs morceaux les plus populaires et est souvent mentionnée comme l’un des exemples les plus représentatifs du son de ZZ Top. La chanson a également contribué à la notoriété du groupe et a aidé à établir leur réputation en tant que l’un des groupes de rock les plus influents des années 1970.
9. Quel est l’impact de « La Grange » sur la musique en général ?
« ZZ Top La Grange » est souvent citée comme l’une des chansons les plus influentes de l’histoire du rock. Elle a été une source d’inspiration pour de nombreux artistes et a contribué à populariser le style de blues rock sudiste. La chanson est également considérée comme un exemple classique du son de guitare électrique saturée et de boogie woogie, et est souvent utilisée comme référence pour décrire ce genre musical.
10. Quel est le clip vidéo de « La Grange » ?
Le clip vidéo de « ZZ Top La Grange » a été tourné en 1983 et montre ZZ Top jouant la chanson dans un décor inspiré de la maison close de La Grange. Les membres du groupe sont habillés en costumes noirs et chapeaux de cowboy, et la vidéo présente également des images de femmes en tenue de prostituée. Le clip a été diffusé en rotation régulière sur MTV et est souvent considéré comme l’un des meilleurs clips de ZZ Top.
Apprendre la photo de musique live dans le cadre d’un concert peut être une tâche difficile. Il y a beaucoup de restrictions: beaucoup de mouvement, peu de lumière, beaucoup de rétro-éclairage, des angles difficiles à trouver, des objets parasites sur scène, la tête du géant juste devant vous … Nous vous proposons 8 astuces pour apprendre la photo de musique.
Conseils utiles, pratiques et faciles à utiliser pour prendre de très belles photos de musique live !
Un concert est toujours une révélation du chanteur ou du musicien à son public. Apprendre la photo de musique c’est aussi apprendre à capturer les moments les plus forts d’un concert. Essayez de construire votre image en anticipant les moments émotionnels et en étant réactif au lieu de vous déchaîner tout au long du concert. Ils deviennent plus efficaces, plus efficaces … et peuvent profiter un peu plus de l’ambiance musicale du concert !
Il est aussi primordial de s’intéresser à ce que l’artiste fait avant le concert. Connaitre la musique de l’artiste shooté peut permettre d’anticiper des actions. Cela donne aussi des informations sur l’ambiance, cela instaure aussi un climat dans lequel se plonger avant que la lumière s’éteigne…
2. La Composition est l’élément primordial pour apprendre la photo de musique
Avant de penser aux limites techniques et de choisir votre mode (manuel, semi-automatique, tout automatique): pensez à votre composition. De nombreux éléments peuvent structurer votre photo lors d’un concert et former des lignes de force: matière scénique, dynamique et lignes créées par les instruments, notamment guitares et basses, rayons de lumière …
Apprendre la photo de musique, c’est avant tout apprendre à utiliser la composition afin de rendre la photo intéressante en dehors de son sujet.
3. Choisir l’exposition en fonction de votre sujet et jouer avec la lumière.
L’éclairage d’un concert offre de grandes opportunités photographiques. Pour apprendre la photo de concert, essayez de réfléchir à la différence de luminosité entre le sujet et l’arrière-plan. Elle est souvent très importante, il peut donc être intéressant de jouer avec les contrastes. Faites attention au jeu des ombres et de la lumière pour votre composition. Selon l’élément central de votre photo, trois modes de mesure de l’exposition peuvent être sélectionnés:
– « Mode Spot » limité à une très petite zone (par exemple mise au point sur un visage)
– « Mode pondéré central »: intéressant si le sujet est au milieu et à la lumière
– « Mode Matriciel »: Moyenne sur toute la scène pour régler la sensibilité et le mode d’enregistrement
Avec un smartphone, vous pouvez télécharger une application qui vous permet de varier l’exposition et de sous-exposer vos images de deux ou trois crans.
photo de musique
4. Ne pas trop monter en ISO…mais un peu quand même.
Si le flash compense généralement le manque de lumière, il n’est pas conseillé de l’utiliser pour photographier des musiciens. D’abord parce qu’elle peut surprendre et déranger les artistes et ensuite parce que le flash déforme l’atmosphère lumineuse de la scène et du concert pour de la photo de musique.
Pour compenser ce manque de lumière, augmentez la sensibilité ISO de votre appareil photo à plus de 1000 si votre appareil le permet (cela évite le flou et capture mieux la lumière).
Mais attention: cela nécessite de connaître les limites de votre appareil photo et s’il peut « grimper » en ISO sans que le « bruit » numérique soit trop important (rugosité / grain qui apparaît sur la photo si Vous grimpez trop fort en ISO).
Et deuxième point de vigilance: pensez à réinitialiser votre ISO à des valeurs inférieures à la fin du concert! (Cela évite les mauvaises surprises lors de la prise de nouvelles photos dans des conditions lumineuses plus favorables!).
5. Garder un œil sur la vitesse d’obturation
La restauration de la dynamique d’un concert dans une photo est l’un des éléments les plus puissants d’une photo de scène. Il est également important de garder un œil sur la vitesse d’obturation quel que soit le mode utilisé (P, A ou M).
Cependant, gardez à l’esprit qu’il vous sera difficile de prendre une photo nette en dessous de 1/100 ou 1/60. En jouant sur la vitesse (priorité à la vitesse), vous pouvez choisir quel élément de l’image doit être rendu dynamique, sur quel élément vous voulez créer un flou de mouvement: plus votre vitesse est lente, plus l’effet de flou de votre sujet en mouvement devient important.
Il est également utile de choisir correctement le mode de mise au point automatique pour restaurer la scène dynamique. En termes d’autofocus, l’AF-C est souvent le mieux adapté pour suivre dynamiquement le sujet en mouvement sur scène ou dans la foule.
photo de musique : conseils
6. Garder le public à l’œil !
De la fosse ou rétrospectivement, la foule est toujours très intéressante d’un point de vue photographique en matière d’émotions. Vous pouvez choisir si vous souhaitez couvrir une large zone ou vous concentrer sur quelques téléspectateurs qui attirent votre attention: le résultat est souvent fort et vivant.
Surtout, n’oubliez pas de saisir l’instant ! Pour apprendre la photo de concert, il faut avant tout apprendre à regarder autour de soi et prendre en considération la scène mais aussi le public !. Il serait dommage de se concentrer uniquement sur votre appareil et d’oublier les artistes devant vous !
7. Réfléchir à sa position et bouger !
Le choix de votre place est essentiel sur la photo de musique live. Les meilleures positions diffèrent selon le type d’images et l’angle de vue souhaité. La fosse est idéale pour les gros plans de chanteurs.
Il vous permet de saisir avec précision les expressions des musiciens. Pour les photos ambiantes où une photo plus large montre également le public, il peut être utile de prendre un peu de hauteur ou de prendre du recul.
Vous pouvez également jouer avec courage et essayer d’autres aspects plus inhabituels, par exemple B. prenez des photos dans les coulisses ou directement depuis la scène! Pour les petits groupes, n’hésitez pas à demander au préalable aux musiciens si vous pouvez prendre des photos sur scène ou dans les coulisses: vous serez souvent très heureux de retrouver vos photos!
8. Apprendre la photo de musique « live », c’est aussi respecter les règles.
Que cela soit une petite salle ou un festival, la production, le management donnent des consignes. C’est un point primordiale à respecter si vous souhaitez faire de la photo de musique, être accrédité et éviter d’être black-listé.
En dehors du fait que les consignes doivent être respectées car c’est un engagement du photographe de musique, si vous acceptez une accréditation, vous acceptez les consignes qui vont avec.
Personne ne vous oblige à venir shooter, la moindre des choses est de rester respectueux pour vous, mais aussi pour vos collègues photographes.
Eric CANTO Photographe : Photos de concerts, portraits, pochettes d’albums.
Les Arctic Monkeys, c’est un peu comme cette vieille paire de baskets que vous ne voulez jamais jeter : toujours là, toujours à la mode, et qui vous surprennent à chaque nouveau pas. Formé en 2002 à Sheffield, ce quatuor britannique est passé d’un groupe de garage à l’une des formations rock les plus influentes du XXIe siècle. Mais comment ont-ils fait ? Comment un groupe, dont les premières démos circulaient sur MySpace, a-t-il conquis le monde et redéfini les codes du rock moderne ?
Dans cet article, on va plonger dans l’histoire des Arctic Monkeys, analyser leur évolution musicale, explorer leur impact culturel, et se demander : quel sera leur prochain coup de maître ? Mais avant de nous plonger dans les détails, laissez-moi vous dire une chose : si vous n’avez jamais écouté « Do I Wanna Know? », vous êtes passé à côté d’un morceau de l’histoire. Allez-y, mettez vos écouteurs, et préparez-vous à découvrir pourquoi les Arctic Monkeys sont bien plus qu’un simple groupe de rock.
I. Histoire des Arctic Monkeys : Des débuts modestes à la gloire mondiale
1.1 La genèse des Arctic Monkeys
Tout commence à Sheffield, une ville industrielle du nord de l’Angleterre. Dans cette ville grise, bercée par la pluie et les fumées des usines, un jeune Alex Turner, fils unique d’un professeur de musique et d’une prof de lycée, découvre le rock. Avec ses amis d’enfance, Jamie Cook (guitariste), Nick O’Malley (basse), et Matt Helders (batterie), il forme un petit groupe sans grande prétention.
Ils commencent comme beaucoup d’autres : des répétitions dans le garage des parents, quelques concerts dans des bars locaux et des reprises de groupes comme The Strokes et Oasis. Mais très vite, une chose se démarque : la plume d’Alex Turner. Il n’est pas qu’un simple auteur-compositeur. Ses textes sont bruts, pleins d’ironie et de poésie, des instantanés de la jeunesse anglaise, un peu comme des photos Polaroid accompagnées de riffs cinglants.
1.2 L’explosion grâce à Internet
Nous sommes en 2005. Les réseaux sociaux commencent à peine à émerger. MySpace, plateforme populaire à l’époque, devient un terrain fertile pour les jeunes groupes de musique. Et c’est là que la magie opère. Leurs fans commencent à partager des démos du groupe sur Internet, et sans qu’ils s’en rendent compte, les Arctic Monkeys deviennent viraux.
Leur premier single, « I Bet You Look Good on the Dancefloor« , sorti en octobre 2005, est un véritable tremblement de terre. Il se hisse directement à la première place des charts britanniques. Quelques mois plus tard, leur premier album « Whatever People Say I Am, That’s What I’m Not » devient l’album le plus rapidement vendu de l’histoire du Royaume-Uni. Pas mal pour des jeunes de 20 ans, non ?
1.3 De la scène indie à l’international
Le succès des Arctic Monkeys ne se limite pas au Royaume-Uni. Leurs performances à des festivals comme Glastonbury les propulsent sur la scène internationale. Leur son énergique, un mélange de garage rock, punk et indie, séduit des foules du monde entier. Et ce qui est encore plus impressionnant, c’est leur capacité à rester fidèles à leurs racines tout en évoluant musicalement.
Leur deuxième album, « Favourite Worst Nightmare« , sort en 2007 et reçoit des critiques dithyrambiques. Avec des morceaux comme « Fluorescent Adolescent » et « 505« , l’album consolide leur statut de stars mondiales. Mais ce n’est que le début. Le meilleur reste à venir.
II. Analyse musicale des Arctic Monkeys : Une alchimie unique entre les genres
2.1 Le son Arctic Monkeys : Une fusion de rock et de pop indie
Alors, qu’est-ce qui fait que les Arctic Monkeys sonnent comme… les Arctic Monkeys ? Ce sont les guitares, bien sûr. Jamie Cook, avec son jeu tranchant et ses riffs mémorables, est au cœur du son du groupe. Dès les premières notes de « I Bet You Look Good on the Dancefloor« , vous savez que vous écoutez un groupe qui ne fait pas dans la dentelle. Mais il y a plus.
La véritable arme secrète des Arctic Monkeys, c’est Alex Turner. Ses textes sont aussi importants que la musique elle-même. Il a cette capacité rare de capturer des moments de vie en une seule phrase, un peu comme un photographe qui saisit une image au moment parfait. Que ce soit dans « A Certain Romance » ou « Do Me a Favour« , les paroles d’Alex Turner résonnent avec une authenticité brute.
2.2 Des évolutions sonores majeures
Les Arctic Monkeys ne sont pas du genre à rester dans leur zone de confort. Si leurs deux premiers albums sont dans la veine du rock indie énergique, leur troisième album, « Humbug« , marque un changement de cap. Produit par Josh Homme des Queens of the Stone Age, cet album plonge dans des sonorités plus sombres, psychédéliques. Certains fans sont un peu déroutés par cette évolution, mais pour beaucoup, c’est la preuve que le groupe n’a pas peur d’expérimenter.
Puis vient l’album « AM » en 2013, un véritable chef-d’œuvre qui fusionne le rock, le hip-hop et des influences R&B. Avec des titres comme « Do I Wanna Know? » et « R U Mine?« , les Arctic Monkeys atteignent un niveau de maturité musicale impressionnant. Cet album est un véritable carton, aussi bien en termes de ventes qu’auprès des critiques. On y trouve des rythmes plus lents, des ambiances plus feutrées, mais toujours cette énergie brute qui caractérise le groupe.
2.3 Le groupe face aux critiques
Les Arctic Monkeys n’ont pas toujours été encensés par la critique. À chaque nouvelle sortie, ils prennent des risques, et cela ne plaît pas à tout le monde. Pourtant, c’est cette capacité à se réinventer qui fait leur force. Ils ne se contentent pas de reproduire la même formule album après album. Et c’est précisément pour cela qu’ils sont devenus l’un des groupes les plus importants du XXIe siècle.
III. L’impact culturel et générationnel des Arctic Monkeys : Pourquoi ce groupe reste-t-il incontournable ?
3.1 Les Arctic Monkeys et la scène rock britannique moderne
Si on doit résumer l’impact des Arctic Monkeys en une phrase, ce serait celle-ci : ils ont redéfini la scène rock britannique moderne. Leur succès a ouvert la voie à toute une nouvelle génération de groupes indie. Des groupes comme The 1975 ou Blossoms ont clairement été influencés par les Arctic Monkeys, que ce soit par leur approche musicale ou leur manière de se connecter avec leurs fans via Internet.
Mais leur impact va bien au-delà de la musique. Les Arctic Monkeys, c’est aussi une attitude, un look, une esthétique. Leur style vestimentaire – vestes en cuir, cheveux gominés, look vintage – est devenu emblématique et a influencé une génération entière de jeunes.
3.2 Une influence mondiale
Ce qui est fascinant avec les Arctic Monkeys, c’est leur capacité à séduire des publics aussi bien en Europe qu’aux États-Unis. Contrairement à de nombreux groupes britanniques, qui peinent à s’imposer outre-Atlantique, les Arctic Monkeys ont réussi à conquérir le public américain, notamment grâce à leur son évolutif et à leurs performances live percutantes. Ils ont même joué au mythique festival de Coachella, une consécration pour n’importe quel groupe de rock.
3.3 Les fans et la culture Arctic Monkeys
Les fans des Arctic Monkeys sont une force vive. Présents depuis le tout début, ils ont suivi le groupe dans toutes ses évolutions. Aujourd’hui, les réseaux sociaux sont remplis de communautés dédiées au groupe, partageant des théories sur les nouvelles chansons, analysant chaque interview d’Alex Turner, et créant des mèmes autour de leurs albums.
IV. Le futur des Arctic Monkeys : Où va le groupe ? (suite)
4.3 Un groupe en perpétuelle réinvention
Une des plus grandes forces des Arctic Monkeys est leur capacité à se réinventer sans perdre leur identité. Cela pourrait sembler paradoxal, mais c’est précisément ce qui fait leur longévité. Là où d’autres groupes auraient pu se reposer sur leurs lauriers après un premier album explosif, les Arctic Monkeys ont décidé de toujours chercher de nouveaux horizons musicaux, que ce soit dans la production, les influences ou même les paroles. Leur album « Tranquility Base Hotel & Casino », sorti en 2018, en est un excellent exemple.
Avec cet album, Alex Turner et son groupe ont pris un virage totalement inattendu. Là où leurs fans attendaient un nouvel opus dans la continuité d’« AM », avec ses sonorités rock et ses rythmes accrocheurs, ils ont eu droit à une œuvre plus expérimentale, mêlant des influences jazz, lounge et même des éléments de space rock. C’était un pari risqué, et si une partie des critiques n’a pas été tendre avec ce changement de direction, beaucoup d’autres y ont vu une évolution audacieuse, signe que le groupe refusait de se répéter.
4.4 Tranquility Base Hotel & Casino : un tournant audacieux
Sortir un album comme « Tranquility Base Hotel & Casino » après le succès de « AM » aurait pu être un suicide commercial pour n’importe quel autre groupe. Après tout, « AM » avait non seulement consolidé leur statut de superstars mondiales, mais il avait également réussi à capter un public bien plus large, allant au-delà des simples fans de rock. Pourtant, les Arctic Monkeys ont pris le risque de s’éloigner de ce son grand public pour offrir un album bien plus introspectif et expérimental.
Dès les premières notes de « Star Treatment », le premier titre de l’album, il est clair que l’on se dirige vers une nouvelle direction musicale. Turner abandonne son image de rock star sexy pour endosser le rôle d’un narrateur un peu mélancolique, un peu détaché, parlant d’un hôtel fictif sur la Lune. Les claviers prédominent, les guitares se font plus discrètes, et les paroles se teintent de références philosophiques et politiques.
Ce n’est pas l’album le plus accessible du groupe, loin de là, mais c’est probablement l’un de leurs projets les plus intrigants. Si les fans hardcore de la première heure ont parfois eu du mal à s’y retrouver, cet album a également permis au groupe de toucher un public différent, plus sensible à l’expérimentation musicale. C’est la preuve que les Arctic Monkeys sont toujours en quête de nouvelles façons d’exprimer leur créativité, sans craindre de décevoir ceux qui s’attendent à des reprises constantes de leurs plus grands succès.
V. L’influence des Arctic Monkeys dans l’industrie musicale moderne
5.1 Une génération de groupes influencés par les Arctic Monkeys
Il est impossible de parler de l’héritage des Arctic Monkeys sans évoquer leur influence sur la nouvelle génération de groupes rock. Depuis leurs débuts, des centaines d’artistes et de groupes ont cité les Arctic Monkeys comme une source d’inspiration majeure. Mais qu’est-ce qui rend leur musique si influente ?
Pour commencer, leur ascension fulgurante grâce à Internet a montré à une nouvelle génération de musiciens qu’il était possible de réussir sans passer par les circuits traditionnels de l’industrie musicale. Leur succès sur MySpace a pavé la voie pour des groupes comme The 1975 ou Catfish and the Bottlemen, qui ont également utilisé les réseaux sociaux pour se faire connaître.
Ensuite, il y a leur style musical éclectique. Les Arctic Monkeys ont prouvé qu’il était possible de mélanger plusieurs genres tout en gardant une identité forte. Cette approche a inspiré des artistes à ne pas se limiter à un seul style, mais à explorer différentes influences pour créer leur propre son. Des groupes comme Blossoms, Circa Waves et même Tame Impala ont tous été marqués, d’une manière ou d’une autre, par l’audace créative des Arctic Monkeys.
Enfin, il ne faut pas oublier l’impact des paroles d’Alex Turner. Ce dernier a su capturer l’essence de la jeunesse britannique dans ses textes, en abordant des thèmes aussi variés que l’amour, l’amitié, la frustration, et même la politique. Cette authenticité a inspiré une génération entière de jeunes auteurs-compositeurs à être plus sincères et directs dans leur écriture, créant ainsi un lien plus fort avec leur public.
5.2 L’influence des Arctic Monkeys sur le rock moderne
Dans un paysage musical souvent dominé par la pop, le hip-hop et l’électro, les Arctic Monkeys ont réussi à garder le rock pertinent et excitant. Ils ont su moderniser ce genre tout en restant fidèles à ses racines. En combinant des éléments du garage rock, du post-punk et même du hip-hop, ils ont créé un son hybride qui parle autant aux fans de rock pur et dur qu’aux amateurs de musique plus grand public.
Aujourd’hui, il est difficile d’imaginer la scène rock sans l’influence des Arctic Monkeys. Leur empreinte est partout, des festivals comme Reading & Leeds aux playlists de millions de jeunes fans de musique à travers le monde. Et même si leur style a évolué au fil des années, ils ont toujours gardé cette énergie brute et cet amour pour le rock qui les a propulsés sur le devant de la scène.
5.3 Un héritage durable dans l’histoire du rock
Les Arctic Monkeys sont désormais considérés comme un groupe légendaire, et à juste titre. Avec chaque album, ils ont repoussé les frontières de ce qu’un groupe de rock moderne peut accomplir. Leur musique, leurs paroles, et même leur esthétique ont marqué l’histoire du rock, et il ne fait aucun doute qu’ils laisseront une empreinte durable pour les décennies à venir.
Si vous êtes un amateur de rock, il est probable que vous avez déjà une place spéciale pour les Arctic Monkeys dans votre cœur. Et si vous êtes simplement curieux, leur discographie vous promet une aventure musicale passionnante, remplie de surprises et d’émotions.
VI. Conclusion : Les Arctic Monkeys, un groupe qui continue d’innover
Les Arctic Monkeys sont sans aucun doute l’un des groupes les plus importants et influents de notre époque. Depuis leurs humbles débuts à Sheffield, ils ont conquis le monde avec leur son unique, leur énergie débordante et leur créativité sans limite. Mais ce qui est encore plus impressionnant, c’est leur capacité à rester pertinents et à évoluer, même après plus de 15 ans de carrière.
Que vous soyez un fan de la première heure ou un nouveau venu dans leur univers musical, il est clair que les Arctic Monkeys ont encore beaucoup à offrir. Avec chaque album, ils nous surprennent, nous émeuvent et nous rappellent pourquoi ils sont l’un des meilleurs groupes de rock du XXIe siècle. Alors, qu’est-ce que l’avenir leur réserve ? Seul le temps nous le dira, mais une chose est sûre : les Arctic Monkeys ne sont pas prêts de quitter le devant de la scène.
FAQ
1. Quel a été le rôle de MySpace dans la carrière des Arctic Monkeys ?
MySpace a permis aux fans des Arctic Monkeys de partager leurs premières démos, ce qui a propulsé le groupe à une renommée internationale avant même la sortie de leur premier album.
2. Pourquoi l’album « AM » est-il considéré comme un tournant pour les Arctic Monkeys ?
« AM » a marqué un tournant dans la carrière des Arctic Monkeys en intégrant des influences hip-hop et R&B tout en conservant leurs racines rock. Cet album a aussi permis au groupe de conquérir le marché américain.
3. Comment les Arctic Monkeys ont-ils réussi à évoluer sans perdre leurs fans ?
Les Arctic Monkeys ont toujours pris des risques musicaux tout en restant fidèles à leur identité. Cette capacité à se réinventer tout en maintenant une connexion émotionnelle avec leurs fans a été la clé de leur longévité.
4. Quelles sont les influences majeures des Arctic Monkeys ?
Les Arctic Monkeys s’inspirent de groupes comme The Strokes, Oasis, et Queens of the Stone Age, mais aussi de genres variés comme le jazz, le hip-hop, et la musique lounge.
5. Quel est le futur des Arctic Monkeys ?
Bien que les détails sur un nouvel album soient encore flous, les Arctic Monkeys continuent d’expérimenter de nouvelles sonorités et d’évoluer. Les fans peuvent s’attendre à des surprises musicales dans les années à venir.
ZZ Top : l’histoire du groupe de rock légendaire qui a conquis le monde
Dans cet article, nous allons évoquer le groupe de rockZZ Top, originaire de Houston aux États-Unis. Formé par Billy Gibbons (guitare et chant), Dusty Hill (basse et chant) et Frank Beard (batterie) né le 11 juin 1949 à Frankston, ce trio de musiciens a marqué plusieurs générations avec leurs hits tels que « La Grange », « Sharp Dressed Man » ou encore « Gimme All Your Lovin' ». Avec plus de 50 millions d’albums vendus à travers le monde, il est indéniable que ZZ Top fait partie des groupes les plus emblématiques de la scène musicale internationale.
L’émergence de ZZ Top dans les années 1970
Le parcours de ces trois talentueux musiciens débute en 1969, lorsqu’ils décident de fonder leur propre groupe après avoir évolué au sein de formations différentes. Rapidement, ils trouvent un style qui leur est propre et se font remarquer grâce à leur virtuosité à la guitare et à la basse, ainsi que leur sens du rythme contagieux. Leurs premiers albums, tels que « ZZ Top’s First Album » (1971) et « Rio Grande Mud » (1972), rencontrent un succès modéré mais contribuent à forger la réputation du groupe.
La consécration avec l’album « Tres Hombres » et le titre « La Grange »
En 1973, ZZ Top sort son troisième opus, intitulé « Tres Hombres« . Porté par les singles « La Grange » et « Jesus Just Left Chicago », cet album leur permet de se faire connaître du grand public et assoit leur statut d’artistes incontournables de la scène rock américaine. Le succs de ce disque est également dû à la tournée mondiale qui s’ensuit, au cours de laquelle ZZ Top impressionne les foules par ses performances électrisantes.
L’évolution musicale et stylistique dans les années 1980
Au tournant des années 80, ZZ Top décide de moderniser sa musique en intégrant des éléments de rock électronique et en misant sur une production plus sophistiquée. Cette évolution artistique est incarnée par l’album « Eliminator » (1983), dont sont issus les tubes « Gimme All Your Lovin’« , « Sharp Dressed Man » et « Legs« . Ces morceaux rencontrent un succès fulgurant et contribuent à renouveler l’image du groupe, notamment grâce à des clips vidéo novateurs pour l’époque.
Le succès commercial et le tournant vers le blues-rock
Grâce aux ventes records d »‘Eliminator » et à sa popularité croissante, ZZ Top peut se permettre de s’aventurer dans de nouveaux territoires musicaux. Leur opus suivant, intitulé « Afterburner » (1985), explore ainsi des sonorités plus bluesy tout en conservant l’énergie électrique qui caractérise la formation. Cette démarche artistique est bien accueillie par les fans et permet au groupe de rester au sommet de sa popularité durant une décennie.
Le maintien de la flamme du rock’n’roll à travers les années 1990 et 2000
Durant les deux dernières décennies du XXe siècle, ZZ Top persévère avec succès dans la voie tracée par ses précédents albums. Les opus « Recycler » (1990), « Rhythmeen » (1996) ou encore « Mescalero » (2003) sont autant de témoignages de la passion toujours intacte pour le rock’n’roll partagée par Billy Gibbons, Dusty Hill et Frank Beard.
L’intemporalité de leur musique et des valeurs prônées
En dépit des changements de styles et d’influences, ZZ Top a su conserver tout au long de sa carrière un univers musical cohérent et immuable. Les textes de leurs chansons célèbrent souvent les mêmes thèmes – la liberté, l’amour et les idéaux d’un mode de vie typiquement américain – auxquels le public continue de se rallier.
ZZ Top : un groupe inoxydable malgré les épreuves
Alors que la formation fêtait son 50e anniversaire en 2019, ZZ Top a dû faire face au décès de son bassiste Dusty Hill en juillet 2021. Pour autant, Billy Gibbons et Frank Beard ont décidé de poursuivre l’aventure musicale avec le remplaçant du regretté musicien, Elwood Francis.
Des concerts à succès pour célébrer leur passion de la musique
Depuis plus de quarante ans, ZZ Top enchaîne les tournées mondiales et se produit devant des millions de fans conquis par leur talent. Souvent salués comme étant l’un des meilleurs groupes en live, ils continuent à perpétuer l’esprit du rock’n’roll auprès des nouvelles générations.
Billy Gibbons : chant, guitare
Dusty Hill : chant, basse (décédé en 2021)
Frank Beard : batterie
En conclusion, ZZ Top est un groupe à l’aura légendaire qui a traversé les époques sans jamais renier ses racines musicales ni son identité artistique. Forts d’une discographie riche et variée, ces trois musiciens ont su conquérir le cœur du public et s’imposer comme une référence incontournable du paysage rock international.
ZZ Top, la formation, 1969
Né à Houston, Texas en 1949, Gibbons est le fils d’un musicien qui a encouragé sa passion pour la musique.Lorsqu’il s’est d’abord intéressé à jouer des instruments à percussion, son père s’est arrangé pour qu’il prenne des cours avec l’icône de la musique latine Tito Puente.
Cependant, assister à une session d’enregistrement avec B.B. King a eu un plus grand impact sur le jeune Gibbons, qui, pour son 13e anniversaire, reçoit une guitare électrique et un ampli.
Il commence à jouer dans des groupes de rock alors qu’il vivait en Californie avec sa famille, mais ce n’est qu’à son retour au Texas qu’il forme son premier groupe remarquable, les Moving Sidewalks, un groupe psychédélique qui enregistre un hit local appelé « 99th Floor » et un album intitulé Flash.
Peu de temps après la sortie de Flash, les Moving Sidewalks se séparent et Gibbons choisit de former un groupe plus orienté blues.Pour la petite histoire, à cette époque, Gibbons vient de se faire offrir une Fender Stratocaster par Jimi Hendrix, celui qu’il considère comme« l’un des meilleurs jeunes guitaristes d’Amérique »
C’est la naissance de ZZ Top, le 20 juin 1969.
Avec le batteur et le bassiste de Moving Sidewalks, Dan Mitchell et Lanier Greig, Gibbons forme un trio de blues et boogie qu’il appelle ZZ Top (ZZ du bluesman Z.Z. Hill, et Top comme pièce de théâtre sur King, comme dans B.B. King).
Avec le manager Bill Ham comme producteur, le nouveau groupe enregistre un single pour le label local Scat Records, « Salt Lick » n/b « Miller’s Farm ». Mais, des différences créatives conduisent Greig et Mitchell à quitter le groupe.
Gibbons recrute une nouvelle section rythmique, le bassiste Billy Etheridge et le batteur Frank Beard.Après avoir acheté ZZ Top auprès de plusieurs maisons de disques, Ham persuade London Records de tenter sa chance.
Etheridge n’étant pas satisfait des termes du contrat il choisit de ne pas signer, et quitte le groupe. Ayant besoin d’un bassiste, Beard suggére de faire venir Dusty Hill, son compagnon de groupe dans American Blues. Cette formation allait bientôt entrer en studio, enregistrer le premier album de ZZ Top en 1971, et travaillerait ensemble pendant les 50 prochaines années.
ZZ Top, le succès des années 70’
En l’espace d’un an, ils signent avec London Records et sortent leur premier album en 1971.
Très rapidement, ils deviennent des stars du rock.
De retour en 1972 avec le LP Rio Grande Mud ; qui contient » Francine » et » Just Got Paid « , le groupe devient incontournable, mais leur véritable percée vient avec leur troisième album, Tres Hombres de 1973.Cet album suivi du single « La Grange » qui est une célébration d’un bordel notoire du Texas, est très largement diffusé à la radio rock.
Tres Hombres figure dans le Top Ten, et leur permet d’obtenir leur premier disque d’or. Le groupe devient une attraction majeure en tournée. Alors que la tournée mondiale du Texas traversait le pays en 1976 et 1977, ZZ Top sort Tejas en 1976, qui est le dernier album sous leur contrat avec Londres.
Cette tournée épuisante, appelée le Worldwide Texas Tour, comprend des décors peints extravagants, une scène en forme de Lone Star State et une variété de flore et de faune locales (cactus, yucca, buffle et plusieurs serpents à sonnette).
Le groupe décide de faire une pause de 3 ans après la fin de l’épuisant Texas Tour.
Durant cette période, les trois musiciens apprennent le saxophone et peaufinent leur nouvelle apparence.
Gibbons voyage en Europe et en Jamaïque tout en explorant de nouveaux sons, Hill apaise son esprit en travaillant dans un aéroport de Dallas et Beard part en cure de désintoxication pour se débarrasser de sa dépendance à la drogue.
Pendant les temps d’arrêt du groupe, Ham a négocié un nouveau contrat d’enregistrement pour ZZ Top avec Warner Bros.
Ils reviennent avec l’album Degüello en novembre 1979, qui comprend deux tubes « Cheap Sunglasses » et « I’m Bad, I’m Nationwide ». Le public découvre Gibbons et Hill avec une identité visuelle ; look barbu, version prospecteurs, lunettes noires, que l’avènement du clip rendra mondialement célèbre au début des années 1980.
ZZ Top, le succès se confirme dans les années 80’
Le son plus incisif de Degüello est poussé plus fort sur El Loco de 1981, qui introduit des synthétiseurs dans le mix d’autres chansons « Tube Snake Boogie » et « Pearl Necklace » rencontrent leur public.
Dans les années 80, ils se réinventent habilement, câblant à chaud leur son avec des séquenceurs et des synthétiseurs et devenant des héros MTV improbables avec une série de vidéos intelligentes qui transforment les chanteurs barbus Billy Gibbons (guitare) et Dusty Hill (basse) en une signature visuelle excentrique.
Le pari est gagné. ZZ Top est l’un des seuls groupes de leur époque à non seulement survivre dans la nouvelle arène de la pop, mais à devenir plus populaire que jamais, gagnant un nouveau public sans sacrifier l’ancien.
À la base, les chansons de ZZ Top n’ont jamais beaucoup changé, prenant des figures de blues standard, les filtrant à travers la guitare précisément torride de Gibbons, les mariant au groove simple mais funky de Hill et du batteur Frank Beard, et ajoutant des paroles imprégnées d’esprit surréaliste alors qu’ils traitait du sexe, de l’alcool, du blues et des particularités glorieuses de la vie au Texas.
Eliminator sort en 1983. Cet album rencontre un succès phénoménal, se vend à plus de 10 millions d’exemplaires aux Etats-Unis, devenant 5 fois disque de platine.
Synthétiseurs, séquenceurs et effets électroniques partagent un espace égal avec la guitare de Gibbons et leurs paroles pleines d’esprit mais orientées vers le blues.Les singles « Legs », « Sharp Dressed Man« , « Got Me Under Pressure » et « TV Dinners » deviennent des tubes, et les clips font des rockers vétérans le toast de MTV.
Eliminator devient le plus gros album de la carrière de ZZ Top, qui suit une approche similaire sur Afterburner en 1985 et Recycler en 1990, qui ont tous deux été des succès majeurs dans les charts.
En 1987, le groupe sort The ZZ Top Six Pack, un ensemble de trois CD qui comprend les albums First Album de ZZ Top, Rio Grande Mud, Tres Hombres, Fandango, Tejas et El Loco. Cependant, les albums présentés dans de nouveaux mélanges conçus pour les faire ressembler au son que le groupe a introduit sur Eliminator, suscite la controverse parmi leurs fans plus âgés.
ZZ Top, Dusty Hill et Billy Gibbons
ZZ Top, le succès s’estompe dans les années 90’
Leur célébrité s’estompe au milieu des années 90 lorsque leurs albums ont cessé d’être en tête des charts, mais ZZ Top reste un groupe populaire pouvant remplir de manière fiable de grandes salles et offrir aux fans un grand spectacle.Recycler sorti en 1990, se vend beaucoup moins bien et ne trouve pas son public.
En 1992, Warner Bros sort ZZ Top’s Greatest Hits, une collection qui comprend une reprise de « Viva Las Vegas » d’Elvis Presley devenant un autre hit de MTV. C’est sur leur dernier album pour le label, et en 1993, que le groupe révèle avoir signé un contrat de 35 millions de dollars avec RCA Records.
Leur premier LP RCA, Antenna en 1994, n’atteint pas le succès habituel bien qu’il soit disque de platine.Leurs albums suivants, plutôt orientés blues, Rhythmeen en 1996 et XXX en 1999 (sorti pour leur 30e anniversaire) suivent le modèle de Fandango (de 1975) avec un côté studio et un enregistré en direct. Aucun des deux albums n’a fait une impression significative sur les fans ou les palmarès des ventes.
ZZ Top, un groupe qui se cesse de tourner
En 2003, ZZ Top conclut son contrat RCA avec Mescalero, tandis que Warner Bros sort un coffret de quatre disques.Cet album sera le seul des années 2000. Malgré un nouvel échec commercial, le groupe ne cesse de se produire sur scène et ce à l’international avec notamment une tournée mondiale en 2008.
En 2004, ZZ Top est intronisé au Rock & Roll Hall of Fame, où Keith Richards prononce le discours d’intronisation. Le groupe concentré sur ses tournées, enregistre son concert, Live from Texas , qui sort en formats audio et vidéo en 2008.
Un autre ensemble de DVD en direct, Double Down Live suit en 2009, avec un concert tourné pour la télévision allemande en 1980 ainsi que des images d’émissions organisées en 2007 et 2008 à San Francisco, Paris, et Bixby, Oklahoma. L’émission de 1980 obtient une sortie audio en 2011 sous le titre Live in Germany1980.
Après une longue période de 9 ans sans enregistrement, ZZ Top signe avec American Recordings, et avec leur producteur Rick Rubin, ils font La Futura en 2012.
Salué par la critique comme un retour bienvenu à leur son pré-Eliminator, le groupe prend la route pour soutenir la sortie, et une autre collection de concerts, Live: Greatest Hits from Around the World, est publiée par Suretone en 2016.
En octobre 2017, le groupe annule un certain nombre de spectacles lorsque Dusty Hill développe des problèmes de santé. Ses médecins insistent pour qu’il fasse une pause. Ils sont de retour en studio en 2018, et en 2019, ils réservent une résidence de huit nuits au Venetian Theatre de Las Vegas.
La même année, un long métrage documentaire sur le groupe, That Little Ol ‘Band du Texas, sort sur Netflix.
Mais la pandémie de Covid-19 met entre parenthèses la résidence de Las Vegas après quelques spectacles ainsi que la tournée en 2020.
Cependant, le groupe prévoit une longue tournée commençant en juillet 2021 et se prolongeant jusqu’en 2022. Mais, au cours du mois de juillet 2021, Dusty Hill chute, se blessant la hanche et l’obligeant à rentrer chez lui.
Le 23 juillet, le trio joue son premier concert sans Hill depuis 1970, avec leur guitariste, Elwood Francis, prenant le relais à la basse avec la bénédiction de Hill. Le 28 juillet 2021, Dusty Hill décède chez lui à Houston, au Texas, à l’âge de 72 ans.
« Nous, ainsi que les fans de ZZ Top à travers le monde, regretterons ta présence inébranlable, ta belle nature et ton engagement sans faille à donner cette assise au ‘Top’. Tu vas beaucoup nous manquer, amigo. »
Peu de temps après que le décès de Hill, Billy Gibbons publie une déclaration disant que Hill avait insisté pour que le groupe continue d’exister après sa mort. Francis continue à maintenir la basse pour le trio.
Le premier album ZZ Top sorti après le décès de Hill est RAW: That Little Ol ‘Band du Texas, un album de concert de 2022 de la fin des années 2010 capturant le groupe dans l’intimité du dance hall texan Gruene Hall, et l’un des derniers albums avec Hill.
ZZ Top continue de rendre hommage à Hill en posant son chapeau sur son micro et en reprenant Tush, avec la voix enregistrée de Dusty.
Le 12 décembre 2022, ZZ Top annonce une tournée en co-tête d’affiche avec Lynyrd Skynyrd pour l’été 2023, intitulée The Sharp Dressed Simple Man Tour. La tournée devrait commencer le 21 juillet 2023 à West Palm Beach et se terminer le 17 septembre 2023 à Camden.
Nous avons récemment rencontré le fondateur de ZZ Top et célèbre six cordes, Billy Gibbons.
Chanteur principal de ZZ Top, il s’est assis pour discuter du prochain album Raw du légendaire groupe de rock et de l’accompagnement de Raw Whiskey Tour, du regretté bassiste Dusty Hill, et plus encore.
André :Billy, merci beaucoup d’avoir pris le temps. J’aimerais commencer par discuter de Raw, un tout nouvel album live dont la sortie est prévue le 22 juillet, qui coïncidera avec le prochain Raw Whiskey Tour pour célébrer les cinquante ans d’histoire remarquable du groupe. Quelles sont les origines de cet album en particulier ?
Billy:Les producteurs de That Little Ol ‘Band From Texas, le documentaire ZZ Top, ont pensé que ce serait une bonne idée d’avoir un intermède de performance autonome dans le film pour informer les téléspectateurs d’une manière unique.
Le film couvre notre histoire, ce serait donc une façon de souligner que nous continuons à nous battre en termes clairs. Gruene Hall, le lieu, fait partie de l’histoire du Texas, tout comme nous, je suppose. C’était l’occasion d’obtenir un enregistrement vierge dans la boîte et c’est ce que nous avons fait.
André :Je vous ai vu décrire Raw comme un retour aux racines du groupe. Pouvez-vous nous en dire plus ? Quel était le plan de l’album ?
Billy:Nous jouons tous les trois au même endroit, en même temps, avec un minimum de retouches en post-production. De nos jours, il est inhabituel d’enregistrer lorsque vous regardez réellement les personnes avec lesquelles vous enregistrez, mais Raw n’est que cela.
André :Je m’en voudrais de ne pas mentionner le regretté Dusty Hill. Y a-t-il un souvenir ou une histoire à propos de Dusty qui se démarque ?
Billy:Le jour où nous avons spontanément écrit « Tush » en 1973. Nous faisions une vérification du son dans un sol en terre battue à Florence, en Alabama, et nous étions en train de déconner lorsque le riff s’est présenté, et Dusty est intervenu et a commencé à chanter des paroles improvisées. En l’espace de dix minutes, nous avons eu un coup sur nos mains.
André :Le guitariste de longue date Elwood Francis assumera à nouveau les fonctions de basse pour la prochaine tournée. Qu’est-ce qui fait de lui un choix logique et qu’apporte-t-il à la formation?
Billy:Il fait partie de notre famille musicale depuis près de trente ans et sait comment ça se passe. Lorsque Dusty est tombé malade, il a indiqué que le spectacle devait continuer et a pensé qu’Elwood serait capable de gérer le remplacement à la lumière du fait qu’il est un musicien très accompli à part entière. Dusty avait bien sûr raison.
André :Avant ZZ Top, vous faisiez partie d’un groupe appelé les Moving Sidewalks, où vous avez fait la première partie de Jimi Hendrix Experience lors de leur première tournée américaine en tant que tête d’affiche. Que retiens-tu de ces concerts, et en tant que jeune musicien, qu’as-tu pu apprendre de Jimi ?
Billy: Jimi était un type timide en dehors de la scène mais un homme sauvage quand il était dessus. C’était un gars vraiment gentil et aimait comparer les notes – jeu de mots – et offrir des pointeurs. Nous sommes restés en contact jusqu’à sa disparition tragique et je lui rends hommage presque tous les soirs.
André :Alors que nous réfléchissons aux cinquante ans de ZZ Top, j’aimerais revenir sur les années de formation du groupe. Comment le groupe s’est-il formé ? Frank [Beard] et Dusty ne se sont joints que plus tard, alors comment sont-ils finalement entrés en scène ?
Billy:Nous avons recruté Frank et savions qu’il avait ce qu’il fallait pour nous garder à l’heure, pour ainsi dire. Nous avions besoin d’un bassiste, et il a suggéré Dusty, qui avait été son compagnon de groupe dans le blues américain. Dusty est venu et, au lieu d’une audition, nous avons juste jammé sur un blues shuffle en C.
Plusieurs heures de cela se sont suivies, et nous savions que nous avions la version «gardienne» du groupe.
André :Quel est votre souvenir des sessions d’écriture de chansons qui ont alimenté la sortie la plus réussie du groupe, Eliminator ?
Billy:Certaines des chansons viennent d’une expérience personnelle, « Legs » en est un exemple. Nous avons vu une jeune femme, qui se faisait tremper par un orage et a décidé de faire demi-tour pour lui offrir un tour, mais au moment où nous sommes arrivés là où elle était, elle était partie. Elle avait des jambes et savait s’en servir.
Notre approche est de trouver des riffs et des paroles que nous aimons et de les essayer. Si nous les aimons toujours, ils sont enregistrés et, évidemment, avec les chansons de cet album, nous n’étions pas les seuls à les aimer.
André :Merci encore d’avoir pris du temps, Billy. Je vous souhaite tout le meilleur dans vos projets futurs. Dernière question. Où Eliminator a-t-il été enregistré et que retenez-vous de ces sessions en studio ?
Billy:Eliminator a été enregistré aux Ardent Studios à Memphis avec l’ingénieur Terry Manning. C’est là que nous avons rencontré le monde des synthés de manière significative et ouvert la porte à des expérimentations qui sont toujours en cours.
Eric CANTO Photographe : Photos de concerts, portraits, pochettes d’albums.
ZZ Top est un groupe de rock américain formé en 1969 à Houston, au Texas. Le groupe est composé de Billy Gibbons à la guitare et au chant, Dusty Hill à la basse et au chant, et Frank Beard à la batterie. Le groupe est connu pour son mélange unique de blues, de rock et de hard rock, ainsi que pour ses performances live impressionnantes.
2. Quel est le style musical de ZZ Top ?
ZZ Top est connu pour son mélange de blues, de rock et de hard rock. Le groupe a créé un son unique en utilisant des guitares à grosses caisses et des amplis, ainsi que des effets sonores tels que des distorsions et des réverbérations. Les chansons du groupe sont souvent basées sur des grooves simples mais efficaces, avec des solos de guitare de Billy Gibbons et des lignes de basse funky de Dusty Hill.
3. Quels sont les albums les plus connus de ZZ Top ?
ZZ Top a sorti plus de 15 albums studio au cours de sa carrière, mais certains des albums les plus connus incluent « Tres Hombres » (1973), « Degüello » (1979), « Eliminator » (1983) et « La Futura » (2012). « Eliminator » est considéré comme l’album qui a catapulté le groupe au sommet de sa popularité, avec des chansons comme « Gimme All Your Lovin' », « Sharp Dressed Man » et « Legs » devenant des classiques de la radio.
4. Comment ZZ Top a-t-il commencé ?
ZZ Top a commencé en 1969 lorsque Billy Gibbons, qui avait déjà un groupe appelé The Moving Sidewalks, a rencontré Dusty Hill et Frank Beard. Les trois ont commencé à jouer ensemble sous le nom de ZZ Top, qui aurait été inspiré par le nom d’une marque de cigarettes. Le groupe a commencé à se produire dans des clubs du Texas, puis a commencé à enregistrer des albums au début des années 1970.
5. Quels sont les succès les plus connus de ZZ Top ?
ZZ Top a eu de nombreux succès au cours de sa carrière, mais certains des plus connus incluent « La Grange » (1973), « Tush » (1975), « Sharp Dressed Man » (1983), « Legs » (1984) et « Gimme All Your Lovin' » (1983). Ces chansons ont toutes été des tubes de radio et ont contribué à la popularité durable du groupe.
6. Quelle est l’histoire de la barbe de ZZ Top ?
ZZ Top est également connu pour ses barbes emblématiques, qui ont fait partie intégrante de l’image du groupe depuis les années 1970. Selon la légende, Billy Gibbons a commencé à porter une barbe après avoir promis à un ami de laisser pousser la sienne jusqu’à ce que le prochain album du groupe soit terminé. Dusty Hill et Frank Beard ont ensuite suivi le mouvement, et la barbe est devenue une partie intégrante de l’image de ZZ Top.
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Quelles sont les performances live de ZZ Top les plus célèbres ?
ZZ Top est connu pour ses performances live impressionnantes, qui comprennent souvent des effets pyrotechniques, des lumières éblouissantes et des danseuses sexy. L’une des performances les plus célèbres du groupe a été lors du festival de musique « Texas International Pop Festival » en 1969, où ils ont partagé l’affiche avec des groupes comme Janis Joplin, Led Zeppelin et Santana. Le groupe a également donné des performances mémorables au festival « Rockpalast » en Allemagne en 1980 et au festival « Crossroads Guitar Festival » en 2010.
8. Quel est l’impact de ZZ Top sur la musique rock ?
ZZ Top a eu un impact significatif sur la musique rock depuis leur début en 1969. Le groupe a influencé de nombreux autres groupes de rock, notamment AC/DC, Guns N’ Roses et Van Halen. Le son unique de ZZ Top, qui mélange le blues, le rock et le hard rock, a également inspiré de nombreux autres groupes de musique, ce qui en fait l’un des groupes les plus influents de l’histoire du rock.
9. Quelle est la situation actuelle de ZZ Top ?
ZZ Top continue de tourner et de produire de la musique, bien que le groupe ait subi une tragédie en 2021 avec la mort de Dusty Hill. Malgré cela, le groupe a annoncé qu’il continuerait à tourner et à honorer la mémoire de Hill. ZZ Top est également l’un des rares groupes de rock qui n’a jamais changé de formation depuis sa création en 1969, ce qui témoigne de la force de leur collaboration musicale.
10. Quel est le meilleur moyen d’écouter ZZ Top ?
Le meilleur moyen d’écouter ZZ Top est de se procurer leurs albums studio et de les écouter en entier. Cela permet de mieux comprendre l’évolution de leur musique et de leur style au fil des ans. Il est également recommandé d’assister à l’un de leurs concerts live, car le groupe est connu pour ses performances énergiques et divertissantes. Enfin, il est possible d’écouter les classiques de ZZ Top sur des plateformes de streaming telles que Spotify ou Apple Music, mais cela ne vaut pas la peine de manquer l’occasion de vivre une expérience musicale en direct.
par Eric Canto | Mis à jour le 27/09/2024 | Publié le 19/01/2023 | make
La montée fulgurante du Royal Republic : Rock Suédois et Diversité
Le Royal Republic est un groupe de rock suédois qui a conquis le cœur des fans avec son mélange unique de rock, punk et pop. Formé en 2007 à Malmö, ce quatuor a démontré sa capacité à rester pertinent dans une industrie musicale en constante évolution grâce à son style innovant et son énergie contagieuse sur scène.
Les membres du Royal Republic
Le groupe se compose de quatre membres aux talents variés :
Adam Grahn – Le chanteur principal et guitariste;
Hannes Irengård – Guitariste rythmique et choriste;
Jonas Almén – Bassiste et choriste;
Per Andreasson – Batteur et choriste.
Ensemble, ils sont connus pour donner un spectacle captivant et entraînant leur public dans l’expérience live.
Influences diverses du Royal Republic
Leurs influences musicales sont aussi vastes que variées, allant du rock classique aux groupes modernes. Parmi ces influences, on trouve :
AC/DC – La légendaire formation de hard rock australienne crée la colonne vertébrale de leur amour du rock à guitares;
Foo Fighters – Cette formation emblématique de rock alternatif conduit par Dave Grohl a certainement laissé sa marque sur le groupe, en particulier dans les jeux de guitares;
The Hives – Également originaires de Suède, les punk rockers apportent une touche d’énergie et de sarcasme que l’on peut sentir dans l’œuvre du Royal Republic;
Red Hot Chili Peppers – Leurs rythmes funk et leur approche créative pour les riffs ont inspiré le groupe à trouver sa propre voie tout en incorporant divers éléments musicaux;
Queens of the Stone Age – La complexité des compositions de ce groupe américain peut se ressentir dans certains des morceaux plus expérimentaux du Royal Republic.
La discographie du Royal Republic : Albums marquants et succès
Depuis ses débuts en 2007, le groupe a produit plusieurs albums et EPs qui témoignent de son évolution musicale ainsi que de son amour indéfectible pour le rock’n’roll.
We Are the Royal (2010)
Le premier album studio du groupe est sorti en 2010 et inclut le single à succès « Tommy-Gun ». Cet album dévoile un mélange énergétique et accrocheur des rythmes rock, punk et pop avec une pointe d’ironie. On y retrouve également des morceaux tels que « Full Steam Spacemachine », « Underwear » et « Good To Be Bad ».
Save the Nation (2012)
Leur deuxième opus propose une approche plus politisée avec des titres engagés tels que « Everybody Wants to Be an Astronaut » et « Revolution ». Cet album démontre également leur capacité à expérimenter de nouvelles sonorités, comme en témoigne la chanson emblématique « You Ain’t Nobody (‘Til Somebody Hates You) ».
Royal Republic and the Nosebreakers (2014)
Ce disque offre une expérience acoustique unique, réinventant leurs morceaux les plus populaires et les présentant dans un format unplugged. On y retrouve des versions acoustiques de « Tommy-Gun », « Full Steam Spacemachine » et « Underwear », ainsi qu’une reprise émouvante du titre « I Must Be Out of My Mind » de Chris Isaak.
Weekend Man (2016)
Leur troisième album studio marque un tournant stylistique, optant pour un son plus pop et accrocheur tout en conservant l’ADN rock qui caractérise le groupe. On y découvre des tubes tels que « Baby », « Uh Huh » et « When I See You Dance with Another », offrant un mélange éclectique de styles et d’émotions.
Club Majesty (2019)
Dernier-né de la discographie du Royal Republic, cet album est sans conteste leur réalisation la plus ambitieuse et polyvalente à ce jour. On y trouve des morceaux puissants et électrisants tels que « Fireman & Dancer », « Like a Lover » et « Boomerang ». Il met également en avant le goût de l’exploration musicale avec des chansons comme « Can’t Fight the Disco » fusionnant le rock, le disco et la pop d’une manière unique.
Toujours sur scène grâce à leur énergie contagieuse
En plus de leur solide discographie, les membres du Royal Republic sont réputés pour leurs performances live intenses et leur connexion incroyable avec leur public. Chaque concert est une véritable célébration de l’énergie brute et de l’esprit rebelle qui caractérise la musique du groupe. Ils ont ainsi participé à de nombreux festivals majeurs de la scène rock tels que le Hellfest, le Download Festival ou encore le Rock am Ring.
En conclusion, il est indéniable que le Royal Republic est un groupe de rock suédois marquant qui sait évoluer et s’imposer dans un paysage musical toujours changeant. Leur talent, leur originalité et leur détermination en font l’un des groupes les plus prometteurs et enthousiasmants de leur génération.
Royal Republic est un groupe de rock de la scène suédoise dont nous vient de grands noms d’artistes et de groupes reconnus tels qu’ ABBA, Roxette, Europe, The Cardigans, Ghost et tant d’autres.
Je suis de près Royal Republic, ce quatuor rock déjanté, aux rythmes endiablés, à tendance punk pop qui d’ailleurs est en couverture de mon 1erlivre, A moment suspended in time, en 2017.
Petit focus sur un de mes groupes préférés, Royal Republic, que j’aie eu la chance de suivre et d’immortaliser en coulisses et sur scène.
Ces quatre musiciens, Adam Grahn (chanteur et guitare rythmique), Hannes Irengard (guitare solo et chœurs), Jonas Almen (guitare basse, chœurs et co-chant) et Per Andreasson (batteur et chœurs), originaires de Suède, se rencontrent fin 2007 à l’académie de musique de Malmö et créent Royal Republic.
« On ne s’est connaissait pas avant. En fait, chacun avait entendu parler des autres mais on ne se connaissait pas. Ça sonne cliché, mais quelque chose est arrivé quand nous avons commencé à jouer ensemble. C’était incroyable quand nous faisions de la musique ensemble. Et on s’est dit – tant pis on fera connaissance plus tard. D’ abord nous allons faire de la musique. »
En 2009 Royal Republic enregistre We Are the Royal, sous la supervision du producteur suédois Anders Hallbäck à Malmö. Ce premier album de Royal Republic sort le 6 août 2009 et rencontre un large succès en Suède. Tommy-Gun, un des singles de l’album, par exemple, atteint la 1ère place dans les charts MTV Rocks.
Royal Republic, clip de Tommy-Gun
Royal Republic remporte la finale du festival Emergenza en Suède, lui permettant de se produire sur une scène parisienne, et sa carrière décolle lorsqu’il accompagne en 1ère partie, le groupe américain très connu The Offspring.
« On vient tous de différents horizons musicaux, Jonas (basse) est plus dans le heavy metal, c’est pour ça qu’il crie comme un bourrin d’ailleurs, et puis Adam (chant) écoute vraiment de tout, comme nous le faisons tous en fait. On est très ouverts d’esprits. »
« J’ai pour habitude de dire que nous avons toujours voulu être une version heavy des Beatles : un groupe qui peut écrire un jour « I’m The Walrus » et le lendemain une chanson comme « Yesterday » ! »
Royal Republic 1er album
Royal Republic, un groupe de scène
Après leur 2e album Save the Nation, largement acclamé par la critique, Royal Republic part en tournée, à l’assaut des scènes d’Australie, de Grande-Bretagne, d’Allemagne, de France… et d’autres pays d’Europe. Le succès est au rendez-vous.
Les quatre acolytes de Royal Republic sont faits pour la scène et composent toujours en se projetant sur scène. Ils composent pour reprendre la route. Cela fait partie d’eux.
De fait, leurs morceaux dégagent une énergie forte, et leur prestation scénique est unique : costumes à paillettes, humour, autodérision, pas endiablés. L’objectif pour le groupe Royal Republic est toujours de passer un bon moment, de rire, de s’amuser, de partager.
Royal Republic, backstage
« Écrire et composer des morceaux sans monter sur scène, c’est comme avoir une relation platonique avec quelqu’un. La scène c’est notre sexe. C’est un aboutissement. (…)
Le but de la tournée c’est vraiment ça : passer un maximum de temps sur scène. Sinon tu passes la plupart de ton temps dans un bus. On a la chance d’avoir une très bonne équipe autour de nous, donc les gens de cette équipe deviennent ta famille par procuration.
À part ça, tu passes par toute l’Europe et c’est super mais tu n’as pas le temps de visiter quoi que ce soit. Je pense que cela fait 10 fois que je passe par Paris mais je n’ai jamais vu la Tour Eiffel ! C’est frustrant. » (Adam Grahn, Royal Republic, www.vacarm.net, 2 juin 2016)
Même si en 2014, Royal Republic sort un album plus acoustique, Royal Republic and the Nosebreakers, il sillonne l’Europe en se produisant en France, en Allemagne, en Suisse, en Autriche, en Pologne, en Suède… toujours avec la même énergie.
Il en sera de même pour les deux derniers albums.
Le 4e album Weekend Man de Royal Republic sort le 26 février 2016. Cet album plus mature n’en est pas moins fou et original. Adam dira qu’à travers cet album le groupe a trouvé sa propre identité.
« Pour le premier opus, nous avons juste copié d’autres musiciens et artistes que nous aimions, comme par exemple Danko Jones, The Hives… Sur cet album, c’est vraiment comme si nous savions qui nous étions, nous n’avions plus à aller voir et écouter ce que les autres faisaient, on a réellement commencé à faire ce que nous aimons tous ensemble. »
Suit le 31 mai 2019 « Club Majesty » qui dès l’été 2019 permet au groupe Royal Republic de reprendre le chemin de la scène, des festivals comme le Download, de partir en tournée dans toute l’Europe et rencontrer un large succès. Pour la petite anecdote, Le titre Stop Movin’ apparait dans le jeu Just Dance 2020.
Royal Republic, dernier album
« Lorsque vous êtes un groupe de rock, il y a des chemins que vous êtes censé de suivre et des chemins que vous n’êtes pas censé de suivre. On s’en fiche ! Nous avons juste fait tout ce que nous voulions faire. Nous avons donc pris ce que nous aimons, nous avons tout mis dans un pot et nous avons bien mélangé, tourné et secoué dans tous les sens. Et à la fin Club Majesty en est sorti.
Je pense que je parle pour nous quatre, quand je dis que nous sommes très fiers de cet album, et nous sommes fiers du fait que maintenant nous avons la confiance de faire ce que nous voulons faire. »
Royal Republic en concert
BONUS ; interview pour minute minute de Royal Republic
Entretien avec Royal Republic à propos de « Club Majesty » , par Andrea Holstein, 31 mai 2019
Aujourd’hui, les héros du rock’n’roll suédois, Royal Republic, sortent leur cinquième album. Nous avons discuté avec le chanteur de Royal Republic et leader Adam Grahn de l’album, de bonnes chansons pour le sexe et de sa rencontre avec Campino.
minutenmusik : Merci d’avoir pris le temps de l’interview.
Adam de Royal Republic : Merci ! C’est ma joie.
minutenmusik : Votre nouvel album Club Majesty sortira bientôt. Comment vous sentez-vous si proche de la libération ?
Adam de Royal Republic : « Excited » résume assez bien la situation. Nous travaillons sur cet album depuis environ l’été dernier. Et maintenant, il sort petit à petit. Pour nous, c’est toujours comme si nous avions attendu une éternité. Nous sommes vraiment impatients de le montrer enfin aux gens.
minutenmusik : Vous avez dû reporter votre tournée, qui était prévue pour le début de l’année, à cause de la production de l’album. Que s’est-il passé là-bas ? Cela a-t-il pris plus de temps que prévu ?
Adam de Royal Republic : Oui, il a fallu plus de temps pour réunir les personnes, les lieux et les horaires. Il ne s’agissait pas du matériau lui-même. Il s’agissait plutôt de ne pas faire de compromis lors de la production d’un album. On veut que ce mec mixe l’album, ensuite on aura ce mec. Point.
Et nous voulons ce producteur. Nous voulons enregistrer la batterie ici et les guitares là. Réconcilier toutes ces personnes s’est avéré plus difficile que prévu. En fin de compte, nous n’avons eu d’autre choix que de reporter la tournée. Nous ne voulions rien précipiter ni faire de compromis.
On avait une idée très claire de ce qu’on voulait faire et c’est comme ça qu’on a fait. Mais je pense que lorsque les gens entendront le résultat, ils comprendront.
minutenmusik : Vous êtes maintenant entièrement satisfait du résultat ?
Adam de Royal Republic :Je crois que oui. Quand on enregistre un album, on le fait deux fois. Nous ne faisons pas de démos iPhone ou quoi que ce soit du genre. Nous faisons des démos entièrement produites, mixées et polies. Et puis on réenregistre le tout, mais avec des micros plus chers.
Nous procédons de cette façon afin de pouvoir vivre avec les chansons pendant un certain temps avant de les mettre sur l’album. Quand tu as fini une chanson, tu es toujours très enthousiaste. Tu te dis « Ouais ! » et trois semaines plus tard tu l’écoutes à nouveau et tu te dis « Merde, ça craint ! » Alors on enregistre les chansons pour qu’on puisse les réécouter encore et encore pendant longtemps temps.
S’ils traversent cette période, nous nous disons : ‘D’accord, c’est bien, ça peut aller sur l’album.’ Alors oui, nous sommes très contents de l’album. On a toujours le sentiment qu’il faut dire : « C’est notre meilleur album à ce jour ! » Mais je ne dis pas ça. Je réfléchis.
minutenmusik : La deuxième chanson dit « You can’t fight the disco ». Combien de disco y a-t-il dans Royal Republic et surtout dans cet album ?
Adam de Royal Republic : Évidemment trop pour continuer à se cacher. Cela a toujours été dans notre ADN. Si vous regardez des trucs plus anciens comme Tommy Gun ou Full Steam Space Machineécoute, ou surtout les démos pour ça, c’est très, très sautillant.
C’est très dansant. Cela a toujours été une partie importante de notre son. Nous n’avons pas essayé de le cacher. Nous avons juste senti que le moment était venu de montrer toute notre diversité. Nous sommes un groupe très diversifié. On a un gros problème avec la différenciation des genres pour mettre un cachet sur la musique. Ce n’est pas grave si les gens font ça. Ce n’est pas le problème.
Je ne veux tout simplement pas que la musique soit estampillée du genre « Vous pouvez faire n’importe quoi dans cet espace, mais si vous le quittez… vous ne pouvez pas ! » Cela limite les possibilités et les expériences, le son et la musique. C’est de cela qu’il s’agit dans cet album. C’est très illimité, c’est éclectique et sans vergogne. Nous n’avons pas de « plaisirs coupables », nous avons juste du pur plaisir. C’est un peu le slogan de notre album.
Dans de nombreuses interviews, on nous demande : « Quelle est la chanson la plus embarrassante de votre playlist Spotify ? » Ensuite, ils veulent entendre quelque chose comme les Backstreet Boys et Taylor Swift. J
Je dis alors: «J’ai les deux sur ma liste. tu trouves ça gênant Pas moi. J’aime la musique. Il y a tellement de bonnes choses là-bas. Pourquoi ne pas profiter de tout ? Il y a tellement de bonnes choses là-bas. Pourquoi ne pas profiter de tout ? Il y a tellement de bonnes choses là-bas. Pourquoi ne pas profiter de tout ?
minutenmusik : Pourquoi est-il maintenant temps de laisser sortir cette partie de votre ADN ? Y a-t-il eu une certaine évolution ces dernières années ?
Adam de Royal Republic : Avec notre dernier album Weekend Man , nous avons posé les fondations, les bases du groupe. Lorsque nous avons sorti le premier album, le groupe n’existait que depuis six mois, peut-être un an. Avons-nous déjà défini notre son complet et trouvé notre place dans le monde ? Je ne pense pas. Ensuite, nous avons Save The Nation fait un tour complet.
C’était quelque chose de très différent et quelque chose que nous avons tous déconseillé, pourrais-je ajouter. Mais nous l’avons fait parce que nous pensions que c’était la bonne chose à faire à l’époque et parce que c’était ce que nous voulions faire. Nous avons toujours été fiers de garder le contrôle du groupe.
Aucun label ne contrôle ce groupe. Personne ne contrôle ce groupe à part le groupe lui-même, c’est la loi. Je pense que nos fans, qui nous suivent depuis le début, en sont conscients. Vous ne savez jamais vraiment ce que vous allez obtenir.
Certaines personnes pensent « Hé, j’ai mieux aimé ton premier album » ou « C’est la meilleure merde que tu aies jamais sortie. » Il y a toutes ces opinions différentes. Mais nous nous sentons suffisamment libres et confiants pour faire ce que nous voulons vraiment faire. Je pense que nous avons la confiance des gens qui nous suivent, y compris le label et le management.
Ils croient vraiment en ce que nous faisons. Parce que d’une manière ou d’une autre, cela fonctionne toujours. Les gens ont maintenant cessé de nous dire quoi faire parce qu’ils ont abandonné. Par conséquent, c’est maintenant le bon moment pour publier.
minutenmusik : J’ai entendu dire que la chanson Undercover n’était pas prévue à l’origine comme une chanson de Royal Republic. pouvez-vous m’en dire plus à ce sujet
Adam de Royal Republic : Eh bien, la demande est venue de l’un des plus grands fabricants de préservatifs au monde. Ils voulaient une chanson pour leur nouvelle campagne. Je suppose pour un préservatif.
Je pensais que c’était la chose parfaite pour Royal Republic. Ensuite, nous avons commencé ce jeu de mots enfantin sur « undercover », qui évidemment dans ce cas peut avoir plusieurs significations. Vous pouvez aller « sous les couvertures ». Vous pouvez mettre votre truc à l’abri. Quoi qu’il en soit! Nous avons donc commencé à écrire les lignes les plus ringardes auxquelles nous pouvions penser.
Et ce riff de guitare (il imite le riff)ça ressemble à du sexe pour moi. Comme la guitare qui fait l’amour. Un autre journaliste a dit un jour : « Je ne tiendrais pas une minute à ce rythme ! » J’ai dit : « Pas de problème, fais-le deux fois moins vite. Nous avons une autre chanson sur l’album, essayez-la. Alors peut-être que vous pourrez durer plus longtemps. » (rires)
Eh bien, nous avions la chanson prête et nous l’avons envoyée et ils ne nous ont jamais rappelés. Nous avions donc une chanson publicitaire sur les préservatifs, mais sans publicité ni préservatif. Mais à la place, nous avions l’un de mes morceaux préférés de cet album. Et ironiquement, maintenant que la chanson est sortie, les gens auront toujours des relations sexuelles quand ils entendront la chanson et achèteront des préservatifs à cause de cela.
C’est donc gagnant-gagnant pour le fabricant de préservatifs.
musique minute : Haha, parfait ! Était-ce la chanson la plus facile à écrire pour vous sur l’album ? Ou y en avait-il un autre que vous aviez en tête pour l’album en premier ?
Adam de Royal Republic : Je pense que Fireman and Dancer était la première chanson. Like When I See You Dance With Another était la première chanson du dernier album. Nous avons toujours une chanson où nous pensons : « C’est la première.
C’est le drapeau qui montre la voie pour le reste. » Et une fois que nous avons cette première chanson, le reste est généralement plus facile à écrire. J’ai probablement environ 100 versions de Fireman and Dancersur mon ordinateur portable, avec des variations dans les riffs de guitare, la structure de la chanson, les paroles, les mélodies, tout.
Avec certaines chansons, vous savez juste que cela vaut la peine d’investir du temps. Certains prennent un an pour terminer. Certains arrivent juste en trois heures. Mais nous détestons écrire. Je suis honnête. Ce n’est pas que l’écriture soit la partie la plus difficile de notre travail ou que nous la bousillions.
C’est plus comme si nous étions si pointilleux et que nous contrôlions chaque seconde de chaque chanson. On joue quatre secondes et puis c’est : « Stop ! Cela m’ennuie.
Il faut faire ça différemment. » Puis on réécoute, une, deux, trois, quatre, cinq, six secondes et encore : « Stop ! C’est ennuyeux. Nous le faisons nouveau. » Nous le faisons pour que les gens ne s’ennuient pas plus tard. Donc:Fireman était la première chanson, mais Undercover était la plus simple.
minutenmusik : Et lequel a été le plus difficile ?
Adam de Royal Republic : Hmm, laissez-moi y réfléchir. (réfléchit) Je pense qu’Anna-Leigh a peut-être été la plus dure. Pas parce que c’était horrible à écrire, en fait c’était très amusant. Mais parce qu’il y a eu toute cette discussion au sein du groupe, » Pouvons-nous vraiment faire ça ? »
C’est ce dont j’ai parlé avant, que nous voulions rendre l’album sans limite. C’était définitivement un nouveau territoire. À la fin de la discussion, nous sommes tous tombés d’accord : « Bien sûr, pourquoi parlons-nous même de cela ? nous aimons tout
À qui devons-nous demander l’autorisation ? personne. Donc c’est bien. » Mais même après qu’il soit devenu clair que nous aimons tous la chanson, nous avons quand même retenu notre souffle alors qu’Anna-Leigh a été publié. Parce que c’est comme une déclaration.
C’est quelque chose de complètement différent et on ne sait jamais comment les gens y réagiront. Mais si vous lisez les commentaires sur les réseaux sociaux, il semble que la réponse ait été extrêmement positive. Nous ne pourrions pas être plus heureux à ce sujet.
minutenmusik : Donc ça valait le coup. Après ce temps d’enregistrement et de production, les scènes live vous attendent à nouveau.
Adam de Royal Republic : Oui, heureusement !
minutenmusik : Vous jouez dans quelques festivals cet été et la tournée européenne de l’album en hiver. Y a-t-il une chanson de Club Majesty que vous avez particulièrement hâte de jouer en live ?
Adam de Royal Republic : Je pense que la première et la dernière chanson. Nous allons jouer pas mal de chansons de Club Majesty sur cette tournée . Quand nous avons commencé à l’époque, notre premier album faisait 36 minutes et nous devions encore jouer des concerts de 90 minutes.
On s’est dit : « Comment diable allons-nous transformer un album de 36 minutes en 1h30 ? » Nous avions toutes sortes de solutions folles. Mais maintenant, nous avons le problème de luxe que nous avons trop de chansons pendant 90 minutes que nous aimerions jouer.
C’est une concurrence sérieuse maintenant. Je veux dire, nous allons être Tommy Gunjouer. Mais il y a d’autres chansons que nous aimons vraiment, vraiment et qui ont toujours été des chansons importantes dans le set, et maintenant nous nous disons: « Eh bien, nous voulons jouer cette chanson et nous voulons jouer celle-ci aussi ».
Comment diable est-ce censé fonctionner ? » Je pense que nous devrons éventuellement faire une roulette ou un tirage au sort. Nous verrons quelles chansons intégreront le set à la fin.
minutenmusik : Alors j’espère que mes chansons préférées seront toujours là !
Adam de Royal Republic : Qu’est-ce que c’est ?
minutenmusik : Tout le monde veut être un astronaute , par exemple. Parce que c’était l’une des premières chansons que je connaissais de toi
Adam de Royal Republic : Oooh, je suis vraiment désolé !
minutenmusik : Oh non, maintenant l’anticipation du Hurricane Festival est terminée.
Adam de Royal Republic : (rires) On verra, on verra.
minutenmusik : Qu’est-ce que tu préfères : jouer dans de grands festivals ou faire tes propres têtes d’affiche ?
Adam de Royal Republic : (réfléchit)Je ne peux pas décider. Ce que j’aime vraiment dans les festivals, c’est le fait que j’en ai une sorte de vision compétitive. J’ai grandi avec le sport, donc j’ai toujours aimé concourir avec les autres.
Je ne veux pas dire – ou peut-être que je veux dire – que vous partagez la scène avec d’autres groupes et que vous pensez : « Nous allons être meilleurs qu’eux. » Mais cela vous encourage vraiment à rester concentré et à faire de votre mieux. Principalement pour votre propre fierté, mais aussi pour le public et les amis des autres groupes qui regardent dans les coulisses.
Vous voulez bien faire votre travail pour qu’ils pensent que vous êtes cool. Et aussi pour vous faire sentir bien dans votre peau. J’aime généralement l’ambiance des festivals. Parce que nous avons tant voyagé dans toute l’Europe ces dernières années, presque tous les festivals ressemblent à un barbecue familial avec tous les groupes que nous avons rencontrés.
Mais c’est aussi génial de jouer vos propres émissions phares. On peut jouer aussi longtemps qu’on veut et on a plus de liberté. Eh bien, je ne peux vraiment pas décider, désolé!
musique minute : Pas de problème ! Tu viens de mentionner que tu as rencontré tellement de groupes. Vous semblez avoir une relation particulièrement bonne avec des groupes allemands tels que Donots, Toten Hosen et Kraftklub. Y a-t-il une histoire particulièrement drôle que vous pouvez nous raconter ?
Adam de Royal Republic :Je peux vous dire comment j’ai rencontré Campino pour la première fois et que je ne l’ai pas reconnu. Je viens de Suède, sans offenser Toten Hosen. Je veux dire, on se connaît bien maintenant et ils sont cool !
Mais j’ai raconté une fois l’histoire aux fans de Toten Hosen sur scène et ils ont hué. Et puis ri. Je viens de Suède et je n’ai pas grandi avec les Toten Hosen comme les Allemands. Nous avons donc joué au Rock am Ring pour la première fois en 2011 et avons été invités à l’afterparty des Beatsteaks en Backstage.
Je volais haut. Nous venions de jouer au Rock am Ring et c’était quelque chose d’énorme pour moi. J’ai vraiment fait la fête. Vers 22 heures, nous étions tous assez ivres et ce type est entré dans la salle des coulisses. Il portait un long trench-coat gris et oui, c’était Campino. Je n’en avais aucune idée.
Alors ce type est venu vers moi et il m’a dit : « Hey Adam ! Ravi de vous rencontrer. J’ai vu ton émission, tu étais super ! On devrait jouer ensemble un jour. » J’étais juste comme, « Qui est ce vieil homme ivre et comment a-t-il réussi à se débrouiller dans les coulisses? » Et il était toujours là, me serrant la main et attrapant mon épaule. Il a salué les gens avec qui je me suis levé et j’ai parlé. Et je me suis dit : ‘Ce type ne peut-il pas me laisser tranquille ?
J’essaie d’avoir une conversation ici. » Ensuite, j’ai regardé autour de la pièce et mon manager se tenait à l’autre bout de la pièce en agitant les bras comme un contrôleur aérien, « Adam, Adam, tu as tout gâché! » Je veux dire , Campino se tient devant moi et me dit : « Tu as été formidable, jouons ensemble. » C’est la meilleure chose qui puisse t’arriver en Allemagne. Alors mon manager est venu vers moi et m’a dit : « Adam, je t’ai vu avec Campino. »
Et puis ça a cliqué : « Ah, salut ! Comment ça va? Ravi de vous rencontrer ! » Mais finalement tout s’est bien passé et nous sommes partis en tournée avec eux. Ils étaient vraiment fantastiques avec nous qu’ils nous ont pris comme première partie. Pour l’un des plus grands groupes de l’histoire allemande !
Et aussi sur le plan personnel, ils nous ont bien traités en première partie. Cela ressemble déjà à une famille. Je ne peux vraiment rien dire de mal à propos du Toten Hosen. Je t’ai vu avec Campino. » Et puis ça a cliqué : « Ah, salut ! Comment ça va? Ravi de vous rencontrer ! »
Mais finalement tout s’est bien passé et nous sommes partis en tournée avec eux. Ils étaient vraiment fantastiques avec nous qu’ils nous ont pris comme première partie. Pour l’un des plus grands groupes de l’histoire allemande ! Et aussi sur le plan personnel, ils nous ont bien traités en première partie.
Cela ressemble déjà à une famille. Je ne peux vraiment rien dire de mal à propos du Toten Hosen. Je t’ai vu avec Campino. » Et puis ça a cliqué : « Ah, salut ! Comment ça va? Ravi de vous rencontrer ! »
Mais finalement tout s’est bien passé et nous sommes partis en tournée avec eux. Ils étaient vraiment fantastiques avec nous qu’ils nous ont pris comme première partie. Pour l’un des plus grands groupes de l’histoire allemande ! Et aussi sur le plan personnel, ils nous ont bien traités en première partie.
Cela ressemble déjà à une famille. Je ne peux vraiment rien dire de mal à propos du Toten Hosen. Et aussi sur le plan personnel, ils nous ont bien traités en première partie. Cela ressemble déjà à une famille. Je ne peux vraiment rien dire de mal à propos du Toten Hosen. Et aussi sur le plan personnel, ils nous ont bien traités en première partie.
Cela ressemble déjà à une famille. Je ne peux vraiment rien dire de mal à propos du Toten Hosen.
minutenmusik : Cela ressemble à un début spécial mais agréable pour une amitié.
Adam de Royal Republic :Oui, mais je dois ajouter une dernière chose : en fait, cela n’a pas si bien commencé. Quand nous avons tourné avec eux, ils avaient une table de ping-pong avec eux. Ils prennent le tennis de table au sérieux, surtout Andy et Vom.
Ce n’est vraiment pas amusant parce qu’ils le prennent très au sérieux et que tout le groupe est de très bons joueurs de tennis de table. Lors de notre premier show, je pense que c’était à Hambourg, j’ai rencontré Campino après le show alors qu’il sortait tout juste de la loge. Il venait de prendre une douche et était en route pour la rencontre avec les VIP.
Et j’ai dit : « Hé Campino, super spectacle ! Ping Pong ? » Il a dit : « Désolé, je dois aller chez les VIP. » J’ai dit : « Tu as peur de jouer contre moi ? » Et lui : « Alors tu veux que je t’achève ? Alors je t’achèverai. » Je pouvais déjà dire qu’il était un peu en colère, mais je suis allé avec toi. Et 30 autres personnes sont venues avec nous.
Nous avons joué un tour et je l’ai battu. Il a posé la batte, m’a serré la main et a dit : « Bon jeu, au revoir ! » Puis il est parti assez rapidement et un gars de la sécurité m’a regardé et a secoué la tête : « Mec… ». Mais ça allait, la prochaine fois je le laissais gagner.
minutenmusik : Quelle belle histoire ! C’étaient toutes mes questions maintenant. Y a-t-il autre chose que vous voudriez dire à nos lecteurs ?
Adam de Royal Republic : Tu ne peux pas lutter contre le disco ! N’essayez même pas.
Eric CANTO Photographe : Photos de concerts, portraits, pochettes d’albums.
Royal Republic est un groupe de rock suédois originaire de Malmö, formé en 2007. Le groupe est composé de quatre membres : Adam Grahn (chant, guitare), Hannes Irengård (guitare), Jonas Almén (basse) et Per Andreasson (batterie). Ils sont connus pour leur style énergique et leurs performances scéniques captivantes, avec un mélange de rock’n’roll, garage rock et punk rock, influencé par des groupes tels que The Hives et The Ramones.
2. Quels sont les albums studio de Royal Republic?
À ce jour, Royal Republic a sorti cinq albums studio :
1. We Are the Royal (2010)
2. Save the Nation (2012)
3. Weekend Man (2016)
4. Club Majesty (2019)
5. Superlove (2021)
Chacun de ces albums a contribué à façonner l’identité du groupe et à élargir leur base de fans à travers le monde.
3. Quelles sont les chansons les plus populaires de Royal Republic?
Royal Republic a de nombreux titres populaires, dont certains de leurs hits les plus notables sont « Tommy-Gun », « Full Steam Spacemachine », « Everybody Wants to Be an Astronaut », « When I See You Dance with Another » et « Fireman & Dancer ». Ces chansons mettent en valeur le style énergique, les riffs de guitare accrocheurs et les paroles amusantes qui sont caractéristiques de leur musique.
4. Comment Royal Republic a-t-il été formé?
Le groupe s’est formé à Malmö en 2007 lorsque les membres se sont rencontrés à l’Académie de musique de Malmö. Adam Grahn, Hannes Irengård, Jonas Almén et Per Andreasson ont rapidement découvert qu’ils partageaient un amour pour le rock’n’roll et ont commencé à écrire et jouer ensemble.
Leur alchimie musicale et leurs performances scéniques énergiques ont rapidement attiré l’attention des fans et des professionnels de l’industrie, ce qui a conduit à la signature de leur premier contrat d’enregistrement en 2009.
5. Quels sont les influences musicales de Royal Republic?
Les membres de Royal Republic citent de nombreuses influences musicales, notamment des groupes tels que The Hives, The Ramones, AC/DC, The Rolling Stones et Led Zeppelin. Leur musique est un mélange de styles de rock, y compris le rock’n’roll, le garage rock et le punk rock. Leurs paroles sont souvent humoristiques et satiriques, ajoutant une touche d’ironie à leur son énergique.
6. Comment est leur performance sur scène?
Royal Republic est réputé pour ses performances scéniques captivantes et énergiques. Les membres du groupe interagissent souvent avec le public, créant une ambiance festive et conviviale. Leurs concerts sont caractérisés par des riffs de guitare accrocheurs, des rythmes de batterie pulsants et des performances vocales charismatiques. Ils sont également connus pour leur sens de l’humour et leur approche décontractée, ce qui rend leurs spectacles amusants et accessibles pour les fans de tous âges.
7. Comment Royal Republic interagit-il avec ses fans?
Le groupe entretient une relation étroite avec ses fans et est très actif sur les réseaux sociaux, notamment sur Facebook, Instagram et Twitter. Ils publient régulièrement des mises à jour sur leurs activités, des photos et des vidéos des coulisses, ainsi que des annonces de tournée et de nouvelles sorties.
Ils sont également connus pour répondre aux messages de leurs fans et organiser des rencontres et des séances de dédicaces lors de leurs concerts. Royal Republic apprécie le soutien de ses fans et cherche toujours à renforcer cette connexion.
8. Quelles sont les collaborations notables de Royal Republic?
Royal Republic a travaillé avec divers artistes et producteurs tout au long de sa carrière. L’une de leurs collaborations les plus notables a été avec le producteur suédois Christian Neander, qui a travaillé sur plusieurs de leurs albums. Le groupe a également partagé la scène avec de nombreux autres groupes et artistes de renom, tels que The Subways, Danko Jones et Eagles of Death Metal, lors de festivals et de tournées internationales.
9. Quels sont les projets futurs de Royal Republic?
Alors que les projets futurs de Royal Republic n’ont pas été officiellement annoncés au moment de cette FAQ, on peut s’attendre à ce que le groupe continue de sortir de nouvelles musiques, de tourner à l’échelle internationale et d’interagir avec ses fans.
Les membres du groupe ont également exprimé leur intérêt pour la collaboration avec d’autres artistes et pour l’exploration de nouveaux styles musicaux, ce qui pourrait indiquer une évolution future de leur son.
10. Comment puis-je suivre l’actualité de Royal Republic?
Pour rester informé des dernières nouvelles concernant Royal Republic, vous pouvez les suivre sur leurs réseaux sociaux (Facebook, Instagram, Twitter), ainsi que sur leur site web officiel.
Les plateformes de streaming musical et les sites de vente en ligne proposent également leurs albums et chansons, où vous pouvez vous tenir au courant de leurs dernières sorties.
Enfin, vous pouvez vous inscrire à leur newsletter pour recevoir des informations sur les tournées, les nouvelles sorties et les événements spéciaux directement dans votre boîte de réception.
La photographie de concert est un domaine passionnant et exigeant qui consiste à capturer les moments clés d’un spectacle en direct. Les photographes de concert doivent être capables de saisir les émotions et l’énergie d’un spectacle, tout en gérant les défis uniques liés à la photographie de concert, tels que les conditions d’éclairage changeantes et les mouvements rapides des artistes.
Pour devenir photographe de concert, il est important de développer vos compétences en photographie de base, telles que la composition, l’exposition et la maîtrise de l’appareil photo. Il est également important d’avoir une bonne connaissance de la musique et des artistes pour savoir quoi capturer et comment le faire et ainsi réussir une bonne photographie de concert.
Photographie de concert
Les photographes de concert doivent également être capables de travailler rapidement et efficacement, car ils n’ont généralement qu’une courte période de temps pour prendre des photos pendant un concert et réaliser des photographies de concert à la hauteur de leurs attentes. Cela signifie qu’ils doivent être à l’aise avec l’utilisation de leur appareil photo en mode manuel et savoir comment réagir rapidement aux changements de lumière et de mouvement sur scène.
En outre, les photographes de concert doivent être capables de gérer les pressions et les exigences des organisateurs de concerts et des artistes. Ils doivent être professionnels et respectueux des règles et des restrictions imposées par les organisateurs de concerts, tout en maintenant leur créativité et leur vision artistique afin que le rendu de leur photographie de concert soit optimal.
En résumé, la photographie de concert est un domaine exigeant qui nécessite des compétences en photo, une passion pour la musique et la capacité de gérer les défis uniques liés à la photode concert. Les photographes de concert doivent être capables de saisir les moments clés d’un spectacle tout en respectant les règles et les restrictions imposées par les organisateurs de concerts.
Photographie de concert : 7 conseils pour y arriver !
1. Connaître son matériel : assurez-vous de connaître parfaitement votre appareil photo et ses réglages pour être prêt à réagir rapidement aux conditions changeantes de l’éclairage et des mouvements sur scène.
2. Bien préparer son matériel : assurez-vous d’avoir suffisamment de batteries et de mémoire, et de vérifier les réglages de votre appareil avant le concert.
3. Trouver la bonne position : essayez de trouver une bonne position pour capturer les artistes de la meilleure manière possible, tout en respectant les consignes de sécurité et les restrictions imposées par les organisateurs de concerts.
4. Utiliser la lumière naturelle : utilisez la lumière naturelle pour créer des effets intéressants et pour mettre en valeur les artistes.
5. Utiliser le flash avec précaution : utilisez le flash avec précaution pour éviter de gêner les artistes et les autres photographes, et pour éviter d’obtenir des photos floues.
6. Capturer les moments clés : soyez attentif pour capturer les moments clés du concert, tels que les solos, les moments d’émotion et les interactions avec le public.
7. Respecter les droits d’auteur : respectez les droits d’auteur en ne utilisant vos photos qu’à des fins personnelles ou en obtenant l’autorisation de l’artiste ou des organisateurs avant de les publier ou de les utiliser à des fins commerciales.
