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BRING ME THE HORIZON : groupe qui a redéfini les frontières du rock et du métal !

BRING ME THE HORIZON : groupe qui a redéfini les frontières du rock et du métal !

Bring Me The Horizon : L’évolution d’un groupe qui a redéfini les frontières du rock et du metal

Introduction

Bring Me the Horizon (BMTH), un nom qui résonne avec force dans l’univers de la musique alternative, est bien plus qu’un simple groupe de rock. Depuis leurs débuts dans le deathcore jusqu’à leur transformation en pionniers du rock moderne, BMTH a constamment repoussé les limites des genres musicaux.

Cet article explore l’histoire fascinante du groupe, leur évolution musicale, et leur impact sur la scène internationale. Si vous êtes fan de rock, de metal ou simplement curieux de découvrir comment ce groupe a su conquérir le monde, ce guide complet est fait pour vous.

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1. L’histoire de Bring Me the Horizon : Des débuts à Sheffield au succès mondial

Bring Me the Horizon a commencé dans les sous-sols de Sheffield, au Royaume-Uni, avant de devenir l’un des groupes les plus influents de la scène rock moderne. Cette section retrace les origines du groupe, leur formation, et les premières étapes de leur carrière.

 

1.1 Les origines : La naissance de BMTH dans la scène underground

Bring Me the Horizon s’est formé en 2004 à Sheffield, une ville connue pour sa scène musicale vibrante. Le groupe était initialement composé d’Oli Sykes, Lee Malia, Matt Kean, Matt Nicholls, et Curtis Ward. Inspirés par le deathcore et le hardcore, ils ont rapidement attiré l’attention avec un son brut et agressif, qui contrastait fortement avec les tendances pop de l’époque. Leur premier EP, *This Is What the Edge of Your Seat Was Made For*, a rapidement fait des vagues dans la scène underground britannique.

**Les débuts de BMTH** ont été marqués par une énergie brute et une agressivité qui se reflétaient dans leur musique et leurs performances scéniques. Ils se sont rapidement forgé une réputation pour leurs concerts intenses et chaotiques, où l’énergie du groupe se répercutait sur le public. Cette sous-partie analysera comment leur son initial a été façonné par leurs influences musicales et par l’environnement de la scène underground britannique.

 

1.2 La percée avec « Count Your Blessings » : Un album qui divise

En 2006, BMTH sort son premier album studio, *Count Your Blessings*, qui polarise immédiatement la critique. Cet album, profondément ancré dans le deathcore, est un cocktail de violence sonore et de technicité. Cependant, il a également suscité des réactions mitigées, certains fans adorant sa brutalité, tandis que d’autres le critiquaient pour son manque de mélodie et de structure. Cette sous-partie explorera en profondeur les éléments de cet album qui ont à la fois construit et détruit des ponts avec le public.

**L’impact de « Count Your Blessings »** ne se limite pas seulement à sa réception critique. L’album a également joué un rôle crucial dans l’établissement de BMTH sur la scène internationale, leur permettant de tourner à travers l’Europe et l’Amérique du Nord. Nous discuterons des thèmes abordés dans les paroles, de l’évolution du son du groupe, et de l’impact de cet album sur la suite de leur carrière.

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1.3 L’évolution musicale avec « Suicide Season » : La réinvention d’un genre

Avec *Suicide Season* en 2008, BMTH amorce un virage stylistique majeur, s’éloignant du deathcore pur pour intégrer des éléments de metalcore et d’électronique. Cet album est considéré comme un tournant dans leur carrière, marquant le début de leur évolution musicale qui les mènera à explorer de nouveaux territoires sonores. Cette sous-partie analysera les changements musicaux et lyriques qui ont caractérisé cet album, et comment BMTH a commencé à se distinguer de leurs pairs.

**L’impact de « Suicide Season »** sur la scène musicale a été significatif, influençant de nombreux autres groupes à expérimenter avec de nouveaux sons.

Cet album a non seulement changé la perception du public envers BMTH, mais il a également montré que le groupe n’avait pas peur de prendre des risques. Nous examinerons également comment cet album a aidé BMTH à élargir leur base de fans, attirant des auditeurs qui n’étaient peut-être pas familiers avec leur son plus brutal des débuts.

 

2. L’évolution musicale de Bring Me the Horizon : Du deathcore au rock alternatif

BMTH est un groupe qui a constamment évolué, explorant de nouveaux genres et repoussant les limites de leur son. Cette section se concentre sur l’évolution musicale du groupe, de leurs débuts dans le deathcore à leur transformation en pionniers du rock moderne.

 

2.1 « There Is a Hell Believe Me I’ve Seen It » : L’expérimentation et l’innovation

En 2010, BMTH sort *There Is a Hell Believe Me I’ve Seen It. There Is a Heaven Let’s Keep It a Secret.*, un album qui pousse encore plus loin l’expérimentation sonore. Cet album intègre des éléments de musique électronique, d’orchestration, et de chœurs, tout en conservant l’agressivité caractéristique du groupe.

Cette sous-partie explorera comment cet album a ouvert de nouvelles voies pour BMTH, leur permettant de se distinguer encore plus de leurs contemporains.

**Les influences musicales variées** qui se manifestent dans cet album montrent la volonté de BMTH d’évoluer et de ne pas se limiter à un seul genre. Nous analyserons comment l’incorporation de ces éléments a non seulement enrichi leur son, mais a également élargi leur audience.

Cet album a également abordé des thèmes plus complexes et personnels, reflétant la croissance des membres du groupe en tant qu’artistes et individus.

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2.2 « Sempiternal » : Le chef-d’œuvre qui redéfinit le groupe

*Sempiternal*, sorti en 2013, est souvent considéré comme le chef-d’œuvre de BMTH. Cet album marque un changement radical, intégrant des mélodies accrocheuses, des synthétiseurs, et des éléments de rock alternatif.

Il a non seulement reçu des critiques élogieuses, mais il a également permis à BMTH de franchir une nouvelle étape dans leur carrière, atteignant un public encore plus large. Cette sous-partie analysera les innovations musicales de *Sempiternal* et comment cet album a redéfini l’identité du groupe.

**L’impact de « Sempiternal »** a été monumental, tant sur le plan commercial que critique. Cet album a non seulement consolidé la réputation de BMTH en tant que leaders de la scène rock alternative, mais il a également influencé de nombreux autres artistes à expérimenter avec de nouveaux sons. Nous discuterons également des thèmes lyriques abordés dans cet album, qui traitent de sujets tels que la dépression, la spiritualité, et la résilience.

 

2.3 « That’s the Spirit » : La transition vers un son plus accessible

En 2015, BMTH sort *That’s the Spirit*, un album qui représente une transition vers un son plus accessible et commercial. Cet album intègre des éléments de pop, d’électro, et de rock alternatif, marquant un éloignement significatif de leurs racines metal. Cette sous-partie analysera les raisons derrière ce changement de direction, les critiques qu’il a suscitées, et comment BMTH a réussi à maintenir leur intégrité artistique tout en atteignant un plus large public.

**La réception de « That’s the Spirit »** a été variée, certains fans appréciant l’évolution du groupe, tandis que d’autres regrettant leur son plus lourd des débuts. Cependant, cet album a permis à BMTH d’atteindre un nouveau niveau de succès commercial, avec des singles comme « Drown » et « Happy Song » devenant des hits mondiaux. Nous examinerons également comment cet album a ouvert la porte à de nouvelles opportunités pour le groupe, notamment en termes de collaborations et de tournées internationales.

 

3. L’influence et l’impact culturel de Bring Me the Horizon

Bring Me the Horizon n’a pas seulement influencé la scène musicale, ils ont également eu un impact significatif sur la culture populaire. Cette section examine l’influence de BMTH sur d’autres artistes, ainsi que leur impact sur la mode, les médias, et la culture des jeunes.

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3.1 L’influence sur la scène musicale : De nouveaux standards pour le rock et le metal

BMTH a redéfini les frontières du rock et du metal, influençant une multitude de groupes à travers les genres. Leur capacité à fusionner des éléments de différents genres a ouvert la voie à de nouvelles expérimentations dans la musique alternative. Cette sous-partie analysera comment BMTH a influencé la scène musicale, de leur impact sur le metalcore à leur rôle dans l’émergence de nouveaux sous-genres.

**L’influence de BMTH** s’étend bien au-delà de leur propre discographie. Leur capacité à évoluer musicalement tout en maintenant une base de fans solide a inspiré de nombreux autres groupes à suivre leur propre voie créative.

Nous discuterons également de la manière dont BMTH a contribué à populariser des genres autrefois underground, comme le deathcore, et comment ils ont aidé à démocratiser un son plus accessible sans sacrifier leur intégrité artistique.

 

3.2 L’impact sur la culture des jeunes : Mode, attitudes, et identité

BMTH a eu un impact considérable sur la culture des jeunes, non seulement par leur musique, mais aussi par leur influence sur la mode et les attitudes. Leur style distinctif, mélangeant des éléments de goth, de punk, et de streetwear, est devenu emblématique pour de nombreux fans. Cette sous-partie explorera comment BMTH a influencé la mode et l’identité des jeunes, créant un mouvement qui transcende la musique.

**Le style visuel de BMTH** a joué un rôle clé dans leur attrait pour les jeunes. De leurs clips musicaux aux designs de merchandising, le groupe a toujours mis un point d’honneur à soigner leur image, ce qui leur a permis de créer une identité visuelle forte et reconnaissable. Nous analyserons également comment leur approche de sujets tels que la santé mentale, l’aliénation, et la rébellion a résonné auprès d’une jeune génération en quête de sens et d’identité.

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3.3 La présence médiatique et l’influence digitale : De YouTube aux réseaux sociaux

BMTH a su tirer parti des médias numériques pour étendre leur influence, utilisant YouTube, Instagram, et autres plateformes pour rester connectés avec leurs fans. Leur présence en ligne a non seulement renforcé leur popularité, mais elle a aussi permis de créer une communauté mondiale autour de leur musique. Cette sous-partie analysera comment BMTH a utilisé les médias numériques pour se promouvoir, interagir avec leurs fans, et influencer la scène musicale.

**La stratégie digitale de BMTH** a été un facteur clé de leur succès. Leur utilisation des réseaux sociaux pour annoncer des albums, partager des contenus exclusifs, et interagir directement avec les fans a permis de créer un lien fort et personnel avec leur audience. Nous discuterons également de l’impact de leurs clips musicaux, qui cumulent des millions de vues sur YouTube, et comment leur esthétique visuelle a contribué à leur image globale.

 

4. Les membres de BMTH : Figures emblématiques et dynamique de groupe

Les membres de BMTH ont chacun apporté une contribution unique au succès du groupe, leur personnalité et leur talent étant au cœur de leur musique. Cette section se concentre sur les membres clés du groupe, leur rôle au sein de BMTH, et la dynamique interne qui a façonné leur musique.

 

4.1 Oli Sykes : Le charismatique leader et chanteur

Oli Sykes, le chanteur principal de BMTH, est souvent considéré comme le visage du groupe. Son charisme sur scène, ses paroles introspectives, et sa capacité à se réinventer ont été essentiels à l’évolution de BMTH. Cette sous-partie explore la carrière de Sykes, son impact sur le groupe, et comment sa personnalité a façonné l’image et le son de BMTH.

**Le parcours d’Oli Sykes** est fascinant, de ses débuts en tant que figure de la scène underground à son statut actuel de leader d’un groupe mondialement reconnu. Nous examinerons comment Sykes a surmonté des défis personnels, notamment des problèmes de santé mentale et des addictions, pour devenir un symbole de résilience et d’inspiration pour les fans du monde entier. Nous analyserons également son rôle dans l’écriture des paroles et sa contribution à l’évolution sonore de BMTH.

 

4.2 Lee Malia : Le guitariste et architecte sonore

Lee Malia, le guitariste principal de BMTH, a joué un rôle crucial dans la définition du son du groupe. Son jeu de guitare, qui combine technicité et mélodie, a été un élément clé de l’évolution musicale de BMTH. Cette sous-partie se concentre sur l’apport de Malia au groupe, son style de jeu, et comment il a contribué à façonner le son de BMTH au fil des années.

**Le style de jeu de Lee Malia** est unique, mêlant des influences variées allant du metal au rock classique. Nous analyserons comment son approche de la guitare a évolué avec le temps, passant de riffs brutaux et complexes à des mélodies plus subtiles et nuancées. Nous discuterons également de sa contribution aux compositions du groupe et de son rôle dans l’innovation musicale de BMTH.

 

4.3 La dynamique de groupe : Matt Kean, Matt Nicholls, et les autres membres

BMTH ne serait pas ce qu’il est aujourd’hui sans la contribution de ses autres membres, notamment Matt Kean à la basse et Matt Nicholls à la batterie. La section rythmique du groupe a toujours été un pilier solide, apportant puissance et cohésion à leur musique. Cette sous-partie explore la dynamique de groupe, le rôle de chaque membre, et comment leur collaboration a permis de maintenir l’intégrité musicale de BMTH au fil des années.

**La section rythmique de BMTH** est souvent sous-estimée, mais elle joue un rôle crucial dans le son du groupe. Nous analyserons comment Matt Kean et Matt Nicholls ont contribué à la profondeur et à la complexité de la musique de BMTH, tout en maintenant une base rythmique solide qui a permis au groupe d’explorer de nouvelles directions sonores. Nous discuterons également de l’importance de la collaboration entre les membres du groupe et de la manière dont ils ont surmonté les défis internes pour maintenir leur cohésion.

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5. L’avenir de BMTH : Quelles sont les prochaines étapes ?

BMTH a toujours été un groupe en évolution constante, repoussant les limites de leur musique et explorant de nouveaux territoires sonores. Cette section se concentre sur l’avenir du groupe, leurs projets à venir, et ce que les fans peuvent attendre de BMTH dans les années à venir.

5.1 Les nouveaux projets et collaborations

BMTH est connu pour ses collaborations innovantes avec d’autres artistes et pour son ouverture à de nouveaux genres musicaux. Cette sous-partie explore les projets récents du groupe, y compris leurs collaborations avec des artistes d’autres genres, et comment cela influence leur son. Nous discuterons également des rumeurs et des attentes autour de leurs futurs albums.

**Les collaborations de BMTH** ont toujours été un moyen pour le groupe d’élargir leurs horizons et d’expérimenter de nouveaux sons. De leurs collaborations avec des artistes de pop, de hip-hop, ou même de musique électronique, BMTH a montré qu’ils n’ont pas peur de sortir des sentiers battus. Nous examinerons également comment ces collaborations ont enrichi leur musique et ce que les fans peuvent attendre de futures collaborations.

 

5.2 L’évolution continue du son de BMTH

BMTH a prouvé à maintes reprises qu’ils ne se contentent pas de rester dans leur zone de confort. Cette sous-partie explore les évolutions musicales possibles pour le groupe, les nouvelles directions qu’ils pourraient prendre, et comment ils continuent de surprendre leur audience. Nous discuterons également de la manière dont leur son pourrait évoluer à mesure qu’ils vieillissent et mûrissent en tant qu’artistes.

**L’évolution sonore de BMTH** a été un élément clé de leur succès, et il est probable que le groupe continue à explorer de nouvelles directions. Nous examinerons comment leur son pourrait évoluer dans le futur, en tenant compte des tendances actuelles de la musique alternative et des influences que le groupe pourrait intégrer dans leurs futurs travaux. Nous discuterons également de l’impact potentiel de cette évolution sur leur base de fans et sur leur place dans l’industrie musicale.

 

5.3 L’héritage de BMTH : L’impact durable sur la musique et la culture

Enfin, nous examinerons l’héritage de BMTH et comment ils ont influencé non seulement la musique, mais aussi la culture au sens large. Cette sous-partie explore comment BMTH sera probablement perçu à l’avenir, leur place dans l’histoire de la musique, et l’impact durable qu’ils auront laissé sur la scène musicale et culturelle.

**L’héritage de BMTH** est déjà évident, mais leur impact à long terme continue de se développer. Nous discuterons de la manière dont BMTH pourrait être perçu par les générations futures, en tenant compte de leur contribution à l’évolution du rock et du metal, ainsi que de leur influence sur la culture des jeunes. Nous examinerons également comment leur musique pourrait continuer à résonner avec les auditeurs dans les décennies à venir.

 

Conclusion

Bring Me the Horizon n’est pas seulement un groupe, c’est un phénomène culturel. De leurs débuts dans la scène underground de Sheffield à leur statut de leaders du rock moderne, BMTH a constamment évolué et redéfini les frontières de la musique alternative. Leur capacité à se réinventer tout en restant fidèles à leur essence a fait d’eux un groupe incontournable, et leur impact se fait sentir bien au-delà de la musique.

Alors que leur carrière continue d’évoluer, il est certain que Bring Me the Horizon continuera de surprendre, d’inspirer, et de façonner l’avenir de la musique pour les années à venir.

FAQ

1. Comment Bring Me the Horizon a-t-il évolué musicalement au fil des ans ?

BMTH a évolué d’un son deathcore brutal à un rock alternatif plus accessible, intégrant des éléments de pop, d’électronique, et de metal dans leur musique.

2. Quel est l’album le plus influent de Bring Me the Horizon ?

« Sempiternal » est souvent considéré comme l’album le plus influent de BMTH, marquant un tournant dans leur carrière et redéfinissant leur son.

3. Pourquoi Bring Me the Horizon est-il considéré comme un groupe innovant ?

BMTH est innovant pour sa capacité à fusionner différents genres, à expérimenter avec de nouveaux sons, et à repousser constamment les limites du rock et du metal.

4. Quelle est l’influence de Bring Me the Horizon sur la culture des jeunes ?

BMTH a influencé la culture des jeunes par leur style distinctif, leurs paroles introspectives, et leur capacité à aborder des sujets tels que la santé mentale et l’aliénation.