En suivant ces conseils, vous devriez être en mesure de réaliser des photographies de concert de qualité professionnelle qui capturent l’énergie et l’émotion d’un spectacle en direct.
Photo de concert
Photographie de concert : 5 erreurs à éviter
1. Utiliser le flash trop souvent : utiliser le flash trop souvent peut gêner les artistes et les autres photographes, et peut également causer des flous ou des images surexposées. Utilisez plutôt la lumière naturelle pour créer des effets intéressants sur votre photographie de concert.
2. Ne pas connaître les consignes de sécurité et les restrictions : assurez-vous de connaître les consignes de sécurité et les restrictions imposées par les organisateurs de concerts pour éviter de vous mettre en danger ou de gêner les artistes.
3. Ne pas utiliser le bon réglage d’exposition : une mauvaise exposition peut causer des photos sous-exposées ou surexposées, il est donc important de bien régler l’exposition de votre appareil photo pour capturer des images de qualité.
4. Ne pas zoomer assez : zoomer suffisamment permet de capturer des détails importants et de mettre en valeur les artistes.
5. Ne pas être assez créatif : la photographie de concert est un domaine créatif, ne soyez pas trop timide pour essayer de nouveaux angles ou de nouveaux cadrages pour capturer des images uniques et intéressantes.
Photo de concert
Histoire de la photographie de concert
L’histoire de la photographie de concert remonte aux débuts de la photographie elle-même. Les premières photographies de concerts ont été prises dans les années 1850 et 1860, principalement par des photographes amateurs qui utilisaient des appareils photo à plaque de verre pour capturer des images fixes de musiciens jouant dans des salles de concert ou des théâtres.
Ces premières photographies de concerts étaient souvent de mauvaise qualité en raison des limites techniques de l’époque, mais elles ont tout de même été utilisées pour documenter la musique de l’époque.
Avec l’avènement de l’appareil photo argentique et l’amélioration des techniques photographiques dans les années 1920 et 1930, les photographes de concert ont commencé à capturer des images plus détaillées et plus expressives des artistes en direct. Les photographes de renom tels que Gered Mankowitz et Bob Gruen ont commencé à documenter les tournées et les concerts de stars de la musique tels que The Beatles, The Rolling Stones et Elvis Presley.
La photographie de concert est donc née avec l’avènement de la photographie elle-même, mais son développement est étroitement lié à l’histoire de la musique et des concerts. Les premières photographies de concerts datent du milieu du 19ème siècle, à une époque où la photographie en était encore à ses débuts.
Les premiers photographes de concerts ont été chargés de documenter les événements musicaux importants, tels que les opéras et les concerts de musique classique. Avec l’émergence du jazz et du rock and roll dans les années 1950 et 1960, la photographie de concert a évolué pour devenir un genre à part entière.
Les années 1960 ont vu l’émergence de certains des plus grands photographes de concerts, tels que Jim Marshall, qui a immortalisé des artistes tels que Jimi Hendrix, Janis Joplin et les Rolling Stones. D’autres grands noms de la photographie de concerts incluent Annie Leibovitz, Danny Clinch, Anton Corbijn et Linda McCartney.
Avec l’avènement de la photographie numérique, la photographie de concert a connu une évolution rapide, offrant de nouvelles possibilités créatives aux photographes. Aujourd’hui, la photographie de concert est un genre florissant qui offre aux photographes de nombreuses opportunités de capturer des moments uniques et de créer des images puissantes et évocatrices de certains des plus grands artistes du monde.
Photographie de concert: Bob Gruen, l’un des premiers..
Bob Gruen est un photographe américain connu pour ses photographies de célébrités de la musique, notamment des photographes de John Lennon et des Rolling Stones. Il est né en 1945 à New York, et a commencé sa carrière de photographe en prenant des photographies de concerts dans les années 1960 et 1970.
Il a été introduit dans le monde de la musique en travaillant pour le magazine Creem en 1972, où il a commencé à prendre des photos de groupes tels que Led Zeppelin, The Who et The New York Dolls. Il est devenu photographe officiel de John Lennon et Yoko Ono en 1974 et a été témoin de certains des moments les plus importants de leur vie ensemble, comme la naissance de leur fils Sean et leur campagne anti-guerre.
Il a également pris des photos de nombreuses autres célébrités de la musique tels que Bob Dylan, The Clash, Kiss, et Iggy Pop, ainsi que des photographes de concerts de Tina Turner, Eric Clapton, et Elton John. Ses photos ont été publiées dans de nombreux magazines de musique et de divertissement, et ont également été utilisées pour des pochettes d’albums, des affiches et des livres d’art.
Bob Gruen est considéré comme l’un des photographes les plus influents de la musique rock. Il a continué à prendre des photographies de concerts jusqu’à aujourd’hui, et ses photos sont devenues des pièces de collection pour les fans de musique. Il a également écrit plusieurs livres sur ses expériences en tant que photographe de concert et sur les célébrités qu’il a photographiées.
Photographie de concert, récapitulatif:
Utilisez un appareil photo adapté : Les reflex numériques sont généralement les meilleurs choix pour la photographie de concert, mais les appareils photo hybrides et les compacts experts peuvent également donner de bons résultats. Choisissez un appareil avec une bonne qualité d’image à des sensibilités ISO élevées.
Utilisez un objectif lumineux : Les concerts ont souvent un éclairage tamisé, donc il est important d’utiliser un objectif lumineux qui peut capter plus de lumière. Un objectif à grande ouverture, comme un 50mm f/1.8, peut aider à créer des images nettes avec un arrière-plan flou.
Privilégiez les réglages manuels : Les réglages manuels vous permettent d’avoir plus de contrôle sur les paramètres de votre appareil photo, notamment l’ouverture, la vitesse d’obturation et la sensibilité ISO. Réglez votre appareil photo sur le mode manuel pour obtenir les meilleurs résultats.
Utilisez le mode rafale : Les concerts sont souvent des événements dynamiques, avec des artistes en mouvement constant. Utilisez le mode rafale pour capturer plusieurs images en succession rapide et augmenter vos chances d’obtenir des images nettes.
Faites attention à l’éclairage : Les concerts ont souvent un éclairage complexe avec des changements fréquents de couleur et d’intensité. Essayez de capturer les moments où l’éclairage est le plus avantageux pour créer des images intéressantes et originales.
Soyez discret : Les concerts sont souvent bondés et les spectateurs peuvent se sentir gênés si vous êtes trop visible ou bruyant. Essayez d’être discret et respectueux envers les autres spectateurs et les artistes.
Soyez créatif : Les concerts offrent de nombreuses opportunités pour la créativité photographique. Essayez de jouer avec la composition, l’angle de prise de vue et la mise au point pour créer des images uniques et mémorables.
Eric CANTO Photographe : Photos de concerts, portraits, pochettes d’albums.
Q1: Quel est le meilleur moment pour prendre des photos lors d’un concert ?
R1: Le meilleur moment pour prendre des photos lors d’un concert dépend du style de musique et de la mise en scène de l’artiste. Essayez d’anticiper les moments forts du spectacle, comme les refrains ou les solos d’instruments, pour prendre des photos dynamiques et captivantes.
Q2: Comment puis-je éviter les photos floues lors d’un concert ?
R2: Pour éviter les photos floues, utilisez une vitesse d’obturation rapide pour figer les mouvements des artistes et des spectateurs. Vous pouvez également utiliser un trépied ou un monopode pour stabiliser votre appareil photo.
Q3: Comment puis-je prendre des photos en basse lumière lors d’un concert ?
R3: Pour prendre des photos en basse lumière, utilisez un objectif lumineux avec une grande ouverture, comme f/1.8 ou f/2.8, et augmentez la sensibilité ISO de votre appareil photo. Évitez d’utiliser le flash, qui peut gêner les artistes et les spectateurs.
Q4: Comment puis-je composer mes photos de concert pour les rendre plus intéressantes ?
R4: Pour composer des photos de concert intéressantes, essayez de jouer avec les angles et les perspectives. Essayez de capturer des images de l’artiste et de son environnement, comme les lumières et les foules. N’oubliez pas d’inclure des éléments de contexte pour raconter une histoire.
Q5: Comment puis-je obtenir des accréditations pour photographier des concerts ? R5: Pour obtenir des accréditations pour photographier des concerts, il est généralement nécessaire de contacter directement le tourneur ou le gestionnaire de l’artiste en question. Il est également possible de contacter les organisateurs de festivals ou de concerts pour obtenir une accréditation pour l’événement.
Q6: Comment puis-je gérer mes photos après un concert ?
R6: Pour gérer vos photos après un concert, triez-les en fonction de leur qualité et de leur pertinence. Éditez-les pour améliorer leur netteté, leur exposition et leur couleur. Vous pouvez également partager vos photos sur les réseaux sociaux ou les soumettre à des publications spécialisées.
Q7: Comment puis-je améliorer mes compétences en photographie de concert ?
R7: Pratiquez autant que possible, assistez à différents types de concerts et essayez différentes techniques de prise de vue. Étudiez également le travail des photographes professionnels et des artistes pour vous inspirer et apprendre de nouvelles techniques. Enfin, rejoignez des groupes en ligne et des communautés de photographie de concert pour obtenir des commentaires et des conseils.
Erwin Blumenfeld, est un des photographes les plus influents et novateurs de la photographie de mode du milieu du 20e siècle. Entre collages, campagnes publicitaires, photographies de célébrités, dessins, portraits de nus, l’œuvre de Erwin Blumenfeld est riche.
Cet artiste allemand naturalisé américain, très connu pour son travail avec les magazines Vogue et Harper’s Bazaar, est mis à l’honneur par le musée d’Art et d’Histoire du judaïsme (MAHJ) de Paris dans le cadre d’une exposition, « Les Tribulations d’Erwin Blumenfeld, 1930-1950 ».
Du 13 octobre 2022 au 05 mars 2023, cette exposition met en lumière 180 photographies de l’artiste et retrace tout le chemin parcouru par le photographe.
Retour sur la vie de cet artiste, Erwin Blumenfeld, pionnier du modernisme et figure emblématique de l’image publicitaire.
Erwin Blumenfeld, son enfance et ses débuts 1897- 1939
D’origine juive, Erwin Blumenfeld naît le 26 janvier 1897 à Berlin, en Allemagne. Féru d’expérimentation en laboratoire, il commence la photographie à l’âge de 10, 11 ans. Nous sommes en 1908.
Il fait sa scolarité au Askanian Gymnasium de 1903 à 1913.
Son père, fabricant de parapluies décède en 1910, alors qu’Erwin n’a que 13 ans.
En 1913, Erwin Blumenfeld obtient un apprentissage chez Sclochauer et Moses puis est enrôlé dans l’armée comme ambulancier durant la 1ère guerre mondiale et déserte à Amsterdam (Pays-Bas) en 1920. Il ne sera jamais condamné par manque de preuves.
Là-bas, Erwin Blumenfeld, rencontre et épouse Lena Citroën, d’origine néerlandaise. Ensemble, ils accueillent leur premier enfant, Lisette puis leurs deux garçons Henry (Heinz) et Yorick.
Il ouvre alors une boutique de sacs à main Fox Leather Compan, avant de monter son premier studio de portrait, où il photographie ses clientes et se lance dans les nus dès 1932.
Avec son ami Paul Citroën, Erwin Blumenfeld participe au mouvement dada avec ses croquis, ses dessins, ses caricatures, sous le nom de Jan Bloomfield.
Ce travail lui vaut une exposition dans une galerie locale de Carl van Lier, puis à Paris, grâce à sa rencontre avec Geneviève Rouault, fille du peintre français Georges Rouault, qui lui propose d’exposer ses œuvres dans son cabinet dentaire parisien.
En 1935, le magazinePhotographie publie une des ses photos.
En 1936, son magasin faisant faillite, Erwin s’installe à Paris, dans la chambre d’un hôtel insalubre rue d’Odessa, quartier de Montparnasse, où il réalise des portraits de personnalités artistiques dont Henri Matisse, Georges Rouault et Cecil Beaton qui lui obtient un contrat avec le magazine Vogue français en 1937.
Erwin Blumenfeld, A la-Vermeer variante Vogue
Sa famille quant à elle, restée aux Pays-Bas, doit attendre 1938 pour le rejoindre, le temps qu’Erwin honore ses premiers contrats en tant que photographe publicitaire. Parallèlement, il ouvre un studio et enchaîne les projets avec les collections de Carmel Snow du Harper’s Bazaar, Verve et Vogue France. Il démarre aussi une carrière à New York.
Erwin Blumenfeld, les années noires de la guerre 1939-1941
Malheureusement, son destin bascule avec la défaite de la France et l’installation du régime de Vichy en 1940. La famille Blumenfeld est obligée de fuir. Il met en sûreté ses archives chez Jo Regali, et se réfugie dans l’Yonne à Vézelay.
Ses tentatives de fuite hors du territoire français sont un échec.
Erwin Blumenfeld, finit par être interné en 1939 à Montbard-Touillon-Marmagne puis au camp Loriol et connaît deux années d’errance avant d’obtenir son visa pour les Etats-Unis en 1941 grâce à la Hebrew Immigrant Aid Society.
Dès son arrivée à New-York, Erwin Blumenfeld renoue immédiatement avec l’industrie de la mode.
Erwin Blumenfeld, ses années américaines florissantes 1941-1969
Sans difficulté, il est embauché par le magazine Harper’s Bazaar pendant trois ans (1941-1944), puis devient pigiste pour Vogue (1944-1955). Il ouvre son propre atelier sur Central Park en 1943.
Ses photographies dont la célèbre L’Œil de biche de 1949 paraissent dans différentes revues, telles que Coronet, Cosmopolitan, Flair, Look ou encore Life.
Erwin Blumenfeld participe à l’exposition « Photography, 1839-1937 » au Musée d’Art Moderne de New York, travaille pour le Dayton’s, grand magasin de Minneapolis, réalise des campagnes publicitaires pour L’Oréal, Elisabeth Arden, Helena Rubinstein…
Dans les années 1950, Erwin Blumenfeld est un des photographes les mieux payés du monde qui a immortalisé les plus grandes comme Audrey Hepburn, Marlene Dietrich ou encore Grace Kelly.
Son travail est exposé dans le monde entier, à New York, Paris, Jérusalem, Londres, aux Pays-Bas, en Allemagne, à Moscou…
Durant toutes ses années, Erwin Blumenfeld passe des photos en noir et blanc (Voile mouillé – 1937, Sur la Tour Eiffel – 1938), à l’utilisation de la couleur. (Œil de biche –Vogue, 1949)
Erwin Blumenfeld VOILE MOUILLE 1937
Erwin Blumenfeld Sur la Tour Eiffel – 1938
Œil de biche -Vogue, 1949
La vie maritale du photographe connait quelques tumultes. Son assistante Kathleen Levy-Barnett devient sa maîtresse avec de devenir sa belle-fille en épousant son fils Henry en 1956.
Puis il s’engage dans une liaison avec Marina Schinz, de trente ans sa cadette, qu’il engage comme assistante en 1964 et avec laquelle il rédige son autobiographie qui paraîtra après sa mort (Jadis et Daguerre).
Lena sa femme, quant à elle, vit à Vienne.
Erwin Blumenfeld devient également grand-père de Remy Blumenfeld, Yvette Blumenfeld et Georges Deeton.
Il consacre les dernières années de sa vie à son livreMy One Hundred Best Photos et devient progressivement « has been » dans le domaine de la mode, les nouveaux photographes paraissant plus jeunes et plus modernes.
Erwin décède d’un infarctus, le 04 juillet 1969 dans un hôtel de Rome, en Italie.
Lena, bien que malade décédera 25 ans plus tard.
Erwin Blumenfeld, un visionnaire
Influencé par Man Ray, Lucas Cranach ou encore George Grosz, Erwin Blumenfeld a utilisé de nombreuses techniques, allant de solarisation, surimpression, réticulation, à l’impression « sandwich », en passant par la double exposition, la fragmentation au moyen de miroirs, jeux optiques, d’ombres et de lumières. Alors que son travail pour les entreprises cosmétiques et la mode, est en couleur, le reste est en noir et blanc.
Erwin Blumenfeld expérimente, notamment en jouant avec les couleurs saturées, décomposées, filtrées ou encore collées. Il s’inspire du cubisme et repousse toujours les limites de la photographie en couleurs. Il défait ainsi les codes de la publicité.
Erwin Blumenfeld, sa bibliographie
Les Tribulations d’Erwin Blumenfeld, 1930-1950, catalogue RMN-GP, 2022, 240
Helen Adkins, Erwin Blumenfeld. I was nothing but a Berliner. Dada Montages 1916–1933, Hatje Cantz, Ostfildern, 2008
Michel Metayer, Erwin Blumenfeld, Londres et New York, Phaidon, 2004.
Yorick Blumenfeld, The Naked and the Veiled. The Photographic Nudes of Erwin Blumenfeld, Londres, Thames & Hudson, 1999.
Erwin Blumenfeld, Jadis et Daguerre, éd. Robert Laffont, 1975, éd. La Martinière, 1997
William Ewing, Le culte de la beauté, Paris, Éditions de la Martinière, 1996.
Erwin Blumenfeld, Mes 100 meilleures photos, texte de Hendel Teicher, Musée Rath, Genève, 1979.
Erwin Blumenfeld, Le Minotaure et le dictateur 1936-1937.
Jadis et Daguerre
Erwin Blumenfeld, ses principales expositions post-mortem
2022 : « Les Tribulations d’Erwin Blumenfeld, 1930-1950 », musée d’Art et d’Histoire du judaïsme, Paris, du 13 octobre 2022 au 5 mars 2023.
2013 : « Erwin Blumenfeld », Jeu de Paume, Paris, du 15 octobre 2013 au 26 janvier 2014
2012 : Studio Blumenfeld, New York, 1941-1960, musée Nicéphore-Niépce, Châlon-sur- Saône
2009 : Erwin Blumenfeld Dada montages 1916-1933, Berlinische Galerie, Berlin
2006 : Erwin Blumenfeld, his dutch years, Fotomuseum den Haag, La Haye ;
1996 : Barbican Museum, Londres, exposition itinérante présentée, notamment à Zurich, Lausanne, Berlin, Paris et Amsterdam ;
1981 : centre Pompidou, Paris;
1979 : musée Rath, Genève
BONUS: extrait de l’interview de Yorick Blumenfeld le 25 septembre 2006, pour showstudio,
TRANSCRIPTION: YORICK BLUMENFELD SUR ERWIN BLUMENFELD
Le fils d’Erwin Blumenfeld, l’écrivain Yorick Blumenfeld, a parlé à Penny Martin de ses premiers souvenirs de son père, de la carrière d’Erwin Blumenfeld dans la mode et de la pertinence de ses expériences dans le cinéma.
Penny Martin : J’aimerais commencer par quelques questions à votre sujet, Yorick. Tout d’abord, pouvez-vous me dire votre nom et votre lieu de naissance ?
Yorick Blumenfeld : Mon nom est Yorick, qui est un nom étrangement shakespearien, mais vient des Pictes à l’origine. Mon père et ma mère pensaient que j’allais être une fille et qu’ils allaient m’appeler Yorikka, et heureusement j’ai échappé à ça ! Ils avaient également lu Lawrence Stern, et il y a un Yorick là-dedans, c’est ainsi que Yorick est né.
Penny Martin : Et vous êtes né ?
Yorick Blumenfeld : A Amsterdam aux Pays-Bas.
Penny Martin : C’est là que vous avez vécu la plus grande partie de votre vie ?
Yorick Blumenfeld : Non, quand j’avais trois ans et demi, mes parents ont déménagé à Paris. Mon père a travaillé pour Vogue là-bas, puis ils ont déménagé à New York pendant la Seconde Guerre mondiale, et depuis ce temps, j’ai vécu ou travaillé dans quelque quatre-vingt-quinze pays, donc j’ai pas mal voyagé !
Penny Martin : Où avez-vous vécu le plus longtemps ?
Yorick Blumenfeld : Le plus longtemps, c’était à Cambridge, en Angleterre, et j’y ai vécu trente-sept ans.
Penny Martin : Que diriez-vous du travail de votre vie ?
Yorick Blumenfeld: Eh bien, je suis fondamentalement un écrivain, et depuis environ vingt-cinq ans, j’écris sur l’avenir et sur la direction que nous pourrions prendre. C’est principalement le travail de ma vie, mais écrire tout ce temps avant aussi.
Penny Martin : De quelle réalisations êtes-vous le plus fier ?
Yorick Blummenfeld: Eh bien, je pense qu’en tant qu’écrivain, vous êtes toujours le plus amoureux de ce sur quoi vous travaillez à ce moment-là, et c’est donc ce dont je suis le plus heureux.
Penny Martin : Pouvez-vous dire ce que c’est ?
Yorick Blumenfeld : C’est un roman situé dans la Rome antique à l’époque d’Auguste, et c’est un thriller. Je sens que ce sera un livre très excitant. Il s’adresse à un très large public, par contre je pense que le public m’associe le plus à un livre qui s’appelle « Jenny : My Diary », qui est devenu un best-seller international.
C’est un genre de travail très différent, mais c’est aussi de la fiction, et la plupart de mon temps est consacré à l’écriture de non-fiction, mais je suis très excité par ce que je fais en ce moment !
Penny Martin : Je veux passer à une deuxième série de questions qui sont plus spécifiques à un projet que nous réalisons à SHOWstudio. Je voulais vous poser quelques questions sur votre propre parcours, et principalement sur votre père. Vous avez un nom de famille célèbre dans le monde de l’image, diriez-vous que cela a été une aide ou un obstacle ?
Yorick Blumenfeld : Je pense que c’est toujours une aide d’avoir un nom reconnu, et je pense que cela ne m’a pas du tout aidé dans ma propre vie et ma carrière, car il a été très différent de celui de mon père. Je n’ai pas vraiment été dans le monde de l’image en termes d’écriture, à l’exception du seul livre que j’ai écrit sur mon père. La plupart de mes écrits ont porté sur des domaines très différents.
Penny Martin : Et trouvez-vous que les gens vous reconnaissent ?
Yorick Blumenfeld : Non, ils ne le font pas !
Penny Martin : Pouvez-vous nous parler de votre premier souvenir de votre père ?
Yorick Blumenfeld : J’ai beaucoup de souvenirs de mon père, je veux dire, il est très difficile de savoir rétrospectivement si vous vous souvenez des scènes réelles ou si vous vous souvenez d’incidents qui se sont produits pendant qu’il vous photographiait, et vous voyez plus tard les images, cinquante années plus tard! Il a pris de merveilleuses images de moi quand j’étais bébé – absolument certaines de ses meilleures photos, qui hélas ne seront pas montrées aux Pays-Bas.
Penny Martin : C’est dans la prochaine exposition ?
Yorick Blumenfeld : Oui, dans la prochaine exposition qui s’ouvre le 9 septembre 2006. Mais les choses dont je me souviens le plus sont les plus traumatisantes émotionnellement. C’était une personne très exceptionnelle et il était assez autoritaire dans son approche de différentes choses. Il était extrêmement impatient, et particulièrement quand j’avais environ trois ans et demi ou quatre ans, quand nous avons déménagé en France.
J’avais toujours aimé le thé auparavant aux Pays-Bas, et mon père, qui n’aimait pas beaucoup les Pays-Bas, détestait le thé, et il voulait que je boive du café ! Et donc il y avait toute une scène à ce sujet au début de la restauration, et puis il voulait me faire goûter du vin français très tôt, et je n’aimais pas boire ça à moins qu’il ne mette du sucre dedans !
Alors je prenais des morceaux de sucre, je les trempais dans le vin et je les suçais. Mais il était extrêmement impatient lorsque je commandais dans des restaurants par exemple, et même à un très jeune âge – nous parlons de cinq ou six ans – et devenait toujours absolument furieux quand je ne pouvais pas me décider instantanément sur le menu, et j’étais à peine capable de lire, ce qui a rendu les choses encore plus difficiles !
Penny Martin : Pouvez-vous le décrire un peu plus en tant que personne ? Nous avons une image de lui en tant que père vu des yeux d’un enfant, mais évidemment l’écriture sur lui se concentre beaucoup sur lui en tant que créateur d’images et sa relation avec les modèles. Pouvez-vous dire quelque chose à son sujet une fois que vous l’avez connu en tant qu’adulte ?
Yorick Blumenfeld : Eh bien, nous avons pas mal voyagé ensemble aux États-Unis, par exemple. Nous avons fait quelques voyages aux États-Unis, ensemble, juste pour prendre des photos, marcher, grimper et faire différentes choses.
À cette époque, j’étais déjà à une autre étape de ma vie, j’avais la vingtaine. Je pense qu’il était un très bon conteur -, captivant et aimait raconter des histoires. D’une certaine manière, c’était difficile pour moi, car d’une manière ou d’une autre, j’étais toujours épris de faits, et mon père ne s’intéressait pas toujours aux faits.
En tant que tel, il voulait la valeur de divertissement d’une histoire ! Donc, quand il racontait une histoire, il y avait toujours ces légères nuances et différences, et je sentais que c’était faux ; que s’il avait une grande histoire à raconter, alors ce devrait toujours être la même grande histoire, pas une qui avait des personnages et des fins différents et je ne sais pas quoi! C’était donc une partie. C’était, je pense, un charmeur professionnel.
Je pense qu’il appréciait son pouvoir de charmeur. Il aimait aussi monter les gens les uns contre les autres, en termes, par exemple, d’Elizabeth Arden contre Helena Rubenstein, et voulait jouer les uns contre les autres. Il a énormément apprécié ça, il en a eu un coup de pied ! Il pouvait vraiment charmer qui il voulait, et utilisait ce pouvoir, je pense, pour survivre autant que n’importe quoi d’autre.
Penny Martin : Je n’ai pas pu glaner beaucoup d’informations sur votre mère et sa femme dans les écrits sur la photographie. A-t-elle joué un rôle dans le soutien de sa photographie, pensez-vous ?
Yorick Blumenfeld : Je pense qu’elle a été très importante dans sa vie, mais peut-être pas dans sa photographie en tant que telle. Il a pris un certain nombre de très bonnes photos d’elle, mais elle n’est jamais venue au studio, à New York.
Pendant les trente années qu’ils ont vécues ensemble à New York, elle n’est presque jamais allée dans l’atelier qui était en quelque sorte son domaine. Je pense qu’ils ont quand même beaucoup parlé. Elle était une lectrice énorme, et donc elle l’informait de ce qui se passait dans le monde littéraire…
Penny Martin : C’est intéressant parce que dans ses écrits il est extrêmement bien informé sur les tendances actuelles de la psychanalyse, et sur la critique littéraire.
Yorick Blumenfeld : Oui, elle était psychologue pour enfants et essayait d’aider les enfants avec des problèmes psychologiques et ainsi de suite, donc ils étaient tous les deux assez freudiens dans leur vision. Sa vie à la maison était très différente de sa vie en studio, et c’était une existence beaucoup plus littéraire, intellectuelle, poétique.
C’est difficile à reconnaître, mais il avait un énorme éventail d’intérêts. Jeune homme, il a eu un appareilphoto à 11 ans, je crois que c’était son âge, mais en même temps, il était extrêmement intéressé par le théâtre et pensait qu’il deviendrait peut-être acteur. Il était extrêmement passionné par la poésie et a commencé à écrire de la poésie à un très jeune âge et a continué, jusqu’à la trentaine, à écrire de la poésie.
J’ai toute une collection de poèmes qu’il a écrits. Il était très intéressé par l’écriture, et la littérature en tant que telle, et donc il y avait tous ces différents aspects en lui, en plus d’être très impliqué dans la vie artistique à Berlin, en tant que jeune. C’était extrêmement important pour lui dans les années suivantes. Alors il a vraiment commencé, quand il avait vingt ans, plus ou moins, à faire des collages Dada et des choses comme ça.
Penny Martin : C’était aussi un très bon illustrateur, n’est-ce pas ?
Yorick Blumenfeld : Oui, il était très sensible à la mode, à l’illustration et au textile. Ses intérêts étaient très variés.
Penny Martin : Quand pensez-vous avoir pris conscience pour la première fois qu’il était photographe ou de son travail photographique ?Yorick Blumenfeld : Je pense que j’avais environ quatre ans. J’allais dans la chambre noire avec lui à Paris. Ce n’était pas une expérience très agréable pour moi, car la pièce sombre était noire, à l’exception d’une lumière orange ou rouge qu’il y avait dans la pièce sombre. Il voulait que je secoue les plateaux…
Penny Martin : Produits chimiques nocifs !
Yorick Blumenfeld : … Des allers-retours, et les produits chimiques roulaient et me donnaient le vertige, et j’étais dans le noir et totalement désorienté. C’était difficile, donc j’étais très conscient de sa photographie dès les premières étapes. Là aussi où nous vivions, dans la rue de Londres, qui était un duplex, tout l’endroit était tapissé de ses photographies, donc on pouvait difficilement leur échapper !
Penny Martin : J’aimerais aborder une série de questions qui portent davantage sur les résultats de vos propres recherches et sur ce que vous avez écrit sur l’opinion de votre père sur son propre travail. Votre livre, Les Nues et les Voilées, portait principalement sur les nus. Avez-vous choisi ce corpus d’œuvres parce que c’est celui que vous appréciez le plus parmi les archives ?
Yorick Blumenfeld : Eh bien, c’est le travail qui lui a valu une reconnaissance internationale. Les premières photographies qu’il a faites à Verve ont vraiment fait sa carrière. The Verve est sorti à Paris, et c’était un magazine d’art très remarquable de la fin des années trente, et il avait de nombreuses pages dans les deux premiers numéros, avec Man Ray et tout le monde.
Donc, la raison pour laquelle j’ai choisi les photographies de nu pour le thème du livre, c’est qu’elles étaient, je pense, les plus populaires de ses photographies, en dehors du monde de la mode, et qu’elles se vendraient le plus ! Et en effet, il a été publié aux États-Unis, en France et en Allemagne, et donc, vous savez, il a eu une certaine reconnaissance. Et donc c’était important pour décider sur quoi écrire.
Penny Martin : Mais vous êtes un peu malhonnête, n’est-ce pas, parce qu’ils alimentent vraiment beaucoup de préoccupations intellectuelles dont nous parlions plus tôt, en termes de vie « psychologique ».
Yorick Blumenfeld : Oui, mais j’aurais pu faire un livre sur ses photographies de voyage, qui étaient très bien. Il a fait de magnifiques photographies du Mexique, de la Grèce, partout et des États-Unis. Je pense que cela l’a préoccupé dans ses dernières années. Il aimait sortir et prendre des photos du monde naturel, mais aussi du monde architectural, du gothique, du grec, du romain, etc. Cela aurait été un autre candidat.
Les gens s’étaient beaucoup trop concentrés sur sa photographie de mode, pensais-je, et en Amérique, les gens le considéraient comme un photographe commercial. Il pensait que c’était la pire des insultes pour lui ! Je veux dire, il pensait que c’était vraiment écœurant. Vers la fin de sa vie, il travaillait sur des autoportraits, qu’il faisait à l’huile, très épais, et il travaillait là-dessus pendant cinq ou six ans, pas toutes les semaines, mais régulièrement.
Tout était dans une nuance de rouge très sombre qui semblait avoir été faite sous une lampe rouge, et quand je lui ai demandé pourquoi il se montrait dans cette lumière, il a dit bien, il a senti que dès son arrivée en Hollande, il y avait toutes ces prostituées derrière des hublots rouges. Il avait l’impression d’avoir passé une grande partie de son temps dans un monde de publicité et de gagner de l’argent, et il considérait cela comme une forme de prostitution, en ce qui le concernait.
Il a donc voulu se mettre en scène à la lumière d’une prostituée hollandaise !
Penny Martin : Eh bien, parlons de cette dichotomie entre un travail motivé personnellement et des images qui ont été créées pour un enjeu commercial. Vraisemblablement, d’après ce que vous venez de dire, a-t-il alors valorisé le travail qu’il a fait à des fins commerciales, moins que le travail qui était personnellement motivé?
Yorick Blumenfeld : Absolument, sans aucun doute. Je pense qu’il a fait certaines choses, par exemple avec la Dayton Company, de Minneapolis, Minnesota, à cette époque, où il a pu. Le directeur artistique de la Dayton Company était un ami personnel proche et a donné carte blanche à mon père.
Mais mon père a fait un livre, intitulé My 100 Best Pictures, et dans ce livre, il n’y a qu’une seule photo traitant de la mode, sur cent. Il a choisi ces images lui-même – il a fait la sélection, il a choisi la commande. La mode ne s’y trouvait pas, ce n’étaient pas les moments qu’il pensait être ses cent meilleurs, et c’était son verdict.
Penny Martin : Une avec laquelle vous êtes d’accord ?
Yorick Blumenfeld : Absolument.Penny Martin : Et pourquoi dites-vous cela ?
Yorick Blumenfeld : Parce que je pense que la mode est une partie très importante de ce monde, mais ce n’est pas un monde qui se préoccupe vraiment de beauté ou d’éthique, principalement.
La beauté est d’un genre très superficiel. Alors j’ai l’impression que les photos de mode, dont certaines sont vraiment très belles, et que j’admire beaucoup, ne sont pas du même rang, disons, que ses nus. La forme humaine telle qu’il la décrivait, et je pense qu’il aimait beaucoup le corps féminin, est que c’est quelque chose qu’il faut chérir.
Je pense que la façon dont il l’a dépeint était très différente du genre de pornographie vulgaire que nous voyons aujourd’hui.
Penny Martin : Comme vous l’avez dit, il a passé beaucoup de temps parmi les dadaïstes, les intellectuels et les artistes de la période mi-moderniste. L’avant-garde, et certainement le début du modernisme, avait le commerce et l’art à des extrémités complètement opposées du spectre. Pensez-vous que son antipathie envers le commerce a été galvanisée par son contexte artistique ou pensez-vous que c’était quelque chose qu’il ressentait à partir de sa propre expérience dans l’industrie ?
Yorick Blumenfeld : Je pense qu’il a eu une expérience difficile dans l’industrie allemande de l’habillement, et la période juste avant la Première Guerre mondiale.
Je pense que son appréciation de certains types de textiles, et la coupe du tissu, pour ainsi dire, l’ont influencé, mais vous voyez, en Allemagne dans les années 20, il a envoyé un groupe de ses photos à une agence allemande, et ils les ont rejetées, disant qu’ils se sentaient trop conscients de l’art.
Il sentait donc que leur vision de l’art était presque aussi mauvaise que celle du monde du commerce, et qu’il était quelque part entre les deux, et que c’était très difficile. Je pense que certainement le monde de l’art, et j’entends par là, en termes contemporains, le monde des musées, l’a totalement rejeté.
Penny Martin : Tout au long de sa vie ?
Yorick Blumenfeld : Tout au long de sa vie. Il n’a jamais eu d’exposition majeure dans un musée, il n’a jamais eu d’exposition majeure « Blumenfeld » dans aucune galerie, ni aucun endroit aux États-Unis à cette époque.
La plupart des gens du monde de l’art, en particulier au Musée d’art moderne – où se concentraient les dictateurs de l’art, pour ainsi dire, de ce qui allait être montré et apprécié aux États-Unis – il était complètement rejeté. Et ils se sont dit, vous savez, ‘c’est un photographe commercial, nous ne voulons rien avoir à faire avec lui’.
Penny Martin : C’est une position très difficile qu’il occupait alors, car il était embrassé par l’industrie qu’il déplorait, et pourtant pas reconnu par ceux dont il partageait les valeurs.
Yorick Blummenfeld : Eh bien, partageait-il leurs valeurs ? Je veux dire, vous savez, partageait-il leurs valeurs, d’Ansel Adams ? Je ne pense pas. Et il ne partageait pas les valeurs de leur station ?
Penny Martin : Mais moins les photographes, je voulais dire plus le monde de l’art…
Yorick Blumenfeld : Eh bien, bien sûr, le monde commercial l’appréciait beaucoup, ils lui payaient d’énormes sommes d’argent pour faire ses photos, alors il a dit, c’est comme ça que je rebondis, pour ainsi dire. Il allait prendre ses propres photos, et en même temps prendre celles du commerce.
Penny Martin: Pouvons-nous passer à une section de questions que je voulais vous poser sur les films, enfin, pas sur la réalisation de films en général. C’est peut-être l’aspect le moins connu de la production d’images de votre père.
Yorick Blumenfeld : En effet.
Penny Martin : Savez-vous ce qui l’a poussé à commencer à faire des films ?
Yorick Blumenfeld : Je pense que mon père a toujours été passionné de cinéma, il admirait énormément Charlie Chaplin. Charlie Chaplin était l’un de ses grands héros, et dans beaucoup de ses collages Dada, vous pouvez le voir. Et il adorait les vieux films, il était passionné eux. Le cinéma n’a donc jamais été très loin de ses centres d’intérêt.
En 1933, il a travaillé comme caméraman pour Jacques Feyder, qui était un cinéaste français de films d’horreur des années trente, donc il avait ce genre d’expérience et de formation. Je pense que dans ses dernières années, il a eu l’impression que la publicité qu’il voyait à la télévision – et je pense que c’était principalement la télévision qui l’a stimulé dans les années 50 – lui a dit : « ces gens n’ont pas d’imagination, ils n’ont aucun moyen de vraiment montrer le potentiel formidable que le mouvement a dans la photographie de mode et dans d’autres domaines », et il voulait le montrer.
Maintenant, en même temps, il y avait une considération financière, parce qu’il était un bon ami des Dalle, les propriétaires de L’Oréal, et donc il leur a parlé, Madame Dalle, et Paris, et François, et il a obtenu plus ou moins un accord selon lequel ils allaient essayer de faire quelque chose avec ses films s’il pouvait montrer des produits, c’est donc ce qu’il a commencé à faire.
Rien n’en est jamais sorti, mais il s’est amusé à faire ces films très brefs, montrant la possibilité que les produits de beauté soient dramatisés et glamourisés au cinéma.
Penny Martin : Savez-vous à quelle période cela se serait déroulé ?
Yorick Blumenfeld : C’est vraiment la période 1958 à 1964.
Penny Martin : Et avez-vous une idée de l’équipement qu’il utilisait ?
Yorick Blumenfeld : Eh bien, il utilisait un équipement très primitif, je veux dire, maintenant, n’importe quel petit appareil photo a mille fois la puissance de ce qu’il était capable de faire. Je sais qu’il l’a fait sur un film Kodak 16 mm, qu’il a lui-même coupé, collé et collé, et donc c’était un travail très laborieux, qu’il a fait tout seul, et qu’il a apprécié d’une certaine manière.
Penny Martin : Et au total, le travail que vous partagez avec nous, et nous avons travaillé sur le montage, dure environ vingt-cinq minutes au total. Dans quel état se trouve-t-il depuis les années 60 ? Est-ce qu’il était en boite?
Yorick Blumenfeld : Non, il n’a jamais été en boîte, j’avais encore quelques rouleaux de ce film 16 mm dans mon bureau, où il prend la poussière, j’en ai peur, dans un mauvais état de conservation.
Je pense que mon frère Henry, qui avait beaucoup de films, avec sa femme Kathleen, je pense qu’ils ont essayé de mieux s’en occuper, mais ils n’en ont rien fait. Arte a fait un court métrage sur lui pour la télévision française, et aussi une société allemande a fait un film en Autriche pour la télévision autrichienne sur mon père, mais à part ça rien de tout cela n’a jamais été utilisé ou montré, vous êtes les premiers !
Penny Martin : Nous sommes honorés, c’est le moins qu’on puisse dire ! Savez-vous si de son vivant il les a montrés à quelqu’un ?
Yorick Blumenfeld : Eh bien, il nous les a montrés, et il a essayé d’intéresser également Elizabeth Arden et Helena Rubinstein, mais elles n’étaient pas encore suffisamment intéressées par les publicités télévisées pour les apprécier.
Penny Martin : Mais ils les ont vus ?
Yorick Blumenfeld : Je pense qu’ils leur ont probablement été montrés, oui.
Ludovico Einaudi , pianiste et compositeur italien a remporté un grand succès avec sa musique introspective et atmosphérique. Sa musique puise ses racines dans le minimalisme et la composition moderne, elle s’étend pour incorporer des influences du rock et de la pop ainsi que des musiques africaines et moyen-orientales. Il sera en 2023 dans les arènes de Nîmes en concert au festival de Nîmes.
Ses premières œuvres étaient des compositions pour le théâtre et le ballet dans les années 1980, Time Out de 1988 étant son premier album. Le premier album pour piano solo d’Einaudi, Le Onde de 1996 , est devenu un succès et a finalement été certifié or en Italie et argent au Royaume-Uni.
Il a été acclamé pour des musiques de films et de télévision ultérieures telles que Luce dei miei occhi (2002) et Sotto falso nome .(2004), tandis que ses albums studio comprenaient une collaboration avec le joueur de kora Ballaké Sissoko (2003’s Diario Mali ) et des œuvres orchestrales telles que 2006’s Divenire .
Ludovico Einaudi s’est aventuré dans la musique électronique avec sa collaboration en 2009 avec des membres de To Rococo Rot sous le nom de Whitetree , ainsi que des efforts en solo tels que In a Time Lapse en 2013 . Il a battu des records de streaming avec le premier volume de Seven Days Walking en 2019 , puis est revenu au piano solo avec 12 Songs from Home en 2020 et Underwater en 2022 .
Ludovico Einaudi
Ludovico Einaudi: Eden Roc
Ludovico Einaudi est né à Turin le 23 novembre 1955. Sa mère, également pianiste, jouera pour lui dans sa jeunesse, semant les graines de ce qui deviendra une carrière fructueuse et illustre. Ludovico Einaudi a joué dans quelques groupes dans les années 1970, dont le groupe progressif Venegoni & Co. Einaudi a étudié avec Luciano Berio .au Conservatoire de Milan, où il obtient un diplôme de composition.
En 1982, ses talents lui valent une bourse pour le Tanglewood Music Festival. L’expérience a ouvert les oreilles de Ludovico Einaudi à de nouvelles idées comme le minimalisme, les influences de la musique du monde et les aspects de la musique pop.
Il a passé les années suivantes à composer pour le ballet, notamment Sul Filo d’Orfeo (1984), Time-Out (1988) et The Wild Man (1991). Ludovico Einaudi franchit un cap en 1996 avec la sortie de son premier recueil de performances solo, intitulé Le Onde . Ce disque lui a permis de devenir l’un des pianistes/compositeurs les plus vendus d’Europe. Eden Roc (1999, avec le joueur de duduk arménien Djavan Gasparyan ) et I Giorni(2001), tous deux pour BMG, ont capté l’attention du monde du piano solo, les deux restant des best-sellers pour les années à venir.
Ludovico Einaudi
Ludovico Einaudi: Una Mattina
Alors qu’il était apparemment au sommet du monde de la composition, Ludovico Einaudi s’est aventuré dans la composition de films, un voyage ponctué par son prix de la meilleure musique de film en 2002 pour son travail sur Luce dei miei occhi. Sa partition pour la série télévisée Doctor Zhivago de 2002 a également été acclamée. Ludovico Einaudi a noté dans des interviews au cours de cette période qu’il avait manqué de jouer des concerts et qu’il avait recommencé à se produire régulièrement.
De nouvelles œuvres ont émergé de cet effort, notamment Diario Mali en 2003 , avec le joueur de kora malien Ballaké Sissoko , et Una Mattina en 2004 . Le septième album studio de Ludovico Einaudi, Divenire de 2006 , l’a trouvé accompagné du Royal Liverpool Philharmonic. Il a ensuite travaillé avec Robert et Ronald Lippok du groupe électronique To Rococo Rot sous le nom de Whitetree , sortant l’album Cloudland en 2009. Son prochain album solo, Nightbook , était beaucoup plus consciemment réductionniste, avec un piano solo peu orné d’électronique, et a vu Ludovico Einaudi commencer à être apprécié par les fans de l’école « post-classique » qu’il avait sans doute, au moins en partie, inspirée.
Ludovico Einaudi
Ludovico Einaudi: ISLAND
Un best-of à double disque, Islands , est sorti en 2011, peu de temps après que la chanson titre de I Giorni de 2001 ait été classée de manière inattendue dans le Top 40 du classement des singles britanniques après avoir été largement diffusée sur BBC Radio 1. Au début de 2013, Ludovico Einaudi a signé un nouveau contrat avec Decca et a dévoilé le long gestation In a Time Lapse , qui avait été enregistré dans un monastère éloigné près de Vérone et a vu un retour à un son de musique de chambre plus « classique ».
Taranta Project , une œuvre ambitieuse incorporant de nombreuses influences mondiales, est apparue en 2015. Elle a été suivie par Elements , qui mettait en vedette le violoniste Daniel Hope ,l’Amsterdam Sinfonietta , Robert Lippok et le percussionniste brésilien Mauro Refosco parmi ses interprètes invités. Enregistré dans son home studio en Italie, l’album s’inspire de la nature, des mathématiques, de la science, de la musique, de l’art et de la façon dont les parties se connectent pour former un tout. Le disque a culminé au numéro 12 au Royaume-Uni, devenant le premier album classique à atteindre le Top 15 du classement en plus de deux décennies.
En 2019, Ludovico Einaudi a dévoilé Seven Days Walking , son projet musical le plus ambitieux à ce jour, composé de sept volumes à paraître sur sept mois, avec un coffret contenant les sept sorties en novembre. Inspiré des balades hivernales effectuées dans les Alpes, ce fut un voyage méditatif, parfois mélancolique, aux multiples variations sur les mêmes thèmes, qui le vit accompagné d’un trio à cordes. Day One , le premier opus, a fait ses débuts au sommet du classement britannique des albums d’artistes classiques et est devenu la sortie classique la plus diffusée de tous les temps dans le monde, avec plus de deux millions de flux le jour de sa sortie seulement.
Pour finir:
Enregistré chez lui en Italie pendant le verrouillage du COVID-19, Ludovico Einaudi a publié le bien nommé 12 Songs from Home en 2020, suivi d’une collection de raretés, Einaudi Undiscover , plus tard dans l’année. Une autre compilation, Cinema , est parue en 2021, et la musique du compositeur pour le film dramatique The Father est également sortie cette année-là. Underwater , un autre album pour piano solo conçu sous confinement, est sorti en 2022.
Ludovico Einaudi Live From The Steve Jobs Theatre / 2019
Discographie Liste des œuvres de Ludovico Einaudi.
Albums studio de Ludovico Einaudi
1988 : Time Out (ballet) 1992 : Stanze (harpe) 1995 : Salgari (ballet) 1996 : Le onde (piano) 1999 : Eden Roc (piano, cordes) 2001 : I Giorni (piano) 2003 : Diario Mali (piano, kora) 2004 : Una Mattina (piano, violoncelle) 2006 : Divenire (piano, quartette à cordes) 2009 : Cloudland (piano, musique électronique) du groupe Whitetree 2009 : Nightbook (piano, musique électronique) 2013 : In a Time Lapse (piano, musique électronique) 2015 : Taranta Project (piano, musique électronique, orchestre) 2015 : Elements (piano, violon) 2019 : Seven Days Walking ( Day 1 ) 2019 : Seven Days Walking ( Day 2 ) 2019 : Seven Days Walking ( Day 3 ) 2019 : Seven Days Walking ( Day 4 ) 2019 : Seven Days Walking ( Day 5 ) 2019 : Seven Days Walking ( Day 6 ) 2019 : Seven Days Walking ( Day 7 ) 2022 : Underwater (piano solo)
Albums en public de Ludovico Einaudi
2003 : La Scala: Concert 03 03 03 2007 : Live in Berlin 2007 : iTunes Festival: London 2007 2009 : Live In Prague 2010 : The Royal Albert Hall Concert 2011 : La notte della Taranta 2010 2013 : iTunes Festival: London 2013 2014 : In a Time Lapse Tour (DVD) 2016 : Elements, Special Tour Edition
Bandes originales de Ludovico Einaudi
1998 : Giorni Dispari 1999 : Hors du monde (Fuori dal mondo) 2001 : Alexandreia 2001 : Luce dei miei occhi 2001 : Le parole di mio padre 2002 : Doctor Zhivago 2004 : Sotto falso nome 2011 : Intouchables 2014 : Les Héritiers 2014 : Samba 2020 : Nomadland 2020 : The Father
Compilations
2003 : Echoes – The Einaudi Collection 2010 : I primi capolavori 2011 : Islands – Essential Einaudi 2012 : Einaudi – Essentiel 2020 : 12 Songs From Home 2020 : Ludovico Einaudi – Undiscovered 2021 : Ludovico Einaudi – Cinéma 2021 : Wind of Change
Remixes
2002 : Table Vs Ludovico Einaudi du groupe Table 2013 : In a Time Lapse, The Remixes 2016 : Elements, Remixes
Eric CANTO Photographe : Photos de concerts, portraits, pochettes d’albums.
L’artiste Steinway Ludovico Einaudi est né à Turin, en Italie, et a suivi une formation de compositeur classique et de pianiste au Conservatoire de Milan avant de poursuivre ses études avec Luciano Berio, l’un des principaux compositeurs de l’avant-garde du XXe siècle.
Sa carrière a commencé par une série de des commandes pour le Tanglewood Festival, l’IRCAM et récemment le Centre National des Arts du Spectacle de Pékin. Pourtant, il s’est détourné de ce qui semblait une brillante carrière classique pour forger sa propre voie musicale, lui donnant la liberté de concilier ses influences plus larges. Il s’est entretenu par téléphone avec notre rédacteur en chef depuis son domicile en Italie.
Il y a des termes qui semblent suivre votre musique : ‘new age’, ‘minimal’, ‘minimaliste’, ‘méditatif’. Je n’aime pas ces termes, car ils permettent à l’auditeur de cataloguer la musique plutôt que de l’écouter, d’y prêter attention et d’y penser. Je me demande donc si vous pourriez parler de votre musique avec vos propres mots – et d’où viennent votre musique et votre esthétique ?
C’est intéressant, parce que quand on me demande de définir ma musique avec un mot, j’essaie toujours d’éviter la question, parce qu’avec un mot, tu ne dis rien. Si nous parlons du groupe pop le plus célèbre au monde, les Beatles, et que vous dites « musique pop », cela ne décrit rien de ce qu’ils ont fait.
Le contexte de mon travail est assez diversifié. J’ai grandi en écoutant ma mère jouer du piano à la maison, faire du Bach, du Chopin, des pièces classiques standard que tous les pianistes jouaient à la maison, et elle jouait aussi de la musique folklorique – elle avait ce livre sur la musique populaire française.
Certaines des harmonies qui étaient contenues dans ce livre, elles résonnent encore dans mes oreilles, et parfois même dans mon travail. Il y avait des berceuses traditionnelles, mais l’harmonisation à l’intérieur de ces chansons simples était assez élégante et subtile.
C’est la beauté de la musique populaire, qu’elle est basée sur des airs simples et mémorables. Prenez l’œuvre de Stravinsky – des airs subtilement simples, mémorables issus de la tradition folklorique – et il a fait tout ce travail autour d’elle pour en faire le son de Stravinsky avec ses harmonies, ses couleurs.
J’ai toujours aimé les compositeurs liés aux traditions folkloriques de la musique populaire. Une partie de mon objectif a été d’embrasser différentes perspectives et cultures. Même si j’ai passé des années avec de grands compositeurs contemporains d’avant-garde, que j’admire toujours, je n’ai jamais senti qu’une musique était plus importante qu’une autre, j’aime plutôt différents types de musique, du populaire au classique en passant par le jazz.
Mon effort consistait à essayer d’embrasser tous ces sons que j’aimais dans ma vie plutôt que de dire : ‘D’accord, maintenant j’ai besoin d’écrire de la musique et je dois décider si je suis un musicien pop ou un compositeur classique ou autre.’ Tu comprends?
Ludovico Einaudi: Absolument.J’aime donc la complexité de la tradition de la musique classique. En même temps, j’aime la simplicité de certaines mélodies classiques. J’aime aussi la beauté variée, et parfois la complexité, de la musique populaire, de la musique rock, et je pense qu’en écoutant beaucoup de musiques différentes dans ma vie, j’ai commencé à méditer et à les assimiler, et à un certain moment j’ai commencé à écrire une musique qui, selon moi, contenait des mondes différents – mais avec une idée d’un nouveau monde. Pas seulement avec l’idée de mettre les choses ensemble, mais c’est venu comme un progrès naturel et un processus naturel – un processus qui m’a demandé beaucoup de travail.
Quand j’entends des gens qui aiment ma musique et essaient de la copier, cela me semble étrange parce que cela semble si simple, fait par d’autres personnes. Il m’a fallu beaucoup d’années pour trouver l’équilibre,
Vous avez mentionné des compositeurs d’avant-garde avec lesquels vous avez travaillé, et vous avez eu ce que j’imagine être la très bonne chance d’étudier avec Luciano Berio, et bien sûr il était très expérimental et avant-gardiste. Qu’avez-vous appris de lui, étant donné que votre musique est allée dans une direction si différente ?
C’est vrai qu’il faisait partie du monde d’avant-garde, mais en même temps il était, par rapport aux compositeurs qui l’entouraient et avec lui, dans son moment d’histoire, beaucoup plus ouvert sur le monde. Il aimait la musique populaire, il aimait le jazz, et je me souviens de cela quand je commençais et que j’étudiais au conservatoire de Milan et que j’écoutais différents compositeurs.
J’étudiais Boulez, Stockhausen, et j’écoutais beaucoup de musique contemporaine de cette période, les années 60 et 70, et je me souviens que lorsque j’entendais la musique de Berio, j’ai tout de suite senti qu’il y avait des harmonies qui arrivaient de quelqu’un qui était en contact avec la musique ancienne, avec la musique folklorique, avec le jazz, quelqu’un qui a expérimenté et aimé différents types de musique. J’ai été immédiatement touché par les accords et l’émotion dans sa musique.
Vous n’êtes pas obligé de composer un chef-d’œuvre à chaque fois, mais je pense que le défi de l’art est toujours de chercher quelque chose de différent, de chercher une nouvelle sensibilité, une nouvelle perspective, une nouvelle vision.
Puis, il se trouve que je l’ai rencontré à Milan. Il tournait une célèbre série d’épisodes télévisés en Italie, similaire – mais différente de – la série de Leonard Bernstein réalisée en Amérique. Il y avait un épisode où il parlait de musique populaire.
Un autre portait sur la musique en relation avec la danse, les images et le théâtre, et chaque épisode présentait de la musique traditionnelle de différentes parties du monde. Dans chaque épisode, il interviewait différents experts de la communauté, donnant un angle intéressant à chaque point qu’il examinait. J’aimais la clarté de son esprit. Quand je l’ai rencontré, il m’a tout de suite demandé si — j’étais au début de la vingtaine — si j’étais intéressé à faire une transcription dont il avait besoin pour le travail. Et il a encore demandé au dîner ce soir-là.
Alors on a commencé comme ça, de façon très informelle, une collaboration qui a duré trois ou quatre ans, parce que je travaillais et en même temps, apprenais et étudiais avec lui, mais de façon très pratique : c’était plus comme une collaboration. En même temps, nous parlions de musique ; il regardait le travail que je faisais. Il m’a demandé de faire une transcription d’une pièce pour orchestre, et un an plus tard, il a dirigé la pièce — et puis il m’a commandé une autre pièce qu’il a dirigée, une autre année plus tard à Rome.
Alors qu’est-ce que cela m’a laissé, mon travail de ces années avec Berio ? Tout d’abord, j’ai beaucoup appris de lui en termes de toutes les compétences orchestrales que j’ai : je pouvais travailler avec lui et certainement entendre et voir les résultats. C’était comme une école parfaite, non seulement pour la théorie mais aussi pour la pratique de la musique.
Il était comme un philosophe, en un sens, mais complètement immergé dans le monde d’être un artisan de la musique, et j’ai eu la chance d’être avec une personne qui avait le talent des grands compositeurs du passé : je me souviens qu’il était capable de écrire de la musique n’importe où – dans la loge avant la répétition, dans le train, où qu’il soit, juste comme ça.
En même temps, c’était un grand intellectuel. Pourtant, écrire de la musique consistait à faire quelque chose sans en parler ni y penser, un processus naturel. Quand il devait parler de musique, il parlait d’autres choses, donc ce n’était jamais direct.
Alors, quand il voulait parler et expliquer la perspective musicale, il décrivait quelque chose qui était lié à la science, à la nature, à la philosophie, à la littérature. Il pourrait parler de James Joyce. Il pourrait parler des vols d’un groupe d’oiseaux dans le ciel, disant qu’il serait très intéressant de faire une transcription de la forme que font ces oiseaux dans le ciel.
Je pense donc qu’il était très intéressé par l’idée de retranscrire d’autres expériences qui ne venaient pas spécifiquement d’un univers musical. Alors le processus de, je ne sais pas, le changement de lumière : ‘Comment puis-je retranscrire le changement des nuages ou la forme des nuages qui bougent dans le ciel dans une musique ?
Comment puis-je faire un morceau de musique sous la forme d’ Ulysse de Joyce ? Comment puis-je….?’ La perspective était très humaniste, pas spécifiquement fermée au monde de la technique musicale. La vision venait de la large vision qu’il avait du monde.
Je pense que c’est ce que j’ai appris – à part ce que j’ai mentionné concernant la technique, l’orchestration, etc. – mais cette vision est quelque chose que je retiens, que je ressens comme un héritage dans ma vision aujourd’hui. Il y a trois ou quatre ans, je composais une pièce que j’avais dédiée à Berio intitulée « Elements », et elle était basée sur l’idée d’éléments de la philosophie, de la science, de la géométrie, de l’art — et je pense qu’elle incorpore l’idée de transcrire un monde en un autre et essayer d’ouvrir votre monde à d’autres perspectives.
Tu abordes ton travail d’un point de vue différent, et puis peut-être découvres-tu que tu peux écrire, inventer une autre forme de musique parce que tu découvres — en transcrivant le vol des oiseaux ou en réfléchissant à la composition d’une pierre — peut-être découvrir dans le processus d’expérimentation d’une nouvelle idée.
Peut-être que vous avez un bon résultat, peut-être pas. Vous n’êtes pas obligé de composer un chef-d’œuvre à chaque fois, mais je pense que le défi de l’art est toujours de chercher quelque chose de différent, de chercher une nouvelle sensibilité, une nouvelle perspective, une nouvelle vision.
Lorsque vous écrivez de la musique, votre musique est-elle entièrement composée ? Ou y a-t-il différentes sections de matériel que vous essayez de marier ensemble ? Cela commence-t-il par une idée ou un motif ? Quelle est la procédure pour vous ?
J’aime le flux de la musique qui est un équilibre entre quelque chose d’écrit et en même temps le flux de quelque chose qui n’est pas écrit. C’est quelque chose avec lequel je me bats tous les jours quand je travaille. Quand tu m’as appelé, j’étais assis près de mon Steinway avec de la musique, avec un cahier d’écriture et mon crayon. J’utilise aussi des ordinateurs, mais plus j’avance, plus j’ai l’impression que lorsque j’écris ma musique avec un crayon, je la sens plus — quand je la sens. Quand j’écris avec des ordinateurs, c’est quelque chose de plus lointain.
Donc, je suis sur le point d’entrer dans le studio d’enregistrement dans une semaine et j’ai le processus de ce nouveau travail, développé à partir de l’improvisation au piano, parce que j’ai fait de nombreuses tournées au cours des trois dernières années, et j’enregistrais parfois juste – de Montréal à New York en passant par Shanghai – où que j’étais sur mon téléphone, enregistrant toutes ces idées qui me venaient quand j’étais sur la route.
J’ai écouté toutes ces choses au cours des derniers mois pour voir si je devais repartir de zéro – et j’ai trouvé beaucoup de choses que j’aimais. J’ai donc d’abord sélectionné ce que j’aimais le plus, puis j’ai commencé à l’écrire sur le papier. Le processus d’écriture, quand vous écriviez, est une étape importante, parce que c’est comme si vous vous disiez : « D’accord, ça va être un morceau que j’écris », parce que tant qu’il n’est pas en l’air, ce n’est nulle part pour un compositeur.
Lorsque vous commencez à l’écrire, vous commencez à vous concentrer sur la pièce, puis vous commencez à dire : « Ok, maintenant il y a une idée ! Peut-être que vous commencez à écouter et à jouer, puis vous découvrez une deuxième idée – et ensuite vous composez. Ensuite, la pièce a un deuxième tour et vous commencez à la poser et à découvrir des idées secondaires, d’autres idées, peut-être une idée qui était encore meilleure que la première.
Je laisserai la possibilité aux personnes qui écoutent mes enregistrements d’entendre quelque chose qui est né à ce moment-là, au moment où je l’ai enregistré.
Godox, marque chinoise pionnière de flashs existe depuis 1933. Au fil des décennies, elle s’est imposée comme marque de flash et d’éclairage de référence pour les photographes amateurs et professionnels.
Godox propose toute une gamme de caméras, d’équipements d’éclairages de grande qualité et de performance.
Godox, est un fabricant chinois dont le siège se situe à Shenzhen, en Chine.
Fondée en 1993, la société, dirigée par Eugène Zeng depuis 25 ans, propose une gamme assez riche d’équipements de photographie de studio, tels que des flashs de studio, des flashs d’appareil photo, un éclairage continu, des accessoires de flash, un bloc d’alimentation, un système de déclenchement et de contrôle du flash et d’autres accessoires de studio, etc.
Elle a connu une période de crise, se retrouvant même au bord de la faillite, mais avec l’arrivée d’Eugène Zeng, l’entreprise retrouve une nouvelle croissance, plus rapide, grâce à l’important investissement dans l’innovation, devenant ainsi le premier producteur d’éclairage de studio de Chine.
Chaque année, le leader augmente ses investissements dans les talents créatifs de conception, de vente, de gestion, faisant ainsi passer l’innovation au premier plan
Soucieuse d’offrir d’excellentes solutions d’éclairage et audio, la marque a toujours repoussé les limites de la technologie et a constamment essayer apporter des produits professionnels de qualité aux industries, élargissant les gammes et diversifiant les produits.
Pour ses produits d’entrée de gamme, elle autorise certaines entreprises à changer le nom de la marque tant qu’une certaine quantité de produits est vendue (en moyenne minimum 1000 unités).
Par exemple, les produits de la marque, aux Etats-Unis sont vendus sous le nom « Flashpoint », en Angleterre et au Canada, sous le nom de Pixpro, en Allemagne sous le nom de Walimex, en Pologne sous le nom de Quantuum.
Pourquoi ce choix ? Tout simplement parce que tant que la marque Godox ne sera pas en capacité d’offrir aux acheteurs étrangers un bon service clients (après-vente, de réparation…), alors, la société ne veut pas s’étendre sur le marché extérieur.
De plus, cette stratégie commerciale permet à la marque d’assurer et de pérenniser la vente de ses produits sur différents marchés (Américains, Européens, Australien…) et ceci à avec un rapport qualité-prix indéniable.
En effet, les prix des produits Godox sont abordables tout en étant de bonne qualité, notamment sur les prix des équipements et d’accessoires de caméra, qui là sont imbattables.
Godox, la diversité des modèles
Polyvalents et légers, les modèles proposés par la marque chinoise sont divers.
En effet, la marque propose du matériel d’éclairage (lampes flash, Led, panneaux Led, macro, kits), des accessoires comme les modificateurs d’éclairage (boite lumière, alimentation, bol beauté, adaptateurs…), des tables et des tentes lumineuses, des trépieds d’éclairage, des sacs de transports, des têtes flash et des tubes éclairs, des batteries, chargeurs, adaptateurs…
La marque propose également des lampes reporters, accessoires flash, stroboscopiques et des moniteurs de caméra, ainsi que des systèmes audio (système movelink, wmic, microphones) et des déclencheurs.
De plus, la marque Godox propose une série de produits compatible avec d’autres marques. En voici quelques exemples :
Godox TT 600 Flash Caméra compatible avec Nikon, Fudjifilm, Pentax, Olympus et Panasonic,
Godox 5*4inches /13*10cm Softbox Diffuseur Lumière compatible avec Sony, Canon et Nikon,
Godox Déclencheur de Flash XPro-C compatible avec Canon, Panasonic et fudjifilm,
Godox Flash TT6850 TTL et Godox Flash TT3500 compatibles avec Olympus et Panasonic.
Godox, comment choisir son flash?
Première chose à savoir, il existe trois sortes de flashs :
– le flash studio (gros flash de reportage puissant branché sur secteur ou générateur)
– le flash de reportage dit « cobra » qui est le plus répandu et le plus utilisé car, fixé sur le griffe porte-flash de l’appareil photo, il sert à la fois d’éclairage principal et d’éclairage secondaire.
– le flash annulaire qui se fixe sur l’objectif, majoritairement utilisé pour la reproduction ou la photo macro.
Le flash boitier quant à lui, sert surtout à déclencher d’autres flashs.
De fait, en fonction de l’utilisation, la puissance est l’un des 1ers critères à retenir. Votre flash doit donc avoir une puissance 36 nombre guide (mini 28) pour 100 ISO (sensibilité) et sa focale doit être comprise entre 35 et 50mm.
Le mode flash c’est-à-dire le mode d’exposition et d’éclairs, est à retenir. Le plus fréquemment utilisé est le TTL car il mesure l’intensité de l’éclair pour affiner le réglage mais vous devez également vous assurer que le mode M (manuel) est assuré car il permet soi-même de régler l’appareil finement.
De la même manière, assurez-vous que votre flash dispose de filtres flash, nécessaires pour équilibrer les températures de couleurs
Soyez également attentifs aux modes d’alimentation (piles, accus, batterie rechargeable…), et au temps de recyclage c’est-à-dire au temps entre deux éclairs (plus le temps est court, mieux c’est). Assurez-vous que la tête de flash est bien orientable tant verticalement et horizontalement et que le réflecteur est bien intégré (ce qui permet de donner une lumière directe sur un visage).
Autres aspects pratiques à ne pas négliger : la présence d’un bouton de test de flash, d’un sabot de verrouillage (afin d’éviter que le flash ne sorte de la grille porte-flash).
Enfin, le poids, la taille et les accessoires fournis sont des critères évidents.
Godox, propose de nombreux modèles à prix abordables, rendant ainsi un bon rapport qualité prix.
Godox, comment utiliser un flash?
Pour vous aider, rien de mieux que de laisser parler des professionnels !
Vidéo 1 : comment utiliser un flash ?
Vidéo 2: Comment utiliser un flash cobra?
Godox: présentation du Godox V1
Ce flash TTL HSS (synchronisation à grande vitesse), à la fois utilisable en flash maître ou esclave, compatible avec Sony MIS, possède un nombre-guide de 92, une grande puissance, une durée de recyclage de 1.5 seconde à puissance maximale, et une température de couleur de 5600ºK+/-200ºK.
Il est donc utilisable partout, tant en intérieur qu’en extérieur. Pouvant être utilisé jusqu’ à 100 mètres de distance, il permet de contrôler d’autres flashs Godox. S
Sa tête frontale, circulaire (pour une lumière plus diffuse) a une grande mobilité puisqu’elle s’incline entre 7 et 120°, et peut pivoter jusqu’à 330°. Fonctionnant avec une batterie au lithium rechargeable, ce flash a une durée de vie bien plus longue que les flashs fonctionnant à piles puisqu’il offre la possibilité de réaliser 480 flashs à pleine puissance sur une charge.
Enfin, son écran LCD, à l’arrière permet un meilleur contrôle des paramètres et reste très facile à comprendre et à prendre en main.
Pour le prix, comptez entre 200 et 300 euros.
Vidéo: présentation et utilisation du Godox V1
Godox: présentation du Godox Witstro ad200
Ce flash autonome, spécialement conçu pour les photographes nomades, présente de belles qualités, notamment celle de pouvoir changer de tête flash (cobra ou studio).
Compact, ce flash TTL HSS, Manuel sans fil, détient une puissance de 200 Watts avec un NG 60 (ISO 100 / 1m / réflecteur standard), et offre grâce à sa batterie au lithium, la possibilité de réaliser jusqu’à 500 éclairs à pleine puissance, avec un temps de recyclage de 2,1s à puissance maxi.
Son nombre-guide est de 52 pour la tête cobra et 60 pour la tête studio. Sa température de couleur est de 5600K.
Dimensions : 168 x 75x 50mm Poids : 560 g
Il est utilisable en HSS jusqu’au 1/8000ème de seconde est donc idéal si vous souhaitez immortaliser un mouvement rapide ou modifier la quantité de lumière ambiante.
Vidéo: Présentation et mode d’emploi du Godox ad200:
Eric CANTO Photographe : Photos de concerts, portraits, pochettes d’albums.
Mary Ellen Mark n’était pas une photographe comme les autres. Elle avait cette rare capacité de capturer l’essence même des personnes qu’elle photographiait, de révéler des émotions brutes, sans fioritures. Que ce soit dans les rues de Seattle ou dans les hôpitaux psychiatriques, elle a su transformer chaque portrait en une véritable histoire.
Mais qui était-elle vraiment ? Et pourquoi son nom continue-t-il de résonner dans le monde de la photographie ? C’est ce que nous allons découvrir dans cet article.
Mary Ellen Mark : La photographe qui capturait l’âme humaine
Qui est Mary Ellen Mark ?
Une icône de la photographie documentaire
Il n’y a pas d’exagération à dire que Mary Ellen Mark est une figure légendaire de la photographie documentaire. Née en 1940 à Philadelphie, elle a très tôt montré un intérêt pour les histoires humaines. Après avoir étudié la peinture et la photographie à l’Université de Pennsylvanie, elle a rapidement embrassé la photographie comme son moyen d’expression principal.
Ce qui la distingue, c’est sa capacité à s’immerger totalement dans la vie de ses sujets. Elle n’a jamais été une observatrice distante ; au contraire, elle est entrée dans les mondes les plus intimes, les plus cachés, pour en ressortir avec des images bouleversantes. Elle n’était pas là pour faire du sensationnalisme. Elle voulait que ses photos racontent des histoires vraies, poignantes, et souvent négligées.
Mary Ellen Mark a couvert de nombreux sujets sensibles : les sans-abris, les patients d’hôpitaux psychiatriques, les prostituées de Bombay, les enfants de la rue. Elle ne se contentait pas de capturer des images, elle tissait des liens humains avec ses sujets. Et cela se voit dans ses photographies, où l’authenticité transpire à chaque pixel.
**Mary Ellen Mark n’a jamais eu peur d’aller là où d’autres ne voulaient pas aller**. C’était une photographe de l’extrême, dans le sens où elle s’immergeait dans des univers souvent négligés ou ignorés par les médias. Que ce soit dans un hôpital psychiatrique ou au milieu de la rue, elle savait comment approcher ses sujets avec respect et créer une connexion authentique.
Cette proximité, cette empathie profonde, c’est ce qui donne à ses images une intensité si rare. Elle n’était pas là pour juger ou faire du sensationnel. Non, Mary Ellen Mark cherchait simplement à capturer la vérité, sans fard, sans artifice. C’est ce qui rend son travail si puissant.
Ses œuvres marquantes
Si l’on devait citer quelques projets qui illustrent le génie de Mary Ellen Mark, il faudrait mentionner Streetwise, Ward 81, Prom, et Falkland Road.
**Streetwise (1984)** : Un documentaire poignant sur la vie des enfants sans-abris à Seattle. Mary Ellen Mark a passé plusieurs mois avec ces jeunes, gagnant leur confiance, pour ensuite capturer leurs vies difficiles mais pleines d’humanité. Ce travail est un témoignage brut de la réalité urbaine américaine. Ces enfants de la rue, qui semblaient invisibles aux yeux de la société, ont trouvé dans le travail de Mark une voix, une représentation. Streetwise est bien plus qu’une série de photos, c’est un véritable portrait social de l’Amérique des années 80, un témoignage fort et indélébile.
**Ward 81 (1979)** : Ce projet offre un regard rare et intime sur la vie des patientes d’un hôpital psychiatrique pour femmes. Mark a obtenu un accès inédit dans un milieu où très peu de photographes s’aventuraient. Elle a passé six semaines avec ces femmes, et les images qui en résultent montrent des femmes vulnérables, mais jamais déshumanisées. Ce projet est un bel exemple de sa capacité à capturer l’essence humaine, même dans les conditions les plus extrêmes. Elle a su montrer la dignité et la souffrance de ces femmes d’une manière qui force le respect.
**Prom (2012)** : Une série de portraits d’adolescents lors de leurs bals de fin d’année. Ce projet capture les espoirs, les rêves, mais aussi les angoisses des jeunes Américains, en plein rite de passage. Ces images, à première vue légères et festives, sont en réalité beaucoup plus profondes. Elles révèlent les aspirations et les peurs d’une jeunesse en quête de sens, dans une société souvent marquée par le paraître.
**Falkland Road (1981)** : Un voyage visuel dans les bordels de Bombay. Mary Ellen Mark s’est immergée dans ce monde difficile et a capturé des images à la fois dures et émouvantes des travailleuses du sexe. Contrairement à d’autres photographes qui auraient pu se concentrer uniquement sur le côté sordide, elle a choisi de montrer l’humanité de ces femmes, leur force, mais aussi leur vulnérabilité. C’est un travail puissant qui a marqué les esprits et qui montre une nouvelle fois sa capacité à aller au-delà des apparences.
Federico Fellini on the Set of « Fellini Satyricon », Rome, Italy, 1969
Le style photographique de Mary Ellen Mark
La photographie documentaire dans toute sa splendeur
Il est difficile de définir le style de Mary Ellen Mark sans évoquer la force de l’instantané. Pour elle, chaque image était une rencontre, une vérité nue capturée en un seul clic. Pas de pose élaborée, pas de manipulation excessive de l’image. Tout ce qu’elle recherchait, c’était l’instant où son sujet révélait quelque chose de profondément humain.
Son approche est ce qu’on appelle de l’empathie visuelle. Elle ne regardait jamais ses sujets de haut, elle se plaçait à leur niveau, émotionnellement et physiquement. C’est ce qui rend ses images si puissantes. Prenez le regard d’une enfant dans Streetwise – il est impossible de ne pas ressentir l’émotion brute qu’elle transmet à travers l’objectif. C’est cette capacité à capturer les moments intimes qui la distingue des autres photographes documentaires.
Mark n’était pas seulement une observatrice. Elle était une participante. Elle vivait avec ses sujets, elle passait du temps avec eux, elle écoutait leurs histoires. C’est cette immersion totale qui permettait à ses photographies de résonner autant. Elle ne cherchait pas seulement à capturer une image, mais à raconter une histoire.
Une technique entre art et réalité
Mary Ellen Mark utilisait souvent lenoir et blanc dans ses photographies, ce qui ajoutait une dimension intemporelle à son travail. Le noir et blanc permet de se concentrer sur l’essence même du sujet sans la distraction des couleurs. Les ombres, la lumière, les contrastes, tout cela donne une profondeur supplémentaire à ses portraits.
Quant à sa manière de composer ses images, elle était d’une audace rare. Elle jouait avec les lignes, les angles, et même avec l’espace vide pour créer des images d’une grande puissance visuelle. Son usage du cadre était si minutieux qu’on avait souvent l’impression que chaque détail était intentionnel, chaque espace parfaitement calculé pour intensifier l’émotion.
Son travail ne se limitait pas à la pure documentation. Il y avait une dimension artistique dans chaque cliché. Elle maîtrisait la lumière, les ombres, et savait comment composer une image pour qu’elle ait un impact maximal. Il y a une esthétique dans son travail qui va au-delà du simple photojournalisme. C’était une artiste autant qu’une documentariste.
L’héritage de Mary Ellen Mark
Son influence sur la photographie moderne
On ne peut pas parler de l’héritage de Mary Ellen Mark sans évoquer son impact sur les photographes contemporains. Beaucoup s’inspirent de son travail aujourd’hui. Elle a pavé la voie pour une nouvelle génération de photographes qui cherchent à créer des œuvres documentaires empreintes d’humanité et d’empathie.
Son travail a influencé non seulement les photographes, mais aussi le monde du cinéma et de l’art en général. De nombreux réalisateurs et artistes contemporains citent Mary Ellen Mark comme une source d’inspiration. Son approche narrative de la photographie a influencé des générations de créateurs visuels.
Par ailleurs, ses images continuent de résonner parce qu’elles transcendent le temps. Que ce soit des photos prises dans les années 70 ou 80, elles restent incroyablement actuelles. Ce regard, ce souci de capturer l’âme humaine, est universel et intemporel. Et c’est cette capacité à faire ressortir l’émotion pure qui rend son travail si puissant encore aujourd’hui.
Leçons à tirer pour les photographes d’aujourd’hui
Si vous êtes photographe et que vous cherchez à vous améliorer, il y a beaucoup à apprendre de Mary Ellen Mark. L’une de ses grandes leçons est de photographier avec une intention forte. Chaque cliché que vous prenez doit avoir un sens, raconter une histoire. Ce n’est pas juste appuyer sur un bouton, c’est créer une connexion avec votre sujet et capturer quelque chose de réel.
Autre leçon : aller au-delà de la surface. Ne vous contentez pas de prendre une jolie photo. Cherchez à comprendre votre sujet, passez du temps avec lui, et attendez le moment où il se révélera pleinement à vous. C’est là que vous obtiendrez des clichés mémorables.
Mary Ellen Mark nous enseigne également l’importance de la patience et de la persévérance. Elle passait des heures, des jours, voire des semaines avec ses sujets avant de capturer l’image parfaite. Cette patience, cette détermination à attendre le bon moment, est une qualité essentielle pour tout photographe qui souhaite vraiment raconter une histoire à travers ses images.
Comment adopter l’approche de Mary Ellen Mark dans votre propre photographie
Techniques pour capturer l’émotion dans vos photos
Photographier comme Mary Ellen Mark, ce n’est pas juste une question de technique, c’est aussi une question de mentalité. La première étape, c’est d’apprendre à connaître vos sujets. Passez du temps avec eux, parlez-leur, écoutez leurs histoires. Plus vous comprendrez vos sujets, plus vous serez en mesure de capturer quelque chose de profond et d’authentique.
Ensuite, cherchez toujours l’authenticité. Évitez les poses figées ou artificielles. Laissez votre sujet être lui-même, et soyez prêt à capturer ces moments spontanés qui révèlent leur véritable personnalité.
Enfin, n’ayez pas peur de vous aventurer dans des territoires inconnus. Mary Ellen Mark a souvent photographié des sujets et des lieux difficiles ou inconfortables. Elle ne cherchait pas à embellir la réalité, mais à la montrer telle qu’elle est, dans toute sa complexité et sa brutalité. Si vous voulez vraiment capturer l’essence de vos sujets, vous devez être prêt à sortir de votre zone de confort.
L’importance de la patience et de l’observation
Une des clés de la réussite de Mary Ellen Mark, c’était sa patience. Elle attendait le moment parfait, celui où l’émotion brute allait émerger. En tant que photographe, ne vous précipitez pas. Observez, attendez, et quand vous sentirez que c’est le bon moment, déclenchez.
Enfin, il est essentiel de s’imprégner du contexte dans lequel vous travaillez. Mary Ellen Mark passait des jours, voire des semaines, à comprendre l’environnement dans lequel elle photographiait. Cela lui permettait de capturer non seulement ses sujets, mais aussi l’essence du lieu et de l’époque. Cette immersion totale est ce qui donnait à son travail une authenticité et une profondeur inégalées.
Pourquoi Mary Ellen Mark reste une référence dans le monde de la photographie
Son impact sur la culture visuelle
Le travail de Mary Ellen Mark a eu un impact considérable sur la manière dont nous percevons certains sujets dans la société. En photographiant des personnes souvent ignorées ou marginalisées, elle a contribué à les ramener sous les projecteurs et à changer les perceptions. Elle a donné une voix visuelle aux invisibles, ceux dont on ne parle pas souvent, mais qui ont des histoires puissantes à raconter.
Elle a changé la façon dont la photographie documentaire est perçue, en plaçant l’humain au centre de chaque image. Au lieu de simplement documenter des faits, elle racontait des histoires. Elle montrait la réalité, mais à travers un prisme profondément empathique. C’est cette capacité à voir au-delà de l’objectif qui fait de Mary Ellen Mark une référence incontournable.
Une approche humaniste
Mary Ellen Mark n’était pas seulement une photographe, elle était une conteuse d’histoires humaines. Son appareil photo était son stylo, et chaque image était un chapitre d’une histoire plus vaste. Elle utilisait la photographie pour montrer la beauté, la douleur, l’espoir et la souffrance, le tout avec une humanité et une compassion inégalées.
Il n’y a pas beaucoup de photographes capables de capturer l’essence humaine avec une telle justesse. Elle avait une sensibilité unique, une capacité à voir les détails que d’autres auraient ignorés. C’est ce qui la distingue, et c’est pour cela qu’elle reste une figure emblématique dans le monde de la photographie.
Conclusion
Mary Ellen Mark restera à jamais l’une des photographes les plus emblématiques de notre époque. Son travail documentaire a changé la manière dont nous percevons le photojournalisme et la photographie d’art. Elle a su montrer la beauté brute et l’humanité dans les endroits les plus sombres, et son héritage continue d’inspirer de nombreux photographes à travers le monde. Alors, si vous voulez vraiment capturer l’essence humaine dans vos photos, suivez les traces de Mary Ellen Mark : plongez dans l’histoire de vos sujets, attendez l’instant parfait, et laissez vos photos parler pour eux.
FAQ : Tout savoir sur Mary Ellen Mark et son approche photographique
1. Quelle est la spécificité du style de Mary Ellen Mark ?
Mary Ellen Mark se distingue par son style profondément humaniste et empathique. Contrairement à de nombreux photographes qui adoptent une approche plus distante, elle s’immergeait pleinement dans la vie de ses sujets, que ce soit dans les rues de Seattle avec les enfants sans-abri ou dans les hôpitaux psychiatriques. Son objectif n’était pas seulement de documenter des faits, mais de capturer l’essence des personnes qu’elle photographiait. Elle cherchait à établir une connexion émotionnelle avec ses sujets, ce qui transparaît dans ses images pleines d’humanité.
2. Quels sont les thèmes principaux abordés dans l’œuvre de Mary Ellen Mark ?
Les thèmes récurrents dans le travail de Mary Ellen Mark incluent la marginalité, la souffrance humaine, et la vulnérabilité. Elle a consacré une grande partie de sa carrière à documenter des populations souvent oubliées ou négligées, telles que les enfants des rues, les patients psychiatriques, les prostituées, et d’autres individus marginalisés. À travers ces thèmes, elle a toujours cherché à montrer la dignité et la force de ses sujets, même dans les situations les plus difficiles. Son travail met souvent en lumière des histoires personnelles fortes, qui témoignent de la résilience humaine.
3. Quelle influence Mary Ellen Mark a-t-elle eu sur le monde de la photographie ?
L’influence de Mary Ellen Mark sur la photographie moderne est immense. Elle a repoussé les limites du photojournalisme traditionnel en y apportant une dimension artistique et émotionnelle. De nombreux photographes contemporains citent son travail comme une source d’inspiration, notamment pour son approche immersive et empathique. Son utilisation du noir et blanc, ses compositions audacieuses, et son engagement envers ses sujets ont ouvert la voie à une nouvelle génération de photographes documentaires. En tant que pionnière dans la représentation des invisibles, elle a également contribué à changer la manière dont la photographie documentaire est perçue.
4. Comment puis-je adopter l’approche de Mary Ellen Mark dans ma propre photographie ?
Pour suivre les traces de Mary Ellen Mark, il est essentiel de développer une connexion avec vos sujets. Prenez le temps de les connaître, de comprendre leurs histoires, et d’établir un lien de confiance. En photographie documentaire, il ne s’agit pas simplement de capturer une image, mais de raconter une histoire. Mark passait souvent des semaines, voire des mois, à vivre aux côtés de ses sujets pour saisir des moments d’authenticité. Soyez patient et prêt à attendre le moment où l’émotion brute apparaîtra. Enfin, ne craignez pas d’explorer des sujets difficiles ou inconfortables. Ce sont souvent ces sujets qui révèlent le plus sur l’humanité.
5. Quel équipement Mary Ellen Mark utilisait-elle pour ses photographies ?
Mary Ellen Mark utilisait principalement des appareils photo argentiques, et elle était une fervente adepte du format noir et blanc. Elle a travaillé avec des appareils photo tels que le Rolleiflex et le Leica, des appareils emblématiques pour la photographie documentaire. Elle appréciait la simplicité et la rigueur technique que nécessitait la photographie argentique, ce qui lui permettait de se concentrer pleinement sur la composition et le moment capturé. Même avec l’avènement du numérique, elle est restée fidèle à l’argentique pour ses projets les plus personnels, car elle estimait que cela apportait une qualité intemporelle à ses images.
6. Pourquoi le noir et blanc était-il si important dans le travail de Mary Ellen Mark ?
Le noir et blanc est une composante essentielle du style de Mary Ellen Mark. Elle croyait que ce format permettait de se concentrer davantage sur l’émotion, la composition, et la lumière, sans les distractions que peuvent parfois apporter les couleurs. Le noir et blanc ajoute une dimension intemporelle à ses images et permet de renforcer l’impact émotionnel. Cela crée également un contraste plus fort, ce qui intensifie les détails des visages, des expressions, et des environnements dans lesquels elle photographiait. En d’autres termes, le noir et blanc permet de focaliser l’attention du spectateur sur ce qui est vraiment important dans l’image.
7. Quels sont les projets les plus célèbres de Mary Ellen Mark ?
Parmi les projets les plus connus de Mary Ellen Mark, on trouve :
Streetwise (1984) : Une série de photographies poignantes sur les enfants des rues de Seattle, qui a également donné lieu à un documentaire. Ce projet met en lumière la dure réalité de la vie de jeunes sans-abri.
Ward 81 (1979) : Une immersion au sein d’un hôpital psychiatrique pour femmes, où Mark a passé six semaines à photographier des patientes, montrant à la fois leur vulnérabilité et leur humanité.
Falkland Road (1981) : Une série de photographies prises dans les bordels de Bombay, qui explore la vie des travailleuses du sexe dans ce quartier célèbre.
Prom (2012) : Un projet plus léger qui se concentre sur les bals de fin d’année aux États-Unis, capturant les espoirs et les rêves des jeunes lors de cette soirée marquante de leur adolescence.
8. Comment Mary Ellen Mark établissait-elle une relation avec ses sujets ?
Mary Ellen Mark consacrait beaucoup de temps à établir des relations de confiance avec ses sujets. Elle croyait fermement que pour capturer l’essence d’une personne, il fallait d’abord créer un lien fort. Cela signifiait passer du temps avec eux, les écouter, comprendre leur histoire et leur contexte. Mark n’était pas seulement une observatrice silencieuse ; elle interagissait avec ses sujets, se montrait respectueuse et attentive à leurs émotions. C’est cette approche empathique qui permettait à ses sujets de s’ouvrir devant son objectif, révélant des moments de grande intimité et d’authenticité.
9. Quelles sont les difficultés que Mary Ellen Mark a rencontrées dans sa carrière ?
Comme beaucoup de photographes documentaires, Mary Ellen Mark a souvent dû surmonter des obstacles pour mener à bien ses projets. Travailler dans des environnements difficiles, comme les rues de Seattle avec des enfants sans-abri ou dans un hôpital psychiatrique, nécessitait du courage et de la persévérance. Elle a également dû gagner la confiance de ses sujets, ce qui pouvait prendre des semaines voire des mois. Par ailleurs, en tant que femme dans un domaine souvent dominé par les hommes, elle a dû s’imposer et prouver que sa vision était tout aussi valable, sinon plus, que celle de ses homologues masculins.
10. Pourquoi Mary Ellen Mark est-elle toujours une référence dans la photographie documentaire ?
Mary Ellen Mark reste une référence pour sa capacité à capturer l’humanité dans toute sa complexité. Son travail est intemporel parce qu’il ne se contente pas de documenter des faits ; il raconte des histoires profondément humaines, avec toutes leurs nuances. Son approche empathique, son souci du détail et sa capacité à établir des liens avec ses sujets sont des qualités que tout photographe documentaire aspire à développer. Elle a montré qu’au-delà de la technique, la photographie est avant tout un moyen de comprendre et de révéler l’essence même de la condition humaine.
Dorothea Lange, fondatrice du photojournalisme aux Etats-Unis, est une spécialiste de la photographie d’après-guerre, notamment du temps de la Grande Dépression et de la crise économique américaine des années 30. Elle a été missionnée par la Farm Security Administration (FSA « Administration de la sécurisation des fermiers ») pour relater la réalité de la vie des américains appauvris et permettre à l’Etat de soutenir financièrement les plus précaires.
Durant toute sa carrière, elle dénonce avec réalisme les injustices de manière émouvantes dans le but de sensibiliser, de mobiliser l’opinion publique et de faire changer les choses.
Retour sur la vie de cette artiste réaliste et engagée.
Dorothea Lange, fiche d’identité
Naissance : le 26 Mai 1895 à Hoboken, New-Jersey, Etats-Unis
Décès : le 11 octobre 1965 à San Francisco, Californie, Etats-Unis
Enfants : Daniel Dixon et John Dixon
Époux : Paul Schuster Taylor (m. 1935-1965) et Maynard Dixon (m. 1920-1935)
Distinctions: Bourse Guggenheim en 1941, National Women’s Hall of Fame en 2003 et California Hall of Fame en 2008, un cratère de la planète Mercure est nommé Lange en son honneur depuis 2009
Emploi: Farm Security administration (FSA), War Relocation Authority, San Francisco Art Institute
Portrait de Dorothea Lange joyeuse
Dorothea Lange, biographie
Née le 26 mai 1895 à Hoboken, elle vient d’une famille d’origine allemande installée dans le New Jersey. Plusieurs épreuves vont jalonner son enfance. D’abord atteinte d’une poliomyélite à l’âge de 7 ans qui la handicape toute sa vie, elle est abandonnée par son père à l’âge de 12 ans.
Dorothea suit des études à l’Université Columbia de New-York, et travaille pour le photographe Arnold Genthe.
Après la 1ère guerre mondiale, en 1918, elle s’installe en Californie, à San Francisco, où elle ouvre un studiophoto qui devient vite florissant. C’est l’époque des années folles et de la forte croissance économique. En 1920, elle épouse Maynard Dixon qui lui donne deux fils, Daniel et John.
Après leur divorce en 1935, Dorothea a élevé les deux enfants seule, tout en poursuivant sa carrière de photographe.
Daniel et John ont tous deux suivi des voies créatives. Daniel est devenu un célèbre musicien de jazz, connu sous le nom de Dan Dixon. Il a enregistré plusieurs albums de jazz au cours de sa carrière, dont certains ont été nominés pour des prix Grammy. John, quant à lui, est devenu un photographe et cinéaste documentaire, suivant les traces de sa mère. Il a notamment réalisé des documentaires sur des sujets tels que la guerre en Irak et la lutte pour les droits des travailleurs agricoles aux États-Unis.
Les fils de Dorothea Lange ont tous deux reçu une éducation artistique grâce à leur mère, qui les a encouragés à poursuivre leurs passions créatives. Ils ont également tous deux été influencés par le travail de leur mère en photographie documentaire et sociale, et ont continué à poursuivre cette tradition dans leur propre travail.
Dorothea Lange a eu trois petits-enfants, issus de son fils John et de sa femme, la photographe et documentariste Elizabeth Partridge. Leur fils, Dylan, est un musicien et compositeur de musique de films. Leur fille, Anna, est une artiste et graphiste. Leur autre fils, Walker, est également artiste et photographe, et a travaillé sur plusieurs projets documentaires.
Bien que Dorothea Lange ne soit pas directement impliquée dans le travail de ses petits-enfants, son héritage en tant que photographe documentaire a certainement influencé leur travail et leur vision artistique. En outre, Elizabeth Partridge a travaillé sur plusieurs livres documentaires pour enfants, en utilisant souvent les photographies de Dorothea Lange pour illustrer les histoires de la Grande Dépression et d’autres sujets historiques importants.
Mais, 1929 et son krach boursier, suivi de la Grande Dépression arrivent, faisant plus de 14 millions de chômeurs. Les entreprises font faillite, les agriculteurs serrent les dents face à la sécheresse, aux tempêtes de sable, aux exportations fermées.
En plus de la crise économique et de l’exode rural, les migrants arrivent en masse, fuyant les régimes totalitaires européens. Des camps de réfugiés se forment dans les campagnes américaines.
Face à ce chaos, Dorothea Lange abandonne le studio et décide de photographier les sans-abris, la pauvreté, cette population en souffrance. Son objectif est de sensibiliser l’Amérique sur les difficultés rencontrées par toute une population. Sa photographie se politise. L’artiste s’engage.
« J’ai réalisé que je photographiais les seules personnes qui m’ont payée pour cela. Cela m’a dérangé. Alors j’ai fermé ce lieu, et démonté ma chambre noire. Je me suis demandé : qu’est-ce que j’essaie de dire ? J’ai vraiment voulu me regarder en face. »
En 1935, elle est l’assistante de son 2ème mari Paul Schuster Taylor qui travaille pour la RA (Resettlement Administration – Office de la réinstallation qui aide les familles migrantes à se reloger). Cet office est crée par l’administration de F.D. Roosevelt du New Deal pour prélever les informations sur le terrain, mettre en lumière les inégalités et ainsi mettre en place une politique plus « sociale ».
Lange touche les lecteurs avec ses clichés ainsi que la Federal Emergency Relief Administration (office de l’aide d’urgence fédérale), et grâce à ses images, elle arrive à débloquer un financement pour la construction d’un camp de migrants à Marysville.
Ses travaux photographiques suscitant l’intérêt, elle est recrutée comme photographe de terrain par la RA qui devient en 1937 la Farm Security Administration.
Ses publications dans le San Francisco News vont permettre de débloquer des fonds pour une aide alimentaire en urgence pour les plus démunis.
Cette période est une charnière, un tournant important dans la carrière de la photographe et du photojournalisme.
C’est à cette période que sera pris son plus célèbre cliché « Migrant Mother » portrait de Florence Thompson, mère de 32 ans d’origine amérindienne, veuve sans argent, qui vit dans un camp de cueilleurs, et vend des pneus pour nourrir ses enfants.
« J’avais vu et je m’étais alors rapprochée de cette mère affamée et désespérée, comme attirée par un aimant. Je ne me souviens pas comment je lui ai expliqué ma présence ou mon appareil photo, mais je me souviens qu’elle ne posait aucune question. J’ai fait cinq prises, en travaillant de plus en plus près dans la même direction. Je ne lui ai pas demandé ni son nom ni son histoire.
Elle m’a dit son âge, qu’elle avait trente-deux ans. Elle a dit qu’ils avaient vécu grâce à des légumes dans les champs environnants, et les oiseaux que les enfants avaient tués. Elle venait de vendre les pneus de sa voiture pour acheter de la nourriture. Là, elle était dans cette tente, avec ses enfants blottis autour d’elle, et semblait savoir que mes photos pourraient l’aider, et elle m’a aidée. Il y avait une sorte d’égalité à ce sujet. »
Elle travaille pour la FSA jusqu’en 1939, sort la même année son livreAmerican Exodus : a record of Human Erosion, puis reçoit la bourse Guggenheim en 1941.
Elle décide de s’envoler pour le Japon en 1942 après l’attaque de Pearl Harbor, pour le compte de l’Office of War Information. Le but étant de documenter la vie des Japonais dans les camps d’internement américains et de démontrer la bienveillance du régime américain envers la population japonaise.
Malheureusement le photo reportage montre une réalité bien différente, des conditions de vie choquantes et déshumanisées.
Le gouvernement interdit la diffusion des clichés de la photographe. Il faut attendre 2006 et la publication du livre Impounded : Dorothea Lange and the censored impages of Japanese americain internment pour que l’on découvre ces photos de guerre.
S’en suivent de graves soucis de santé, qui nécessitent un « break » pour la photographe.
Dorothea Lange reprend son activité en 1951 et travaille pour Life en Irlande, au Venezuela, en Syrie…
La photographe décède le 11 octobre 1965 à San Francisco, en Californie, des suites d’un cancer, à l’âge de 70 ans.
En effet, la cause de sa mort était une rupture d’estomac, qui s’est produite peu de temps après une intervention chirurgicale pour retirer une tumeur cancéreuse. Elle avait souffert d’un cancer du pancréas depuis quelque temps avant sa mort.
Malgré sa maladie, Lange a continué à travailler jusqu’à la fin de sa vie et a laissé derrière elle un héritage important en tant que l’une des photographes les plus influentes et les plus importantes du 20ème siècle.
Toutes ses œuvres sont léguées à l’Oakland Museum of California Art Department et plusieurs expositions posthumes s’organisent comme la rétrospective du MoMA de 1966.
Dorothea Lange, bibliographie
Partridge, Dorothea Lange, A Visual Life, Washington-Londres, Smithionian Press, 1994
Dorothea Lange, Photographies d’une vie, Könemann, 1998
An American Exodus : A Record of Human Erosion, Éditions Jean-Michel Place, 1999 (1reéd. 1939 (Reynal and Hitchcock))
Hans-Michael Koetzle, Photo Icons, the story behind the pictures, Volume 2, Taschen, coll. « Icons », 2002
Pierre Borhan, Dorothea Lange, le cœur et les raisons d’une photographe, Éditions du Seuil, 2002
Linda Gordon et Gary Y. Okihiro(en), Impounded : Dorothea Lange and the Censored Images of Japanese American Internment, éditions Norton, 2006
Spécificité des photos de Dorothea Lange
Dorothea Lange est une photographe américaine connue pour ses photographies documentaires qui témoignent de la vie des travailleurs migrants pendant la Grande Dépression des années 1930 aux États-Unis. Ses photographies sont considérées comme des icônes de l’histoire de la photographie documentaire et ont eu un impact significatif sur la prise de conscience sociale et la lutte pour les droits civiques.
La spécificité des photos de Dorothea Lange réside dans leur capacité à capturer l’humanité et la dignité de ses sujets, souvent en situation de précarité et de souffrance. Ses photographies, souvent en noir et blanc, sont composées de manière à mettre en avant les expressions et les gestes de ses sujets, soulignant ainsi leur histoire et leur vécu.
Lange a souvent travaillé avec des appareils photographiques légers et portatifs, ce qui lui a permis de se déplacer facilement et de prendre des photos sur le vif, dans des conditions souvent difficiles. Elle a également utilisé des cadrages serrés pour créer une proximité émotionnelle avec ses sujets et montrer les détails de leur vie quotidienne.
Enfin, les photographies de Lange ont souvent été accompagnées de légendes et de commentaires écrits, qui ont contribué à leur dimension documentaire. Ces textes ont souvent été écrits en collaboration avec les sujets eux-mêmes, ce qui a permis de donner une voix à ceux qui étaient souvent ignorés ou marginalisés dans la société.
Dans l’ensemble, la spécificité des photographies de Dorothea Lange réside dans leur capacité à raconter des histoires complexes et à susciter l’empathie et la compassion pour ceux qui souffrent et qui sont exclus de la société. Ses photographies sont un témoignage poignant de l’histoire de l’Amérique et de l’humanité universelle.
FOCUS sur la photographie Mère Migrante
Migrant Mother, est le portrait noir et blanc phare de Dorothea Lange, symbole également du photojournalisme d’après-guerre, et œuvre symbolique de la Grande Dépression américaine. Elle est sa photographie la plus célèbre, prise en 1936 dans un camp de travailleurs migrants en Californie.
La photo montre Florence Owens Thompson, une mère de sept enfants, qui se tient en regardant vers le bas avec un regard grave tandis que ses trois enfants se blottissent contre elle. La photo est devenue un symbole de la Grande Dépression et de la lutte pour la survie de la classe ouvrière américaine.
« Migrant Mother » a été largement publiée et exposée, et est devenue l’une des images les plus emblématiques de l’histoire de la photographie américaine. Elle a également contribué à faire connaître le travail de Dorothea Lange et son engagement envers la photographie documentaire et sociale.
Décryptage.
migrant mother
Ce portrait pris en mars 1936, présente Florence Owens Thompson, 32 ans, mère de sept enfants, dans un camp provisoire de cueilleurs de pois qui manquent de tout. Ce camp est habité par plus de 2500 migrant.e.s.
Son visage marqué, le regard perdu dans le vide, et son expression préoccupée traduisent une extrême détresse : celle de la survie. Florence Owens Thompson incarne la misère du monde rural aux États-Unis, touché par la chute des prix agricoles et par des phénomènes climatiques extrêmes comme le Dust Bowl.
Se saisissant de la photographie comme preuve et arme de dénonciation, Dorothea Lange a rendu visible cette terrible pauvreté. Le succès de la photographie est fulgurant. Les migrants de ce camp reçoivent une aide immédiate.
Malgré qu’il ait été retouché (un pouce sur l’arbre en bas à droite a été supprimé pour des raisons d’esthétisme), ce portrait acquiert une portée universelle, rappelant la peinture « de la Vierge à l’enfant » et Dorothea Lange est pour toujours associée au visage de Florence Owens Thompson.
Malgré les tentatives en 1978 de Florence Thompson de faire interdire la photographie ; las d’être l’icône de la misère humaine ; sa famille, quelques années plus tard, a réutilisé le succès international de ce cliché pour lever des fonds afin d’aider Florence à lutter contre son cancer.
Dorothea Lange a réalisé de nombreuses photographies célèbres pendant la Grande Dépression. Outre « Migrant Mother », une autre de ses photos les plus célèbres s’intitule « White Angel Breadline » (La file d’attente de la White Angel). Cette photo a été prise en 1933 à San Francisco et montre des hommes faisant la queue pour obtenir de la nourriture et de l’aide dans une soupe populaire.
La photo montre une longue file d’hommes en haillons, certains assis, d’autres debout, attendant leur tour pour recevoir de la nourriture. Elle a été prise pendant une période de grande pauvreté et de chômage dans tout le pays et témoigne de la misère de l’époque.
Comme « Migrant Mother », « White Angel Breadline » est devenue une image emblématique de la Grande Dépression et est largement reconnue comme l’une des photographies les plus importantes de l’histoire de la photographie documentaire.
white angel breadline
Dorothea Lange a réalisé de nombreuses photographies célèbres pendant la Grande Dépression, certaines sont :
« Toward Los Angeles, California » (Vers Los Angeles, Californie), une photo prise en 1937 qui montre des travailleurs migrants assis dans un train, avec pour toile de fond une usine en ruine. Cette image symbolise la migration massive de travailleurs pauvres vers la Californie à la recherche de travail.
« Destitute pea pickers in California. Mother of seven children. » (Ramasseurs de pois sans ressources en Californie. Mère de sept enfants), une photo prise en 1936 qui montre une famille de travailleurs migrants assis dans un campement de fortune. La photo montre l’impact de la Grande Dépression sur les familles les plus pauvres.
« An American Exodus » (Un exode américain), une série de photos prises entre 1935 et 1939 qui documentent la migration de travailleurs pauvres et de fermiers de l’Oklahoma vers la Californie. Cette série de photos est considérée comme l’une des plus importantes œuvres documentaires de Dorothea Lange.
Ces photos sont toutes des exemples de l’engagement de Dorothea Lange envers la photographie documentaire et sociale, et de son désir de mettre en lumière les conditions de vie difficiles des Américains pendant la Grande Dépression.
FAQ sur Dorothea Lange
Qui est Dorothea Lange ?
Dorothea Lange était une photographe américaine qui a produit des images puissantes et influentes qui documentent la Grande Dépression, le mouvement des droits civiques et les déplacements des populations rurales. Elle a été reconnue pour avoir capturé les visages et les conditions de vie de l’Amérique durant une période historique difficile.
Où a grandi Dorothea Lange ?
Dorothea Lange est née le 26 mai 1895 à Hoboken, dans le New Jersey. Elle a grandi à Hoboken et a ensuite déménagé à San Francisco en 1918.
Quand a-t-elle commencé à prendre des photos ?
Dorothea Lange a commencé à prendre des photos à l’âge de 16 ans et a commencé à travailler en tant que photographe professionnelle à l’âge de 30 ans.
Quels sont ses principaux sujets photographiques ?
Les principaux sujets photographiques de Dorothea Lange étaient la pauvreté et le dénuement des familles de la Grande Dépression, le mouvement des droits civiques et le déplacement des populations rurales.
Quel est son travail le plus célèbre ?
Le travail photographique le plus célèbre de Dorothea Lange est probablement sa série sur la Grande Dépression intitulée «Migrant Mother», qui a été prise en 1936. Cette photo a été largement considérée comme un symbole visuel de la misère et de la détresse des familles durant la Grande Dépression.
Quelle est la plus grande réussite de Dorothea Lange ?
La plus grande réussite de Dorothea Lange est probablement sa capacité à capturer visuellement l’expérience et les conditions de vie des personnes durant la Grande Dépression et le mouvement des droits civiques, ce qui a permis aux gens de mieux comprendre et de s’engager avec ces sujets.
Qu’est-ce que Dorothea Lange a apporté à l’art de la photographie ?
Dorothea Lange a apporté une nouvelle approche à la photographie documentaire en utilisant une approche plus empathique et humaine pour capturer ses sujets. Elle a également inventé la technique de «photographie documentaire» qui a influencé de nombreux photographes documentaires à travers le monde.
Qui était le mari de Dorothea Lange ?
Le mari de Dorothea Lange était Paul Schuster Taylor, un professeur d’histoire et un défenseur des droits des travailleurs agricoles. Ils se sont mariés en 1935.
Quelles sont les expositions les plus importantes de Dorothea Lange ?
Les expositions les plus importantes de Dorothea Lange comprennent une rétrospective en 1939 à la Galerie Julian Levy à New York, une exposition à la San Francisco Museum of Modern Art en 1949 et une exposition au Museum of Modern Art de New York en 1966.
Quand est-elle décédée ?
Dorothea Lange est décédée le 11 octobre 1965 à San Francisco, Californie, des suites d’un cancer du col utérin. Elle était âgée de 70 ans.
Eric CANTO Photographe : Photos de concerts, portraits, pochettes d’albums.
Le médiator personnalisé existe depuis de nombreuses années, même s’il reste assez récent. Il est difficile de donner une date précise de son apparition. En effet, les musiciens ont toujours cherché à personnaliser leur équipement, y compris leurs médiators, pour obtenir un son ou une sensation de jeu spécifique.
Cependant, avec l’avènement de la technologie moderne, il est devenu plus facile et plus courant de fabriquer des médiators personnalisés. Les fabricants de médiators ont commencé à proposer des services de personnalisation pour permettre aux musiciens de concevoir leur propre médiator avec des matériaux, des formes et des épaisseurs spécifiques.
De plus, avec l’avènement de l’impression 3D, le musicien a désormais la possibilité de créer son propre médiator personnalisé à partir de matériaux tels que le plastique, le métal et même le bois. Cette technologie a ouvert de nouvelles possibilités pour la personnalisation des médiators, permettant aux musiciens de concevoir des médiators uniques, adaptés à leurs besoins et à leurs préférences.
La popularité du médiator personnalisé a donc augmenté avec l’avènement de la technologie moderne et des services de personnalisation proposés par les fabricants de médiators. De nos jours, le médiator personnalisé est de plus en plus courant et est apprécié par de nombreux musiciens pour sa capacité à offrir un son et une sensation de jeu uniques.
Retour sur l’histoire du médiator personnalisé, ce petit accessoire indispensable pour les guitaristes, les bassistes et les autres musiciens qui jouent d’un instrument à cordes et qui perdent, cassent et remplacent fréquemment leur médiator.
Le médiator, ou plectre, est un accessoire utilisé pour gratter les cordes d’une guitare ou d’un autre instrument à cordes. Les premiers médiators remontent au début du 20ème siècle, lorsqu’ils ont commencé à être utilisés comme une alternative aux ongles ou aux doigts nus pour jouer de la guitare. Les premiers médiators étaient souvent fabriqués à partir d’os, de corne, de nacre ou d’autres matériaux naturels.
Au fil du temps, de nouveaux matériaux ont été introduits pour la fabrication du médiator, tels que le celluloïd, qui était très populaire dans l’industrie de la musique dans les années 1920 et 1930. Depuis lors, de nombreux autres matériaux ont été utilisés pour fabriquer des médiators, notamment le nylon, le Delrin, l’ultem, la gomme naturelle et divers métaux.
Le médiator personnalisé, est utilisé par de nombreux musiciens à travers le monde pour jouer de la guitare, de la basse et d’autres instruments à cordes pincées. Il est difficile de dire avec certitude qui utilise le plus le médiator, car cela dépend de nombreux facteurs tels que le genre musical, la culture musicale et les préférences individuelles de chaque musicien.
Scorpions
Cependant, le médiator personnalisé est particulièrement populaire dans les genres de musique rock, pop, blues, jazz, country et folk, où il est souvent utilisé pour créer des sons plus puissants et plus percussifs. Les guitaristes célèbres tels que Jimi Hendrix, Eric Clapton, Eddie Van Halen, Jimmy Page, Stevie Ray Vaughan, et bien d’autres ont tous utilisé des médiators pour jouer de la guitare.
Jimi Hendrix : « Je ne suis pas le meilleur joueur de guitare du monde, mais je suis assez bon pour savoir qu’un médiator peut faire une énorme différence dans le son que vous obtenez. J’utilise souvent des médiators en nylon pour jouer de la guitare électrique, car ils me donnent une attaque plus douce et plus souple. »
Eddie Van Halen : « Je suis très particulier sur les médiators que j’utilise pour jouer de la guitare. J’aime les médiators en métal avec des bords pointus pour une attaque plus nette et plus précise. Je peux vraiment sentir la différence quand j’utilise le bon médiator. »
John Mayer : « J’ai commencé à jouer de la guitare avec mes doigts, mais j’ai rapidement réalisé que j’avais besoin d’un médiator pour créer les sons que je voulais. J’utilise souvent des médiators en plastique plus épais pour une attaque plus puissante et plus percussive. »
Bonnie Raitt : « J’utilise des médiators en acier inoxydable pour jouer de la guitare slide. Ils sont très résistants et me permettent de jouer avec un peu plus de force sans me blesser les doigts. »
Mark Knopfler : « Je joue souvent de la guitare avec mes doigts plutôt qu’avec un médiator, mais j’utilise parfois des médiators en cuir pour créer un son plus doux et plus chaleureux. »
Ces témoignages montrent que les musiciens ont des préférences et des habitudes différentes en ce qui concerne l’utilisation du médiator. Certains préfèrent jouer avec leurs doigts, tandis que d’autres considèrent le médiator comme un outil indispensable pour obtenir le son qu’ils recherchent.
L’histoire du médiator
Le médiator est un petit accessoire en forme de triangle utilisé pour gratter les cordes d’une guitare, d’une basse ou d’un ukulélé. Aussi connu sous le nom de « plectre », le médiator est fabriqué dans une variété de matériaux, allant du plastique aux métaux précieux, et est disponible dans une gamme de tailles et d’épaisseurs pour répondre aux besoins de chaque musicien.
L’histoire du médiator remonte au début du 20e siècle, lorsque les guitaristes ont commencé à chercher des alternatives aux doigts nus ou aux ongles pour jouer de la guitare. Les premiers médiators étaient en fait des morceaux d’os, de corne ou de nacre, mais ont rapidement été remplacés par des matériaux plus modernes, tels que le celluloïd, qui était alors un matériau de pointe dans l’industrie de la musique.
Au fil des ans, de nombreuses marques de médiators ont émergé sur le marché, chacune offrant des caractéristiques uniques pour répondre aux besoins de chaque musicien. Voici quelques-unes des marques les plus connues dans le monde des médiators :
Dunlop : Fondée en 1965, la marque Dunlop est l’une des plus célèbres dans l’industrie des médiators. La marque propose une large gamme de médiators, allant des modèles en nylon standard aux modèles en Delrin, en ultex ou en gomme naturelle.
Fender : Fender est une marque de guitare bien connue, mais elle fabrique également des médiators de haute qualité. Les médiators Fender sont disponibles dans une gamme de tailles, d’épaisseurs et de matériaux, et sont connus pour leur qualité de fabrication supérieure.
Gibson : La marque Gibson est également célèbre pour ses guitares, mais fabrique également des médiators de qualité supérieure. Les médiators Gibson sont disponibles dans une gamme de matériaux, allant de l’acétate au celluloid, et sont connus pour leur durabilité et leur qualité sonore.
Jim Dunlop : Jim Dunlop est le fondateur de la marque Dunlop, mais fabrique également des médiators sous son propre nom. Les médiators Jim Dunlop sont fabriqués à partir de matériaux de haute qualité et sont connus pour leur durabilité et leur précision.
Clayton : La marque Clayton propose une gamme de médiators de qualité supérieure, allant des modèles en nylon standard aux modèles en acétate, en ultem ou en métal. Les médiators Clayton sont connus pour leur confort de jeu et leur sonorité exceptionnelle
En conclusion, le médiator est un petit accessoire essentiel pour tout guitariste, et les marques mentionnées ci-dessus sont toutes des choix de qualité pour les musiciens de tous niveaux et de tous styles musicaux. Quel que soit votre choix, il est important de trouver un médiator qui convient à votre style de jeu et à vos préférences personnelles, afin de tirer le meilleur parti de votre expérience musicale.
Le médiator, sa fabrication
Le processus de fabrication d’un médiator peut varier en fonction du matériau utilisé, du type de médiator et de la méthode de fabrication. Cependant, voici une description générale du processus de fabrication d’un médiator en plastique, qui est l’un des matériaux les plus couramment utilisés :
Préparation du matériau : Le plastique utilisé pour fabriquer les médiators est souvent fourni sous forme de feuille ou de bobine. Les feuilles sont découpées en bandes de la largeur voulue, puis ces bandes sont découpées en carrés ou en formes triangulaires.
Découpe : Les carrés ou les formes triangulaires sont découpés en médiators individuels à l’aide d’une presse de découpe spéciale. La presse est souvent équipée d’un moule en acier qui permet de découper les médiators à la forme et à la taille voulues.
Finition des bords : Les bords des médiators découpés peuvent être rugueux et avoir des bavures. Pour lisser les bords, les médiators peuvent être placés sur une machine à poncer qui les polit et les lisse.
Personnalisation : Si les médiators sont destinés à être personnalisés, cette étape peut être réalisée à l’aide d’une imprimante UV ou d’une machine de gravure laser. Les musiciens peuvent ainsi ajouter leur logo, leur nom ou leur image préférée sur le médiator.
Conditionnement et emballage : Les médiators sont ensuite triés en fonction de leur taille et de leur forme, puis emballés en vrac ou conditionnés dans des pochettes spéciales.
En somme, le processus de fabrication d’un médiator peut être relativement simple ou plus complexe en fonction du matériau et du type de médiator fabriqué. Cependant, la plupart des médiators sont fabriqués en utilisant une presse de découpe et une machine à poncer pour lisser les bords, avant d’être personnalisés et emballés pour la vente.
Le médiator personnalisé, une innovation récente
Le médiator personnalisé est une innovation relativement nouvelle dans le monde de la musique, qui permet aux musiciens de créer des médiators qui répondent exactement à leurs besoins individuels en termes de jeu de guitare. Les médiators personnalisés sont fabriqués à partir de matériaux de haute qualité, tels que du nylon, du Delrin ou de l’ultex, et sont disponibles dans une variété de tailles, de formes et d’épaisseurs.
Les médiators personnalisés offrent de nombreux avantages par rapport aux médiators standards. Tout d’abord, ils sont plus confortables à jouer, car ils sont spécialement conçus pour s’adapter à la taille et à la forme de la main du musicien. De plus, les médiators personnalisés peuvent être conçus pour offrir une réponse sonore spécifique, avec une attaque plus nette ou plus douce, une plus grande précision, ou encore une meilleure résistance à l’usure.
Pour créer un médiator personnalisé, un musicien peut utiliser un logiciel en ligne ou un service de fabrication spécialisé pour télécharger son design. Les designs peuvent inclure une variété d’éléments, tels que des images, des logos, des photos et des motifs personnalisés. Le musicien peut également choisir la taille, la forme et l’épaisseur du médiator en fonction de ses préférences.
Une fois que le design est finalisé, le médiator personnalisé est fabriqué à partir du matériau choisi et découpé selon les spécifications du design. Le processus de fabrication peut prendre quelques jours à plusieurs semaines, en fonction de la complexité du design et des matériaux utilisés.
Les médiators personnalisés sont populaires auprès des musiciens de tous niveaux, du débutant à l’expert. Les débutants peuvent trouver un médiator personnalisé qui leur convient parfaitement dès le début de leur apprentissage, ce qui peut améliorer leur technique et leur confort de jeu. Les musiciens plus avancés peuvent créer des médiators personnalisés pour répondre à des besoins spécifiques en termes de son et de jeu, et pour se démarquer de la foule.
Le médiator personnalisé est de fait, un outil précieux pour les musiciens qui cherchent à améliorer leur confort de jeu et leur son, tout en exprimant leur personnalité artistique. Les médiators personnalisés sont de plus en plus populaires, et leur disponibilité en ligne et en magasin spécialisé rend cette innovation accessible à tous les musiciens, quels que soient leur niveau et leur style musical.
Voici quelques citations de musiciens qui utilisent des médiators personnalisés :
Eddie Van Halen : « Je suis très pointilleux sur les médiators que j’utilise pour jouer de la guitare. J’ai même conçu mes propres médiators en collaboration avec la société Dunlop pour obtenir exactement le son que je recherchais. »
John Mayer : « J’utilise des médiators personnalisés depuis des années. Je préfère des médiators en plastique plus épais avec une surface texturée pour une attaque plus puissante et plus précise. »
Billy Gibbons (ZZ Top) : « Je joue avec un médiator personnalisé en os depuis des années. J’aime la façon dont il se sent dans ma main et la façon dont il sonne sur les cordes de ma guitare. »
Mark Tremonti (Alter Bridge) : « Je préfère des médiators personnalisés plus larges pour une meilleure prise en main et un meilleur contrôle de mes attaques. J’utilise souvent des médiators en nylon personnalisés avec une surface texturée pour une adhérence supplémentaire. »
Ces citations montrent que les musiciens sont très passionnés par leurs médiators personnalisés et qu’ils sont prêts à investir du temps et de l’argent pour trouver le médiator parfait pour leur son et leur style de jeu. Les médiators personnalisés offrent aux musiciens un moyen de se connecter encore plus étroitement avec leur instrument et de créer un son unique et personnel.
La fabrication d’un médiator personnalisé peut varier en fonction du fabricant et de la méthode de personnalisation utilisée. Voici cependant un aperçu général du processus de fabrication d’un médiator personnalisé :
Conception : Le premier pas pour fabriquer un médiator personnalisé consiste à concevoir la forme, la taille et les caractéristiques du médiator. Le musicien peut concevoir son médiator personnalisé en utilisant un logiciel de conception assistée par ordinateur (CAO), en dessinant à la main ou en envoyant des spécifications à un fabricant de médiators personnalisés.
Choix des matériaux : Le musicien peut également choisir les matériaux à utiliser pour son médiator personnalisé. Les médiators personnalisés peuvent être fabriqués à partir de divers matériaux tels que le plastique, le métal, le bois et même l’ivoire végétal.
Prototypage : Une fois que le design est finalisé, le fabricant de médiators personnalisés peut créer un prototype pour vérifier que le médiator fonctionne correctement et que sa forme et sa taille sont conformes aux spécifications du musicien. Ce prototype peut être créé en utilisant une imprimante 3D ou en sculptant à la main.
Production : Après la validation du prototype, le fabricant peut commencer la production en série du médiator personnalisé. Les médiators sont généralement produits en utilisant des presses de découpe ou des machines à commande numérique qui peuvent découper les médiators à la forme et à la taille voulues.
Personnalisation : La personnalisation est généralement réalisée à l’aide d’une imprimante UV ou d’une machine de gravure laser. Les musiciens peuvent ainsi ajouter leur logo, leur nom ou leur image préférée sur le médiator.
Finition : Après la personnalisation, le médiator personnalisé est souvent poncé pour lisser les bords et éliminer toute rugosité ou bavure.
Conditionnement et emballage : Les médiators personnalisés sont ensuite triés en fonction de leur taille et de leur forme, puis emballés dans des pochettes spéciales ou dans des boîtes personnalisées pour la vente.
En somme, la fabrication d’un médiator personnalisé implique des étapes supplémentaires de conception et de personnalisation par rapport à la fabrication d’un médiator standard, mais elle suit généralement un processus similaire de production en série et de finition.
Le médiator personnalisé, en bref
Le médiator personnalisé est de plus en plus populaire auprès des musiciens car il offre la possibilité d’avoir un outil de jeu unique et adapté à ses préférences individuelles. Un médiator personnalisé peut être fabriqué à partir de matériaux spécifiques, tels que des métaux, des plastiques, des bois exotiques, des cornes animales ou même des matériaux composites.
La forme et la taille du médiator peuvent également être personnalisées pour s’adapter à la main et au style de jeu du musicien. Certains musiciens préfèrent des médiators plus larges pour une meilleure prise en main, tandis que d’autres préfèrent des médiators plus minces pour une attaque plus rapide et plus précise.
Enfin, la texture de la surface du médiator peut également être personnalisée pour offrir une meilleure adhérence ou une meilleure résistance à l’usure. Certains musiciens choisissent des médiators avec des surfaces lisses, tandis que d’autres préfèrent des médiators avec des surfaces texturées pour une meilleure accroche.
En somme, l’utilisation d’un médiator personnalisé peut offrir un certain nombre d’avantages pour un musicien, notamment en termes de confort, de son et de technique de jeu. Cependant, il est important de noter que les préférences en matière de médiator peuvent varier considérablement d’un musicien à l’autre et qu’il est important de trouver le médiator qui convient le mieux à son propre style de jeu.
Eric CANTO Photographe : Photos de concerts, portraits, pochettes d’albums.
Man Ray, peintre, photographe surréaliste et réalisateur du XXe siècle a toujours la côte.
Man Ray (1890-1976) était un artiste américain qui a marqué l’histoire de l’art du XXe siècle. Né sous le nom d’Emmanuel Radnitzky à Philadelphie, Man Ray a grandi à Brooklyn avant de déménager à Manhattan pour poursuivre une carrière d’artiste. Il a été actif dans de nombreux mouvements artistiques, notamment le dadaïsme et le surréalisme.
Man Ray est surtout connu pour ses photographies expérimentales, qui ont repoussé les limites de l’art photographique de l’époque. Il a notamment inventé une technique appelée « rayographie », qui consiste à créer des images sans appareilphoto en plaçant des objets directement sur du papier photo sensible à la lumière.
Man Ray a également travaillé dans d’autres domaines de l’art, comme la peinture, le dessin, la sculpture et le cinéma. Il a travaillé avec de nombreux artistes et personnalités célèbres de son époque, notamment Marcel Duchamp, Salvador Dali et Coco Chanel.
Man Ray a passé la majeure partie de sa carrière en Europe, principalement à Paris, où il est devenu une figure centrale de la vie artistique de la ville. Il a créé de nombreuses œuvres d’art importantes et influentes au cours de sa carrière, qui ont eu un impact significatif sur l’art moderne et contemporain
Le 2 mai 2022, son Violon d’Ingres (1924) s’est vendu aux enchères 12 millions d’euros. Cette photographie devient la plus chère vendue au monde, démontrant l’engouement des collectionneurs du XXIe siècle pour les œuvres surréalistes.
Les 28 et 29 juin 2022, soit quarante-cinq ans après sa mort, de nouvelles enchères ont eu lieu à l’Hôtel Drouot, à Paris avec environ 200 lots de photographies, objets et lithographies signés pour la plupart de l’auteur.
Retour sur cet artiste hors du commun en 6 points.
Man Ray
Qui est Man Ray ?
Artiste américain, Man Ray est le pionnier de la peinture moderne, surréaliste, du cinéma et de la photographie. Connu pour ses photos noir et blanc, comme le Violon d’Ingres (1924) et Larmes (1930-1932), son style onirique est caractéristique du mouvement dadaïste.
Man Ray dédie son activité principalement à la photographie, en redécouvrant la solarisation (procédé permettant d’accentuer les contours par des lignes noires) et en utilisant la technique du rayogramme (silhouettes abstraites d’objets).
Dans les années 20, il réalise également quelques films courts-métrages comme le Retour à la raison en 1923 et l’Etoile de mer en 1928.
Pour lui, la technique et l’instrument sont accessoires. Seuls comptent l’œil et l’idée. André Breton le surnomme « L’homme à tête de lanterne magique » et Man Ray dit de lui:
« Quand j’ai vu que j’étais attaqué de toute part, j’ai su que j’étais sur le bon chemin. » Man Ray.
Quelles sont les œuvres les plus connues de Man Ray ?
The Lovers (Les Amants), huile sur toile, 24,7 × 35,2 cm (1914)
Autoportrait, assemblage (1916)
Danseuse de corde s’accompagnant de son ombre (1916)
Marcel Duchamp en Rose Sélavy (1921)
Le Cadeau(1921) – sculpture dans l’esprit ready-made
The Fisherman’s Idol, 1926, morceaux de liège récupérés sur la plage de Biarritz puis assemblés
Lee Miller(1930) – portrait
Autoportrait, photographie obtenue à partir d’une solarisation (1931)
Glass Tears(1932) – portrait
Les Mains libres, dessins pour des poèmes de Paul Éluard, Jeanne Bucher, Paris (1937)
Le Rébus, huile sur toile, 55 × 46 cm, Paris (1938)
Les Vingt jours et nuits de Juliette (1952)
Où est né Man Ray ?
Man Ray, naît Emmanuel Radnitsky le 27 août 1890 dans le sud de Philadelphie, en Pennsylvanie.
Surnommé « Manny, il est l’aîné d’une fratrie, Sam son frère, Dorothy et Essie ses deux sœurs. Sa famille est juive ashkénaze d’origine russe. Il est l’oncle de Naomi Savage, photographe américaine (1927-2005).
Son père tient un atelier de confection tandis que sa mère est couturière.
Man Ray a grandi à Brooklyn, dans la ville de New York, et a commencé à dessiner et à peindre à un jeune âge. Il a fréquenté la Boys High School, une école publique de Brooklyn, où il a étudié l’art. Après avoir obtenu son diplôme, il a travaillé comme illustrateur et dessinateur de publicité pour diverses agences de New York.
Il commence des études d’architecture avant de se tourner vers l’art. Son éducation est déterminante dans le choix de sa voie artistique et son engouement pour l’innovation. Pour lui, caméra, pinceaux, machine à écrire, appareil photo, sont tous des instruments égaux et équivalents.
Dans les années 1910, Man Ray a commencé à fréquenter le cercle d’artistes de Greenwich Village, un quartier de Manhattan connu pour sa vie culturelle et artistique. Il a commencé à s’intéresser à l’art moderne et expérimental, et a commencé à expérimenter avec la photographie. C’est à cette époque qu’il a rencontré Marcel Duchamp et Francis Picabia, deux artistes qui allaient devenir des amis proches et des collaborateurs de Man Ray.
Très tôt, Man Ray fréquente les milieux avant-gardistes.
En 1912, la famille change son nom, en réaction à l’antisémitisme de l’époque. Les Radnitzky deviennent les Ray. « Manny » devient « Man ».
Quelles sont les dates clés de la vie de Man Ray ?
Man Ray, son début de carrière à New-York
La carrière de Man Ray débute à New York , en 1911, dans la Galerie 291 du photographe Alfred Stieglitz, puis chez un graveur, puis dans la publicité et chez un éditeur de cartes comme dessinateur.
Il rencontre Marcel Duchamp en 1915 dans le cadre de ses fréquentations avant-gardistes. Avec son acolyte, ils sont les représentants de la branche américaine du dadaïsme.
En effet, en 1915, Man Ray a déménagé à Ridgefield, dans le New Jersey, où il a ouvert son propre studio photographique. Il a rapidement acquis une réputation pour ses photographies expérimentales, qui utilisaient des techniques telles que le surréalisme et le photogramme (une technique de photographie sans caméra). Il a également commencé à travailler sur des œuvres de collages et d’objets trouvés.
Avec la naissance du mouvement intellectuel, littéraire et artistique Dada (mouvement anticonformiste et anti conventionnel) en 1916, il trouve un sens à son art. Le mouvement dadaïste a des adeptes à Paris, New-York, Berlin et Cologne. Le mot « dada » ne signifie rien, mais désigne le « néant absolu », cette volonté de lutter contre l’absurdité de la guerre, et la volonté de détruire l’art et la littérature conventionnels.
C’est en 1917 qu’il publie ses premières œuvres variant de la peinture (telles que Aérographes, peinture au pistolet, 1917) à la photographie, qui restent infructueuses.
Face à cet échec, il déclare « Dada ne peut pas vivre à New-York », et décide de s’envoler pour Paris.
En 1921, Man Ray a quitté New York pour s’installer à Paris, où il a poursuivi sa carrière artistique et est devenu un membre important de la communauté artistique de la ville. Cependant, ses premières années à New York ont été très formatrices pour sa pratique artistique, et ont contribué à façonner sa vision et son style artistique.
Man Ray poursuit sa carrière à Paris
Il débarque à Paris en juillet 1921, à l’âge de 30 ans, et s’installe chez Marcel Duchamp.
Très rapidement, il rencontre les artistes surréalistes parisiens que sont Louis Aragon, André Breton, Paul Eluard… mais surtout Kiki de Montparnasse, chanteuse de modèle français, qui devient sa compagne, son modèle et sa muse.
Il se lance dans la photographie de mode et dès 1922, ses portraits sont publiés dans Vanity Faire et commence dès 1924 à collaborer avec Vogue.
Man Ray et la mode
En 1924, toujours, il contribue aux publications surréalistes et publie également l’un de ses chefs d’œuvres le Violon d’Ingres.
Sa première exposition a lieu dans la Galerie Pierre à Paris en 1925.
En 1929, Man Ray démarre un travail avec Lee Miller qui devient son assistante et sa compagne, jusqu’en 1932. Ensemble ils développent la technique de solarisation.
Il tourne également « Les Mystères du Château des Dés » dans la villa Noailles à Hyères. Ce film est dédié à la maîtresse des lieux.
En 1931, il réalise Electricité, album photographique destiné à promouvoir la modernité de l’usage domestique de l’électricité.
Pendant vingt ans, l’artiste révolutionne l’art photographique et beaucoup de grands noms du milieu artistique comme Jean Cocteau, Meret Oppenheim (dont les photographies de nus deviendront une série très célèbre), James Joyce poseront sous son objectif.
Il adore peindre le corps féminin. Les femmes ont toujours été très présentes dans son travail ainsi que dans son existence. Sa vie artistique et sa vie amoureuse sont presque impossibles à démêler, toutes deux sources de création.
Un véritable échange existe avec ses modèles. Certaines étaient des muses, comme Kiki de Montparnasse, Nush Eluard, Juliet Browner… D’autres étaient des confrères comme Lee Miller et Dora Maar. Chaque relation lui apportait une nouvelle source d’inspiration et un point de vue différent.
En 1933, il participe au Salon des sur-indépendants avec ses amis surréalistes.
En 1934, il rencontre sa nouvelle jeune compagne Adrienne Fidelin, de plus de 20 ans sa cadette, qui prend le nom de Ady Fidelin. Leur idylle durera 5 ans.
Man Ray et Adrienne
En 1937, il publie avec André Breton le manifeste La photographie n’est pas l’art.
Ses années parisiennes intenses artistiquement finissent par se terminer avec la 2eme guerre mondiale, car, inquiété par la défaite de la France et ses origines juives, il décide de retourner aux Etats-Unis en compagnie de Salvador Dali.
Man Ray retourne aux Etats-Unis
En 1940, Man Ray s’installe à Hollywood, Los Angeles, en Californie avec Salvador Dali et René Clair (cinéaste). C’est là qu’il renoue avec la peinture, reçoit des propositions d’expositions et rencontre Juliet Browner, danseuse et mannequin, dans un night club. Il l’épouse en 1946. Elle devient Juliet Man Ray.
Man Ray est retourné aux États-Unis après avoir passé la majeure partie de sa carrière à Paris pour des raisons personnelles et professionnelles.
Sur le plan personnel, Man Ray avait des liens forts avec sa famille et ses amis aux États-Unis, et il a maintenu des contacts avec eux tout au long de sa vie. En outre, sa femme Juliet Browner, qu’il avait rencontrée à Paris, était originaire de Los Angeles, et ils ont finalement décidé de s’installer là-bas.
Sur le plan professionnel, Man Ray avait de nombreuses opportunités aux États-Unis, notamment en tant que photographe pour l’industrie du cinéma. Il a travaillé sur plusieurs films à Hollywood dans les années 1940, notamment en tant que photographe de plateau pour des films tels que « The Enchanted Cottage » et « Julie » (tous deux sortis en 1945).
Man Ray a également exposé ses œuvres aux États-Unis et a reçu de nombreuses commandes pour des portraits de personnalités telles que Salvador Dali et Igor Stravinsky.
Cependant, Man Ray a continué à voyager et à travailler en Europe même après son retour aux États-Unis. Il est retourné en France à plusieurs reprises, et il a également travaillé en Italie, en Espagne et en Angleterre. Finalement, il est revenu à Paris et y a passé les dernières années de sa vie avant de décéder en 1976
C’est durant ces années californiennes, il expérimente la photographie en couleurs, peint des sculptures mathématiques découvertes en 1930 et réalise son portrait rayographique.
rayographie
“Je photographie ce que je ne désire pas peindre, et je peins ce que je ne peux pas photographier.”
Man Ray finit sa vie à Paris
Il retourne à Paris en 1951, installe son atelier au 2 bis rue Ferou et devient Satrape du Collège de Pataphysique en 1963.
En 1963, il publie son autobiographie Self Portrait.
En 1966, il reçoit le prix culturel de la Société allemande de photographie et en 1974, la médaille du progrès de la Royal Photographic Sociéty.
Man Ray meurt d’une infection pulmonaire le 18 novembre 1976 à l’âge de 86 ans.
Il est inhumé au Cimetière du Montparnasse et sa tombe porte l’épitaphe « Unconcerned, but not indifferent » (« Détaché, mais pas indifférent »).
Sa tombe est profanée en mars 2019 à cinq reprises. Le médaillon représentant le couple ainsi que la stèle de son épouse (Juliet Man Ray née Browner 1911-1991) sont détruits.
En hommage à l’artiste, Michel Berger lui consacre en 1990 une chanson « Chanson pour Man Ray » sur son album Ca ne tient pas debout, et un restaurant Parisien dans le 8e arrondissement porte son nom.
Man Ray était un artiste profondément novateur qui voulait ardemment révolutionner l’art. Ancré dans le dada puis profondément dans le surréalisme, le photographe et peintre américain a nourri son art des deux mouvements.
Ses créations font écho à son état intérieur, ses œuvres devenant catharsis. Il dépeint ce qu’il voit, ce qu’il pense et ce qu’il désire.Man Ray et ses amis artistes ont sans aucun doute redonné vie à Paris, libérant l’art de ses carcans traditionnels.
May Ray, sa vie de famille
Man Ray a vécu une vie personnelle assez mouvementée, marquée par des relations compliquées et des événements tragiques.
En 1921, Man Ray s’est marié avec la danseuse et modèle belge Adon Lacroix, mais leur mariage a été de courte durée et ils ont divorcé peu de temps après. En 1929, Man Ray s’est remarié avec la chanteuse et actrice américaine Juliet Browner, qui était originaire de Los Angeles. Le couple s’est installé à Paris, où ils ont vécu pendant plusieurs années avant de retourner aux États-Unis en 1940.
Le couple a eu une fille, nommée Julie, qui est née en 1940 à Los Angeles. Julie a été diagnostiquée avec une paralysie cérébrale sévère, ce qui a été un défi pour la famille. Man Ray a consacré beaucoup de temps et d’énergie à s’occuper de sa fille, qui est décédée en 1956 à l’âge de 16 ans.
En 1947, Juliet a donné naissance à un autre enfant, une fille nommée Daphne, qui est devenue elle aussi une artiste. Daphne a écrit une biographie de son père intitulée « Man Ray: An American Artist in Paris », qui a été publiée en 1998.
Malgré les difficultés personnelles qu’il a rencontrées, Man Ray a maintenu des relations étroites avec sa famille et ses amis tout au long de sa vie. Il est resté en contact avec son frère, qui était médecin à New York, et avec de nombreux artistes et écrivains de renom.
La Photographie n’est pas l’art : 12 photographies, Paris, Éd. GLM, 1937, avec un avant-propos d’André Breton, Convulsionnaires.
Alphabet for adults, Beverly Hills, California, Copley Galleries, 1948.
Photographs-Portraits, Paris, Édition Prisma.
Self Portrait, Londres, André Deutsch, 1963 ; Autoportrait, traduit de l’américain par Anne Guérin, Paris, Robert Laffont, 1964 ; réédité chez Seghers, 1986.
Ses œuvres sont exposées dans de nombreux musées et galeries du monde entier. Voici quelques exemples de lieux où vous pourriez voir des œuvres de Man Ray :
Le Centre Pompidou à Paris, France : le Centre Pompidou est l’un des musées d’art moderne et contemporain les plus importants au monde, et il possède une importante collection d’œuvres de cet artiste.
Le Museum of Modern Art (MoMA) à New York, États-Unis : le MoMA est un musée d’art moderne et contemporain qui possède également une collection importante d’œuvres de l’artiste, notamment ses photographies expérimentales.
La Tate Modern à Londres, Royaume-Uni : la Tate Modern est un musée d’art moderne et contemporain qui possède également des œuvres de Man Ray, notamment ses photographies, ses objets et ses films expérimentaux.
Le Musée national d’art moderne de Tokyo à Tokyo, Japon : ce musée possède une importante collection d’art moderne et contemporain.
Le Musée national d’art moderne et contemporain d’Alger à Alger, Algérie : ce musée possède une importante collection d’art moderne et contemporain..
Il existe également de nombreuses autres galeries et musées dans le monde entier qui exposent des œuvres de Man Ray. Les expositions temporaires sont également organisées régulièrement dans ces lieux.
Atelier Man Ray. Unconcerned but not indifferent, Pinacothèque de Paris, du 5 mars au 1erjuin 2008
Man Ray, vues de l’esprit, Musée Toulouse-Lautrecet Médiathèque Pierre-Almaric, Albi, du 8 octobre 2018 au 5 janvier 2019
Man Ray et la mode, Musée Cantini, du 8 novembre 2019 au 8 mars 2020.
Eric CANTO Photographe : Photos de concerts, portraits, pochettes d’albums.
Le Festival de Nîmes est de retour pour une nouvelle édition explosive en 2023 ! Avec une programmation qui s’annonce des plus prometteuses, les amoureux de musique rock vont être comblés.
Des artistes renommés se produiront sur la scène mythique de l’amphithéâtre romain de Nîmes, offrant aux festivaliers des performances mémorables. Les têtes d’affiche sont déjà annoncées.
Mais le Festival de Nîmes ne se résume pas seulement à ses artistes légendaires. L’ambiance qui règne sur le site est également une expérience à part entière. La ville de Nîmes, chargée d’histoire, offre un cadre unique pour les festivaliers qui pourront se plonger dans une ambiance rock’n’roll et festive. Les bars et restaurants de la ville s’animent également durant la période du festival pour accueillir les visiteurs venus du monde entier.
Les équipes de production travaillent d’arrache-pied pour que le Festival de Nîmes soit un événement inoubliable, avec une scénographie impressionnante et des effets spéciaux à couper le souffle. Les festivaliers pourront également profiter de stands de merchandising pour repartir avec un souvenir de leur passage au festival.
Alors préparez-vous à vivre une expérience inoubliable au Festival de Nîmes 2023 ! Des billets sont disponibles en ligne, et nous vous invitons à vous dépêcher pour ne pas manquer l’un des événements rock les plus prestigieux de l’année.
Voici donc pour sa 26ème édition, la présentation du Festival de Nîmes en 6 points.
Le festival Nîmes 2023, un événement incontournable du Sud de la France
Comme chaque année, depuis 1997, le Festival de Nîmes 2023 réunit de nombreux artistes de la scène nationale et internationale dans un lieu empreint d’histoire que sont les Arènes de Nîmes.
Le Festival de Nîmes se déroule entre les mois de juin et juillet, et il met en avant des artistes de différents genres musicaux, tels que le rock, le reggae, le hip-hop, la pop et la musique électronique. Les concerts ont lieu dans des sites historiques de la ville, notamment l’amphithéâtre romain de Nîmes, qui peut accueillir jusqu’à 24 000 spectateurs.
C’est la société Adam concerts qui organise le Festival de Nîmes 2023. En 2023, pour sa 26ème édition, le festival de Nîmes se déroulera du 23 juin au 22 juillet.
Depuis plus de vingt ans, le Festival de Nîmes propose une programmation riche, offrant à des milliers de festivaliers des spectacles musicaux inoubliables dans un cadre exceptionnel.
Le Festival de Nîmes est devenu un événement majeur dans le calendrier estival français et attire chaque année des milliers de visiteurs qui viennent profiter de la musique, de l’histoire et de la culture de la ville de Nîmes.
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Le festival de Nîmes 2023 propose un programme qui réunit les plus grands noms de la musique.
Des artistes français les plus connus (Johnny Hallyday et les vieilles canailles, Kenji Girac, Michel Polnareff, Renaud, Patrick Bruel, Matthieu Chedid…) aux plus belles révélations musicales (Stromae, Saka Ponk, Angele, Maître Gim’s…) en passant par le métal (Slipknot,Rammstein, Metallica…), les plus grandes stars internationales (Placebo, Foo Fighters, Bjork, Lenny Kravitz, Arcade Fire, Red Hot chilly Peppers…) et les grandes légendes de la musique (Sting, Kiss, Santana, Daft Punk, Slash, Radiohead, David Bowie…), les concerts investissent les Arènes et rassemblent en un seul lieu tous les goûts musicaux.
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Un partage large et riche entre les nouveaux talents et des stars mythiques de la musique pour vivre une expérience folle dans ce lieu mythique.
Le festival de Nîmes 2023, un cadre exceptionnel
Les arènes de Nîmes sont situées au cœur de la commune de Nîmes, une ancienne citée prospère sous l’Empire Romain,Nemausus, qui, aujourd’hui est la préfecture du département du Gard, en Occitanie, dans le sud de la France.
Nîmes était une ville importante au temps de l’Empire romain. Elle est connue pour ses monuments bien conservés, tels que la Maison Carrée, La Tour Magne ou encore le Temple de Diane.
L’ amphithéâtre de Nîmes, conçu pour le spectacle est communément appelé « Arènes de Nîmes ». Ce nom provient de son origine latine « arena » qui signifie aire de sable où se déroulent les courses ; et fait partie des plus grands amphithéâtres de la Gaule Romaine les mieux conservés du monde antique.
La qualité de conservation du site antique des Arènes de Nîmes, fait de ce lieu, un endroit idéal pour accueillir une foule de spectateurs, sous un ciel étoilé, dans le cadre d’un festival de musique, celui du Festival de Nîmes,
Festival de Nîmes 2023
En effet, les Arènes, construction architecturale classée monument historique conçue vers 100 après J.C sous le règne de l’Empereur Auguste, sont utilisées pour de multiples événements culturels tels que concerts, pièces de théâtres, manifestations sportives, ou encore corridas pendant les férias. Le système de galeries et d’escaliers (appelés vomitoires) a été pensé pour éviter les bousculades et faciliter la circulation des presque 14 000 spectateurs pouvant être accueillis.
Quelles sont les meilleures places aux Arènes de Nîmes ?
Quelque soit votre emplacement, vous aurez une vue magnifique. Mais, il faut savoir que, plus vous serez placés dans le bas des gradins, plus vous serez proches de(s) artiste(s) et de la scène. En définitive, si vous souhaitez être proches de la scène, assis, optez pour la catégorie 1 ou carrément le carré Or. Ces emplacements ont un prix plus élevé.
Pour vivre une expérience plus forte, au cœur de l’ambiance, debout, assez proches de la scène, dans la fosse, emportés par la foule, optez pour la catégorie 3. Quelquefois pour certains spectacles, la fosse est aussi occupée par des sièges. Les places, sont alors vendues en catégorie 1 ou carrée or (pour les 1ers rangs)
Festival de Nîmes 2023
Pour ceux, dont les moyens sont un peu plus limités et qui ne veulent pas être debout dans la fosse, alors choisissez des places dites « en général » avec placement libre c’est- à -dire en catégorie 2 (places choisies). Elles seront situées aux points les plus hauts.
Pour finir, un conseil toutefois, évitez les places de catégorie 4, c’est-à- dire, celles situées sur le côté de la scène. Ces emplacements, sont certes situés à la même hauteur que celles de catégorie 1, mais la vue est clairement moins bonne. En effet, même si vous êtes bien placés, les structures de la scène peuvent vous empêcher visuellement, de profiter pleinement du spectacle, et vous serez surexposés aux décibels! Si vous êtes sensibles aux ondes sonores, équipez vous de bouchons d’oreille ou d’un casque.
Le festival de Nîmes 2023, une programmation éclectique !
Depuis longtemps, la plupart des festivals culturels se déroulent dans le sud de la France dans toutes les disciplines: théâtre, musique, danse, street art …
Festival de Nîmes 2023
Dans cette architecture incroyable, le Festival de Nîmes, lieu unique et magique, propose un savant mélange de musiciens, d’artistes mythiques, internationaux, nationaux, ou encore stars de demain.
Festival de Nîmes 2023, la programmation annoncée, à ce jour, est la suivante :
23 juin 2023, DAMSO (ouverture de la billetterie le 16 décembre 2022)
24 juin, MATT POKORA / JENIFER (ouverture de la billetterie le 17 décembre 2022)
25 juin 2023, SIMPLY RED / SELAH SUE (ouverture de la billetterie le 15 décembre 2022)
27 juin 2023, SLIPKNOT (ouverture de la billetterie le 02 décembre 2022)
29 juin 2023, SOPRANO (ouverture de la billetterie le 08 décembre 2022)
30 juin 2023, FLORENT PAGNY / ZAZIE (ouverture de la billetterie le 16 décembre 2022)
01 juillet 2023, DAMIEN SAEZ, la symphonie des siècles (ouverture de la billetterie le 01 février 2023)
02 juillet 2023, GOJIRA (ouverture de la billetterie le 16 décembre 2022)
04 juillet 2023, THE BLACK KEYS / SPOON (ouverture de la billetterie le 15 décembre 2022)
06 juillet 2023, PLACEBO (ouverture de la billetterie le 23 décembre 2022)
08 juillet 2023, MICHEL POLNAREFF (ouverture de la billetterie le 16 novembre 2022)
09 juillet 2023, STARS 80 (ouverture de la billetterie le 28 novembre 2022)
10 juillet 2023, SAM SMITH (ouverture de la billetterie le 09 décembre 2022)
12 juillet 2023, LOMEPAL (ouverture de la billetterie le 24 novembre 2022)
13 juillet 2023, ARTIC MONKEYS / WILLIE J HEALEY (ouverture de la billetterie le 14 décembre 2022)
14 juillet 2023, LUDOVICO EINAUDI (ouverture de la billetterie le lundi 16 janvier 2023)
15 juillet 2023, SIGUR ROS / CHILLY GONZALES (ouverture de la billetterie le 14 décembre 2022)
16 juillet 2023, CHRISTOPHE MAE (ouverture de la billetterie le 28 novembre 2022)
19 juillet 2023, DJADJA & DINAZ (ouverture de la billetterie le 09 décembre 2022)
21 juillet 2023, LOUISE ATTAQUE (ouverture de la billetterie le 30 septembre 2022)
23 juillet 2023, GIMS ET DADJU (ouverture de la billetterie le 02décembre 2022)
Mais peut-être que de nouvelles dates seront annoncées dans les prochains jours…
Festival de Nîmes 2023
Tous les concerts sont également disponibles sur l’application @passcultureofficiel.
La billetterie est ouverte, mais pour plus d’informations, restez connectés !
Accès autoroutiers : A 54 en provenance d’Arles, Marseille, Côte d’Azur, Italie // A 7 en provenance d’Avignon, Valence, Lyon // A 9 en provenance de Montpellier, Narbonne, Perpignan, Espagne
Festival de Nîmes 2023
Où se loger pour aller au Festival de Nîmes 2023?
Entre hôtels, locations Airbnb, de nombreuses possibilités sont proposées. Pensez à regarder sur les communes à proximité de Nîmes, comme Lunel, Vergèze, Baillargues, desservies par le TER à moins de 15 min.
Il existe de nombreuses options d’hébergement pour les visiteurs qui souhaitent assister au festival. Nîmes est une ville touristique populaire, donc les hôtels, les appartements de vacances, les chambres d’hôtes et les campings peuvent être réservés rapidement. Il est recommandé de réserver votre hébergement dès que possible, surtout si vous prévoyez de visiter Nîmes pendant la haute saison touristique.
Voici quelques suggestions pour se loger à proximité des sites du Festival de Nîmes :
Les hôtels situés dans le centre-ville de Nîmes offrent un accès facile aux sites du festival, ainsi qu’aux restaurants et aux bars de la ville. Il y a des hôtels pour tous les budgets, allant des hôtels économiques aux hôtels de luxe.
Les appartements de vacances sont une option populaire pour les visiteurs qui souhaitent avoir plus d’espace et d’intimité pendant leur séjour. Il y a de nombreux sites de réservation en ligne, tels que Airbnb et HomeAway, qui proposent des appartements à Nîmes.
Les campings sont également une option pour les visiteurs qui souhaitent être en contact avec la nature. Il y a plusieurs campings situés dans la région de Nîmes, offrant des installations modernes et un accès facile aux sites du festival.
Il est recommandé de vérifier la distance entre votre lieu d’hébergement et les sites du festival, afin de planifier votre trajet et de vous assurer que vous pouvez facilement vous rendre aux concerts.
Où se garer pour aller au Festival de Nîmes 2023?
Le stationnement à Nîmes peut être un peu difficile pendant les périodes de forte affluence, notamment lors du Festival de Nîmes, qui attire de nombreux visiteurs chaque année. Cependant, il y a plusieurs options de stationnement disponibles dans la ville pour les visiteurs qui se rendent aux concerts.
De fait, Il est facile de stationner à proximité des Arènes, puisque des parkings souterrains sont situés tout autour et dès la Gare Feuchères, située à quelques dizaines de mètres de l’édifice.
Les parkings publics : Il y a plusieurs parkings publics situés à proximité des sites du Festival de Nîmes, tels que le parking des Arènes, le parking du Colisée et le parking de la Maison Carrée. Ces parkings sont généralement payants, avec des tarifs horaires ou quotidiens. Il est recommandé de vérifier les tarifs et les heures d’ouverture à l’avance pour éviter les mauvaises surprises.
Le stationnement dans la rue : Il est possible de trouver des places de stationnement gratuites ou payantes dans les rues autour des sites du festival. Cependant, ces places sont souvent prises rapidement, surtout pendant les périodes de forte affluence.
Le covoiturage : Si vous voyagez avec des amis ou en famille, le covoiturage peut être une option pratique et économique pour se rendre au Festival de Nîmes. Vous pouvez partager les frais de stationnement et diviser le coût de l’essence entre les passagers.
Il est important de noter que la circulation peut être dense pendant les périodes de pointe, donc il est recommandé d’arriver tôt pour éviter les embouteillages et pour avoir suffisamment de temps pour trouver une place de stationnement
Retrouvez toutes les informations sur les parkings sur le site de l’Office du Tourisme de la Ville de Nîmes → https://www.ot-nimes.fr/ (Onglet « Pratique » → « Parkings »). Le + proche étant le parking des Arènes !
Focus sur quelques têtes d’affiche du Festival de Nîmes 2023
Festival de Nîmes 2023
SLIPKNOT:
The End, So Far , à l’origine The End, for Now… , est le septième album studio du groupe mythique de heavy metal américain Slipknot, connu pour son image saisissante (masques et combinaisons), sa musique forte de nu metal et ses performances scéniques incroyables.
The End, So Far est aussi leur dernier album avec Roadrunner. Il était initialement prévu pour une date de sortie printemps/été 2022, mais a finalement été publié le 30 septembre 2022.Slipknot a confirmé que cela serait leur dernier album.
GOJIRA : Tirant son nom de la prononciation japonaise originale de Godzilla, le quatuor de death metal français Gojira est passé de la plus grande obscurité au cours de la première moitié de sa carrière à une reconnaissance mondiale, nommé deux fois aux Grammy Awards en 2017. Leur dernier et 7e album Fortitude est de loin leur meilleur d’après les critiques.
ARTIC MONKEYS : Ce groupe de rock britannique formé en 2002, a conquis le public au niveau international avec ses tubes comme « Fluorescent Adolescent » « Do I wanna Know ». Depuis leur premier album sorti en 2006 « Whatever People Say I Am, That’s What I’m Not », le groupe Artic Monkeys est devenu très populaire pour preuve, il a remporté 7 Brit Awards, a été nommé trois fois aux Grammy Awards. et a remporté le Mercury Prize en 2006 pour leur premier album,.
CHILLY GONZALES : auteur, compositeur interprète, ce musicien de jazz canadien est citoyen français. Artiste atypique, il propose des shows à la fois intimistes et drôles.
Pianiste hors-pair, il compte à son actif de nombreux albums studio, dont Solo Piano III – Gentle Threat en 2018, A very chilly Christmas – Gentle Threat en 2020, ainsi que des musiques « Earworms » comme Gogol, Overnight, Knight Moves, Oregano…
Il a collaboré avec de nombreux artistes tels que Daft Punk, Jane Birkin, Drake, Feist… endossé le rôle d’acteur dans différents films comme Je crois que je t’aime de Pierre Jolivet en 2007, Gainsbourg vie héroïque, de Joann Sfar en 2010… composé les musiques originales de Je crois que je t’aime de Pierre Jolivet, Ivory Tower d’Adam Traynor en 2010 ou encore de An Ordinary Man de Brad Silberling sorti en 2017.
Festival de Nîmes 2023
SIMPLY RED : groupe de pop britannique fondé au début de l’année 1985, Simply Red est un des rares groupes de soul à avoir vendu plus de 60 millions d’albums dans le monde. Son leader Mick Hucknall, chanteur du groupe en est le représentant.
Leurs singles « If you don’t know me by now », « Stars », “Holding back the years” “for your babies” “Something Got Me Started’ sont et resteront de grands tubes.
Malgré l’annonce de Mick Hucknall en 2009 « j’ai décidé que 25 années sont suffisantes, et que 2009 sera la dernière tournée de Simply Red. », le groupe se reforme en 2014 pour preuve leur présence au festival de Nîmes 2023.
SAM SMITH : connu à l’échelle internationale pour ses tubes “I’m not The Only One” et “Stay With Me”, cet auteur interprète britannique fait partie des révélations de la musique pop de ces dernières années. Il reçoit un Brit Awards en 2014, est élu meilleur artiste pop/rock masculin en 2014 aux American Music Awards, est couronné aux Grammy Awards en 2015 (meilleur nouvel artiste, chanson de l’année…) et est honoré par un oscar en 2016 pour la meilleure chanson originale pour « Writing’s On The Wall », le thème du dernier volet de la saga James Blond, « Spectre ».
FAQ sur le Festival de Nîmes 2023
Q1: Quand aura lieu le Festival de Nîmes 2023 ?
R1: Il aura lieu du jeudi 23 juin au dimanche 23 juillet 2023.
Q2: Où se trouve le Festival de Nîmes ?
R2: Il se déroule sur l’Esplanade Charles de Gaulle, au sein des Arènes de Nîmes, situées dans le centre-ville de Nîmes.
Q3: Quel type de musique y sera jouée lors du Festival de Nîmes 2023 ?
R3: Cette manifestation proposera une variété de musiques allant du rock, du métal, au rap et à l’électro.
Q4: Y aura-t-il des boissons disponibles sur place ?
R4: Oui, des boissons alcoolisées et non alcoolisées seront disponibles sur place.
Q5: Sera-t-il possible d’acheter des tickets le jour du concert ?
Oui, des tickets pour chaque jour seront disponibles à l’entrée des arènes.
Q6: Est-ce que les animaux sont autorisés ?
Non, les animaux ne sont pas autorisés à l’intérieur des Arènes.
Q7: Y aura-t-il des toilettes sur place ?
Oui, des toilettes sur place seront disponibles à l’intérieur et à l’extérieur des Arènes
Q8: Y aura-t-il des food trucks ?
Non, il n’y a pas de food trucks mais un point de restauration à l’intérieur des Arènes ainsi que des restaurants tout autour des Arènes qui proposeront une variété de plats à l’intérieur et à l’extérieur du site des Arènes.
Steve Mc Curry photoreporter a eu sa première rétrospective de 40 ans de carrière ; soit plus de 150 photos grand format ; organisée en décembre 2021 au Musée Maillol, à Paris.
Steve Mc Curry est connu à travers le monde pour son portrait de l’adolescente afghane aux yeux verts, Sharbat Gula, nommée « Afghan Girl », pris pendant la guerre d’Afghanistan en 1984.
Cette photographie, en couverture du numéro de juin 1985 du National Geographic Magazine, est devenue iconique. Cette image est d’ailleurs reprise comme couverture de l’ouvrage rétrospectif du National Geographic 100 Best Pictures en 2002.
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Ce photo-reporter de l’agence Magnum est l’un des plus grands photojournalistes du monde.
Marié à Andie, amérindienne Hopi et papa à 72 ans d’une petite Lucia Assella, âgée de 5 ans, Steve Mc Curry continue de parcourir le monde.
Retour sur la vie de Steve Mc Curry en 5 points.
Steve Mc Curry, ses débuts
Steve Mc Curry est né le 24 février 1950 à Philadelphie, dans l’État de Pennsylvanie, aux États-Unis.
Très tôt, Steve Mc Curry rêvait de devenir cinéaste documentaire. C’est pour cela qu’il fit ses études au Collège d’arts et d’architecture de l’université d’État de Pennsylvanie.
Steve Mc Curry obtient un diplôme avec félicitations en 1974.
Steve Mc Curry est d’abord photographe pour le journal de l’Etat de Pennsylvanie puis travaille pendant deux ans pour le Today’s Post King of Prussia, toujours en Pennsylvannie avant de se lancer dans le photojournalisme.
Steve Mc Curry, photoreporter : Je crois que j’ai toujours voulu voir le monde
A 19 ans, Steve Mc Curry décide de voyager en Europe puis en Amérique du Sud puis en Afrique. Dès 1978, il se lance dans le photojournalisme et se lance comme photoreporter en freelance.
« Je crois que j’ai toujours voulu voir le monde, explorer de nouvelles cultures », dit-il.
Steve Mc Curry part en Inde comme photojournaliste pigiste, désireux de découvrir « l’inattendu, le moment du hasard maîtrisé, qui permet de découvrir par accident des choses intéressantes que l’on ne cherchait pas ».
Il se rend au cœur de nombreuses zones de conflits internationaux pour couvrir les événements, rencontrer les populations.
Steve Mc Curry couvre les zones de conflits dont la guerre Iran-Irak, la guerre civile libanaise, le Cambodge, les Philippines, la guerre du Golfe, l’éclatement de l’ex-Yougoslavie et l’Afghanistan, mais il se dit être surtout intéressé par les conséquences de la guerre sur les populations au cœur des conflits.
C’est le conflit entre le Pakistan et l’Afghanistan, qui fait décoller sa carrière lorsque, réussissant avec courage à pénétrer les zones contrôlées par les moudjahiddins (« combattants d’Islam »), juste avant l’invasion soviétique, il ressort clandestinement avec une série d’images incroyable, premières à montrer le conflit.
Son photo-reportage obtient le Prix Robert Capa en 1980.
Steve-Mc-Curry-photographe
The Afghan Girl est l’une de ses photos les plus célèbres. Prise en 1984, elle montre une adolescente de 12 ans, orpheline de guerre, vivant dans un camp de réfugiés au Pakistan, le regard profondément triste. La photo a été prise dans l’école du camp.
Sur son visage se lit la terreur de la guerre, son courage. Ses yeux verts, son regard percutant, sont mis en avant par le foulard rouge qu’elle porte autour de la tête.
«En l’espace de quelques secondes, tout était parfait, la lumière, l’arrière-plan et l’expression de ses yeux.»
En 2002, le magazine National Geographic organise un voyage pour retrouver The Afghan Girl. Sharbar Gula vit toujours dans un camp de réfugiés, a été mariée avant ses 15 ans, a eu plusieurs enfants dont une fille décédée.
En 2016, Sharbat Gula, toujours réfugiée sans papiers, est incarcérée, expulsée puis accueillie de nouveau par les dirigeants afghans. Finalement, elle est évacuée sous le régime taliban en 2021 pour être accueillie en Italie.
Steve Mc Curry se souvient : « Elle s’est souvenue de moi même si je n’étais à l’école que pendant environ 20 minutes. Elle est analphabète et ne parle pas anglais et dans cette culture, les filles ne sont pas censées interagir avec des hommes qui ne sont pas de leur famille. »
Steve Mc Curry
Au travers de ses images puissantes, Steve Mc Curry montre la vie bouleversée des peuples pris au milieu des conflits, leurs émotions prises sur le vif, exprimées sur leurs visages.
« La plupart de mes clichés sont centrés sur l’individu. Je recherche des moments d’abandon, ceux où l’âme devient visible, où l’expérience transparaît sur le visage. »
« Je ne me suis jamais considéré comme un photographe de guerre, bien que mon travail en Afghanistan soit, je pense, l’une des périodes les plus dangereuses de ma vie. »
Steve Mc Curry est membre de l’Agence Magnum depuis 1986.
Steve Mc Curry, le 11 septembre 2001
Le 11 Septembre 2001, malgré l’émotion suscitée par l’effondrement des tours du World Trade Center, à New York, il photographie depuis le toit de son immeuble l’effondrement de la première tour, puis se rend précipitamment sur les lieux et immortalise le chaos indescriptible qui se déroulait sous ses yeux.
« La tristesse était indescriptible. J’avais vu ces bâtiments chaque jour de ma fenêtre. Ils étaient, pour moi, encadrés avec la voûte de Washington Square », et encore : « J’ai essayé de traduire sur la pellicule ce que je ressentais, l’horreur et la perte. C’était totalement un autre niveau du mal. »
Steve Mc Curry et le scandale, 2016
En avril 2016, Steve Mc Curry est accusé de retoucher ses photos ; dont le portrait de l’Afghane aux yeux verts ; modifiant ainsi la réalité, cette vérité, cette objectivité qu’il revendique tant vouloir mettre en avant.
Par ces modifications visuelles, Steve Mc Curry est accusé de remettre en question son respect de l’éthique du photojournalisme sur laquelle Steve Mc Curry a bâti sa carrière.
Face à cette avalanche de critiques et à la preuve incontestable de ses retouches visuelles, le 31 mai 2016, Steve Mc Curry redéfinit son statut, comme photographe artistique et déclare « Je suis un conteur visuel, pas un photojournaliste. »
Steve Mc Curry
L’agence Magnum et le National Geographic retirent également certaines photographies suspectées de manipulation de leurs sites web et le Comité d’éthique du National Press Photographers Association des États-Unis publie un communiqué sévère contre le photographe, le 25 mai 2016.
« Nonobstant le titre que Steve Mc Curry se donne aujourd’hui, il a la responsabilité de respecter les standards éthiques de ses pairs et du public, qui voit en lui un photojournaliste », écrit le comité, qui conclut que « toute altération de la vérité constitue un manquement à l’éthique».
Steve Mc Curry est défendu par ses confrères comme Peter van Agtmael, photographe à l’agence Magnum qui réagit à la polémique en expliquant que « La photographie est une profession incroyablement subjective.
Les mots “vérité” et “objectivité”, très forts, reviennent beaucoup. Je ne crois pas vraiment en ces mots. […] La subjectivité donne lieu donc à des « manipulations » telles que le : Style, choix d’objectif, position, quoi montrer et quoi exclure du cadre, éditer, choix de l’équipement, contraste, séquence. »
Malgré ce scandale, Steve Mc Curry reste l’une des figures les plus emblématiques de la photographie contemporaine depuis plus de cinq décennies. Son travail est récompensé par de nombreux prix et est exposé à travers le monde.
En effet, il a reçu notamment le prix Robert Capa en 1980, celui de « photographe de l’année » en 1984 par l’Association Nationale des Photographes de presse américaine », le concours World Press Photo en 1985, et le prix Olivier Rebbot, un Emmy Award en 2003 , le prix Leica Hall of Fame en 2011, et le grand prix de reconnaissance spécial du jury concours POYI en 2012.
Enfin, Steve Mc Curry est promu Chevalier de l’ordre des Arts et des lettres en 2013. Steve Mc Curry a également publié plus d’une vingtaine d’ouvrages, dont « Enfants du monde » en 2021 aux éditions La Martinière, « A la recherche d’un ailleurs », paru en 2020 aux éditions la Martinière, « Inde », et « Portraits » parus aux éditions Phaidon en 2020 et 2013, ou encore « Une vie en images » paru en 2018 aux éditions La Martinière, « The iconic Photographs » en 2012 chez Phaidon, « Steve Mc Curry Animals » chez Taschen en 2019 et tant d’autres encore…
Steve Mc Curry, ses expositions
2021 : Le Monde de Steve McCurry,du 9 décembre 2021 au 31 juillet 2022, Musée Maillol, Paris, France.
2021 : In Search Of Elsewhere, du 4 mars au 30 avril 2021, Galerie Polka, Paris, France
2019: Le Monde de Steve McCurry, du 6 février 2019 au 26 mai 2019, La Sucrière, Lyon, France
2016: Steve McCurry, du 27 mai 2016 au 30 juin, Galerie Got, Montréal, Québec
2014 : Steve McCurry – Rétrospective, du 27 juin 2014 au 21 septembre 2014, Théâtre de la Photographie et de l’Image, Nice, France.
2008 : Jordan Festival, du 8 juillet 2008 au 9 août 2008, Contemporary Arts Jordan Festival, Jordan Tourism Board, Zara Centre, Jordanie
2008 : Renaître à la vie– Agence Magnum, du 29 décembre 2008 au 30 décembre 2008, Musée de l’Homme, Palais de Chaillot, Paris, France.
2007 : Magnum à l’affiche, Une expo dans la rue, du 5 juillet 2007 au 25 juillet 2007.
2007 : Steve McCurry Photographies, du 1er juillet 2007 au 31 juillet 2007, Galerie Frédéric Got FineArt, Paris, France.
2007 : Exposition de Steve McCurry, du 7 septembre 2007 au 7 octobre 2007,Rennes, France.
2007 : Exposition de Steve McCurry,du 3 mai 2007 au 23 juin 2007, Fahey Klein Gallery, Los Angeles, États-Unis.
2006: Sojourn: Narratives of Asia, du 25 novembre 2006 au 27 janvier 2007, ModenArte. Modena, Italie.
2005: Paris Photo 2005, du 17 novembre 2005 au 20 novembre 2005, Carrousel du Louvre, Paris, France.
BONUS : interview de Steve Mc Curry , 17 octobre 2022 de Hannah Rooke pour Digital Camera World
Steve Mc Curry a passé les 40 dernières années à raconter des histoires à travers des photos – maintenant son histoire est racontée dans The Pursuit of ColorDepuis plus de quarante ans, Steve Mc Curry parcourt le monde en capturant les personnes et les lieux qu’il a visités.
Des camps de réfugiés en Afghanistan aux jungles de l’Ouganda et aux rues de l’Inde, la compassion de Steve Mc Curry y pour ses sujets est inébranlable.
Steve Mc Curry a consacré quatre décennies à raconter les histoires des autres, mais The Pursuit of Color est l’histoire de sa vie extraordinaire – les débuts, les difficultés rencontrées et la façon dont sa carrière a décollé.Dès son plus jeune âge, Steve Mc Curry savait qu’il voulait voyager, mais ne savait pas comment.
Steve Mc Curry a quitté la maison à 19 ans et a entrepris son premier de nombreux voyages en Inde, l’endroit qui a suscité son désir de voir le monde à l’âge de 12 ans. Partant de zéro, Mc Curry a dû trouver son propre chemin et ses propres ressources, mais il était complètement libre.
Steve Mc Curry est un photographe et photojournaliste emblématique depuis plus de cinquante ans.
Steve-Mc-Curry-photographe
Sa photo Afghan Girl a été présentée à plusieurs reprises sur la couverture de National Geographic et il a photographié de nombreuses missions pour la publication.
Steve Mc Curry et est membre de Magnum Photos depuis 1986, et son travail couvre les conflits, les traditions anciennes, la culture et les voyages, tout en conservant toujours l’élément humain.« J’avais l’impression d’avoir tout le temps du monde.
Tout était frais et neuf. C’est très excitant de sortir et de photographier quelque chose pour la première fois. L’un de mes premiers voyages à l’étranger a été au Mexique.
J’ai aimé pouvoir me promener et photographier sans aucun délai, aucune tâche ou aucune pression ; le monde était une toile vierge.
Même ceux qui ne connaissent pas Steve Mc Curry connaîtront le portrait Afghan Girl. La puissante photo du réfugié Sharbat Gula a été prise en 1984 lorsque Steve a été chargé par National Geographic de documenter la crise des réfugiés à la frontière afghane.
Dans The Pursuit of Color, il explique son processus et la signification durable de la photo.« Je pense toujours que c’est une photo importante et nous sommes restés en contact au cours des 20 dernières années. Nous nous parlons toutes les deux semaines et j’ai toujours essayé d’être à ses côtés et de l’aider de toutes les manières possibles.
Elle et sa famille vivent maintenant en Italie à cause des troubles en Afghanistan.Dans The Pursuit of Color et sur Instagram, Steve Mc Curry utilise l’expression « faire une photo » au lieu de « prendre une photo ».
Au sein de la communauté de la photographie, que vous fassiez ou preniez une photo est un débat en cours – un débat que Steve Mc Curry a rencontré pour la première fois lorsqu’il a étudié la cinématographie à l’Université d’État de Pennsylvanie.« Cet argument du faire ou du prendre remonte à 50 ans, je me souviens en avoir parlé au collège en 1972 » se souvient-il.
Il utilise l’exemple d’une personne prenant une photo rapide de la tour Eiffel comme prenant une photo, mais quelqu’un qui regarde la lumière et la composition comme en faisant une. « Un instantané d’un chalet est une représentation pure de la chose que vous photographiez, peut-être que faire référence à une composition plus réfléchie. »
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Alors que les travaux récents de Steve Mc Curry se sont concentrés sur le pouvoir positif de l’humanité dans des séries comme Le pouvoir du jeu et de la lecture, la carrière de Steve Mc Curry a véritablement commencé dans les montagnes du Pakistan et de l’Afghanistan où il a été embauché par les troupes afghanes pour documenter la guerre sur le point de commencer avec la Russie.
Être témoin de la souffrance à ses débuts pendant le temps passé dans les zones de guerre l’a amené à s’intéresser à la condition humaine et aux conséquences de la guerre.« Vous devez juste trouver quelque part en vous et réaliser que le but est de faire la lumière sur une situation et j’espère que les gens seront mieux informés sur le monde dans lequel nous vivons.
Peut-être que cela peut créer un changement positif, alors c’est bien de l’obtenir. là-bas. Chacun s’en occupe à sa manière. »
Bien que la technologie de l’appareil photo ait énormément progressé depuis qu’il a possédé son premier appareil photo, un Miranda, Steve Mc Curry est resté à l’avant-garde : « Je n’ai jamais vraiment raté un battement, passer du film au numérique pour moi était en quelque sorte transparent.
« Les smartphones ont indéniablement rendu la photographie plus accessible et Steve Mc Curry, adepte des nouvelles technologies, est là pour ça.« Pouvoir documenter nos vies, nos amis, nos événements familiaux et nos vacances si facilement, c’est formidable.
Je pense qu’avoir un enregistrement de nos vies est vraiment précieux, je suis un grand fan, j’ai 140 000 photos sur mon téléphone !Steve n’a pas l’intention de ralentir malgré le fait qu’il ait maintenant une jeune fille. Équilibrer le travail dans ce domaine et une famille est difficile, mais Steve a trouvé un moyen de le faire fonctionner. « Nous voyageons tous ensemble, l’année dernière nous sommes allés en Italie, en Espagne, au Portugal et en Islande donc c’est super j’adore voyager avec eux. »
Il est difficile d’imaginer Steve Mc Curry faire autre chose que de la photographie. Voir le monde à travers ses yeux est passionnant, coloré, émotif et parfois stimulant.
The Pursuit of Color explore ses motivations et ses désirs autour des principes de la photographie, mais ce sont les opportunités uniques qui lui sont présentées à travers son travail qu’il apprécie le plus ; « La meilleure partie de mon travail est de pouvoir errer et explorer le monde dans lequel nous vivons, d’aller dans des endroits dont j’ai rêvé et de rencontrer des gens intéressants.
Aussi pour avoir l’opportunité de documenter des cultures en voie de disparition »Une carrière dans la création d’images était inévitable pour Steve Mc Curry, « Pour moi, il a toujours été question d’histoire, et le film est un autre moyen de transmettre une histoire sur un moment et un lieu particuliers ».
L’art de la narration transcende le support qui le porte, et les histoires que Steve Mc Curry fait devant la caméra sont aussi captivantes que son histoire derrière elle.
Eric CANTO Photographe : Photos de concerts, portraits, pochettes d’albums.
Marilyn Manson, de son vrai nom Brian Hugh Warner, est l’un des artistes les plus controversés et fascinants du paysage musical contemporain. Connu pour son style unique mêlant rock industriel, gothique et provocations visuelles, Manson s’est imposé dans les années 1990 comme une figure majeure de la contre-culture.Plus qu’un simple chanteur, il est un personnage à part entière, utilisant son image et ses performances pour choquer, questionner, et souvent, déranger. Cet article explore la carrière de Marilyn Manson, ses portraits emblématiques, et l’impact culturel qu’il a eu sur plusieurs générations de fans et d’artistes.
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1. Les Débuts et la Formation de Marilyn Manson
1.1 Les Origines de Brian Hugh Warner
Né en 1969 à Canton, Ohio, **Brian Warner** grandit dans une famille de classe moyenne. Avant de devenir Marilyn Manson, il est un jeune homme passionné par la musique, le journalisme et les arts visuels. À l’adolescence, il découvre des groupes comme **David Bowie**, **Alice Cooper**, et **Kiss**, des artistes qui n’hésitent pas à associer la musique à des performances théâtrales et provocantes. C’est de là que vient sa fascination pour les identités multiples et la transgression des normes culturelles.