5. Quels sont les projets futurs de Bring Me the Horizon ?

BMTH continue d’évoluer et de collaborer avec d’autres artistes, et les fans peuvent s’attendre à de nouvelles explorations musicales dans leurs futurs albums.

 

Autofocus basse lumière en concert

Autofocus basse lumière en concert

Les situations de faible luminosité sont connues pour affecter la capacité de votre appareil photo à se « concentrer » correctement. Si les conditions d’éclairage (et le contraste) diminuent, des erreurs de mise au point peuvent se produire plus fréquemment. C’est particulièrement vrai pour les zooms et les objectifs grand-angles, où la faible profondeur de champ montre une mauvaise mise au point avec une clarté brutale. Retour sur l’autofocus basse lumière en concert.

Croyez-moi, en tant que photographe de concert, la prise de vue en très faible luminosité est fondamentale dans mon travail ! . Si vous avez eu du mal à photographier à de grandes ouvertures pour obtenir une mise au point parfaite avec vos objectifs, voici 5 conseils pour améliorer le verrouillage de la mise au point.

 

autofocus gonzales photographe concert

Autofocus basse lumière en concert – Autofocus

Que vous photographiez de la musique en live dans un endroit faiblement éclairé ou que vous souhaitiez simplement obtenir les meilleures performances de l’autofocus de votre appareil photo et de vos objectifs, ces conseils vous aideront à vous concentrer de manière plus fiable et précise.

1 . Calibrez votre reflex numérique

La calibration de la mise au point automatique (AF) peut améliorer la précision et la fiabilité de la mise au point automatique de votre reflex numérique, en particulier lors de la prise de vue avec des objectifs interchangeables. Voici les étapes à suivre pour calibrer l’autofocus de votre appareil photo :

  1. Trouvez une cible de test : pour calibrer l’AF, vous aurez besoin d’une cible de test, comme un charte de mise au point automatique ou un objet avec des détails fins et nets, tels qu’un texte imprimé ou un motif à carreaux.
  2. Configurez votre appareil photo : placez votre appareil photo sur un trépied pour éviter les tremblements et les mouvements pendant la calibration. Réglez votre appareil photo sur le mode de mise au point automatique, puis sélectionnez le point AF que vous voulez calibrer. Si votre appareil photo dispose d’options de micro-ajustement AF, assurez-vous qu’elles sont activées.
  3. Placez la cible de test : placez la cible de test à une distance appropriée, en fonction de la longueur focale de votre objectif. Assurez-vous que la cible est bien éclairée et que le contraste est suffisant pour que l’AF puisse fonctionner correctement.
  4. Effectuez la mise au point : prenez une série de photos de la cible de test en utilisant l’AF. Vérifiez chaque photo pour voir si la mise au point est précise et si elle se situe sur la partie de la cible que vous souhaitez mettre au point.
  5. Répétez le processus : si la mise au point n’est pas précise, ajustez les paramètres de l’objectif ou de l’appareil photo et répétez le processus jusqu’à ce que vous obteniez une mise au point précise et fiable.

En calibrant la mise au point automatique de votre reflex numérique, vous pouvez améliorer la qualité de vos photos et vous assurer que les images que vous capturez sont nettes et précises.

2. Comprendre le fonctionne la mise au point automatique

La mise au point automatique (AF) est un processus complexe qui permet aux photographes de capturer des images nettes et claires sans avoir à ajuster manuellement la mise au point de l’objectif. Voici un aperçu de son fonctionnement :

  1. Le photographe encadre la scène à travers le viseur ou l’écran LCD de l’appareil photo.
  2. L’appareil photo utilise un capteur AF pour détecter le contraste et la netteté de l’image, en analysant les différentes zones de la scène.
  3. Les algorithmes de l’appareil photo utilisent ces informations pour déterminer quelle zone de la scène doit être mise au point. Les points AF de l’appareil photo sont positionnés sur la zone de mise au point sélectionnée.
  4. L’appareil photo ajuste ensuite la mise au point de l’objectif en se basant sur les informations fournies par le capteur AF et les points AF.
  5. Enfin, une fois la mise au point effectuée, l’appareil photo déclenche l’obturateur et prend la photo.

Il existe différents types de capteurs AF, tels que les capteurs à détection de phase et les capteurs à détection de contraste, qui fonctionnent différemment. Les appareils photo modernes offrent également de nombreuses options de mise au point automatique, telles que la mise au point automatique en continu, la sélection de zone de mise au point, la mise au point manuelle assistée et bien d’autres encore.

 

3.  Évitez la concurrence

Une cause fréquente d’erreurs de mise au point par faible luminosité est la concurrence entre des éléments dont le contraste est supérieur à celui de votre sujet. Il peut s’agir d’une lumière derrière le sujet ou d’un objet légèrement devant lui (pour la photographie musicale, les microphones sont connus pour tromper les capteurs AF et créer une mauvaise mise au point).

Étant donné que les capteurs AF sont en réalité beaucoup plus grands que ce qui est affiché dans le viseur, il est très facile pour eux de détecter une mauvaise cible si le contraste est suffisamment élevé. Si vous donnez suffisamment d’espace à la concurrence potentielle ou si vous modifiez légèrement votre point de vue pour obtenir la meilleure vue possible de votre objectif, vous pouvez alors obtenir de meilleurs résultats.

 

 

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Autofocus basse lumière en concert

4. Autofocus, Zones cibles à contraste élevé

Le contraste est tout avec une mise au point automatique précise. Pour de meilleurs résultats, utilisez des zones à contraste élevé pour faire la mise au point sur les bords définis par le sujet. Avec des lignes de contraste dures, les capteurs AF peuvent obtenir une mise au point précise. Si votre sujet présente moins de contraste, recherchez les zones à contraste élevé situées sur le même plan que celui sur lequel vous souhaitez effectuer la mise au point.

Cela peut signifier une mise au point automatique sur un motif sur la chemise d’un sujet au lieu de son visage ou une ombre nette sur son oreille au lieu de ses yeux. Lorsque vous utilisez d’autres cibles AF, assurez-vous qu’elles sont aussi proches de l’objectif que du point AF pour tirer le meilleur parti de cette astuce.

5. Utilisez le collimateur AF central

Tous les collimateurs AF ne sont pas identiques. Avec presque tous les reflex numériques, le collimateur autofocus central est le plus sensible et le plus précis en usine en raison de l’étalonnage et du type de capteurs utilisés pour le centre. Utilisez cela à votre avantage en donnant la priorité au collimateur autofocus central par rapport aux autres points pour des performances d’autofocus plus précises et plus fiables.

Pour mieux comprendre votre équipement, reportez-vous au manuel de votre appareil photo reflex numérique pour savoir quels capteurs AF sont les collimateurs AF de type croisé les plus sensibles (capteurs bidimensionnels sur les axes verticaux et horizontaux) pour savoir quels points sont plus précis.

Personnellement, j’utilise très souvent la méthode de mise au point et de recomposition. Autrement dit, effectuez un verrouillage AF sur un sujet, puis ré-assemblez le pour la composition préférée. Autrement dit, si vous avez des problèmes avec une mise au point précise, la méthode de mise au point et de recomposition peut être à blâmer. L’utilisation de la méthode de ré-assemblage du focus entraîne des erreurs de focus – c’est juste une question de géométrie.

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Autofocus – Leonard COHEN – Photographe de Concert

 

Il est préférable de rapprocher le plus possible le cadre lors de la mise au point sans ré-assembler considérablement la scène lorsque vous appuyez sur le déclencheur. Il est préférable de choisir un collimateur autofocus qui soit le plus proche du collimateur de mise au point souhaité et provoquera le moindre changement de mise au point lors de la recomposition. Chaque recomposition après réception du verrouillage AF entraîne des erreurs de mise au point avec précision.

La distance et la profondeur de champ jouent un rôle essentiel pour déterminer si le décalage de mise au point est perceptible lors de la mise au point et de la recomposition. Plus la profondeur de champ est petite, plus le changement de foyer résultant de la recomposition est spectaculaire. :

Pour finir avec l’autofocus : si vous avez du mal à « clouer » l’AF (autofocus), j’espère que ces suggestions vous aideront. Les deux derniers conseils – pour utiliser le collimateur AF central et comprendre les limites de la méthode de mise au point et de recomposition – sont un peu plus éditoriaux (et même contradictoires). Il est rare qu’une grande photo ait son sujet si légèrement au centre du cadre que vous puissiez utiliser le collimateur AF central sans le remonter.

En fin de compte, le timing, la composition et un sujet fascinant ont priorité sur la perfection technique.

 

Autofocus : en conclusion…

En conclusion, l’autofocus (AF) est une fonctionnalité essentielle de la photographie numérique moderne qui permet aux photographes de capturer des images nettes et précises sans avoir à ajuster manuellement la mise au point de leur objectif. Les progrès technologiques ont permis le développement de différents types de capteurs AF et d’options de mise au point automatique avancées, offrant aux photographes une plus grande flexibilité et une meilleure précision dans leurs prises de vue.