Warner choisit le nom de scène **Marilyn Manson**, en combinant deux figures iconiques et opposées de la culture américaine : l’actrice glamour **Marilyn Monroe** et le criminel tristement célèbre **Charles Manson**. Ce choix de nom symbolise parfaitement la dualité et les contradictions qui définiront sa carrière : la beauté contre la violence, le glamour contre l’horreur.
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1.2 La Création du Groupe Marilyn Manson
En 1989, Brian Warner fonde le groupe **Marilyn Manson & the Spooky Kids**, qui deviendra plus tard simplement **Marilyn Manson**. À cette époque, le groupe commence à se faire un nom sur la scène underground de **Floride**, avec des performances qui allient musique industrielle, metal et un visuel saisissant inspiré par l’esthétique gothique et le cinéma d’horreur.
Le groupe signe rapidement avec le label de **Trent Reznor**, leader du groupe **Nine Inch Nails**, et sort son premier album ** »Portrait of an American Family »** en 1994. Cet album, bien qu’ayant attiré l’attention des critiques, ne rencontre pas immédiatement le succès grand public. Cependant, c’est avec la sortie de leur second album, ** »Antichrist Superstar »** en 1996, que Marilyn Manson atteint la célébrité mondiale.
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1.3 L’Ascension avec « Antichrist Superstar »
En 1996, la sortie de ** »Antichrist Superstar »** marque un tournant décisif dans la carrière de **Marilyn Manson**. Cet album, produit par **Trent Reznor**, est un succès commercial et critique. Il est salué pour sa production soignée, ses paroles provocantes, et sa capacité à repousser les limites de la musique rock. Le personnage de Marilyn Manson devient alors une véritable figure publique, à la fois adulée et détestée.
Provocation et symbolisme : Avec « Antichrist Superstar », Manson se place en opposition directe à la religion, à la culture de masse et aux valeurs traditionnelles américaines. L’album est un concept dans lequel Manson se réinvente en figure messianique, à la fois sauveur et destructeur. Cette dualité, omniprésente dans son œuvre, est également reflétée dans ses visuels et ses performances scéniques, où il combine des éléments gothiques, religieux, et militaristes.
Ce disque controversé lui vaut des critiques acerbes de la part des groupes conservateurs, mais il attire aussi un public de jeunes en quête de rébellion et d’expression de soi. Le personnage de **Marilyn Manson** devient une icône de l’anti-establishment, défiant les normes et se moquant des conventions.
2. Des Portraits Qui Traversent les Décennies
2.1 L’Image de Marilyn Manson : Un Visuel Choc et Inoubliable
Ce qui fait de **Marilyn Manson** une icône intemporelle, c’est sa capacité à manipuler son image. Dès ses débuts, il a compris l’importance du visuel dans la musique et a adopté une esthétique choquante, inspirée par les films d’horreur, l’art surréaliste, et la culture gothique. Il a créé une image immédiatement reconnaissable, avec son maquillage blafard, ses lentilles de contact excentriques, et ses tenues provocantes. Cette construction visuelle était non seulement un moyen d’attirer l’attention, mais aussi une façon de défier les attentes de la société quant à ce que devait être une star du rock.
Avec des photographes de renom comme **David LaChapelle** ou **Perou**, Manson a produit des portraits emblématiques qui sont devenus des références dans la culture populaire. Ses images reflètent une réflexion sur l’identité, le pouvoir et la décadence. Ces portraits sont souvent aussi dérangeants qu’envoûtants, créant un lien indissociable entre son personnage public et son art.
Le pouvoir du visuel : L’un des portraits les plus célèbres de **Marilyn Manson** est celui réalisé par **David LaChapelle** pour la promotion de l’album ** »Mechanical Animals »** (1998). Dans cette photo, Manson apparaît sous les traits d’une créature androgyne, à mi-chemin entre l’humain et le robot. La peau blanche, le corps longiligne et lisse, les cheveux orange, tout dans cette image rappelle la fascination de Manson pour la transformation et le dépassement des normes.
Ce portrait, plus qu’une simple image de promotion, est devenu une icône culturelle, symbolisant à la fois la rupture avec les codes traditionnels de genre et l’obsession de la société pour la perfection artificielle.
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2.2 Une Métamorphose Continue à Travers les Albums
Tout au long de sa carrière, **Marilyn Manson** a utilisé son apparence pour incarner différents personnages, chaque album étant l’occasion d’une nouvelle métamorphose. Il n’a jamais eu peur d’explorer des thèmes sombres et dérangeants à travers son apparence, que ce soit en tant qu’anti-héros, créature futuriste, ou figure quasi religieuse. Ce processus de transformation perpétuelle fait de lui un caméléon du rock, un artiste capable de réinventer son image tout en restant fidèle à son univers visuel et conceptuel.
Antichrist Superstar : Dans la période ** »Antichrist Superstar »**, Manson adopte un look inspiré par l’imagerie religieuse et militaire. Ses performances scéniques sont marquées par des références au fascisme, à la religion, et à la politique, créant une atmosphère de provocation constante. Ses portraits durant cette période sont souvent sombres et brutaux, reflétant l’hostilité de l’album et de son message.
Mechanical Animals : Pour la sortie de ** »Mechanical Animals »** en 1998, Manson choisit une approche radicalement différente. Le personnage qu’il incarne dans cet album est une créature androgyne et extraterrestre, un être à la fois vulnérable et dangereux. Les photos de cette époque, notamment celles de **David LaChapelle**, sont saturées de couleurs vives et d’effets surréalistes. Ce changement de ton est non seulement visuel, mais aussi musical, l’album étant plus influencé par le glam rock et moins sombre que ses précédents travaux.
Born Villain : Au début des années 2010, avec la sortie de l’album ** »Born Villain »**, Manson revient à une esthétique plus brute et plus minimaliste. Les portraits de cette époque montrent un homme vieillissant, mais toujours aussi provocateur, avec un look plus dépouillé et une énergie brute. Ce retour à une forme plus simple de provocation montre que Manson, même après deux décennies de carrière, est toujours capable de se réinventer tout en conservant l’essence de son personnage transgressif.
2.3 Un Héritage Visuel et Culturel Durable
Les portraits de **Marilyn Manson** ont laissé une marque indélébile sur la culture populaire. Ils sont devenus des symboles de la rébellion, du rejet des normes et de la provocation. Que ce soit à travers ses visuels choquants ou son image de caméléon, Manson a influencé des générations d’artistes, de musiciens et de créateurs de mode.
Sa capacité à manipuler son image et à incarner des personnages extrêmes fait de lui un modèle pour ceux qui cherchent à repousser les limites de l’expression artistique.
En utilisant son apparence comme un moyen de communication, Manson a compris le pouvoir du visuel dans la musique. Ses portraits sont des œuvres d’art à part entière, créant une esthétique qui a redéfini le look du rock industriel et gothique. Aujourd’hui encore, ses images continuent d’influencer les jeunes artistes et les photographes, qui voient en lui un pionnier de l’auto-représentation et de la transgression visuelle.
Au-delà de la musique, Manson est également une figure culturelle qui a marqué le cinéma, la mode, et l’art contemporain. Son influence s’étend bien au-delà des frontières de la scène musicale, faisant de lui une icône intemporelle de la contre-culture moderne.
FAQ
Quel est le vrai nom de Marilyn Manson ?Le véritable nom de **Marilyn Manson** est **Brian Hugh Warner**. Né le 5 janvier 1969 à Canton, dans l’Ohio, Warner a adopté le pseudonyme de **Marilyn Manson** dans le cadre de son projet artistique pour incarner un personnage complexe, à la fois séducteur et perturbant. En combinant deux figures emblématiques de la culture américaine, il a cherché à créer un contraste entre le glamour et la violence, incarné par **Marilyn Monroe** et **Charles Manson**.
Pourquoi a-t-il choisi le nom « Marilyn Manson » ?Le nom **Marilyn Manson** est un mélange de deux icônes contrastées de la culture américaine : l’actrice glamour **Marilyn Monroe** et le criminel notoire **Charles Manson**. Manson a expliqué qu’il souhaitait symboliser les deux forces contradictoires qui coexistent dans la société américaine : la fascination pour la célébrité et la beauté, incarnée par Monroe, et l’obsession pour la violence et la criminalité, incarnée par Charles Manson. Ce choix de nom reflète également sa volonté de remettre en question les normes culturelles et de susciter une réflexion sur la dualité entre bien et mal.
Quels sont les albums les plus célèbres de Marilyn Manson ?Parmi les albums les plus célèbres de **Marilyn Manson**, on trouve :
« Antichrist Superstar » (1996) : Cet album a propulsé Marilyn Manson au rang de superstar et a été un succès majeur à la fois commercial et critique. Avec des thèmes sataniques et des critiques virulentes contre la société américaine, il a choqué les médias et les groupes conservateurs.
« Mechanical Animals » (1998) : Cet album marque un tournant dans la carrière de Manson, avec une influence plus marquée du glam rock et une esthétique futuriste. Il aborde des thèmes comme l’aliénation et l’obsession pour la célébrité, et est souvent considéré comme l’un de ses albums les plus artistiques.
« The Golden Age of Grotesque » (2003) : Inspiré par l’expressionnisme allemand et l’esthétique des cabarets des années 1920, cet album explore des thèmes comme la décadence et le grotesque. Il a reçu des critiques mitigées, mais reste un album clé dans l’évolution artistique de Manson.
« The Pale Emperor » (2015) : Cet album a été salué comme un retour en forme pour Manson, avec une influence blues et une production plus épurée. Il aborde des thèmes sombres comme la mort et le désespoir, tout en étant plus accessible que certains de ses travaux précédents.
Ces albums, parmi d’autres, ont marqué l’évolution artistique de **Marilyn Manson** et son influence durable sur la scène rock et metal.
Qui a influencé l’esthétique visuelle de Marilyn Manson ?**Marilyn Manson** a été influencé par un éventail varié d’artistes et de mouvements culturels qui ont façonné son esthétique visuelle unique. Parmi les influences notables, on trouve :
David Bowie : Comme Bowie, Manson a exploré l’androgynie, la transformation physique et l’art de la performance. Son personnage de **Ziggy Stardust** a particulièrement marqué Manson dans sa recherche d’une identité multiple.
Alice Cooper : Alice Cooper est souvent considéré comme l’un des pionniers du shock rock, un style que **Marilyn Manson** a ensuite embrassé et radicalisé. Les performances scéniques théâtrales de Cooper, avec des thèmes de mort et d’horreur, ont inspiré Manson dans ses propres concerts provocateurs.
David Lynch : Le réalisateur de films comme ** »Blue Velvet »** et ** »Twin Peaks »** a influencé l’esthétique cinématographique et psychologique de Manson. Lynch est connu pour ses œuvres mêlant le surréalisme, l’angoisse et le grotesque, des éléments que Manson a intégrés dans sa musique et ses clips vidéo.
Les films d’horreur classiques : **Marilyn Manson** a toujours été fasciné par l’horreur, qu’il s’agisse des films de monstres classiques comme ** »Frankenstein »**, ou des films plus modernes comme ** »L’Exorciste »**. Cette fascination pour le macabre est omniprésente dans son œuvre visuelle et musicale.
Andy Warhol et le mouvement Pop Art : L’idée de l’art comme une réflexion sur la célébrité et la culture de masse a également influencé Manson, qui utilise son image publique pour questionner et parodier la société de consommation.
Ces influences variées se retrouvent dans les visuels marquants de **Marilyn Manson**, qu’il s’agisse de ses clips, de ses performances scéniques, ou de ses séances photo avec des photographes de renom comme **David LaChapelle**.
Marilyn Manson est-il toujours actif dans la musique ?Oui, **Marilyn Manson** est toujours actif dans la musique. Bien qu’il ait traversé des périodes de controverses et de changements personnels, il continue de produire des albums et de tourner à travers le monde. Son dernier album en date, ** »We Are Chaos »**, est sorti en 2020. Cet album a reçu des critiques globalement positives, saluant le retour à une forme plus introspective et émotionnelle pour Manson.En plus de sa carrière musicale, Manson a également exploré d’autres domaines artistiques, comme le cinéma, la télévision et la peinture. Il a notamment joué dans plusieurs films et séries télévisées, ajoutant à son image de caméléon artistique capable de transcender les genres.Malgré les défis auxquels il a été confronté au fil des ans, **Marilyn Manson** reste une figure emblématique et influente du rock industriel et de la culture pop.
Sarah Moon est une photographe française connue pour son travail dans le domaine de la mode, de la publicité et de la photographie artistique. Elle est née le 21 février 1941 à Vichy, en France.
Avant de devenir photographe, Sarah Moon a été mannequin pendant plusieurs années. Elle a commencé à travailler comme photographe dans les années 1970 et a rapidement acquis une réputation pour ses images évocatrices, poétiques et souvent oniriques.
Son style distinctif est caractérisé par des images floues, des couleurs délavées et une esthétique sombre et romantique. Elle a travaillé pour de nombreux clients de renom, notamment Chanel, Dior, Comme des Garçons, Cacharel, Vogue, et The New Yorker.
En plus de la photographie de mode et de publicité, Sarah Moon a également travaillé dans la photographie artistique et a exposé ses œuvres dans des galeries et des musées du monde entier. Elle a également réalisé plusieurs films, notamment un court-métrage intitulé « La Neige en deuil » en 1999.
Aujourd’hui, Sarah Moon est considérée comme l’une des photographes les plus influentes de sa génération, avec une carrière qui s’étend sur plusieurs décennies et qui continue à inspirer les photographes du monde entier.
En novembre 2022, La Maison Dior publie un ouvrage d’exception « Dior par Sarah Moon » regroupant 120 photographies en noir et blanc de la célèbre photographe Sarah Moon .
Dior par Sarah Moon, éditions Delpire & co, disponible le 3 novembre 2022, 120€
Les créations de Sarah Moon suscitent encore étonnement et fascination. Retour sur la vie de cette photographe française de mode incontournable.
Qui est Sarah Moon photographe?
Sarah Moon, est née Marielle Sarah Warin le 17novembre1941 à Vernon dans l’Eure. Mannequin jusqu’en 1966 puis photographe de mode et réalisatrice française, Sarah Moon est aujourd’hui encore, toujours reconnue comme une grande artiste.
Née dans une famille juive contrainte de quitter la France sous le régime de Vichy pendant l’occupation allemande, Sarah Moon passe une partie de son enfance en Angleterre ou elle y étudie le dessin. Au début des années 60, elle exerce la profession de mannequin sous le nom de Marielle Hadengue, puis se tourne vers la photographie de mode après avoir été publiée dans l’Express en 1967, à l’âge de 26 ans.
Photographe de mode autodidacte, inspirée par l’œuvre de Guy Bourdin, Sarah Moon conçoit pour la marque Cacharel ses premières campagnes de mode, univers qui, à cette époque était encore dominé par les hommes.
Son approche artistique lui permettra rapidement d’être reconnue au niveau international comme photographe de mode. Influencée par le pictorialisme, Sarah Moon photographe de mode, façonnera ses photos aux références littéraires (telles que les contes pour enfants) et cinématographiques (cinéma expressionniste allemand et celui des années 30), en montrant les femmes sous un angle particulier, dans un temps suspendu, nouant une réelle complicité avec ses modèles.
Pendant quinze années, Sarah Moon photographe, travaillera pour des marques de haute couture prestigieuses telles de Cacharel, Chanel et Dior et sera publiée dans des magazines internationaux tels que Harper’s Bazaar,Vogue et Elle. Elle reste la première femme à avoir photographié le calendrier Pirelli (1972).
« J’ai eu la chance d’être au bon endroit au bon moment. Mes photographies étaient différentes des autres. Les mannequins étaient mes copines, avec elles j’étais dans la complicité et non dans la séduction. » Sarah Moon.
Sarah Moon
“Mon statut de femme mannequin m’a aidée à être un artisan dans la photo de mode” Sarah Moon.
Sarah Moon photographe, le tournant de sa carrière
C’est au début des années 1980, que Sarah Moon débute une pratique plus personnelle, introspective et artistique. Présentés en 1983 au Centre Photographique International de New-York, ses travaux lui valent en 1984 le prix Clio. Elle sera exposée aux Rencontres d’Arles en 1980, 1981, 1994, 2005 et 2006. Ses clichés font le tour des salles d’expositions à travers le monde ; de Paris (Jeu de Paume, Maison Européenne de la Photographie, Muséum national d’histoire naturelle…), à San Francisco, en passant par Tokyo, Londres ou encore Moscou.
Tout en continuant d’honorer des commandes pour les maisons de haute couture, Sarah Moon photographe, fait de Paris son décor et adopte le Polaroïd noir et blanc avec négatif comme support de son expression.
Elle se lance également dans la réalisation de films publicitaires ; pour lesquels elle sera récompensée par un Lion D’Or à Cannes en 1979, 1986 ,1987 et 1989 ; mais également dans la réalisation de films dès 1990 avec « Mississipi One » «Circuss » en 2002, « l’Effraie » en 2004 , « Le Fil rouge » en 2005, « La Sirène d’Auderville » en 2007, « Le Petit Chaperon Noir » en 2010 ou encore « 5H-5 » en 2013.
Sarah Moon photographe
Sarah Moon photographe, ses inspirations
Inspirée par les contes de Lewis Caroll, le cinéma et la fiction, Sarah Moon photographe rend son univers particulièrement chargé en émotions et accorde une grande importance à la mise en scène, ce qui ancre son travail photographique dans une dimension intemporelle.
Elle aime évoquer dans ses travaux les thèmes de la solitude, de l’enfance, de la féminité, de l’imaginaire, de la mort et apporte une perception différente du sujet selon qu’il soit traité en noir et blanc ou en couleur. De plus, elle met souvent en scène des enfants, des animaux, des usines délabrées, toujours en référence à ses racines européennes, une gare froide à Saint Petersbourg, un chantier à Berlin ou encore un paysage Italien aux allures de cimetière.
Le conte, en référence aux thèmes de l’enfance et de l’imaginaire, est souvent pris comme sujet. Elle réalise notamment une série d’illustrations du conte du Petit Chaperon rouge, en 1983, ; ouvrage lauréat du prestigieux Premio Grafico Fiera di Bologna per la Gioventù, de la Foire du livre de jeunesse de Bologne (Italie) en 1984 ; et son film La Sirène d’Auderville (2007) révèle également son intérêt pour les contes d’Andersen.
«Je ne témoigne de rien. Je n’affirme rien. En ce sens, mes photos ne sont pas engagées. Par contre, je me sens totalement impliquée dans la vision fictionnelle que je propose – et qui en fait n’est qu’un écho entre le monde et moi. » Sarah Moon.
Ses clichés sont volontairement flous, tâchés, grattés, marqués par des dégradations « accidentellement minutieuses », évoquant le temps, la douleur, la contrainte, la décomposition, la mise en abîme en filigrane de la photographie, ancrant ainsi les tirages dans la fiction, hors du réel et du temps.
Son esthétique photographique fait également référence à l’esthétisme des années 30 puisque ce dernier s’enrichit d’une grande diversité de matières, de corsets, griffures, ainsi que la présence de personnages amputés, sûrement un lien inconscient avec la guerre qui a marqué son enfance.
C’est à Kyoto en 2002, qu’une exposition est présentée au musée d’Art Contemporain, rendant hommage à cette œuvre alliant grâce et violence, dans un style sombre et raffiné.
Sarah Moon, ses clichés les plus célèbres
Sarah Moon a créé de nombreuses photographies remarquables tout au long de sa carrière, mais il n’y a pas de consensus sur la photo la plus célèbre de son travail. Voici quelques-unes de ses images les plus connues :
« Monnaie de Paris », une série de photographies en noir et blanc qu’elle a réalisées pour l’ouverture de la Monnaie de Paris en 2014.
« Les Filles d’Arles », une série de portraits de jeunes femmes qu’elle a photographiées dans la ville d’Arles en France en 2001.
« Mermaid », une image sombre et mystérieuse d’une femme dans l’eau, prise en 1995.
« Untitled (Feathers) », une photographie de mode en couleur mettant en vedette un modèle portant une robe en plumes, prise dans les années 1990.
« Lips », une image en noir et blanc d’une bouche féminine en gros plan, prise en 1994.
Ces images sont toutes emblématiques du style de Sarah Moon, avec leur utilisation distinctive de la couleur ou du noir et blanc, leur ambiance poétique et onirique, et leur évocation d’un univers féminin complexe et énigmatique.
Sarah Moon, ses consécrations et ses récompenses
Les travaux et nombreuses publications de Sarah Moon lui valent de nombreuses récompenses. Sa toute première date de 1972 ou elle reçoit le D&DA d’or et d’argent à New York, États-Unis.
En 1995 Sarah Moon reçoit le prestigieux Grand prix de la photographie de Paris.
En plus du Lion d’Or pour ses films publicitaires reçu en 1979, 1986, 1987 et 1989 à Cannes, et du Clio Award en 1984 (New York, États-Unis), elle recevra en 1985 le Prix de la photographie appliquée (ICP, New-York), le prix du film de femme, long métrage en 1991 pour « Mississipi one », le FIPA d’or en 1994 pour « Contacts » (Cannes), le prix Martell à Shanghai en 2005, le prix Lucie Award en 2006 (New-York, Etats-Unis), le prix du public en 2007 (Moscou, Russie), le prix culturel de la Société allemande de photographie, à Berlin en 2007, et le prix Nadar en 2008 pour « 1,2,3,4,5″ en France.
Elle est nommée Commandeur de l’ordre des Arts et des Lettres en 2009.
Sarah Moon, sa vie de famille
Sarah Moon est une personne très discrète sur sa vie privée et familiale, et peu d’informations sont disponibles sur sa vie de famille. Cependant, on sait qu’elle a été mariée au photographe Robert Delpire, qui a également été son éditeur pour plusieurs livres de photographies.
Sarah Moon et Robert Delpire ont travaillé ensemble sur de nombreux projets, notamment sur la publication de plusieurs livres de photographies. Ils ont eu deux enfants ensemble, une fille nommée Melissa et un fils nommé Victor.
Melissa Delpire a également travaillé dans le domaine de la photographie, en tant qu’éditrice et commissaire d’exposition. Elle a travaillé avec sa mère sur plusieurs projets, notamment l’exposition « From One Season to Another » au Musée d’Art Moderne de la Ville de Paris en 2011.
Bien que la vie privée de Sarah Moon soit peu connue, elle a toujours mis en avant le rôle important que sa famille a joué dans sa vie et sa carrière, en particulier son mari Robert Delpire. Elle a également déclaré dans des interviews que sa relation avec ses enfants a été une source d’inspiration pour son travail.
Eric CANTO Photographe : Photos de concerts, portraits, pochettes d’albums.
Sarah Moon: The transcendence of fashion – BRITISH JOURNAL OF PHOTOGRAPHY
« Je pars de rien, j’invente une histoire qui n’est pas racontée, j’imagine une situation qui n’existe pas »
« Pour moi, la photographie est une pure fiction – je ne crois pas faire une déclaration définie. Au lieu de cela, j’exprime quelque chose, un écho du monde peut-être », a déclaré Sarah Moon, dans une interview avec The Independent en 2008.
Née en 1941 à Vernon, en France, Moon, anciennement connue sous le nom de Marielle Warin, est devenue célèbre dans les années 1970 pour son approche unique et insaisissable de la photographie de mode.
En 1972, elle est devenue la première femme à photographier le calendrier Pirelli et, tout au long des années 70, elle a travaillé sur des commandes pour Chanel, Dior, Vogue, etc. Connue pour ses images douces, oniriques et graphiques axées sur la composition et la forme, le style inhabituel de Moon lui a valu le respect au sein de l’industrie. Mais, à partir de 1985, Moon s’est tournée vers un travail personnel, qui comprend des courts métrages basés sur la fantaisie et les contes de fées.
Maintenant, une exposition des images de Moon est présentée à la Peter Fetterman Gallery de Santa Monica, en Californie. Il couvre plus de trois décennies de sa photographie, du travail commercial au travail personnel, explorant son utilisation dynamique de la forme et de la composition, et sa capacité à déplacer un spectateur sans avoir besoin d’établir un contact visuel.
Dans une citation fournie par la galerie, Moon dit de son processus : « Je pars de rien, j’invente une histoire qui n’est pas racontée, j’imagine une situation qui n’existe pas, j’efface un espace pour en inventer un autre, je décale la lumière, je rends irréel et puis j’essaie. Je fais attention à ce à quoi je ne m’attendais pas. J’attends de voir ce dont je ne me souviens pas. Je défais ce que j’ai assemblé, j’espère avoir de la chance, mais plus que tout, j’aspire à être touché pendant que je tire.
Sarah Moon: The transcendence of fashion sera exposée à la Peter Fetterman Gallery du 07 juin au 06 septembre 2019
Sarah Moon: FAQ
Question 1: Qui est Sarah Moon ?
Sarah Moon est une artiste française née en 1941, connue pour son travail en tant que photographe, réalisatrice et artiste visuelle.
Question 2: Quel est le style artistique de Sarah Moon ?
Le travail de Sarah Moon est souvent caractérisé par son esthétique onirique et poétique, ainsi que par l’utilisation de la lumière, de la couleur et de la texture pour créer des images émotionnelles et évocatrices.
Question 3: Quels sont les sujets de prédilection de Sarah Moon ?
Les sujets de prédilection de Sarah Moon sont souvent les femmes, les enfants et les paysages, et elle est particulièrement connue pour ses portraits et ses nus.
Question 4: Comment Sarah Moon a-t-elle commencé sa carrière artistique ?
Sarah Moon a commencé sa carrière en tant que mannequin dans les années 1960 avant de devenir photographe de mode pour des magazines tels que Vogue, Marie Claire et Elle. Elle a ensuite poursuivi sa carrière en tant qu’artiste indépendante, travaillant dans la photographie, la vidéo et la réalisation.
Question 5: Quelles sont les expositions les plus célèbres de Sarah Moon ?
Sarah Moon a exposé dans de nombreuses galeries et musées à travers le monde, notamment au Musée d’Art Moderne de Paris, au Victoria and Albert Museum de Londres, au International Center of Photography de New York, et au Stedelijk Museum d’Amsterdam.
Question 6: Quels sont les livres les plus connus de Sarah Moon ?
Sarah Moon a publié de nombreux livres de photographies, dont « Improbable Memories » (1980), « Little Red Riding Hood » (1996), et « Now and Then » (2010).
Question 7: Quels sont les prix et distinctions que Sarah Moon a remportés au cours de sa carrière ?
Sarah Moon a remporté de nombreux prix et distinctions pour son travail, notamment le Prix Nadar en 1981, le Grand Prix National de la Photographie en 1995, et le Prix de la Photographie de l’Académie des Beaux-Arts en 2018.
Question 8: Où peut-on trouver des œuvres de Sarah Moon ?
Les œuvres de Sarah Moon sont présentes dans de nombreuses collections publiques et privées à travers le monde, notamment au Musée d’Art Moderne de Paris, au Victoria and Albert Museum de Londres, au International Center of Photography de New York, et au Musée d’Art Moderne de la Ville de Paris.
Question 9 : Quels sont les techniques de photographie que Sarah Moon utilise pour créer son style unique ?
Sarah Moon utilise une variété de techniques de photographie, y compris des pellicules et des appareils photo expérimentaux, ainsi que des effets tels que la surexposition et le flou pour créer une esthétique douce et atmosphérique.
Question 10 : Comment Sarah Moon a-t-elle évolué en tant qu’artiste au fil du temps ?
Au fil des ans, le travail de Sarah Moon est devenu de plus en plus abstrait et conceptuel, explorant des thèmes tels que la mémoire, l’identité et la perception.
Question 11: Quelles sont les influences artistiques de Sarah Moon ?
Sarah Moon a été influencée par des artistes tels que Man Ray, Edward Steichen et Diane Arbus, ainsi que par des mouvements artistiques tels que le surréalisme et la Nouvelle Vague.
Question 12 : Quel est le lien entre la photographie de mode et l’art dans le travail de Sarah Moon ?
Bien que Sarah Moon soit surtout connue pour son travail en tant que photographe de mode, elle a également utilisé cette plateforme pour explorer des thèmes plus larges et pour créer des images qui sont à la fois belles et évocatrices.
Question 13 : Comment les critiques ont-ils réagi au travail de Sarah Moon ?
Les critiques ont souvent salué le travail de Sarah Moon pour son esthétique poétique et émouvante, ainsi que pour sa capacité à transformer des sujets ordinaires en images extraordinaires
KISS est un groupe de rock américain formé en 1973 à New York. Le groupe est composé de Paul Stanley, Gene Simmons, Eric Singer et Tommy Thayer. Le groupe a été fondé par Paul Stanley et Gene Simmons, qui sont les seuls membres constants depuis sa création.
KISS est connu pour son style de hard rock, ainsi que pour son spectacle de scène extravagant, qui inclut des costumes de scène, du maquillage, des feux d’artifice et des effets pyrotechniques. Le groupe a également été un pionnier dans la commercialisation de la musique, en utilisant des produits dérivés tels que des jouets, des vêtements, et des comics pour renforcer la marque KISS.
KISS a sorti plusieurs albums qui ont été des succès commerciaux, tels que Alive!, Destroyer, Rock and Roll Over, et Love Gun. Le groupe a également remporté des prix tels que le Hollywood Walk of Fame en 2014, et a été introduit au Rock and Roll Hall of Fame en 2014.
KISS
En résumé, KISS est un groupe de rock américain connu pour son style de hard rock, pour ses spectacles de scène extravagants et pour sa capacité à commercialiser sa musique à travers des produits dérivés. Le groupe a été fondé en 1973 et est encore actif aujourd’hui.
Vêtu de costumes et de maquillages outrageusement flamboyants, le groupe a conçu un spectacle captivant sur scène avec de la glace, des fumigènes, un éclairage élaboré, des crachats de sang et des crachats de feu qui ont capturé l’imagination de milliers d’enfants.
Kiss est le fruit de Gene Simmons (basse, chant) et Paul Stanley (guitare rythmique, chant), anciens membres du groupe de hard rock new-yorkais Wicked Lester. Le duo a fait venir le batteur Peter Criss à travers une publicité dans Rolling Stone, tandis que le guitariste Ace Frehley a répondu à une publicité dans The Village Voice.
Même lors de leur premier concert à Manhattan en 1973, l’approche du groupe était théâtrale et le producteur de Flipside Bill Aucoin a proposé au groupe un contrat après le concert.
Deux semaines plus tard, le groupe a été signé sur le nouveau label de Neil Bogart, Casablanca. Le groupe sortit son premier album éponyme en février 1974; culminant au numéro 87 sur les charts américains.
En avril 1975, le groupe a sorti trois albums et a constamment tourné en Amérique, créant une base de fans considérable.
Tiré de ces nombreux concerts, Alive! (sorti à l’automne 1975) a fait du groupe des superstars du rock & roll; il a grimpé dans le Top Ten et son single, « Rock ‘N’ Roll All Nite », a atteint le numéro 12.
KISS Destroyer
Destroyer sorti en mars 1976 est devenu le premier album de platine du groupe; il a également présenté leur premier single Top Ten, la ballade de puissance de Peter Criss « Beth ».
La Kiss mania battait son plein; des milliers de déclinaisons sont arrivées sur le marché (flippers, du maquillage, des masques et des jeux de société), et le groupe a publié deux bandes dessinées par Marvel ainsi qu’un téléfilm d’action : Kiss Meet the Phantom of the Park.
Le groupe n’a jamais été vu en public sans maquillage, leur popularité augmentait à pas de géant; la Kiss Army, le fan club du groupe, comptait des millions de fans.
Cependant, une telle popularité a ses limites et le groupe l’atteignit en 1978, lorsque les quatre membres sortirent des albums solos le même jour. Le disque de Simmons a été le plus réussi, atteignant le numéro 22 des charts, mais ils ont tous fait partie du Top 50.
L’album Dynasty
Dynasty, sorti en 1979, a poursuivi cette série d’albums de platine, mais ce fut leur dernier disque avec la programmation originale – – Criss part en 1980.
L’album Unmasked
Sorti à l’été 1980, a été enregistré avec le batteur de session Anton Fig ; Le véritable remplaçant de Criss , Eric Carr, a rejoint le groupe à temps pour leur tournée mondiale en 1980.
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Unmasked est le premier disque depuis Destroyer à ne pas être passé disque de platine. Music from the Elder en 1981, leur premier album enregistré avec Carr, n’est même pas passé disque d’or – il n’a pas dépassé le numéro 75 des charts.
Ace Frehley a quitté le groupe après sa sortie; il a été remplacé par Vinnie Vincent en 1982. Le premier album de Vincent avec le groupe, 1982’s Creatures of the Night , l’album s’est mieux comporté que Music from the Elder, mais il n’a pas pu dépasser le 45e rang des charts.
Lick It Up et Animalize (Kiss band )
Sentant qu’il était temps de changer, le groupe se dispensa de se maquiller pour Lick It Up de 1983 . La publicité a fonctionné, car l’album est devenu leur premier disque de platine en quatre ans.
Animalize, sorti l’année suivante, a tout aussi réussi et le groupe a essentiellement repris son créneau. Vincent est parti après Animalize et a été remplacé par Mark St. John, bien que St. John soit rapidement tombé malade du syndrome de Reiter et ait quitté le groupe.
Bruce Kulick est devenu le nouveau guitariste principal de Kiss en 1984. Pendant le reste de la décennie, Kiss a enregistré une série d’albums à succès, culminant avec la ballade à succès du début de 1990 « Forever », qui était leur plus gros single depuis « Beth ».
Le groupe devait enregistrer un nouvel album avec leur ancien producteur, Bob Ezrin , en 1990 quand Eric Carr est tombé gravement malade d’un cancer; il meurt en novembre 1991 à l’âge de 41 ans.
Kiss le remplace par Eric Singer et enregistre Revenge (1992), leur premier album depuis 1989; c’est un hit dans le Top 10 et il devient disque d’or. le groupe l’a suivi avec la sortie d’ Alive III l’année suivante; un disque live qui n’est pas à la hauteur de leurs deux précédents disques live.
KISS Psycho Cirque (Kiss band )
En 1996, la programmation originale de Kiss – avec Simmons , Stanley , Frehley et Criss – s’est réunie pour effectuer une tournée internationale, avec leur maquillage et leurs effets spéciaux. La tournée a été l’une des plus réussies de 1996 et, en 1998, le groupe réuni a publié Psycho Circus .
Alors que la tournée qui a suivi pour soutenir Psycho Circus a été un succès, les ventes de l’album de réunion de Kiss n’ont pas été aussi stellaires que prévu. Réminiscence de la période floue du groupe à la fin des années 70, quelques morceaux sur Psycho Circus.
Les quatre membres jouaient ensemble (la plupart des morceaux étaient complétés par des musiciens de session), car le groupe semblait plus intéressé à inonder le marché de merchandising au lieu de faire de la musique sa priorité.
Alors que les rumeurs coururent selon lesquelles la tournée Psycho Circus serait la dernière, le quatuor a annoncé au printemps 2000 qu’il lancerait une tournée d’adieu aux États-Unis pour l’été, qui est devenue l’un des meilleurs concerts de l’année.
Mais à la veille d’une tournée japonaise et australienne au début de 2001, Peter Criss a soudainement quitté le groupe une fois de plus, soi-disant mécontent de son salaire.
A la fin de 2001, le groupe a continué à faire le tour du monde sans nouvel album en magasin, mais en 2008, ils sont retournés au studio, ont réenregistré leurs succès et ont sorti Jigoku-Retsuden alias KISSology ou Kiss Klassics (la sortie était initialement exclusive au Japon).
Au printemps 2009, le groupe a commencé à enregistrer son premier album studio en 11 ans, et a publié les résultats en octobre sous le titre Sonic Boom . Produit par Paul Stanley et Greg Collins , l’album a été exclusivement distribué en Amérique du Nord par Wal-Mart.
En 2014, après 15 ans d’éligibilité, le groupe a été intronisé au Rock & Roll Hall of Fame. L’année suivante, ils sortirent un single collaboratif avec le groupe d’idols japonais Momoiro Clover Z. En 2017, Kissworld , un best-of, a été publié pour coïncider avec une tournée mondiale massive du même nom.
KISS – Festival de Nîmes 2022 : Grandeur, déculotté et pain de mie.
Tu vois, mon ami, le monde se divise en deux catégories, ceux qui ont un pistolet chargé et ceux qui creusent. Musicalement, c’est la même. Le monde se divise en deux catégories. Ceux qui adulent Kiss et ceux qui ne comprennent pas le délire. Moi, je creuse.
Globalement, il est de bon ton de dénigrer KISS. Tout ce carnaval, le maquillage, les feux d’artifice, le merchandising et l’approche mercantile. Alors, bien sûr, il y a les afficionados, les fans, transits d’émotion à la vue d’un goodies KISS, arborant une collection de tee-shirts, ils ont le livre KISS, les chaussettes KISS, le bol KISS. On est en droit de se demander ce qu’ils viennent encore chercher auprès d’un groupe dont le moyenne d’âge est de 70 ans.
Alors oui, le groupe a 50 ans, il a vendu 150 millions d’albums 30 disques d’or, 10 disques multi-platine, et alors ? La période est-elle au respect du travail accompli ? N’est-elle pas à l’avis tranché du pinpin s’autoproclamant spécialiste sur les réseaux sociaux ? C’est la beauté de notre période, tu peux, sans n’avoir jamais mangé autre chose que du pain de mie, monter une chaine youtube de critique gastronomique et abreuver le monde de tes avis creux sur le sujet, du haut sur ton inexpérience crasse.
Mais revenons à KISS et à cette expérience live. Les arènes de Nîmes accueillaient cet été, la dernière date Française du groupe qui prend sa retraite et fait un dernier « End of the road world tour ». J’aurais dû me douter qu’elle serait folle cette soirée, j’avais croisé en arrivant, à côté des arènes, un des plus grands photographes, Ross Halfin, photographe de : AC/DC, Led Zeppelin, Metallica, Van Halen, Gun’s & Roses, Foo Figthters, Aérosmith, etc. Quand tu échanges avec ce type de pointure, tu te dis que même si la soirée est affreuse, tu n’as pas perdu ton temps.
Passons sur une première partie anecdotique et n’y allons par quatre chemins, ce fût magnifique. Depuis 50 ans, Kiss a le même rituel, avant chaque concert, une phrase retentit dans la salle avant le lever de rideau: « You want the best. You got the best. The hottest band in the World : KISS ». Je dois l’avouer, un petit frisson parcourt l’échine de celui qui entend la foule hurler de toutes ses forces cette phrase.
La suite ? Deux heures de show dans le cadre exceptionnel des arènes, de la pyro, du sang, des larmes, du grandiose, une envie folle d’être sur scène après 50 ans de concerts : déconcertant. Une déculottée en bonne et due forme pour les sceptiques comme moi. Le chanteur Paul Stanley attrape le public par les noix et ne le lâche plus pendant deux heures, les tubes s’enchaînent, du feu, des lights, des explosions, près de 12 semi-remorques de matos, le groupe n’est pas venu ici pour beurrer des biscottes. Musicalement, scéniquement c’est rodé, et pour le reste, la légende prend tout son sens.
Les tubes s’enchaînent, le groupe pose pour les photographes, il harangue la foule. Cinquante ans de labeur sur les 5 continents expliquent sûrement cette maîtrise dans le fond et la forme. Y aura-il une succession à de tels monstres ? Il y a de quoi en douter. L’époque me semble plus proche de mon pinpin pétri de conformisme et de pain de mie derrière son écran que de papis rock’n roll jouant avec le feu et le son aux quatre coins du monde.
Alors finalement que viennent chercher les fans à un concert de Kiss ? Peut-être une certaine constance, 50 ans à enfoncer un clou, ce n’est pas rien. Un concert de Kiss, c’est une immense fête ou l’insouciance croise une jubilation rock’n roll d’une autre époque. Kiss a inventé un style et l’a poli jusqu’à l’étincelle. Les membres de Kiss ont créé une légende qui les dépasse à présent.
J’y suis allé plein de questions, j’en suis revenu avec plein de réponses.Du coup, j’ai laissé tomber ma pelle.
Eric CANTO Photographe : Photos de concerts, portraits, pochettes d’albums.
KISS band Festival de NÎMES : Le groupe Kiss a donné un concert exceptionnel le mardi 5 juillet 2022 dans les arènes de Nîmes. Le festival de Nîmes accueillit en 2022 la légende américaine pour la tournée d’adieu du groupe au 150 millions d’albums vendus à travers le monde.
KISS Festival de NÎMES 2021
Le groupe mythique Kiss est revenu en France à l’occasion de sa tournée d’adieu intitulée « End of The Road » !
Le public français a pu donc retrouver Paul Stanley, Gene Simmons, Tommy Thayer et Eric Singer sur scène à l’été 2022, dont le 5 juillet 2022 au Festival de Nîmes et faire des adieux bien mérités au groupe culte.
Depuis 1997, le Festival de Nîmes investit chaque été les arènes de la musique contemporaine dans toute sa diversité. De la chanson française (LES VIEILLES CANAILLES, MICHEL POLNAREFF, RENAUD, FRANCIS CABREL …) au métal (METALLICA, RAMMSTEIN …), des grandes stars de la variété internationale (DEPECHE MODE, MUSE, BJÖRK, PLACEBO …) aux nouvelles révélations (STROMAE), KENDJI GIRAC, GIMS …).
Nîmes accueille des légendes de la musique (NEIL YOUNG, DAVID GILMOR, SANTANA …) et des concerts (DAVID BOWIE, RADIOHEAD …) dans un cadre unique. Durant l’été 2022, ce fût au tour de KISS de rejoindre la longue liste.
KISS Festival de NÎMES
KISS Festival de NÎMES : UN PROGRAMME INTERNATIONAL
Le sud de la France accueille depuis longtemps le plus grand nombre de festivals culturels dans toutes les disciplines: théâtre, musique, danse, arts de la rue, etc.
Dans ce paysage extrêmement dense, le Festival de Nîmes a aujourd’hui pris une place unique et pertinente: il offre à un public très diversifié un lieu de rencontre estival, alliant les grands noms de la musique live dans tous ses genres aux conditions d’un cadre unique.
Dans un mélange unique d’artistes de renom et de stars de demain, il offre le plaisir de l’actualité, découvrant mais aussi redécouvrant des musiciens légendaires pour une expérience unique en son genre.
KISS Festival de NÎMES : UN LIEU UNIQUE
Les Arènes de Nîmes attirent des foules de visiteurs fascinés par la qualité de ce lieu. Appartenant aux monuments historiques, de par leur fonction architecturale, elles sont un lieu de spectacle et de plaisir partagé.
Des Jeux Romains d’hier aux fêtes de la Pentecôte et de la Fête des Vendanges en passant par les concerts d’été par une nuit étoilée, cet endroit n’a jamais cessé de susciter des rêves.
KISS Festival de NÎMES
Kiss, End of the Road Opening Night
La tournée mondiale End of the Road a été la dernière tournée de concerts du groupe de rock américain Kiss . La tournée a commencé le 31 janvier 2019 à la Rogers Arena de Vancouver, au Canada et s’est poursuivie à travers le globe.
La tournée a été annoncée le 19 septembre 2018, suite à une représentation de « Detroit Rock City » sur America’s Got Talent . Les dates de tournée ont été officiellement annoncées pour l’Amérique du Nord, l’Europe et l’Océanie le 30 octobre 2018.
Le peintre professionnel David Garibaldi a servi de première partie pour Kiss pour les étapes nord-américaines et européennes 2019 de la tournée. David Lee Roth a été annoncé plus tard comme première partie nord-américaines de 2020.
En raison de la pandémie de COVID-19 , la plupart des spectacles qui devaient avoir lieu en 2020 ont été reportés à 2021.
Kiss a révélé que leur dernier concert aura lieu le 17 juillet 2021 à New York dans un lieu non spécifié.
Le groupe avait fait l’annonce sur scène avant le deuxième et dernier concert en salle de Kiss Kruise , déclarant également que 90 nouvelles dates de tournée seraient bientôt confirmées.
« Nous avons participé à la tournée End of the Road, et les gens ont dit: » Quand est le dernier concert? « , A déclaré le leader Paul Stanley . « Donc, nous sommes ici pour vous dire que la fin de la route prend fin le 17 juillet 2021 à New York. »
Un compte à rebours gigantesque derrière le groupe pendant l’annonce indiquait 622 jours, 23 heures et 51 minutes.
La tournée End of the Road a débuté le 31 janvier 2019 à Vancouver, en Colombie-Britannique.
Ce n’est pas la première tournée de Kiss à être commercialisée comme étant la dernière: la formation originale réunie du groupe de Gene Simmons , Stanley, Peter Criss et Ace Frehley a monté une tournée d’adieu de 142 dates qui a commencé en 2000 et s’est terminée en avril 2001.
Deux des années plus tard, le groupe a repris la route avec l’actuel guitariste Tommy Thayer prenant la place de Frehley.
« Nous avons ramené ces gars-là et ils étaient complètement excusés, pleins de remords et reconnaissants d’être de retour », a déclaré plus tard Stanley à propos de Criss et Frehley .
Et pendant un certain temps, honnêtement, nous avons perdu de vue le fait que nous n’avions pas à nous arrêter – nous devions nous en débarrasser.
La programmation actuelle – avec Stanley, Simmons, Thayer et le batteur Eric Singer – a annoncé la tournée End of the Road en octobre 2018.
«Ce sera la célébration ultime pour ceux qui nous ont vus et une dernière chance pour ceux qui ne l’ont pas », ont-ils déclaré à l’époque.
« Kiss Army, nous disons au revoir à notre dernière tournée avec notre plus grand spectacle à ce jour et nous sortirons de la même manière que nous sommes arrivés. … Sans excuse et imparable.
Le Main Square Festival est un festival de musique qui se déroule chaque année à la Citadelle d’Arras, dans le nord de la France. Le festival a été créé en 2004 et a depuis accueilli de nombreux artistes nationaux et internationaux de renom, couvrant une variété de genres musicaux, tels que le rock, le pop, le hip-hop et l’électronique.
Le Main Square Festival dure généralement trois jours et se déroule en été, généralement en juillet. Il propose une programmation variée, avec des artistes de renommée internationale tels que Coldplay, Muse, Pearl Jam, Radiohead, Depeche Mode, Green Day, Black Eyed Peas, Macklemore & Ryan Lewis, David Guetta, et bien d’autres encore.
Le festival propose également une grande variété d’activités et de divertissements, notamment des espaces de restauration, des bars, des stands de merchandising, des expositions d’art, des performances de rue et des animations pour les enfants.
Le Main Square Festival est devenu un événement majeur de la scène musicale française et européenne, attirant des milliers de spectateurs chaque année. Il est considéré comme l’un des festivals les plus populaires de France et de la région Hauts-de-France en particulier.
Main Square Festival : les débuts en 2004
Le Main Square Festival a débuté en 2004 avec un simple concert placebo dans le centre d’Arras et dix ans plus tard, il est devenu un festival important en France et même en Europe. Cette année, il devrait recevoir plus de 130 000 spectateurs dans le château (Citadelle) qui a vécu depuis 2010.
Depuis sa création, la place principale a joué certaines des plus grandes stars de la musique à Arras. Son histoire est également marquée par la controverse et les revers, qui remontent à dix ans de festivals.
En juillet 2004, elle ne s’appelait pas la place principale et ce n’était pas encore un festival. La première partie a été fournie par le groupe de rock nordique Gomm. La première édition était un concert de Placebo en plein air organisé par la productrice France Leduc sous la décoration luxueuse d’Arras Grand Place.
15 000 spectateurs ont participé à la représentation de 3 heures. En ce qui concerne la mairie d’Arras, elle souhaite rivaliser avec les Eurockéennes de Belfort, qui se tient également dans l’est de la France.
Où a lieu le Main Square festival?
Le festival de musique Main Square Festival se déroule le premier week-end de juillet dans la Citadelle d’Arras. Le festival aura lieu le 30 Juin, 1er et 2 Juillet 2023. Une des caractéristiques de ce festival est son programme international et l’emplacement de la citadelle d’Arras, classée au patrimoine mondial de l’UNESCO.
Un lieu assez magique pour un photographe de concert avec une programmation somptueuse. Metallica est passé par le Main Square mais aussi Prince…
Selon les données disponibles de l’édition 2019, le festival peut accueillir environ 40 000 personnes par jour sur le site de la Citadelle.
Les organisateurs du festival dévoilent généralement la programmation plusieurs mois avant l’événement, donc je vous recommande de consulter régulièrement leur site officiel ou leurs réseaux sociaux pour les dernières mises à jour. Vous pouvez également vous inscrire à leur newsletter pour recevoir les annonces directement dans votre boîte mail.
Main Square Festival : L’édition 2005
L’édition 2005 est très similaire à l’édition précédente – la même date, la même décoration, le même prix – mais l’organisation a mandaté une autre société de production pour l’utiliser. En conséquence, il n’était pas officiellement considéré comme une version de la Grand Place.
Il y a deux gros titres dans l’émission: le Français de Kyo (toujours le disciple du succès du populaire Le Chemin) et le groupe pop / punk canadien Sum 41.
Main Square Festival : Le virage de l’édition 2008
L’édition 2008 marque une nouvelle étape dans l’histoire du festival: il s’étend à présent sur trois jours et il est désormais soutenu par un géant mondial de la production: Live Nation.
Le Festival est désormais en mesure d’attirer plusieurs grands calibres internationaux tels que The Chemical Brothers et Radiohead, qui offriront un spectacle grandiose et enchanteur sur la Grand’Place grâce aux connexions avec le Belgian Rock Werchter Festival, qui a lieu le même week-end
La place principale devient une grande machine de guerre qui crée des tensions avec les commerçants de la Grand-Place, contraints par exemple de ne vendre que la bière partenaire du festival. Mika, BB Brunes et une dizaine d’autres groupes et artistes sont également dans la programmation du festival cette année-là. Avec plus de 60 000 spectateurs présents, cette édition est un grand succès.
Cette année-là, Live Nation proposa également deux « extras » sur la Grand Place en dehors de la programmation du festival : un concert le 7 juillet de Céline Dion, puis un autre de Metallica, le 8 aout, sous le label « Rock en France ».
Programme Main Square Festival 2020
L’histoire du Main Square Festival
En 2004, la ville d’Arras veut relancer la région en créant un événement culturel majeur. La musique est le vecteur retenu.
La première édition du festival a eu lieu en juillet 2004 sous la direction de France Leduc Productions. Le groupe anglais Placebo est la première star du festival et apparaît devant 10 000 spectateurs, avec le groupe régional en première partie.
En 2006, le jeune festival a reçu Depeche Mode et Muse, dont la visite a réuni près de 45 000 personnes en deux jours. Les années suivantes sont marquées par le développement du festival, devenu un événement musical important en France grâce à la collaboration de France Leduc Productions et Live Nation.
Le festival sur la place principale doit son nom et une partie de son succès à la Grand’Place d’Arras, où le festival s’est déroulé pendant six ans. Grand’Place est un ensemble architectural unique en Europe, qui offre une orientation de plus d’une centaine de façades dans le style du baroque flamand.
Le Main Square Festival peut accueillir environ 30 000 festivaliers par jour.
Où acheter ses Billets pour le Main Square Festival ?
La billetterie ouvrira ses portes le 30 novembre 2022 à 10h. Pour le moment seul le site du Festival annonce les premières programmations mainsquarefestival.fr/
Pour le moment sont annoncés Maroon 5 le vendredi 30 juin, Aya Nakamura et Orelsan le samedi 1er juillet, Macklemore et David Guetta le dimanche 02 juillet.
Comment aller au Main Square Festival?
Cette édition du Main Square Festival se déroulera dans la Citadelle d’Arras, le 30 juin, 1er et 2 juillet 2023. L’entrée publique du festival s’effectue par la Porte Royale de la Citadelle, depuis le Boulevard du Général De Gaulle.
Voici quelques options pour y accéder :
En voiture : Si vous venez en voiture, il est possible de se garer dans les parkings prévus à cet effet. Suivez simplement les indications « Main Square Festival » sur les panneaux de signalisation autour de la ville d’Arras.
En train : Arras est desservie par des trains en provenance de nombreuses villes de France. De la gare d’Arras, vous pouvez prendre un taxi, un bus ou une navette spéciale pour vous rendre au site du festival.
En avion : Les aéroports les plus proches sont Lille-Lesquin et Paris-Charles de Gaulle. À partir de là, vous pouvez prendre un train ou une navette pour arriver à Arras.
En bus : Il est également possible de prendre un bus en provenance de certaines villes françaises. Des navettes spéciales sont également organisées pour transporter les festivaliers depuis certaines villes environnantes.
Je vous recommande de vérifier les options de transport les plus pratiques pour vous sur le site officiel du Main Square Festival et de planifier votre voyage à l’avance pour éviter les complications le jour du festival.
FAQ en 10 points sur le Main Square Festival :
1. Qu’est-ce que le Main Square Festival ?
Le Main Square Festival est un festival de musique qui a lieu chaque année à Arras, dans le nord de la France. Il accueille des artistes de renommée mondiale dans une variété de genres musicaux, allant du rock et de la pop au hip-hop et à l’électronique.
2. Quand a lieu le Main Square Festival ?
Le Main Square Festival a lieu généralement chaque année au début du mois de juillet, pendant un week-end de trois jours.
3. Qui sont les artistes qui se produisent au Main Square Festival ?
Le Main Square Festival attire des artistes de renommée mondiale dans une variété de genres musicaux. Des artistes tels que Muse, Coldplay, Depeche Mode, Black Eyed Peas, Macklemore, Queens of the Stone Age, et bien d’autres encore, ont tous performé au Main Square Festival dans le passé.
4. Comment acheter des billets pour le Main Square Festival ?
Les billets pour le Main Square Festival peuvent être achetés en ligne ou via des points de vente locaux. Il existe plusieurs options de billetterie pour répondre aux besoins des festivaliers, notamment des billets d’une journée, des forfaits pour le week-end et des options VIP.
5. Quelles sont les options d’hébergement disponibles pour les festivaliers ?
Le Main Square Festival propose un certain nombre d’options d’hébergement pour les festivaliers, y compris des campings sur place, des hôtels locaux et des appartements de vacances. Il est important de réserver à l’avance pour garantir l’hébergement de votre choix.
6. Puis-je apporter de la nourriture et des boissons au festival ?
Les festivaliers ne sont pas autorisés à apporter de la nourriture ou des boissons sur le site du festival. Des stands de nourriture et de boissons sont disponibles sur place pour répondre aux besoins des festivaliers.
7. Quelles sont les règles à suivre pour assister au Main Square Festival ?
Le Main Square Festival a des règles strictes en matière de sécurité pour garantir la sécurité de tous les festivaliers. Les organisateurs du festival ont mis en place des mesures de sécurité pour prévenir les incidents tels que le vol, la violence et l’utilisation de drogues. Les festivaliers doivent se conformer à ces règles pour être autorisés à entrer sur le site.
8. Y a-t-il des mesures d’accessibilité pour les personnes à mobilité réduite ?
Le Main Square Festival s’efforce d’être accessible à tous les festivaliers, y compris ceux qui ont des besoins spécifiques en matière d’accessibilité. Des zones réservées aux personnes à mobilité réduite sont disponibles, ainsi qu’un service de navette pour les personnes à mobilité réduite. Les organisateurs du festival fournissent des informations détaillées sur les règles à suivre et les mesures d’accessibilité pour assurer la sécurité et le bien-être de tous les festivaliers.
9. Comment se rendre au Main Square Festival ?</h eric.canto@groupe-grim.com continue 2>
Le Main Square Festival est situé dans la ville d’Arras, dans le nord de la France. Les festivaliers peuvent se rendre au festival en voiture, en train ou en bus. Des navettes sont également disponibles pour transporter les festivaliers depuis les gares et les parkings locaux jusqu’au site du festival.
10. Y a-t-il des mesures de sécurité particulières à prendre en compte lors de la participation au Main Square Festival ?
Le Main Square Festival a mis en place des mesures de sécurité pour garantir la sécurité de tous les festivaliers. Les organisateurs du festival recommandent aux festivaliers de prendre certaines mesures de sécurité, telles que de rester vigilants et de signaler toute activité suspecte. Il est également important de se conformer aux règles du festival en matière de sécurité, telles que les restrictions concernant les objets interdits sur le site du festival.
En conclusion, le Main Square Festival est un événement de musique incontournable en France, offrant une variété d’artistes de renommée mondiale dans une variété de genres musicaux. Les festivaliers peuvent profiter d’options d’hébergement, de nourriture et de boissons sur place, ainsi que de mesures de sécurité pour garantir la sécurité de tous les participants. Il est important de se conformer aux règles du festival en matière de sécurité et de respecter les autres festivaliers pour garantir une expérience de festival agréable pour tous.
Main Square Festival programme : les 7 dernières années
Main Square Festival – Edition 2022
Louane, SCH, Angèle, DJ Snake, Yungblud, Sting, Feu ! Chatterton, Niska, Alan Walker, Matthieu Chedid, Black Eyed Peas, Vald, Twenty One Pilots, Skip The Use…
Main Square Festival – Edition 2020
Twenty One Pilots • Sting • -M- • Black Eyed Peas • Pixies • LP – Nekfeu • Sum 41 • Cage The Elephant • Alan Walker • Vald • Therapie Taxi • Koba LaD • Supertramp’s Roger Hodgson • Larkin Poe • Jehnny Beth • Brass Against • RÜFÜS DU SOL • Alec Benjamin • Last Train • Caballero & JeanJass • Tones And I • Izia • Marcel et son orchestre • Henri PFR • Yuzmv • Madeon
Main Square Festival – Edition 2019
DJ Snake • Christine and The Queens • Damso • Martin Garrix • Ben Harper & The Innocent Criminals 6Charlotte de Witte • Skip the Use • Cypress Hill • Angèle • Lomepal • Arnaud Rebotini • Editors • Eddy de Pretto • Jain • Bring Me The Horizon • Macklemore • Christine and the Queens • Bekar • Edgär • Editors • Rival Sons • Tamino • Bigflo et Oli • Bring Me the Horizon • The John Butler Trio • Idles • Jonathan Wilson • Old Tree’z • Bisou Bisou • Caravan Palace • Gavin James • Miles Kane • Lizzo • Les Rappeurs En Cartons • Agar Agar • Shame • Warhola • Todiefor • Masego • Maggie Rogers • Matt Corby
Main Square Festival – Edition 2018
Depeche Mode • Queens of The Stone Age • Orelsan • Nekfeu – Jamiroquai • Liam Gallagher • IAM • Justice • Girls in Hawaii • The Breeders • The Courteeners • Youngr • Wolf Alice • The Blaze • Jungle • Pleymo • Tom Walker • Portugal. The Man • Roméo Elvis • Kid Francescoli • The Hunna • Double T • PVRIS • Black Foxxes • Baasta! • Okay Monday • Loïc Nottet • Damian Marley • BB Brunes • Nothing But Thieves • Gojira • Boris Brejcha • Paul Kalkbrenner • Feder
Main Square Festival – Edition 2017
Radiohead • System of a Down • Major Lazer – Biffy Clyro • Vitalic • Machine Gun Kelly • Die Antwoord • Jain • Kaleo • Kungs • Dirtyphonics • Xavier Rudd • June Bug • Savages • La Femme • Seasick Steve • Mark Lanegan Band • Highly Suspect • Above and Beyond • Frank Carter And The Rattle Snakes • Don Broco • The Inspector Cluzo
Main Square Festival – Edition 2016
Les Insus (Téléphone) • Macklemore & Ryan Lewis • The Offspring • Iggy Pop – Disclosure • Louise attaque • Jake Bugg • Ellie Goulding • Birdy Nam Nam • Lonely The Brave • Mass Hysteria• Yelawolf • Jeanne Added • Flume • Boys Noize • Cardri • Bear’s Den • Nathaniel Rateliff • Marina Kaye • X Ambassadors • Nekfeu • Salut c’est cool • EVRST • Tiggs Da Author • A-Vox • LEJ • Years & Years • Odesza • Walk off the Earth • The Struts • Last Train • Band of Horses • Ghinzu • Editors • Cayman Kings • The London Souls
Main Square Festival – Edition 2015
Lenny Kravitz • Muse • Shaka Ponk- Pharrell Williams • Lilly Wood • Mumford & Sons • Skip The Use • Patrice • Rudimental • Hozier • Twin Atlantic • Tiken Jah Fakoly • The Script • Rival Sons • IAM • Lindsey Stirling • BRNS • ILoveMakonnen • Isaac Delusion • James Bay • Oscar and the Wolf • Kodaline • Royal Blood • Sam Smith • Rone • Charli XCX • The Avener • Fakear• Circa Waves • The Arrogants • A-Vox • Tim Fromont Placenti • Sheppard • Coasts • Josef Salvat
Eric CANTO Photographe : Photos de concerts portraits, pochettes d’albums.
Le Main square festival 2020 annulé ?
Y aura-t-il un festival Main Square 2020? Alors que le pays est fermé pendant deux semaines pour faire face à l’épidémie de Covid-19, le nombre d’appels à des événements culturels augmente. Y aura-t-il un festival sur la place principale qui aura lieu à Arras du 3 au 5 juillet? Le premier coup de semonce lors des festivals d’été a été publié le 18 mars.
Ce jour-là, les groupes du légendaire festival anglais Glastonbury ont annoncé que l’édition 2020, qui devait avoir lieu du 24 au 28 juin, n’aurait pas lieu. Depuis lors, la question de l’annulation de ces événements s’est inévitablement justifiée. Et qu’adviendra-t-il du festival sur la place principale prévu une semaine après le festival en Angleterre?
Ceux qui suivent l’actualité du festival sur facebook auront remarqué que la communication du festival est désormais orientée sur la manière de s’occuper en temps de confinement tout en mettant en avant les artistes programmés pour cette édition 2020.
Rien sur une éventuelle annulation. Mis à part ce message rappelant les règles sanitaires : « Il n’y a qu’ensemble que nous pourrons garantir un été plein de musique, de divertissements, de voyages, de sports, et d’amitiés. »
Le premier choc concernant les festivals d’été a été donné le 18 mars. Ce jour-là, les équipes du mythique festival anglais Glastonbury annonçaient que l’édition 2020, qui devait avoir lieu du 24 au 28 juin, n’aurait pas lieu.
Forcément, depuis, la question de l’annulation de ces événements devient légitime. Et qu’en sera-t-il pour le Main square festival programmé une semaine après le festival anglais ?
Glastonbury Festival « We are so sorry to announce this, but we are going to have to cancel Glastonbury 2020. Tickets for this year will roll over to next year. Full statement below and on our website. »
Le maire Arras Frédéric Leturque ne sait vraiment pas plus : « Nous nous réunissons à la mi-mai pour évaluer la situation. Il n’y a pas de retour possible aujourd’hui. Nous faisons très attention à la situation. Nous avons eu la chance que la place du marché ait lieu début juillet. » Il a contacté le directeur du festival, Armel Campagna, qui a déclaré « qu’il est encore un peu tôt » pour répondre à la question. Comme tout le monde, il reste suspendu sur les décisions du gouvernement.
Rolling Stone Magazine est un bimensuel américain ayant une présence exceptionnelle dans l’univers de la pop culture et de la musique.
L’histoire du magazine Rolling Stone et son évolution
Fondé en 1967 à San Francisco, le magazine tire son nom d’une chanson des Muddy Waters. Créé par Jann Wenner, ce premier numéro présentait John Lennon sur la couverture.
Au fil des années, Rolling Stone a toujours suivi les tendances musicales avec une attention particulière pour la culture rock. Il est rapidement devenu le mensuel de référence pour obtenir des informations musicales, en plus de porter un regard précis et éclairant sur les actualités culturelles, sociétales et politiques.
Des interviews exclusives et des reportages passionnants
Le succès du magazine repose sur ses interviews exclusives et autres reportages passionnants, mettant en lumière aussi bien les personnalités emblématiques du histoire de la musique que les nouveaux talents. Ainsi, chaque article apporte quelque chose de neuf et captivant sur l’artiste ou le groupe concerné.
Outre les interviews, Rolling Stone propose également des chroniques d’album, des comptes rendus de concert, des sujets sur les tendances du secteur de la musique et du showbiz, ainsi que des articles sur les derniers albums à succès.
Au-delà de la musique, Rolling Stone explore également d’autres thèmes tels que le cinéma, la télévision, la littérature, la mode et l’art contemporain. Le magazine a parfois été controversé pour ses reportages et ses critiques, n’hésitant pas à s’attaquer aux problèmes de société.
Une présence mondiale avec des éditions internationales
En plus de son édition américaine, Rolling Stone possède des moutures nationales dans différents pays qui reprennent les articles publiés aux États-Unis en y ajoutant des contenus locaux comme les sorties d’albums, les concerts, les festivals, les expositions et les manifestations culturelles locales.
L’édition francophone et les autres éditions européennes
De nombreuses éditions européennes ont vu le jour, dont une version française commencée en 1988. D’autres versions ont aussi vu le jour en Italie, en Allemagne ou encore au Royaume-Uni par exemple, attestant de la portée internationale de la marque.
Des supports numériques pour un magazine toujours plus accessible
Soucieux de s’adapter aux nouvelles technologies, Rolling Stone a investi les médias numériques pour proposer une version en ligne enrichie de contenu multimédia, notamment grâce à des vidéos exclusives, mais aussi grâce à la possibilité pour les internautes de participer à diverses enquêtes, sondages et concours.
La version numérique du magazine propose ainsi une grande variété de contenus, qu’il s’agisse d’articles de fond, de brèves actualités, de listes thématiques ou encore de portfolios sur des sujets plus légers et divertissants.
Rolling Stone : un acteur incontournable dans la promotion de la musique
Depuis sa création, Rolling Stone a toujours cherché à mettre en avant les artistes qui ont marqué l’histoire de la musique. Ceci est particulièrement vrai pour la culture rock, dont le magazine se veut dépositaire.
Récompenser et honorer les meilleures créations musicales
À travers ses célèbres classements annuels tels que « Les 500 meilleurs albums de tous les temps » , « Les 100 meilleurs guitaristes » ou encore « Les 100 meilleures chansons », Rolling Stone contribue à récompenser et honorer les meilleures créations musicales et artistique.
Certains voient ces classements comme une forme de favoritisme et craignent qu’ils ne contribuent à figer l’image de la musique plutôt que de la faire évoluer. Néanmoins, force est de constater que les choix du magazine sont reconnus et respectés par la profession et le grand public, qui y voient souvent un repère utile.
Promouvoir la nouvelle génération d’artistes
Bien conscient de l’évolution du monde de la musique, Rolling Stone n’hésite pas à consacrer de la place aux jeunes artistes prometteurs pour les faire connaître auprès d’un public plus large et attiser ainsi l’intérêt des maisons de disques, des tourneurs et autres acteurs du secteur.
Ainsi, grâce au soutien du magazine, un grand nombre de nouveaux talents ont pu émerger et trouver leur voie dans le métier.
Un succès indéniable qui reste intact avec le temps
Malgré quelques polémiques ou critiques prenant parfois à partie sa ligne éditoriale ou ses choix rédactionnels, force est de constater que le magazine a conservé son statut de référence dans le milieu de la musique et culturelle.
Aujourd’hui encore, Rolling Stone reste un véritable passeport vers la réussite pour bon nombre d’artistes et groupes musicaux en quête de reconnaissance. L’aventure continue donc, riche en passion et découvertes, comme le témoignent chaque mois les pages du célèbre magazine américain.
Pour tous les amateurs de musique et de pop culture, Rolling Stone est un rendez-vous à ne pas manquer !
Découvrez les Arènes de Nîmes, cet amphithéâtre romain situé dans la ville de Nîmes, dans le Gard, qui a traversé les siècles et continue d’émerveiller par son architecture et son histoire. Dans cet article, nous vous invitons à explorer ce monument emblématique, ses origines, sa construction et son utilisation au fil des siècles.
Origines et construction des Arènes de Nîmes
Construites durant le Ier siècle après J.C, les Arènes de Nîmes témoignent de la grandeur et de l’influence du monde romain. À l’époque, la ville de Nîmes faisait partie de la province romaine de Gaule Narbonnaise et était un important centre commercial et culturel. La construction de cet amphithéâtre s’inscrit dans le développement urbain de la ville, marqué également par la présence d’autres monuments romains tels que la Maison Carrée ou encore la Tour Magne.
Architecture et dimensions des Arènes de Nîmes
L’amphithéâtre de Nîmes est considéré comme l’un des mieux conservés au monde. Il mesure 133 mètres de longueur, 101 mètres de largeur et possède une hauteur maximale de 21 mètres. De forme ovale, il pouvait accueillir environ 24 000 spectateurs répartis sur deux niveaux de gradins. Les Arènes de Nîmes sont composées de pierres calcaires locales et ont été conçues avec un système de voûtes et d’arcs qui assurent la stabilité et la solidité de l’ensemble.
Dans le souci du détail caractéristique de l’architecture romaine, les façades des Arènes sont ornées de sculptures et de bas-reliefs représentant notamment Neptune et Typhon, divinités marines dans la mythologie romaine. Leur disposition est organisée selon les ordres architecturaux dorique, ionique et corinthien, symboles de raffinement et d’harmonie.
Les Arènes de Nîmes à travers les siècles
L’utilisation des Arènes de Nîmes a évolué au fil des siècles en fonction des besoins et des influences culturelles successives. Découvrons quelques-unes des étapes importantes de cette histoire mouvementée.
Fonction originelle : amphithéâtre romain et spectacles antiques
À l’époque romaine, les Arènes de Nîmes avaient pour principale fonction d’accueillir des spectacles publics, tels que les combats de gladiateurs, les courses de chars ou encore des représentations théâtrales. Ces divertissements étaient organisés pour distraire et impressionner la population locale, mais aussi pour témoigner de la puissance et de la prospérité du monde romain.
Moyen Âge et Renaissance : forteresse et habitat
Au Moyen Âge, les Arènes de Nîmes ont été réutilisées comme forteresse par les seigneurs locaux pour protéger la population lors des conflits et des invasions barbares. Des tours fortifiées ont été ajoutées aux quatre angles de l’édifice afin d’assurer sa défense. À l’intérieur de l’amphithéâtre, des habitations ont été construites pour loger plus de 2 000 personnes. La vie quotidienne s’est alors organisée autour des commerces, des ateliers et des lieux de culte qui ont vu le jour au sein même des Arènes.
Cette période sombre a cependant entraîné une profonde dégradation du monument, qui sera progressivement abandonné dès le XVIe siècle avec la Renaissance et le rétablissement de l’autorité royale.
XIXe siècle : restauration et préservation du patrimoine
L’intérêt pour les vestiges du monde romain renaît au XIXe siècle, à l’image de l’écrivain français Victor Hugo qui célèbre la beauté des Arènes de Nîmes dans son ouvrage « Les Voix intérieures ». Les autorités françaises décident alors de lancer des travaux de restauration et de mise en valeur du monument. La première étape consiste à démanteler les habitations et les structures médiévales qui défiguraient l’architecture originelle des Arènes. Puis, des campagnes de fouilles archéologiques sont menées et several projets de restauration sont entrepris pour redonner leur magnificence aux Arènes de Nîmes.
Les Arènes de Nîmes aujourd’hui : entre histoire et spectacle
Actuellement, les Arènes de Nîmes témoignent de leur passé prestigieux tout en continuant d’accueillir des événements divers, faisant ainsi le lien entre l’histoire romaine et notre époque moderne. Parmi les manifestations les plus connues ayant lieu dans cet amphithéâtre, citons notamment :
La Feria de Nîmes, célèbre fête taurine locale qui se déroule chaque année pendant la Pentecôte et la récolte du vin;
Des corridas traditionnelles, perpétuant ainsi la dimension spectaculaire et combative des Arènes;
Des concerts et festivals, comme les « Nuits Musicales » ou encore les « Grands Jeux Romains », reconstituions historiques mettant à l’honneur la culture antique;
Des expositions temporaires et autres animations autour de l’histoire et de l’archéologie.
Ainsi, grâce aux efforts de préservation et de valorisation, les Arènes de Nîmes demeurent un témoin vibrant du patrimoine architectural et culturel du monde romain, permettant aux visiteurs du monde entier de plonger dans l’univers fascinant de cette période riche en découvertes et en émotions.
EN SAVOIR PLUS…La fascinante histoire des Arènes de Nîmes
Situées dans la ville française de Nîmes, dans le département du Gard, les Arènes de Nîmes sont un amphithéâtre romain édifié au Ier siècle après J.-C. Elles comptent parmi les mieux conservées au monde et témoignent encore aujourd’hui de l’incroyable ingéniosité des architectes de l’époque.
Un héritage architectural impressionnant
Bâties en 70 après J.-C., les Arènes de Nîmes étaient conçues pour accueillir entre 20 000 et 24 000 spectateurs lors de divers spectacles offerts aux habitants de la cité romaine. Grâce à leurs deux niveaux, soit 60 arcades chacun, elles mesurent 133 mètres de longueur pour 100 mètres de largeur. Il s’agit du monument public le plus grand de la ville, suivi de près par la Maison Carrée.
L’amphithéâtre romain
L’amphithéâtre ressemble fortement au Colisée de Rome. Il possède une arène elliptique entourée de gradins dont l’accès était réglementé selon la classe sociale du spectateur. L’arène centrale mesure 69 mètres de long sur 38 mètres de large et servait originellement aux combats de gladiateurs, aux courses de chars et aux chasses d’animaux sauvages. Ces spectacles étaient en effet très prisés par l’élite de l’époque.
La particularité des Arènes de Nîmes
Comme la plupart des amphithéâtres romains, les Arènes de Nîmes étaient dotées de dispositifs ingénieux pour optimiser tant le confort que l’acoustique. Parmi ces innovations : un système de galeries souterraines qui permettait une circulation fluide des spectateurs et des participants aux jeux de surface, ainsi qu’un mécanisme subterfuge composé de poulies et de cordages afin d’afficher en temps réel le déroulement des courses de chars à grand rayon d’action, ou encore les systèmes d’entrées secondaires pour faciliter la sortie des animaux sauvages au cours des représentations.
Les différentes fonctions du site au fil du temps
Au cours des siècles qui ont suivi la construction des Arènes, celles-ci sont passés successivement par différents usages :
En 475 après J.-C., les Arènes ont progressivement perdu leur fonction initiale due à l’interdiction du christianisme et se sont transformées en carrière ouverte ;
Au Moyen-Âge, elles ont servi d’hôtel fortifié, puis de base militaire à partir du XVIIe siècle pour protéger la ville contre les troupes étrangères;
Jusqu’au XIXe= siècle, elles ont accueilli tournois médiévaux et fêtes foraines, avant d’être réinvesties pour leur usage originel à l’initiative de Prosper Mérimée et les premiers spectacles taurins voient le jour.
Depuis le XXe siècle, elles sont utilisées également pour des événements culturels, comme des concerts ou spectacles en plein air.
La restauration et la valorisation des Arènes de Nîmes
Afin de préserver cet héritage patrimonial exceptionnel, les autorités compétentes ont entrepris dès le XIXe siècle un travail de restauration conséquent. Des experts spécialistes dans le domaine classique sont régulièrement sollicités pour mener cette démarche dans le respect des règles de l’art.
Le programme de restauration actuel
Les travaux de restauration actuels ont débuté en 2010 et doivent s’étendre sur plusieurs années encore. Le périmètre couvert par ces interventions englobe :
La consolidation et la rénovation des façades extérieures;
Le remplacement total ou partiel de certaines pierres abimées;
Le nettoyage des surfaces par des techniques douces pour préserver la patine du temps;
La mise en valeur de l’amphithéâtre lui-même, ainsi que de ses annexes (tour médiévale, église Saint-Alexandre, etc.), grâce à des dispositifs muséographiques et d’expositions temporaires.
Les événements organisés aux Arènes de Nîmes
Le caractère unique et le patrimoine exceptionnel qui entoure les Arènes de Nîmes en font également un lieu prisé pour l’organisation d’événements culturels dans la ville. Parmi ceux-ci :
Festival de Nîmes : une série de concerts souvent attendus avec impatience par les amateurs de musique française et internationale;
Les Grands Jeux Romains : cette importante reconstitution historique rassemble chaque année des milliers de participants venus du monde entier pour revivre les combats de gladiateurs ou les courses de chars rendues célèbres à travers le monde;
Expositions temporaires : sur des thèmes liés à l’histoire romaine, elles offrent au public l’occasion de découvrir des objets et documents rares prêtés par plusieurs musées nationaux ou étrangers.
L’impact économique et touristique des Arènes de Nîmes
La visite des prestigieuses Arènes constitue une étape incontournable lors d’un séjour touristique dans le sud de la France, notamment en Languedoc-Roussillon. Classées monument historique depuis 1840, elles attirent chaque année près d’un million de visiteurs et génèrent ainsi d’importantes retombées économiques pour la ville et ses alentours, contribuant grandement à la dynamisation de la région.
Les Arènes de Nîmes
C’est dans ce lieu magique, empreint d’histoire, que de nombreux artistes et groupes prennent plaisir à venir se produire pour des spectacles culturels et festifs où se pressent un public local et international, notamment lors d’un festival bien connu le Festival de Nîmes.
Où se situent les Arènes de Nîmes ?
Joyau de la Romanité, cet amphithéâtre est situé au cœur de la commune de Nîmes ou Nemausus, citée prospère sous l’Empire Romain, aujourd’hui préfecture du département du Gard, en Occitanie, dans le sud de la France. Nîmes, avant-poste important au temps de l’Empire romain, est connue pour ses monuments bien conservés, comme la Maison Carrée, La Tour Magne ou encore le Temple de Diane.
Cet amphithéâtre conçu pour le spectacle et communément appelé « Arènes de Nîmes » ; de part son origine latine « arena » qui signifie aire de sable où se déroulent les courses ; fait partie des plus grands amphithéâtres de la Gaule Romaine les mieux conservés du monde antique.
Qui a construit les Arènes de Nîmes ?
Les Arènes de Nîmes, pensées sur le modèle du Colisée à Rome, ont été construites vers 100 après J.C sous le règne de l’Empereur Auguste. Toujours en usage pour des concerts, des représentations théâtrales, des manifestations sportives et des corridas pendant les férias, cet édifice a été bâti à l’époque romaine pour accueillir des spectacles de gladiateurs qui aujourd’hui revivent au travers de ludi (jeux du cirque)reconstitués chaque année, fin avril, lors des Grands Jeux Romains.
Cette ellipse mesure 133 mètres de long sur 101 mètres de large. Les Arènes de Nîmes possèdent une piste centrale ovale de 68 mètres de long sur 38 mètres de large. La corniche sommitale est située à 21 mètres de haut. Sa forme permet donc d’éviter tout angle mort quelque soit la place occupée et d’avoir une vue incroyable de l’ensemble, en plein air.
Réparties sur 2 étages, 120 arcades sont séparées par 60 colonnes surmontées de blocs en saillie, percés et destinés à recevoir un mat afin d’y tendre des câbles soutenant un Velum (voile immense) protégeant les spectateurs du soleil.
A l’intérieur des Arènes de Nîmes, le système de galeries et d’escaliers, appelés « vomitoires », a été pensé pour éviter les bousculades et faciliter la circulation. Le système architectural permet ainsi de vider l’édifice en un temps record et en toute sécurité.
Combien de places aux Arènes de Nîmes ?
A l’époque Romaine, les Arènes de Nîmes pouvaient accueillir 24 000 spectateurs, sur 34 rangées de gradins réparties en 4 zones. Chaque zone était réservée à une catégorie sociale. Les plus hauts placés socialement étaient placés le plus bas dans les arènes, c’est-à-dire au plus prés du spectacle.
Aujourd’hui la capacité d’accueil a été réduite puisque des rangées de gradins ont été détruites. Les Arènes de Nîmes peuvent accueillir près de 13 800 spectateurs en position assise.
Quelles sont les meilleures places aux Arènes de Nîmes ?
Quelque soit votre emplacement, la vue sera magnifique, mais plus vous serez placés dans le bas des gradins, plus vous serez proches de(s) artiste(s). En définitive, ceux qui souhaitent profiter du concert en étant à quelques mètres de la scène, avec un certain confort, optez pour la catégorie 1 ou carrément le carré Or.
Pour ceux qui veulent vivre une expérience plus intense, au cœur de l’ambiance, assez proches de la scène, et emportés par la foule, optez pour la fosse c’est-à-dire débout (catégorie 3). Attention pour certains spectacles, les places assises occupent la fosse. Dans ce cas vous aurez accès à 2 catégories en fosse : carrée or (tout devant) ou catégorie 1.
Si vos moyens sont plus limités et que vous ne souhaitez pas vous mêler à l’euphorie de la fosse, choisissez une vos places dites « en général » avec placement libre ou en catégorie 2 (places choisies). Elles seront situées aux points les plus hauts.
Enfin, à éviter si vous ne voulez pas louper une miette du show et que vous êtes sensibles aux ondes sonores, la catégorie 4. Ces places sont en fait des sièges situés sur le côté de la scène, à la même hauteur que les places en catégorie 1. Vous serez certes bien placés mais la visibilité ne sera pas optimisée. Et équipez vous de bouchons d’oreille ou d’un casque car niveau décibels vous serez servis.
Peut on visiter les Arènes de Nîmes ?
Même si les Arènes de Nîmes sont classées aux monuments historiques, elles ne sont pas inscrites au patrimoine mondial de l’Unesco. Depuis qu’Edeis a repris la gestion en 2021 en délégation de service public, une nouvelle visite est proposée aux touristes avec un audio-guide en sept langues, des panneaux pédagogiques ainsi que des espaces muséographiques.
Il est donc possible grâce aux nouvelles technologies et à la bonne conservation du lieu, de se plonger à l’époque de nos ancêtres les romains.
Les arènes de Nîmes sont ouvertes tous les jours sur des amplitudes horaires allant de 9h à 20h selon les saisons et les périodes de l’année. La visite des arènes n’est toutefois pas autorisée lors des fêtes, spectacles et férias. Il est facile de stationner puisque des parkings souterrains sont situés tout autour du site et dès la Gare Feuchères, située à quelques dizaines de mètres de l’édifice.
Le festival de Nîmes: le festival des les Arènes de Nîmes
Le Festival de Nîmes est un événement annuel de musique qui se déroule dans la ville de Nîmes, dans le sud de la France. Depuis sa création en 1997, il est devenu l’un des événements musicaux les plus importants de la région, attirant des milliers de visiteurs chaque année.
Le festival se déroule chaque été, généralement en juin et juillet, dans l’amphithéâtre romain de Nîmes, qui est l’un des plus grands et des mieux préservés de l’Antiquité. L’amphithéâtre peut accueillir jusqu’à 16 000 spectateurs et offre une expérience de concert unique avec ses gradins en pierre et son acoustique exceptionnelle.
Au fil des ans, le Festival de Nîmes a accueilli de nombreux artistes de renommée internationale, tels que Bob Dylan, Sting, Elton John, Muse, Metallica, Coldplay, Depeche Mode et bien d’autres. Les concerts sont généralement organisés sur plusieurs jours et offrent une variété de styles musicaux, allant du rock et du pop au reggae, à l’électro et à la musique du monde.
Outre les concerts dans l’amphithéâtre romain, le festival propose également des spectacles dans d’autres lieux de la ville, tels que la Maison Carrée et la Tour Magne. Il y a également une foire aux vins qui propose des dégustations de vins locaux et régionaux ainsi que des produits artisanaux.
Le Festival de Nîmes est une occasion unique de découvrir la beauté de l’amphithéâtre romain tout en profitant de la musique live de certains des artistes les plus célèbres au monde. C’est un événement incontournable pour les amateurs de musique et les passionnés d’histoire et de culture romaine. Si vous envisagez de vous rendre à Nîmes pour le festival, il est recommandé de réserver vos billets et votre hébergement à l’avance car les places sont souvent limitées et se vendent rapidement.
FAQ sur les Arènes de Nîmes
1. Quelle est la capacité des Arènes de Nîmes ?
La capacité des Arènes de Nîmes varie en fonction des événements organisés. Lors de spectacles et concerts, l’amphithéâtre peut accueillir environ 13 000 spectateurs. Cependant, en configuration historique pour les jeux romains, la capacité des Arènes de Nîmes était estimée à environ 24 000 personnes, ce qui montre l’ampleur de cet édifice romain.
2. Quelle est la capacité des Arènes de Nîmes pour les concerts ?
Lors des concerts, la capacité des Arènes de Nîmes est légèrement réduite par rapport à sa capacité historique. Selon la configuration scénique et les dispositions de sécurité, l’arène peut accueillir jusqu’à 13 000 personnes, assurant une ambiance intime malgré la grandeur de l’espace.
3. Quelles sont les meilleures places aux Arènes de Nîmes ?
Les meilleures places aux Arènes de Nîmes pour assister à un concert ou un spectacle dépendent de vos préférences. Pour une vue panoramique, les places situées au sommet de l’amphithéâtre offrent une vision globale de l’arène. Si vous préférez être plus proche de l’action, les places situées au niveau des gradins inférieurs sont idéales. Les places VIP ou de catégorie supérieure, généralement situées au centre, sont aussi très prisées pour leur proximité avec la scène.
4. Combien de places y a-t-il aux Arènes de Nîmes ?
En fonction de la configuration, le nombre de places aux Arènes de Nîmes peut varier. En version concert ou spectacle moderne, la capacité est d’environ 13 000 places. En version historique, lors des spectacles de gladiateurs ou d’événements sportifs dans l’Antiquité, elle pouvait atteindre près de 24 000 places.
5. Quelle est la hauteur des Arènes de Nîmes ?
Les Arènes de Nîmes mesurent environ 21 mètres de hauteur. Cet édifice monumental, construit au 1er siècle après J.-C., impressionne par ses proportions et la qualité de sa préservation. La structure comporte deux étages d’arcades et une série de galeries internes permettant la circulation des spectateurs.
6. Comment est organisé le plan des places pour les concerts aux Arènes de Nîmes ?
Le plan des places pour les concerts aux Arènes de Nîmes est généralement divisé en plusieurs catégories. Les places les plus proches de la scène se situent dans la zone centrale de l’arène, suivies par les gradins inférieurs, puis les gradins supérieurs. Ce système permet à chaque spectateur de bénéficier d’une excellente vue, tout en tenant compte de la configuration historique des lieux.
7. À quoi servaient les Arènes de Nîmes à l’époque romaine ?
À l’époque romaine, les Arènes de Nîmes servaient principalement à accueillir des spectacles de gladiateurs, des combats d’animaux et d’autres événements publics. Construites au 1er siècle après J.-C., elles représentaient un centre majeur de divertissement pour la population de l’époque, un peu comme les stades de football aujourd’hui.
8. Quel est le nombre de places disponibles aux Arènes de Nîmes pour les événements modernes ?
Le nombre de places disponibles aux Arènes de Nîmes pour les événements modernes, tels que des concerts, des festivals ou des spectacles, est d’environ 13 000. Cette capacité est optimisée pour garantir le confort et la sécurité des spectateurs tout en conservant l’authenticité du lieu.
9. Quel est le plan des Arènes de Nîmes pour les concerts ?
Le plan des Arènes de Nîmes lors des concerts varie en fonction de l’événement, mais il est généralement organisé en trois zones principales :
La fosse : située directement devant la scène pour les spectateurs souhaitant être au plus près de l’action.
Les gradins inférieurs : offrant une excellente vue sur la scène tout en étant légèrement surélevés.
Les gradins supérieurs : idéals pour une vue d’ensemble et pour les personnes préférant une vision panoramique.
10. Quelle est l’histoire des Arènes de Nîmes ?
Les Arènes de Nîmes, construites à la fin du 1er siècle après J.-C., sont l’un des amphithéâtres romains les mieux préservés au monde. Leur architecture est inspirée du Colisée de Rome, mais avec des dimensions plus modestes. Au fil des siècles, elles ont servi à de multiples usages, allant des spectacles de gladiateurs à la forteresse médiévale, et aujourd’hui, elles accueillent des concerts et des événements culturels majeurs.
11. Combien de places étaient disponibles dans les Arènes de Nîmes à l’époque romaine ?
À l’époque romaine, la capacité des Arènes de Nîmes était d’environ 24 000 places. L’amphithéâtre pouvait accueillir une grande partie de la population de Nîmes et des environs, pour des spectacles de gladiateurs et d’autres événements publics.
12. Comment accéder aux meilleures places dans les Arènes de Nîmes ?
Pour accéder aux meilleures places des Arènes de Nîmes, il est conseillé de réserver tôt, notamment pour les événements très populaires. Les places situées au centre de l’arène ou dans les gradins inférieurs sont généralement les plus recherchées pour leur proximité avec la scène et leur excellente vue.
13. Quelle est la capacité des Arènes de Nîmes en fonction des événements ?
La capacité des Arènes de Nîmes varie en fonction du type d’événement. Pour les concerts et spectacles, elle est d’environ 13 000 places, tandis qu’à l’époque romaine, elle pouvait atteindre 24 000 personnes lors des combats de gladiateurs et autres spectacles publics.
14. Pourquoi visiter les Arènes de Nîmes ?
Les Arènes de Nîmes sont un monument incontournable pour quiconque s’intéresse à l’histoire romaine et à l’architecture ancienne. Non seulement elles sont parfaitement conservées, mais elles continuent de vivre aujourd’hui grâce aux événements culturels qui y sont organisés. C’est un mélange parfait entre histoire et modernité, qui vous permet de marcher dans les pas des spectateurs romains tout en assistant à des concerts de légendes du rock ou de la musique classique.
15. Quelle est l’importance historique des Arènes de Nîmes ?
Les Arènes de Nîmes représentent un témoignage exceptionnel de l’ingéniosité romaine en matière d’architecture et de divertissement public. Elles ont survécu à des millénaires d’histoire, servant à la fois de stade, de forteresse, et aujourd’hui de salle de spectacle moderne. Leur importance historique réside dans leur capacité à avoir traversé les âges tout en restant un centre de vie culturelle, faisant le lien entre le passé glorieux de la civilisation romaine et notre époque contemporaine.
Hormis Mick Rock, Peu de stars du rock’n’roll ont mieux compris la relation symbiotique entre la musique et l’image. David Bowie a avec le photographe Mick Rock, trouvé le partenaire créatif idéal.
Chargé de faire un article de photojournalisme par le bureau londonien du magazine Rolling Stone, Mick Rock se rendit à un concert de Bowie à la mairie de Birmingham en mars 1972 et noua une relation immédiate avec le gourou du glam rock, juste au moment où il se métamorphosait en son Ziggy Stardust.
Mick Rock est un photographe britannique mondialement connu pour son travail de photographie de rock et de musique. Né en 1948, il a commencé sa carrière artistique dans les années 1970, travaillant en étroite collaboration avec des artistes tels que David Bowie, Lou Reed et Iggy Pop pour créer des images emblématiques du mouvement glam rock.
Mick Rock est souvent considéré comme le photographe le plus célèbre du mouvement, ayant contribué à définir son esthétique flamboyante et colorée. Au cours de sa carrière, il a remporté de nombreux prix et distinctions pour son travail, notamment le Lifetime Achievement Award du Classic Rock Roll of Honour Awards en 2011.
Les œuvres de Mick Rock sont présentes dans de nombreuses collections publiques et privées à travers le monde, faisant de lui l’un des photographes les plus influents de l’histoire de la musique rock.
Avant sa disparition le 18 novembre 2021, Il continuait à travailler en tant que photographe et avait publié un livre de photographies intitulé « Mick Rock: The Rise of David Bowie, 1972-1973 ». Il travaillait également sur des projets tels que la création d’une installation artistique pour la station de métro de Tottenham Court Road à Londres. En plus de son travail de photographie, il était également impliqué dans des projets de musique et de cinéma, travaillant notamment sur la bande sonore du film « The Velvet Underground ».
Retour sur la vie de cet artiste incontournable.
Mick Rock : photographe de Bowie
Mick Rock, décédé à l’âge de 72 ans, est devenu le photographe personnel de Bowie alors que son profil a grimpé en flèche avec la sortie de son cinquième album studio, The Rise and Fall of Ziggy Stardust and the Spiders from Mars, en juin 1972, et a capturé certains des meilleurs souvenirs images de l’étoile mercurielle.
Mick Rock
Celles-ci comprenaient la photo de Bowie et du guitariste Mick Ronson en train de déjeuner dans un train pour Aberdeen, et la célèbre photo provocante de « fellation » du duo sur scène à la mairie d’Oxford.
Comme Mick Rock l’a expliqué plus tard, probablement avec ironie : « Tout ce que David essayait de faire – et il me l’a expliqué plusieurs années plus tard, lorsque nous avons fait le livre Moonage Daydream – était de mordre la guitare. »
Mick Rock jouissait d’un accès intime unique à Bowie (« Je l’ai eu dans sa culotte, juste en train de camper »), et le charisme pionnier de Bowie a attiré d’autres musiciens tels que Lou Reed et Iggy Pop dans son orbite.
Mick Rock était toujours présent avec son appareil photo. Il a pris la photo définitive d’un Reed aux yeux de panda et à l’air mélancolique pour la couverture de son album solo à succès Transformer (1972), et a mis en sac l’image de couverture dramatique d’un Pop torse nu pour Iggy and the Stooges’ RawPower LP ( 1973).
Sa photo de pochette pour Queen’s Queen II (1974) faisait écho de manière mémorable à une image de Marlene Dietrich du film Shanghai Express de 1932 (« Personne n’a jamais été plus glamour que la divine Mme Dietrich », a déclaré Mick Rock), et Queen l’a revisitée dans leur vidéo pour Bohemian Rhapsody en 1975.
1977 :Mick Rock s’installe à New york
Après avoir voyagé à New York en tournée avec Bowie en 1972, Mick Rock s’est de plus en plus entiché de la ville et s’y est installé en 1977. « Il ne fait aucun doute que New York était plus sombre, plus dépravée que Londres », a-t-il déclaré à l’intervieweur Barney Hoskyns.
Mick Rock
« Lou Reed m’a emmené dans des endroits que vous n’auriez jamais trouvés à Londres. » Mick Rock s’est inévitablement retrouvé à photographier des icônes de la scène new-yorkaise comme les Ramones et Debbie Harry de Blondie, et a chéri son cliché de Mötley Crüe dans un bain moussant (« le groupe le plus sale, le plus méchant des années 80, que Dieu les bénisse »).
Mick Rock n’aimait pas parler de ses antécédents et de son éducation, commentant que « je n’aborde pas cela normalement parce que je ne pense pas que ce soit nécessaire », mais il était généralement admis qu’il était né à Hammersmith, Londres, son ses parents Joan et David Rock, ce dernier étant fonctionnaire au ministère du Travail.
Cependant, Mick Rock a jeté un éclairage différent à ce sujet dans une interview de 2017 avec le site Web The Talks . Il a décrit comment il avait été conçu lorsque sa mère mal mariée a eu une liaison avec un aviateur américain, qui est ensuite retourné aux États-Unis. Il a affirmé qu’il avait eu deux certificats de naissance, dont le premier le nommait Michael Edward Chester Smith.
Cependant, c’est sous le nom de Michael Rock qu’il a fréquenté l’école indépendante Emanuel de Battersea, avant de décrocher une bourse au Gonville and Caius College de Cambridge, où il a obtenu un diplôme en langues médiévales et modernes.
À Cambridge, il a d’abord commencé à expérimenter la photographie, en acquérant « un appareil photo Pentax cabossé d’un compagnon pour 40 livres », et là, il a rencontré le garçon local Syd Barrett , membre fondateur de Pink Floyd. Mick Rock photographierait Barrett pour son premier album solo, The Madcap Laughs (1970), avec la couverture arrière représentant une femme nue, et a également pris la photo centrale de l’album Meddle de Pink Floyd en 1971.
Mick Rock s’est immergé avec enthousiasme dans le style de vie des artistes qu’il a photographiés et a admis que «à la fin des années 80, début des années 90, mon problème de cocaïne était devenu complètement hors de propos. Je pouvais encore tirer, mais le reste de ma vie était une épave. Il a divorcé de sa première femme, Sheila (également photographe), et s’est remarié avec Pati (qui travaillait dans l’immobilier).
Mick Rock
En 1996, il a subi un quadruple pontage et une greffe de rein, sa facture médicale payée par l’ancien manager des Rolling Stones, Allen Klein , et a ensuite connu une renaissance de carrière. Il avait été irrité par le tag « Man Who Shot the 70s », considérant que cela le rendait obsolète, et il a photographié des pans d’artistes plus récents, dont Snow Patrol, les Black Keys, Snoop Dogg, Foo Fighters, Alicia Keys, Yeah Yeah Yeahs. , Janelle Monae, Rufus Wainwright, Lady Gaga, Miley Cyrus et Pharrell Williams.
En plus de ses photographies, il a créé plusieurs vidéos mémorables avec Bowie, pour Life on Mars, John I’m Only Dancing, Jean Genie et Space Oddity, et Bowie a donné son approbation aux livres de Rock Blood and Glitter : Glam – an Eyewitness Account (2001), Moonage Daydream: The Life and Times of Ziggy Stardust (2002) et The Rise of David Bowie 1972-1973 (2015).
Il a également publié des livres en collaboration avec Debbie Harry, Iggy Pop et les membres de Queen Brian May et Roger Taylor.
En 2016, Mick a animé une série télévisée Ovation Cable acclamée, « On The Record With Mick Rock ». Un documentaire sur sa carrière, produit par Vice Films et Straight Up Films, intitulé « SHOT! », A été lancé au Tribeca Film Festival en avril 2016.
Mick Rock a été présenté dans le documentaire SHOT! de Barney Clay! Le mantra psycho-spirituel du rock (2016). Il a été photographe en chef sur les films The Rocky Horror Picture Show, Hedwig and the Angry Inch et Shortbus.
Mick Rock with his photo of David Bowie and Iggy Pop (Photo by J. Vespa/WireImage for Peoples Revolution)
Mick Rock a eu de grandes expositions à Tokyo, Toronto, Londres, Liverpool, Berlin, Manchester, Mexico, Oslo, Göteborg, Stockholm, Amsterdam, Rotterdam, São Paulo, San Francisco, Las Vegas, EMP Museum Seattle, Buenos Aires, Barcelone, Los Anges, New York et Toulouse.
Il fait également partie de la collection permanente du Victoria & Albert Museum de Londres ainsi que du Brooklyn Museum de New York. Il a été honoré d’une plaque bleue à la salle de concert Scala commémorant le titre de deux nuits (14 juillet 1972) de Lou Reed et Iggy Pop, et la capture par Mick des photos de l’album Transformer et Raw Power.
Mick Rock
Conteur enthousiaste, Mick Rock a souligné que son travail découlait toujours d’une admiration pour les artistes avec lesquels il travaillait. « Pour moi, ces gars étaient comme Baudelaire, Rimbaud, Shelley, Keats, Coleridge, les Beats… J’ai été respectueux parce que j’aime ces gens et je sens que je suis une sorte de gardien de l’image. »
SHOOT! by ROCK – L’autobiographie visuelle d’une icône.
SHOOT! by ROCK, sortie le 22 novembre 2022, est une monographie de luxe pleine de la signature de Mick Rock, de photographies saturées de couleurs et de sujets légendaires, ainsi que de tout nouveaux souvenirs de Mick pour les accompagner.
Né en 1948 à Hammersmith, Londres, Michael Rock a traversé la scène rock londonienne de la fin des années soixante et des années soixante-dix pour devenir l’un des photographes rock et pop les plus emblématiques de tous les temps.
Mick était à la fois photographe et ami de certains des artistes et stars musicaux les plus dynamiques et passionnants de l’histoire du rock, et Shot! by Rock contient des histoires étonnantes et amusantes sur les coulisses de musiciens, de Mick Jagger à Miley Cyrus ; de Queen à Lana Del Ray; de David Bowie à Snoop Dog, et bien au-delà.
Mick a sélectionné des photos à la main et a contribué à de nouvelles histoires de son incroyable carrière. Ce livre inoubliable sert de monument à la brillante carrière de cinquante ans et à la vie étonnante de Mick.
Shot-By-Mick-Rock
Mick Rock : Publications
1995 : A Photographic Record 1969-1980
2002 : Psychedelic Renegades: Syd Barrett
2002 : Moonage Daydream: Ziggy Stardust
2003 : Killer Queen
2004 : Picture This: Debbie Harry and Blondie
2010 : Exposed
Pour conclure, Mick Rock est surtout connu pour son travail de photographie de rock et de musique, notamment pour ses portraits emblématiques d’artistes tels que David Bowie, Lou Reed et Iggy Pop. Voici quelques-unes de ses photographies et publications les plus célèbres :
Les photographies de l’album « Transformer » de Lou Reed, sorti en 1972.
Les photographies de l’album « The Rise and Fall of Ziggy Stardust and the Spiders from Mars » de David Bowie, sorti en 1972.
Les photographies de l’album « Raw Power » des Stooges, sorti en 1973.
Les photographies de l’album « Queen II » de Queen, sorti en 1974.
Les photographies du livre « Rock ‘n’ Roll Eye: The Photography of Mick Rock », publié en 1999.
Les photographies du livre « Exposure: The Music Photography of Mick Rock », publié en 2005.
Les photographies du livre « The Rise of David Bowie, 1972-1973 », publié en 2015.
Ces photographies et publications ont contribué à définir l’esthétique du mouvement glam rock des années 1970 et ont fait de Mick Rock l’un des photographes les plus influents de l’histoire de la musique rock.
Eric CANTO Photographe : Photos de concerts, portraits, pochettes d’albums.
Mick Rock est un photographe britannique né en 1948, connu pour son travail en tant que photographe de rock et de musique. Il est souvent considéré comme le photographe le plus célèbre du mouvement glam rock des années 1970.
Question 2: Quels sont les sujets de prédilection de Mick Rock ?
Mick Rock est surtout connu pour son travail de photographie de rock et de musique, notamment pour avoir photographié des groupes tels que Queen, David Bowie, Lou Reed, Iggy Pop, et les Sex Pistols.
Question 3: Comment Mick Rock a-t-il commencé sa carrière artistique ?
Mick Rock a commencé sa carrière en tant que photographe dans les années 1970, travaillant en étroite collaboration avec des artistes tels que David Bowie, Iggy Pop et Lou Reed pour créer des images emblématiques du mouvement glam rock.
Question 4 : Quels sont les livres les plus connus de Mick Rock ?
Mick Rock a publié plusieurs livres de photographies, notamment « Rock ‘n’ Roll Eye » (1999), « Glam! An Eyewitness Account » (2006), « Exposure: The Music Photography of Mick Rock » (2009), et « The Rise of David Bowie, 1972-1973 » (2015).
Question 5: Quels sont les prix et distinctions que Mick Rock a remportés au cours de sa carrière ?
Mick Rock a remporté de nombreux prix et distinctions pour son travail, notamment le Lifetime Achievement Award du Classic Rock Roll of Honour Awards en 2011, et le Outstanding Contribution to Music Photography Award de la Professional Music Photographers Association en 2015.
Question 6 : Comment Mick Rock a-t-il influencé la photographie de rock et de musique ?
Mick Rock est considéré comme l’un des photographes les plus influents de l’histoire de la musique, ayant capturé certains des moments les plus emblématiques de la musique rock et ayant contribué à définir l’esthétique du mouvement glam rock des années 1970.
Question 7: Où peut-on trouver des œuvres de Mick Rock ?
Les œuvres de Mick Rock sont présentes dans de nombreuses collections publiques et privées à travers le monde, notamment dans des musées tels que le Victoria and Albert Museum de Londres et le National Portrait Gallery de Londres.
Question 8: Quel est le style de photographie de Mick Rock ?
Mick Rock est connu pour son style de photographie flamboyant et coloré, qui a contribué à définir l’esthétique du mouvement glam rock des années 1970. Il utilise souvent des techniques telles que la surexposition et la superposition d’images pour créer des effets visuels saisissants.
Question 9 : Comment Mick Rock travaille-t-il avec les artistes qu’il photographie ?
Mick Rock a souvent travaillé en étroite collaboration avec les artistes qu’il photographie, les aidant à créer des images qui reflètent leur personnalité et leur esthétique. Il a également contribué à définir l’image de nombreux artistes, en leur proposant des idées pour leurs costumes, leur maquillage et leur coiffure.
Question 10 : Quel est le processus créatif de Mick Rock lorsqu’il prend des photos ?
Le processus créatif de Mick Rock varie selon les projets, mais il travaille souvent en étroite collaboration avec les artistes qu’il photographie pour créer des images qui reflètent leur personnalité et leur style. Il utilise également des techniques de post-production pour modifier et améliorer ses images.
Question 11: Quels sont les projets récents de Mick Rock ?
Mick Rock continue de travailler en tant que photographe et a récemment publié un livre de photographies intitulé « Mick Rock: The Rise of David Bowie, 1972-1973 ». Il a également travaillé sur des projets tels que la création d’une installation artistique pour la station de métro de Tottenham Court Road à Londres.
Question 12: Quels sont les conseils de Mick Rock pour les photographes en herbe ?
Mick Rock conseille aux photographes en herbe de travailler dur, d’être passionnés par leur travail, et de ne jamais perdre de vue leur vision artistique. Il recommande également de s’inspirer de la musique et de l’art pour créer des images qui ont une signification et une émotion fortes.
THE CURE concert & histoire : De tous les groupes qui ont émergé immédiatement après le punkrock à la fin des années 70, peu étaient aussi durables et populaires que The Cure.
Dirigé à travers de nombreuses incarnations par le guitariste/chanteur Robert Smith (né le 21 avril 1959), le groupe est devenu célèbre pour ses chants lents et sombres et Smith, l’apparence macabre de Cure, une image publique qui cachait souvent la diversité de la musique de The Cure.
The cure concert
Au début, The Cure jouait des chansons pop irrégulières et énervées avant d’évoluer lentement vers une tenue plus texturée. En tant que l’un des groupes qui a jeté les bases du rock gothique, le groupe a créé d’imposantes couches de guitares et de synthétiseurs, mais au moment où le goth s’est imposé au milieu des années 80, The Cure s’était éloigné du genre.
À la fin des années 80, le groupe était entré dans le courant dominant non seulement dans son Angleterre natale, mais aussi aux États-Unis et dans diverses parties de l’Europe.
The Cure est resté un attrait populaire pour les concerts et un vendeur de disques fiable tout au long des années 90, et leur influence pouvait être clairement entendue sur des dizaines de nouveaux groupes au cours du nouveau millénaire, dont beaucoup n’avaient pas grand-chose à voir avec le gothique.
Initialement appelé Easy Cure, le groupe a été formé en 1976 par des camarades de classe Smith (chant, guitare), Michael Dempsey (basse) et Laurence « Lol » Tolhurst (batterie). Initialement, le groupe s’est spécialisé dans la guitare pop sombre et nerveuse avec des paroles pseudo-littéraires, comme en témoigne le « Killing an Arab » inspiré d’ Albert Camus .
The cure concert
Une cassette démo avec « Killing an Arab » est arrivée entre les mains de Chris Parry , un représentant A&R chez Polydor Records; au moment où il a reçu la cassette, le nom du groupe avait été tronqué à The Cure.
Parry a été impressionné par la chanson et a arrangé sa sortie sur le label indépendant Small Wonder en décembre 1978.Parry a quitté Polydor pour former son propre label, Fiction, et The Cure a été l’un des premiers groupes à signer avec le label parvenu. « Killing an Arab » est ensuite réédité en février 1979, et The Cure entame sa première tournée en Angleterre.
THE CURE : Three Imaginary Boys
Le premier album de The Cure, Three Imaginary Boys , est sorti en mai 1979 avec des critiques positives dans la presse musicale britannique. Plus tard cette année-là, le groupe a sorti les singles non LP « Boys Don’t Cry » et « Jumping Someone Else’s Train ».
Cette même année, The Cure se lance dans une grande tournée avec Siouxsie and the Banshees . Pendant la tournée, le guitariste des Banshees , John McKay , quitte le groupe, et Smith a remplacé le musicien disparu. Pendant la décennie suivante, Smith collaborera fréquemment avec des membres des Banshees .
THE CURE : Seventee seconds
Fin 1979, The Cure sort un single, » I’m a Cult Hero « , sous le nom de Cult Heroes. Suite à la sortie du single, Dempsey quitte le groupe pour rejoindre les Associates ; il est remplacé par Simon Gallup au début des années 1980.
Parallèlement, The Cure s’adjoint un claviériste, Mathieu Hartley , et boucle la production du deuxième album du groupe, Seventeen Seconds ., qui a été publié au printemps 1980.
L’ajout d’un claviériste a élargi le son du groupe, qui était désormais plus expérimental et embrassait souvent des chants lents et sombres. Néanmoins, le groupe écrivait toujours des accroches pop, comme en témoigne le premier single à succès britannique du groupe, « A Forest », qui a culminé au numéro 31. Après la sortie de Seventeen Seconds , The Cure a lancé sa première tournée mondiale.
Après l’étape australienne de la tournée, Hartley a quitté la formation et ses anciens camarades du groupe ont choisi de continuer sans lui, sortant leur troisième album en 1981 ( Faith ) et le regardant culminer au numéro 14 dans les charts. Faith a également engendré le single à succès mineur « Primary ». Le quatrième album de The Cure, le doom-laden,, est sorti peu de temps après en 1982.
Pornography a encore élargi son public culte et a percé le Top Ten britannique. Une fois la tournée Pornography terminée, Gallup a quitté le groupe et Tolhurst est passé de la batterie aux claviers. Fin 1982, The Cure sort un nouveau single, le « Let’s Go to Bed » teinté de danse.
THE CURE : Hyaena
Smith a consacré la majeure partie du début de 1983 à Siouxsie and the Banshees , enregistrant l’ album Hyaena avec le groupe et apparaissant en tant que guitariste du groupe lors de la tournée d’accompagnement de l’album.
Cette même année, Smith forme également un groupe avec le bassiste des Banshees Steve Severin ; après avoir adopté le nom The Glove , le groupe sort son unique album, Blue Sunshine . À la fin de l’été 1983, une nouvelle version de The Cure – mettant en vedette Smith , Tolhurst , le batteur Andy Anderson et le bassiste Phil Thornalley– avait composé et enregistré un nouveau single, un morceau enjoué nommé « The Lovecats ».
La chanson est sortie à l’automne 1983 et est devenue le plus grand succès du groupe à ce jour, culminant à la septième place des charts britanniques. La nouvelle formation de The Cure a sorti The Top en 1984. Malgré les penchants pop du hit numéro 14 « The Caterpillar », The Top était un retour aux paysages sonores sombres de la pornographie .
Au cours de la tournée mondiale soutenant The Top , Anderson a été renvoyé du groupe. Au début de 1985, après la fin de la tournée, Thornalley quitte le groupe. The Cure a réorganisé sa formation après son départ, ajoutant le batteur Boris Williams et le guitariste Porl Thompson; Gallup revient à la basse.
THE CURE : The head on the door
Plus tard en 1985, The Cure sort son sixième album, The Head on the Door . L’album était le disque le plus concis et orienté pop que le groupe ait jamais sorti, ce qui a contribué à l’envoyer dans le Top Ten britannique et au numéro 59 aux États-Unis, la première fois que le groupe avait battu l’American Hot 100.
« In Between Days » et » Close to Me » – tous deux tirés de The Head on the Door – sont devenus des succès britanniques importants, ainsi que des succès populaires de la radio underground et universitaire aux États-Unis.
THE CURE : Kiss me, kiss me,kiss me
The Cure a suivi le succès retentissant de The Head on the Door en 1986 avec la compilation Standing on a Beach : The Singles. Standing on a Beach a atteint la quatrième place au Royaume-Uni, mais plus important encore, il a établi le groupe comme un groupe culte majeur aux États-Unis; l’album a culminé au numéro 48 et est devenu or en un an. En bref, Standing on a Beach a préparé le terrain pour le double album de 1987 Kiss Me, Kiss Me, Kiss Me .
the cure concert
L’album était éclectique mais c’était un succès, engendrant quatre singles à succès au Royaume-Uni (« Why Can’t I Be You », « Catch », « Just Like Heaven », « Hot Hot Hot !!! ») et le groupe premier hit américain du Top 40, « Just Like Heaven ». Après la tournée de soutien pour Kiss Me,, l’activité du Curé s’est ralentie.
Avant que The Cure ne commence à travailler sur leur nouvel album au début de 1988, le groupe a renvoyé Tolhurst , affirmant que les relations entre lui et le reste du groupe avaient été irrévocablement endommagées.
Tolhurst allait bientôt intenter une action en justice, affirmant que son rôle dans le groupe était plus important que celui indiqué dans son contrat et, par conséquent, il méritait plus d’argent.
THE CURE : Désintégration
Entre-temps, The Cure a remplacé Tolhurst par l’ancien claviériste de Psychedelic Furs Roger O’Donnell et a enregistré leur huitième album, Disintegration . Sorti au printemps 1989, l’album était plus mélancolique que son prédécesseur, mais ce fut un succès immédiat, atteignant le numéro trois au Royaume-Uni et le numéro 14 aux États-Unis, et engendrant une série de singles à succès.
» Lullaby » est devenu le plus grand succès britannique du groupe au printemps 1989, culminant au numéro cinq. À la fin de l’été, le groupe a eu son plus grand succès américain avec « Love Song », qui a grimpé au numéro deux. Sur la désintégrationtournée, The Cure a commencé à jouer dans des stades à travers les États-Unis et le Royaume-Uni.
À l’automne 1990, The Cure a sorti Mixed Up , une collection de remixes comprenant un nouveau single, « Never Enough ». Après la tournée Disintegration , O’Donnell a quitté le groupe et The Cure l’a remplacé par leur roadie, Perry Bamonte . Au printemps 1992, le groupe sort Wish .
Comme Disintegration , Wish a été un succès immédiat, entrant dans les charts britanniques au numéro un et les charts américains au numéro deux, ainsi que le lancement des singles à succès « High » et « Friday I’m in Love ».
The Cure s’est lancé dans une autre tournée internationale après la sortie de Wish. Un concert, joué à Detroit, a été documenté sur un film intitulé Show et sur deux albums, Show et Paris . Le film et les albums sont sortis en 1993.
THE CURE : Wild Mood Swings
Thompson a quitté le groupe en 1993 pour rejoindre le groupe de Jimmy Page et Robert Plant . Après son départ, O’Donnell a rejoint la formation en tant que claviériste et Bamonte est passé des fonctions de synthétiseur à la guitare. Pendant la majeure partie de 1993 et au début de 1994, les Cure ont été écartés par un procès en cours de Tolhurst , qui revendiquait la copropriété du nom du groupe et cherchait également à restructurer ses paiements de redevances.
Un règlement (décision en faveur du groupe) est finalement arrivé à l’automne 1994, et les Cure se sont concentrés sur la tâche à accomplir : enregistrer un album de suivi de Wish .
Cependant, le batteur Boris Williams démissionner juste au moment où le groupe se préparait à commencer le processus d’enregistrement. Le groupe a recruté un nouveau percussionniste grâce à des annonces dans les journaux musicaux britanniques; au printemps 1995, Jason Cooper avait remplacé Williams .
Tout au long de 1995, The Cure a enregistré son dixième album studio proprement dit, s’arrêtant pour effectuer une poignée de festivals de musique européens en été. L’album, intitulé Wild Mood Swings , sort finalement au printemps 1996, précédé du single « The 13th ».
THE CURE : Galore
Une combinaison de morceaux pop et de moments plus sombres à la hauteur de son titre, Wild Mood Swings a reçu un accueil mitigé critique et commercial, ralentissant mais n’arrêtant pas l’élan acquis par Wish .
Galore , la deuxième collection de singles de The Cure axée sur les succès du groupe depuis Standing on a Beach, est apparue en 1997 et a présenté la nouvelle chanson « Wrong Number ».
The Cure a passé les années suivantes tranquillement – donnant une chanson à la bande originale de X-Files, Robert Smith apparaissant dans un épisode mémorable de South Park – réapparaissant en 2000 avec Bloodflowers, leur dernier album de matériel original, pour Fiction.
Conçu comme le dernier volet d’une trilogie gothique lourde qui remontait jusqu’à la pornographie et incluait la désintégration , Bloodflowers a été bien accueilli et un succès respectable, remportant une nomination aux Grammy Awards pour le meilleur album de musique alternative.
L’année suivante, The Cure a conclu son contrat avec Fiction avec Greatest Hits , qui a également été accompagné d’une sortie DVD de leurs vidéos les plus populaires. En 2002, ils ont passé du temps sur la route, terminant leur tournée par une aventure de trois nuits à Berlin, où ils ont joué chaque album de leur « trilogie gothique » une nuit différente.
l’événement a été documenté sur la sortie vidéo à domicile Trilogy.
The cure & GEFFEN Records
The Cure signe un contrat international avec Geffen Records en 2003 puis lance une vaste campagne de réédition en 2004 avec le coffret de raretés Join the Dots : B-Sides & Rarities, 1978-2001 (The Fiction Years) ; des éditions étendues à double disque de leurs premiers albums ont rapidement suivi.
Toujours en 2004, le groupe sort son premier album pour Geffen, un effort éponyme enregistré en direct en studio. Plus lourd mais pas nécessairement plus dur – et certainement pas plus sombre que Bloodflowers – The Curea été en partie conçu pour plaire à un public plus jeune familier avec The Cure grâce à leur influence sur une nouvelle génération de groupes, dont beaucoup ont été présentés en première partie de la tournée de soutien du groupe pour l’album.
The Cure a subi un autre changement de composition en 2005, lorsque Bamonte et O’Donnell ont quitté le groupe et que Porl Thompson est revenu pour son troisième passage.
Cette nouvelle formation sans clavier a fait ses débuts en 2005 en tant que tête d’affiche du concert-bénéfice Live 8 Paris, puis s’est dirigée sur le circuit des festivals d’été, dont les temps forts ont été capturés sur la sortie DVD 2006 Festival 2005. The Cure est apparu dans divers festivals au cours des deux années suivantes, jouant une tournée européenne plus étendue au début de 2008, alors qu’ils terminaient leur 13e album.
Conçu à l’origine comme un double album, le disque a été divisé en deux avant sa sortie, avec le matériel plus léger et plus pop sorti en premier sous le nom de 4:13 Dream en octobre 2008. Après une pause de trois ans, le groupe est revenu sur le circuit live avec leur tournée « Reflections » – qui démarre en Australie et voit le retour du batteur et claviériste original Lol Tolhurst après environ 22 ans – qui a vu le groupe jouer ses trois premiers albums, Three Imaginary Boys , Seventeen Seconds et Faith, dans leur intégralité.
Un titre principal de 150 minutes couvrant toute la carrière au Bestival de 2011 sur l’île de Wight a été enregistré et sorti la même année et le groupe a continué à tourner tout au long de 2012 et 2013 avec des spectacles de festivals en Europe et en Amérique du Nord et des spectacles phares en Amérique latine.
Début 2014, Smith a annoncé qu’il sortirait la suite de 4:13 Dream plus tard en 2014, et qu’il poursuivrait également sa tournée « Reflections » avec une autre série d’albums complets, cette fois en interprétant The Top , The Head on the Door , et Kiss Me, Kiss Me, Kiss Me dans leur intégralité.
FAQ The Cure
1. Qui est The Cure ?
Réponse : The Cure est un groupe de rock britannique formé en 1976 par Robert Smith, Michael Dempsey et Lol Tolhurst. Le groupe est connu pour son style musical sombre et mélancolique, ainsi que pour l’apparence excentrique de ses membres.
2. Quelle est la carrière de The Cure ?
Réponse : The Cure a sorti son premier album en 1979, intitulé « Three Imaginary Boys ». Depuis lors, le groupe a sorti 13 albums studio, ainsi que de nombreux singles et compilations. Le groupe est également connu pour ses performances en direct, qui sont souvent accompagnées d’un éclairage et d’une scénographie spectaculaires.
3. Quel est le style musical de The Cure ?
Réponse : Le style musical de The Cure est souvent décrit comme étant du rock gothique, bien que le groupe ait exploré différents genres tout au long de sa carrière, notamment la new wave, le post-punk et le pop rock. Le son distinctif du groupe est caractérisé par la guitare mélancolique de Robert Smith et les textes introspectifs.
4. Quels sont les plus grands succès de The Cure ?
Réponse : The Cure a connu de nombreux succès tout au long de sa carrière, mais certains de ses plus grands hits incluent « Boys Don’t Cry », « Just Like Heaven », « Lovesong », « Friday I’m in Love », et « Pictures of You ».
5. Quel est l’album le plus vendu de The Cure ?
Réponse : L’album le plus vendu de The Cure est « Disintegration », sorti en 1989. L’album a été certifié double platine aux États-Unis et a été salué par la critique pour son atmosphère sombre et sa production élaborée.
6. Quel est le lien entre The Cure et le cinéma ?
Réponse : La musique de The Cure a été utilisée dans de nombreux films, notamment dans « Le Journal de Bridget Jones », « Le Labyrinthe de Pan », et « 500 jours ensemble ». Le groupe a également enregistré des chansons pour plusieurs films, notamment « The Crow » et « Batman Forever ».
7. Quelles sont les influences musicales de The Cure ?
Réponse : Les influences musicales de The Cure sont variées et incluent des groupes tels que Joy Division, Siouxsie and the Banshees, The Velvet Underground, et David Bowie. Le groupe a également été influencé par la musique classique et la musique électronique.
8. Quel est l’héritage de The Cure dans l’industrie musicale ?
Réponse : L’héritage de The Cure dans l’industrie musicale est considérable. Le groupe est considéré comme l’un des pionniers du rock gothique et a influencé de nombreux groupes dans ce genre. The Cure est également connu pour avoir innové dans la production musicale, en utilisant des techniques d’enregistrement avancées pour créer des atmosphères sonores uniques.
9. Quel est le statut actuel de The Cure ?
Réponse : The Cure est toujours actif et continue de tourner et de sortir de la musique. Le groupe a effectué sa dernière tournée en 2019 et a déclaré qu’il travaillait sur un nouvel album. Robert Smith, le leader de The Cure, a également déclaré qu’il avait de nombreuses idées pour l’avenir du groupe.
10. Qu’est-ce qui fait la renommée de The Cure ?
Réponse : La renommée de The Cure est due à son style musical unique, qui a influencé de nombreux autres artistes, ainsi qu’à son apparence excentrique et à ses performances en direct spectaculaires. Le groupe est également connu pour ses paroles introspectives et ses thèmes sombres, qui ont touché de nombreux fans à travers le monde.
Eric CANTO Photographe : Photos de concerts, portraits, pochettes d’albums.
« Comment devient-onphotographe de concert ? J’ai répondu à cette question un million de fois et de différentes manières, car il n’y a pas de moyen simple pour devenir photographe de concert.
Chaque photographe de concert aura son propre parcours créatif et professionnel. Il n’y a pas nécessairement une » bonne « façon de s’y rendre (l’art est subjectif), mais au cours des 10 dernières années en tant que photographe de concert, j’ai appris qu’il y a des choses à ne pas faire ou à faire dans le monde de la photographie de concert.
En tant que débutant, vous ne pouvez pas vous attendre à connaître toutes ces choses dès le départ.
C’est pourquoi je vais tenter de vous donner quelques conseils et astuces si vous êtes un nouveau photographe de concert dans une salle ou dans un festival. Je ne suis pas un expert, mais après quelques années d’expérience, de concerts et de grands festivals, je sais 2-3 choses qui pourront vous intéresser si vous voulez vous lancer dans la photo « live ».
Voici donc dix conseils pour les futurs photographes de concerts :
1. Photographe de concert : Shootez non stop !
Cela devrait être évident, mais vous devez littéralement shooter autant de concerts que vous le pouvez. Vous ne savez pas comment faire entrer votre réflexe en concert?
Ne vous inquiétez pas, je vais tout de suite entrer dans la partie la plus sérieuse. Pour l’instant, contactez certains groupes locaux et demandez si vous pouvez shooter leur concert.
Honnêtement, aucun groupe local ne refuse des photos gratuites si vous devez vous entraîner. Avouons-le, les musiciens sont un peu égoïstes – ils aiment les photos où ils ont l’air super cool sur scène (J’expliquerai en détail, plus tard, de la façon d’obtenir des pass photos pour les grands concerts).
Après…se faire la main au départ est une chose, mais travailler gratuitement en est une autre. Dans l’idée, il faut très rapidement se faire payer en tant que photographe , car c’est un boulot comme un autre.
Cela ne traverse l’esprit de personne d’entrer dans une boulangerie pour demander une baguette gratuite, car, si elle est bonne, vous en ferez la pub qui fera connaître la boulangerie. Pour les photos, c’est la même chose.
Photographes concert- Crédit photo Eric CANTO
2. Apprenez à connaître votre équipement
Apprenez à connaître votre appareil photo et ses paramètres pour devenir photographe . Même si ce n’est pas du live, prenez beaucoup de photos et habituez-vous à utiliser votre appareil, en particulier avec différents types de lumières, car l’éclairage de concert peut être complètement imprévisible (et parfois indésirable).
La plupart des photographes débutants pensent également qu’apprendre à utiliser leur équipement, c’est simplement connaître leur appareil photo, mais je pense aussi aux logiciels.
Utilisez Lightroom et Photoshop. Passez du temps à regarder des tutos relatif au logiciel utilisé– je sais que cela peut sembler ennuyeux …
Prenez une photo et modifiez-la de mille façons différentes. Apprenez à exploiter toutes les possibilités que vous offre le logiciel choisi, notamment en post-traitement, même si vous pensez que vous n’en aurez jamais besoin.
Vous serez reconnaissant quand il sera une heure du matin et que vous aurez un shoot à rendre dans sept heures, et que toutes vos photos auront été prises dans une lumière rouge ou bleue nettement sursaturée.
3. L’importance du Réseau pour le photographe
Je ne parle pas nécessairement de vendre à tous ceux que nous rencontrons, je parle simplement d’être ouvert aux gens, d’apprendre à les connaître. Cela devrait également aller de soi, mais vous serez surpris du nombre de portes qui s’ouvriront à vous si vous êtes amical et détendu.
Si vous êtes sur un festival et attendez le prochain groupe, entamez une conversation avec le service de sécurité. Rencontrez les organisateurs de concerts locaux, les personnes qui dirigent vos salles de concerts locales et les groupes locaux qui y jouent. Soyez présent et accessible.
Il est important d’apprendre, d’être agréable et de simplement travailler en restant cool, par téléphone et par e-mail, car au final, vous ferez beaucoup d’affaires par téléphone ou en ligne.
Cela peut paraître évident…mais vous vous rendrez compte que l’ego un peu démesuré se retrouve aussi auprès de certains photographes de concerts. On se détend, on fait juste des photos de concert, on ne sauve pas de vies.
C’est amusant parce que vous pouvez toujours travailler à trouver votre propre style de photographe , peu importe depuis combien de temps vous faites des concerts (ou autre). Après 10 ans, je continue d’apprendre chaque jour.
Y a-t-il un photographe particulier dont vous appréciez le style ? Jouez avec les photos de grands maîtres et voyez si vous pouvez les recréer ! Passez votre temps libre à découvrir ce qui fonctionne et ce qui ne fonctionne pas dans le cadrage, la composition.
Je ne saurais trop insister sur le fait que les didacticiels YouTube sont nos amis. Il y a toujours quelque chose de nouveau à apprendre !
Si vous ne travaillez pas pour une publication, obtenir un pass photo est probablement un peu plus difficile. Certaines salles et groupes sont plus indulgents que d’autres et vous permettent de photographier leur groupe pour constituer facilement votre portfolio.
Cependant, les places sur la liste des accréditations sont généralement réservées aux publications locales ou aux photographes en place. Parfois, vous obtenez uniquement un laissez-passer photo, mais pas un billet d’entrée.
J’ai profité de ces opportunités chaque fois qu’elles se présentaient, car elles me permettaient de construire mon portfolio de photographe lorsque je shootais pour celui-ci. Parfois, une production ne peut tout simplement pas vous accréditer, et si c’est le cas, soyez amical, respectueux et indulgent.
N’adoptez jamais une mauvaise attitude, les divas sont sur la scène, pas dans la fosse ;). Faites en sorte que l’on se souvienne de vous comme une personne agréable avec qui travailler.
Walls of Jericho – Crédit photo Eric CANTO
6. Pour être un photographe, il faut trouver un support de presse.
Si vous êtes un pigiste et que vous souhaitez passer à l’étape suivante (ou si vous voulez simplement faire plus d’artistes / groupes qui ont besoin d’un support médiatique), vous devez prendre une photo pour faire des publications. Cela inclut les stations de radio locales, les journaux, les blogs, les magazines, etc.
Recherchez partout.
Trouvez des publications nationales qui acceptent des candidatures à travers le pays / la région. Toutes ces autres compétences seront utiles ici. Vous devez envoyer des e-mails à ces personnes, vous devez avoir de l’expérience et un portfolio décent, vous devez être cool accessible, et souple dans votre approche.
Comme pour les tourneurs, certains de ces supports diront non ou ne répondront pas, mais ne vous laissez pas décourager. Essayez de toucher autant de personnes que possible, soyez amical et courtois et, finalement, des portes s’ouvriront à vous.
7. Suivre les règles….
Je pense que c’est l’une des choses les plus importantes de cette liste. Si vous avez reçu une accréditation pour un spectacle, respectez scrupuleusement les règles imposées. TOUJOURS suivre les règles et les conditions fixées par l’organisateur. La plupart du temps, vous serez autorisé à shooter sur les trois premières chansons, du crash, sans flash.
Cependant, cela peut varier selon la salle, l’artiste, le groupe. Dans 99% des cas, les règles sont fixées avant votre arrivée. Cela signifie également que vous devez respecter tous les contrats ou avis de non-responsabilité que vous devrez signer avant le concert.
Si vous prenez des photos du crash et que d’autres photographes sont avec vous, soyez poli. Ne restez pas au même endroit pendant la durée des trois chansons. Bougez.
De cette façon, vous obtiendrez non seulement beaucoup de photos, mais vous aurez également les mêmes chances de prendre de bonnes photos.
Vous ne devez pas vous faire d’ennemis parmi vos pairs, car ils vous aideront lorsque vous en aurez vraiment besoin. De plus, en tant que photographe de concert, vous êtes là pour ramener un extrait visuel du concert, mais jamais pour priver le groupe ou le public de cette expérience.
Ne faites rien que vous ne voudriez pas que quelqu’un vous fasse, par exemple en vous tenant sur les barrières et en bloquant la vue d’un fan.
Scorpions – Crédit photo Eric CANTO –
8. Apprenez à envoyer des e-mails
Je sais que cela semble un peu bizarre, et vous vous demandez peut-être: « Quel est le lien entre la messagerie électronique et la photographie de concert? Je veux juste sortir et prendre des photos! »
En effet, savoir envoyer des emails a tout à voir avec la photographie de concert. Si vous souhaitez prendre une photo d’un groupe local, mais que vous ne le connaissez pas, vous devez lui envoyer un e-mail.
Si vous souhaitez prendre une photo d’un groupe en tournée, vous devez, comme vous le soupçonniez, envoyer une demande par e-mail à son tourneur ou à son management.
Ce sont des gens qui reçoivent des centaines ou des milliers de courriels chaque jour, et la dernière chose à laquelle ils veulent faire face est quelqu’un qui est impoli.
Étonnamment, ils ne veulent pas lire toute l’histoire de votre vie, tous vos groupes préférés ni pourquoi vous voulez shooter cet artiste.
GHOST- Crédit photo Eric CANTO –
Lorsque vous envoyez un e-mail à un tourneur / manager pour demander un pass photo pour un concert, il y a trois choses à considérer: soyez courtois, précis et clair.
Lorsque vous leur envoyez un e-mail, soyez bref, précis: de qui voulez-vous prendre des photos? Où et quand? Quel est votre nom ? Pour qui ou pourquoi photographiez vous? Pour votre portfolio ou pour une publication ? Ce sont toutes des choses qu’un manager aimerait savoir.
Un simple e-mail sans fioritures doit être envoyé 10 à 14 jours avant le spectacle et ressemble à ceci:
« Bonjour [SALLE / MANAGER], Je m’appelle [NOM]. Je vous contacte, car je souhaite photographier [GROUPE] à [SALLE] à [VILLE] le [DATE]. Je n’ai besoin que d’un pass photo pour photographier le spectacle et les images sont utilisées pour mon portfolio. Je peux vous envoyer un lien vers les photos une fois celles-ci terminées. Merci beaucoup pour votre temps !
9. Photographe de concert, kiffez, oubliez la concurrence
L’idée est de passer plus de temps à se concentrer sur son propre travail que sur celui des autres. La concurrence avec vos pairs est absolument inutile, ni pour vous ou pour la scène musicale.
Vous pouvez vous soucier de ce qui vous rend spécial, de ce qui vous rend commercialisable ou de ce qui vous différencie des autres, mais à partir du moment où vous essayez d’être « meilleur que » ou « plus populaire que » quelqu’un d’autre ce n’est plus votre travail artistique, mais celui de quelqu’un d’autre.
Prenez soin de votre boîtier, de vos objectifs et de votre passion. Il s’agit de vous améliorer et de shooter ce que vous aimez shooter. Rester intègre, accessible et modeste vous permettra de faire de belles rencontres, et vous tisserez des liens précieux avec d’autres photographes, vous créerez votre réseau tout au long de cette belle aventure qu’est la photographie de concert.
Les autres photographes sont ceux qui vous prêtent une batterie supplémentaire lorsque la vôtre est morte voire même une carte mémoire de batterie supplémentaire si vous avez oublié la vôtre. Ce sont ces mêmes personnes qui vous alertent lorsqu’un fan atterrit sur votre tête.
Ils vous tapotent doucement l’épaule quand ils veulent vous dépasser dans la fosse photo au lieu de vous cogner et gâcher votre photo. C’est aussi avec eux que vous partagez une bonne bière après un concert. Ces personnes soutiendront votre travail parce que vous soutiendrez le leur, au lieu de vous faire concurrence.
Chacun travaille à son rythme. Vous pouvez utiliser le téléobjectif si vous découvrez à la dernière minute que vous avez besoin de prendre des photos à partir de la table de mix.
Si jamais vous vous sentez découragé par votre travail, je vous recommande de regarder les premières photos que vous avez prises et de les comparer avec vos dernières photos.
Elles sont probablement bien meilleures que celles qui datent de quelques années, même il y a quelques mois. Vous continuerez à grandir en tant que photographe, mais vous devez vous obliger à le faire.
Défiez-vous, des photos ou des artistes que vous ne shootez pas normalement, shootez dans des lieux minuscules et découvrez comment vous en sortir ! Utilisez tous les conseils que vous donnent des photographes avec plus d’expérience et continuez à shooter.
Si vous avez des questions, n’hésitez pas à les poser autour de vous, dans le pit, auprès de vos collègues photographes.
Un photographe de concert ne deviendra jamais millionnaire, par contre, il rencontrera beaucoup de monde, des passionnés, des musiciens, d’autres photographes qui auront, à coup sûr, une passion en commun avec vous : la scène.
Julien Doré – Festival de Nîmes – Crédit photo Eric CANTO
Eric CANTO Photographe : Photos de concerts, portraits, pochettes d’albums.
Vous avez déjà entendu parler de Slash. Si vous aimez le rock, vous connaissez sans doute ses solos endiablés, ses riffs reconnaissables entre mille, et ce look emblématique : un chapeau haut de forme, des lunettes noires, et une GibsonLes Paul qu’il manie comme personne. Slash, c’est la définition même du guitar hero, celui qui a marqué des générations entières avec des morceaux qui résonnent encore aujourd’hui.
Né Saul Hudson à Londres en 1965, Slash est devenu le guitariste principal des légendaires Guns N’ Roses dans les années 80. Mais son influence va bien au-delà d’un groupe. Slash a contribué à la renaissance du rock, un genre en pleine évolution à l’époque. Entre sa technique incroyable et son sens inné de la mélodie, il est devenu une figure incontournable du paysage musical.
Alors, qu’est-ce qui rend Slash si spécial ? Pourquoi est-il considéré comme l’un des plus grands guitaristes de tous les temps ? Plongeons ensemble dans l’univers d’un homme qui a littéralement écrit l’histoire du rock’n’roll avec ses solos de guitare.
I. Les débuts de Slash : d’un enfant de Londres à une légende du rock
1.1 Une enfance bercée par la musique
Slash n’était pas destiné à devenir une légende du rock. Né à Stoke-on-Trent, en Angleterre, en 1965, il est le fils d’un artiste anglais et d’une créatrice de costumes américaine qui a travaillé pour des stars comme David Bowie. À seulement 5 ans, Slash déménage avec sa mère à Los Angeles, une ville qui allait bientôt devenir le terrain de jeu de sa carrière.
Un environnement créatif : Dès son plus jeune âge, Slash a été plongé dans le monde de la création artistique. Sa mère travaillait pour des stars du rock, ce qui lui a permis d’être en contact avec des musiciens et des artistes dès son plus jeune âge. Cette immersion dans la musique et la créativité a fortement influencé son avenir.
L’appel de la guitare : À 14 ans, Slash découvre la guitare grâce à un ami, et là, tout change. Il se consacre corps et âme à l’apprentissage de l’instrument, pratiquant des heures chaque jour, jusqu’à développer son style si unique. Il cite des artistes comme Eric Clapton, Jimi Hendrix, et Jimmy Page comme ses plus grandes influences.
1.2 La rencontre avec Guns N’ Roses
Le destin de Slash change radicalement lorsqu’il rencontre Axl Rose, Izzy Stradlin, Duff McKagan, et Steven Adler. Ensemble, ils forment les Guns N’ Roses en 1985, un groupe qui va révolutionner la scène rock.
Des débuts modestes : Les Guns N’ Roses commencent à se produire dans des clubs de Los Angeles, attirant rapidement l’attention avec leur mélange explosif de punk, rock et blues. Leurs concerts sont sauvages, bruts, et chargés d’énergie.
L’ascension fulgurante : Leur premier album, Appetite for Destruction, sorti en 1987, devient un véritable phénomène. Des titres comme « Sweet Child O’ Mine« , « Welcome to the Jungle« , et « Paradise City » propulsent le groupe au rang de légende. Slash, avec ses solos enflammés et son style unique, devient rapidement une star.
Slash guitariste
II. Le style unique de Slash : entre blues et riffs percutants
2.1 Une technique reconnaissable parmi toutes
Slash est souvent considéré comme un guitariste aux racines blues, mais capable d’ajouter une touche rock moderne qui rend chaque morceau mémorable. Sa technique repose sur plusieurs éléments clés qui ont fait sa renommée.
Le vibrato précis : Un des aspects les plus reconnaissables du jeu de Slash est son vibrato unique. Chaque note qu’il joue semble vibrer avec une émotion brute, donnant à ses solos une intensité particulière. Il a réussi à perfectionner cette technique au point de la rendre instantanément identifiable.
Les bends expressifs : Slash est aussi célèbre pour ses bends, ces notes qu’il fait monter ou descendre tout en douceur, presque comme s’il racontait une histoire avec sa guitare. Dans des solos comme celui de « November Rain« , chaque bend est une montée en puissance, un cri qui transcende la simple technique.
Un mélange de vitesse et de précision : Contrairement à certains guitaristes qui misent tout sur la vitesse, Slash privilégie la précision. Même dans les morceaux les plus rapides, il prend soin que chaque note soit claire et distincte. Il n’est jamais esclave de la technique, mais plutôt au service de l’émotion.
2.2 Gibson Les Paul : l’arme de prédilection de Slash
On ne peut pas parler de Slash sans mentionner sa Gibson Les Paul, un modèle qu’il a rendu encore plus légendaire. Cet instrument, avec ses courbes élégantes et son son chaleureux, est devenu l’extension naturelle du guitariste.
Le choix de la Les Paul : Slash a opté pour la Les Paul parce qu’elle offrait le son qu’il cherchait : riche, épais, avec une capacité à se démarquer dans un mix rock’n’roll. Il a souvent dit que cette guitare était celle qui lui permettait de mieux s’exprimer.
Une symbiose parfaite : Ce modèle de guitare, entre les mains de Slash, est devenu un symbole du rock classique. Chaque note qu’il joue semble couler naturellement de l’instrument, comme si les deux étaient faits l’un pour l’autre.
Le son iconique : Avec ses micros humbucker, la Les Paul produit un son qui est à la fois doux et percutant, parfait pour les solos longs et émotionnels de Slash, mais aussi pour les riffs plus lourds et entraînants.
III. L’après Guns N’ Roses : Slash se réinvente
3.1 Slash’s Snakepit : une aventure solo
Après des tensions internes avec Axl Rose et la dissolution progressive de la formation classique des Guns N’ Roses dans les années 90, Slash décide de créer son propre projet, Slash’s Snakepit, en 1994.
Un retour aux racines : Avec ce projet, Slash voulait revenir à un rock plus brut et direct, loin des tensions et des pressions entourant les Guns N’ Roses. It’s Five O’Clock Somewhere, le premier album de Slash’s Snakepit, reçoit un accueil mitigé, mais les fans de Slash apprécient son retour à un rock authentique et décomplexé.
Un exutoire créatif : Slash a décrit Slash’s Snakepit comme un moyen de s’exprimer sans avoir à se soucier des dynamiques de groupe complexes qui pesaient sur Guns N’ Roses à l’époque. C’était son terrain de jeu personnel, un espace où il pouvait laisser libre cours à ses instincts rock.
3.2 Velvet Revolver : la renaissance
Après quelques années en solo, Slash rejoint un nouveau groupe, Velvet Revolver, en 2002, aux côtés de plusieurs anciens membres des Guns N’ Roses, ainsi que du chanteur de Stone Temple Pilots, Scott Weiland.
Un supergroupe explosif : Velvet Revolver est rapidement salué comme l’un des supergroupes les plus prometteurs du début des années 2000. Leur premier album, Contraband (2004), connaît un succès commercial et critique, en grande partie grâce à des hits comme « Slither » et « Fall to Pieces« .
Une nouvelle énergie : Slash semble revitalisé dans Velvet Revolver, offrant certains de ses solos les plus puissants depuis Guns N’ Roses. Ce groupe permet à Slash de combiner son style classique avec une énergie grunge et moderne qui le connecte à une nouvelle génération de fans.
Slash guitariste
IV. L’héritage de Slash dans le monde du rock
4.1 Une icône toujours active
Même après plusieurs décennies sur le devant de la scène, Slash reste une figure active du rock contemporain. Que ce soit avec Guns N’ Roses, Velvet Revolver ou en tant qu’artiste solo, il continue de se produire, d’enregistrer des albums, et de repousser les limites de son art.
Collaborations et projets solo : Slash a collaboré avec de nombreux artistes, de Michael Jackson à Ozzy Osbourne, prouvant que son talent transcende les genres. Ses projets solo, notamment avec Myles Kennedy (chanteur d’Alter Bridge), ont aussi été salués pour leur qualité et leur créativité.
4.2 Un modèle pour les générations futures
Slash n’est pas simplement un guitariste exceptionnel, il est aussi un modèle pour de nombreux musiciens et fans du monde entier. Il a prouvé que la guitare pouvait être bien plus qu’un simple instrument ; entre ses mains, elle devient une extension de son être, un moyen d’expression unique.
Influence sur les jeunes musiciens : Des générations entières de guitaristes ont été inspirées par son jeu. Nombreux sont ceux qui ont appris leurs premiers riffs sur « Sweet Child O’ Mine » ou ont tenté de reproduire son célèbre solo sur « November Rain« . Pour de nombreux musiciens débutants, Slash représente ce que le rock’n’roll peut avoir de plus pur et de plus passionné.
Un style inimitable : Alors que certains guitaristes sont connus pour leur vitesse ou leur technique, Slash est salué pour sa capacité à raconter une histoire à travers sa guitare. Il joue avec émotion, et chaque note semble avoir un sens. C’est cette capacité à allier technique et expression qui en fait un modèle pour les jeunes musiciens cherchant à développer leur propre style.
Un look iconique : Ce fameux chapeau haut de forme, ces lunettes de soleil, et cette Gibson Les Paul. Le look de Slash est immédiatement reconnaissable et participe à son charisme sur scène. Au-delà de la musique, il a aussi influencé la culture visuelle du rock.
V. Slash aujourd’hui : un héritage vivant et un guitariste indémodable
5.1 Le retour de Guns N’ Roses
Après des années de séparation, les fans du monde entier ont eu la surprise de voir Slash rejoindre Guns N’ Roses pour une tournée mondiale en 2016, intitulée Not In This Lifetime Tour. Cette tournée marquait le grand retour de Slash aux côtés d’Axl Rose, après deux décennies de tensions entre les membres.
Une réunion historique : La tournée Not In This Lifetime a été un véritable événement mondial, rassemblant des millions de fans à travers des concerts mémorables. Les retrouvailles entre Slash et Axl sur scène étaient plus que symboliques, et leur alchimie musicale intacte a ravi les fans de longue date.
Un nouvel album ? : Bien que des rumeurs persistent quant à l’enregistrement d’un nouvel album studio avec les membres historiques de Guns N’ Roses, Slash reste évasif sur la question, laissant le mystère planer. Cependant, les fans sont optimistes et espèrent un retour en studio pour immortaliser cette renaissance.
5.2 Slash, un artiste solo accompli
Outre ses projets avec Guns N’ Roses, Slash continue de développer sa carrière solo. En collaboration avec Myles Kennedy et The Conspirators, il a sorti plusieurs albums qui ont rencontré un succès critique et commercial. Leur chimie musicale est indéniable, et ensemble, ils repoussent les frontières du rock moderne.
Les albums solo : Slash a déjà sorti plusieurs albums sous son propre nom, notamment Apocalyptic Love (2012), World on Fire (2014) et Living the Dream (2018). Ces albums montrent que Slash est toujours aussi créatif, expérimentant de nouveaux sons tout en restant fidèle à son style unique.
Une tournée constante : Qu’il soit sur scène avec Guns N’ Roses ou avec Myles Kennedy, Slash est un performer infatigable. Il passe une grande partie de son temps en tournée, jouant dans les plus grandes salles du monde, prouvant que, même après toutes ces années, il reste l’un des guitaristes les plus respectés de la scène rock.
Conclusion : Slash, une légende du rock’n’roll toujours en mouvement
Slash est plus qu’un simple guitariste ; il est un phénomène. Que ce soit à l’époque des Guns N’ Roses, avec Velvet Revolver ou dans sa carrière solo, il a marqué chaque projet de son empreinte indélébile. Avec son look iconique, son jeu de guitare puissant et sa capacité à transcender les genres, il est devenu un symbole du rock’n’roll dans toute sa splendeur.
Aujourd’hui encore, il continue de faire vibrer les scènes du monde entier, prouvant que son héritage est loin d’être figé dans le passé. Slash est une légende vivante, et chaque nouvelle note jouée est une pièce supplémentaire de l’histoire du rock qu’il continue d’écrire avec passion.
FAQ Slash
1. Pourquoi Slash est-il considéré comme l’un des plus grands guitaristes de tous les temps ?
Slash est souvent cité parmi les plus grands guitaristes de l’histoire du rock pour plusieurs raisons. D’abord, il a développé un style unique, mêlant influences blues et rock avec une fluidité et une expressivité incomparables. Ensuite, ses riffs et solos sont devenus emblématiques, reconnaissables entre mille, et ont marqué des générations de musiciens. Des morceaux comme « Sweet Child O’ Mine », « November Rain », et « Paradise City » sont des exemples parfaits de son génie musical.
Signature sonore : Slash a un son immédiatement identifiable, en partie grâce à sa Gibson Les Paul, mais aussi grâce à sa maîtrise du vibrato et des bends, qui ajoutent une dimension émotionnelle à chaque note.
Solos intemporels : Ses solos ne sont pas seulement techniques, ils racontent une histoire. Par exemple, le solo de « November Rain » est considéré comme l’un des plus grands de tous les temps, grâce à sa progression lente et majestueuse qui culmine dans une explosion d’émotion.
Influence durable : Slash a inspiré des milliers de guitaristes à travers le monde. Même aujourd’hui, des jeunes musiciens apprennent à jouer la guitare en reproduisant ses riffs, preuve de l’impact durable de son style.
2. Comment Slash a-t-il influencé la guitare rock moderne ?
Slash a eu une influence majeure sur la guitare rock moderne, surtout à une époque où le rock était dominé par le heavy metal ou les groupes de hair metal des années 80. Il a ramené un son plus brut et authentique, basé sur les racines du blues et du rock classique.
Retour aux sources : Alors que beaucoup de guitaristes de son époque se concentraient sur la virtuosité technique et la vitesse, Slash a prouvé que l’émotion et le feeling étaient tout aussi importants. Son jeu se distingue par sa capacité à communiquer des sentiments à travers des riffs simples mais puissants, ainsi que des solos mélodiques.
Popularisation de la Gibson Les Paul : Bien que la Les Paul soit un modèle de guitare mythique depuis les années 50, Slash l’a remise sous les feux de la rampe dans les années 80, contribuant à une résurgence de cet instrument auprès des jeunes guitaristes. Il a démontré que la Les Paul pouvait offrir à la fois des sons doux et chauds pour des ballades, mais aussi un ton lourd pour des riffs rock intenses.
3. Quelle est la relation entre Slash et Axl Rose ?
La relation entre Slash et Axl Rose a été tumultueuse, marquée par des périodes d’amitié, de collaboration musicale intense, mais aussi de conflits et de séparations. Les tensions entre les deux icônes du rock ont contribué à la dissolution de la formation originale de Guns N’ Roses dans les années 90.
Collaboration fructueuse : Au début, la collaboration entre Slash et Axl a donné naissance à certains des plus grands hits du rock. Leur alchimie musicale était indéniable, Axl apportant une voix puissante et charismatique, et Slash produisant des riffs et des solos mémorables. Ensemble, ils ont créé des albums légendaires comme Appetite for Destruction.
Conflits internes : Cependant, au fil des années, des divergences artistiques et personnelles ont émergé. Axl Rose a progressivement pris le contrôle créatif du groupe, et Slash, qui voulait plus de liberté musicale, a quitté le groupe en 1996. Pendant près de 20 ans, les deux artistes ont été en froid, échangeant parfois des mots durs dans les médias.
Réconciliation : En 2016, contre toute attente, Slash et Axl se sont réconciliés, marquant le début de la tournée « Not In This Lifetime » qui a vu Guns N’ Roses se reformer avec plusieurs membres originaux. Depuis, leur relation semble apaisée, et ils continuent de collaborer musicalement.
4. Quelle a été l’influence de Slash sur Guns N’ Roses ?
Slash est l’un des piliers fondateurs du son de Guns N’ Roses. Sans lui, les morceaux emblématiques du groupe n’auraient probablement pas eu le même impact.
Des riffs emblématiques : Slash est responsable de certains des riffs les plus célèbres du groupe. Par exemple, le riff d’ouverture de « Sweet Child O’ Mine » a été créé presque par accident, mais il est devenu l’un des riffs les plus reconnaissables de l’histoire du rock. De même, le riff de « Welcome to the Jungle » capte l’énergie brute de la scène rock des années 80.
Solos mémorables : Les solos de Slash ont joué un rôle crucial dans l’identité sonore de Guns N’ Roses. Des morceaux comme « November Rain » et « Estranged » mettent en avant sa capacité à combiner des passages techniques avec des mélodies captivantes et émotionnelles.
Image visuelle : Au-delà de la musique, Slash a contribué à l’image visuelle de Guns N’ Roses. Son look iconique, avec son chapeau haut de forme et ses cheveux longs, est devenu indissociable de l’identité du groupe.
5. Pourquoi Slash a-t-il quitté Guns N’ Roses dans les années 90 ?
Le départ de Slash de Guns N’ Roses dans les années 90 était principalement dû à des conflits internes et des différences créatives avec Axl Rose. Au fur et à mesure que le groupe devenait plus célèbre, Axl a pris de plus en plus de contrôle sur la direction musicale du groupe, ce qui a créé des tensions avec Slash.
Désaccords sur le son : Axl voulait que Guns N’ Roses adopte une approche plus expérimentale et diversifiée, incorporant des éléments de musique électronique et de symphonie, tandis que Slash voulait rester fidèle aux racines rock plus brutes du groupe. Ces différences ont mené à une rupture inévitable entre les deux membres.
Fatigue émotionnelle et épuisement : Après des années de tournées intenses et de pression pour produire des albums à succès, Slash a également ressenti un épuisement émotionnel et créatif. Les conflits au sein du groupe, ainsi que les difficultés de communication avec Axl, ont contribué à sa décision de quitter le groupe en 1996.
6. Comment Slash a-t-il géré sa carrière après Guns N’ Roses ?
Après avoir quitté Guns N’ Roses en 1996, Slash a exploré plusieurs avenues musicales, cherchant à se réinventer tout en restant fidèle à ses racines rock.
Slash’s Snakepit : En 1994, Slash a lancé son projet Slash’s Snakepit, un groupe qu’il a formé en parallèle avec Guns N’ Roses avant de s’y consacrer pleinement après son départ. Le groupe a sorti deux albums, It’s Five O’Clock Somewhere (1995) et Ain’t Life Grand (2000), qui ont reçu des critiques mitigées mais ont trouvé un public fidèle parmi les fans de rock.
Velvet Revolver : En 2002, Slash a rejoint un supergroupe appelé Velvet Revolver, composé d’anciens membres de Guns N’ Roses et du chanteur de Stone Temple Pilots, Scott Weiland. Velvet Revolver a connu un succès commercial avec leur premier album Contraband (2004), qui comprenait des hits comme « Slither » et « Fall to Pieces ». Le groupe a duré jusqu’en 2008, date à laquelle il s’est dissous en raison de conflits internes.
Carrière solo : Depuis 2010, Slash a également poursuivi une carrière solo réussie, collaborant avec le chanteur Myles Kennedy et son groupe, The Conspirators. Ensemble, ils ont sorti plusieurs albums, et leur collaboration continue de susciter l’enthousiasme des fans.
7. Quelle est la relation de Slash avec Myles Kennedy ?
La collaboration entre Slash et Myles Kennedy est l’une des plus fructueuses de la carrière post-Guns N’ Roses de Slash. Kennedy, qui est également le chanteur d’Alter Bridge, a apporté une nouvelle dynamique à la musique de Slash, alliant virtuosité à expressivité vocale.
Chimie musicale : Ensemble, Slash et Myles Kennedy ont sorti plusieurs albums à succès, dont Apocalyptic Love (2012), World on Fire (2014), et Living the Dream (2018). Kennedy est un chanteur polyvalent, capable d’ajouter à la fois puissance et émotion aux compositions de Slash, ce qui en fait un duo complémentaire.
Tournées mondiales : Le groupe Slash featuring Myles Kennedy and the Conspirators a également entrepris plusieurs tournées mondiales, jouant des titres issus de la carrière solo de Slash, ainsi que des classiques de Guns N’ Roses. Leur collaboration continue de se renforcer, et les fans attendent toujours avec impatience leurs nouvelles sorties musicales.
8. Quels sont les albums les plus marquants de Slash en solo ?
Slash a publié plusieurs albums solo qui ont été bien accueillis par la critique et les fans. Voici quelques-uns des plus marquants :
Slash (2010) : Cet album est le premier véritable album solo de Slash, et il fait appel à une série de chanteurs invités, dont Ozzy Osbourne, Fergie, et Chris Cornell. Cet album a montré la capacité de Slash à s’adapter à différents styles tout en restant fidèle à son son caractéristique.
Apocalyptic Love (2012) : Cet album marque le début de sa collaboration avec Myles Kennedy et The Conspirators. Il est plus cohérent que son premier album solo, et contient des morceaux puissants comme « Anastasia », qui met en avant les talents de guitariste de Slash.
World on Fire (2014) : Cet album a été salué pour son intensité et son énergie. Le morceau titre, « World on Fire », est l’un des plus gros succès solo de Slash, combinant riffs percutants et mélodies accrocheuses.
Living the Dream (2018) : Dernier album en date, Living the Dream continue de montrer la vitalité de Slash en tant qu’artiste solo, avec des morceaux comme « Driving Rain » et « Mind Your Manners ».
9. Quels sont les modèles de guitare préférés de Slash ?
Slash est surtout connu pour jouer sur des Gibson Les Paul, un modèle qui est devenu indissociable de son son et de son image.
Gibson Les Paul : La Les Paul est la guitare préférée de Slash, en grande partie grâce à sa tonalité riche et chaleureuse. Slash utilise principalement des modèles Custom Shop qui sont conçus sur mesure pour répondre à ses besoins spécifiques. Il a également une série signature chez Gibson qui reproduit les spécifications exactes de ses guitares les plus utilisées.
B.C. Rich Mockingbird : Au début de sa carrière, Slash a également joué sur une B.C. Rich Mockingbird, notamment sur certains des premiers concerts de Guns N’ Roses. Cette guitare, au design unique, a contribué à façonner son son avant qu’il ne se tourne définitivement vers la Les Paul.
Marshall Amplifiers : En plus de ses guitares, Slash est également connu pour utiliser des amplificateurs Marshall, qui ajoutent une distorsion classique à son son et lui permettent de créer des solos puissants et accrocheurs.
Depuis sa création, le rock est un genre musical qui a toujours rassemblé et offert des concerts de rock incroyables à tous ses fans. Certains concerts de rock restent encore dans les annales comme spectacles mythiques comme The Jimi Hendrix Experience, Monterey en 1967, The Rolling Stones, Hyde Park 1969, The Beatles, Shea Stadium 1965…et j’en passe.
Dans cet article, vous en saurez un peu plus sur les meilleurs et plus mythiques grands concerts de Rock qui ont été donnés dans toute l’histoire du genre.
Chaque concert est un spectacle sans précédent qui démontre que seul le Rock est capable de réunir en un seul et même lieu autant de spectateurs et susciter autant d’émotions et d’énergie.
Concert des Monsters of Rock (1991) Moscou – Tushino Airfield (audience estimée à plus de 1,6 million)
Imaginez qu’un festival puisse réunir tous vos artistes / groupes de rock et de métal préférés. Le festival Tushino Airfield à Moscou est considéré comme l’un des meilleurs de l’histoire, car non seulement il a la réputation d’être l’un des plus massifs qui réussit à rassembler les meilleures icônes du rock et du métal en une journée.
Le Concert des Monsters of Rock (1991) à Moscou est devenu avec le temps une belle référence emprunt de nostalgie, à cause notamment de la disparition de certaines légendes comme le légendaire guitariste de Pantera, Dimebag Darrell. Seuls les monstres du rock pouvaient accomplir cela.
L’aérodrome de Tushino à Moscou était le seul lieu pouvant recevoir toutes ces icônes et légendes de la musique rock et métal pour offrir un spectacle épique dans un endroit où les tensions au niveau politique étaient complètement saturées.
En effet, cet événement a représenté un moment d’exception et de liesse pour beaucoup notamment au regard de cette période historique qu’a été la chute de l’Union Soviétique. Dans ce contexte si tendu, ce concert a été un des plus fantastiques de l’histoire du rock: AC-DC, The Black Crows, Pantera ou encore Metallica, les plus grands noms du rock étaient bien présents.
Concerts de rock : Rolling Stones (2006) à Rio de Janeiro – Copacabana Beach (1,5 million de personnes)
Tout le monde les connaît, leur renommée les précède.
Les Rolling Stones sont l’un des groupes de rock les plus influents qui n’aient jamais existé. Et ils ont toujours marqué une voie à suivre pour les autres artistes du genre.
Les Rolling Stones ont décidé en 2006 de répéter l’exploit de Rod Stewart de 1994, sur la même scène de Rio. Plus de 1,5 million de personnes ont répondu présentes.
Une fois de plus, Copacabana a assisté à un exploit musical qui a réuni près de 2 millions de spectateurs pour voir les fantastiques Rolling Stones jouer les chansons les plus symboliques de leur tournée « A Bigger Bang ».
Mick Jagger, le leader du groupe, a donné au concert le titre de «la plus grande fête du monde».
La scène de cet inoubliable spectacle des Rolling Stones devait être construite à une hauteur difficile à croire, près de 24 mètres de haut pour pouvoir être vue par le plus de monde possible.
Concerts de rock : Rolling Stones
Concerts de rock : Woodstock Festival (1969) Sullivan County, États-Unis (plus de 400.000 personnes)
Quand on dit «festival» ou » Concert de rock« , le premier mot qui nous vient à l’esprit est «Woodstock», car grâce à son succès, il est devenu une référence, une légende.
White Lake, une ferme dans le hameau de Bethel, comté de Sullivan, abritait dans ses 240 hectares plus de 400 000 personnes, réunies pour profiter d’un spectacle sans précédent dans lequel se sont produits les plus grands artistes de la scène rock de l’époque.
Ce festival emblématique n’ a finalement pas duré que 3 jours mais bien 4, en réunissant 32 artistes au total. Même Les conditions météorologiques défavorables et l’organisation chaotique n’ont pas pu faire décourager le demi million de festivaliers.
Non seulement artistiquement et musicalement, ce concert était fou, mais il rassemblait également toute une génération de jeunes, marquée par les violences et les guerres, qui s’élevait ainsi, en prônant paix. L’acheminement de ces 400 000 personnes a causé embouteillages et un certain chaos dans les environs de la ville de Bethel, qui le temps d’un week-end est devenue l’une des trois villes les plus peuplées de l’Etat de New-York.
Cette alternative « anti-guerre et anti-violence », a été décrite comme un festival emblématique de la culture «Hippie», et pour de nombreuses personnes, les symboles emblématiques de la paix sont nés dans cet événement. Toutes les spectateurs et artistes réunis étaient contre la guerre du Vietnam, comme Jimi Hendrix, qui lors de ce festival, pour protester et réclamer la paix, a joué l’hymne national des États-Unis sur un solo de guitare.
De plus, Joe Cocker a également réalisé une performance spectaculaire en jouant une reprise des Beatles «With a little help from my friends». Ce morceau a reçu un accueil incroyable pour toutes les personnes présentes.
Concerts de rock : Woodstock
Concerts de rock : Rod Stewart (1994) Rio de Janeiro – Copacabana Beach (3,5 – 4,2 millions de personnes)
Nous commençons ce festival avec un concert fantastique et inégalé, celui de Rob Stewart à Rio de Janeiro. Plus de 3,5 millions de personnes réunies dans un concert spectaculaire. Copacabana Beach a connu l’un des exploits musicaux les plus spectaculaire de l’histoire.
En décembre 1994, le 31 plus précisément, c’est déroulé un concert entièrement gratuit puisque l’icône du rock britannique a exprimé son intention d’offrir à chaque citoyen un spectacle inoubliable, qu’il puisse ou non payer leur place.
Le sentiment que près de 4 millions de personnes chantent et dansent au rythme de ses chansons les plus célèbres était sûrement écrasant mais certainement inoubliable.
Bien que l’on pense que presque toutes les personnes présentes ne pouvaient le voir sur scène, tout le monde a pleinement apprécié chacune de ses notes.
Rod Stewart était tellement excité à l’idée de partager sa musique avec autant de personnes qu’il a offert une fête inoubliable. Le chanteur écossais a révélé d’ailleurs avoir fait appel à un sorcier brésilien, pour optimiser sa capacité à entrer en communion avec son public.
Concerts de rock : Rod Stewart
Eric CANTO Photographe : Photos de concerts, portraits, pochettes d’albums.
Le Festival de Nîmes 2022 s’est déroulé cette année encore dans ce cadre magnifique que sont les Arènes romaines de Nîmes.
Des artistes nationaux et internationaux se sont produits cet été devant plus de 10 000 spectateurs. Kiss – Nightwish – Deep Purple – Foo Fighters – Dropkick Murphys – Sting – Angele – Booba – PLN – GORILLAZ – Orelsan et d’autres encore sur la scène mythique des arènes.
Festivale de Nîmes 2022 : les captations visuelles
Certains concerts ont déjà fait l’objet de captations visuelles ou sonores lors du Festival de Nîmes, à l’instar du groupeMetallica en 2009 (1), dont le DVD est intituléFrançais pour une nuit, ou encore le groupeJustice (groupe)pour son album live en 2012.
De la chanson française (Johnny Hallyday, Michel Polnareff, Renaud, Patrick Bruel…) au métal (Slipknot, Rammstein, Metallica…), stars internationales (Placebo, Foo Fighters, Bjork, Lenny Kravitz, Arcade Fire, Red Hot chilly Peppers…), artistes confirmés ces dernières années (Stromae, Shaka Ponk, Angele, Maitre Gim’s…), le festival de Nîmes accueille aussi des artistes plus reconnus et adulés (Sting, Santana, Daft Punk, Slash, Radiohead, David Bowie…).
(1) Français pour une nuit est un DVD live du groupe de heavy metal américain Metallica , enregistré à Nîmes , en France, dans les Arènes de Nîmes le 7 juillet 2009, lors du World Magnetic Tour . Il est sorti en trois formats : Un DVD standard dans un digipak comprenant un livret de 16 pages, un Blu-ray , et un digipak avec le livret et un coffret deluxe en édition limitéecomprenant le DVD, une copie de Death Magneticsur CD, un T-shirt, un laissez-passer plastifié et cinq photos exclusives. Bien qu’il n’ait été émis qu’en France, il a été importé en quantité suffisante pour être considéré comme une version régulière. Hormis la photographie de Ross Halfin , l’ensemble du projet a été réalisé par des professionnels français, de la vidéo à la direction artistique.
Anton Corbijn. Ce nom évoque immédiatement des images en noir et blanc saisissantes, où les icônes du rock semblent dénudées de tout artifice, plongées dans un monde où l’authenticité prime. Photographe, réalisateur, artiste polyvalent, il est devenu une légende dans le milieu, capturant l’essence des plus grandes stars de la musique. Mais qu’est-ce qui le rend si unique, et comment a-t-il influencé l’art de la photographie musicale ? C’est ce que nous allons explorer ensemble.
Qui est Anton Corbijn ?
Anton Corbijn est né le 20 mai 1955 à Strijen, aux Pays-Bas. Grandissant dans un environnement religieux, il a rapidement ressenti le besoin de s’exprimer différemment, cherchant une évasion artistique. Sa carrière débute par un coup de chance : lors d’un concert aux Pays-Bas, il commence à photographier avec l’appareil de son père, et il se découvre une passion instantanée pour capturer les artistes en action. Le reste appartient à l’histoire, une histoire qu’il a lui-même écrite avec sa caméra.
Les années de formation : le jeune Corbijn et la découverte de la photo
Dans les années 70, Corbijn commence à prendre des clichés de groupes locaux. Très vite, son talent est remarqué, et il déménage à Londres pour être au plus près de la scène musicale effervescente. Cette époque marque le début de collaborations légendaires avec des artistes qui allaient bientôt dominer les charts. Il ne se contente pas de photographier les stars, il les réinvente, dévoilant des facettes souvent ignorées par le grand public.
De la scène musicale à la photographie : la fusion des passions
Ce n’est pas un hasard si Corbijn est devenu le photographe favori de nombreux musiciens. Pour lui, la musique et la photographie ne sont pas deux mondes distincts, mais des expressions complémentaires. Il parvient à capturer l’âme de ses sujets, des instants d’abandon que seule la musique semble pouvoir révéler.
Un style visuel unique : le noir et blanc brut d’Anton Corbijn
Le choix du noir et blanc n’est pas simplement une préférence esthétique, c’est une signature, une façon d’aller droit à l’essentiel. Les contrastes marqués, les ombres profondes et les textures rugueuses donnent à ses clichés une intensité rare. Le noir et blanc, pour Corbijn, c’est un moyen de transcender le sujet, de le libérer des distractions colorées pour se concentrer sur l’émotion pure.
Les collaborations marquantes d’Anton Corbijn
Si l’on devait résumer la carrière de Corbijn en un mot, ce serait « collaboration. » Il ne se contente pas de photographier, il collabore, il participe, il devient presque un membre du groupe. Ses partenariats avec des artistes comme U2 et Depeche Mode ont durablement marqué l’histoire de la musique.
U2 et Anton Corbijn : une relation durable qui a façonné l’image du groupe
Lorsque l’on pense à U2, on imagine immédiatement des photos iconiques en noir et blanc, des paysages désolés, et des poses dramatiques. C’est le regard de Corbijn qui a contribué à créer cette image du groupe, une image qui dure depuis plus de 30 ans. Dès l’album The Joshua Tree, sa vision a aidé à définir l’esthétique visuelle du groupe, en capturant l’essence de leurs chansons : l’exploration, l’introspection, et un désir insatiable de liberté.
Les albums emblématiques où Corbijn a laissé sa marque
Les pochettes d’albums comme Achtung Baby, The Unforgettable Fire, et Rattle and Hum portent tous la patte de Corbijn. Ce dernier ne se contente pas de photographier les membres du groupe, il raconte une histoire visuelle qui résonne avec leur musique. Chaque photo devient un symbole, un moment suspendu dans le temps qui accompagne l’auditeur au fil des morceaux.
Anecdotes de tournages photo avec le groupe
Corbijn a souvent raconté des anecdotes sur ses séances photo avec U2, notamment une séance dans le désert de Mojave pour The Joshua Tree. « C’était comme si le paysage lui-même faisait partie du groupe, » se souvient-il. Cette immersion totale dans l’environnement et la musique crée des photos qui ne sont pas de simples portraits, mais des évocations de l’âme du groupe.
Depeche Mode : comment Corbijn a créé une esthétique visuelle pour le groupe
Depeche Mode est un autre groupe qui a trouvé en Corbijn un allié visuel de choix. En collaborant avec eux pour leurs clips vidéo et pochettes d’albums, il a contribué à façonner l’image de la bande synth-pop, ajoutant une touche de mystère et de profondeur qui a captivé leurs fans.
Les vidéos iconiques et les pochettes d’album
Corbijn n’est pas seulement photographe pour Depeche Mode, il a aussi réalisé certains de leurs clips les plus célèbres, comme Personal Jesus et Enjoy the Silence. Ces vidéos sont devenues des références, non seulement pour les fans du groupe, mais aussi dans le monde du clip musical.
Impact sur l’image publique de Depeche Mode
Avant Corbijn, Depeche Mode était considéré comme un simple groupe synth-pop. Grâce à ses collaborations, leur image a évolué vers quelque chose de plus sombre, de plus adulte, et de plus intemporel. Corbijn a littéralement sculpté leur identité visuelle, la rendant indissociable de leur musique.
Nirvana, Metallica, et d’autres légendes du rock : diversité et continuité dans ses choix artistiques
La liste des artistes avec lesquels Corbijn a travaillé est aussi longue qu’impressionnante : Nirvana, Metallica, The Rolling Stones, Joy Division… Chaque collaboration apporte son lot de défis, et pourtant, il parvient à capturer l’essence de chaque artiste.
Le style artistique d’Anton Corbijn
Le style d’Anton Corbijn ne se résume pas à un choix de noir et blanc, il s’agit d’une approche globale de l’art visuel. Son esthétique se caractérise par un minimalisme assumé, où chaque élément a sa place, rien n’est superflu.
Le choix du noir et blanc : pourquoi Corbijn privilégie cette esthétique
Pour Corbijn, le noir et blanc permet de révéler l’âme des artistes. « Les couleurs peuvent distraire, » explique-t-il, « le noir et blanc nous force à voir les détails, les imperfections, et c’est là que réside la vérité. » Ce choix de couleur est devenu une marque de fabrique, un moyen de distiller l’essentiel.
Anton Corbijn Photographe
Le minimalisme et l’authenticité : capturer l’essence des artistes
L’approche de Corbijn est résolument minimaliste : pas de décors extravagants, pas de retouches sophistiquées. Ce qui compte, c’est l’émotion brute. Son objectif est de dénuder les artistes de tout ce qui est superficiel pour atteindre ce qui est réel. « La photographie, c’est une quête de vérité, » dit-il souvent.
L’influence du cinéma sur ses photos : un regard de réalisateur
Les photos de Corbijn sont souvent comparées à des scènes de films. Cela n’a rien d’étonnant, puisqu’il est aussi réalisateur. Ses expériences derrière la caméra ont enrichi son regard, ajoutant une dimension narrative à ses photos. Chaque cliché raconte une histoire, et c’est ce qui les rend si captivants.
Anton Corbijn, le réalisateur
En 2007, Corbijn fait ses débuts au cinéma avec Control, un biopic sur Ian Curtis, le chanteur de Joy Division. Le film est acclamé par la critique, et Corbijn se fait une place dans le monde du septième art.
« Control » : le film qui a marqué le début d’une carrière cinématographique
Loin d’être un simple biopic, Control est une œuvre intimiste, un hommage à l’univers musical que Corbijn connaît si bien. Le film plonge le spectateur dans l’angoisse et la vulnérabilité de Curtis, et le noir et blanc sert encore une fois de toile de fond pour raconter une histoire profondément humaine.
« The American » et « A Most Wanted Man » : explorer de nouveaux horizons
Après Control, Corbijn continue à explorer le cinéma avec des films comme The American et A Most Wanted Man. Bien que ces films soient très différents de ses débuts photographiques, ils portent la marque de son style : un souci du détail, une mise en scène soignée, et un amour pour les histoires qui vont à l’essentiel.
La complémentarité entre la photo et le cinéma : deux moyens d’expression distincts mais connectés
Pour Corbijn, la photographie et le cinéma sont deux facettes d’une même pièce. L’un capture un instant, l’autre raconte une histoire en mouvement, mais les deux cherchent à révéler l’âme humaine.
Bruce Springsteen Photos
L’héritage et l’influence d’Anton Corbijn
Le nom d’Anton Corbijn est indissociable de la culture rock, mais son influence s’étend bien au-delà de la musique. Son approche a marqué des générations d’artistes et de photographes, et son héritage continue de résonner dans le monde de la photographie contemporaine.
Influence sur les photographes contemporains et les réalisateurs
Les photographes modernes qui cherchent à capturer l’essence des artistes ont souvent été influencés par Corbijn. Son utilisation du noir et blanc, sa capacité à créer des images intemporelles et sa recherche de l’authenticité sont autant de traits repris par d’autres artistes.