Cependant, malgré ses avantages, l’autofocus peut parfois être imprécis ou ne pas fonctionner correctement, en particulier lors de la prise de vue dans des conditions de faible luminosité ou avec des sujets en mouvement rapide. Dans ces cas, il peut être nécessaire de calibrer l’autofocus pour obtenir des résultats optimaux.

En fin de compte, l’autofocus reste un outil précieux pour les photographes de tous niveaux, leur permettant de se concentrer sur l’aspect créatif de leur travail plutôt que sur les tâches techniques liées à la mise au point de leur objectif.

 


 

Eric CANTO Photographe : Photos de concerts, portraits, pochettes d’albums.

 

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Hard Force Magazine depuis 1985

Hard Force Magazine depuis 1985

Hard Force : la naissance

Hard Force est un magazine de musique français spécialisé dans le hard rock et le heavy metal et publié entre 1985 et 2000. Sa première édition a été publiée en octobre 1985 et distribuée à 1500 exemplaires via un réseau de distribution « maison » et fondée à l’origine par Hard Force Association en tant que fanzine (ses membres étaient à l’époque Christian Lamet, Jean de Larquier, Serge Lamet, Philippe Marek et Daniel Baud).

 

Hard Force Magazine

 

Un départ fulgurant

En moins d’un an, les exigences de qualité en termes de contenu et de forme de certains de ses créateurs ont fait du fanzine un format de magazine professionnel en kiosque.
Il s’est rapidement positionné comme un outsider de Hard Rock Magazine, lancé un an plus tôt, et a profité de la disparition d’Enfer Magazine et de Metal Attack.

Les grandes années

De 1985 à 2000, Hard Force est reconnu en France comme un magazine de référence en termes d’originalité, de dossiers et d’entretiens.
Hard Force est pionnier dans la plupart des initiatives technologiques (création de samplers, Discographies et biographies exhaustives, CD-Rom multimédia, premières sections Internet de la presse musicale française, etc…).

 

Hard Force Magazine

La disparition

Hard Force a cessé de paraître en 2000. Prés de 10 ans après, le 30 octobre 2009, Hard Force a lancé un réseau social appelé « THE METAL NETWORK« .

La renaissance

Fin 2010, Hard Force a lancé un magazine web (archives, documents audio et vidéo) pour marquer son 25e anniversaire, réalisé par Christian Lamet, plusieurs journalistes impliqués dans la rédaction du magazine de 1985 à 2000 et de nouveaux collaborateurs.

En trois ans, le site Hard Force devient une référence. Réactivité éditoriale, information quotidienne, les médias ravivent l’esprit d’origine.

En effet, il va redevenir le partenaire privilégié de la plupart des événements live en France, concerts, tournées et festivals. En décembre 2012, Christian Lamet a lancé l’émission hebdomadaire « MetalXS » sur L’Enôrme TV, exclusivement dédiée au métal.

Hard Force est le partenaire de cette nouvelle chaîne.

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Collaborateurs de Hard Force

Rédacteur en chef de Hard Force

Christian Lamet

Rédacteurs de Hard Force

Christine Chapel, Hervé Guegano, Richard Guérin, Laurent Joulins, Nicolas Kontos, Stéphane Lacassagne, Laurent Lacoste, Christian Lamet, Serge Lamet, Etienne Lançon, Alain Lavanne, Jean de Larquier, Yann Le Goff, Juliette Legouy, Fabrice Lemaitre,  Nicolas Gounet, Philippe Goussard, Charles Gronche, Laura Grünberger,Marc Belpois, Benji, Stéphane Bergeon, Daniel Bernot, Guillaume Bertail, Eric Beuriot, Elisabeth Bieber, Jean-François Lescene, Frank Arnaud, Roger Balac, Albert Bareiro, Daniel Baud, Emmanuel Potts, Hervé Reiss,

Christophe Rudant, François Schenck, François Sinibaldi, Vincent Tigreat, Jean-Christophe Thomas, Martine Varago, Christian Veraz, Olivier Wallerand, Valérie Chedot, Joël Coudrier, Vincent Dresel, Christophe Droit, Laurent Ducastel, Henry Dumatray, Samantha Dunn, Arnaud Durieux, Patrick Garel, Arnaud Geenens, Pascal Girard, Stéphane Girard, Guillaume Goriot,Christophe Blanquart, Laurent Bollee, Laurent Borde, Jean-François Bouquet, Marc Bredenbach, Franck Brisson, Eric Bruno-Mattiet, Julien Capraro,Valérie Lestienne, Jérôme Mairal, Isabelle Maitre, Philippe Marek, Patrick Meyer, Gilles Moinet, Thierry Mousset, Fred Pederzoli, Lionel Pétillon.

Hard Force Magazine

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Membres honoraires ou collaborateurs exceptionnels de Hard Force

Bernie Bonvoisin, Renaud Hantson, Francis Zégut, Elie Benali

Correspondants et collaborateurs à l’étranger de Hard Force

Alexis Charbonnier, Claude Englebert, Alain Fahrny, Valérie Le Terreux, Daniel Oliveira, Michael Patton, K.K. Pearcy, Paul Suter, Sasha Stojanovic, Agence Intervision (Mohamed Ansar, Paul Branigan, Elianne Halbersberg, Mark Putterford, Paul Rees, Sylvie Simmons, Victoria Strommer, Jodi Summers, Arlett Vereecke), Norman C. Allin, Christian Bouchard,

Maquettistes de Hard Force

Claire Rochas, Sarah Sissi, Jocelyn Barbier, Véronique Bidaut, Jean-Max Bigand, Christèle Bourgeois, Emmanuel Briot, Jean-Pierre Charbonnier, Christian Lamet, Laurent Lamet, Gilles Moinet, Céline Gladkowsky, Laurent Lacoste, Isabelle Lagrange.

 

Photographes de Hard Force

Christophe Blanquart, Norman Bouthiller, Henri Clausel, Renaud Corloüer, Rafaël Erdodi, Claude Gassian, Philippe Goussard, Nicolas Kontos, Martin Lepage, Danny Lilken, Jen Lowery, Didier Picard, Eva Ries, François Schenck, Niels Van Iperen, Christophe Viala, Marc Villalonga,

P. Wagner, Sharon Weisz, SIN, Pierre Terrasson, Irene Vogeli ) – Agence Intervision (Gene Ambo, P. Bergen, Steffan Chirazi, Agence DALLE APRF (Michael Bussman, George Chin, Ron Delany, Larry Di Marzio, Peter Distefano, Carmello Giordano, Idols, Gie Knaeps,

Tony Motram, Ebet Roberts, Edouard Setton, L. McAfee, Alex Mitram, Ray Palmer, Alex Solca, David Wainwright, Mick Wall, Mark Webb, Tony Woolliscroft, Neil Zlozower), Agence Repfoto (Robert Ellis), Bertrand Alary, Andrew C. Allin, Pascal Beaumont, Jean-Paul Bellanger, Benji, Daniel Bernot, Jean-Max Bigand, Fin Costello, Ana Maria DiSanto, Tom Farrington, Paul Frati, Rick Gould, Ross Halfin, Mike Hashimoto, Mick Hutson, Robert John, Dave Jordan, Gene Kirkland, Glenn LaFerman, Mark Leialoha.

Illustrateurs :

Jean-Marc Tavernier, Jean-Pierre Charbonnier, Christian de Metter, Daniel Pierre.


 

Eric CANTO Photographe : Photos de concerts, portraits, pochettes d’albums.

 

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Bonus : Interview su fondateur de Hard Force : Christian LAMET

Christian, pouvez-vous vous présenter ?

J’ai 55 ans maintenant. Une carrière professionnelle inhabituelle, car mes études de bibliothécaire après l’obtention du diplôme ne sont pas il n’y a pas de prédisposition au journalisme, et surtout au monde des médias. Ce fut une énorme passion pour la musique qui m’a orientée de cette façon.

Une volonté de partager cette passion avec les autres, de découvrir de nouveaux musiciens, de nouveaux disques et une vie au rythme des concerts a été la première motivation. Maintenant je me rends compte à quel point le but justifiait les moyens: Je n’avais que 19 ans, lorsque le premier numéro de HARD FORCE est sorti, j’étais complètement inexpérimenté et il fallait une forte dose un non-sens afin que nous puissions commencer l’aventure.

Comment avez-vous contracté le virus et qu’est-ce qui vous a amené au hard rock?

Si c’est un virus, c’est presque depuis ma naissance. Ma culture musicale a commencé avec les albums que mon père écoutait. À la fin dans les années 1960, Jimi Hendrix, Eric Clapton, Jeff Beck et Jimmy Page ont révolutionné la musique. Il s’agit notamment de leurs guitares qui secoua mon enfance. Parmi ceux que je viens de mentionner figurent les créateurs de hard rock et de saturation.

De l’énergie, mais toujours une mélodie, deux éléments qui me paraissent nécessaires dans la musique que j’écoute depuis. Le hard rock est comme une extension de cette « éducation ». Sur mes albums d’ adolescent, il y avait le même nombre de LYNYRD SKYNYRD, AC / DC de la période Scott des premiers albums, THIN LIZZY, Ted Nugent, puis TRUST et IRON MAIDEN depuis le début comme BOSTON, KANSAS ou … TOTO.

 

D’où est venue l’idée de créer HARD FORCE ?

Dans les années 1981-1982, ce fut l’ouverture des ondes et l’apparition de stations de radio libre. J’ai Créé une radio associative à Samois-sur-Seine (77) il y avait une opportunité de faire écouter ma musique et d’apprendre à parler dans le micro. Nous étions donc un groupe d’amis qui ne se rendaient même pas compte qu’ils vivaient à l’époque, des pionniers, sans restrictions commerciales, sans quotas ni censure.

Nous n’étions pas des adultes et on nous laissé les clés de la radio ! Nous avons créé l’émission de hard rock « Countdown » sur Radio Arc en Ciel. Nous avons commencé un samedi en fin d’après-midi et nous avons rendu l’antenne trois heures plus tard, quand nous n’avions plus d’albums à à faire écouter (que nous avons bien sûr achetés avec les nôtres argent de poche).

Dans ce programme, nous avons reçu tous les groupes français, des amateurs locaux .

 

Hard Force Magazine

 

Il y a une opportunité pour la première interview « internationale »: Yngwie Malmsteen. Nous sommes alors en juin 1985, soit Le guitare hero le plus spectaculaire du moment. Dans le même temps, le Festival de France avec le plus grand plateau a lieu. Des groupes français se sont réunis en deux jours et Monsters of Rock à Castle Donington.

Plein d’interviews, frustré de revenir la radio et que cette « affaire » n’est entendue que par une poignée, nous pensions que la création d’un fanzine ce serait un résultat largement logique.

 

Étiez-vous un lecteur de la presse métal (ENFER MAGAZINE, METAL ATTACK) avant cette création?

Bien sûr. Je dirais même ROCK & FOLK et BEST . BEST a été le premier magazine national à oser le hard rock  et le heavy metal en couverture du magazine. ENFER, cependant, incarne le moment historique de la création une presse spécialisée dans le hard rock, même si METAL ATTACK est apparu peu de temps après, en 1983.
ENFER était plus documenté, METAL ATTACK plus élégant, l’un plus épicé, pointu et savant, l’autre plus fédérateur et efficace. Tous les deux coexistaient parfaitement, constituant un panorama intéressant et une source d’information pour les lecteurs précieux pour les animateurs radio débutants …

Vous êtes-vous senti libre de la rédaction ou sous la pression de certains labels et attachés de presse ?

La liberté est illusoire, impossible. Parce que la vie d’un magazine dépend de ses ventes ou de ses revenus publicitaires – et très souvent les deux – quelle liberté avons-nous? La flatterie pour les lecteurs crée une dépendance. La page publicitaire est un engagement pris par l’annonceur.

Notre liberté a été gagnée grâce aux idées innovantes dont j’ai parlé plus tôt, dans les domaines où personne n’est allé. Nous sommes prêts surprise. « L’originalité dans le consensus » peut être une bonne définition.

 

Savez-vous ce qui est arrivé aux anciens membres de la rédac ??

Je sais ce qui leur est arrivé. En revanche, très peu sont ceux avec qui je suis resté en contact étroit. Il y a eu de véritables  «divorces» après HARD FORCE. Ils sont donc une poignée au cours des 15 dernières années que je vois ou rencontre régulièrement. Il reste de l’amitié en dehors du magazine, ce fut une telle aventure.

En tant que chef d’équipe de rédaction, qu’avez-vous préféré faire et qu’avez-vous détesté ou craint?

Le plaisir consistait à écrire, à examiner la documentation des dossiers, à participer à un concert ou festival, partir à l’étranger pour mener une interview dans laquelle un échange avec le musicien va bien au-delà des questions et réponses.

Au début, nous voulons tout faire. Vous devez apprendre à déléguer et c’est le plus difficile. J’ai dû participer à la production complète du produit, ce qui a considérablement raccourci mon temps de repos. Pendant pendant des années j’ai vécu des concerts et des voyages de journalistes par procuration, gardant de rares moments avec certains artistes précis quand ils venaient à Paris.

 

Quelle était la relation avec la presse métal compétitive ? Y avait-il une saine compétition, émulation, espionnage, jalousie?

Je pense avoir pris la première salve de bois vert d’un ami, quelques mois seulement après la publication du fanzine.

De puis j’ai réalisé que l’apparition de HARD FORCE, même petite, pouvait perturber tout ce que je faisais. Quand HARD FORCE est arrivé nous avons changé le registre dans les kiosques. J’ai reçu des appels téléphoniques anonymes au bureau, de l’intimidation… J’ai su plus tard qu’ils émanaient journalistes oisifs travaillant « en face ».

Beaucoup d’activités de sape ont été lancées dans des maisons de disques, faisant du lobbying pour nous discréditer, bloquer les publicités ou donner des interviews. Pendant ce temps, vous pouvez facilement devenir paranoïaque.

J’ai commencé à me défendre avec la seule arme que j’avais: mon magazine mensuel. Ça a juste fait rire les autres, mais à quoi ça sert ? à me soulager !

 

Est-ce que les querelles entre amateurs de courants glam contre thrash, par exemple étaient du pain béni pour vous ?

J’ai toujours trouvé fou que l’on oppose BEATLES et STONES, les  rivalité entre styles hard rock et le métal m’ont toujours étonné. Je ne parle pas de goût, je parle d’intolérance et de fanatisme. HARD FORCE a toujours maintenu une certaine pluralité.

C’était un mix difficile car il fallait informer sur les nouveaux produits et être représentatif des styles établis avec l’augmentation des courants. La musique est toujours en mouvement: un magazine, s’il veut survivre, ne peut pas rester figé le passé mais doit s’y référer.

 

Êtes-vous conscient d’avoir marqué une certaine génération par vos écrits et votre combat dans un magazine culte ?

Être culte n’est pas un postulat lorsque vous démarrez un fanzine ou un magazine. Ce serait suffisant! Les différentes équipes successivement et moi-même, nous avons essayé de proposer le meilleur magazine possible, le plus sincère dans le processus.

Si nous en avons encouragé certains, initié d’autres, c’est un fabuleux bonus. Ai-je vraiment dit mon dernier mot, c’est toute la question ? J’espère également combiner certaines choses à l’avenir.

A suivre donc…

Gilles LARTIGOT – le Shooting

Gilles LARTIGOT – le Shooting

En tant que photographe, j’ai réalisé un shooting photo avec Gilles Lartigot il y a quelques mois. Cette photo est la couverture du livre Gilles Lartigot EAT2. Ce nouveau livre de Gilles Lartigot est la suite du best seller « EAT – Chronique d’un fauve dans la jungle alimentaire. » Je connaissais Gilles Lartigot depuis quelques années, un shooting très simple et convivial.

 

gilles lartigot eat2

Gilles Lartigot – Eat2

La rencontre avec Gilles Lartigot

J’ai rencontré Gilles Lartigot il y a une dizaine d’années. C’est au VIP du festival Hellfest open air . Nous avions discuté autour d’un verre de nos passions communes, la musique et l’alimentation. Gilles est un métalleux dans l’âme, c’est une de nos passions communes.

L’alimentation en est une seconde. Mass Hysteria jouait cette année là. C’est aussi un point en commun que nous avons, l’amour du métal français. Gilles Lartigot a d’ailleurs produit le premier album du groupe marseillais Dagoba.

 

Le shooting de la couverture du livre de Gilles Lartigot Eat2

Je fus agréablement surpris de recevoir, il y a quelques mois, un coup de téléphone de Gilles Lartigot. Il venait de terminer la suite de son best -seller EAT et voulait un portrait pour la couverture de son nouveau livre EAT2.

Gilles naviguant régulièrement entre l’Europe et l’Amérique du nord, le rendez-vous fut pris à Aubagne, sa maison du sud de la France pour un shooting improvisé. Autour d’un bon repas, nous discutons du projet, de ses attentes en matière de photo, puis après quelques heures de shooting, un résultat sobre et efficace.

Pas de fioriture lors de ce shooting, pas de coiffeur, pas de maquilleur, juste un peu d’argile blanche que Gilles Lartigot avait dans un pot. Les portraits de cette séance photo sont dans le même esprit.

 

Qui est Gilles Lartigot ?

Gilles Lartigot est un militant français pour une consommation éco-responsable et saine, hors des supermarchés et des produits agro-industriels. Gilles vit en France et à Montréal. Il est l’auteur du best seller « EAT – Chronique d’un fauve dans la jungle alimentaire » aux éditions WinterFields, paru en septembre 2013.