La marque Anton Corbijn dans la culture populaire : de la musique aux arts visuels
Que ce soit à travers des pochettes d’albums, des vidéos ou des films, Corbijn a laissé une marque indélébile sur la culture populaire. Il a redéfini ce que signifie être un photographe de musique, et a montré que la photographie peut être aussi puissante que la musique elle-même.
Expositions et rétrospectives : une reconnaissance mondiale de son œuvre
Les expositions dédiées à son travail, notamment à la Tate Modern et au Fotomuseum, attirent les foules et témoignent de la reconnaissance internationale dont il jouit. Elles permettent à un nouveau public de découvrir ses œuvres et d’apprécier la profondeur de son art.
Conclusion
Anton Corbijn n’est pas qu’un simple photographe ou réalisateur, il est un raconteur d’histoires. Son style, son approche, et sa vision ont durablement marqué l’histoire de la photographie et de la musique. Ses œuvres ne se contentent pas de capturer des images, elles capturent des âmes, et c’est cela qui les rend intemporelles.
Clips réalisés par Anton Corbijn
Hockey, Palais Schaumburg (1983)
Beat Box, Art of Noise (1984)
Dr. Mabuse, Propaganda (1984)
Red Guitar, David Sylvian (1984)
Seven Seas, Echo & the Bunnymen (1984)
The Ink in the Well, David Sylvian (1984)
Pride (In the Name of Love) (third version), U2 (1984)
Bring on the Dancing Horses, Echo & the Bunnymen (1985)
Quiet Eyes, Golden Earring (1986)
A Question of Time, Depeche Mode (1986)
Bedbugs and Ballyhoo, Echo & the Bunnymen (1987)
Strangelove, Depeche Mode (1987)
Pimpf, Depeche Mode (1987)
The Game, Echo & the Bunnymen (1987)
Never Let Me Down Again, Depeche Mode (1987)
Lips Like Sugar (first version), Echo & the Bunnymen (1987)
Behind the Wheel, Depeche Mode (1987)
Welcome to Paradise, Front 242
My Secret Place, Joni Mitchell avec Peter Gabriel (1988)
Blueprint, Rainbirds (1988)
Atmosphere, Joy Division (1988)
Headhunter, Front 242 (1988)
Faith and Healing, Ian McCulloch (1989)
Sea of Time, Rainbirds (1989)
White City of Light, Rainbirds (1989)
Personal Jesus, Depeche Mode (1989)
Killer Wolf, Danzig (1990)
Enjoy the Silence (first version), Depeche Mode (1990)
Policy of Truth, Depeche Mode (1990)
World in My Eyes, Depeche Mode (1990)
May This Be Your Last Sorrow, Banderas (1990)
Clean, Depeche Mode (1991)
Marie, Herbert Grönemeyer (1991)
Two Faces, Rainbirds (1991)
Tragedy (For You), Front 242 (1991)
Halo, Depeche Mode (1991)
Front By Front, Front 242 (1992)
Hail Hail Rock ‘n’ Roll, Garland Jeffreys (1992)
Lover Lover Lover, Ian McCulloch (1992)
One (original version), U2 (1992)
Straight To You, Nick Cave and the Bad Seeds (1992)
Dirty Black Summer, Danzig (1992)
Do I Have to Say the Words?, Bryan Adams (1992)
I Feel You, Depeche Mode (1993)
Walking in My Shoes, Depeche Mode (1993)
Condemnation (first version), Depeche Mode (1993)
Heart-Shaped Box, Nirvana (1993) Alternative Video
Delia’s Gone, Johnny Cash (1994)
Mockingbirds, Grant Lee Buffalo (1994)
In Your Room, Depeche Mode (1994)
Liar, Henry Rollins (1994)
Love & Tears, Naomi Campbell (1994)
Have You Ever Really Loved a Woman?, Bryan Adams (1995)
My Friends (first version), Red Hot Chili Peppers (1995)
Hero of the Day, Metallica (1996)
Mama Said, Metallica (1996)
Barrel of a Gun, Depeche Mode (1997)
It’s No Good, Depeche Mode (1997)
Useless, Depeche Mode (1997)
Please (first version), U2 (1997)
Bleibt Alles Anders, Herbert Grönemeyer (1998)
Fanatisch, Herbert Grönemeyer (1998)
Goddess on a Hiway (second version), Mercury Rev (1998)
Salvation, Roxette (1999)
Opus 40 (first version), [Mercury Rev (1999)
Stars, Roxette (1999)
Chemical (first version), Joseph Arthur (2000)
In The Sun, Joseph Arthur (2000)
Invalid Litter Dept., At the Drive-In (2001)
Freelove (second version), Depeche Mode (2001)
Mensch, Herbert Grönemeyer (2002)
Electrical Storm, U2 (2002)
Re-Offender, Travis (2003)
Zum Meer, Herbert Grönemeyer (2003)
Haar Schnitt: Love Will Come Through, Travis (2004)
All These Things That I’ve Done » (second version) The Killers (2005)
Talk, Coldplay (2005)
Suffer Well, Depeche Mode (2005)
Viva La Vida (seconde version), Coldplay (2008)
Should Be Higher, Depeche Mode (2013)
Reflektor, Arcade Fire (2013)
Where’s the Revolution, Depeche Mode (2017)
Cover Me, Depeche Mode (2017)
FAQ sur Anton Corbijn
1. Pourquoi Anton Corbijn utilise-t-il principalement le noir et blanc dans ses photographies ?
Corbijn privilégie le noir et blanc car il considère que cette palette réduit les distractions et permet de se concentrer sur l’essentiel : l’émotion et l’authenticité du sujet. Pour lui, le noir et blanc crée une atmosphère intemporelle et évite que l’image ne soit datée par les tendances en matière de couleur. Cela ajoute également une profondeur émotionnelle, car les contrastes et les ombres révèlent des détails qui peuvent être perdus dans la couleur.
2. Quelles sont les collaborations les plus marquantes d’Anton Corbijn ?
Les collaborations les plus célèbres de Corbijn incluent des groupes tels que U2, Depeche Mode, Joy Division, Nirvana, et Metallica. Avec U2, il a non seulement photographié les pochettes d’albums, mais a aussi contribué à façonner l’esthétique visuelle du groupe pendant des décennies. Pour Depeche Mode, il a réalisé des clips vidéo iconiques et créé des pochettes d’albums inoubliables. Son travail avec Joy Division est particulièrement marquant, notamment pour avoir immortalisé Ian Curtis peu avant sa mort.
3. Comment le style de Corbijn a-t-il influencé la photographie musicale contemporaine ?
Anton Corbijn a introduit un style plus brut et émotionnel dans la photographie musicale, en s’éloignant de l’image glamour et en préférant une approche plus minimaliste et réaliste. Il a mis l’accent sur l’émotion des artistes, capturant des moments de vulnérabilité plutôt que des poses glamour. Cette approche a inspiré de nombreux photographes qui cherchent à aller au-delà de la surface pour capturer l’âme des musiciens.
4. Quel est le lien entre les travaux de Corbijn en photographie et en cinéma ?
Les travaux photographiques et cinématographiques de Corbijn sont étroitement liés par une recherche de vérité et d’émotion brute. En photographie, il capture des instants figés dans le temps qui racontent une histoire, tandis qu’au cinéma, il développe ces histoires sur la durée. Les deux disciplines lui permettent d’explorer l’intensité humaine, mais d’une manière différente : la photographie condense l’émotion en une seule image, tandis que le cinéma la déroule sur plusieurs minutes.
5. Quels films a réalisés Anton Corbijn et pourquoi sont-ils importants ?
Corbijn a réalisé plusieurs films, dont Control (2007), un biopic sur Ian Curtis de Joy Division, The American (2010), un thriller avec George Clooney, et A Most Wanted Man (2014), adapté du roman de John le Carré. Control est particulièrement important car il marque le passage de Corbijn de la photographie au cinéma, tout en conservant son esthétique visuelle caractéristique. Le film a été salué pour sa représentation intime et réaliste de Curtis et a montré que Corbijn pouvait utiliser le langage cinématographique pour explorer les mêmes thèmes que dans ses photographies.
6. Quelles techniques photographiques Anton Corbijn utilise-t-il ?
Corbijn privilégie les techniques simples et directes, évitant les retouches complexes. Il travaille principalement avec la lumière naturelle et utilise souvent des appareils photo argentiques pour obtenir une texture granuleuse. Sa préférence pour les prises de vue en extérieur ou dans des lieux peu conventionnels, plutôt qu’en studio, renforce l’authenticité de ses clichés. Il est également connu pour ses compositions asymétriques et ses angles inattendus qui donnent une impression de spontanéité.
7. Comment le travail de Corbijn avec Depeche Mode a-t-il influencé l’image du groupe ?
La collaboration avec Depeche Mode a débuté dans les années 80 et a contribué à transformer l’image du groupe, passant d’un look synth-pop à une esthétique plus sombre et mature. Les clips vidéo réalisés par Corbijn, tels que Enjoy the Silence et Personal Jesus, ont ajouté une dimension visuelle marquante aux chansons, renforçant l’identité du groupe. Les pochettes d’albums qu’il a créées, avec leur style épuré et émotionnel, sont également devenues des images emblématiques de la culture musicale.
8. Pourquoi les photographies d’Anton Corbijn sont-elles souvent comparées à des scènes de films ?
Les clichés de Corbijn ont un caractère cinématographique en raison de leur composition, de l’utilisation des ombres, et de la narration visuelle qui semble figer un moment d’une histoire plus vaste. Cette approche est influencée par son travail en tant que réalisateur, où il a appris à raconter des histoires à travers une série d’images en mouvement. Chaque photographie semble capturer un moment dans une scène de film qui n’existe que dans l’imagination du spectateur.
9. Quel a été l’impact d’Anton Corbijn sur les artistes avec lesquels il a travaillé ?
Les artistes qui ont collaboré avec Corbijn ne sont pas seulement des sujets de ses photographies, ils bénéficient aussi d’une redéfinition de leur image publique. Par exemple, U2 a évolué vers une esthétique plus introspective grâce à ses photographies, tandis que Depeche Mode a adopté une imagerie plus sombre et symbolique. Son travail ne se contente pas d’accompagner la musique, il la transcende et la complète, créant ainsi une synergie entre son art visuel et l’univers sonore des groupes.
10. Où peut-on voir les œuvres d’Anton Corbijn ?
Les œuvres de Corbijn sont exposées dans des musées et galeries prestigieuses à travers le monde. Des rétrospectives de son travail ont eu lieu au Fotomuseum de La Haye, à la Tate Modern de Londres, et au Foam Museum d’Amsterdam. Pour les amateurs d’art, ces expositions offrent une occasion unique de voir ses photographies en grand format et de découvrir leur impact émotionnel dans un cadre immersif.
11. Pourquoi le style de Corbijn est-il souvent qualifié de minimaliste ?
Le minimalisme chez Corbijn se manifeste par l’absence de distractions dans ses photos. Il élimine les éléments superflus pour ne laisser que l’essentiel, ce qui permet aux sujets de prendre toute la place. Ce style minimaliste, combiné à l’utilisation du noir et blanc, donne une impression de simplicité et d’intensité émotionnelle. Pour lui, moins c’est plus, et chaque détail compte.
12. Quelle est l’importance de l’intimité dans les photographies d’Anton Corbijn ?
L’intimité est au cœur de l’œuvre de Corbijn. Il parvient à établir une connexion avec les artistes qu’il photographie, capturant des moments de vulnérabilité et d’humanité. Ses photos ne sont pas seulement des images de célébrités, elles sont des portraits d’individus, avec leurs forces et leurs failles.
13. Comment Anton Corbijn choisit-il les projets sur lesquels il travaille ?
Corbijn a toujours été sélectif quant aux projets qu’il accepte. Il privilégie les collaborations où il sent qu’il peut apporter une vision unique, et où il y a un défi artistique à relever. Il aime travailler avec des musiciens et des artistes qui partagent une même sensibilité et une ouverture à l’expérimentation. Cette approche lui permet de maintenir une qualité artistique élevée dans son travail.
14. Quel a été l’impact de la numérisation sur le travail de Corbijn ?
Bien que le numérique ait transformé la photographie, Corbijn reste fidèle à l’argentique pour la majorité de ses projets. Il préfère le grain et la texture qu’offrent les films photographiques, même s’il utilise parfois le numérique pour des projets spécifiques. Son attachement à l’argentique témoigne de son désir de préserver une approche artisanale de la photographie.
15. Comment Corbijn voit-il l’avenir de la photographie ?
Corbijn est optimiste quant à l’avenir de la photographie, mais il croit que l’authenticité deviendra de plus en plus importante. Dans un monde saturé d’images, il pense que ce qui fera la différence, ce sera l’émotion et la sincérité capturées dans une photo, plutôt que la perfection technique.
Depuis 1986, l’esthétique intemporelle et menaçante du maître photographique néerlandais Anton Corbijn a solidifié la réputation de Depeche Mode en rendant leur image éthérée et toujours avant-gardiste.
« Anton a su donner une identité visuelle au son que les DM commençaient à créer. » Dave Gahan
Le volume contient plus de 500 photographies tirées des archives personnelles de Corbijn, certaines jamais vues auparavant, ainsi que des décors, des croquis, des couvertures d’albums et des observations personnelles de Corbijn.
Egalement en vente est une édition collector (# 201-1 986), chacune signée par Anton Corbijn et Depeche Mode.
C’est un artiste autodidacte qui a commencé une extraordinaire histoire quotidienne avec les SDF il y a une quinzaine d’années. Dans une interview publiée il y a quelques mois en Grande-Bretagne, il déclarait « Tout le monde passe comme si les sans-abris étaient invisibles. Je transcende la peur, dans l’espoir que les gens réalisent que ces gens sont comme vous et moi ».
Les photographies de Lee Jeffries ont la gravité et l’authenticité des véritables relations humaines. Il connaît chacun de ses sujets personnellement, parfois il partage leur quotidien jusqu’au point de dormir dans la rue à leurs côtés, partageant ainsi la brutalité de leur quotidien.
Pour l’artiste Lee Jeffries c’est le seul moyen de construire une relation réelle et ainsi de donner vie à ses portraits. Les incroyables prises de vue de Lee Jeffries dégagent une sensibilité exacerbée, émouvante, captant la beauté universelle de l’humanité dans ce qu’elle a de plus dramatique.
Lee Jeffries Photographe – Lee Jeffries Photographe
Lee Jeffries a déclaré dans des interviews qu’il considérait la photographie comme un moyen de communiquer avec les autres et de trouver une forme de connexion avec les personnes qu’il photographie. Il est également connu pour son engagement envers les causes humanitaires et pour son travail avec des organisations caritatives pour sensibiliser à la situation des personnes sans-abri.
L’histoire de Lee Jeffries
Passionné de foot, Lee Jeffries commença par photographier en premier lieu des manifestations sportives. Un jour, il photographie en cachette une jeune femme sans-abri, dans les rues de Londres. Il va à sa rencontre et c’est à ce moment-là que sa pratique photographique se voit.
En effet, Lee Jeffries a commencé à faire de la photographie en 2008. Avant cela, il travaillait dans le milieu financier à Manchester, en Angleterre. Son premier projet photographique, intitulé « Lost Angels », a commencé par accident lorsqu’il a photographié une jeune sans-abri à Londres en 2008. Cette rencontre a profondément marqué Lee Jeffries et l’a inspiré à poursuivre une série de portraits de personnes sans-abri, en capturant leur humanité et leur vulnérabilité.
Depuis lors, Lee Jeffries a continué à photographier des portraits poignants de personnes en situation de précarité à travers le monde, tout en travaillant comme photographe indépendant et en collaborant avec des organisations caritatives pour sensibiliser à la situation des personnes sans-abri.
Grâce à son style de photographie unique et émotionnellement puissant, Lee Jeffries est devenu un photographe renommé, exposant ses œuvres dans des galeries d’art et remportant de nombreux prix prestigieux de photographie.
Il décide alors de placer les sans-abris au cœur de son art. Il compose alors une série de photos nommée HOMELESS.
L’artiste Lee Jeffries poursuit alors son projet aux quatre coins du monde, car, pour lui, la photographie constitue un moyen d’attirer l’attention et de réunir des fonds pour les « homeless » (sans-abris) du monde entier.
Son style photographique unique utilise des techniques de lumière et d’ombre pour créer des portraits émotionnellement puissants et révélateurs.
Lee Jeffries a exposé ses œuvres dans des galeries d’art à travers le monde, notamment à New York, Paris et Londres, et a remporté de nombreux prix prestigieux de photographie. Ses photographies ont été publiées dans de nombreux magazines et journaux, et ont été utilisées pour des campagnes publicitaires et des projets humanitaires.
En dehors de la photographie, Lee Jeffries est connu pour sa passion pour la course à pied, qu’il considère comme un moyen de se vider l’esprit et de se concentrer sur la créativité. Il est également un fervent défenseur de la sensibilisation à la situation des personnes sans-abri et travaille avec des organisations caritatives pour aider à leur fournir de l’aide et du soutien.
Lee Jeffries en vidéos
Lee Jeffries, ses photographies les plus célèbres
Lee Jeffries est connu pour ses portraits émouvants et intenses de personnes en situation de précarité. Certaines de ses photos les plus célèbres comprennent :
« Angelina », une photo de 2011 d’une jeune fille sans-abri à Los Angeles, aux États-Unis. La photo montre Angelina, âgée de 18 ans, avec les yeux fermés et une expression de tristesse et de désespoir sur son visage. Cette photo est devenue l’une des plus célèbres de Lee Jeffries et a été largement partagée sur les réseaux sociaux.
« Homeless Simon », une photo de 2013 d’un homme sans-abri à Londres, au Royaume-Uni. Cette photo montre Simon avec un regard intense et déterminé sur son visage, portant une capuche et un manteau qui accentuent son air de mystère et de dignité.
« Elizabeth », une photo de 2013 d’une femme sans-abri à Los Angeles, aux États-Unis. Cette photo montre Elizabeth avec un regard dur et déterminé sur son visage, soulignant sa force intérieure et sa résilience.
« Benjamin », une photo de 2014 d’un homme sans-abri à Paris, en France. Cette photo montre Benjamin avec les yeux fermés, comme s’il était perdu dans ses pensées, et une expression douloureuse sur son visage, évoquant la douleur et la vulnérabilité des personnes en situation de précarité.
Ces photos, ainsi que de nombreuses autres œuvres de Lee Jeffries, ont été exposées dans des galeries d’art à travers le monde et ont été utilisées pour des campagnes publicitaires et des projets humanitaires.
Lee Jeffries, sa bibliographie et ses expositions
Lee Jeffries a publié plusieurs livres de photographie et a également exposé ses œuvres dans des galeries et des musées à travers le monde.
En 2014, Lee Jeffries a publié son premier livre de photographie, intitulé « Lost Angels », qui rassemble ses portraits de personnes sans-abri prises à Los Angeles. Ce livre a été très bien reçu et a contribué à faire connaître le travail de Lee Jeffries à un public plus large.
Depuis lors, Lee Jeffries a publié d’autres livres de photographie, notamment « Homeless » (2019), qui présente une sélection de portraits de personnes sans-abri prises dans différents endroits du monde, et « Gathered » (2021), qui présente une sélection de portraits de personnes issues de diverses communautés et cultures.
Le livre « Homeless » de Lee Jeffries, publié en 2019, est un recueil de portraits de personnes sans-abri prises dans différentes villes du monde, notamment à Paris, Londres, Rome, New York, Los Angeles et Amsterdam.
Le livre contient plus de 150 photographies en noir et blanc, qui capturent les visages et les expressions de personnes sans-abri dans leur quotidien. Les portraits sont accompagnés de courts textes qui racontent les histoires de vie des personnes photographiées, permettant ainsi de mieux comprendre leur situation et leur vécu.
L’ouvrage est divisé en plusieurs chapitres, chacun consacré à une ville différente et présentant des portraits de personnes sans-abri spécifiques à cette ville. Les portraits sont souvent très intenses et émouvants, montrant la vulnérabilité et la dignité des personnes sans-abri.
Le livre « Homeless » a été très bien accueilli par le public et la critique, salué pour la qualité artistique des photographies ainsi que pour la sensibilité et l’empathie de l’auteur envers les personnes photographiées. Le livre a également contribué à sensibiliser le public aux questions sociales liées à la pauvreté et à l’exclusion sociale, en mettant en lumière la réalité quotidienne des personnes les plus vulnérables de notre société.
Le livre « Gathered » de Lee Jeffries, publié en 2021, est un recueil de portraits de personnes de diverses communautés et cultures, prises dans différentes villes du monde. Il est construit sur le modèle de « Homeless ». Le livre contient plus de 200 photographies en noir et blanc, qui capturent les visages et les expressions de personnes issues de différentes origines, races, cultures et religions. Les portraits sont souvent très intenses et expressifs, montrant la diversité et la richesse de l’humanité.
Le livre « Gathered » a aussi été très bien accueilli par le public et la critique, salué pour la qualité artistique des photographies ainsi que pour la sensibilité et l’empathie de l’auteur envers les personnes photographiées. Le livre est une célébration de la diversité humaine et un appel à l’ouverture d’esprit et à la tolérance envers les différences culturelles et sociales.
En plus de ses livres, Lee Jeffries a exposé ses œuvres dans des galeries d’art à travers le monde, notamment à Londres, Paris, Berlin, New York et Los Angeles. Ses photos ont également été exposées dans des musées, tels que le Musée d’art contemporain de Shanghai et le Musée de la Photographie de Moscou.
Les œuvres de Lee Jeffries sont appréciées pour leur intensité émotionnelle et leur capacité à susciter l’empathie envers les personnes les plus vulnérables de notre société. Ses expositions et publications ont contribué à sensibiliser le public aux questions sociales liées à la pauvreté, à la précarité et à l’exclusion sociale.
FAQ sur le photographe, Lee Jeffries
Q1: Qui est Lee Jeffries?
R: Lee Jeffries est un photographe anglais célèbre pour ses photographies de rue réalisées avec des appareils-photos argentiques.
Q2: Quelles sont les principales caractéristiques de ses photographies?
R: Les principales caractéristiques de ses photographies sont la lumière douce et enveloppante et les couleurs vives, ce qui donne une atmosphère unique à ses images.
Q3: Quels sont les principaux sujets de ses photographies?
R: Les principaux sujets de ses photographies sont les personnes à la rue, les sans-abri et les réfugiés, qu’il aime à photographier pour faire prendre conscience des conditions difficiles de leur vie.
Q4: Quel est le style de Lee Jeffries?
R: Le style de Lee Jeffries est un style de portrait intime et émouvant, où les visages et les histoires humaines sont mis en avant.
Q5: Quels sont les appareils-photos qu’utilise Lee Jeffries?
R: Lee Jeffries utilise principalement des appareils-photos argentiques, comme le Canon EOS-1V et le Hasselblad 503 CW.
Q6: Quels sont les logiciels de retouche d’image qu’utilise Lee Jeffries?
R: Lee Jeffries utilise principalement Adobe Photoshop pour retoucher ses images.
Q7: Quels sont les principaux prix que Lee Jeffries a reçu?
R: Lee Jeffries a reçu de nombreux prix, dont le Prix du Public du Taylor Wessing Photographic Portrait Prize et le Prix du Public du Sony World Photography Award.
Q8: Quels sont les principaux projets de Lee Jeffries?
R: Les principaux projets de Lee Jeffries sont ses séries de photographies intitulées « Les Visages de la Marge » et « Les Portraits des Réfugiés ».
Q9: Quels sont les principaux prix que Lee Jeffries a remportés?
R: Lee Jeffries a remporté de nombreux prix, dont le Prix du Public du Taylor Wessing Photographic Portrait Prize et le Prix du Public du Sony World Photography Award.
Q10: Quels sont les principaux livres publiés par Lee Jeffries?
R: Lee Jeffries a publié deux livres, « The Faces of the Margin » et « The Portraits of the Refugee ».
Eric CANTO Photographe : Photos de concerts, portraits, pochettes d’albums.
Vous avez eu une conférence à la Stockholm Gallery, pouvez-vous me dire de quels thèmes vous avez discuté?
Lee Jeffries: Dans mes conférences, j’essaie de souligner la profondeur des relations avec les personnes que je photographie. Je montre généralement un petit clip vidéo que j’ai réalisé au cours des six dernières années pour le prouver. Il est extrêmement puissant et met toujours le public dans un état de choc émotionnel.
Certains de nos lecteurs ne connaissent peut-être pas la fille sans-abri qui a changé à jamais votre approche artistique. Pouvez-vous m’en dire plus sur cette rencontre inoubliable?
Oui, il y a une histoire que je connais bien. Celle du marathon de Londres. La veille de la course, j’étais dans la rue pour essayer de shooter quelque chose.
Je remarque une fille sans-abri qui est blottie dans un sac de couchage dans une porte de magasin de l’autre côté de la rue et je la photographie avec mon objectif 200 mm! Elle me voit et commence à poser un grand moment. J’ai honte de l’absence de réaction des passants. Tout ce que je veux, c’est la sortir de l’enfer. Quelque chose m’arrête et je vais lui parler. Elle m’a appris ma première leçon de photographe.
Avez-vous une formation en photographie?
Mes photos parlent de foi, d’amour et d’humanité.
Quand j’ai commencé (il y a 6 ans), je n’avais pas d’approche artistique particulière. J’ai vécu ma vie … en aimant … en ouvrant mon cœur à toutes sortes d’influences que j’ai maintenues jusqu’à ce jour. L’amour était le catalyseur de tout. Cela m’a amené de grand moment de plaisir, mais aussi des périodes de solitude sans fin qui se poursuivent encore aujourd’hui.
En fait, cela ne me dérange pas d’admettre que l’amour est la force motrice de tous mes efforts artistiques. Les sans-abris ? Pas parce qu’ils sont sans abri … plus qu’eux je comprends et je reconnais vraiment la solitude avec laquelle je marche tous les jours. C’était et c’est mon point de départ.
Votre entreprise sensibilise et influence la perception de la société. Vous avez également créé de nombreuses initiatives. Pourriez-vous développer?
J’ai eu beaucoup de chance. Une sélection de mes photos peut être achetée dans les galeries YellowKorner du monde entier.
Cela leur a donné une exposition inestimable. YellowKorner et moi avons également pu organiser des ventes aux enchères caritatives, dont la dernière a permis de récolter plus de 25 000 euros pour une association caritative basée à Paris.
J’entends l’incompréhension du public face à l’exploitation commerciale de la pauvreté, mais je pense vraiment que sans un certain nombre d’événements commerciaux comme la vente aux enchères caritatives, les gens n’auraient tout simplement pas pris conscience des conditions de vie d’un sans-abri. Il faut développer un certain niveau de conscience dans le monde de l’art.
Certains portraits ressemblent presque à une photo sincère, ils semblent distraits de leurs propres pensées. Comment y arrivez-vous et comment abordez-vous votre sujet ? Avez-vous une méthode ?
Chaque sujet est un projet. Je vais dans un quartier, par exemple à Overtown à Miami, et je plonge dans une communauté. Je marche dans les rues, mange et dors là-bas pendant des semaines. Je fais partie de cette communauté. Cela me permet d’établir des connexions profondes.
Le post-traitement est un élément clé de votre travail. Pouvez-vous me parler de votre technique ?
J’ai assisté à une réunion avec Justin Zackham à Ojai il y a quelques années et il m’a posé la même question. J’ai commencé à expliquer .. oh pendant environ 20 minutes. Finalement, il a dit: « Lee, j’aurais aimé ne jamais vous poser cette question. Vos photos sont bien plus que tout autre processus. Estimez ce que représente l’image … pas comment elle a été faite. »
Si vous deviez choisir une photo que vous aimez le plus, laquelle choisiriez-vous et pourquoi?
J’ai un lien émotionnel avec chacun d’elles. Si je devais en nommer une seule, ce serait la version couleur des mains en prière. Tout a commencé à Rome. Courir dans les couloirs du Vatican en larmes. Cette image capture l’essence de ce que j’ai fait là-bas.
« Sumo » aux éditions Taschen, de Annie Leibovitz est un livre de photographies incroyablement unique et remarquable.
Mesurant plus de 50 centimètres de haut et pesant près de 60 kilogrammes, ce livre est considéré comme l’un des plus grands livres de photographies jamais publiés. Publié pour la première fois en 1999 en édition limitée à seulement 10 000 exemplaires numérotés et signés, ce livre est devenu un objet de collection rare et recherché par les amateurs de photographie et les collectionneurs d’art.
Avec plus de 400 photographies captivantes couvrant la carrière de Leibovitz depuis les années 1970 jusqu’à aujourd’hui, « Sumo » est une vitrine spectaculaire de l’œuvre de l’un des plus grands photographes du monde.
Annie Leibovitz est une photographe américaine née en 1949. Elle est surtout connue pour ses portraits de célébrités et de personnalités publiques, ainsi que pour son travail pour le magazine Rolling Stone et le Vanity Fair.
Au cours de sa carrière, elle a capturé des images iconiques de personnalités telles que John Lennon, Yoko Ono, Mick Jagger, Queen Elizabeth II, Barack Obama et de nombreuses autres.
Elle a également travaillé sur des campagnes publicitaires pour des marques de renom telles que American Express et Louis Vuitton. En plus de ses portraits, Leibovitz est également reconnue pour son travail sur des séries photographiques, notamment sur les thèmes de la guerre et de la culture populaire américaine. Elle est largement considérée comme l’une des photographes les plus influentes de notre époque.
Dans cet article, nous allons plonger dans les coulisses de ce livre extraordinaire et découvrir pourquoi il est devenu un objet de convoitise pour les amateurs d’art et les collectionneurs du monde entier.
La description du Sumo Annie Leibovitz par Taschen
Lorsque Benedikt Taschen a demandé au photographe portraitiste le plus important travaillant aujourd’hui, de rassembler ses photos dans un livre au format SUMO, elle a été intriguée et interpellée. Le projet a mis plusieurs années à se développer et s’est révélé plus qu’intéressant.
Annie Leibovitz s’est inspirée de plus de 40 ans de travail, en commençant par le reportage viscéralement intime qu’elle a créé pour le magazineRolling Stone dans les années 1970, en passant par le portrait plus stylisé de son travail pour Vanity Fair et Vogue. Des images célèbres telles que John Lennon et Yoko Ono enlacées dans une dernière étreinte côtoient des portraits rarement, voire jamais vus auparavant.
Annie Leibovitz a pu présenter certains de ses célèbres portraits de groupe dans un format qui prouve qu’elle est la maîtresse du genre. Ses images sont à la fois intimes et iconiques, stylistiquement larges et aussi uniquement la sienne. Annie Leibovitz est souvent imitée, en particulier par les jeunes photographes, mais son travail est immédiatement reconnaissable.
Les serre-livres de la collection Leibovitz sont la photographie en noir et blanc de l’hélicoptère de Richard Nixon décollant de la pelouse de la Maison Blanche après sa démission en tant que président en 1974, et le portrait officiel en couleur de la reine Elizabeth II pris dans un salon du palais de Buckingham en 2007.
Entre les deux, des portraits qui composent un album de famille de notre temps : comédiens, danseurs,musiciens, artistes, écrivains, performeurs, journalistes, sportifs, hommes d’affaires.
La performance et la puissance sont des thèmes récurrents. Un livre supplémentaire contient des essais d’Annie Leibovitz, de Graydon Carter, Hans Ulrich Obrist et Paul Roth ainsi que de courts textes décrivant les sujets de chacune des plus de 250 photographies.
Taschen Sumo Annie Leibovitz
L’édition Collector est disponible en quatre couvertures différentes :
-Whoopi Goldberg, Berkeley, Californie, 1984
-Keith Haring, New York, 1986
-David Byrne, Los Angeles, 1986
-Patti Smith, Nouvelle-Orléans, Louisiane, 1978
Limité à un total de 10 000 exemplaires signés et numérotés, ce livre est disponible en édition collector (n° 1 001– 10 000) et également en édition d’art (n° 1 à 1 000) avec un tirage d’art, signé par Annie Leibovitz, et l’ensemble complet des quatre couvertures.
Taschen Sumo Annie Leibovitz
L’histoire du Sumo Annie Leibovitz par Taschen
Avec toute la technologie avec laquelle nous vivons tous les jours, il y a quelque chose à dire sur le fait de se blottir avec un bon livre. Avant la télévision, les films et Internet, les livres ont été fabriqués à la main par des artisans et des illustrateurs et, avec l’invention de l’imprimerie, ont rendu l’art et les artistes accessibles au public depuis la fin du XIXe siècle.
Le célèbre marchand d’art et éditeur Ambroise Vollard (1866 – 1939) s’est profondément engagé dans la production de livres d’artistes et a créé plusieurs volumes en éditions limitées qui sont toujours recherchés aujourd’hui. Un livre d’artiste est une œuvre d’art sous forme de livre, souvent créée pour illustrer une œuvre littéraire.
Le livre en édition limitée serait publié avec les tirages en vrac qui l’accompagnent, souvent contenus dans un étui ou une boîte à linge. Au cours des années 1900, des artistes européens bien connus tels que Picasso, Matisse, Miró et Chagall ont collaboré avec les éditeurs les plus importants de Paris pour créer des livres en édition limitée somptueusement imprimés basés sur de grandes œuvres littéraires, remontant jusqu’au deuxième siècle. .
André Suares, un éditeur bien connu du siècle dernier a dit des livres d’artistes de Vollard ; « Des livres comme ceux-ci n’ont jamais été faits auparavant et ne seront plus jamais faits. » Et nous ressentons la même chose pour les offres de Taschen.
Conformément à la tradition de la collection de livres, ÆRENA Galleries and Gardens est heureuse de présenter une sélection de livres à collectionner en édition limitée de l’éditeur de renommée mondiale Taschen, y compris leur gamme de livres SUMO très recherchés et signés qui incluent : Annie Leibovitz, The Rolling Stones , David Hockney, Genesis de Sebastiao Salgado et un nombre très limité d’archives James Bond épuisées. « Pas le temps de mourir ».
Caractéristiques du Sumo Annie Leibovitz par Taschen
Artiste : TASCHEN
Titre : Sumo Annie Leibovitz – Whoopi
Médias:
Dimensions : 19,70″ x 27,00″ x 2,00″
Édition : Unique
Hauteur : 19,7″
Largeur : 27″
Profondeur : 2″
Poids : 108 livres
Code produit : T-66W
Voici quelques-unes des principales caractéristiques détaillées du livre « Sumo » de Annie Leibovitz :
Taille : le livre est incroyablement grand, mesurant plus de 50 centimètres de haut et 70 centimètres de large une fois déplié.
Poids : le livre pèse près de 60 kilogrammes, ce qui en fait l’un des plus grands et des plus lourds livres de photographies jamais publiés.
Édition limitée : le livre a été publié en édition limitée à seulement 10 000 exemplaires numérotés et signés, ce qui en fait un objet de collection rare et recherché.
Plus de 400 photographies : le livre contient plus de 400 photographies captivantes de la carrière de Leibovitz depuis les années 1970 jusqu’à aujourd’hui.
Couverture en SUMO-tissu : la couverture du livre est fabriquée en SUMO-tissu, une toile durable et résistante.
Design unique : le livre a été conçu par Marc Newson, un célèbre designer industriel australien, qui a créé une structure en accordéon qui permet de déployer les pages avec facilité.
Contenu varié : les photographies présentées dans le livre couvrent une grande variété de sujets, allant des portraits de célébrités et de personnalités publiques aux paysages, en passant par des séries photographiques sur des thèmes tels que la guerre et la culture populaire américaine.
En somme, « Sumo » est un livre de photographies unique en son genre, qui présente le travail captivant et influent de l’une des photographes les plus célèbres de notre époque.
Le livre « Sumo » de Annie Leibovitz contient plus de 400 photographies, ce qui en fait un ouvrage très riche et varié. Voici un aperçu des photos et du sommaire :
Introduction : le livre commence par une introduction de l’acteur et ami de longue date de Leibovitz, Steve Martin.
The Early Years : cette section présente les premiers travaux de Leibovitz, y compris des portraits de musiciens et de personnalités publiques des années 1970.
The 1980s : cette section contient des portraits iconiques de personnalités telles que Mikhail Baryshnikov, Keith Haring, et Christo et Jeanne-Claude.
The 1990s : cette section inclut des portraits de personnalités telles que Patti Smith, Demi Moore enceinte, et Arnold Schwarzenegger.
The 2000s : cette section contient des portraits de personnalités telles que George W. Bush, Queen Elizabeth II, et Lance Armstrong.
The Women : cette section est consacrée aux portraits de femmes, notamment des artistes, des actrices et des musiciennes.
The Dancers : cette section présente des portraits de danseurs et de chorégraphes tels que Mikhail Baryshnikov, Martha Graham, et Jerome Robbins.
The Athletes : cette section contient des portraits de sportifs, notamment des joueurs de basket-ball, de football américain et de golf.
The War : cette section est consacrée à la photographie de guerre et inclut des images de soldats et de paysages dévastés.
The Performers : cette section présente des portraits de comédiens, de musiciens, de chanteurs d’opéra et de circassiens.
The Landscape : cette section contient des images de paysages américains, notamment des déserts, des forêts et des plages.
The Queen : cette section est consacrée aux portraits de la reine Elizabeth II et inclut des images prises à Buckingham Palace.
The End : le livre se termine par une sélection de photographies récentes de Leibovitz.
En somme, « Sumo » est un livre qui présente une grande variété de travaux photographiques de Leibovitz, allant des portraits de célébrités et de personnalités publiques à la photographie de guerre en passant par les paysages et les images de danse et de sport.
À propos de Taschen
Qu’est-ce que la vie, sinon l’art ? Et en tant qu’êtres humains, nous aimons aussi collectionner l’art. Vous avez de la chance car Taschen est un éditeur d’art et d’anthropologie dont les livres regorgent de photos de qualité, de littérature informative et de designs uniques. La société est bien connue pour sa vision astucieuse de sujets tels que l’architecture, le mysticisme et la culture pop.
Les amateurs d’art et les collectionneurs de livres sont devenus fous pour Taschen, et cela se voit. Entre leur abondance de critiques Taschen en ligne, leurs 425 000 abonnés sur Instagram et des articles réguliers dans des périodiques bien connus comme Forbes et Vanity Fair, cette maison d’édition d’art avant-gardiste a fait l’effort de se démarquer de votre libraire moyen pour se faire remarquer.
Avec la vision motrice de l’entreprise de vendre à la fois des livres de collection en édition limitée et de la littérature à bas prix, Taschen touche tous les créneaux du marché des amateurs de livres. Cette revue Taschen va vous aider à décider si vous souhaitez investir dans l’une de leurs pièces uniques et impressionnantes.
Présentation de Taschen
Cette maison d’édition a été fondée en 1980 par Benedikt Taschen, qui écrivait ses propres bandes dessinées et voulait partager son travail avec le monde. En peu de temps, l’entreprise est rapidement devenue une entreprise qui ne se spécialisait pas seulement dans les romans graphiques, mais aussi dans l’art, la littérature et même l’érotisme.
Actuellement dirigée par Benedikt et sa fille Marlene, cette maison d’édition a atteint un statut bien connu en raison de sa qualité d’impression et de ses grandes pièces de déclaration de la longueur d’un livre qui peuvent être appréciées par les propriétaires et les invités. Chaque livre Taschen est conçu pour impressionner, inspirer et apparaître comme de l’art .
Avant d’approfondir l’héritage et les offres que l’entreprise promeut, nous voulions vous montrer la liste des faits saillants que nous avons collectés, afin que vous puissiez voir, dès le départ, ce dont Taschen est fier.
Points forts de Taschen
L’éditeur propose une grande variété de sujets
Collections de livres rares
Long héritage (depuis 1980)
Entreprise familiale et exploitée
Disponible en ligne et en magasin
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Revue Taschen
Avec une pile de merveilleux faits saillants comme celui-ci, il est difficile de ne pas être curieux de savoir ce que Taschen fait bien d’autre. Cette entreprise existe depuis un certain temps, elle a donc un catalogue impressionnant de livres, de produits et, bien sûr, des avis Taschen de clients qui souhaitent donner leur avis.
Pour conclure, « Sumo » de Annie Leibovitz est bien plus qu’un simple livre de photographies. C’est un monument à la carrière d’une des photographes les plus influentes de notre époque. Avec des images captivantes et des portraits iconiques de personnalités célèbres, ce livre est devenu un objet de collection incontournable pour les amateurs de photographie et les collectionneurs d’art.
Avec sa taille impressionnante et son poids considérable, « Sumo » est un objet à part entière, une œuvre d’art en soi. Le travail de Leibovitz dans ce livre est le reflet de son incroyable talent, son sens aigu de l’esthétique et sa capacité à capturer l’essence même de ses sujets. « Sumo » est un témoignage de l’héritage photographique de Leibovitz, un héritage qui continuera d’influencer et d’inspirer des générations de photographes à venir.
Eric CANTO Photographe : Photos de concerts, portraits, pochettes d’albums.
FAQ sur Annie Leibovitz et son livre « Sumo » de 2014
Question 1: Qui est Annie Leibovitz ?
Annie Leibovitz est une photographe américaine célèbre pour ses portraits de célébrités, de musiciens, de politiciens et d’autres personnalités influentes. Elle a travaillé pour des magazines tels que Rolling Stone, Vanity Fair et Vogue.
Question 2 : Qu’est-ce que « Sumo » ?
« Sumo » est un livre de photographies publié en 2014 par Annie Leibovitz. Le livre mesure plus de 50 centimètres de haut et pèse près de 60 kilogrammes. Il est considéré comme l’un des plus grands livres de photographies jamais publiés.
Question 3 : Que contient « Sumo » ?
« Sumo » contient plus de 400 photographies de Leibovitz, couvrant sa carrière depuis les années 1970 jusqu’à aujourd’hui. Les photos comprennent des portraits de célébrités, des paysages, des photos de mode et des reportages.
Question 4: Pourquoi « Sumo » est-il si grand et lourd ?
Le livre a été conçu pour être aussi grand que possible afin de mettre en valeur les photographies de Leibovitz, qui sont souvent grandioses et spectaculaires. Le titre du livre fait référence aux lutteurs de sumo, qui sont également de grandes et puissantes figures. Le poids et la taille du livre ont également contribué à son caractère unique et à sa valeur en tant qu’objet d’art.
Question 5: Combien coûte « Sumo » ?
Le prix initial de « Sumo » était de 2 500 $US. Depuis lors, le prix a fluctué en fonction de la rareté et de la demande, et il peut être considérablement plus élevé.
Question 6: Y a-t-il d’autres éditions de « Sumo » disponibles ?
Oui, il existe des éditions moins chères de « Sumo » qui ont été publiées depuis la première édition en 1999. Il y a une édition XL de 2019, qui mesure 70 cm x 50 cm, mais qui est beaucoup plus légère. Les éditions ultérieures peuvent avoir des photographies supplémentaires ou être publiées dans des formats plus petits.
Question 7: Combien d’exemplaires de « Sumo » ont été imprimés ?
Seulement 10 000 exemplaires ont été imprimés de la première édition de « Sumo ». Chaque exemplaire était numéroté et signé par Leibovitz.
Question 8: Qui a écrit l’introduction de « Sumo » ?
L’introduction de « Sumo » a été écrite par l’écrivain américain Paul Roth.
Question 9: Quel est le format de « Sumo » ?
Le format original de « Sumo » mesure 50 cm x 70 cm et pèse environ 60 kilogrammes. Les éditions ultérieures peuvent être publiées dans des formats plus petits.
Question 10 : Est-ce que « Sumo » est un livre de photographies en couleur ou en noir et blanc ?
« Sumo » contient à la fois des photographies en couleur et en noir et blanc.
Question 11: Quelles sont les célébrités les plus connues qui figurent dans « Sumo » ?
« Sumo » contient des portraits de nombreuses célébrités connues, notamment Mick Jagger, John Lennon, Yoko Ono, Queen Elizabeth II, Demi Moore, Brad Pitt, Angelina Jolie, et Barack Obama.
Question 12 : Quelle est la valeur actuelle de « Sumo » ?
La valeur de « Sumo » dépend de nombreux facteurs, notamment de l’état de l’exemplaire, du nombre d’exemplaires encore en circulation et de la demande du marché. Les exemplaires signés et numérotés peuvent se vendre pour des sommes considérables, allant jusqu’à plusieurs dizaines de milliers de dollars.
Qu’est-ce qu’une impression Fine ART ? Si vous cherchez à réserver une séance photo, il y a de fortes chances que vous ayez entendu un photographe mentionner Fine ART, et vous vous demandez peut-être ce que cela signifie.
L’impression Fine ART est-elle différente des impressions que vous pouvez obtenir dans un grand magasin ? Est-ce important ?
J’adore les tirages Fine ART– la couleur et la qualité sont fantastiques et incroyablement belles. Mais si vous n’avez pas vu une impression d’art dans la chair, il peut être difficile de comprendre de quoi parle tout ce battage médiatique, et pourquoi cela vaut la peine de dépenser plus pour ces impressions que vous ne le feriez avec un imprimeur grand public.
Dans cet article, j’expliquerai ce qu’est une impression d’art, les matériaux qui entrent dans la création d’impressions d’art et la différence que cela fait.
impression Fine ART
Qu’est-ce qu’une impression Fine ART?
« Beaux-arts », « qualité musée », « qualité archive »… ce sont tous des termes que vous rencontrerez peut-être en explorant le monde de la photographie et en voyant des photographes parler de leurs tirages.
Mais qu’est-ce que cela signifie vraiment ? En bref, une estampe d’art est une impression de très haute qualité – de la même qualité qu’un musée ou une galerie imprimerait des œuvres pour les exposer.
impression Fine ART
En bref, il y a deux choses qui font d’une estampe une œuvre d’art :
Papier pour tirages Fine ART
Le papier utilisé pour les tirages d’art est sans acide. C’est l’acide contenu dans les papiers photographiques qui provoque la décoloration et la fissuration des photographies au fil du temps. L’utilisation de papiers sans acide contribue donc à garantir que votre impression dure toute une vie.
Fait intéressant, il en va de même pour les tapis sur lesquels vos photographies sont montées – s’ils contiennent de l’acide, ils jauniront beaucoup plus rapidement.
Encres pour tirages Fine ART
Tout comme les papiers photographiques ne sont pas tous créés égaux, les imprimantes ne sont pas non plus utilisées pour faire des tirages.
Les tirages d’art sont imprimés à l’aide d’imprimantes très haut de gamme, qui ont un spectre de couleurs beaucoup plus large que les imprimantes standard. Ces imprimantes auront 8 à 12 encres de couleurs différentes, qu’elles pourront mélanger pour créer des millions de couleurs différentes.
Le résultat est que les couleurs de votre impression seront beaucoup plus précises et fidèles à l’image d’origine que si vous l’aviez imprimée avec une imprimante standard.
Fine ART
Qu’est-ce qu’une impression Fine ART?
Une impression Fine Art est une reproduction d’une photographie, d’un dessin ou d’une peinture qui est faite à la main avec des encres et des papiers de qualité supérieure pour créer un rendu esthétique proche de l’original. Il s’agit d’une technique d’impression d’art qui permet de reproduire des œuvres d’art à des fins de collection ou de décoration.
Les impressions Fine Art sont généralement produites en édition limitée, ce qui signifie qu’il n’y a qu’un certain nombre de tirages de chaque image produite. Cela augmente la valeur de l’impression et la rend plus recherchée par les collectionneurs.
Les impressions Fine Art sont généralement produites sur des papiers d’art de qualité supérieure, tels que le papier à base de coton, le papier d’archivage ou le papier à base d’eau, qui offrent une meilleure résistance à la décoloration et une durée de vie plus longue. Les encres utilisées sont également de qualité supérieure, elles sont pigmentées, cela garantit une meilleure résistance à la lumière et une meilleure durée de vie.
En résumé, une impression Fine Art est une reproduction d’une œuvre d’art produite à la main avec des encres et des papiers de qualité supérieure pour créer un rendu esthétique proche de l’original. Elle est produite en édition limitée, augmentant ainsi sa valeur, et est généralement utilisée à des fins de collection ou de décoration.
Toutes les impressions d’art ne sont pas égales
Ainsi, comme nous l’avons appris jusqu’à présent, la différence entre une impression d’art et une impression que vous pouvez commander auprès d’un imprimeur de rue ou en ligne est que la reproduction des couleurs est beaucoup plus précise, et le papier conservera cette couleur, et sa forme pour de nombreuses années. Avec les bons soins, cela peut durer plus de 60, voire 100 ans.
Mais le processus d’impression ne se résume pas à cela. Le type de papier d’art que vous choisirez pour votre impression fera également une différence dans l’apparence de votre impression.
Les papiers beaux-arts sont souvent fabriqués à partir de fibres de coton, mais peuvent également être fabriqués à partir d’autres matériaux tels que le bambou, ou avoir un revêtement spécial. Les différentes caractéristiques de ces papiers auront un impact sur l’apparence de votre impression – certains papiers sont bons pour imprimer des couleurs vives, d’autres feront ressortir vos photographies en noir et blanc. D’autres sont meilleurs pour les tons plus doux et sourds. En bref, choisir le bon papier pour votre impression aura un impact sur son apparence.
Fine ART
Les differents papiers photo fine art
Il existe plusieurs types de papiers photo fine art utilisés pour produire des impressions de qualité supérieure. Voici quelques exemples :
Papier à base de coton : Ce type de papier est fabriqué à partir de fibres de coton de haute qualité, ce qui lui confère une excellente durabilité et une résistance accrue à la décoloration. Il est également très doux et offre une texture naturelle pour des impressions haut de gamme.
Papier d’archivage : Ce type de papier est conçu pour une utilisation à long terme et est fabriqué à partir de matériaux de qualité supérieure pour une excellente stabilité à la lumière et une durée de vie accrue. Il est également souvent utilisé pour les tirages d’art de grande taille.
Papier à base d’eau : Ce type de papier est fabriqué à partir d’un mélange de cellulose et d’eau, il est sans acide, non couché et non blanchi. Il offre une excellente qualité d’impression avec des couleurs riches et des contrastes élevés.
Papier jet d’encre : Les papiers jet d’encre sont conçus pour une utilisation avec les imprimantes jet d’encre, ils offrent une qualité d’image élevée et une gamme de couleurs étendue. Ils sont également souvent utilisés pour les tirages d’art de grande taille.
Papier mat : Les papiers mats ont une finition non brillante qui permet de minimiser les reflets et de maximiser les contrastes. Il est souvent utilisé pour les photographies en noir et blanc ou pour les photographies avec des couleurs douces.
Il est important de noter que pour chaque type de papier, il existe des variations de qualité, et il est important de choisir un papier de qualité supérieure pour obtenir les meilleurs résultats d’impression. Il est également important de prendre en compte les préférences esthétiques et les exigences de conservation de l’œuvre en question pour choisir le papier approprié.
Fine art
Comment prendre soin de vos tirages Fine ART
Alors maintenant que vous avez de magnifiques tirages d’art, que pouvez-vous faire pour vous assurer qu’ils durent toute une vie ?
La principale chose que vous pouvez faire,c’est de considérer comment ils sont exposés à la lumière. Au fil du temps, c’est l’exposition à la lumière qui endommagera vos photographies – non seulement la décoloration des couleurs, mais la lumière UV peut également provoquer l’affaiblissement et le blanchiment du papier. Les températures extrêmes peuvent également endommager l’impression.
Pour prendre soin de vos impressions, vous pouvez faire quelques gestes pour limiter leur exposition à la lumière, à la chaleur et au froid :
Évitez d’accrocher vos tirages dans un endroit où ils seront en plein soleil pendant toute ou une partie de la journée.
Si vos tirages sont exposés en plein soleil, essayez de limiter leur exposition en fermant les stores ou les rideaux lorsque la pièce n’est pas utilisée.
Laisser les lumières éteintes lorsque la pièce n’est pas occupée
Sachez que si vous accrochez vos impressions au-dessus d’un feu qui est souvent utilisé, la chaleur peut faire vieillir votre impression plus rapidement.
Eric CANTO Photographe : Photos de concerts, portraits, pochettes d’albums.
Le fine art est une forme d’art visuel qui est créée pour exprimer des idées ou des émotions plutôt que pour servir une fonction utilitaire.
2. Quels types d’art sont considérés comme du fine art ?
Le fine art peut inclure une variété de médiums tels que la peinture, la sculpture, la photographie, la gravure et la céramique.
3. Comment le fine art est-il différent de l’art commercial ?
Le fine art est créé pour l’expression personnelle et la créativité de l’artiste, tandis que l’art commercial est créé pour un but spécifique tel que la publicité ou la promotion d’un produit.
4. Comment peut-on apprécier le fine art ?
Le fine art peut être apprécié de nombreuses manières, notamment en visitant des musées et des galeries d’art, en participant à des expositions d’art et en achetant des œuvres d’art pour les collectionner.
5. Comment les artistes déterminent-ils le prix de leurs œuvres d’art en fine art ?
Les artistes déterminent souvent le prix de leurs œuvres d’art en fonction de leur expérience, de leur renommée, de la rareté de leur œuvre et de la taille de l’œuvre.
6. Qu’est-ce que la reproduction en fine art ?
La reproduction en fine art est un processus utilisé pour créer des reproductions d’œuvres d’art originales. Les reproductions sont souvent produites en utilisant des techniques d’impression de haute qualité telles que la lithographie, la sérigraphie ou l’impression giclée.
7. Comment peut-on se former à la pratique du fine art ?
La formation à la pratique du fine art peut inclure des cours d’art dans des écoles ou des universités, des ateliers d’art, des stages et des résidences d’artistes.
8. Comment peut-on acheter des œuvres d’art en fine art ?
Les œuvres d’art en fine art peuvent être achetées en visitant des galeries d’art, des foires d’art, des ventes aux enchères ou en ligne sur des sites spécialisés dans l’art.
9. Comment peut-on prendre soin de ses œuvres d’art en fine art ?
Il est important de prendre soin de ses œuvres d’art en fine art en évitant la lumière directe du soleil, l’humidité et les températures extrêmes. Les œuvres d’art doivent également être nettoyées régulièrement avec des méthodes de nettoyage appropriées.
10. Comment peut-on évaluer la qualité d’une œuvre d’art en fine art ?
L’évaluation de la qualité d’une œuvre d’art en fine art peut être subjective, mais certains critères peuvent inclure la technique, la créativité, la qualité des matériaux et la renommée de l’artiste. Il est également important de considérer l’état de l’œuvre d’art, son histoire et sa provenance. Il est recommandé de consulter un expert en art ou un évaluateur certifié pour obtenir une évaluation professionnelle de la valeur et de la qualité d’une œuvre d’art en fine art.
Le Fuji X100V : un concentré de performance et de style pour les photographes
Le Fuji X100V, dernier-né de la série des compacts experts de Fujifilm, est rapidement devenu une référence parmi les photographes professionnels et amateurs. Il offre des fonctionnalités avancées telles que la vidéo 4K, un autofocus réactif, un objectif amélioré, un viseur hybride optimisé et une protection contre les intempéries. Le X100V est également apprécié pour son design élégant et sa compacité, ce qui en fait un choix idéal pour la photographie de rue et de voyage.
L’appareil photo expert au service de vos créations
Le Fuji X100V est un outil performant et polyvalent pour les passionnés de l’image. Ses caractéristiques techniques sont à la hauteur des attentes des utilisateurs les plus exigeants :
Capteur APS-C X-Trans CMOS 4 : offrant une haute résolution de 26,1 mégapixels pour des images détaillées et riches en couleur.
Vidéo 4K : la possibilité de filmer en 4K jusqu’à 30p assure une qualité exceptionnelle pour toutes vos réalisations visuelles.
Autofocus rapide et précis : grâce à ses 425 points de détection de phase, le X100V met au point avec rapidité et exactitude même dans des conditions de faible luminosité.
Objectif 23mm f/2 : cet objectif fixe équivalent à un 35mm en format plein cadre offre une grande ouverture maximale pour capturer des scènes avec peu de lumière et créer un beau bokeh.
Viseur hybride optimisé : combinant un viseur optique et un viseur électronique, il permet de bénéficier des avantages de chacun et d’optimiser votre expérience de prise de vue.
Protection contre les intempéries : grâce à ses joints d’étanchéité, le X100V résiste à l’eau et à la poussière, ce qui vous permettra de l’utiliser en toute sérénité dans différents environnements.
Réalisez des vidéos exceptionnelles avec le Fuji X100V
Pour les vidéastes, le X100V propose plusieurs fonctionnalités intéressantes. Outre la vidéo 4K, l’appareil dispose d’un mode de simulation de film ETERNA, idéal pour obtenir des couleurs cinématographiques sans avoir à réaliser de postproduction. L’appareil intègre également un profil F-Log pour les utilisateurs souhaitant effectuer des retouches colorimétriques en postproduction.
De plus, le Fuji X100V est capable de filmer en slow-motion jusqu’à 120 images par seconde en Full HD, offrant un ralenti fluide et esthétique pour vos créations vidéo.
Un design élégant et compact pour la photographie de rue et de voyage
Le Fuji X100V est non seulement performant, mais aussi extrêmement compact et léger. Ces caractéristiques en font un choix privilégié pour les photographes de rue et les voyageurs qui cherchent à allier qualité d’image et praticité.
Design rétro et matériaux de qualité
Avec son esthétique vintage rappelant les appareils photo rangefinder, le X100V affiche fièrement un design élégant et intemporel. Alliant l’aluminium aux éléments de finition en cuir synthétique, il démontre une attention particulière aux moindres détails, tant au niveau de la construction que de l’ergonomie.
Compacité et légèreté pour une utilisation quotidienne
Pesant moins de 500 grammes et mesurant environ 13 x 7 x 5 cm, le Fuji X100V dispose d’un rapport taille/poids idéal pour être transporté facilement lors de vos escapades urbaines ou voyages. Son objectif fixe télescopique se rétracte lorsque l’appareil est éteint, ce qui renforce encore sa compacité et sa discrétion.
Astuces pour tirer le meilleur parti de votre Fuji X100V
Voici quelques conseils pour optimiser votre expérience avec le Fuji X100V :
Explorez les possibilités offertes par les simulations de film : Fujifilm propose une série de modes de couleur inspirés de leurs célèbres films argentiques. N’hésitez pas à tester chaque simulation et à personnaliser les paramètres pour obtenir le rendu de couleur qui correspond à votre style.
Prenez avantage du mode panoramique : cette fonction vous permettra de réaliser facilement des images grand-angle en assemblant plusieurs photos. C’est un excellent moyen de capturer des paysages ou des scènes urbaines.
Utilisez l’écran tactile inclinable pour varier vos points de vue : l’écran arrière du X100V peut être incliné vers le haut et le bas, ce qui facilite la prise de vue depuis des angles inhabituels. L’écran est également sensible au toucher pour une navigation intuitive dans les menus et un ajustement précis des paramètres.
Tirez parti de la connectivité sans fil : en associant le Fuji X100V à votre smartphone via Bluetooth ou Wi-Fi, vous pouvez transférer rapidement vos images pour les partager sur les réseaux sociaux ou contrôler l’appareil à distance avec l’application dédiée Fujifilm Camera Remote.
Accessoires recommandés pour le Fuji X100V
Pour enrichir davantage votre expérience avec le X100V, voici quelques accessoires intéressants :
Un pare-soleil : cet élément protège l’objectif des reflets indésirables et améliore la qualité globale de l’image, surtout en cas de fort ensoleillement.
Une dragonne ou une courroie d’épaule : selon vos préférences, ces accessoires facilitent le transport de l’appareil et permettent une prise en main rapide et sécurisée.
Un trépied compact : pour réaliser des photos de longue exposition ou des autoportraits, un trépied léger et portable est un excellent compagnon pour votre X100V.
Des filtres de protection UV ou ND : ces filtres s’adaptent à l’objectif du X100V et offrent une protection contre les rayures, la poussière ou les chocs tout en améliorant la qualité de vos images selon les conditions d’éclairage.
En somme, le Fuji X100V se distingue par son excellente qualité d’image, sa polyvalence et son design élégant, séduisant ainsi les photographes les plus exigeants. Grâce à cet appareil, capturez des moments uniques lors de vos aventures urbaines et emportez-le facilement dans tous vos voyages.
Polyvalent, compact et costaud, le FUJIFILM X100V argenté est la cinquième génération de la série X100, alliant des capacités d’imagerie impressionnantes, un design distinct avec un objectif grand angle adapté et un ensemble de fonctionnalités flexibles pour répondre à un éventail de besoins de prise de vue.
Utilisant un capteur CMOS 4 X-Trans 26,1 MP au format APS-C éprouvé et apprécié, le FUJIFILM X100V est capable d’enregistrer en haute résolution avec la prise en charge de la vidéo DCI/UHD 4K, la sensibilité de ISO 160-12800 et la prise de vue en continu jusqu’à 11 ips avec l’obturateur mécanique.
La conception BSI du capteur du FUJIFILM X100V offre un bruit réduit et une plus grande clarté globale, et est associée au X-Processor 4 pour obtenir des performances rapides et une réactivité améliorée. La conception du capteur permet également un système de mise au point automatique hybride qui combine 425 points de détection de phase avec un système de détection de contraste pour des performances AF rapides et précises.
Au-delà de l’imagerie, le FUJIFILM X100V conserve la conception éprouvée du boîtier inspirée du télémètre qui a rendu cette série d’appareils photo si spéciale.
Le populaire viseur hybride avancé est à nouveau utilisé, mais a été mis à jour avec un EVF OLED de 3,69 m de résolution plus élevée pour une visualisation plus claire. Cela peut toujours être effleuré pour révéler un viseur optique clair à grossissement de 0,52x pour s’adapter à la façon de photographier des puristes.
Le viseur du FUJIFILM X100V est complété par un écran tactile ACL de 3,0 po à 1,62 m, doté d’une conception inclinable dans les deux sens pour prendre en charge le travail à partir d’angles élevés et faibles.
Ensuite, il y a aussi le précieux objectif grand angle intégré qui offre un distance focale utile équivalente à 35 mm et une ouverture maximale lumineuse de f / 2. Cet objectif a été repensé par rapport aux versions précédentes pour réaliser des images plus nettes avec moins de distorsion, une mise au point plus proche et, physiquement, lorsque vous fixez l’anneau adaptateur en option et le filtre de protection en option, il complète une conception résistante aux intempéries.
De plus, pour vous permettre de rester connecté, le FUJIFILM X100V dispose également de Bluetooth et Wi-Fi intégrés pour permettre le transfert sans fil d’images vers un appareil mobile ainsi que le contrôle à distance de l’appareil photo depuis un smartphone ou une tablette.
FUJIFILM X100V
Fujifilm x100v : Capteur CMOS 4 APS-C X-Trans BSI 26,1 Mpx et processeur X 4
Tournant autour d’un capteur très polyvalent, le FUJIFILM X100V dispose d’un capteur X-Trans CMOS 4 au format APS-C de 26,1 MP, qui a une conception rétro-éclairée pour offrir un rendu tonal fluide, des performances améliorées en basse lumière et une large plage de sensibilité native. de la norme ISO 160-12800.
En tant que capteur X-Trans, il utilise également un réseau de pixels aléatoires, qui offre un degré élevé de qualité et de netteté d’image en raison de l’omission d’un filtre passe-bas optique. Par rapport aux modèles de pixels conventionnels, le design X-Trans imite plus étroitement la nature organique du film afin de produire des couleurs nuancées et des transitions tonales, tout en réduisant le moiré et le crénelage.
FUJIFILM X100V
La conception du capteur du FUJIFILM X100V comprend également un système de mise au point automatique à détection de phase étendu, qui dispose de 425 points sélectionnables qui couvrent presque toute la zone du capteur.
Ce système AF offre des performances de mise au point plus rapides et plus précises dans une variété de conditions d’éclairage jusqu’à -5 EV. Pour compléter les capacités d’imagerie et de mise au point, un X-Processor 4 mis à jour est également présenté, qui dispose d’un processeur quadricœur et offre des performances plus rapides et plus réactives dans tout le système de caméra.
Fujifilm x100v : Enregistrement vidéo UHD et DCI 4K
Étendant ses capacités au-delà des images fixes, le FUJIFILM X100V offre une gamme polyvalente de capacités vidéo, y compris l’enregistrement interne DCI/UHD 4K jusqu’à 30 ips et l’enregistrement Full HD jusqu’à 120 ips.
Bénéficiant grandement des performances vidéo globales, la vitesse du X-Processor 4 permet des vitesses de lecture rapides lors de l’enregistrement vidéo et aide à réduire la distorsion de l’obturateur roulant lors du tournage de sujets en mouvement. De plus, un port micro-HDMI permet un enregistrement 10 bits 4:2:2 sur un enregistreur externe en option.
Fujifilm x100v : Objectif Fujinon 23 mm f/2 repensé
Un objectif Fujinon 23 mm f / 2 mis à jour présente une conception optique révisée qui comprend désormais deux éléments asphériques pour une netteté et une clarté améliorées grâce à la réduction des aberrations sphériques et de la distorsion.
La distance focale de 23 mm de cet objectif équivaut à 35 mm, ce qui en fait un objectif grand angle confortable qui convient bien à une variété de situations de prise de vue.
FUJIFILM X100V
La conception lumineuse f/2 du FUJIFILM X100V convient également au travail dans diverses conditions d’éclairage et offre un meilleur contrôle de la profondeur de champ pour aider à isoler la mise au point sur les sujets.
De plus, un revêtement Super EBC a été appliqué pour supprimer les reflets de l’objectif et les images fantômes pour un meilleur contraste et une meilleure fidélité des couleurs lorsque vous travaillez dans des conditions d’éclairage intenses.
Alors que l’objectif est une distance focale fixe, le X100V intègre des paramètres de téléconvertisseur numérique équivalents à 50 mm et 75 mm pour simuler l’apparence de travailler avec une distance focale plus longue et l’objectif est également compatible avec les objectifs de fixation WCL et TCL en option pour étendre ou réduire le effet champ de vision.
FUJIFILM X100V
Fujifilm x100v :Viseur hybride avancé
Les types de viseur optique et électronique du FUJIFILM X100V sont intégrés dans le viseur hybride avancé unique, qui vous permet de choisir entre la simplicité et la familiarité d’un OVF ainsi que la polyvalence d’un EVF. Le changement entre les types de visualisation s’effectue rapidement via le levier de commutation du viseur dédié à l’avant du boîtier de l’appareil photo.
Le viseur optique à grossissement de 0,52x offre une vue claire et réaliste de la scène pour faciliter la composition et le suivi du sujet. Sa conception améliorée intègre une fonction de télémètre électronique, qui imite la fonctionnalité d’un télémètre mécanique, et superpose simultanément les informations du viseur électronique au-dessus du viseur optique pour un contrôle comparatif de la mise au point manuelle.
En ce qui concerne le viseur électronique, cet OLED arbore une résolution élevée de 3,69 m de points ainsi qu’un taux de rafraîchissement rapide pour réduire le décalage pour des mouvements de panoramique et de suivi plus fluides. L’EVF vous permet de prévisualiser les paramètres d’exposition avant la prise de vue et dispose d’un affichage personnalisable, pour configurer la quantité et le type d’informations affichées dans le viseur.
Fujifilm x100v :Conception du corps
L’écran LCD inclinable de 3,0″ à 1,62 m a une conception d’écran tactile pour un fonctionnement et une lecture intuitifs, et la conception inclinable profite grandement du travail à partir d’angles de prise de vue élevés et bas.
La conception durable peut être rendue résistante aux intempéries lorsqu’elle est associée à l’anneau adaptateur AR-X100 en option et à l’anneau de protection contre les intempéries en option.
La plaque supérieure intègre une série de cadrans et de leviers de verrouillage pour un contrôle rapide et intuitif des paramètres d’exposition, y compris un cadran de vitesse d’obturation qui offre un réglage direct de la vitesse d’obturation.
Une molette ISO est également intégrée à la molette de vitesse d’obturation, pour confirmer le réglage de la sensibilité sans avoir à allumer l’appareil photo et la molette de compensation d’exposition vous permet de choisir +/- 3 EV par incréments de 1/3. Ce cadran a également une position C pour offrir une plage étendue de +/- 5 EV lorsque vous travaillez avec les cadrans de commande.
Les molettes de commande avant et arrière intègrent une fonction push pour faciliter l’utilisation et la sélection des paramètres.
Le joystick arrière est disponible pour la sélection et la commutation intuitives des collimateurs AF ainsi que la navigation dans les menus et la lecture des images.
La connectivité Bluetooth et Wi-Fi intégrée permet de partager sans fil des images vers un appareil mobile ou d’utiliser l’appareil pour contrôler à distance l’appareil photo.
Les emplacements pour carte mémoire SD unique prennent en charge jusqu’à la norme UHS-I.
La batterie NP-W126S incluse fournit environ 350 images par charge lorsque vous travaillez avec l’EVF ou 420 images par charge lorsque vous travaillez avec l’OVF.
Fujifilm x100v : Modes de simulation de films
Tirant parti de la vaste histoire de FUJIFILM dans la photographie argentique traditionnelle, le FUJIFILM X100V intègre plusieurs modes de simulation de film, qui imitent l’aspect et la sensation de certains des types de films classiques de FUJIFILM :
– Provia—Le film transparent couleur à contraste standard et à saturation normale- Velvia—Contraste élevé, saturation des couleurs élevée et film transparent aux couleurs vives
– Astia—Contraste atténué et saturation des couleurs avec un aspect idéal pour les portraits
– Chrome classique : offre des tons atténués et une reproduction des couleurs profondes, semblable à un film de diapositives daté
– Classic Neg – Contraste discret mais couleurs vives avec une sensation cinématographique vintage
– PRO Neg—Disponible avec Hi et Std. options de contraste, cela imite la sensation percutante mais naturelle de leur film négatif couleur de qualité professionnelle
– Eterna—Pour un look cinématographique, cela fournit une couleur plate, un aspect à faible saturation bien adapté à l’étalonnage des couleurs de post-production
– Acros—Basé sur le populaire film N&B, ce mode monochrome a une tonalité et un grain distincts et peut être utilisé avec des effets de filtre de contraste jaune, rouge et vert
– N&B : effet noir et blanc simple et classique avec options de filtre de contraste jaune, rouge et vert
Sépia – Le look ancien préféré de tout le monde imitant le processus alternatif populaire
En plus de simuler des types de film spécifiques, un mode Effet de grain est également disponible pour reproduire l’apparence de vieilles photos de film avec une apparence texturée organique, ce qui est particulièrement visible lors de l’impression.
Les effets Color Chrome et Color Chrome Blue sont également disponibles pour approfondir la couleur, la réponse tonale et la gradation avec des couleurs à saturation plus élevée.
Fujifilm x100v : Version du micrologiciel 2.00 Caractéristiques
– Connectez l’appareil photo à un ordinateur via USB pour l’utiliser comme webcam avec l’utilitaire FUJIFILM X Webcam
– Permettez l’utilisation de simulations de film dans le fonctionnement de la webcam
– Ajoutez la possibilité d’utiliser le filtre ND intégré pendant l’enregistrement vidéo
– Ajoutez la possibilité de mémoriser la position du cadre lumineux dans le viseur optique pour éviter tout décalage
– Enregistrez les images RAW + JPEG lors de l’utilisation du téléconvertisseur numérique à 50 mm ou 70 mm de recadrage
Obturateur mécanique 1/4
000 à 30 secondes en mode priorité ouverture 1/4
000 900 secondes en mode priorité vitesse 1/4 000
900 secondes en mode manuel 1/4 000
4 secondes en mode programme
0 60 minutes en mode pose longue Obturateur électronique
1/32 000 à 30 Seconde en mode priorité à l’ouverture
1/32 000 900 seconde en mode priorité à
la vitesse 1/32 000 900 seconde en mode manuel
1/32 000 4 seconde en mode programme
1 1 seconde en mode ampoule Obturateur électronique à rideau avant
1/32 000 à 30 secondes en mode priorité à l’ouverture
1/32 000 900 secondes en mode priorité
vitesse 1/32 000 900 secondes en mode manuel
1/32 000 4 secondes en mode programme
0 60 minutes en mode pose longue
Méthode de mesure
Moyenne, Moyenne pondérée centrale, Multi, Spot, TTL 256 zones
Modes d’exposition
Priorité à l’ouverture, manuel, programme, priorité à l’obturation
La compensation d’exposition
-5 à +5 EV (pas de 1/3 EV)
Balance des blancs
Reconnaissance automatique de scène, température de couleur, personnalisé, lumière du jour, fluorescent (blanc froid), fluorescent (lumière du jour), fluorescent (blanc chaud), incandescent, ombragé, sous-marin
Prise de vue continue
Obturateur mécanique
Jusqu’à 11 ips à 26,1 MP pour jusqu’à 17 images (brutes) / 38 images (JPEG)
Jusqu’à 8 ips à 26,1 MP pour jusqu’à 18 images (brutes) / 76 images (JPEG)
Jusqu’à 6 ips à 26,1 MP pour jusqu’à 21 images (brut) / 220 images (JPEG)
Jusqu’à 5 ips à 26,1 MP pour jusqu’à 24 images (brut) / 458 images (JPEG)
Jusqu’à 4 ips à 26,1 MP pour jusqu’à 28 images (brut ) / Images illimitées (JPEG)
Jusqu’à 3 ips à 26,1 MP pour un maximum de 34 images (Raw) / Images illimitées (JPEG) Obturateur électronique
Jusqu’à 20 ips à 26,1 MP pour un maximum de 17 images (Raw) / 32 images illimitées ( JPEG)
Jusqu’à 10 ips à 26,1 MP pour jusqu’à 18 images (brutes) / 81 images illimitées (JPEG)
Jusqu’à 30 ips à 20,9 MP pour jusqu’à 17 images (brutes) / 29 images (JPEG)
Jusqu’à 20 ips à 20,9 MP pour jusqu’à 17 images (brutes) / 79 images (JPEG)
Jusqu’à 10 ips à 20,9 MP pour jusqu’à 18 images (brutes) / 153 images (JPEG)
Jusqu’à 8 ips à 20,9 MP pour jusqu’à 18 images (brut) / 90 images (JPEG)
Enregistrement à intervalles
Oui
Retardateur
Délai de 2/10 secondes
Options spéciales
Panorama
Vidéo
Modes d’enregistrement
[
_
_ 100 à 200 Mb/s]
DCI 2K (2048 x 1080) à 23,98p/24,00p/25p/29,97p/50p/59,94p [50 à 200 Mb/s]
Full HD (1920 x 1080) à 23,98p/24,00 p/25p/29.97p/50p/59.94p/100p/119.88p [50 à 200 Mb/s]
Limite d’enregistrement
Jusqu’à 10 minutes pour DCI 4K (4096 x 2160)
Jusqu’à 15 minutes pour Full HD (1920 x 1080) à 23,98p/24,00p/25p/29,97p/50p/59,94p
Jusqu’à 6 minutes pour Full HD (1920 x 1080) à 100p/120p
Le Fujifilm X100V est un appareil photo compact à objectif fixe de la série X de Fujifilm. Il est conçu pour les photographes qui cherchent un appareil photo petit, léger et portable qui offre une qualité d’image exceptionnelle.
2. Quelles sont les spécifications techniques du Fujifilm X100V?
Le Fujifilm X100V est équipé d’un capteur X-Trans CMOS 4 de 26,1 mégapixels et d’un processeur d’image X-Processor 4. Il dispose également d’un objectif fixe Fujinon 23mm f/2, d’une plage de sensibilité ISO de 160 à 12800 (extensible à 80-51200), d’un écran LCD inclinable de 3 pouces et d’un viseur électronique OLED de 0,5 pouce.
3. Quelle est la qualité d’image du Fujifilm X100V?
La qualité d’image du Fujifilm X100V est excellente grâce à son capteur X-Trans CMOS 4 et son processeur d’image X-Processor 4. Les images sont nettes, détaillées et ont une excellente dynamique.
4. Comment le Fujifilm X100V se compare-t-il aux autres appareils photo compacts?
Le Fujifilm X100V se distingue des autres appareils photo compacts grâce à sa qualité d’image exceptionnelle, son objectif fixe de haute qualité et son boîtier en alliage de magnésium durable. Il offre également des fonctionnalités avancées telles qu’un viseur électronique OLED, un écran LCD inclinable et des commandes manuelles pour une expérience de prise de vue personnalisée.
5. Quel est le système d’autofocus du Fujifilm X100V?
Le Fujifilm X100V utilise un système d’autofocus à détection de phase et à détection de contraste avec 425 points de mise au point automatique. Il offre également une fonction de suivi AF avancée pour suivre les sujets en mouvement.
6. Le Fujifilm X100V est-il facile à utiliser pour les débutants?
Le Fujifilm X100V est relativement facile à utiliser pour les débutants grâce à son interface utilisateur intuitive. Il dispose également d’un mode automatique intelligent qui règle automatiquement les paramètres de l’appareil photo en fonction de la scène.
7. Peut-on utiliser des objectifs interchangeables avec le Fujifilm X100V?
Non, le Fujifilm X100V dispose d’un objectif fixe Fujinon 23mm f/2 qui ne peut pas être changé. Cependant, l’objectif offre une excellente qualité optique et est parfaitement adapté aux situations de prise de vue courantes.
8. Quels sont les avantages du boîtier en alliage de magnésium du Fujifilm X100V?
Le boîtier en alliage de magnésium du Fujifilm X100V offre une grande durabilité et une résistance aux chocs
eric.canto@groupe-grim.com
continue
et aux rayures. Il est également léger et facile à transporter, ce qui en fait un choix idéal pour les photographes en déplacement. De plus, il offre une sensation de solidité et de qualité, ce qui est important pour les photographes professionnels.
9. Le Fujifilm X100V est-il adapté à la vidéo?
Oui, le Fujifilm X100V est capable d’enregistrer des vidéos en 4K à 30 images par seconde. Il offre également des options de formatage de fichier telles que le F-Log et le HLG pour une meilleure flexibilité en post-production.
10. Quels sont les accessoires disponibles pour le Fujifilm X100V?
Il existe plusieurs accessoires disponibles pour le Fujifilm X100V, notamment des étuis de protection, des filtres, des pare-soleils, des adaptateurs pour flash et des sangles de cou. Il est également possible d’ajouter un objectif de conversion grand angle ou téléobjectif en utilisant les adaptateurs de conversion disponibles.
En résumé, le Fujifilm X100V est un excellent choix pour les photographes cherchant un appareil photo compact, léger et portable offrant une qualité d’image exceptionnelle. Avec son objectif fixe de haute qualité, son boîtier en alliage de magnésium durable et ses fonctionnalités avancées, il est idéal pour les photographes professionnels et les amateurs passionnés.
Eric CANTO Photographe : Photos de concerts, portraits, pochettes d’albums.
J’adore les anecdotes derrière les pochettes d’album, les covers. En voici quelques-unes autour de la photo la plus célèbre du groupe britannique de renommée mondiale The Beatles Abbey Road pour leur album Abbey Road.
Fondé en 1957 par John Lennon sous le nom de The Quarrymen, le groupe a vraiment commencé en 1962 après l’arrivée de Ringo Starr, qui a suivi l’arrivée de Paul McCartney et George Harrison et du nom The Beatles.
Un album légendaire :The Beatles Abbey Road
The Beatles Abbey Road est le onzième album original des Beatles, sorti le 26 septembre 1969 en Grande-Bretagne et le 1er octobre aux États-Unis. Bien que sa sortie précède Let It Be, sorti en mai 1970, c’est le dernier album enregistré par le groupe.
Le 20 août 1969, les Four Beatles s’unissent pour la dernière fois en studio, et fin septembre, à la sortie de l’album, John Lennon met fin au groupe en annonçant son départ.
Avec 30 millions d’exemplaires vendus, The Beatles Abbey Road est le deuxième plus grand succès des Beatles, juste après le sergent Pepper.. De cette façon, The Beatles Abbey Road a passé 11 semaines à la pointe du blockbuster, lors d’une compétition féroce avec Let It Bleed des Rolling Stones et le deuxième album de Led Zeppelin.
La semaine suivante l’album The Beatles Abbey Road prend de l’avance pour 6 semaines supplémentaires, augmentant le nombre de semaines passées au sommet à 17.The Beatles Abbey Road était l’album le plus vendu au Royaume-Uni en 1969. Quatrième best-seller des années 1960. En 1970, l’album atteint toujours la 7e place en termes de ventes.
The Beatles Abbey Road: les tensions de l’époque…
A cette époque, en plus de la Beatlemania, quatre musiciens sont aux prises avec de nombreuses tensions personnelles, à la fois artistiques et financières, à la fin des années 1960, le groupe est au bord de la séparation.
L’idée de Paul McCartney était que les Beatles se retrouvaient et composaient ensemble dans leur studio habituel sur Abbey Road à Londres. Ainsi, à l’été 1969, ils ont complètement travaillé sur de nouveaux titres composant l’avant-dernier album (par ordre de sortie), dont le titre prenant le nom de la rue : Abbey Road
C’est John Lennon qui a appelé le photographe écossais Iain MacMillan, rencontré par le biais de Yoko Ono, pour la couverture de The Beatles Abbey Road. Iain MacMillan est surtout connu pour cette photo légendaire et le travail réalisé au nom du couple Lennon / Ono.
The Beatles Abbey Road : Un shooting en 6 temps
Après avoir échangé quelques croquis de la couverture de l’album, le photographe et les Beatles shootent le 8 août 1969, vers11h30 pour éviter l’afflux de fans, notamment ceux présents en début d’après-midi.
Monté sur une caisse en bois, Iain MacMillan ne dispose que de dix minutes pour prendre la bonne photo, tandis qu’un policier tente de réguler le mouvement derrière le photographe.
L’image sélectionnée fait donc partie d’une série de six photos montrant les coulisses de ce moment à un passage piéton sur Abbey Road, passage classé au niveau II, depuis décembre 2010, en raison de son «importance culturelle et historique» . Cette image immortalise la traversée des Beatles avec la même amplitude de pas, sans trafic ni piétons encombrant trop l’image.
Les 5 photos de The Beatles Abbey Road
Sur la première photo, John Lennon tourne la tête, tandis que Paul McCartney et George Harrison lèvent les pieds. Nous remarquons également une Mercedes blanche, plus loin dans la rue.
Sur la deuxième, 4 membres ont suffisamment d’espace entre eux, mais John Lennon est le seul avec la bonne amplitude de pas.
Lors de la troisième photo, une file de voitures avec un bus à impérial s’est formée dans la rue. Paul McCartney a finalement abandonné ses sandales et George Harrison n’était plus sur la même ligne que les autres.
Sur la quatrième photo, nous voyons toujours le même bus rouge qui attend, observant la scène. Parmi les Beatles à nouveau, seul John Lennon a une amplitude assez importante, tandis que les trois autres sont figés. C’est la cinquième photo qui est la bonne ! Le bus est parti, et surtout les pas des 4 Beatles sont parfaitement coordonnés.
Enfin, sixième, on remarque que le bus a traversé la rue en sens inverse et repart. Bien que les musiciens soient bien coordonnés, leur gamme d’étapes n’est pas assez grande. Il s’agit de la cinquième photo que le groupe lui-même a choisie pour illustrer leur album. Il a été coupé et retravaillé pour attirer l’attention sur les membres du groupe.
The Beatles Abbey Road -The Beatles Abbey Road
The Beatles Abbey Road -The Beatles Abbey Road
The Beatles Abbey Road
The Beatles Abbey Road
The Beatles Abbey Road
Bien que l’image semble simple, il convient de prêter attention à certains détails, tels que la présence d’une Volkswagen Beetle blanche, qui n’a rien à voir avec le groupe, mais appartient au résident.
Après la sortie de l’album, sa plaque d’immatriculation a été volée plusieurs fois. C’est aussi la seule photo qui montre le tabagisme de Paul McCartney.
Sur la couronne de la tête de Paul McCartney, près de la voiture bleue, se trouvent trois hommes décorateurs d’intérieur, après le déjeuner. Enfin, sur le trottoir droit entre Ringo Starr et John Lennon se dresse la silhouette d’un autre passant, un touriste américain du nom de Paul Cole, arrêté pour avoir observé la scène. Ce n’est que quelques mois plus tard que sa présence sur la photo a été remarquée.
De plus, l’image d’Abbey Road a attiré beaucoup d’attention et est une source de commérages fantaisistes sur Paul McCartney. De nombreux fans ont commencé à affirmer que le vrai Paul McCartney avait été tué dans un accident de voiture en 1966 et qu’il avait été remplacé par une apparence similaire.
Plusieurs arguments sont avancés, dont beaucoup sont faux, basés sur la photo: le fait que Paul McCartney soit pieds nus fait référence à certaines cultures dans lesquelles les morts ont été enterrés sans chaussures; tandis que Paul McCartney est gaucher, il tient une cigarette dans sa main droite; et, selon ces théoriciens du complot, la plaque d’immatriculation de VW Beetle, « LMW 28IF », signifierait « Living McCartney aurait eu 28 ans si », suggérant que Paul McCartney aurait eu 28 ans s’il n’était pas mort … Mais « en 1969 , pendant le tournage, le musicien avait en fait 27 ans !
La dernière anecdote concerne la composition de la pochette de The Beatles Abbey Road. Après cette photo avec les Beatles, Iain MacMillan veut prendre une photo du panneau de signalisation, où malencontreusement, une jeune femme vêtue d’une robe bleue passe devant l’objectif, ce qui agace le photographe. Enfin, cette photo est sélectionnée comme photo de dos de l’album.
La réédition The Beatles Abbey Road 50e anniversaire
L’album est sorti le 27 septembre 2019. Il est inspiré du mixage stéréo d’origine et remixé par Giles Martin, fils de George Martin et ingénieur du son Sam Okell aux studios Abbey Road, le même qui a remasterisé et modernisé le son des deux rééditions précédentes. À l’instar de la réédition du Lonely Heart Club du sergent Pepper en 2017 et des Beatles en 2018, certaines éditions sont accompagnées d’enregistrements studio inédits. La réédition atteint la première place sur les charts britanniques et la troisième sur Billboard 200.
Album de The Beatles Abbey Road 50e Anniversaire
Sortie 27 septembre 2019 – Format CD, 33 tours, téléchargement, Blu-ray
Producteur Giles Martin
Label Apple Records
Face A
1. Come Together John Lennon, Paul McCartney 4:20
2. Something George Harrison 3:02
3. Maxwell’s Silver Hammer John Lennon, Paul McCartney 3:27
4. Oh! Darling John Lennon, Paul McCartney 3:26
5. Octopus’s Garden Ringo Starr 2:51
6. I Want You (She’s So Heavy) John Lennon, Paul McCartney 7:47
Face B
7. Here Comes the Sun George Harrison 3:05
8. Because John Lennon, Paul McCartney John Lennon, Paul McCartney, 2:45
9. You Never Give Me Your Money John Lennon, Paul McCartney 4:02
10. Sun King John Lennon, Paul McCartney John Lennon, Paul McCartney, G 2:25
11. Mean Mr. Mustard John Lennon, Paul McCartney 1:06
12. Polythene Pam John Lennon, Paul McCartney 1:12
13. She Came In Through the Bathroom Window John Lennon, Paul McCartney 1:58
14. Golden Slumbers John Lennon, Paul McCartney 1:31
15. Carry That Weight John Lennon, Paul McCartney John Lennon, 1:36
16. The End John Lennon, Paul McCartney 2:051
17. Her Majesty (chanson cachée) John Lennon, Paul McCartney 0:23
La chanson The End en tant que telle dure 2:05, mais un silence de quinze secondes entre elle et la chanson cachée Her Majesty porte sa durée à 2:20.