EAT, le livre de Gilles Lartigot est le résultat d’une enquête qui a duré plus de trois ans, une étude traitant des modes alimentaires. Le propos tourne autour du « bien manger ».

Résumé de Gilles Lartigot Eat2

Résumé du livre EAT 2 de Gilles Lartigot : « Nous vivons dans une société toxique pour notre santé. La nourriture industrielle nous rend malade. La pollution, le stress et les produits chimiques font partie de notre vie quotidienne. Gilles Lartigot, auteur du livre Eat, témoigne de son parcours et de sa conscience des aliments modernes. Il révèle divers faits sur l’élevage industriel et les additifs chimiques et nous donne quelques options pour une meilleure assimilation des aliments pour notre corps et notre esprit. »

Dans ce livre, l’auteur souligne l’importance d’être ouvert, de ne pas discriminer les gens pour leurs divergentes opinions, d’être compatissant et empathique. « C’est l’idée de débattre ensemble pour comprendre le monde dans lequel nous vivons, ne pas être sujet et être acteur de notre propre bonheur. Malgré notre désaccord, chacun de nous a une opinion intéressante à partager, une pierre pour éveiller la conscience collective. »

Pourquoi vouliez-vous écrire une suite à EAT ?

Gille Lartigot : C’était vraiment un souhait de ma part. Si je devais écouter mes lecteurs, j’écrirais un livre tous les six mois. J’ai pris mon temps. J’ai étudié de près des dossiers, comme le cas du cancer après ma rencontre avec le Dr Nicole Delepine ou la lutte pour la survie avec Vol West, qui reste l’un des piliers centraux du livre.

Deux sujets principaux intéressants et actuels que je voulais absolument partager avec les lecteurs. Ensuite, c’est allé assez vite, j’avais rassemblé beaucoup d’informations depuis que j’ai écrit EAT en 2013. Ma pensée avait changé.

 

gilles lartigot eat2 -gilles lartigot wiki

Gilles Lartigot Eat2

Présentation de Gille Lartigot par COTE Magazine

Gilles Lartigot a tout d’un athlète, un mètre quatre-vingt-dix et son quintal de muscles. Plus de trente ans de culture physique lui ont permis de faire face à tous les aléas de la vie. Dès le matin, la pratique sportive nourrit ses réflexions et son inspiration, mais aussi sa volonté d’ériger la nourriture et son mode de consommation en priorités absolues. Sa vision est simple: nous vivons dans une société toxique pleine d’industriels nuisibles en proie au stress, à la pollution et aux produits chimiques qui nous entourent.

Les dérives dans l’industrie alimentaire continueront d’augmenter et la rentabilité deviendra une exigence. En dehors de l’élevage industriel, des OGM, et des farines animales , il y a la menace du TAFTA, qui imposera des méthodes d’élevage toujours plus intensives au détriment de la qualité.

 

Parce que nos habitudes alimentaires déterminent notre santé et déterminent l’avenir de nos enfants, Gilles Lartigot a résumé ses observations et considérations dans un livre. Il livre une observation grossière des dangers de la nourriture moderne et de son impact sur le développement des cancers, des accidents vasculaires cérébraux et des maladies chroniques. Si le livre est un grand succès, c’est aussi parce qu’il prône une autre façon de manger, met l’accent sur ce qui est bon pour la santé et propose des recettes originales qui brisent les préjugés.

Bien sûr, nous avons publié un certain nombre d’articles sur l’alimentation, mais EAT est différent: il explique les bases de l’alimentation actuelle grâce à de nombreuses interviews réalisées avec des spécialistes.  Gilles Lartigot prolonge ses réflexions écrites en sillonnant la France, en organisant des cycles de conférences où il dévoile les secrets d’une cuisine originale.

 

 


 

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Bonus : Interview de Gilles Lartigot

Peux tu nous dire un mot sur ton parcours ?

Gille Lartigot : Je suis un écrivain 100% indépendant. J’ai écrit « Eat » il y a un peu plus d’un an. Plus tôt, j’ai eu un cycle de vie assez éclectique. J’étais musicien puis producteur. J’ai vécu en Californie à l’âge de 18 ans. A cette époque, j’avais des contacts avec le monde du sport et de la culture physique et je me suis intéressé à la nutrition.

J’ai travaillé avec mon père qui était imprimeur. J’ai fait beaucoup d’activités différentes jusqu’à ce que je commence à me poser des questions sur mon travail et ma vie en général. Nous sommes souvent absorbés par le travail. S’il est passionnant, il peut être réalisé sur un lieu et un temps dédiés, et c’est une bonne chose. Mais la plupart du temps, le travail entre dans la vie personnelle et familiale. Pour les gens qui ont des enfants, le problème est qu’ils ne peuvent pas les voir grandir, ils ne peuvent pas s’occuper d’eux. Ma femme et moi voulions faire une pause.

Nous avons lancé un projet dans l’industrie alimentaire. Tout a commencé avec les films réalisés avec une caméra cachée. L’objectif étant de protéger les animaux. Nous avons pris conscience des atrocités que nous infligeons à nos animaux, en particulier aux animaux que nous mangeons et qui sont dans nos assiettes.

Ensuite, nous avons traité les mensonges de l’industrie alimentaire. Je veux dire des conseils nutritionnels de ce type: « Il faut boire du lait », « Les protéines animales valent mieux que les protéines végétales » … Toutes ces désinformations, soutenues par le lobby, qui nous ont poussé à écrire « Eat ».

Ton alimentation de sportif à tes débuts ?

Gille Lartigot : En musculation, un repas classique se compose de nombreux produits laitiers, poulet, bœuf ou thon avec riz. Quelle chose digeste ! Mon approche de la nourriture était purement physique. J’ai dû manger mes protéines, glucides, lipides. Il s’agissait de repas avec une très petite quantité de matières premières, auxquelles des compléments alimentaires à base de lait de vache, des boissons gazeuses légères, des boissons d’endurance à la malto-dextrine, des colorants très fluorescents étaient rajoutés … Mais malgré tout, je sentais que je mangeais une alimentation très saine.

Je n’ai jamais été trop préparé ou cuisiné de plats, car mon sport exigeait de moi une nourriture « propre ». Ça vous fait sourire aujourd’hui … Mon changement de régime s’est fait rapidement, et les plantes sont désormais la base de mon alimentation. Il est encourageant de penser que le changement peut survenir à tout âge!

 

Le déclic est venu comment ?

Gille Lartigot : C’est lorsque j’ai aidé à infiltrer les fermes industrielles pour mon enquête. La première était une ferme de poules pondeuses, ce qui m’a suffisamment choqué, puis les porcs. Là, j’ai vu des choses que je n’aurais pas dû voir et qui m’ont marqué fortement. Je ne pouvais plus manger de viande. J’étais un peu paniqué car j’ai continué ce sport et j’avais encore ces préjugés alimentaires construits depuis vingt ans. J’ai donc été obligé de me renseigner sur les aliments dits « alternatifs »: végétarisme, véganisme, cru, jus …

Cela m’a ouvert les yeux. J’ai réalisé que nous pouvions manger avec conscience. Quand nous apprenons comment nos animaux sont élevés et abattus, peu de gens peuvent encore manger cette viande. C’est devenu une grande poubelle, surtout au détriment des animaux. Quand nous savons que nous tuons 3 millions d’animaux par jour et que nous devons toujours en produire plus, il est évident qu’ils sont tués de manière terrible. Pour produire plus de plantes, nous avons dû utiliser des pesticides, etc. Pour produire plus d’animaux vivants, nous tombons volontairement malades.

Aujourd’hui, les gens ne veulent pas voir, ils ne veulent pas savoir. Et quand on me dit que l’Homme a toujours été carnivore, je réponds que cela n’est pas vrai car  l’homme ne mangeait pas de viande en cage. Il chassait pour se nourrir. et l’homme est omnivore. Cette consommation excessive de viande se produit de nos jours. Avant la Seconde Guerre mondiale, il n’y avait pas de fermes industrielles. Nous mangions des bêtes élevées dans des conditions normales c’est à dire raisonnable; qui permettaient de répondre à des besoins « locaux » donc plus restreints et donc dans des conditions plus responsables et respectueuses.

Les bovins recevaient de la nourriture adaptée, pas du maïs OGM. Nous ne les bourrions pas d’antibiotiques, et ne les vaccinions pas dès la naissance. Ces pratiques me choquent. J’ai également été frappé par le fait que ces informations n’ont pas été communiquées par les principaux médias. J’avais vraiment besoin de chercher loin pour apprendre à manger différemment. Mes succès personnels m’ont convaincu.

 

Tu entends quoi par nourriture originel?

Gille Lartigot : C’est de la nourriture produite par la terre! Fondamentalement, c’est un légume. Je m’appuie en particulier sur les textes de Charles Darwin, le père de l’évolution, qui dit que l’homme est construit comme un végétarien, il doit donc manger des légumes. Hippocrate, le père de la médecine, était végétarien. Les grands penseurs grecs comme Socrate étaient végétariens. Vous avez aussi Albert Einstein, Confucius, Léonard de Vinci … Vous commencez à vous demander: ces gens sont encore très intelligents!

Je n’aime pas classer les gens: végétariens, végans … Pour moi, ce sont des « cases ». Quoique nous choisissons, il y a des aliments toxiques et des aliments originaux. Si tout le monde ne mangeait que de la viande bio, cultivée « normalement », alors la production se suffirait pas à satisfaire les habitudes alimentaires de tout le monde. Il faudrait rééduquer les gens à n’en manger qu’une fois  par semaine! Ce que faisaient les anciens.

 

Gilles Lartigot Eat 2

Gilles Lartigot Eat 2

Changer d’alimentation, ça apporte quoi ?

Gille Lartigot : La santé. C’est quelque chose de nécessaire. Malheureusement, les gens réalisent souvent leur erreurs alimentaires lorsqu’ils sont malades. C’est dommage alors qu’ils pourraient l’empêcher. Quand vous avez des enfants, vous voulez leur santé. En leur donnant des frites, de la purée de pommes de terre, du Mc Do, du coca ou des bonbons, vous les empoisonnez. Il faut en  être conscient.

Mais quand vous réalisez que vous pouvez manger différemment, que c’est bien et que vous vous amusez, alors vous réalisez que le problème n’est pas l’argent. Les gens dépensent de l’argent pour des médicaments, des substituts de repas, des compléments alimentaires et des vitamines chimiques. Le problème du temps se pose. Le temps a été volé par la société moderne. Nous n’avons plus le temps d’aller au marché,de cuisiner,de s’informer…

Mais ce problème est devenu mondial, et affecte d’autres domaines de la vie. Vous n’avez pas à changer le monde, mais vous devez changer vos habitudes, et la nourriture est à la base de ce changement, car lorsque nous buvons du jus fraîchement pressé, nous ne pensons pas la même chose que lorsque l’on nous buvons du »Gatorade ».

Avec un changement de régime, il y a une sorte d’excitation. C’est comme ouvrir une cage. Manger des aliments toxiques affecte nos pensées. C’est donc une histoire de conscience et chacun a le « clic » pour lui trouver une porte.

Irving Penn, photographe 1917- 2009

Irving Penn, photographe 1917- 2009

Irving Penn était l’un des grands photographes du XXe siècle, connu pour ses images saisissantes de nature morte et ses portraits. Bien qu’il ait été célébré comme l’un des meilleurs photographes du magazine Vogue pendant plus de soixante ans, Irving Penn était un homme qui a évité les feux de la rampe et a poursuivi son travail avec un dévouement calme et implacable.

À une époque où la photographie était d’abord perçue comme un moyen de communication, il l’a abordée avec un œil d’artiste et a élargi le potentiel créatif du médium, tant dans son travail professionnel que personnel.

 

Irving Penn photographe

Irving PENN Photographe

 

Mieux connu pour sa photographie de mode, le répertoire de Penn comprend également des portraits de grands créateurs; photographies ethnographiques du monde entier; Nature morte moderniste de nourriture, d’os, de bouteilles, de métal et d’objets trouvés; et essais photographiques de voyage.

Il a été parmi les premiers photographes à poser des sujets sur un simple fond gris ou blanc et il a effectivement utilisé sa simplicité. Élargissant son environnement de studio austère, Penn a construit un ensemble de toiles de fond inclinées verticales, pour former un coin aigu et dur. Les sujets photographiés avec cette technique étaient John Hersey , Martha Graham , Marcel Duchamp , Pablo Picasso , Georgia O’Keeffe , WH Auden et Igor Stravinsky .

Les compositions de natures mortes de Penn sont clairsemées et très organisées, des assemblages d’aliments ou d’objets qui articulent l’interaction abstraite de la ligne et du volume. Ses photographies sont composées avec une grande attention aux détails, ce qui se poursuit dans son art de développer et de faire des tirages de ses photographies.

Il a expérimenté de nombreuses techniques d’impression, y compris des tirages réalisés sur des feuilles d’aluminium recouvertes d’une émulsion de platine rendant l’image avec une chaleur qui manquait aux tirages argentiques non teintés. Ses impressions en noir et blanc sont remarquables pour leur contraste profond, leur donnant un aspect net et net.

Tout en étant imprégné de la tradition moderniste, Penn s’est également aventuré au-delà des frontières créatives.

 

La naissance d’Irving Penn

Né en 1917 à Plainfield, New Jersey de parents immigrés, Irving Penn a fréquenté la Philadelphia Museum School of Industrial Arts de 1934 à 1938 et a étudié avec Alexey Brodovitch dans son Design Laboratory. Émigré russe travaillant à Paris dans les années 1920, Brodovitch a enseigné les principes de l’art moderne et du design dans des magazines, des expositions et de la photographie.

Après un certain temps à New York en tant qu’assistant de Brodovitch au Harper’s Bazaar et divers emplois de directeur artistique, Irving Penn est allé au Mexique pour peindre en 1941, voyageant à travers le Sud américain et en prenant des photos en cours de route. Il a finalement été déçu par ses tableaux et les a détruits avant de retourner à New York à la fin de l’année suivante. En 1943, le nouveau directeur artistique de Vogue, Alexander Liberman, a engagé Irving Penn comme son associé pour préparer des mises en page et suggérer des idées de couvertures aux photographes du magazine.

 

Irving PENN Photographe

Irving PENN Photographe

 

Liberman, un autre émigré russe qui avait travaillé à Paris, a regardé les planches contact de Irving Penn lors de ses récents voyages et a reconnu « un esprit et un œil qui savait ce qu’il voulait voir ». Il a encouragé Irving Penn à commencer à prendre les photographies qu’il envisageait, lançant une longue et fructueuse carrière ainsi qu’une collaboration qui a transformé la photographie moderne.

Irving Penn, le début d’une réputation

Après la Seconde Guerre mondiale, alors que Irving Penn s’est rapidement forgé une réputation pour son style frappant dans la nature morte et le portrait, Liberman l’a envoyé dans le monde entier pour des missions de portraits et de mode.

Ces expériences formatrices ont confirmé pour Irving Penn l’intérêt de la photographie dans l’environnement contrôlé d’un studio, où il pouvait couper tout ce qui n’était pas essentiel à ses compositions et se concentrer sur ses sujets. Indépendamment de ces missions, Irving Penn a entrepris un projet personnel majeur, photographiant des nus charnus à courte distance en studio  pour « percer la douceur de l’image ».

Irving PENN Photographe miles davis

 

Il s’agissait d’une nouvelle approche de la photographie issue d’une profonde réflexion sur les modèles historiques de l’art antérieur, mais les images étaient jugées trop provocantes et non montrées depuis des décennies.

Irving Penn et Paris

En 1950, Irving Penn est envoyé à Paris pour photographier les collections haute couture de Vogue . Il a travaillé dans un studio de jour avec un vieux rideau de théâtre en toile de fond et a été honoré d’un modèle extraordinaire nommé Lisa Fonssagrives, qu’il a rencontré pour la première fois en 1947. Née en Suède et formée comme danseuse, elle était l’une des mannequins de l’époque les plus recherchées, parce qu’elle avait  une compréhension sophistiquée de la forme et de la posture.

Irving PENN Photographe

Irving Penn a rappelé plus tard: « Quand Lisa est entrée, je l’ai vue et mon cœur battait vite et il n’y avait aucun doute « . Ils se sont mariés à Londres en septembre 1950. Dans le même temps, Irving Penn a également travaillé sur un projet inspiré par les traditions de gravure ancienne, photographiant les métiers comme les bouchers, boulangers, ouvriers qui devenaient représentatifs d’un monde en voie de disparition.

Irving PENN Photographe

 

Irving Penn  et les Nus

IRVING Penn a photographié une série de nus le week-end et le soir en 1949-1950. Attiré par des modèles charnus dont il a capturé les ondulations corpulentes en gros plan, il les a imprimées en utilisant des techniques expérimentales, blanchissant et développant les impressions jusqu’à ce qu’elles prennent une qualité éthérée. Penn a abordé la photographie sur ce projet avec des principes qui allaient à l’encontre de l’élégance brillante  des pages de magazine.

Les voyages d’Irving Penn 

Les voyages d’Irving Penn pour Vogue ont augmenté entre 1964 et 1971, l’emmenant au Japon, en Espagne, au Cameroun,au Dahomey, au Népal, en Crète, en Nouvelle-Guinée et au Maroc. Au cours de ces voyages, Irving Penn était de plus en plus libre de se concentrer sur ce qui l’intéressait vraiment: faire des portraits de personnes à la lumière naturelle.

Irving PENN Photographe

 

Lors des premiers voyages, il a adapté des espaces comme un garage ou une grange, et a noté le rôle crucial d’un environnement neutre pour encourager l’échange respectueux qui l’intéressait. Finalement, cela l’a amené à construire un studio de tentes qui pourrait être démonté et transporté d’un endroit à un autre. Irving Penn sentait « dans ce vide de la tente » qu’ il y avait la possibilité de contact, une expérience émouvante pour les sujets eux-mêmes.