FAQ sur les studios Abbey Road
1. Qu’est-ce que les studios Abbey Road ?
Les studios Abbey Road sont un complexe de studios d’enregistrement situé à Londres, en Angleterre. Ils sont célèbres pour avoir accueilli des enregistrements de nombreux artistes emblématiques, tels que les Beatles et Pink Floyd.
2. Quand les studios Abbey Road ont-ils été fondés ?
Les studios Abbey Road ont été fondés en 1931 sous le nom d’EMI Studios.
3. Pourquoi les studios Abbey Road sont-ils si célèbres ?
Les studios Abbey Road sont célèbres pour avoir été le lieu de nombreux enregistrements emblématiques, tels que l’album « Sgt. Pepper’s Lonely Hearts Club Band » des Beatles et l’album « The Dark Side of the Moon » de Pink Floyd.
4. Les studios Abbey Road sont-ils toujours en activité ?
Oui, les studios Abbey Road sont toujours en activité et continuent d’accueillir des artistes et des groupes pour des enregistrements.
5. Comment peut-on réserver les studios Abbey Road ?
Les studios Abbey Road sont réservés par l’intermédiaire de leur site web, où les artistes et les producteurs peuvent soumettre une demande de réservation.
6. Les studios Abbey Road offrent-ils des services de mastering et de mixage ?
Oui, les studios Abbey Road offrent des services de mastering et de mixage pour les artistes et les producteurs.
7. Les studios Abbey Road sont-ils ouverts au public pour des visites ?
Oui, les studios Abbey Road proposent des visites guidées pour les fans de musique et les touristes qui souhaitent découvrir l’histoire du studio.
8. Les studios Abbey Road disposent-ils d’un équipement de pointe pour les enregistrements ?
Oui, les studios Abbey Road disposent d’un équipement de pointe pour les enregistrements, avec des studios équipés de consoles de mixage analogiques et numériques, d’une grande variété de microphones et d’outils de production audio de haute qualité.
9. Les studios Abbey Road ont-ils des résidents permanents ?
Non, les studios Abbey Road ne disposent pas de résidents permanents, mais les artistes et les producteurs peuvent réserver les studios pour des périodes prolongées s’ils le souhaitent.
10. Les studios Abbey Road ont-ils inspiré d’autres studios d’enregistrement dans le monde ?
Oui, les studios Abbey Road ont été une source d’inspiration pour de nombreux autres studios d’enregistrement dans le monde entier. Leur succès et leur histoire ont inspiré de nombreux artistes et producteurs à chercher des conditions similaires pour leurs propres enregistrements.
Eric CANTO Photographe : Photos de concerts, portraits, pochettes d’albums.
Quelles chansons sont présentes sur l’album Abbey Road ?
L’album Abbey Road comprend 17 chansons, dont certaines des plus célèbres des Beatles. Voici la liste complète des titres :
« Come Together »
« Something »
« Maxwell’s Silver Hammer »
« Oh! Darling »
« Octopus’s Garden »
« I Want You (She’s So Heavy) »
« Here Comes the Sun »
« Because »
« You Never Give Me Your Money »
« Sun King »
« Mean Mr. Mustard »
« Polythene Pam »
« She Came In Through the Bathroom Window »
« Golden Slumbers »
« Carry That Weight »
« The End »
« Her Majesty »
Quelle est l’histoire de la pochette de l’album Abbey Road ?
La pochette de l’album Abbey Road est l’une des plus célèbres de l’histoire de la musique. Elle montre les membres des Beatles traversant un passage clouté en file indienne, devant le célèbre studio Abbey Road à Londres. La photo a été prise par le photographe écossais Iain Macmillan, qui a pris six clichés différents du groupe traversant la rue. La photo choisie pour la pochette est celle où les membres du groupe ont l’air le plus détendus et où le soleil est le plus visible.
La photo a été prise le 8 août 1969, seulement quelques semaines avant que le groupe ne se sépare officiellement. Elle est devenue emblématique de la fin des années 60 et de la musique des Beatles. De nombreuses personnes ont tenté de reproduire la photo au fil des ans, et la rue elle-même est devenue une attraction touristique majeure pour les fans des Beatles.
Quels ont été les succès commerciaux de l’album Abbey Road ?
The Beatles Abbey Road a été un énorme succès commercial pour les Beatles. L’album est sorti en septembre 1969 et a immédiatement connu un grand succès. The Beatles Abbey Road a atteint la première place des charts britanniques et américains et est resté en tête des charts américains pendant 11 semaines consécutives. Les singles « Something » et « Come Together » ont également été des succès commerciaux importants.
Au fil des ans, The Beatles Abbey Road est devenu l’un des albums les plus vendus de tous les temps. Il a été certifié disque de platine plusieurs fois dans de nombreux pays et a remporté de nombreux prix, notamment le Grammy Award de l’album de l’année en 1970.
Quelle est la signification de la chanson « Something » de l’album Abbey Road ?
« Something » est l’une des chansons les plus célèbres de l’album The Beatles Abbey Road . Elle a été écrite par George Harrison, le guitariste des Beatles, et est considérée comme l’une de ses plus grandes compositions.
La signification exacte de la chanson est un peu vague, mais on pense qu’elle est inspirée par la femme de George Harrison, Pattie Boyd. La chanson parle de l’amour et de la beauté d’une femme, et est souvent considérée comme l’une des plus belles chansons d’amour jamais écrites.
Quels ont été les singles et les chansons les plus populaires de l’album « Abbey Road » des Beatles ?
The Beatles Abbey Road a été un grand succès commercial, avec plusieurs chansons devenues des classiques de la musique rock. Les singles les plus populaires de l’album étaient « Something » et « Come Together ». « Something » est une ballade écrite par George Harrison qui a atteint la deuxième place du classement des singles aux États-Unis et la quatrième place au Royaume-Uni. « Come Together » est une chanson écrite par John Lennon qui est devenue un autre hit du groupe, atteignant la première place du classement des singles aux États-Unis.
Parmi les autres chansons populaires de l’album figurent « Here Comes the Sun », écrite par George Harrison et considérée comme l’une des meilleures chansons du groupe, ainsi que « Octopus’s Garden », écrite par Ringo Starr. « Because » est également une chanson bien-aimée de l’album, avec ses harmonies vocales complexes.
Quelle est la signification de la pochette de l’album « The Beatles Abbey Road » ?
La pochette de l’album « Abbey Road » est l’une des plus célèbres de l’histoire de la musique. Elle représente les Beatles traversant un passage clouté devant les studios Abbey Road à Londres. La photo a été prise par le photographe Iain Macmillan en août 1969.
La signification de la pochette a été l’objet de nombreuses interprétations au fil des ans. Certains ont vu dans la photo une allégorie de la mort, John Lennon étant vêtu de blanc comme un prêtre, Ringo Starr de noir comme un croque-mort, Paul McCartney étant pieds nus pour représenter les morts, et George Harrison en jean et chemise pour représenter le fossoyeur. Cependant, Paul McCartney a déclaré plus tard que la photo n’avait aucun sens caché et qu’elle avait simplement été prise parce que les Beatles se trouvaient devant les studios Abbey Road ce jour-là et qu’ils avaient décidé de faire une photo rapide.
Quelle a été la réception critique de l’album « The Beatles Abbey Road » à sa sortie ?
L’album « Abbey Road » a été bien accueilli par la critique à sa sortie en 1969. Les critiques ont salué la qualité des chansons et la production soignée de l’album. Certains critiques ont également noté que l’album représentait un retour en force pour le groupe après leur expérience décevante avec « Let It Be ».
Aujourd’hui, l’album est considéré comme l’un des meilleurs de l’histoire de la musique rock. Il est souvent cité comme l’un des albums les plus influents de tous les temps et a été inclus dans de nombreuses listes des meilleurs albums jamais réalisés.
Quel est l’héritage de l’album « The Beatles Abbey Road » ?
L’héritage de l’album « Abbey Road » est immense. Il a été un grand succès commercial pour les Beatles, avec des singles comme « Something » et « Come Together » devenus des classiques de la musique rock. L’album a également été salué par la critique à sa sortie et est aujourd’hui considéré comme l’un des meilleurs albums de tous les temps
La légendaire route vers l’enfer : une exploration de l’album « Highway to Hell »
Dans cet article, nous allons explorer le célèbre album « Highway to Hell » du groupe de rock légendaire AC/DC. Nous parlerons de l’histoire derrière sa création, des chansons qui le composent et de son impact sur la scène musicale mondiale.
L’histoire derrière la création de « Highway to Hell »
Sorti en 1979, « Highway to Hell » est le sixième album studio d’AC/DC, groupe de rock australien formé en 1973 par les frères Malcolm et Angus Young. Cet album marque un tournant pour le groupe, car il s’agit du dernier dans lequel le chanteur emblématique Bon Scott participe avant son décès prématuré en 1980.
Highway to Hell
Le titre éponyme « Highway to Hell » fait référence aux tournées incessantes que le groupe a dû faire pour percer dans l’industrie musicale à l’époque. Le chanteur Bon Scott aurait décrit la vie sur la route comme étant une véritable autoroute vers l’enfer, où chaque kilomètre semble ne mener qu’à des problèmes et des difficultés.
Les chansons qui composent « Highway to Hell »
L’album « Highway to Hell » comprend dix titres qui figurent parmi les plus grands succès d’AC/DC :
« Highway to Hell », la chanson-titre de l’album, est aujourd’hui considérée comme un véritable hymne du rock. Avec son riff de guitare accrocheur et ses paroles provocantes, elle reste l’une des chansons les plus emblématiques d’AC/DC.
« Girls Got Rhythm » est un morceau dédié aux groupies qui suivent le groupe en tournée. Son rythme entraînant et ses paroles séduisantes ont fait de cette chanson l’un des moments forts des concerts d’AC/DC.
« Walk All Over You » explore la relation tumultueuse entre Bon Scott et sa petite amie de l’époque. Le texte décrit leur relation passionnelle et chaotique à travers un mélange de métaphores et d’allusions.
« Touch Too Much » traite des excès et des désirs liés à la célébrité. La chanson parle de l’appétit insatiable pour les plaisirs charnels que peuvent avoir certaines personnes lorsqu’elles sont sous les projecteurs.
« Beating Around the Bush » aborde le thème de la tromperie et du mensonge dans les relations amoureuses. Ce morceau énergique reflète parfaitement l’amertume ressentie face à la trahison.
« Shot Down in Flames », avec son tempo rapide et ses riffs de guitare musclés, dépeint la déception éprouvée par quelqu’un qui voit ses avances rejetées sans pitié.
« Get It Hot » met en avant l’obsession de Bon Scott pour les femmes et la fête. Son message est simple : il faut profiter à fond de la vie et des bonnes choses qu’elle a à offrir.
« If You Want Blood (You’ve Got It) » s’inspire de l’énergie brute qui se dégage lors des concerts du groupe. La chanson évoque la soif de l’audience pour le rock’n’roll et la puissance électrisante d’une performance live.
Sombre et mélancolique, « Love Hungry Man » expose les tourments intérieurs d’un homme prêt à tout pour combler son insatiable appétit de passion et d’affection.
Enfin, « Night Prowler » clôture l’album avec une ambiance sombre et inquiétante. Elle décrit un personnage macabre qui rôde dans la nuit, incarnant ainsi les travers obscurs de la condition humaine.
L’influence des autres membres du groupe sur les chansons
Bien que Bon Scott soit souvent considéré comme le principal parolier de l’album, il convient de noter que les frères Young ont également grandement contribué à sa création. Les riffs de guitare caractéristiques d’Angus Young sont présents tout au long de l’album, tandis que Malcolm Young apporte sa solide base rythmique et sa vision artistique globale.
L’impact de « Highway to Hell » sur la scène musicale mondiale
Dès sa sortie, « Highway to Hell » a connu un succès retentissant. Il a atteint la 17e place du Billboard 200 aux États-Unis et s’est vendu à plus de sept millions d’exemplaires dans le monde. Cette réussite commerciale a permis au groupe d’acquérir une renommée internationale et de participer à des tournées mondiales à guichets fermés.
En dépit du décès tragique de Bon Scott, AC/DC a continué sur sa lancée en recrutant le chanteur Brian Johnson. Ensemble, ils ont sorti l’album monumental « Back in Black » en 1980, qui reste aujourd’hui l’une des meilleures ventes d’albums de tous les temps.
Le legs de « Highway to Hell »
Aujourd’hui, plus de quatre décennies après sa sortie, « Highway to Hell » demeure un pilier incontournable de la musique rock. L’album conserve son pouvoir évocateur et sa capacité à captiver les fans de rock du monde entier, toutes générations confondues. Sa force réside non seulement dans ses mélodies entraînantes et intemporelles, mais aussi dans son authenticité et sa sincérité émotionnelle.
Avec Highway To Hell, AC/DC a devancé les autres en réalisant un record qui les a finalement aidés à percer en Amérique… mais un tel succès a coûté très cher.
Pour Malcolm Young, le guitariste rythmique d’ AC/DC , il s’agissait toujours du riff. Et avec un en particulier, dès qu’il l’a inventé au début de 1979, il a su dans ses os, que c’était quelque chose de spécial. Comme il l’a dit, avec le genre de brutalité et de vulgarité qui avait toujours défini le travail du groupe : « Ça sortait comme des boules de chien. »
ac dc highway to hell – Highway To Hell- Highway To Hell
Highway To Hell : le riff
Highway To Hell était parfait dans sa simplicité : la façon dont il bougeait, en rafales saccadées, rappelant All Right Now de Free . Et c’est sans doute de là que vient la chanson la plus importante de toute la carrière d’AC/DC.
Highway To Hell a commencé comme une blague, lorsque le guitariste principal Angus Young , le petit frère de Malcolm, a décrit la tournée exténuante du groupe en 1978 comme « une putain d’autoroute vers l’enfer ». Et dans les paroles prononcées par le chanteur Bon Scott, il y avait une déclaration de signature d’attitude rock’n’roll insouciante.
Highway To Hell était la chanson titre du premier album vendu à un million d’exemplaires, d’AC/DC. Au Royaume-Uni, c’était le premier hit du groupe dans le Top 10 en dehors de leur Australie natale. Plus important encore, comme l’a dit Angus Young: « C’est l’album qui nous a brisés en Amérique. »
Tout cela n’est pas venu facilement. Lors de la réalisation de l’album Highway To Hell , le groupe a subi une pression intense de la part d’Atlantic Records en Amérique pour sortir un disque à succès. Cela a conduit Malcolm et Angus à prendre l’une des décisions les plus difficiles de leur vie : se passer des services de leur frère aîné, George Young, qui avait produit tous les albums précédents d’AC/DC avec Harry Vanda, un ancien membre, comme George, de groupe australien The Easybeats.
Il y avait même des chuchotements autour d’Atlantic selon lesquels Bon Scott devrait être renvoyé du groupe, à cause de son style de vie alcoolique faisant de lui un canon trop lâche, et sa voix jugée trop crue et idiosyncrasique pour les goûts traditionnels.
En fin de compte, Bon Scott a prouvé que les sceptiques avaient tort, livrant la performance d’une vie sur Highway To Hell, poussé par Mutt Lange, le brillant jeune producteur qui a remplacé George et Harry. Ce que Lange a retiré du groupe était exactement ce qu’Atlantic avait demandé – un disque de hard rock direct, sans conneries, fidèle aux racines d’AC / DC, mais avec un côté plus propre.
Mais alors que Highway To Hell était le disque à succès qui a élevé AC/DC au rang de célébrité majeure, c’était aussi le dernier souffle de Bon Scott. Le 19 février 1980, moins d’un mois après la fin de la tournée Highway To Hell , le chanteur est retrouvé mort à Londres après une nuit de forte consommation d’alcool. Les circonstances exactes de la mort de Bon Scott feront l’objet de conjectures pendant près de 40 ans.
Highway To Hell : la source
Il y avait toujours une dureté à propos d’AC/DC, dans la musique qu’ils jouaient – le son de Chuck Berry et Little Richard and the Rolling Stones poussé au maximum de volume et d’intensité – et dans la façon dont ils se comportaient. Des d’années de corruption, de transpiration dans les pubs et les clubs d’Australie, où des bouteilles étaient jetées et où la foule pouvait y sentir le sang.
Peu importe que les membres d’AC/DC soient tous des petits culs, qu’Angus soit abstinent et porte un uniforme d’écolier sur scène, et que le bassiste Cliff Williams, le seul Anglais du groupe, soit calme et facile à vivre.
Les trois autres avaient un avantage sur eux : Bon avec ses tatouages de taulard, le batteur Phil Rudd un dur à cuire bourru, Malcolm le gars qui dirigeait le groupe avec une verge de fer. C’est en référence à ces trois-là qu’Angus a dit un jour : « Si je les voyais marcher dans la rue, je courrais, tu sais ?
La puissance d’Atlantic Records était la force irrésistible de l’objet immobile d’AC/DC, et la friction entre les deux a commencé bien avant Highway To Hell. « Quand nous sommes arrivés en Angleterre pour la première fois en 1976, la maison de disques voulait nous présenter comme un groupe punk », a déclaré Malcolm. « On leur a dit d’aller se faire foutre ! »
ac dc highway to hell – Highway To Hell
En Amérique, c’était pire. À une époque où la radio FM était dominée par des stars du soft-rock telles que Fleetwood Mac et Peter Frampton , et où le groupe de hard rock , Boston , avait un son impeccablement conçu, l’album d’AC / DC de cette année-là, Dirty Deeds Done Dirt Cheap , était si rugueux et louche, qu’Atlantic l’a considéré comme commercialement non viable et a refusé de le sortir aux États-Unis.
La réponse du groupe a été de doubler avec l’album suivant, Let There Be Rock de 1977 , un exercice d’exagération, enregistré à peu près en direct en studio, avec des commentaires lamentables et des guitares vacillantes.
C’était à peu près la même chose avec Powerage de 1978, son rock’n’roll viscéral et son authenticité granuleuse, dans des chansons sur la dépendance à l’héroïne et la file d’attente au chômage, admirées par Keith Richards. « Tout le groupe le pense », a-t-il dit, « et vous pouvez l’entendre. »
Les albums d’AC/DC se vendaient bien dans d’autres territoires. Au Royaume-Uni, Let There Be Rock et Powerage avaient fait le Top 30. En Amérique, alors que Powerage s’est vendu à 200 000 exemplaires, soit le double des chiffres de Let There Be Rock, il n’a toujours atteint que la 133e place du classement Billboard.
C’était loin d’être suffisant pour satisfaire une maison de disques qui avait Led Zeppelin dans ses bacs. Mais en tant que groupe qui prospérait sur la route, AC/DC avait parcouru des kilomètres à travers les États-Unis, et à partir de là, l’élan se construisait.
Les années les avaient affinés dans un live électrisant : Bon avec la fanfaronnade d’un flingueur, Angus le paratonnerre pour l’attaque à haute tension du groupe, et derrière eux les trois autres travaillant comme une machine bien huilée.
Leurs premiers spectacles dans les arènes américaines avaient eu lieu à la fin de 1977, en première partie de Kiss à l’invitation du bassiste Gene Simmons après avoir vu AC/DC jouer dans un club de Los Angeles plus tôt cette année-là.
Highway To Hell – Highway To Hell
« Il y avait beaucoup de groupes qui jouaient du bon rock’n’roll », se souvient maintenant Simmons. « Ce qui m’a frappé, c’est ce petit guitariste qui bougeait sur scène comme un fou de Bornéo, même entre les pannes. J’étais émerveillé.
Après ce spectacle, le géant Simmons a emmené le petit guitariste pour un repas de fin de soirée au restaurant Ben Frank sur Sunset Boulevard. « Angus a commandé un hot-dog et des haricots », dit Simmons. « Et je me souviens qu’il a pris le hot-dog dans sa main, moins le petit pain, et l’a mis dans sa bouche sur le côté, car il lui manquait des dents. »
Après les quatre concerts d’AC/DC avec Kiss, Simmons a conclu : « Voici un groupe avec lequel il faut compter. Et il a vu quelque chose d’unique à Bon Scott. « Peut-être parce qu’il venait d’un milieu difficile, il était l’antithèse des jolis chanteurs de l’époque. Torse nu. Chant dur. La voix était indéniable.
En 1978, AC/DC part en tournée avec un autre groupe américain de premier plan, Aerosmith . Au Forum de Los Angeles, un jeune de 15 ans nommé James Hetfield était dans le public. Trois ans avant que Hetfield ne forme Metallica , il assistait à son premier concert de rock. « J’étais un grand fan d’Aerosmith », a-t-il déclaré.
« Mais je n’avais aucune idée qu’AC/DC était aussi cool. J’y suis allé avec mon frère aîné, et je me souviens qu’il a pointé Angus du doigt et qu’il a dit : « Ce petit gars qui courait partout était ennuyeux ! Mais je voulais être ce gars-là !
Highway To Hell : la puissance
La puissance en direct d’AC/DC a également été notée par leurs pairs. Lorsque le groupe a ouvert le festival Day On The Green de 1978 au Oakland Coliseum en Californie, d’une capacité de 80 000 places, avec Aerosmith en tête d’affiche et mettant également en vedette Foreigner , Pat Travers et les étoiles montantes Van Halen , le guitariste de ce dernier, Eddie Van Halen , a ressenti une secousse de peur en regardant AC/DC.
Comme il l’a dit: « Je me tenais sur le côté de la scène en pensant: » Nous devons suivre ces enfoirés ? « A Cleveland, ils nous ont fait sauter de la scène », a avoué Moore. « Putain ils nous ont tués. »
Pour AC/DC, suivre Powerage avec un album live était une évidence. Pour Atlantic, il avait le potentiel d’être un hit révolutionnaire, comme Kiss l’avait fait en 1975 avec Alive!
L’album live d’AC/DC, If You Want Blood You’ve Got It , a été enregistré le 30 avril 1978 à Glasgow Apollo, dans la ville où Malcolm et Angus Young sont nés et à deux heures de route de la ville natale de Bon, Kirriemuir. L’album était explosif, des premières notes endiablées de Highway To Hell jusqu’à l’enfer pour le cuir de Rocker . Mais son succès au Royaume-Uni et en France n’a pas été égalé aux États-Unis, où il a calé au n ° 113. Et c’est à la suite de cette déception que les tensions entre AC/DC et Atlantic Records ont atteint leur paroxysme.
Dans les premiers jours de 1979, le vice-président de la société, Michael Klenfner, a voyagé de New York à Sydney pour rencontrer le groupe et entendre la nouvelle maquette sur laquelle ils travaillaient aux Albert Studios avec Harry Vanda et George Young. La position de Klenfner était clairement énoncée.
Klenfner voulait entendre des chansons qui pourraient passer à la radio en Amérique, et il n’y avait rien de tout cela dans les démos que George lui jouait.
George et Harry savaient comment faire un hit. Ils l’avaient fait dans le passé avec The Easybeats, et au début de 1979, ils ont eu un succès mondial avec le numéro disco-pop du chanteur australien John Paul Young, Love Is In The Air . Mais avec AC/DC, c’était différent.
Ils voyaient le groupe comme Malcolm et Angus le voyaient : du rock’n’roll pur et simple. Comme l’a dit George : « C’était toujours plus important qu’il ait les couilles. Donc, si nous devions choisir une prise où ça bourdonnait et tout ça, nous irions dans ce sens. »
ac dc highway to hell – Highway To Hell
Klenfner n’y croyait pas. Pour faire passer AC/DC au niveau supérieur, il pensait qu’un nouveau producteur était nécessaire. Finalement, après consultation avec George, la décision a été acceptée, bien qu’à contrecœur, par Malcolm et Angus.
Aucun temps n’a été perdu. En février, le groupe s’est mis au travail aux studios Criteria à Miami, en Floride, avec Eddie Kramer, un producteur avec une grande réputation et une feuille de route éprouvée. Né en Afrique du Sud, Kramer avait été ingénieur du son sur certains des albums classiques des années 60 et 70, dont les trois premiers de Jimi Hendrix Experience et Houses Of The Holy and Physical Graffiti de Led Zeppelin .
Highway To Hell
Plus récemment, il avait produit trois albums pour Kiss. Mais quelques jours après avoir travaillé ensemble, il est devenu évident que Kramer et AC/DC ne faisaient pas bon ménage. Après avoir suggéré que le groupe enregistre une version du hit Gimme Some Lovin’ des années 60 du groupe Spencer Davis , Malcolm a rapidement mis fin aux sessions.
C’était peut-être le destin. A cette époque, le manager d’AC/DC, Michael Browning, partageait un appartement à New York avec ‘Mutt’ Lange. Expatrié sud-africain comme Kramer, Lange avait récemment marqué son premier n ° 1 au Royaume-Uni en tant que producteur avec Rat Trap des Boomtown Rats .
Browning a présenté Lange à Atlantic comme le candidat idéal pour le poste d’AC/DC – un gars avec un sens de la musique rock et une sensibilité pop perspicace. Atlantic a donné le feu vert et, en mars, Lange et le groupe se sont réunis à Londres.
Tout d’abord, ils ont répété et peaufiné les chansons dans un espace d’entraînement à loyer modique avec un sol en terre battue et un radiateur à paraffine pour atténuer le froid hivernal.
Pour l’enregistrement de l’album, ils ont déménagé aux Roundhouse Studios de Chalk Farm. Au sein du groupe, il y avait des réserves à propos de Lange. Malcolm a dit plus tard que s’ils avaient su qu’il avait travaillé avec The Boomtown Rats, « nous ne l’aurions jamais laissé franchir la porte ». Mais dès qu’ils se sont mis au travail, il était clair pour tout le monde, Malcolm en particulier, que ce type savait ce qu’il faisait.
Tout cela était évident dans le premier numéro enregistré pour Highway To Hell, la chanson titre de l’album. Essentiellement, c’était AC/DC comme ils l’ont toujours été. Comme l’a dit Malcolm : « Juste du rock’n’roll fort, wham, bam, merci, madame ! »
Mais avec Lange travaillant sa magie, c’est devenu quelque chose de tout à fait plus grand – un hymne rock pour ressusciter les morts. Et une fois que c’était dans la boîte, les neuf autres morceaux sont venus rapidement, avec l’album entier enregistré en seulement trois semaines.
Une poignée de morceaux consistaient à travailler un groove – Girls Got Rhythm, Shot Down In Flames et Get It Hot , ce dernier mettant en vedette un ricanement de Bon aux dépens du roi du schmaltz au gros nez, Barry Manilow.
Les trucs les plus agressifs étaient aussi durs et méchants que n’importe quoi sur Let There Be Rock : Walk All Over You brutalement efficace dans sa dynamique lente-rapide-lente, Beating Around The Bush était une balade à poings blancs comme Oh Well de Fleetwood Mac joué en double speed, If You Want Blood (You’ve Got It) tout pisse et vinaigre, ses paroles et son titre, à l’image de l’album live du groupe, inspiré des blagues faites par Bon et Angus au festival Day On The Green.
Comme Angus l’a rappelé: «Ce gars d’une équipe de tournage m’a contacté ainsi que Bon et m’a demandé quel genre de spectacle ça allait être. Bon a dit : « Vous vous souvenez quand les chrétiens sont allés voir les lions ? Eh bien, c’est nous les chrétiens ! Puis le type m’a demandé et j’ai dit : ‘S’ils veulent du sang, ils vont en avoir !’ »
C’est sur Love Hungry Man et Touch Too Much que l’influence de Lange était la plus importante, sa voix poussée haut dans le mix, son intelligence pop en jeu. Malcolm et Angus n’ont jamais beaucoup aimé Love Hungry Man, avec son côté mesuré, presque décontracté. Ils avaient aussi des doutes sur Touch Too Much, qui a été démo pour la première fois en 1977.
Mais ce morceau avait tout ce qui était génial à propos d’AC/DC : le rock’n’roll percutant et des paroles vintage. Et ce que Lange en a fait était assez brillant, adaptant le son à la radio avec des crochets vocaux intelligents et obligeant le groupe à se détendre un peu pour que le riff funky swingue vraiment.
Il y avait cependant une part sombre dans cet album. Malgré tout le chahut de l’album, il s’est terminé sur une note sombre avec Night Prowler, une chanson de blues tendue et effrayante pour laquelle Bon a adopté le personnage d’un méchant meurtrier.
Musicalement, c’était aussi puissant que les paroles étaient macabres, et à l’apogée, comme pour rompre le charme, Bon a lancé quelque chose de drôle, citant un faux langage extraterrestre de la sitcom de science-fiction des années 70 Mork & Mindy : « Shazbot ! Nanu nanu! »
Highway To Hell et Atlantic records
Des années plus tard, Night Prowler reviendrait hanter le groupe, lorsque la chanson était liée à Richard Ramirez, le tueur en série américain connu sous le nom de The Night Stalker.
Les allégations faites par Ramirez à la suite de son arrestation en 1985 ont été citées dans des titres de journaux sinistres, dont l’un disait : « AC/DC MUSIC MADE ME KILL 16 ». Malcolm Young a ensuite exprimé son mépris pour Ramirez et pour les articles médiatiques impliquant AC / DC. « Votre réponse à cela est: ‘Avez-vous fouillé son estomac pour un McDonald’s?' », A-t-il dit. « Si vous êtes un fou, vous êtes un fou. »
Mais au printemps 1979, lorsque l’album Highway To Hell a été terminé, c’est la chanson titre, et non Night Prowler, qui a secoué Atlantic Records. « Dès que nous avons appelé l’album Highway To Hell, la maison de disques américaine est immédiatement entrée en panique », a déclaré Angus. « Avec les choses religieuses, je pensais que partout c’était comme l’Australie. »
Là-bas, ils les appellent des bible-thumpers, et c’est une espèce limitée. Très limitée. Le christianisme n’a jamais été un mouvement populaire. C’est ce fond de bagnard !
En Amérique, où la moralité chrétienne était plus enracinée, Highway To Hell était une controverse en attente de se produire.
Avant que le groupe n’y retourne en mai pour une tournée avec les rockeurs britanniques de haut vol UFO, Angus et Bon ont rencontré l’écrivain Sounds Phil Sutcliffe dans un hôtel londonien. Et c’est lors d’une interview, menée en début d’après-midi, que Sutcliffe a senti pour la première fois que la consommation d’alcool de Bon devenait un problème sérieux. Sutcliffe avait rencontré le groupe plusieurs fois auparavant, et lui, comme tant d’autres, a été immédiatement attiré par Bon.
Comme il l’a rappelé : « Bon était tellement excentrique et pourtant tellement terre-à-terre. Sur scène, il était comme un pirate, un peu coriace et macho. Et où qu’il soit, il faisait que les gens se sentent bien. Ce jour-là, c’était différent. Selon Sutcliffe, Bon « ne savait pas où il était », tellement ivre qu’il pouvait à peine enchaîner une phrase cohérente.
Lorsque Sutcliffe lui a posé des questions sur le nouvel album et le rôle de Mutt Lange, Bon a répondu en riant : « Eh bien, en fin de compte, cobber, pour répondre à votre question, il a joué un rôle déterminant pour que je me projette… dans un domaine différent de celui de que je m’étais projeté avant.
Comme. » La façon dont Sutcliffe a décrit cet échange dans son article sur les sons était révélatrice : « Bon a basculé le long de ces circonlocutions grammaticales comme un ivrogne choisissant de se tester sur une ligne blanche. »
Et dans une observation, il y avait une prescience effrayante : « Curieusement », a écrit Sutcliffe, « il semble y avoir une part de vérité chez Angus, et peut-être tout le groupe, ayant pris Bon en main de manière presque paternelle bien qu’il soit de loin le plus âgé des eux à trente-trois ans. Bon reste celui qu’ils estiment devoir surveiller.
Au moment où Highway To Hell est sorti, le 27 juillet, un autre membre du cercle restreint d’AC/DC avait disparu, Michael Browning ayant été démis de ses fonctions de manager et remplacé par Peter Mensch de l’organisation Leber-Krebs, dont les clients comprenaient des gros joueurs tels que comme Aerosmith et Ted Nugent.
Tout allait vite. Le groupe est passé directement de la tournée UFO à une autre avec Cheap Trick . Au Royaume-Uni, Highway To Hell a été un succès instantané, atteignant la 8e place. En Amérique, la percée à la radio a finalement eu lieu lorsque Highway To Hell est sortie en tant que premier single.
Tout comme Atlantic l’avait prévu, Highway To Hell a suscité l’indignation de la soi-disant «majorité morale» américaine, non seulement pour son titre mais aussi pour son image de couverture, une photo de groupe dans laquelle un Angus ricanant, arborait des cornes de diable et, pour un effet supplémentaire, une queue fourchue.
Angus a rappelé en riant: «En Amérique, vous aviez des gars dans des draps et des pancartes avec des prières pour piqueter les concerts. J’ai dit : ‘Pour qui sont-ils là ?’ Et ils ont dit : ‘Toi !’ Nous avons entendu tous ces trucs sur Highway To Hell – que si vous le jouez à l’envers, vous obtenez ces messages sataniques. Putain de merde, pourquoi jouer à l’envers ? C’est écrit d’emblée : Highway To Hell ! » Ce que Gene Simmons a entendu dans Highway To Hell était un groupe atteignant son apogée. « J’ai adoré les chansons », dit-il. « J’ai adoré l’ambiance. »
Alors que l’album se connectait avec un public de masse en Amérique, le profil d’AC/DC au Royaume-Uni s’est encore accru avec une performance époustouflante pour The Who au stade de Wembley le 18 août. Parmi les 60 000 spectateurs se trouvait Danny Bowes – alors un Installateur de tapis de 19 ans qui a chanté dans un groupe de rock basé à Londres appelé Nuthin ‘Fancy, maintenant le chanteur de Thunder.
« Je suis allé voir The Who », dit Bowes, « et j’en suis ressorti fan d’AC/DC. L’approche de Bon Scott envers le public était très directe – ton cul est à moi ! Et vraiment, The Who n’avait aucune chance. AC/DC les a éclaboussé, dépassé complétement ».
Une autre victoire suivit ensuite. Le 5 septembre, alors qu’AC/DC reprenait la route en Amérique, une étape importante a été franchie. Highway To Hell est devenu le premier disque d’or du groupe aux États-Unis, avec un demi-million de ventes. « C’était la première fois que les choses allaient vraiment se passer pour nous », a déclaré Cliff Williams.
Le 26 octobre, cinq jours seulement après la dernière date aux États-Unis, ils ont commencé une tournée britannique à Newcastle Mayfair. L’acte de soutien était un jeune groupe britannique que Peter Mensch allait bientôt co-gérer – Def Leppard. Pour le chanteur de Leppard Joe Elliott, qui venait d’avoir 20 ans, cette tournée était une expérience qu’il n’oublierait jamais.
Le deuxième soir, à Glasgow Apollo, l’endroit où If You Want Blood You’ve Got It a été enregistré, Elliott est monté sur le balcon pour avoir une bonne vue d’AC/DC. Ce qu’il a eu à la place était une expérience de mort imminente. « Quand ils ont ouvert avec Live Wire , la basse pompait, je jure que ce putain de balcon bougeait douze pouces », se souvient-il. « C’était comme un tremblement de terre. Les gens devenaient tellement fous que je pensais que le balcon allait s’effondrer.
Tous les autres soirs de cette tournée, Elliott et les autres membres de Def Leppard ont regardé les performances d’AC/DC depuis le côté de la scène. « Nous avons tellement appris d’eux », dit-il. « La présentation, la grande énergie et la communication avec le public.
Bon était un maître dans ce domaine. Chemise enlevée après trois chansons, beaucoup de sueur, agressivité contrôlée dans la voix. Il n’avait pas l’air d’essayer. Il était comme un robinet – il suffit de l’ouvrir. Il est né pour le faire. »
Comme Elliott s’en souvient, Bon était tout aussi impressionnant hors scène. « Rencontrer vos héros peut être décevant », dit-il, « mais pas avec Bon. Il était super avec nous. Ce n’était pas un connard prétentieux. C’était un talent naturel. Et il y avait toujours une étincelle dans ses yeux et un sourire de merde sur son visage.
Il était à ce moment de sa vie où tous les feux étaient au vert. Un soir, il est entré dans un bar avec sa veste en jean et a vu que nous n’avions pas d’argent, alors il m’a collé un dix dans la main et m’a dit : « Tenez, payez-vous un verre. Rends-le-moi plus tard. Rendez-vous sur la route. Et il n’était pas seulement flash. Bon n’était pas comme Keith Moon, se balançant des lustres. Il aimait boire un verre, mais ce n’était pas seulement un homme sauvage.
Le batteur de Leppard, Rick Allen, garde également de bons souvenirs de cette tournée, et de Bon en particulier. Lorsqu’ils ont joué au Hammersmith Odeon de Londres le 1er novembre, Allen a fêté son seizième anniversaire et son jeune âge s’est reflété dans le cadeau qu’il a reçu de Bon.
« Il est entré dans notre loge », se souvient Allen, « en chantant Joyeux anniversaire avec cette étrange voix australo-glaswégienne, et m’a donné un grand bol de Smarties. C’était sa drôle de façon de me montrer un peu d’amour.
Le 11 novembre, AC/DC part en Europe avec Judas Priest en première partie à la place de Leppard. Un spectacle au Pavillon de Paris dans la capitale française le 9 décembre a été filmé pour le film de concert AC/DC: Let There Be Rock , qui devait sortir en salles en 1980.
Mais alors que la tournée touchait à sa fin, Bon a subi un blessure anormale, se tirant un muscle de la jambe lors d’une bagarre ivre avec l’un des roadies du groupe après un concert à Nice. Il a réussi à passer trois dates en Angleterre à l’approche de Noël, mais deux autres ont dû être reportées.
Bon s’est envolé seul pour l’Australie pour profiter de Noël au soleil, voir ses parents et retrouver de vieux amis. À cette époque, les ventes de Highway To Hell frôlent le million. Mais pour Bon, en revenant à l’endroit où son long voyage vers la célébrité rock’n’roll avait commencé, les émotions étaient mitigées. Même dans ce moment de victoire, il y avait de la tristesse en lui.
Bon Scott avait créé sa propre mythologie avec des mots qu’il chantait en 1976 : « I ‘a rocker, roller, right-out-of-controller « . Il était connu comme un hellraiser et un coureur de jupons; un charmeur, certes, mais un homme qui pouvait user de ses poings si nécessaire. Et pourtant, malgré tout son machisme, c’était un homme complexe, une dichotomie révélée dans les deux premières chansons de blues qu’AC/DC a enregistrées.
The Jack, à partir de 1975, faisait chanter Bon sur les choses qu’il avait apprises en dormant. En tant que « graffeur de murs de toilettes » autoproclamé, les mots lui sont venus facilement. Mais avec Ride On , à partir de 76, il chante la solitude de la route, le revers de la vie rock’n’roll. Interviewé en 1978, il déclare : « J’ai été sur la route pendant treize ans. Les avions, les hôtels, les groupies, l’alcool, les gens, les villes, ils vous arrachent tous quelque chose.
Alors qu’il était en Australie dans les derniers jours de 1979, il a rendu visite à son ex-femme, Irene, qui était enceinte de six mois. Peu importe à quel point il roulait avec AC/DC, et malgré tout ce qu’il s’engourdissait avec l’alcool, voici une vision de ce qu’aurait pu être sa vie si les choses s’étaient passées différemment.
Peu de temps après son retour à Londres en janvier 1980, la tournée Highway To Hell se conclut par huit concerts en France et deux en Angleterre.
Le dernier single de l’album, Touch Too Much , est sorti au Royaume-Uni le 25 janvier. Ce n’était pas un grand succès, culminant au n ° 29. Mais pour Joe Elliott, dont le groupe a continué à faire leurs plus grands albums avec Mutt Lange, Touch Too Much était à peu près parfait. « C’est marrant », dit Elliott, « parce que, comme Mutt me l’a dit plus tard, AC/DC ne supportait pas Touch Too Much . Ils pensaient que c’était trop coquelicot. Mais je pensais que c’était la meilleure chanson de l’album.
La dernière nuit de la tournée, au Gaumont Theatre de Southampton le 27 janvier 1980, s’est avérée être le dernier combat de Bon Scott. Ce qu’il a laissé avec Highway To Hell, son dernier testament, est l’un des plus grands albums de rock de tous les temps. Et tout comme Malcolm Young avait su qu’ils étaient sur quelque chose d’important à partir du moment où ce riff ressortait comme des couilles de chien, Bon l’avait su aussi.
Le 4 août 1979, une semaine après la sortie de Highway To Hell , AC/DC s’est produit pour la première fois au Madison Square Garden de New York, en première partie de Ted Nugent.
Cette nuit-là, comme la plupart des nuits, ils ont fait lever le public de leurs sièges dès le départ. Dans les coulisses après le spectacle, Bon s’était vanté auprès de l’ écrivain de Hit Parader Andy Secher : « Ce sera l’un des plus grands groupes de rock jamais vus. Donnez-nous un an ou deux et nous reviendrons à cet endroit même. »
Bon avait raison. Malheureusement, il n’a jamais vécu assez longtemps pour revivre ce moment.
Eric CANTO Photographe : Photos de concerts, portraits, pochettes d’albums.
Le LeicaQ2 est un appareilphoto plein format à objectif fixe, doté d’un nouveau capteur de 47,3 mégapixels et d’un objectif Summilux 28 mm F1.7 net et stabilisé. Il a le style d’un télémètre Leica M traditionnel et remplace le très populaire Leica Q original (Typ 116) , lancé en 2015.
Le Leica Q2 ressemble essentiellement à son prédécesseur, mais sous le capot, des améliorations notables ont été apportées, notamment l’ajout d’une étanchéité aux intempéries, une meilleure autonomie de la batterie, un nouveau processeur et un viseur électronique bien amélioré. Le nombre de pixels a également presque doublé.
Spécifications clés du Leica Q2:
Capteur plein format 47,3 mégapixels
Objectif stabilisé 28 mm F1.7 Summilux
EVF OLED 3,68 MP avec grossissement 0,76x
Écran LCD tactile fixe de 3 pouces avec 1,04 million de points
Mise au point automatique rapide et bague de mise au point manuelle amortie en douceur
Alors que le Q2 remplace le Q original dans la gamme Leica, le Leica QP – une version « furtive » du Leica Q – restera disponible. Le Leica Q2 se vend au prix recommandé de 4790 €.
Leica Q2 : Quoi de neuf ?
Le Leica Q2 peut ressembler au Q original, mais de nombreuses petites améliorations à l’intérieur et à l’extérieur s’ajoutent à un appareil photo plus résistant et plus polyvalent.
Points clés à retenir
Le nouveau capteur 47.3MP offre ISO 50
Il y a un nouvel équivalent de 75 mm. mode recadrage
Le boîtier de l’appareil photo a été reconstruit pour résister à la poussière et à l’humidité
Les commandes arrière et supérieure ont été simplifiées et rappellent désormais la disposition des boutons du Leica CL
Le nouveau EVF OLED 3.68MP est une grande amélioration par rapport au viseur de son prédécesseur
La durée de vie de la batterie est améliorée de 30 % par rapport au Q d’origine à 370 prises de vue par charge selon la norme CIPA
Nouveau capteur, faible ISO, modes de recadrage
Le capteur de 47,3 mégapixels du Leica Q2 offre un ISO bas natif de 50, par rapport à 100 ISO sur le Q d’origine. Cela se traduit par une plage dynamique améliorée par rapport à son prédécesseur lors de la prise de vue Raw.
Le nouveau capteur apporte également un mode supplémentaire de « sélecteur de cadre numérique » (recadrage) de 75 mm. Le Q2 propose des équivalents 35 mm, 50 mm et 75 mm. options de recadrage qui donnent respectivement des fichiers de 30 MP, 15 MP et 6,6 MP.
Lors de la prise de vue de ces modes en Raw + JPEG, le JPEG sera recadré et le fichier Raw offrira un aperçu recadré, tout en enregistrant un fichier de résolution complète de 47 MP.
Nouvelle disposition des boutons, étanchéité aux intempéries/à la poussière
Le Leica Q2 offre deux boutons arrière de moins que le Q d’origine. Le bouton vidéo a également disparu de la plaque supérieure, tout comme une option de mode d’entraînement sur l’interrupteur d’alimentation. Cependant, un bouton personnalisé supplémentaire se trouve au centre de la molette de commande de la plaque supérieure.
Au total, trois boutons de l’appareil photo peuvent être personnalisés. Les commandes sont essentiellement identiques à celles du Leica CL.
Selon Leica, une bonne étanchéité aux intempéries était apparemment l’amélioration Q la plus demandée. Et exécuter une telle amélioration, tout en gardant le facteur de forme et la taille largement inchangés, n’est pas une mince affaire. Mais Leica l’a quand même fait – le Q2 est étanche à la poussière et aux intempéries IP52. Vous pouvez en savoir plus sur les cotes IP ici .
Leica Q2
Nouvel EVF, autonomie améliorée de la batterie, nouveau porte-carte
Bien que le Q et le Q2 arborent tous deux des viseurs électroniques de 3,68 MP, le Q était un affichage de type séquentiel de champ qui n’offrait que 1,04 million de points à un moment donné.
En effet, il passe par le rouge, le vert et le bleu, ce qui le rend également susceptible d’afficher des motifs arc-en-ciel lors du panoramique de l’appareil photo ou si vous clignez des yeux car il est rafraîchissant.
L’écran OLED mis à jour du Q2 n’a pas ce problème, il apparaît donc en fait une résolution beaucoup plus élevée que celle de son prédécesseur. La netteté et le contraste sont également améliorés, et l’EVF du Q2 est légèrement plus grand avec un grossissement de 0,76x.
Leica Q2
La commutation entre l’écran LCD et l’EVF via le capteur oculaire a également été accélérée et vous pouvez régler la sensibilité du capteur automatique.
En plus d’un EVF amélioré, la batterie a également été renforcée pour l’unité BP-SCL4 de plus grande capacité, identique au Leica SL. Cela donne au Q2 un avantage de 30% sur la durée de vie de la batterie par rapport au Q. En parlant de batteries, la carte et la porte de la batterie sont désormais séparées.
Vidéo 4K et Wi-Fi via Leica Fotos
Un appareil photo à objectif fixe n’est peut-être pas votre premier choix pour le travail vidéo, mais un objectif stabilisé rapide et une capture 4K (24/30p) rendent le Q2 plus qu’utilisable pour saisir le clip occasionnel. Il offre également une capture 1080/120p pour le ralenti.
Mais ne vous attendez pas à brancher un microphone ou des écouteurs : cet appareil photo n’a aucun port d’aucune sorte.
Le Q2 remplace le NFC par une connectivité Bluetooth à faible consommation, comme moyen de créer une connexion Wi-Fi. Le Bluetooth devrait permettre à la caméra de rester connectée à la plupart des appareils sans avoir besoin de se reconnecter constamment. Comme tous les Leica récents, il fonctionne avec l’application Leica Fotos.
Nouvelles vitesses d’obturation et Auto OIS
L’obturateur à feuilles de l’appareil photo a été repensé et offre désormais une vitesse de synchronisation du flash supérieure de 1/2000 s (1/500 s sur le Q), et l’obturateur électronique supérieur est désormais à couper le souffle de 1/40 000 s (1/16 000 s sur le Q).
Un nouveau mode Auto OIS n’active la stabilisation que lors de la prise de vue à 1/60 s ou moins. Nous imaginons que ce mode aidera à économiser la durée de vie de la batterie et à réduire tout risque de dégradation de la qualité de l’image par IS, mais avec 47,3 MP à la pression, vous souhaiterez peut-être également activer OIS à des vitesses d’obturation un peu plus rapides pour garantir une netteté critique.
Comment comparer le Leica Q2
Le Leica Q2 est une offre unique et n’a pas vraiment de concurrents directs plein format à objectif fixe en dehors de son prédécesseur. Il existe des options d’équiv 35 mm, si vous aimez avoir une vision plus étroite du monde, cependant.
Le Sony RX1R II offre une concurrence plein format mais est un peu long à la détente. Pour le contexte, nous avons également inclus un autre compact à objectif fixe populaire dans le Fujifilm X100F ou, comme nous l’appelons parfois, le « Leica du pauvre ».
Cette différence équivalente de 28 contre 35 mm ne doit pas être négligée, bien sûr. Le premier est considéré comme plus grand angle tandis que le second est un peu plus proche de la « normale », et vous pouvez trouver que vous préférez le look et le style de prise de vue de l’un à l’autre (bien que le mode de recadrage inclus du Q2 puisse atténuer quelque peu cela).
Leica Q2
Leica Q
Ricoh GR III
Fujifilm X100F
Sony RX1R II
Nombre de pixels
47MP
24MP
24MP
24MP
42MP
Taille du capteur
Plein cadre
Plein cadre
APS-C
APS-C
Plein cadre
Lentille
28mm F1.7
28mm F1.7
28mm (équiv.) F2.8
35mm (équiv.) F2
35mm F2
Stabilisation d’image
Oui
Oui
Oui
Non
Non
Plage ISO (élargie)
50-50 000
100-50 000
100-102 400
200-51 200
50-102 400
Viseur intégré
Oui
Oui
Non
Oui
Oui
Écran tactile
Oui
Oui
Oui
Non
Non
Étanche aux intempéries
Oui
Non
Non
Non
Non
Éclatement
20 ips
10 ips
À confirmer
8 ips
5 ips
Vidéo
4K/30p
1080/60p
1080/60p
1080/60p
1080/60p
Flash intégré
Non
Non
Non
Oui
Non
Chaussure chaude
Oui
Oui
Oui
Oui
Oui
Mode macro
Oui
Oui
Oui
Non
Oui
Lester
718 grammes
640 grammes
257 grammes
469 grammes
507 grammes
Vie de la batterie
370
250
200
390
220
PDSF
4995 $
4250 $
899 $
1299 $
3299 $
Leica Q2 :Premières impressions
Je ne peux pas mentir, j’ai vraiment aimé le Leica Q original. Je pourrais même aller jusqu’à dire que c’est l’un de mes appareils photo préférés de l’ère numérique – et c’est certainement mon appareil photo à objectif fixe préféré.
Le plaisir de prendre des photos avec lui m’a en fait amené à rechercher et à acheter un appareil photo moins cher, mais conceptuellement similaire, dans le Fujifilm X100F (en plus, je préfère le 35 mm au 28 mm).
Le Q2 n’est pas une mise à jour faite à moitié, ni une version édulcorée de son prédécesseur.
Ce qui est si étonnant avec le Q – autre que son excellent design, son objectif net et sa grande qualité d’image Raw – c’est que posséder un est une fin en soi.Une fois que vous en avez un, c’est tout : il n’y a pas de nouveaux objectifs à convoiter, juste des accessoires stupides et trop chers.
C’est le genre d’appareil photo que vous pouvez atteindre lorsque vous sortez de la maison sans arrière-pensée, car il ne fait aucun doute que vous avez apporté les bons morceaux de kit –
Alors, quand des rumeurs ont commencé à circuler sur un Q2, je suis devenu nerveux. »Et si Leica bousille ça ? »Je pensais. Après tout, il n’est pas rare que les marques gâchent un rafraîchissement d’appareils photo extrêmement populaires en lançant une mise à jour de fonctionnalités à moitié cuite (merci Ricoh GR II), ou en modifiant trop l’ADN de l’appareil photo d’origine.
Heureusement, Leica savait mieux.Après avoir tourné avec le Q2, je suis heureux de confirmer qu’il ne s’agit pas d’une mise à jour faite à moitié, ni d’une version édulcorée de son prédécesseur.En termes simples, Leica a bien compris : le Q2 est un exemple parfait de la façon de faire un rafraîchissement. Ils ont corrigé les points sensibles les plus reprochés, ajouté de nouvelles technologies et de nouvelles fonctionnalités et n’ont rien changé qu’ils n’avaient pas à faire.
Tout en gardant la même taille et le même facteur de forme, Leica a considérablement amélioré la durée de vie de la batterie de l’appareil photo, l’étanchéité à la poussière et aux intempéries, la résolution du capteur, le viseur électronique et les commandes générales.
Ils lui ont également donné un nouveau processeur pour des rafales plus rapides et un fonctionnement global rapide, une meilleure réduction du bruit ISO élevée et une vidéo 4K. Et pour couronner le tout, l’appareil photo est doté d’un obturateur à feuilles repensé pour une synchronisation du flash plus rapide (jusqu’à 1/2000 s !).
Leica a également abordé les commandes faciles / ennuyeuses à utiliser sur le Q d’origine (comme l’enregistrement vidéo ou le mode d’entraînement / interrupteur d’alimentation) en les déplaçant ou en les repensant.
Et malgré la perte de quelques boutons arrière, j’ai trouvé que le Q offrait un plus grand niveau de personnalisation de l’utilisateur et une expérience de prise de vue plus simple.
Individuellement, ces améliorations peuvent sembler minimes, en particulier d’un point de vue marketing.Et c’est peut-être parce que Leica était moins intéressé par l’augmentation des ventes grâce à l’hyperbole marketing, et plus intéressé par la création d’une version 2 justifiée.
N’oubliez pas que Leica nous a dit que le Q original était une expérience pour la marque, et ils admettent même qu’ils l’étaient époustouflé par son succès. À ce jour, le Q fait partie des modèles les plus populaires de la gamme Leica.
Fait intéressant, Leica nous a également admis que l’aspect le plus difficile de la fabrication du Q2 était l’ajout d’une bonne étanchéité à la poussière et à l’humidité, la fonctionnalité la plus demandée par les utilisateurs de Q.
Et cela a nécessité une reconstruction complète de la caméra de l’intérieur vers l’extérieur, ce qui a été fait avec des ordres stricts pour garder la même taille et la même forme.Pour moi, c’est vraiment impressionnant.
Le nouveau capteur de l’appareil photo est également impressionnant. Je ne pensais pas avoir besoin ou vouloir des fichiers 47MP, mais là encore, je ne veux pas toujours filmer en 28 mm.
Et donc j’apprécie la possibilité de tirer à la place un équivalent 35 mm.frame – en utilisant le mode de recadrage de l’appareil photo – et avoir toujours un fichier 30MP, une résolution supérieure à celle du capteur Q d’origine. Et bien que nous n’ayons pas encore testé la plage dynamique du Q2, j’espère que sa nouvelle base ISO de 50 lui donnera un avantage DR notable par rapport à son prédécesseur.
Il y a cependant des aspects du Q original transférés dans le Q2 que j’aurais aimé que Leica ait abordés. Par exemple, ses profils JPEG sont parmi les pires absolus que j’ai vus dans un appareil photo numérique moderne.C’est peut-être la façon dont Leica insiste subtilement pour que vous preniez le temps de traiter le vôtre.
Mais il semble étrange qu’un appareil photo aussi cher ait une offre hors caméra aussi désagréable. Leica a également changé certaines choses pour le pire : je ne suis pas non plus un grand fan de la décision de supprimer tous les ports du corps du Q2 – le chargement dans l’appareil photo aurait été une fonctionnalité intéressante.
Ces griefs mis à part, le Leica Q2 semble être une mise à jour solide d’un appareil photo déjà excellent.
Qualité d’image du Leica Q2
Points clés à retenir:
Les performances brutes sont généralement bonnes, avec des niveaux élevés de capture de détails.
Les performances ISO élevées se situent à environ un arrêt des meilleurs capteurs modernes
Les JPEG sont décevants, avec des couleurs non saturées et un faible contraste
ISO 50 semble être un réglage ISO complet, mais les JPEG se coupent de manière inattendue tôt
Le mode ISO automatique de l’appareil photo n’utilisera pas ISO 50, vous devrez donc l’activer manuellement pour la plage dynamique maximale.
Notre scène de test est conçue pour simuler une variété de textures, de couleurs et de types de détails que vous rencontrerez dans le monde réel. Il dispose également de deux modes d’éclairage pour voir l’effet de différentes conditions d’éclairage.
La qualité d’image brute du Q2 est très impressionnante, elle est très nette près du centre et affichedes niveaux de bruit comparables aux meilleurs de ses pairs. Aux coins extrêmes, il est un peu plus doux que les appareils photo que nous avons tournés avec des objectifs dédiés de 85 mm, mais s’améliore , plus vous vous rapprochez du centre .
C’est peut-être une conséquence de la correction de distorsion assez importante qui fait partie de la conception de l’objectif de l’appareil photo : nous verrons plus en détail à la page suivante.
Aux réglages ISO élevés, le Leica est en retard sur ses contemporains, la différence s’ouvrant à un arrêt complet aux réglages les plus élevés.
L’histoire en mode JPEG est un peu moins positive. La capture des détails reste très bonne mais la réponse des couleurs est parmi les pires que nous ayons vues depuis un certain temps, avec une teinte magenta distincte dans les rouges et une touche verte dans les jaunes et les bleus.
Ce n’est pas seulement quelque chose que nous observons dans notre scène de studio : notre tournage dans le monde réel nous a également déçus. Ajoutez à cela une balance des blancs plutôt peu fiable et un contraste par défaut très faible, et il est plus sûr de supposer que vous aurez besoin d’un plan de traitement Raw pour le Q2.
À des ISO élevés, la réduction du bruit de l’appareil photo fait un travail raisonnable pour équilibrer la réduction du bruit et la rétention des détails, mais les détails à faible contraste sont perdus dans le processus .
Cela dit, il est important de rappeler que Leica a toujours choisi de laisser un peu plus de bruit de luminance que ses concurrents, et en tout cas, les performances du Q2 ici c’est un pas en avant par rapport à son prédécesseur à cet égard.
Plage dynamique du Leica Q2
Le tout nouveau capteur 47MP du Leica Q2 est performant, s’il n’est pas à la hauteur des normes élevées fixées par les capteurs de certains concurrents à l’heure actuelle. Comme vous pouvez le voir dans notre test d’invariance ISO , il y aura une augmentation du bruit si vous utilisez un ISO bas et poussez l’exposition, par rapport à une exposition à un ISO plus élevé dès le départ.
Cela suggère que l’appareil photo ajoute du bruit à ses images, dont le rôle peut être diminué en ajoutant une amplification à des réglages ISO plus élevés.
Cela signifie que, pour les utilisateurs avancés, vous pouvez utiliser une valeur ISO inférieure et sous-exposer votre image pour éviter que vos hautes lumières ne soufflent, mais éclaircir le reste de l’image entraînera plus de bruit que si vous utilisiez une valeur ISO plus élevée pour commencer. .
Passons maintenant à la latitude d’exposition , dans laquelle nous utilisons l’ISO de base de l’appareil photo et essayons d’éclaircir des expositions de plus en plus sombres pour voir combien de bruit est ajouté dans les ombres profondes.
Ici, vous pouvez voir que le Leica Q2 est à environ un arrêt derrière le Nikon D850 à cet égard.
Quel est l’ISO de base du Q2 ?
Le Leica Q2 dispose d’un mode ISO 50 qui, pour autant que nous puissions en juger, est un réglage ISO distinct qui permet à l’appareil photo d’être photographié avec 1 EV de plus de lumière que le mode ISO 100 avec une augmentation mesurable de la plage dynamique.
Les fichiers JPEG coupent environ 1EV plus tôt que les fichiers ISO 100, ce qui donne l’impression d’un réglage étendu (essentiellement ISO 100 surexposé par un arrêt), cependant, les fichiers Raw racontent une histoire différente et semblent conserver un arrêt supplémentaire des données de surbrillance .
Il est important de noter, cependant, qu’ISO 50 ne donne pas plus de plage dynamique au Q2 qu’ISO 100 sur un appareil photo comparable comme le Panasonic Lumix S1R, qui utilise un capteur très similaire.
C’est déroutant, et on ne peut s’empêcher de se demander pourquoi Leica n’a pas ajusté l’échelle/les étiquettes de sa plage ISO pour simplement utiliser 100 comme valeur de base.
Donc, si vous filmez Raw et que vous voulez la plage dynamique maximale de votre appareil photo, vous devez photographier à ISO 50. Si vous prévoyez d’utiliser les JPEG, vous pouvez laisser l’appareil photo en ISO automatique, qui n’utilisera jamais l’ISO. 50, et acceptez simplement le coût du bruit de 1 EV lié à l’utilisation d’expositions plus courtes.
Leica Q2 : conclusion
Le Leica Q2 est le meilleur appareil photo de Leica. Ou, du moins, c’est le plus facile à utiliser. Il est objectivement très bon dans ce qu’il essaie de faire, et n’a pas le genre d’omissions ou de lacunes – comme l’ omission de l’écran LCD arrière, par exemple – pour risquer d’induire une dissonance cognitive . En fait c’est plutôt joli.
La combinaison d’un bon capteur et d’un excellent objectif signifie que la qualité d’image est souvent extrêmement bonne. Les JPEG sont son talon d’Achille, avec des couleurs ternes et l’inclusion de beaucoup de plage dynamique, ce qui les rend plutôt plats dans la plupart des situations.
Ou peut-être « naturaliste » si vous essayez de rationaliser un trou de 5 000 $ dans votre solde bancaire. Les JPEG ISO 50 prématurément coupés ressemblent à une erreur, et j’espère que celle-ci pourra être corrigée. Dans l’ensemble cependant, la qualité d’image est impressionnante.
L’autofocus n’est pas à la hauteur des meilleurs appareils photo de sport, mais il est plus que suffisant pour un compact grand angle de photographes.
L’interface utilisateur, bien qu’un peu spartiate, est en fait bien adaptée à la tâche à accomplir : cela ne fonctionnerait pas sur un appareil photo essayant de faire un peu de tout, mais il fait à peu près tout ce dont vous avez besoin.
Et, même si j’ai trouvé que l’onglet de mise au point manuelle était toujours exactement au mauvais endroit, l’expérience de mise au point manuelle est l’une des meilleures que je me souvienne d’avoir sur un appareil photo numérique.
Le Q2 est magnifiquement construit, tient bien dans la main, a l’air sensationnel et prend de bonnes photos (de très bonnes si vous êtes prêt à traiter les Raws). Son ensemble tout-en-un signifie qu’il n’incitera pas à une dépendance potentiellement ruineuse aux objectifs, ni ne vous engagera à parler à vie de la valeur de l’autofocus.
Le Q2 est magnifiquement construit, tient bien dans la main, a l’air sensationnel et prend de bonnes photos
La stratégie de prix premium utilisée par Leica rend pratiquement impossible d’être objectif sur la valeur, puisque le prix élevé fait lui-même partie de la justification du prix si élevé.
Mais, si nous utilisons l’approximation selon laquelle chaque arrêt supplémentaire double généralement le prix d’un objectif, alors le capteur plus grand et l’objectif plus lumineux du Leica vous amèneraient à vous attendre à ce qu’il coûte environ 7 fois plus cher que le Ricoh GR III.
C’est une façon sciemment grossière (bien que légèrement facétieuse) de voir les choses, mais cela suggère que la valeur de la marque de ce petit point rouge et du lettrage « Made in Germany » ne gonfle pas le prix à un degré déraisonnable.
FAQ sur le Leica Q2
Qu’est-ce que le Leica Q2 ?
Le Leica Q2 est un appareil photo numérique haut de gamme de type compact, conçu pour les photographes professionnels et les amateurs exigeants. Il est équipé d’un capteur CMOS de 47,3 mégapixels, d’un objectif Summilux 28mm f/1.7 ASPH et d’un viseur électronique OLED haute résolution.
Quelle est la résolution du capteur de l’appareil photo ?
Le Leica Q2 est équipé d’un capteur CMOS plein format de 47,3 mégapixels, ce qui en fait l’un des appareils photo compacts les plus puissants sur le marché.
Quelle est la distance focale de l’objectif du Leica Q2 ?
L’objectif du Leica Q2 est un Summilux 28mm f/1.7 ASPH, qui offre une distance focale fixe de 28 mm. Cela en fait un choix idéal pour les photographes qui aiment la photographie de rue, les paysages et les portraits.
Est-ce que le Leica Q2 est résistant à l’eau et à la poussière ?
Oui, le Leica Q2 est résistant à l’eau et à la poussière, grâce à sa construction robuste en alliage de magnésium. Cela en fait un choix idéal pour les photographes qui aiment explorer des environnements difficiles ou qui travaillent dans des conditions météorologiques extrêmes.
Le Leica Q2 dispose-t-il d’un écran tactile ?
Oui, le Leica Q2 est équipé d’un écran LCD tactile de 3 pouces à l’arrière, qui permet aux utilisateurs de prévisualiser et de régler rapidement les paramètres de leur appareil photo.
Le Leica Q2 dispose-t-il d’un viseur électronique ?
Oui, le Leica Q2 dispose d’un viseur électronique OLED haute résolution, qui offre une expérience de visualisation claire et précise pour les photographes.
Le Leica Q2 est-il compatible avec les objectifs interchangeables ?
Non, le Leica Q2 n’est pas compatible avec les objectifs interchangeables. L’objectif Summilux 28mm f/1.7 ASPH est fixe et ne peut pas être changé.
Quel est le prix du Leica Q2 ?
Le Leica Q2 est un appareil photo haut de gamme et le prix varie en fonction des pays et des magasins. Le prix de vente conseillé en Europe est d’environ 4 995 €, mais il peut varier en fonction des promotions et des offres spéciales.
Le Leica Q2 : la saviez-vous?
Le Q2 est équipé d’un capteur CMOS de 47,3 mégapixels
Le Leica Q2 est un appareil photo compact haut de gamme qui a été lancé en mars 2019. Il est équipé d’un capteur CMOS de 47,3 mégapixels, ce qui en fait l’un des appareils photo compacts les plus puissants sur le marché.
Le Q2 est résistant à l’eau et à la poussière
Le Leica Q2 est également un appareil photo résistant à l’eau et à la poussière, grâce à sa construction robuste en alliage de magnésium. Cela en fait un choix idéal pour les photographes qui aiment explorer des environnements difficiles ou qui travaillent dans des conditions météorologiques extrêmes.
Le Q2 dispose d’un objectif Summilux 28mm f/1.7 ASPH
L’objectif du Leica Q2 est un Summilux 28mm f/1.7 ASPH, qui offre une qualité d’image exceptionnelle et une grande ouverture maximale pour les prises de vue en basse lumière. Il est également équipé d’un système de stabilisation d’image optique intégré, qui permet aux photographes de prendre des photos nettes et stables même en mouvement.
Le Q2 dispose d’un viseur électronique OLED
Le Leica Q2 dispose d’un viseur électronique OLED haute résolution, qui offre une expérience de visualisation claire et précise pour les photographes. Il est également équipé d’un écran LCD tactile de 3 pouces à l’arrière, qui permet aux utilisateurs de prévisualiser et de régler rapidement les paramètres de leur appareil photo.
En résumé, le Leica Q2 est un appareil photo compact et puissant, équipé d’un capteur CMOS de 47,3 mégapixels, résistant à l’eau et à la poussière, avec un objectif Summilux 28mm f/1.7 ASPH et un viseur électronique OLED haute résolution.
Eric CANTO Photographe : Photos de concerts, portraits, pochettes d’albums.
« J’essaie de faire en sorte que les autres reconnaissent quelque chose d’eux-mêmes plutôt que moi. » —Cindy Sherman
Cindy Sherman est l’une des artistes les plus connues et les plus importantes qui travaillent aujourd’hui.
Sa pratique performative de plusieurs décennies consistant à se photographier sous différentes formes, a produit de nombreuses images parmi les plus emblématiques et les plus influentes de l’art contemporain.
Au cœur du travail de Sherman se trouve la multitude de stéréotypes identitaires qui ont surgi à la fois dans l’histoire de l’art et dans l’histoire de la publicité, du cinéma et des médias.
Sherman révèle et démantèle ces stéréotypes ainsi que les mécanismes de leur production en créant série après série de photographies qui se concentrent sur des procédures particulières de création d’images. La collection Broad est dédiée au travail de Sherman depuis plus de trente ans et ses collections sont inégalées dans le monde.
Dans ses premières œuvres, de petites photographies en noir et blanc connues sous le nom de série Untitled Film Still , Sherman a exploré les images de femmes dans les films des années 1950 et 1960.
Dans les images fixes du film, plutôt que de citer des films reconnaissables, Sherman suggère des genres, ce qui donne des personnages qui émergent comme des types de personnalité au lieu d’actrices spécifiques.
Les six premières images de la série, dont Untitled Film Still #6 , 1977, montrent la même actrice blonde à différentes étapes de sa carrière. Plus tard, le personnage dans Untitled Film Still # 34 , 1979, apparaît comme une séductrice, attendant à la maison son amant, et dans Untitled Film Still # 35, 1979, Sherman pourrait être considérée comme le trope de la femme diligente au foyer qui reste sexuellement attirante et disponible pour son mari.
Dans une série plus récente, comprenant des photographies couleur plus grandes, Sherman a reconstitué les décors de divers portraits européens du XVe au début du XIXe siècle. Dans Untitled #205 , 1989, Sherman se fait passer pour La Fornarina, tout comme le modèle aurait pu être peint par son amant, le peintre italien du XVIe siècle Raphaël, ou plus tard par Ingres.
Cindy Sherman
Cindy Sherman
Ici, cependant, Fornarina de Sherman expose des seins gonflés de lait en plastique et berce un faux ventre de femme enceinte sous son châle. L’utilisation évidente par Sherman de parties du corps prothétiques et d’un décor théâtral oblige le spectateur à réfléchir à la posture et à la modélisation des sources historiques originales.
Pour cette raison, de nombreux critiques ont loué la déconstruction par Sherman des visions ouvertement masculines de la femme dans l’histoire de l’art.
Biographie de Cindy Sherman
Cindy Sherman , en entier Cynthia Morris Sherman , (née le 19 janvier 1954 à Glen Ridge, New Jersey , États-Unis), est une photographe américaine connue pour ses images – en particulier pour ses autoportraits minutieusement « déguisés » – qui commentent les jeux de rôle sociaux et stéréotypes sexuels .
Sherman a grandi à Long Island, New York . En 1972, elle s’inscrit à l’ Université d’État de New York (SUNY) à Buffalo et se spécialise en peinture, puis se tourne vers la photographie . Elle est diplômée de SUNY en 1976 et en 1977 a commencé à travailler sur Untitled Film Stills (1977–80), l’une de ses séries les plus connues.
La série de photographies en noir et blanc de 8 × 10 pouces mettant en vedette Sherman dans une variété de rôles, rappelle le film noir et présente aux téléspectateurs une représentation ambiguë des femmes en tant qu’objets sexuels. Sherman a déclaré que la série parlait « de la fausseté du jeu de rôle ainsi que du mépris pour le public » masculin « dominant qui lirait à tort les images comme sexy. »
&
Elle a continué à être le modèle de ses photographies, enfilant des perruques et des costumes qui évoquent des images des domaines de la publicité, de la télévision, du cinéma et de la mode et qui, à leur tour, remettent en question les stéréotypes culturels soutenus par ces médias.
Au cours des années 1980, Sherman a commencé à utiliser des films couleur, à exposer de très grands tirages et à se concentrer davantage sur l’éclairage et l’expression faciale.
À l’aide d’appendices prothétiques et de quantités généreuses de maquillage, Sherman est entré dans le domaine du grotesque et du sinistre avec des photographies représentant des corps mutilés et reflétant des préoccupations telles que les troubles de l’alimentation, la folie et la mort.
Son travail est devenu moins ambigu, se concentrant peut-être davantage sur les résultats de l’acceptation par la société des rôles stéréotypés pour les femmes que sur les rôles eux-mêmes.
Sherman est revenue aux commentaires ironiques sur les identités féminines clichées dans les années 1990, introduisant des mannequins dans certaines de ses photographies, et en 1997, elle a réalisé le film comique noir Tueur de bureau .
Deux ans plus tard, elle a exposé des images troublantes de poupées sauvages et de parties de poupées qui exploraient son intérêt pour la juxtaposition de la violence et de l’artificialité. Sherman a poursuivi ces juxtapositions dans une série de photographies de 2000 dans lesquelles elle se faisait passer pour des femmes hollywoodiennes avec un maquillage exagéré et des implants mammaires en silicone, obtenant à nouveau un résultat pathétique énigmatique.
Cette même année, une importante rétrospective de son œuvre est présentée au Museum of Contemporary Art de Chicago et au Musée d’art contemporain de Los Angeles.
Une rétrospective de 2012 au Museum of Modern Art (MoMA) de New York était accompagnée d’une série de films comprenant des films que Sherman considérait comme ayant influencé son travail.
En 2016, Sherman a reçu le prix Praemium Imperiale de peinture, une catégorie qui englobe également la photographie. Cette même année, elle a débuté une série de nouvelles photographies dans l’exposition « Imitation of Life » au Broad Museum, Los Angeles, et Metro Pictures, New York. En 2017, Sherman a fait sensation lorsqu’elle a fait son privé Compte Instagram public.
La plate-forme de médias sociaux , où les utilisateurs peuvent exposer des vignettes de leur vie quotidienne et manipuler leur apparence à l’aide de filtres, semblait faite pour son travail, et Sherman a été célébrée pour son utilisation habile de l’application pour faire de l’art.
Ses selfies, parfois grotesquement déformés et parfois énigmatiques, attirent l’attention sur certaines des caractéristiques les plus troublantes d’Instagram, à savoir l’ ambiguïté entre le réel et la mise en scène. Une rétrospective a été organisée par la National Portrait Gallery, Londres, en 2019.
Technique photo
Cindy Sherman est une artiste et photographe américaine connue pour son travail photographique qui explore les thèmes de l’identité, du genre, et de la représentation de soi. Sa technique photographique est très diversifiée, mais elle est surtout connue pour ses autoportraits, dans lesquels elle joue différents rôles et utilise des accessoires, des costumes et des décors pour créer des images surprenantes et intrigantes.
Sherman utilise souvent des éclairages directs et des couleurs vives pour donner à ses images un aspect cinématographique et dramatique. Elle utilise également différents formats, tels que le format carré, pour créer des images qui rappellent les photographies de mode ou de publicité.
Une autre caractéristique importante de la technique de Cindy Sherman est son utilisation de la mise en scène. Elle crée souvent des décors et des costumes complexes pour ses images, qui ajoutent des éléments de réalisme et de fiction à ses autoportraits. Cette technique de mise en scène donne à ses images une dimension narrative qui invite le spectateur à réfléchir sur les questions d’identité et de représentation de soi.
Enfin, Sherman utilise souvent la post-production pour retoucher ses images et leur donner un aspect plus dramatique ou surréaliste. Elle ajoute parfois des effets de maquillage, des filtres et des textures pour créer des images qui semblent sortir tout droit d’un rêve ou d’un film.
Cindy Sherman
Chronologie de Cindy Sherman
1954
Née à Glen Ridge, New Jersey
1976
BA en photographie du State University College de Buffalo, Buffalo, NY
1977
Récipiendaire, National Endowment for the Arts Fellowship
1983
Récipiendaire, Bourse commémorative John Simon Guggenheim
1995
Récipiendaire, Subvention de la Fondation John D. et Catherine T. MacArthur
Vit et travaille à New York, NY
Expositions de Cindy Sherman
2012
Cindy Sherman, (rétrospective) The Museum of Modern Art, New York, NY; Musée d’art moderne de San Francisco; Walker Art Center, Minneapolis (2012-2013); Dallas Museum of Art (2013) (solo) Portland Art Museum, OR (solo) Gagosian Gallery, Paris, France (solo) Metro Pictures, New York, NY (solo) That’s Me – That’s Not Me, Sammlung Verbund, Vertikale Galerie, Vienne, Autriche (solo)
2011
Made in Italy, Gagosian Gallery Rome Sprüth Magers, Londres (solo) Cindy Sherman: Works from Friends of the Bruce Museum, Bruce Museum, Greenwich, CT (solo)
2010
Untitled Film Stills, National Gallery of Iceland, Reykjavík, Islande (solo) Crash, Gagosian Gallery, Londres, Angleterre
2009
Cindy Sherman, Sprüth Magers, Londres, Angleterre (solo) Cindy Sherman, Sprüth Magers, Berlin, Allemagne (solo) Cindy Sherman, Gagosian Gallery, Rome, Italie (solo) The Pictures Generation, 1974-1984, Metropolitan Museum of Art, New York
2008
Second Thoughts, The Center for Curatorial Studies at Bard College, Annandale-on-Hudson, NY Body Work, Le Case d’Arte, Milan, Italie 2041, Artnews Projects, Berlin, Allemagne History Portraits, Skarstedt Fine Art, New York, NY (solo) Metro Pictures, New York, NY (solo) Street and Studio, Tate Modern, Londres; Museum Folkwang, Essen, Allemagne The Broad Contemporary Art Museum, Los Angeles County Museum of Art, Los Angeles, Californie
2007
Faces, Cook Fine Art, New York, NY Imagination Becomes Reality, œuvres de la Goetz Collection, ZKM, Karlsruhe, Allemagne Held Together with Water, art from the Verbund Collection, Museum of Applied Arts, Vienne, Autriche Que veut la méduse ? , Museum Ludwig, Cologne, Allemagne There is never a stop and never a finish, Hamburger Bahnhof, Berlin, Allemagne Foto.Kunst, Essl Museum, Klosterneuburg, Autriche All the more real: Portrayals of Intimacy and Empathy, Parrish Art Museum, Southampton, NY Traum und Trauma, Kunsthalle Wien, Vienne, Autriche Into Me / Out of Me, Museo d’Arte Contemporanea, Rome, Italie Eros in Modern Art, BA-CA Kunstforum, Vienne, Autriche Bus Riders, Barbara Krakow Gallery, Boston, MA (solo) A Play of Selves, Galerie Monika Sprüth Philomene Magers, Londres, Angleterre (solo) WACK! L’art et la révolution féministe, The Museum of Contemporary Art, Los Angeles, Californie ; Musée national des femmes dans les arts, Washington DC ; PS 1 Contemporary Art Center, New York, NY Théâtre sans Théâtre, Musée d’Art Contemporain, Barcelone, Espagne Musée Ludwig, Cologne, Allemagne Panic Attack! Art in the Punk Years, Barbican Art Gallery, Londres, Angleterre Sammlung Verbund, MAK, Vienne, Autriche Wrestle, Hessel Museum of Art, Bard College, Annandale-on-Hudson, New York, NY Portrait/Homage/Embodiment, Pulitzer Foundation for les Arts, St. Louis, MO
2006
A Play of Selves, Metro Pictures, New York, NY (solo) Anos 80 : Uma Topologia, Museu Serralves, Porto, Portugal The Eighth Field. Gender, Life and Desire in Art since 1960, Museum Ludwig, Cologne, Allemagne Surprise, Surprise, Institute of Contemporary Arts, Londres, Angleterre Eros in Modern Art, Fondation Beyeler, Bâle, Suisse The Other Side, Tony Shafrazi Gallery, New York, NY Memento Mori, Mireille Mosler Ltd., New York, NY Into Me / Out of Me, Oeuvres Berlin, Berlin, Allemagne
2005
Faites vos jeux ! Art et jeux depuis Dada, Kunstmuseum Liechtenstein, Vaduz ; Académie des Arts, Berlin, Allemagne ; Musée d’Art Contemporain, Siegen, Allemagne Cindy Sherman, Galerie du Château d’Eau, Toulouse, France (solo) Auto-performance. Jürgen Klauke et Cindy Sherman, Neues Museum, Weimar, Allemagne (solo)
2004
The Unseen Cindy Sherman: Early Transformations 1975/1976, Montclair Art Museum, Montclair, NJ (solo) Cindy Sherman: Clowns, Kestner Gesellschaft, Hannover, NH (solo) Cindy Sherman, Metro Pictures, New York, NY (solo) révèle : Le nu dans l’art photographique du XXe siècle, Musée municipal de Heilbronn, Heilbronn, Allemagne The Last Picture Show, Fotomuseum Winterthur, Winterthur, Suisse Faces in the Crowd, Whitechapel Art Gallery, Londres, Angleterre Incantations, Metro Pictures, New York, NY
2003
Cindy Sherman : Centerfolds, 1981, Skarstedt Fine Art, New York, NY (solo) Cindy Sherman, Serpentine Gallery, Londres ; Galerie nationale écossaise d’art moderne, Édimbourg, (solo)
2001
Cindy Sherman: Early Works, Studio Guenzani, Milan, Italie (solo) Cindy Sherman: Moment of Truth, Copenhagen Contemporary Art Center, Copenhague, Danemark (solo)
2000
Cindy Sherman, Hasselblad Center, Göteborg, Suède (solo) Cindy Sherman, Gagosian Gallery, Los Angeles, CA (solo) Cindy Sherman, Galería Juana de Aizpuru, Madrid, Espagne (solo) Cindy Sherman, Greengrassi, Londres, Angleterre (solo) Cindy Sherman, Metro Pictures, New York, NY (solo) Let’s Entertain, Walker Art Center, Minneapolis Centre Georges Pompidou, Paris, France Open Ends, Museum of Modern Art, New York, NY Hyper Mental, Kunsthaus Zürich; Hamburger Kunsthalle, Hambourg, Allemagne
1999
Gesammelte Werke 1: Zeitgenössische Kunst seit 1968, Kunstmuseum, Wolfsburg, Allemagne Notorious, Museum of Modern Art, Oxford, Royaume-Uni Cindy Sherman, Monika Sprüth Galerie, Cologne, Allemagne (solo) Cindy Sherman, Metro Pictures, New York, NY (solo) The American Century, Whitney Museum of American Art, New York, NY Inverted Odysseys, Grey Art Gallery, New York, NY The Century of the Body: Photoworks 1900-2000, Musée de l’Elysée, Lisbonne, Portugal Triennale Exhibition: Sentiment of the Year 2000, Triennale di Milano, Milan, Italie Concernant la Beauté, Hirshhorn Museum, Washington, DC
1998
Images miroir : Femmes, surréalisme et auto-représentation, MIT List Center, Cambridge, MA ; Musée d’art de Miami, Miami, Floride ; San Francisco Museum of Modern Art, San Francisco, Californie Allegories, Seattle Art Museum, Seattle, WA (solo) Cindy ShermanMetro Pictures, New York, NY (solo)
1997
Cindy Sherman: The Complete Untitled Film Stills, Museum of Modern Art, New York, NY (solo) Cindy Sherman: A Selection From the Eli Broad Foundation’s Collection, Museo de Bellas Artes, Caracas, Venezuela (solo) Cindy Sherman: Retrospective, Museum of Contemporary Art, Los Angeles, CA (solo) Cindy Sherman, Museum Ludwig, Cologne, Allemagne (solo) Gender Performance in Photography, Solomon R. Guggenheim Museum, New York, NY On the Edge: Contemporary Art from the Werner and Elaine Dannheisser Collection, The Museum of Modern Art, New York, NY Von Beuys bis Cindy Sherman Sammlung Lothar Schirmer, Kunsthalle, Brême, Allemagne
1996
L’Informe: le Modernisme a Rebours, Centre Georges Pompidou, Musée National d’Art Moderne, Paris, France Cindy Sherman, Museum Boymans-van Beuningen, Rotterdam, Pays-Bas (solo) Cindy Sherman, Museum of Modern Art, Shiga, Japon Hall of Mirrors: Art and Film Since 1945, The Museum of Contemporary Art, Los Angeles, CA Biennale di Firenze, Florence, Italie
1995
1995 Exposition biennale, Whitney Museum of American Art, New York, NY Signs & Wunder, Kunsthaus Zurich, Zurich, Suisse XLVI Esposizione Internazionale d’Arte 1995, La Biennale di Venezia, Venise, Italie FeminiMasculin: Le Sexe de l’Art?, Centre Georges Pompidou, Musée d’Art Moderne, Paris, France 1995 Carnegie International, The Carnegie Museum of Art, Pittsburgh, PA Directions : Cindy Sherman Film, Hirshhorn Museum, Washington, DC (solo) Cindy Sherman : Photographs 1975-1995, Deichtorhallen Hambourg, Hambourg, Allemagne (solo) Cindy Sherman, Museu de Arte Moderna de Sao Paulo, Sao Paulo, Brésil (solo) Monika Sprüth Galerie, Cologne, Allemagne (solo) Metro Pictures, New York, NY (solo)
1994
Cindy Sherman, ACC Galerie, Weimar, Allemagne (solo) Cindy Sherman, Manchester City Art Gallery, Manchester, Royaume-Uni (solo) Cindy Sherman, The Irish Museum of Modern Art, Dublin, Irlande (solo) World Morality, Kunsthalle, Bâle, Suisse Corps et âme, The Baltimore Museum of Art, Baltimore, MD Jurgen Klauke – Cindy Sherman, Sammlung Goetz, Munich, Allemagne
1993
Louise Lawler, Cindy Sherman, Laurie Simmons, Kunsternes Hus, Oslo, Norvège 1993 Exposition biennale, Whitney Museum of American Art, New York, NY American Art of This Century, Martin-Gropius-Bau, Berlin, Allemagne
1992
Post Human, Musée d’Art Contemporain, Pully/Lausanne, Switzerland
1991
1991 Exposition biennale, Whitney Museum of American Art, New York, NY Metropolis, Martin-Gropius-Bau, Berlin, Allemagne Cindy Sherman, Basel Kunsthalle, Bâle, Suisse (solo)
1990
Padiglione d’arte Contemporanea, Milan, Italie (solo) University Art Museum, Université de Californie, Berkeley, CA (solo) Monika Sprüth Galerie, Cologne, Allemagne (solo) Metro Pictures, New York, NY (solo) Culture and Commentary, The Hirshhorn Museum, Washington, DC Culture and Commentary, The Hirshhorn Museum, Washington, DC Energies, The Stedelijk Museum, Amsterdam, Pays-Bas The Readymade Boomerang, Huitième Biennale de Sydney, Sydney, Australie
1989
Cindy Sherman, National Art Gallery, Wellington, Nouvelle-Zélande (solo) Cindy Sherman, Metro Pictures, New York, (solo) A Forest of Signs: Art in the Crisis of Representation, The Museum of Contemporary Art, Los Angeles, CA Bilderstreit, Messehallen, Cologne, Allemagne Image World: Art and Media, Whitney Museum of American Art, New York, NY
1988
Monika Sprüth Galerie, Cologne, Allemagne (solo)
1987
Cindy Sherman, Metro Pictures, New York, NY (solo) Avant-Garde in the Eighties, Los Angeles County Museum of Art, Los Angeles, Californie Implosion: A Postmodern Perspective, Moderna Museet, Stockholm, Suède
1986
Art and Its Double: A New York Perspective, Fundacio Caixa de Pensions, Barcelone, Espagne Individus: A Selected History of Contemporary Art, 1945-1986, Museum of Contemporary Art, Los Angeles, CA The American Exhibition, The Art Institute of Chicago, Chicago, IL
1985
Cindy Sherman, Westfälischer Kunstverein, Münster, Allemagne (solo) Cindy Sherman, Metro Pictures, New York, (solo) Carnegie International, Carnegie Museum of Art, Pittsburgh, PA 1985 Exposition biennale, Whitney Museum of American Art, New York, NY ( chat.)
1984
Alibis, Centre Pompidou, Musée d’Art Moderne, Paris, France (cat.) Content: A Contemporary Focus, 1974-84, Hirshhorn Museum, Washington, DC (cat.) The Fifth Biennale of Sydney, Private Symbol: Social Metaphor, Art Gallery of New South Wales, Sydney, Australie (cat.) Cindy Sherman, Akron Art Museum, Akron, OH (solo) Monika Sprüth Galerie, Cologne, Allemagne (solo)
1983
Musée
d’Art et d’Industrie de Saint Etienne, Saint Etienne, France (solo) The St. Louis Art Museum, St. Louis, MO (solo) Metro Pictures, New York, NY (solo) Directions 1983, Hirshhorn Museum, Washington, DC (cat.) 1983 Exposition biennale, Whitney Museum of American Art, New York, NY (cat.) The New Art, The Tate Gallery, Londres, Angleterre
1982
Documenta 7, Kassel, Allemagne (cat.) Eight Artists: The Anxious Edge, Walker Art Center, Minneapolis, MN (cat.) Cindy Sherman, The Stedelijk Museum, Amsterdam, Pays-Bas (solo) Cindy Sherman, Déjà Vu, Dijon, France (solo) Cindy Sherman, Metro Pictures, New York, NY (solo) La Biennale di Benezia, Venise, Italie (cat.)
1980
Cindy Sherman, Musée d’art contemporain, Houston, TX (solo) Cindy Sherman, Metro Pictures, New York, NY (solo)
Collections publiques
– Collection FAIF, Zurich, Suisse
– Musée d’art contemporain, Los Angeles, Californie
– Musée d’art moderne, New York, NY
– Musée d’art de Philadelphie, Philadelphie, Pennsylvanie
– Musée d’art moderne de San Francisco, San Francisco, Californie
– Musée Solomon R. Guggenheim, New York, NY
– Tate Gallery, Londres, Royaume-Uni
– Victoria and Albert Museum, Londres, Royaume-Uni
En 2003, il a déclaré: « Je n’ai pas de qualifications formelles, juste l’école de la vie.
J’ai appris le plus en prenant simplement des photos; beaucoup de photos. J’ai fait beaucoup d’erreurs, mais c’est souvent de vos erreurs que vous apprenez le plus . Être photographe, c’est comme être un athlète. Il faut s’entraîner tous les jours. »
Patrick Demarchelier photographe
Les débuts de Patrick Demarchelier photographe
Né en 1943, Patrick Demarchelier a été élevé dans la petite ville de La Havre, près de Paris, par sa mère.
Il a eu une éducation modeste et a passé la majeure partie de son enfance à vivre avec ses quatre frères et sa mère au Havre. Son beau-père lui a acheté un appareilphoto pour ses 17 ans et il a rapidement appris à développer des films et à retoucher des négatifs. Il a ensuite commencé à photographier des amis et des mariages.
Son amour de la photographie a commencé à 17 ans quand il a été donné. sa première caméra par son beau-père. Il s’installe à Paris à l’âge de 20 ans pour travailler dans un laboratoire de photographie, imprimant des photographies de journaux.Vogue .
Patrick Demarchelier photographe
Il a travaillé avec Grace Coddington pendant son mandat chez British Vogue et lui a attribué le mérite d’avoir aidé à lancer sa carrière. «C’était le meilleur magazine du monde, celui pour lequel vous vouliez vraiment travailler, donc être avec elle était une grande avancée», a-t-il déclaré au Telegraph en 2012. En 1975, après avoir gagné une réputation de photographe de mode respecté en France, Demarchelier a décidé de suivre sa petite amie à New York, même s’il ne parlait pas un mot d’anglais.
Patrick Demarchelier a travaillé comme photographe indépendant et a assisté des personnalités telles que Henry Cartier-Bresson, Terry King et Jacques Guilbert.Son travail a depuis figuré dans de nombreuses publications, dont de nombreuses Voguecouvertures, et il a tourné des campagnes pour Calvin Klein, Ralph Lauren, Chanel, Elizabeth Arden, Dior, Giorgio Armani et Louis Vuitton pour n’en citer que quelques-uns.
Patrick Demarchelier photographe
Patrick Demarchelier devient le photographe de Diana
En 1989, Patrick Demarchelier est devenu le photographe personnel de Diana, princesse de Galles, qui l’a contacté après avoir vu une de ses photographies en couverture de Vogue . «Je me souviens quand elle m’a contacté pour la première fois.
« J’avais fait une photo pour vogue dans laquelle un mannequin ouvrait son manteau pour montrer la photo d’un petit garçon riant caché dans la poche intérieure. Le garçon était, en fait, mon fils, et Diana, peut-être à cause de ses petits garçons, a tellement aimé cette photo qu’elle est entrée en contact. Nous sommes devenus amis. »
Elle était drôle et gentille – mais fondamentalement, c’était une femme très simple qui aimait les choses très simples », a-t-il déclaré au Telegraphen 2008. Il a été le premier photographe officiel non britannique de la famille royale. En novembre 2007, il a été honoré en tant qu’officier de l’ordre des arts et des lettres par le ministre français de la Culture.
L’année suivante, son travail fait l’objet d’une grande rétrospective intitulée Le culte de la célébrité au Petit Palais de Paris.En octobre 2011,Patrick Demarchelier publie le livre de table basse Dior Couture Patrick Demarchelier– une collection de photographies de pièces Dior Couture allant de la toute première collection de Dior lui-même en 1947 à celles de Galliano à la maison.
Il a dit que son sujet préféré à photographier est son teckel, Puffy. « Quand les gens me demandent quel est votre portrait préféré, ils s’attendent à ce que ce soit Diana, ou quelqu’un de célèbre. Mais la réponse est mon chien, Puffy. Ils pensent que je veux dire Puff Daddy. Non, c’est le chien », at-il dit au Telegraph en 2012. Il a tourné le calendrier Pirelli en 2005, 2008 et le numéro du 50e anniversaire avec Peter Lindberg en 2014.Il vit à New York avec sa femme Mia, une ancienne mannequin, avec qui il a trois enfants.
Patrick Demarchelier photographe
La carrière de Patrick Demarchelier photographe
À New York, Patrick Demarchelier en a appris davantage sur la photographie de mode. Il a travaillé avec de nombreux photographes de mode, dont Terry King, Henri Cartier-Bresson et Jacque Guilbert. Son travail a rapidement été remarqué par les rédacteurs en chef des magazines Marie Claire , Elle et 20 Ans . En 1989, il a commencé à tourner des couvertures pour Vogue . Pendant ce temps, la princesse Diana lui a demandé de prendre des photos d’elle et de ses fils. Cela a fait de lui le premier photographe non britannique officiel d’un membre de la famille royale.
Quelques années plus tard, Patrick Demarchelier a commencé à travailler plus régulièrement pour Harper’s Bazaar et Vogue . Cela a abouti à une collaboration de douze ans. Il a également photographié de nombreuses campagnes publicitaires internationales pour Louis Vuitton, Dior, TAG Heuer, Céline, Chanel, Lacoste, Yves Saint Laurent, Ralph Lauren, Revlon, Elizabeth Arden, Lancôme et Calvin Klein.
A partir de 1992, Patrick Demarchelier travailla pour Harper’s Bazaar et il fût leur premier photographe. Il a également reçu un contrat en 2005 pour le calendrier Pirelli. Au fil des ans, il a lancé la carrière de nombreux maquilleurs tels que Jason Marks, Laura Mercier et Pat McGrath.
Les réalisations notables de Patrick Demarchelier
Patrick Demarchelier a également travaillé avec un grand nombre de célébrités au fil des ans, telles que Farrah Fawcett, Madonna et Kate Hudson. Demarchelier était le photographe principal du livre On Your Own de Brooke Shields, qui était un guide sur la beauté et le style de vie pour les jeunes femmes.
En 2007, la ministre française de la Culture, Christine Albanel, a décerné à Demarchelier l’honneur d’Officier dans l’ordre des Arts et des Lettres. En octobre 2011, il publie Dior Couture Patrick Demarchelier , un livre de table basse qui est une collection photographique de pièces Dior Couture, de la toute première collection Dior en 1947 à la collection de John Galliano.
La vie de Patrick Demarchelier
Patrick Demarchelier est bien connu de ses collègues qui appréciaient sa gentillesse et sa patience. Ces qualités ont fait de lui un favori des top models et des célébrités. Il vécut à New York avec sa femme, Mia. Ils ont trois fils, Gustaf, Arthur et Victor.
Patrick Demarchelier livre
Bonus : critique du livre Dior Couture par Patrick Demarchelier
Tout d’abord, parlons du livre du point de vue de sa sublime présence physique. Dior Couture est de très grande taille, le papier est suffisamment lourd pour être confondu avec du carton léger, la qualité de reproduction de la photographie est au-delà de premier ordre, et le sujet? Eh bien, ça ne va pas beaucoup mieux.
Félicitations à Patrick Demarchelier pour son «œil», pour sa compréhension de la couture, à Carine Roitfeld pour avoir évoqué des assemblages aussi incroyables de ces créations, et surtout à Rizzoli pour avoir émis un hymne si exquis à Christian Dior haute couture.
Il manque quelques ingrédients qui font de cet hommage un peu moins de 100% de perfection. Tout d’abord, on est déçu qu’il n’y ait pas de Dior plus original; puis qu’il y a une pénurie de Dior de Marc Bohan depuis qu’il a mis son empreinte sur la maison pendant des décennies; troisièmement, l’omission complète du bref séjour de Gianfranco Ferre chez Dior est étrange; enfin, le livre est vraiment principalement axé sur John Galliano et son mandat à la maison vénérée de Dior.
Mis à part les lacunes, il ne fait aucun doute qu’il s’agit d’un livre à convoiter et à chérir. M. Demarchelier nous montre les vrais talents des ateliers Dior qui n’ont d’égal que ceux de Chanel, les talents extraordinaires de M. Galliano, et les designs sans couture et intemporels de la maison légendaire elle-même. Les images sont saisissantes car M. Demarchelier ne sacrifie jamais les vêtements pour la photographie artistique; les vêtements sont au centre de chaque photographie, ce qui rend la présentation globale impeccable.
Le bref texte de Mme Sischy est un cours intensif de Dior qui se révèle à la fois instructif et amusant. L’avant-propos très court de Jeff Koons était incisif, contenant quelques comparaisons et observations très astucieuses.
Dans l’ensemble, c’est un livre qui peut être comparé à Alexander McQueen: Savage Beauty d’Andrew Bolton par n’importe quel standard que vous choisissez. Dire que Dior Couture ferait un cadeau mémorable pour toute personne ayant la moindre appréciation pour la couture, Galliano, Dior ou la mode, serait un euphémisme terrible.
Des livres comme celui-ci sont rares et devraient être considérés comme un incontournable pour toute bibliothèque de mode et certainement pour toute personne ayant un intérêt sérieux pour la mode en tant que forme d’art.
Patrick Demarchelier photographe
Eric CANTO Photographe : Photos de concerts, portraits, pochettes d’albums.
Bonus : interview de Patrick Demarchelier par Keira Knightley
Tout film sur la vie de Patrick inclurait nécessairement la scène poignante de son beau-père donnant au trublion autoproclamé une caméra Eastman Kodak pour ses 17 ans. Après avoir aidé des gens comme Hans Feurer, le jeune Demarchelier s’est détaché de lui-même, a déménagé à New York et a développé son style de photographie de mode désormais emblématique et frappant.
Déstabilisant un éditorial de mode minutieusement mis en scène ou un portrait de Diana, princesse de Galles, dont il était le photographe officiel, avec une étincelle de spontanéité, Demarchelier crée une sorte de verve, un frisson qui a fait de lui une légende, et son nom un synonyme de la royauté de la mode – la toute première chose que Miranda Priestly veut savoir de sa nouvelle assistante désespérée dans Le diable s’habille en Prada est « Demarchelier a-t-il confirmé? »
Patrick Demarchelier par Keira Knightley
La star de la duchesse (2008), Keira Knightley, connaît un peu la royauté à l’écran. En novembre, elle apparaîtra aux côtés de Benedict Cumberbatch dans le drame de la Seconde Guerre mondiale The Imitation Game, sur la machine à casser le code Enigma. Ici, elle tente de décoder Demarchelier, amenant le photographe à regarder sa vie à travers l’objectif. Tout comme le diable de redresseur de torts assistant, elle a Patrick.
KEIRA KNIGHTLEY: Hé, Patrick! Comment ça va?
PATRICK DEMARCHELIER: Très bien. Je suis à Long Island en vacances. Dans quelques jours, j’ai un voyage en Suède. Après ça, je retourne à New York pour un jour puis à St. Barth pour un voyage au travail pendant quelques jours, puis j’ai fini.
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KNIGHTLEY: Oh mon Dieu, vous êtes partout. Où vas-tu en Suède?
Patrick Demarchelier : Nous allons vers le nord. C’est un hôtel et un spa. C’est au sommet d’un arbre.
KNIGHTLEY: Au sommet d’un arbre? Est-ce l’endroit où ils ont une boîte de miroirs, donc vous ne pouvez pas le voir? Avez-vous déjà séjourné dans cet hôtel?
Patrick Demarchelier : Non, jamais. Je suis allé en Suède – ma femme est suédoise – mais c’est un nouvel endroit. Comment allez vous? Tu fais un film maintenant?
KNIGHTLEY: Non, je ne le suis pas. Que suis-je en train de faire? Je viens d’acheter un tas de livres que je vais lire au cours de l’été et j’espère choisir un autre film basé sur cela. Je ne sais pas si cela arrivera, mais c’est une bonne façon de travailler. D’accord. Je vais vous poser des questions. Quelle est votre photo préférée que vous avez déjà prise?
Patrick Demarchelier : Je n’y pense pas vraiment. Pour moi, les nouvelles images sont ce à quoi je pense chaque jour. Le passé est le passé, non? Chaque jour est un nouveau défi. Comme pour vous, le film dans lequel vous serez est un nouveau défi. La photographie n’est que la photo – un jour, deux jours – et le lendemain, vous êtes parti.
KNIGHTLEY: Prends-tu des photos même quand tu n’es pas en tournage? Avez-vous toujours un appareil photo avec vous?
Patrick Demarchelier : Pas trop, non. Je ne sors pas la caméra avec moi. Mes yeux sont la caméra pour moi tous les jours.
KNIGHTLEY: Cela signifie-t-il que si vous vous promenez, vous obtenez l’inspiration, vous la consignez dans votre tête et peut-être l’utiliser à un moment donné?
Patrick Demarchelier : Exactement. Si vous l’aimez, c’est dans votre système.
KNIGHTLEY: Quelle serait votre journée idéale, votre journée de rêve?
Patrick Demarchelier : Chaque jour est un rêve, chaque jour que je passe avec ma femme.
KNIGHTLEY: Oh. C’est juste la mode que tu fais?
Patrick Demarchelier : Non. Je fais de la mode, des portraits, du nu. Parfois des animaux aussi. J’adore l’Afrique. J’adore la nature. J’aime mon chien. En fait, le meilleur portrait que j’ai fait était celui de mon chien.
KNIGHTLEY: De quelle sorte de chien s’agit-il?
Patrick Demarchelier : C’est un daschund aux cheveux longs. Et c’est très drôle, lors d’un spectacle à Paris, il y a environ six ans – au Petit Palais, le musée des Champs-Élysées – il y avait un grand spectacle là-bas, avec une grande photo de mon chien, Puffy, comme trois mètres de haut . [ rires ]
KNIGHTLEY: Quelle est votre prochaine émission?
Patrick Demarchelier : Je fais un show à Tokyo, avec Dior. J’ai fait un livre pour Dior haute couture il y a trois ans, et j’ai un nouveau livre pour eux qui sortira en novembre. On fait un show à Tokyo avec les photos et les vêtements mélangés.
KNIGHTLEY: Vous m’avez dit quelque chose de vraiment intéressant sur le tournage: «Vous devez vous détendre le visage, parce que c’est ce qu’est un bon jeu d’acteur, un visage détendu. C’est la même chose que de prendre des photos. »
Patrick Demarchelier : Le visage est censé être détendu. Plus vous vous détendez…
KNIGHTLEY: Vous avez absolument raison. C’est très drôle, car aucun photographe ne m’a jamais dit cela auparavant et n’a fait le genre de lien entre les deux choses. Vous filmez en numérique, non? Vous filmez-vous toujours aussi sur pellicule?
Patrick Demarchelier : Très rarement, uniquement pour des effets spéciaux lorsque j’en ai besoin. Sinon, je ne filme plus.
KNIGHTLEY: J’ai remarqué que les gens qui ont commencé le film ont toujours la capacité de voir la personne en face d’eux. Alors que pour beaucoup de photographes qui n’ont jamais travaillé que dans le numérique, la relation entre le photographe et la personne qu’ils prennent en photo n’existe plus. Ils regardent un écran d’ordinateur par opposition à la personne.
Patrick Demarchelier : Exactement. J’adore le numérique, mais le seul problème est moins d’intimité. Les gens regardent l’écran tout de suite. Avant, personne n’avait vu la photo avant que vous ayez vu la photo finale. Il y avait plus d’intimité d’une certaine manière.
KNIGHTLEY: Est-ce que tout le monde est obsédé par l’image, essayant soudain d’être parfait, par opposition à essayer de capturer un moment?
Patrick Demarchelier : Oui. Maintenant, vous travaillez plus en équipe, avec des gens qui ont bon goût. C’est intéressant. Vous pouvez corriger des choses, et si vous n’aimez pas une image tout de suite, vous pouvez la changer. Avant, vous faisiez beaucoup de photos et vous en preniez une après. Vous ne pouvez pas vraiment comparer; c’est une manière différente de travailler.
KNIGHTLEY: Reviendriez-vous jamais au tournage sur film ou pensez-vous que vous devez continuer à avancer?
Patrick Demarchelier : Le cinéma n’est pas très pratique. Le nouveau monde va plus vite et le numérique est très rapide.
KNIGHTLEY: Vous manquez quelque chose de physique? Je pense que je suis une sorte de romantique horrible sur le cinéma. Il y a quelque chose dans cette seule prise de vue qui était un moment dans le temps, et quelque chose sur le processus physique de la lumière frappant l’objectif et la pièce sombre. J’ai du mal à voir la romance dans le numérique.
Patrick Demarchelier : Il peut le faire aussi, en fait. Je fais un Polaroid avant de tirer. Un Polaroid tu fais une photo, trois photos, c’est vraiment un moment. Capturer ce moment avec ces images est intéressant.
KNIGHTLEY: Votre séance photo de l’autre jour était probablement la séance photo la plus rapide de ma vie, ce qui était excellent. Avez-vous toujours été très rapide?
Patrick Demarchelier : Ah. Les choses vont vraiment vite avec moi. J’aime faire les photos avant que les gens ne deviennent trop gênés. J’aime être spontané et prendre une photo avant que le sujet n’y pense trop. Parfois, il peut être intéressant d’être très lent, donc si vous êtes très, très lent, vous vous ennuyez tellement que c’est intéressant aussi. [ rires ]
Tout le monde peut prendre une bonne photo. Tout le monde est intéressant. Tout le monde a un visage intéressant. Certaines personnes sont plus difficiles ou plus nerveuses ou plus fatiguées. Quand tu fais un film, tu as de l’action, tu parles, tu bouges. Vous ne voyez pas la caméra. Prendre une photo avec un photographe, on ne parle pas, c’est plus difficile que dans un film pour ton corps de se détendre, d’être soi-même.
KNIGHTLEY: Certainement. Vous recherchez un moment qui raconte cette histoire ou tout ce que vous essayez de capturer. Avez-vous déjà fait du cinéma?
Patrick Demarchelier : Je fais des publicités parfois. C’est drôle parce que, pour les publicités, parfois je travaille pour un client et ils disent: « Le modèle n’était pas génial. » Dans l’image en mouvement, elle allait bien, mais sur la photo fixe, il était difficile d’obtenir une image d’elle. C’est typique de faire un film, parce que dans le film, vous bougez, vous avez de la personnalité, vous n’avez pas besoin d’être beau.
KNIGHTLEY: Comment en êtes-vous venu à votre idée de la beauté? Aviez-vous des idoles dans votre enfance, des gens que vous admiriez artistiquement?
Patrick Demarchelier : La beauté est partout. Et, non, ma photographie est venue naturellement sans qu’aucune inspiration particulière ne grandisse.
Patrick Demarchelier par Keira Knightley
Patrick Demarchelier par Keira Knightley
Patrick Demarchelier par Keira Knightley
FAQ : Patrick Demarchelier, le Photographe de Mode
1. Qui est Patrick Demarchelier ?
Patrick Demarchelier est un photographe de mode français né en 1943. Il a commencé sa carrière en photographiant pour des magazines de mode français, avant de devenir l’un des photographes les plus influents de l’industrie de la mode. Ses travaux ont été publiés dans de nombreux magazines de renommée internationale, tels que Vogue, Harper’s Bazaar, Vanity Fair, Elle, Glamour, etc.
2. Quel est le style de photographie de Patrick Demarchelier ?
Le style de photographie de Patrick Demarchelier est souvent décrit comme élégant, glamour, et sophistiqué. Il est connu pour sa capacité à capturer la beauté et l’élégance des mannequins, tout en créant des images intemporelles et mémorables.
3. Quelles sont les campagnes publicitaires les plus célèbres de Patrick Demarchelier ?
Patrick Demarchelier a travaillé sur de nombreuses campagnes publicitaires pour des marques de mode et de beauté célèbres, telles que Chanel, Dior, Louis Vuitton, Estée Lauder, Calvin Klein, et bien d’autres encore. Certaines de ses campagnes publicitaires les plus célèbres incluent la campagne pour le parfum J’adore de Dior, ainsi que la campagne pour la ligne de sacs Lady Dior de la même marque.
4. Quelles sont les collaborations les plus célèbres de Patrick Demarchelier avec des célébrités ?
Patrick Demarchelier a collaboré avec de nombreuses célébrités pour des projets de mode et de portrait, notamment avec Lady Diana pour la couverture de Vanity Fair en 1997, avec Madonna pour la couverture de Vogue en 2005, ou encore avec Kate Moss pour de nombreuses campagnes publicitaires.
5. Quels sont les prix et les distinctions remportés par Patrick Demarchelier ?
Patrick Demarchelier a remporté de nombreux prix et distinctions tout au long de sa carrière. En 2005, il a été nommé commandeur de l’ordre des Arts et des Lettres en France, et en 2007, il a reçu le prix de la photographie de mode de la CFDA (Council of Fashion Designers of America). En 2015, il a également été élu membre de l’Académie des beaux-arts de Paris.
6. Comment Patrick Demarchelier travaille-t-il avec les mannequins ?
Patrick Demarchelier est connu pour son approche professionnelle et amicale envers les mannequins qu’il photographie. Il est réputé pour sa capacité à créer un environnement de travail détendu et confortable pour ses modèles, leur permettant ainsi de se sentir à l’aise devant l’objectif et de donner le meilleur d’eux-mêmes.
7. Quels sont les livres de photographie publiés par Patrick Demarchelier ?</h
eric.canto@groupe-grim.com
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7. Quels sont les livres de photographie publiés par Patrick Demarchelier ?
Patrick Demarchelier a publié plusieurs livres de photographie tout au long de sa carrière. Ses livres les plus célèbres comprennent « Patrick Demarchelier : Photographs » (1992), « Fashion Photographs » (2008), et « The Art of Beauty » (2016). Ces livres présentent une sélection de ses photographies les plus emblématiques, ainsi que des images exclusives et des coulisses de ses séances photo.
8. Quelle est la contribution de Patrick Demarchelier à l’industrie de la mode ?
Patrick Demarchelier a apporté une contribution majeure à l’industrie de la mode en tant que photographe de renom et en aidant à façonner l’image de marques de mode et de beauté célèbres. Il est également connu pour avoir aidé à lancer les carrières de nombreux mannequins célèbres, tels que Gisele Bündchen, Karlie Kloss, et Christy Turlington, entre autres.
9. Quels sont les projets futurs de Patrick Demarchelier ?
Malgré ses nombreuses réalisations, Patrick Demarchelier continue de travailler dans l’industrie de la mode et de la photographie. En 2021, il a publié un livre de photographie intitulé « Tribute » en hommage à son ami et mentor Azzedine Alaïa. Il continue également de travailler sur des projets de photographie de mode et de portrait, tout en inspirant les générations futures de photographes de mode.
10. Quelle est l’influence de Patrick Demarchelier sur la photographie de mode ?
Patrick Demarchelier a une influence majeure sur la photographie de mode, en particulier en ce qui concerne la création d’images élégantes, sophistiquées et intemporelles. Sa capacité à capturer la beauté et l’élégance des mannequins tout en créant des images qui résistent à l’épreuve du temps en fait un photographe de mode emblématique. Il a également inspiré de nombreux photographes de mode avec son approche professionnelle, sa passion pour l’art de la photographie et sa capacité à créer des images qui racontent une histoire.
Rarindra Prakarsa est un photographe indonésien né en 1979 à Jakarta. Il est reconnu pour son style unique qui mélange des éléments du quotidien avec des scènes de nature et des paysages urbains.
Rarindra Prakarsa est un photographe indonésien reconnu pour son style réaliste, expressif et très émotionnel. Ses photographies nocturnes et portraits en lumière naturelle sont marquées par des couleurs vives, des contrastes dramatiques, une composition équilibrée et une utilisation audacieuse de la lumière et de l’ombre. Avec sa maîtrise technique et sa capacité à capturer des moments forts, il est devenu un photographe de renom, remportant de nombreux prix et exposant ses travaux dans le monde entier.
Rarindra Prakarsa, son histoire
Rarindra Prakarsa est né en 1979 à Jakarta, en Indonésie, et il y vit actuellement. Il a grandi à la campagne, dans le village de Banjarnegara, où il a développé une passion pour la photographie en capturant des images de la vie quotidienne de sa communauté. Depuis, il a exploré de nombreuses régions de l’Indonésie pour photographier ses paysages, ses villes et ses habitants.
Bien qu’il voyage souvent pour des projets photographiques et des expositions à l’étranger, Jakarta reste sa ville de résidence principale.
Il a découvert sa passion pour la photographie dès son adolescence, et il a commencé à pratiquer la photographie en autodidacte. Il a ensuite suivi des cours de photographie à l’université, où il a appris les techniques de base de la photographie.
Après avoir obtenu son diplôme, Rarindra Prakarsa a commencé à travailler comme photographe indépendant, en se concentrant principalement sur la photographie commerciale. C’est seulement en 2012 qu’il a décidé de se consacrer entièrement à la photographie d’art.
En effet, il a commencé sa carrière en tant que graphiste dans les journaux locaux. La convergence des deux disciplines a montré que Prakarsa a toujours eu un talent particulier pour la composition et une utilisation frappante des couleurs.
Depuis, il a remporté de nombreux prix pour son travail, notamment le prestigieux prix Sony World Photography Awards en 2015.
Les photographies de Rarindra Prakarsa sont très appréciées pour leur beauté, leur atmosphère mystérieuse et leur capacité à capturer des moments de la vie quotidienne de manière poétique et émotionnelle. Il utilise souvent des techniques de post-traitement pour créer des effets visuels uniques, qui donnent une ambiance particulière à ses photos.
Rarindra Prakarsa est également très actif sur les réseaux sociaux, partageant régulièrement son travail avec ses nombreux fans et followers. Ses photographies sont très populaires sur Instagram, où il compte plus de 500 000 abonnés.
Il capture des scènes de la vie rurale sur des photographies cinématographiques luxuriantes caractérisées par une atmosphère dense et une utilisation habile de la lumière volumétrique.
Bien que documentaires dans leur concept, les photographies de Rarindra Prakarsa sont méticuleusement mises en scène, presque comme une peinture. La combinaison de sources de lumière naturelles et artificielles permet à des situations ordinaires telles que des enfants jouant dans l’eau ou un vieil homme fumant une pipe, de voir ces événements majestueux, presque irréels à travers l’objectif.
A travers ses photographies, il est possible de voir certaines des choses qui l’inspirent et qui pourraient être considérées comme ses passions. Par exemple, ses photographies nocturnes mettent souvent en vedette des scènes de la vie urbaine animée, avec des lumières vives, des rues bondées et des gens en mouvement. Cela suggère qu’il pourrait être passionné par la ville et la vie urbaine.
De plus, de nombreuses photographies de Prakarsa montrent des gens dans leur vie quotidienne, souvent en train de travailler ou de faire des tâches ménagères. Cela suggère qu’il est intéressé par les gens et leur vie quotidienne.
Il a remporté de nombreux prix pour son travail de photographie, notamment le prix Sony World Photography Awards en 2015 dans la catégorie « Portrait », ainsi que plusieurs autres prix dans des concours de photographie locaux et internationaux. il est respecté pour ses compétences techniques et sa créativité dans la photographie de paysages, de portraits et de scènes urbaines.
Rarindra Prakarsa est connu pour son travail de photographie d’art qui capture souvent des scènes de la vie quotidienne, des paysages urbains et naturels, ainsi que des portraits. Parmi ses clichés les plus célèbres, on peut citer :
« Morning Prayer » : une photo qui capture des enfants en train de prier à l’aube, dans une mosquée de Java.
« Serenade » : une photo qui montre un groupe de musiciens traditionnels indonésiens jouant de la musique à la lumière du soir.
« Man of Dream » : une photo qui montre un homme en train de dormir sur une barque dans un paysage idyllique.
« Fireflies » : une photo qui capture des lucioles volant dans un champ de riz au crépuscule.
« Rainy Day » : une photo qui montre une rue animée de Jakarta sous la pluie.
Ces photos sont très appréciées pour leur beauté, leur poésie et leur capacité à capturer des moments de la vie quotidienne avec une grande sensibilité.
Rarindra Prakarsa a déclaré dans plusieurs interviews que ses principales sources d’inspiration sont la nature, la lumière et les émotions. Cependant, il a également cité quelques photographes qui l’ont influencé dans son travail :
Steve McCurry : Rarindra Prakarsa admire le travail de Steve McCurry pour sa capacité à capturer des moments émouvants et à raconter des histoires à travers ses photographies.
Henri Cartier-Bresson : Rarindra Prakarsa apprécie le travail de Cartier-Bresson pour sa technique de « l’instant décisif » et sa capacité à capturer des moments uniques.
James Nachtwey : Rarindra Prakarsa est inspiré par le travail de Nachtwey pour sa capacité à documenter des événements historiques et à donner une voix aux personnes qui n’en ont pas.
Michael Kenna : Rarindra Prakarsa admire le travail de Kenna pour sa maîtrise de la lumière et de l’ombre, ainsi que pour son esthétique minimaliste et poétique.
Ces photographes ont tous influencé le travail de Rarindra Prakarsa à des degrés divers, mais il a également développé son propre style distinctif qui est devenu très populaire auprès des amateurs de photographie à travers le monde.
Le style de Rarindra Prakarsa peut être décrit comme étant réaliste, expressif et très émotionnel. Il est connu pour utiliser la lumière naturelle et les couleurs vives pour créer des images saisissantes et dynamiques. Ses photographies se caractérisent souvent par une utilisation audacieuse de la lumière et de l’ombre pour créer des contrastes forts et dramatiques, ainsi que par une composition soigneusement équilibrée qui attire l’œil vers le sujet principal.
Techniquement, Rarindra Prakarsa utilise souvent une technique de post-traitement pour ajouter du contraste et de la saturation aux couleurs de ses images. Il utilise également souvent des objectifs grand angle pour capturer de vastes paysages urbains et des portraits environnementaux. En outre, il est connu pour travailler principalement en utilisant la lumière naturelle, en particulier la lumière du soleil, qui peut créer des effets de lumière et de couleur spectaculaires dans ses images.
Dans l’ensemble, le style de Rarindra Prakarsa est très distinctif et reconnaissable, et sa technique est très raffinée et maîtrisée. Sa capacité à capturer des moments forts et à créer des images émotionnelles et vivantes a contribué à sa notoriété en tant que photographe professionnel.
Rarindra Prakarsa, ses projets photographiques
Au cours de sa carrière, Rarindra Prakarsa a travaillé sur de nombreux projets photographiques, allant des portraits de la vie quotidienne dans les villages indonésiens aux paysages urbains nocturnes. Il a également réalisé des projets de photographie de mode et de publicité pour des marques et des magazines.
En 2012, il a publié un livre intitulé « Indonesia », qui présente une collection de ses photographies les plus remarquables de l’Indonésie, montrant la diversité culturelle et géographique du pays. En 2015, il a lancé un projet appelé « Invisible People », qui met en lumière la situation difficile de certains groupes de la société indonésienne, tels que les enfants des rues et les travailleurs migrants.
En plus de ses projets personnels, Rarindra Prakarsa travaille également avec des marques et des entreprises pour créer des campagnes publicitaires et des projets de photographie de mode. Parmi ses clients figurent des marques internationales telles que Canon, Nokia, Samsung, et Marie Claire.
Rarindra Prakarsa a collaboré avec de nombreuses marques et entreprises au fil des ans pour des projets de photographie de mode, de publicité et de marketing. Parmi les marques internationales avec lesquelles il a travaillé, on peut citer :
Canon
Nokia
Samsung
LG
Nike
Adidas
Marie Claire
Elle
Cosmopolitan
Il a également travaillé avec des marques et des entreprises locales indonésiennes, notamment :
Aqua
Indosat
BCA
Garuda Indonesia
Les projets de photographie pour ces marques comprennent des campagnes publicitaires, des photographies de produits, des portraits de personnalités et des projets de mode.
Rarindra Prakarsa, ses publications
Rarindra Prakarsa a publié plusieurs livres de photographie. En voici quelques exemples :
« Rarindra Prakarsa: Illuminating Journey » (2014) : Ce livre présente une sélection de photographies de Rarindra Prakarsa prises au cours de ses voyages à travers l’Indonésie. Il comprend des images de paysages naturels, de scènes de la vie quotidienne, de portraits, etc.
« Rarindra Prakarsa: Inspired by Light » (2017) : Ce livre rassemble une série de photographies de Rarindra Prakarsa prises au cours de ses voyages en Indonésie et à l’étranger. Les images sont principalement axées sur les paysages, les portraits et les scènes de la vie quotidienne.
« Rarindra Prakarsa: Luminous Journey » (2019) : Ce livre présente une sélection de photographies de Rarindra Prakarsa prises dans différents endroits d’Indonésie. Il met en avant le travail de l’artiste sur la lumière et l’utilisation de celle-ci pour créer des images dramatiques et poétiques.
Ces livres offrent aux lecteurs un aperçu de l’esthétique de Rarindra Prakarsa, de son style de photographie, ainsi que de son travail sur la lumière et l’atmosphère.
Rarindra Prakarsa, ses expositions
Rarindra Prakarsa a participé à plusieurs expositions de photographie en Indonésie et à l’étranger. Voici quelques exemples d’expositions auxquelles il a participé :
« Luminous Journey » : une exposition solo de photographies de Rarindra Prakarsa qui a eu lieu à la galerie Dia.Lo.Gue à Jakarta en 2019. L’exposition présentait une sélection d’images mettant en avant le travail de l’artiste sur la lumière et l’atmosphère.
« Asia Photo Festival » : une exposition de photographies qui a eu lieu à Pingyao en Chine en 2017. Rarindra Prakarsa a été invité à présenter son travail aux côtés d’autres photographes asiatiques renommés.
« Indonesia Through the Lens » : une exposition de photographies indonésiennes qui a eu lieu au Musée national de Singapour en 2016. Rarindra Prakarsa a été sélectionné pour présenter son travail aux côtés d’autres photographes indonésiens.
Ces expositions ont permis à Rarindra Prakarsa de présenter son travail à un public plus large et de faire connaître son esthétique poétique et atmosphérique.
Rarindra Prakarsa, son interview
Prakarsa nous a donné un aperçu de son flux de travail et nous a donné quelques conseils pour capturer ses faisceaux lumineux cinématiques bien connus lors de ses prises de vue en extérieur:
D’où vient cette obsession pour la lumière?
La lumière est venue de moi. J’aime toujours voir la lumière du matin et de l’après-midi. Je ne sais pas depuis que j’aime tellement cette belle lumière, mais je pense que c’est depuis que j’ai appris la photographie pendant mes études. Pendant mes études de graphisme, j’ai visité l’ambassade des Pays-Bas à Jakarta, à quelques pas de mon collège, et il s’est avéré qu’il y avait une exposition de peinture.
Les photos étaient si belles pour moi et très uniques en termes d’éclairage. Toutes les photos concernaient l’Indonésie (en particulier Bali), mais ont été peintes par un peintre non indonésien. A cette époque, j’ai trouvé le nom du peintre: Walter Spies. Un peintre allemand qui a vécu en Indonésie de 1930 à 1940.
Ce travail a vraiment changé ma vision de l’éclairage et de ma vision du paysage indonésien. L’autre chose qui a vraiment changé la façon dont je vois la lumière est le film Le dernier empereur de Bernardo Bertolucci. Il montre une très belle lumière, surtout la lumière intérieure.
Comment obtenez-vous cette «sensation de studio» dans votre travail?
J’utilise des appareils « ordinaires ». Rien de spécial. Un Canon 5d Mark III et un Sony A7 avec des objectifs grand angle au téléobjectif et quelques flashs et diffuseurs. Vous êtes connu pour avoir adopté Photoshop comme partie intégrante de votre flux de travail. Quand savez-vous que votre post-traitement est allé trop loin? Je dirais que Photoshop n’est pas si important pour moi.
L’éclairage est beaucoup plus important. De nombreuses personnes (généralement des étudiants / participants) pensent que Photoshop est essentiel pour créer un tel sentiment.
Mais ils sont toujours surpris quand ils regardent mes fichiers bruts ou regardent l’écran LCD de mon appareil photo. Je ne nierai pas que Photoshop est important pour corriger, dramatiser et changer les couleurs / tons. Malheureusement, Photoshop ne peut pas changer la direction de la lumière.
Comment vous placez-vous par rapport au soleil?
La clé est de vous placer en diagonale, peut-être à 45 degrés, que ce soit derrière ou devant le soleil. Cela crée vraiment plus de dimension à soumettre. La prochaine chose à prendre en compte est la qualité et la quantité de lumière solaire avec laquelle nous souhaitons toucher le sujet. Pouvez-vous nous donner quelques conseils pour créer de telles atmosphères? Utilisez-vous des machines à brume ou quelque chose du genre?
La lumière du matin et de l’après-midi est toujours utile pour créer des images plus spectaculaires et spectaculaires. Surtout quelques minutes après le lever et le coucher du soleil. Ayez toujours vos lumières artificielles à portée de main, que vous les utilisiez ou non. Dans les deux cas, 70% de mes photos utilisent de la lumière artificielle. Une machine à fumée (machine à fumée) ou toute fumée / poussière de la nature peut mieux accentuer votre motif. Vous perdez quelques détails en arrière-plan, mais cela crée un « aspect magique » dans vos photos.
Qu’est-ce qu’un étudiant peut attendre de vos ateliers? Avez-vous pensé à les développer pour les cours en ligne?
Je m’attends à ce que mes élèves comprennent mieux comment la photographie fait partie de l’art. Telle est la mentalité de base. Vous devez donc enrichir votre sens artistique. Cette idée est tout. Ce que j’enseigne habituellement (et ce qu’ils veulent) ne concerne que deux choses: l’éclairage et le post-traitement.
Certains sujets supplémentaires sont la composition et la pose. Je pensais à un cours en ligne. Cependant, je comprends que les gens dépensent plus d’argent pour des cours hors ligne, donc c’est difficile. J’ai récemment commencé à prendre des cours privés sur Skype.
Ce que j’ai vu, c’est que la plupart des gens veulent combiner études photo et voyages. Ils apprennent et expérimentent en même temps. Pour cette raison, de nombreux étudiants viennent apprendre et demander des excursions et des ateliers.
Quelles sont les astuces rapides que n’importe qui peut appliquer, quel que soit l’appareil photo utilisé, pour améliorer la photo de son profil sur les réseaux sociaux?
Une petite LED, des flashs rapides ou un petit réflecteur peuvent vraiment rendre les images très différentes. Vous pouvez trouver des informations sur les ateliers et les cours Skype de Rarindra Prakarsa sur son site Web ou lui envoyer une question sur sa page Facebook et sur Instagram .
Henri Cartier Bresson est né en 1908. Il prend ses premières photos en 1930 en Côte d’Ivoire, puis en Espagne, en Italie, au Mexique et au Maroc. En 1947, il fonde l’agence Magnum avec Robert Capa, entre autres. Il est décédé à l’âge de 96 ans en 2004. Henri Cartier Bresson est un photographe de légende.
« La photo, c’est la concentration du regard. C’est l’œil qui tourne inlassablement, toujours prêt, à l’affût . La photo est un dessin immédiat. Elle est question et réponse. »
Henri Cartier Bresson photos célèbres.
Henri Cartier-Bresson est un photographe et cinéaste français connu pour être le pionnier de la photographie de rue. Ses images en noir et blanc sont parmi les plus emblématiques du monde de la photographie, dont certaines présentent de grands moments politiques du XXe siècle. Henri Cartier Bresson , surnommé l’Œil du siècle, a un œil artistique exceptionnel. Il photographie de manière réaliste des scènes de rue et des scènes de la vie quotidienne. Son cadrage est toujours impeccable, de sorte qu’il n’a plus à recadrer ses photos par la suite.
Il invente le terme «instantané» ou «moment décisif», titre de son livre publié en 1952. « Moment décisif » décrit ce moment précis ou le photographe décide de prendre une photo. « Prendre une photo c’est reconnaître en une fraction de seconde à la fois le fait lui-même et la capacité d’organiser les formes visuellement perçues qui lui donnent un sens », explique-t-il. Né le 22 août 1908 à Chanteloup en Seine-et-Marne, Henri Cartier Bresson étudiera la peinture avec André Lhote avant de devenir photojournaliste dans les années 1930.
Ces photos sont présentées dans tous les cours d’introduction à la photographie pour inspirer leur fonctionnement. Peut-être que ce nom ne vous dit rien pour le moment, mais vous reconnaîtrez probablement certaines de ces photos.
Henri Cartier Bresson photos célèbres
« Sans émotion, s’il n’y a pas de choc, si vous ne répondez pas à cette sensibilité, vous ne devriez pas prendre de photo. C’est l’image qui nous fait. C’est ainsi qu’Henri Cartier Bresson perçoit la photographie. Toute son existence a été façonnée par la recherche de la photo parfaite au bon endroit au bon moment.
Inspiré du mouvement surréaliste, le Chanteloup-en-Brie, né à Paris, a pris le cubisme d’André Lhote et le réalisme dialectique de Jean Renoir pour façonner la jambe de son photographe. Leica de Cartier-Bresson a capturé des moments clés de l’histoire du XXe siècle, de la libération de Paris en 1944 à la crise de Cuba pendant la guerre froide, y compris la mort de Gandhi. L’homme est toujours célèbre pour son travail de photojournaliste, notamment sous la bannière de Magnum Photos, une coopérative photographique qu’il a cofondée, même si son travail personnel a certainement façonné sa légende.
Une époque proche du Parti communiste français dans les années 1930, sans en faire partie, HCB a défendu des questions qui lui tiennent à cœur, comme la situation au Tibet. Voici les dix étapes importantes de la vie d’un homme qui a été témoin de son temps.
Henri Cartier Bresson photos célèbres
Henri Cartier Bresson: 22 août 1908.
Henri Cartier Bresson est né à Chanteloup-en-Brie, petite ville à une quarantaine de kilomètres à l’est de Paris. Ce fils qui est attiré par l’art, en particulier la photographie, le dessin,refuse catégoriquement de se charger des affaires paternelles. HCB s’est d’abord tourné vers la peinture et aiguisé son œil créatif sur les ordres du peintre cubiste André Lhote, qui était également graveur, sculpteur ou même théoricien de l’art.
Henri Cartier Bresson : 1930.
Après diverses rencontres qui le caractérisent comme André Lhote et lui font découvrir la photographie (Max Ernst, André Breton, Gretchen et Peter Powell),Henri Cartier Bresson se rend en Côte d’Ivoire, au Cameroun, au Togo, découvrir le Soudan. Le jeune de 22 ans aime voyager. Au cours de ce voyage, il a produit son premier reportage, Impressions d’Afrique.
Henri Cartier Bresson: 1933.
Entre deux voyages, Henri Cartier Bresson visite l’Association des écrivains et artistes révolutionnaires présidée par Louis Aragon. Cette association proche du parti communiste rassemble des artistes et des penseurs séduits par le courant marxiste. Il se liera d’amitié avec Robert Capa et David Seymour, deux photographes avec lesquels il a fondé Magnum Photos. Il a travaillé pour le journal Ce Soir, fondé par le PCF en 1937 et dirigé par Aragon.
Henri Cartier Bresson photos célèbres
Henri Cartier Bresson: 1937.
Henri Cartier Bresson épouse Ratna Mohini, une danseuse indonésienne qui lui fait découvrir l’Asie et la danse. Ces deux points inspireront son travail sur le mouvement du corps dans l’espace. Il est allé de 1937 à 1940 pour toucher le cinéma alors qu’il était élève de Jean Renoir, le deuxième fils du peintre Auguste Renoir.
Henri Cartier Bresson: 1947.
Après la Seconde Guerre mondiale, quand il a été capturé par l’armée allemande – son militantisme envers le PCF lui a certainement servi – Henri Cartier Bresson était cofondateur de Magnum Photos. L’objectif est de couvrir des événements importants à travers le monde avec le désir d’une totale liberté d’expression. Le Français entre dans le photojournalisme. Son premier rapport au nom de cette coopérative l’a amené à rencontrer Gandhi. Toujours au bon endroit au bon moment, HCB reçoit la dernière interview du père de la nation indienne avant sa mort, qu’il soignera.
Henri Cartier Bresson photos célèbres
Henri Cartier Bresson: 1948.
Henri Cartier Bresson décide de se rendre en Chine pour onze mois. La situation tendue entre les forces de Mao Zedong et du général Chiang Kai-shek offrira une fois de plus au photographe un moment de l’histoire. Le communiste chinois est repris de Pékin à Nanjing au sud de la capitale. Quelques années plus tard, en 1955, Henri Cartier-Bresson a vécu les bouleversements de la mort de Staline au cœur du bloc soviétique. Ces reportages photo assureront sa renommée dans le monde du journalisme.
Henri Cartier Bresson: 1969.
Après divers voyages – notamment à Cuba lors de l’avènement de Fidel Castro – Henri Cartier Bresson enregistre les manifestations de mai 1968 avec son film. Il traverse ensuite la France et publie Vive la France, l’une de ses célèbres œuvres photographiques humaines et mécaniques, pour n’en citer qu’une. Il y a la fameuse Fotorue de Vaugirard à Paris pendant le mois de soulèvement étudiant « Profitez sans obstacle ».
Henri Cartier Bresson: 1972.
Henri Cartier Bresson est marié une deuxième fois à Martine Franck et père d’une petite Mélanie. Il freine et quitte Magnum Photos. Il préfère désormais sa vie de famille et se démarque de la nouvelle vague de photojournalistes de la coopérative. Puis il devient professeur. Il est décédé dans les Alpes-de-Haute-Provence en 2004 et a laissé un bel héritage dans la photographie et le journalisme.
Henri Cartier Bresson: 1974
En 1974, Bresson se détache de l’agence Magnum Photos et renonce à sa qualité d’associé, mais laisse l’agence la gestion de ses archives. Il se consacre alors au dessin.
Henri Cartier Bresson meurt en 2004 à Montjustin en Provence.
Henri Cartier Bresson photos célèbres
Henri Cartier Bresson photos célèbres
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Henri Cartier Bresson photos célèbres
Henri Cartier Bresson photos célèbres
Henri Cartier Bresson photos célèbres
Eric CANTO Photographe : Photos de concertS, portraits, pochettes d’albumS.
Bonus : 10 choses que nous apprend Henri Cartier-Bresson
1. L’art de la géométrie
Si vous regardez le travail d’Henri Cartier-Bresson, il a appliqué la géométrie à ses images de manière poétique. Si vous regardez la composition de ses images, il a intégré à son avantage les lignes verticales, horizontales et diagonales, les courbes, les ombres, les triangles, les cercles et les carrés. Il a également accordé une attention particulière aux cadres.
Ne voyez pas seulement le monde tel qu’il est, recherchez les formes et la géométrie qui se produisent également naturellement. Ouvrez votre esprit et divisez votre environnement en différents éléments formels. Recherchez les lignes qui peuvent conduire à vos sujets ou les carrés qui peuvent encadrer votre image. Devenez poétique avec vos images et intégrez des acteurs et des scènes intéressants lorsque vous sortez en tournage.
2. Le Voyage
Henri Cartier-Bresson a parcouru le monde et tourné dans des endroits comme l’Inde, toute l’Europe, les États-Unis, la Chine et l’Afrique. Quand il a voyagé à travers le monde, il a pu capturer une tranche de vie différente et en apprendre davantage sur la population locale avec laquelle il était. Par exemple, quand il tournait en Inde, il y est resté environ un an et s’est plongé dans la culture.
3. La patience du photographe
Quand Henri Cartier-Bresson parlait de «Le moment décisif», il a dit que parfois ce serait spontané, mais parfois il fallait être patient et l’attendre. Quoi qu’il en soit, il était très méthodologique lorsqu’il sortait et photographiait, et ne conservait ses images que si chaque élément de son image (les gens, le fond, le cadrage et la composition) était parfait.
Lorsque vous prenez des photos et que vous voyez des scènes fascinantes, attendez que la bonne personne passe pour terminer votre image. Bien que vous ne vouliez pas camper pendant des heures pour attendre le bon moment, faites preuve de patience. Vous n’avez pas toujours besoin de sortir et de rechercher des opportunités de photos. Laissez-les venir à vous.
Bien qu’il soit bon de prendre des photos de rue dans votre jardin, il est bon de voyager aussi souvent que possible. Explorez différents pays et cultures, et cela vous aidera à inspirer votre photographie et à ouvrir les yeux.
4. L’objectif 50mm
Bien qu’Henri Cartier-Bresson photographiait avec plusieurs objectifs différents alors qu’il travaillait pour Magnum, il ne shootait qu’avec un 50 mm s’il shootait pour lui-même. En étant fidèle à cet objectif pendant des décennies, l’appareil photo est devenu véritablement «une extension de son œil».
Appliquez la même mentalité lorsque vous sortez et tirez. Utilisez différentes longueurs focales pour voir le monde différemment et à expérimenter, mais en fin de compte, rester avec une seule distance focale vous aidera à consolider votre vision artistique. Vous pourrez voir des lignes de cadrage naturelles dans votre vie quotidienne et savoir exactement comment vos photos apparaîtront lors de la prise de vue sous certains angles et distances.
5. Les photos d’enfants
L’une de mes photos préférées d’Henri Cartier-Bresson est ce petit garçon portant deux bouteilles de vin sous les bras, avec le sourire triomphant d’un champion. Quand j’ai vu l’image pour la première fois, elle m’a frappé au cœur, car elle me rappelait ma propre enfance. Henri Cartier-Bresson était un maître dans la prise de photos d’enfants dans leur état ludique naturel, créant des images qui transmettent une belle nostalgie à ses téléspectateurs.
De nos jours, il est incroyablement difficile de photographier des enfants. Cependant, les enfants sont d’excellents sujets à photographier en matière de photographie de rue. D’après mon expérience, j’ai remarqué que cela ne les dérange pas d’être devant la caméra et l’ignore souvent. Par conséquent, vous pouvez capturer leur véritable essence: ludique, curieuse et souvent espiègle.
6. Ne recadrez pas
Henri Cartier-Bresson était farouchement opposé au recadrage. Il pensait que chaque fois que vous preniez une photo, cela devait toujours être fait à huis clos. Si son cadrage ou sa composition était un peu décalé, il ignorerait l’image.
Cependant, à titre de mise en garde, l’une de ses photos les plus célèbres (l’homme sautant) a été recadrée, car Henri Cartier-Bresson a dit qu’il devait le photographier en regardant à travers une clôture.
Bien que ma philosophie personnelle soit un peu plus laxiste sur le recadrage, je pense toujours qu’il est préférable que vous puissiez réaliser votre photographie de rue sans recadrage. Si vous recadrez trop souvent, vous devenez paresseux avec votre cadrage lorsque vous photographiez, ce qui nuira à votre vision photographique.
7. La discrétion
Lorsque Henri Cartier-Bresson photographiait dans les rues, il restait aussi discret et discret que possible. J’ai même lu qu’il couvrirait son Leica chromé avec du ruban noir et même parfois avec un mouchoir pour le rendre moins visible quand il photographiait. La plupart des images qu’il a capturées sur ses sujets étaient inconscientes de la caméra, et donc vraiment sincères.
Si vous souhaitez photographier de la même manière, portez des vêtements qui se fondent dans votre environnement et travaillent rapidement et ne s’attardent pas. Si vous voyez des vidéos de tournage d’Henri Cartier-Bresson, vous pouvez voir qu’il a la dextérité d’un félin et qu’il est assez agile et rapide. Si vous voyez une scène que vous souhaitez capturer, portez rapidement votre appareil photo à votre œil et avancez avant que quiconque ne vous remarque.
8. Voir le monde comme un peintre
Avant qu’Henri Cartier Bresson se lance dans la photographie, il s’intéresse d’abord à la peinture. Une fois que HCB a découvert la photographie, il a appliqué la même esthétique de la peinture classique à ses images. Pour HCB, la composition était essentielle, et ses images reflètent celle des peintres romantiques avant lui. Assez intéressant quand il était beaucoup plus âgé, il a en fait dénoncé la photographie et concentré le reste de sa vie sur le dessin.
Afin de devenir un meilleur photographe de rue, étudiez le travail des peintres. Découvrez comment ils utilisent le cadrage, la composition, les personnes et les scènes. Un peintre que je trouve absolument fascinant est Edward Hopper, qui était essentiellement un photographe de rue armé d’un pinceau. Ne vous contentez pas de limiter votre inspiration dans les livres de photographie, explorez également d’autres formes d’art classique, moderne, surréaliste et abstrait.
9. Ne vous inquiétez pas du traitement
Bien qu’ Henri Cartier Bresson ait su traiter et développer son propre film, il ne l’a jamais fait seul. Il sortait, photographiait et envoyait ses photos à des personnes en qui il avait confiance, qui les développeraient pour lui. Cela lui a donné un énorme avantage, car cela lui permettrait de passer moins de temps dans la chambre noire et plus de temps à photographier.
À l’ère moderne et numérique, les photographes sont trop préoccupés par le post-traitement. Si vous prenez une mauvaise photo, aucune quantité de « photoshopping » ne peut l’améliorer.
10. Toujours chercher plus
Henri Cartier Bresson n’a jamais eu beaucoup d’attachement émotionnel à ses images. Dans un documentaire, les intervieweurs ont essayé de le surprendre en imprimant et en lui montrant tout son travail classique et antérieur sur les murs de la galerie où ils l’interviewaient. Cependant, HCB les a regardés avec peu d’intérêt et leur a dit qu’une fois qu’il aurait pris une photo, il irait simplement de l’avant et chercherait la photo suivante.
Il n’y a pas de magie dans l’image. La photo est magique. Dans sa capacité à capturer un instantané et à nous la servir. La caméra est une boîte magique qui génère une certaine fascination. Mais la photographie est technique. Il demande des compétences d’apprentissage. Le génie créatif et l’intuition ne fonctionnent qu’avec un grand travail.
Si vous avez un grand portefeuille d’images, essayez d’obtenir des images encore meilleures. Ne devenez pas satisfait et complaisant. Cherchez toujours la grandeur.
Eric CANTO Photographe : Photos de concerts, portraits, pochettes d’albums.
Henri Cartier-Bresson (1908-2004) était un photographe français considéré comme l’un des pionniers de la photographie moderne. Il était également connu pour sa contribution au développement du photojournalisme, un genre qui utilise la photographie pour raconter des histoires d’actualité.
2. Qu’est-ce que l’instant décisif ?
L’instant décisif est une notion clé dans la photographie d’Henri Cartier-Bresson. Il s’agit du moment précis où le photographe doit appuyer sur le déclencheur pour capturer une image qui raconte une histoire ou exprime une émotion. Selon Cartier-Bresson, c’est ce moment qui rend une photographie unique et précieuse.
3. Quel est le style photographique d’Henri Cartier-Bresson ?
Le style photographique d’Henri Cartier-Bresson était basé sur l’utilisation d’une caméra Leica 35mm, qui lui permettait de capturer des images spontanées et non posées. Ses photographies étaient souvent en noir et blanc et se caractérisaient par une composition précise et équilibrée.
4. Quels sont les sujets photographiques préférés d’Henri Cartier-Bresson ?
Henri Cartier-Bresson était connu pour sa capacité à capturer des moments de la vie quotidienne, notamment dans les rues des grandes villes comme Paris, New York et Bombay. Il a également photographié des personnalités célèbres comme Pablo Picasso, Marilyn Monroe et Mahatma Gandhi.
5. Quelle est l’influence d’Henri Cartier-Bresson sur la photographie moderne ?
Henri Cartier-Bresson est considéré comme l’un des photographes les plus influents de tous les temps. Son style photographique spontané et non posé a influencé de nombreux autres photographes, ainsi que les mouvements artistiques tels que le surréalisme et le nouveau réalisme.
6. Quels sont les livres les plus célèbres d’Henri Cartier-Bresson ?
Parmi les livres les plus célèbres d’Henri Cartier-Bresson figurent « Images à la sauvette » (1952), « Les Européens » (1955) et « D’une Chine à l’autre » (1956). Ces livres ont contribué à établir sa réputation de photographe de renom.
7. Quelles sont les expositions les plus célèbres d’Henri Cartier-Bresson ?
Henri Cartier-Bresson a eu de nombreuses expositions à travers le monde tout au long de sa carrière. L’une des plus célèbres est l’exposition rétrospective organisée par le Museum of Modern Art de New York en 1947, qui a permis de faire découvrir son travail au public américain.
8. Comment Henri Cartier-Bresson a-t-il contribué au photojournalisme ?
Henri Cartier-Bresson a contribué au développement du photojournal
eric.canto@groupe-grim.com
continue
isme en créant, avec Robert Capa et d’autres photographes, l’agence Magnum Photos en 1947. Cette agence était destinée à permettre aux photographes de garder le contrôle sur leur travail et de garantir leur indépendance vis-à-vis des magazines et journaux qui achetaient leurs images. Magnum Photos est devenue l’une des agences de photographie les plus respectées au monde, représentant des photographes de renom tels que Elliott Erwitt, Susan Meiselas et Martin Parr.
9. Quels sont les prix et distinctions reçus par Henri Cartier-Bresson ?
Henri Cartier-Bresson a reçu de nombreuses distinctions tout au long de sa carrière, notamment le prix de la Fondation Hasselblad en 1982 et le prix international de la Fondation de la culture japonaise en 1987. En 1981, il a été nommé commandeur de la Légion d’honneur, la plus haute distinction française.
10. Quel est l’héritage d’Henri Cartier-Bresson dans le monde de la photographie ?
L’héritage d’Henri Cartier-Bresson est immense et continue d’inspirer de nombreux photographes à travers le monde. Son style photographique a influencé des générations de photographes, tandis que son engagement en faveur du photojournalisme a permis de montrer au monde entier les réalités souvent difficiles et complexes de notre monde. En tant que co-fondateur de Magnum Photos, il a également contribué à promouvoir la liberté et l’indépendance des photographes, garantissant ainsi que leur travail pourrait être vu et apprécié pour les générations à venir.
Slipknot : Découverte du groupe emblématique de nu-metal
Dans le monde du nu-metal, nombreux sont les groupes qui ont su se démarquer et s’imposer au fil des années. Slipknot est sans conteste l’un d’entre eux, ayant réussi à créer un univers musical et visuel aussi unique que marquant.
Histoire et formation de Slipknot
Formé en 1995 aux États-Unis, plus précisément dans la ville de Des Moines en Iowa, ce groupe comprend initialement quatre membres avant d’évoluer et de compter jusqu’à neuf musiciens. Aujourd’hui composé de huit artistes talentueux sur scène, Slipknot doit son nom à un morceau du groupe NOFX et non pas à l’étonnante parure portée lors de ses concerts.
Des débuts marqués par la recherche d’un style propre
Au début de sa carrière, cette formation a connu des hauts et des bas, mais a toujours gardé une volonté farouche de créer quelque chose de novateur, différents et personnel. En effet, alors qu’ils peinent à trouver leur direction musicale, deux nouveaux membres rejoignent Slipknot, offrant ainsi au groupe davantage de possibilités aussi bien musicales que visuelles.
C’est alors que commence la conceptualisation de leur premier album éponyme sorti en 1999. Produit par Ross Robinson, celui-ci puise dans divers courants tels que le metal extreme, le punk et même un peu de rap pour donner naissance à un opus aux sonorités brutes et énergiques.
Un succès populaire croissant
Dès lors, la notoriété de Slipknot augmente rapidement. Le public est conquis par l’énergie dégagée sur scène, les masques inquiétants et l’univers sombre développé autour du groupe. Après le passage de deux membres supplémentaires, Slipknot connaît un succès international, grâce notamment au single « Wait and Bleed » présent sur leur premier album. C’est ainsi que commence une longue série de tournées à travers le monde et de collaborations avec des groupes renommés, comme Korn, Rammstein ou Marilyn Manson.
Principaux albums et chansons marquantes
Iowa (2001) : Second opus du groupe, cet album confirme le succès rencontré par Slipknot et affiche des ventes impressionnantes. On y retrouve des morceaux tels que « Disasterpiece », « People = Shit » ou encore « My Plague », qui témoignent d’une maîtrise grandissante du style propre de Slipknot.
Vol. 3 : The Subliminal Verses (2004) : Troisième production de Slipknot, cet album est le résultat d’un travail approfondi sur les ambiances et les mélodies. Les titres tels que « Duality » et « Vermilion » en sont des exemples frappants.
All Hope Is Gone (2008) : Plus engagé sur le plan politique et social, ce disque aborde des thèmes tels que la guerre et la manipulation. Les morceaux « Psychosocial » et « Snuff » en sont les principales illustrations.
.5 : The Gray Chapter (2014) : Album hommage au bassiste Paul Gray décédé en 2010, cet opus se veut plus introspectif que les précédents, avec des chansons comme « The Devil in I » ou « Killpop ».
We Are Not Your Kind (2019) : Cinquième production studio du groupe, cet album a été acclamé par le public notamment grâce aux titres « Unsainted », qui possède un clip vidéo spectaculaire, et « Nero Forte ».
Prestation scénique et univers de Slipknot
Slipknot se démarque clairement de ses pairs dans le domaine du nu-metal grâce à son univers visuel unique et effrayant.
Le concept des masques caractéristiques à chaque membre
Cette idée est apparue lors de la création de leur premier album, afin de renforcer l’ambiance sombre qu’ils souhaitaient diffuser à travers leur musique. Chaque musicien porte un masque qui lui est propre, régulièrement modifiés au fil des années. En concert, ces masques contribuent pour beaucoup à l’énergie déployée sur scène, captivant ainsi le public.
Prestations scéniques explosives
Lors de concerts ou festivals, on peut admirer un show digne de ce nom. Chaque membre joue son rôle à la perfection, y compris les percussionnistes et le batteur, qui utilisent des instruments aux formes spécifiques pour mieux répondre à leurs besoins musicaux.
De plus, Slipknot se focalise sur l’esthétique scénique, ajoutant pyrotechnie et autres effets visuels lors de ses prestations. Ce côté explosif combiné à leur musique puissante contribue à faire de chaque concert une expérience incomparable pour toute personne présente.
Un groupe en constant renouvellement
Au fil du temps plusieurs membres ont quitté ou ont été intégrés au sein du groupe; néanmoins, les musiciens actuels de Slipknot poursuivent avec ardeur l’aventure musicale démarrée il y a plus de 25 ans. Que réserve l’avenir pour cette formation emblématique ? Une chose est sûre : fans et amateurs de nu-metal garderont un oeil attentif sur leurs prochains projets.
Quel est le style musical de Slipknot ?
Le style musical de Slipknot est une combinaison unique de métal extrême, de nu metal, et de rock alternatif. Leur musique a des influences de death métal, thrash métal, hardcore punk et métal industriel.
Les membres du groupe se servent de leurs instruments pour créer des riffs de guitare lourds et des lignes de basse agressives, tout en utilisant des claviers et des samples pour ajouter des textures supplémentaires. Les chansons de Slipknot se caractérisent par leurs paroles agressives et leurs rythmes saccadés.
Quelle est l’influence de Slipknot sur le métal extrême ?
Slipknot a eu une influence considérable sur le métal extrême. Le groupe a révolutionné le genre avec son influence sur le son, les riffs, les paroles et la présentation scénique, introduisant une nouvelle forme de métal extrême qui aété adoptée par de nombreux groupes à travers le monde.
Le groupe a contribué à populariser le nu–métal, qui aété caractérisé par des riffs lourds, des paroles agressives et une image provocante. De plus, Slipknot aété le premier groupe à introduire le masque sur scène, ce qui a contribué à créer une atmosphère mystérieuse et puissante.
Combien de Grammy Awards a remporté Slipknot ?
Slipknot a remporté deux Grammy Awards depuis leur formation en 1995. En 2006, ils ont remporté le Grammy pour la meilleure performance métal avec « Before I Forget », et en 2019, ils ont remporté le Grammy pour la meilleure performance métal avec « All Out Life ».
Discographie complète de Slipknot
Albums studio :
Slipknot (1999)
Iowa (2001)
Vol. 3: (The Subliminal Verses) (2004)
All Hope Is Gone (2008)
.5: The Gray Chapter (2014)
We Are Not Your Kind (2019)
Albums live :
9.0: Live (2005)
Day of the Gusano: Live in Mexico (2017)
Compilations :
Antennas to Hell (2012)
Slipknot: Collector’s Edition Slipcase (2013)
Singles :
« Wait and Bleed » (1999)
« Spit It Out » (2000)
« Left Behind » (2001)
« My Plague » (2002)
« Duality » (2004)
« Vermilion » (2004)
« Before I Forget » (2005)
« The Nameless » (2006)
« The Blister Exists » (2006)
« Psychosocial » (2008)
« Dead Memories » (2008)
« Snuff » (2009)
« The Negative One » (2014)
« The Devil In I » (2014)
« Killpop » (2015)
« All Out Life » (2018)
« Unsainted » (2019)
« Solway Firth » (2019)
DVDs :
Welcome to Our Neighborhood (1999)
Disasterpieces (2002)
Voliminal: Inside the Nine (2006)
(sic)nesses (2010)
Day of the Gusano: Live in Mexico (2017)
Slipknot a également sorti plusieurs clips vidéo pour leurs chansons, ainsi que des éditions spéciales et des rééditions de leurs albums. La liste ci-dessus reflète leur discographie principale et la plus reconnue.
Slipknot : The End, So Far
The End, So Far , à l’origine The End, for Now… , est le septième album studio du groupe de heavy metal américain Slipknot .
Ce sera aussi leur dernier album avec Roadrunner. Il était initialement prévu pour une date de sortie printemps/été 2022, mais a finalement été publié le 30 septembre 2022.Slipknot a également apparemment confirmé que cela serait leur dernier album.
Slipknot The End So Far : la génèse
En mars 2021, Corey Taylor a déclaré que l’album pourrait être un album concept.
En juin 2021, la page Diluted Maggot Tumblr a republié huit photos de Slipknot dans le studio enregistrant l’album, à l’origine pour les membres OT9. L’une de ces photos comprend le nom du morceau, » Heirloom « .
En juillet 2021, le guitariste Jim Root a publié une vidéo sur sa story Instagram intitulée « k, bye ». Les fans ont émis l’hypothèse que cela signifiait que Jim avait fini d’enregistrer ses parties pour l’album.
Le 26 août 2021, alors qu’il parlait à un fan dans le cadre de Galaxy Con, Corey a expliqué que l’obtention de Covid-19 avait interrompu ses dernières sessions vocales pour l’album.
Le 22 octobre 2021, Slipknot a révélé qu’il devait diffuser en direct Knotfest Los Angeles dans le monde le 5 novembre.
En plus du composant de diffusion en direct, Knotfest a publié des packs de produits dérivés en édition spéciale spécifiques à l’événement de Los Angeles, dont l’un comprend un sweat à capuche avec « Secret Artwork » qui a été révélé le 5 novembre.
Slipknot The End, So Far 2022
Le 2 novembre 2021, Slipknot a publié un nouveau site Web, thechapeltownrag.com, que les fans ont découvert en trouvant des graphiques et des liens sur Knotfest.com .
Le site Web, à l’époque, comprenait 6 graphiques de type NFT, dont chacun comprenait un bref échantillon de nouvelle musique. Et avec chaque graphique inclus un fragment, qui, une fois combiné, a fait le « Secret Artwork » précédemment taquiné sur le site Web de Knotfest Veeps.
Le lendemain, le 3 novembre, 3 autres graphiques ont été publiés. Le titre officiel de la chanson, « The Chapeltown Rag », a été révélé en utilisant le site Web Identify Songs Online .
Le lendemain, le 4 novembre, Slipknot a officiellement annoncé la chanson, qui est sortie et jouée en direct pour la première fois au Knotfest Los Angeles le vendredi 5 novembre.
Le 15 décembre 2021, Jim a publié une vidéo sur son histoire Instagram détaillant comment Slipknot était toujours en studio pour enregistrer l’album. Le 19 décembre, Jay Weinberg a fait de même.
Au cours de quelques mois, Corey Taylor a révélé plus d’informations sur The End, So Far . Le 16 décembre, lors d’une interview avec HardDrive Radio, a déclaré que l’objectif était de le mixer en janvier, afin qu’il soit prêt à sortir, deux ou trois mois plus tard, en mars ou en avril.
Il a également déclaré que Clown travaillait actuellement sur la pochette de l’album et sur les vidéoclips de « The Chapeltown Rag » et « quel que soit le premier single « . Le 11 janvier, il a tweeté confirmant que l’album sortirait en 2022.
Le 15 janvier, lors d’une interview avec Tony Toscano, a déclaré qu’il venait de terminer le chant de l’album et qu’il espérait sortir l’album d’ici l’été, ou dans les deux ou trois prochains mois.
Le 2 février, Corey a confirmé que l’album était fini avec l’enregistrement et devait seulement être mixé. Il a réitéré en disant que l’album sortira dans les trois prochains mois, tout en confirmant que la pochette et le titre de l’album avaient été réalisés.
Et le 3 février, a déclaré que l’album est « une version plus lourde du Vol. 3 . »
Le 23 mars, lors d’une interview avec Loudwire, Sid Wilson a révélé qu’il utilisait « des échantillons de différentes lunes autour de différentes planètes » et qu’il travaillait sur le disque pendant que le groupe était en tournée.
Le 28 mars, lors d’une interview avec WZOR, Jay Weinberg a révélé que l’album contiendrait « la chanson de blues la plus lourde du monde ».
Les 5, 6, 18 mai et les 9 et 25 juin, alors qu’il se trouvait sur le serveur officiel Knotverse Discord, Clown a organisé une séance de questions-réponses et a répondu à quelques questions sur le prochain album.
Le 1er juin, alors qu’il se produisait en direct au Heritage Bank Center de Cincinnati, OH, États-Unis, Taylor a réitéré en disant que l’album, bien qu’il n’ait pas de date de sortie officielle, sortirait « très bientôt ».
Le 6 juin, alors qu’il était sur le compte officiel de Knotfest Twitch , Weinberg a parlé du prochain album, déclarant que l’album est entièrement terminé, sauf que le groupe attend une date de sortie, mais qu’il arrive « très, très bientôt ».
Une nouvelle chanson sortira, espérons-le, « dans le mois prochain environ ». Et le groupe « a augmenté l’expérimentation » sur le disque.
Le 19 juillet, le groupe a officiellement annoncé l’album, The End, So Far , dont la date de sortie est le 30 septembre et a également sorti un clip pour le deuxième single, » The Dying Song (Time to Sing) « .
Slipknot The End, So Far : les Fuites
Dans les jours qui ont précédé l’annonce officielle de l’album, diverses informations ont été divulguées sur les réseaux sociaux, en particulier la page reddit non officielle du groupe.
À partir du 14 juillet, l’utilisateur de Reddit @oooahh85 a publié une conversation qu’il a eue avec un ami détaillant comment Slipknot avait enregistré deux vidéoclips.
L’utilisateur a également déclaré, dans un commentaire laissé sur le message, que l’un des vidéo clips devait, à l’époque, sortir le samedi 16 juillet, tandis que l’autre devait sortir début août.
Slipknot The End, So Far 2022
Plus tard dans la journée, l’utilisateur a publié l’une des photos qu’il a reçues de son ami du vidéoclip.
Le 16 juillet, l’utilisateur de Reddit a commencé à taquiner le single à venir, en publiant un message crypté avec des mots aléatoires, qu’en combinant uniquement les premières lettres que vous avez reçues » Dying » & » Yen « , qui devaient plus tard être révélées à être les deux chansons pour lesquelles Slipknot a enregistré des vidéoclips.
Plus tard dans la journée, l’utilisateur a posté l’autre photo prise par son ami à partir du clip vidéo avec la légende « Ḏëšœḻâṯę Ÿęãṟŋíṉg Įŋṯèṟfėṟèḏ Ṉêṯhėṟ Gøṉë. » Et le 17 juillet, l’utilisateur a posté un fil de discussion récapitulant/clarifiant les informations.
Le 18 juillet, des informations sur le deuxième single de l’album, « The Dying Song », qui présentait la pochette officielle de l’album avec le titre original de The End, for Now… , ont été divulguées sur Reddit.
L’utilisateur de Reddit @badboystwo , qui avait précédemment divulgué que l’album serait pressé sur du vinyle transparent et a déclaré que le deuxième single était en fait le titre « Dying Song » et non « Dying », a révélé quelques informations à propos de l’album dans les commentaires de l’article.
En disant que la date de sortie estimée de l’album était la « première semaine de septembre », l’album aurait 12 titres et la dernière chanson de l’album s’appellerait «
Slipknot The End, So Far 2022
Track Listing: Slipknot The End, So Far
1. « Adderall » 5:40
2. « The Dying Song (Time to Sing) » 3:24
3. « The Chapeltown Rag » Corey Taylor • Jim Root 4:52
4. « Yen » 4:45
5. « Hivemind »
6. « Warranty »
7. « Medicine for the Dead »
8. « Acidic »
9. « Heirloom »
10. « H377 »
11. « De Sade »
12. « Finale »
Slipknot The End, So Far 2022
Musicien Slipknot The End, So Far
(#8) Corey Taylor – chant
(#7) Mick Thomson – guitares
(#6) Shawn Crahan – percussions, direction artistique, photographie
(#5) Craig Jones – échantillons, médias, claviers
(#4) Jim Root – guitares
(#0) Sid Wilson – platines, claviers
(V) Alex Venturella – basse
(J) Jay Weinberg – batterie
Michael Pfaff – percussions
Date de sortie : 30 septembre 2022
Studio Henson Studios (Hollywood, Californie)
Enregistré Début 2021 – Février 2022
Producteur Slipknot • Joe Barresi
Eric CANTO Photographe : Photos de concerts, portraits, pochettes d’albums.
À une époque où la pop était dominée par la musique de danse et le pop-métal, Guns N’ Roses a ramené le rock & roll brut et laid dans les charts.
Ce n’étaient pas des gentils garçons : les gentils garçons ne jouent pas du rock & roll. Ils étaient laids, misogynes et violents ; ils étaient aussi drôles, vulnérables et parfois sensibles, comme l’a montré leur succès révolutionnaire, « Sweet Child O ‘Mine ».
Tandis que Slash et Izzy Stradlin crachaient férocement des riffs de guitare en duel dignes d’ Aerosmith ou des Stones , Axl Rose criait ses histoires de sexe, de drogue et d’apathie dans la grande ville. Pendant ce temps, le bassiste Duff McKagan et le batteur Steven Adler étaient une section rythmique souple qui gardait la musique lâche et puissante.
Guns n roses : Appetite for Destruction
La musique de Guns N ‘Roses était basique et granuleuse, avec une base solide, dure et bluesy; ils étaient sombres, sordides, sales et honnêtes – tout ce que le bon hard rock et le heavy metal devraient être.
Il y avait quelque chose de rafraîchissant dans un groupe qui pouvait tout provoquer, de la dévotion à la haine, d’autant plus que les deux camps avaient également raison.
Guns n roses
Il n’y avait pas eu de groupe de hard rock aussi brut ou talentueux depuis des années, et la rage primale de Rose leur a donné un poids supplémentaire , le son de déchets blancs confus et frustrés se disputant une part du gâteau.
Alors que les années 80 sont devenues les années 90, il n’y avait tout simplement pas de groupe plus intéressant, mais en raison des frictions intra-groupe et de l’émergence du rock alternatif, Rose, malgré son grand succès auprès des fans, est finalement parti, et il a passé plus de 15 ans à enregistrer avant que Chinese Democracy n’apparaisse en 2008.
Guns N’ Roses a sorti son premier EP en 1986, qui a conduit à un contrat avec Geffen ; l’année suivante, le groupe sort son premier album, Appetite for Destruction . Il a commencé à se faire un public avec leurs nombreux spectacles en direct, mais l’album n’a commencé à se vendre que près d’un an plus tard, lorsque MTV a commencé à jouer « Sweet Child O ‘Mine« .
Bientôt, l’album et le single sont devenus numéro un, et Guns N’ Roses est devenu l’un des plus grands groupes du monde. Leur premier single, « Welcome to the Jungle », a été réédité et classé dans le Top Ten, et « Paradise City » a suivi ses traces. Fin 1988, ils sortent G N’ R Lies, qui a associé quatre nouvelles chansons acoustiques (dont le hit du Top Five « Patience ») avec leur premier EP.
Le plus incendiaire de G N’ R Lies , « One in a Million », a suscité une intense controverse, alors que Rose glissait dans la misogynie, le sectarisme et la violence pure; essentiellement, il a réussi à distiller toutes les formes de préjugés et de haine en un morceau de cinq minutes.
Guns n roses : Use Your Illusion
Guns N’ Roses a commencé à travailler sur la suite tant attendue d’ Appetite for Destruction à la fin de 1990. En octobre de la même année, le groupe a renvoyé Adler , affirmant que sa dépendance à la drogue le faisait mal jouer ; il a été remplacé par Matt Sorum du Cult . Pendant l’enregistrement, le groupe a ajouté Dizzy Reed aux claviers.
Guns n roses
À la fin des sessions, le nouvel album était devenu deux nouveaux albums. Après avoir été retardés de près d’un an, les albums Use Your Illusion I et Use Your Illusion II sont sortis en septembre 1991.
Désordonnés mais fascinants, les albums présentaient un groupe plus ambitieux; alors qu’il y avait encore un bon nombre de rockeurs de guitare à plein régime, il y avait des coups de couteau à la ballade à la Elton John , du blues acoustique, des sections de cuivres, des choristes féminines, des épopées de rock d’art de dix minutes avec plusieurs sections différentes, et un bon nombre de paroles introspectives et introspectives. Bref, ils faisaient maintenant de l’art, et, étonnamment, ils y sont parvenus.
Les albums de Guns n roses se sont très bien vendus au début, mais alors qu’ils semblaient destinés à donner le ton pour la décennie à venir, cela s’est avéré ne pas être du tout le cas.
Guns n roses
Guns n roses : la décomposition
Nevermind de Nirvana a atteint le numéro un au début de 1992, faisant soudain de Guns N ‘Roses – avec toutes leurs prétentions, vidéos impressionnistes, modèles et excès de rock star – un groupe de seconde zone. Rose a géré le changement en devenant un dictateur, ou du moins un petit tyran; ses crises de colère en concert sont devenues légendaires, allant même jusqu’à provoquer une émeute à Montréal.
Stradlin est parti à la fin de 1991 et avec son départ, le groupe a perdu son meilleur auteur-compositeur; il a été remplacé par l’ancien guitariste de Kills for Thrills , Gilby Clarke .
Guns n roses n’a pas pleinement compris le changement dans le hard rock jusqu’en 1993, quand ils ont sorti un album de reprises punk, The Spaghetti Incident; il a reçu de bonnes critiques, mais le groupe n’a pas réussi à capturer l’esprit téméraire non seulement des versions originales, mais aussi de son propre Appetite for Destruction .
Au milieu de 1994, des rumeurs circulaient selon lesquelles Guns n roses était sur le point de se séparer, car Rose voulait poursuivre une nouvelle direction plus industrielle et Slash voulait s’en tenir à leur hard rock aux influences blues.
Guns n roses est resté dans les limbes pendant plusieurs années encore, et Slash a refait surface en 1995 avec le projet parallèle Slash’s Snakepit et un LP, It’s Five O’Clock Somewhere .
Guns n roses
Rose est resté à l’écart des projecteurs, devenant une recluse virtuelle et ne faisant que bricoler dans le studio; il a également recruté divers musiciens – dont Dave Navarro , Tommy Stinson et l’ancien guitariste de Nine Inch Nails Robin Finck – pour des jam sessions informelles. Les membres restants ont été exaspérés par l’inclusion par Rose de son ami d’enfance Paul Huge dans les nouvelles sessions lorsque Stradlin et Clarke ont été exclus de rejoindre le groupe.
Et un remake de « Sympathy for the Devil » des Rolling Stones a été essentiellement la goutte d’eau qui a fait déborder le vase, étant donné que Rose coupait certaines des contributions des autres membres et collait Huge sur la chanson sans consulter personne.
En 1996, Slash était officiellement sorti de Guns N ‘Roses, laissant Rose le seul survivant de l’apogée du groupe. Les rumeurs ont continué à courir, toujours aucun nouvel album n’était à venir, bien que Rose ait réenregistré Appetite for Destruction avec une nouvelle programmation à des fins de répétition.
Première nouvelle chanson originale de Guns n roses en huit ans, le morceau de métal industriel « Oh My God » est finalement apparu sur la bande originale du film End of Days d’ Arnold Schwarzenegger en 1999 . Peu de temps après, Geffen a publié les deux disques Live Era: ’87-’93.
L’année 2000 a vu l’ajout des guitaristes Robin Finck (de Nine Inch Nails ) et Buckethead , et 2001 a été accueillie avec les premières dates live de Guns N’ Roses en près de sept ans, alors que le groupe (qui était composé de Rose plus les guitaristes Finck et Buckethead , le bassiste Stinson , l’ancien batteur de Primus Brian « Brain » Mantia , l’ami d’enfance et guitariste Paul Huge , et le claviériste de longue date de Guns n roses Dizzy Reed) a joué un spectacle le soir du Nouvel An 2000 à Las Vegas, puis au gigantesque festival Rock in Rio le mois suivant. Le soir du Nouvel An 2001, le groupe a joué presque exactement le même set que l’année précédente.
Une apparition aux Video Music Awards 2002 de MTV a contribué à susciter l’intérêt pour le nouvel album, mais une performance rouillée de Rose et une interview où il a déclaré que son nouvel album ne sortirait pas de si tôt, n’ont pas fait grand-chose pour faire avancer leur cause. Cet été-là, Guns n roses a commencé sa première tournée en près de huit ans et ils ont réussi à remplir tous leurs engagements en Europe et en Asie.
Malheureusement, ils ont provoqué une émeute violente et destructrice à Vancouver lorsque Rose ne s’est pas présenté au premier rendez-vous de leur tournée nord-américaine. Alors qu’il était à la hauteur de ses anciennes manigances avec la formation réorganisée, l’ancien chanteur des Stone Temple Pilots Scott Weiland , Slash , Sorum, et McKagan ont formé le célèbre Velvet Revolver au printemps 2002.
Guns n roses : Chinese Democracy
Et ainsi les années ont passé et toujours pas de nouvel album de Guns n roses, au point que c’est devenu une blague de trop. L’album a longtemps été présenté comme Chinese Democracy , et parfois des enregistrements de session fuyaient et se frayaient un chemin sur les réseaux de partage de fichiers Internet.
Un article fascinant écrit par Jeff Leeds pour le New York Times, publié en mars 2005, a révélé à quel point la réalisation de l’album était devenue compliquée et coûteuse.
Selon l’article, intitulé « L’album le plus cher jamais sorti », Rose a commencé à travailler sur l’album en 1994 et a accumulé des coûts de production d’au moins 13 millions de dollars. Les producteurs impliqués dans l’album à un moment ou à un autre comprenaient Mike Clink , Youth ,Sean Beavan , et même Roy Thomas Baker . (Curieusement, Moby a affirmé s’être également vu offrir le poste.) Marco Beltrami et Paul Buckmaster auraient été amenés pour des arrangements orchestraux, et il y avait une porte tournante de guitaristes; Buckethead a quitté le groupe en 2004 et Ron « Bumblefoot » Thal a finalement pris sa place.
En 2006, l’album de Guns n roses semblait plus proche de la sortie, alors que Rose commençait à faire surface en public et emmenait même son groupe sur la route pour certains spectacles. Le plus gros gâchis de l’industrie de la musique a finalement porté ses fruits en 2008 quand Axl a dévoilé un disque qui avait plus d’une décennie de préparation.
Alors que Chinese Democracy a reçu de nombreuses critiques élogieuses, et la réponse critique a été globalement positive, le disque n’a pas répondu aux attentes (c’est presque impossible), faisant ses débuts au numéro trois du Billboard 200 lors de sa sortie en novembre. Une tournée mondiale a suivi.
Guns N Roses
Le guitariste DJ Ashba de Sixx: AM a rejoint Guns n roses en 2009, et le groupe a continué à travailler sur de nouvelles compositions, à jouer des spectacles. Certains des anciens membres du groupe se présentant occasionnellement pour des apparitions en tant qu’invités.
En 2012, la programmation classique de Guns n roses a été intronisée au Rock & Roll Hall of Fame, et Slash , McKagan , Clarke , Adler et Sorum se sont réunis et ont interprété quelques chansons de l’ère Appetite avec le chanteur Myles Kennedy remplaçant Rose , qui avait refusé de participer.
Bumblefoota quitte le groupe en 2014 et en juillet 2015, Ashba a annoncé qu’il avait également quitté le groupe. En 2016, Guns n roses s’est lancé dans la tournée Not in This Lifetime … Tour, qui mettait en vedette Rose aux côtés d’une formation réunie avec le guitariste Slash , le bassiste Duff McKagan et plusieurs membres de longue date en tournée.
La tournée, dont le titre faisait référence à une citation donnée par Rose en 2012, a également trouvé le batteur original Steven Adler rejoignant le groupe pour plusieurs arrêts.
Une version remastérisée d’ Appetite for Destruction des Guns n Roses est arrivée en 2018 et comprenait un single inédit, « Shadow of Your Love », enregistré par la formation originale. Le groupe a continué à tourner tout au long de 2020 et 2021, faisant ses débuts avec plusieurs chansons, dont « Absurd » et « Hard Skool », cette dernière ayant servi de titre à l’EP 2022 Hard Skool .
Eric CANTO Photographe : Photos de concerts, portraits, pochettes d’albums.