Le travail de Irving Penn a été mis en lumière sur les pages de Vogue , où il était largement diffusé. Cependant, au début des années 1950, les éditeurs ont commencé à sentir que les photographies de Irving Penn étaient trop « sévères » pour le magazine, ses publications ont été réduites et il s’est tourné vers la publicité.

Irving Penn a salué les défis que ce nouveau domaine offrait, en particulier dans les domaines de la photographie de nature morte, et a expérimenté avec des lumières stroboscopiques pour produire des images qui ont véritablement révolutionné  la photographie publicitaire.

La révolution des années 60

Au début des années 1960, les budgets des magazines étaient tendus et la qualité des reproductions offset était en baisse. Bien que Irving Penn ait de nouveau photographié intensivement pour le magazine, il est devenu de plus en plus déçu par la façon dont ses photos apparaissaient sur la page, évitant de les regarder parce qu’ « elles font trop mal ».

robert de niro Irving PENN

La solution fut de lancer un renouveau des techniques d’impression, révolutionnaires à une époque où les tirages photographiques n’étaient pas considérés comme des objets artistiques. À partir de recherches et d’expérimentations approfondies, il a étudié des méthodes du XIXe siècle qui pourraient offrir un plus grand contrôle sur les variations et les tonalités subtiles qu’il recherchait à reproduire. Il a poursuivi ses recherches jusqu’à ce qu’il perfectionne un procédé complexe d’impression dans les métaux platine et palladium.

Les années 70  « le trésor des déchets de la ville »

Au début des années 1970, Irving Penn a fermé son studio de Manhattan et s’est plongé dans l’impression de platine dans le laboratoire qu’il a construit sur la ferme familiale de Long Island, NY. Cela a conduit à trois grandes séries conçues pour le platine: Cigarettes (1972, présentée au Musée d’art moderne en 1975), Street Material (1975-1976, présentée au Metropolitan Museum of Art en 1977) et Archéologie (1979-1980, exposé à la Marlborough Gallery en 1982).

Irving PENN Photographe

Comme sa précédente série Nudes, cette œuvre s’écarte radicalement des usages dominants de la photographie. Bien que beaucoup l’ont trouvée répugnante, Irving Penn a vu dans le sujet « un trésor des déchets de la ville, des formes de couleurs, de taches et de typographies déformées intrigantes ».

 

Les années 80 d’Irving Penn 

En 1983, Irving Penn a rouvert un studio dans la ville et a repris un calendrier chargé de travaux commerciaux et de revues. L’année suivante, il a été honoré d’une rétrospective organisée par John Szarkowski au Museum of Modern Art, qui a fait une tournée internationale jusqu’en 1989.

Irving Penn photographe 14

Après la rétrospective, Irving Penn a repris la peinture et le dessin comme une quête créative, incorporant même l’impression au platine dans sa pratique. Il a également trouvé la liberté de création grâce à une collaboration vivifiante à longue distance avec la designer japonaise Issey Miyake, qui a envoyé ses créations dynamiques et sculpturales à New-York pour que Irving Penn les interprète photographiquement.

Nature morte

À la base du travail de Irving Penn se trouve son talent spécial pour la nature morte auquel il a appliqué sa technique donnant à son travail,  une couleur particulière, une signature. De ses premiers clichés pour Vogue à sa dernière série de travaux personnels, des images puissantes invitant à la contemplation de la conscience aiguë d’Irving Penn sont restées, gravées pour toujours.

al pacino Irving PENN Photographe

 

Irving Penn a fréquemment inclus des éléments de memento mori et des sujets choisis qui pourraient sembler indignes d’un examen attentif, à première vue, ce qui donne à ses images un mordant qui persiste.

 

Les Portraits

Une grande partie du travail de Penn pour Vogue consistait en des portraits de célébrités, d’artistes, d’écrivains et d’autres personnalités pertinentes pour le reportage valorisées par le magazine. Ils constituent une véritable encyclopédie de l’histoire culturelle du XXe siècle.

 

Irving PENN Photographe

 

Pour sa première campagne de portraits, il a mis en place des environnements inhabituels dans le studio pour que ses modèles s’y insèrent et réagissent contre un espace resserré fait de deux murs placés en biais, et un tapis en lambeaux drapé sur une base solide dans laquelle ils pourraient s’asseoir. Ceux-ci indiquent l’intérêt de Penn pour la perturbation, présent dans ses premiers travaux pour le magazine alors qu’il tentait de donner à ses images une granularité qui animerait la page.

Cette pratique a permis à Penn d’affiner sa capacité à reproduire l’environnement sans rien de plus qu’une toile de fond et un tabouret. Il évite les arrière-plans ornés qui pourraient distraire du sujet, dans ses portraits, Penn a cherché à distiller l’essence de son sujet.

 

La mode et Irving Penn 

Tout au long de la longue carrière d’Irving Penn chez Vogue , la mode a été l’élément essentiel de son travail. Dans les années 1940, en utilisant des fonds en papier blanc et des compositions saisissantes pour souligner la forme, il a introduit un style concis dans la photographie de mode qui s’écartait des décors kitsch et fleuris qui définissaient  le genre à l’époque.

Irving PENN centennial

En plus des photographies réalisées en studio de 1950 à 1995, Penn se rendait souvent à Paris pour photographier les collections haute couture pour des magazines. Jusqu’à la fin de sa vie, Penn a utilisé le même rideau de théâtre trouvé à Paris en 1950 comme toile de fond pour transformer une remarquable variété de styles et de dessins en images intemporelles. Dès le début, Irving Penn a cherché à exprimer la forme sculpturale des vêtements, un thème qu’il a exploré dans une collaboration spéciale avec Issey Miyake.

 

La fin de vie d’Irving Penn 

La créativité de Irving Penn a prospéré au cours des dernières décennies de sa vie. Ses portraits innovants, ses natures mortes, ses photos de mode et de beauté ont continué à apparaître régulièrement dans Vogue. Le studio était occupé par des magazines, de la publicité et du travail personnel, ainsi que des projets d’impression et d’exposition.

Irving Penn a adopté avec enthousiasme de nouvelles idées, construisant des appareils photo pour photographier les débris sur le trottoir, expérimentant avec une bande de lumière en mouvement pendant de longues expositions ou avec l’impression couleur numérique.

 

nicole kidman Irving PENN Photographe

 

Les projets de livres étaient également une priorité, et Irving Penn a accordé une attention particulière à leur production, de la conception à la qualité de l’impression. Déterminé à façonner l’ensemble des œuvres qu’il a laissées derrière une carrière aussi prolifique, il a également soigneusement structuré et réduit ses archives.

Particulièrement après la mort de Lisa en 1992, il a cherché du réconfort dans son travail et dans la structure de son horaire de studio, et il peignait la plupart du temps, le soir après le travail et le week-end. En 2009, Irving Penn est décédé à New -York, à l’âge de 92 ans.

 

 

Irving Penn photographe 20

dali Irving PENN Photographe

 

Les expositions d’ Irving Penn

  • 1975  Recent Works, Photographs of Cigarettes, Museum of Modern Art, New York
  • 1975  I Platini di Irving Penn: 25 Anni di Fotografia, Galleria Civica d’Arte Moderna, Turin
  • 1975 Platinum Plates, The Photographers’ Gallery, London
  • 1977  Street Material. Photographs in Platinum Metals, The Metropolitan Museum of Art, New York
  • 1980  Exhibition at the Center for Visual Arts, Oakland, California
  • 1984  a retrospective, The Museum of Modern Art, New York
  • 1986  Printemps des arts de Monte Carlo, Monte Carlo
  • 1990  Master Images, National Museum of American Art and the National Portrait Gallery, Smithsonian Institution, Washington, D.C.
  • 1990  Platinum Test Material, Center for Creative Photography, University of Arizona
  • 1994  I Collection Privée/Privatsammlung, Musée d’Art et d’Histoire, Fribourg, Switzerland
  • 1995 A Donation in Memory of Lisa Fonssagrives-Penn, Moderna Museet, Stockholm
  • 1997 Le Bain: Dancers’ Workshop of San Francisco, Maison Européenne de la Photographie, Paris
  • 1997  A Career in Photography, The Art Institute of Chicago
  • 2001   Objects (Still Lifes) for the Printed Page, Museum Folkwang, Essen
  • 2002  Dancer: 1999 Nudes by Irving Penn, Whitnew Museum of American Art, New York
  • 2002  Earthly Bodies: Irving Penn’s Nudes, 1949–1950, The Metropolitan Museum of Art, New York
  • 2004  Dahomey (1967), The Museum of Fine Arts, Houston
  • 2005  Irving Penn: Platinum Prints, the National Gallery of Art, Washington, D.C.
  • 2008  Close Encounters, Morgan Library & Museum, New York
  • 2009  The Small Trades, J. Paul Getty Museum, Los Angeles: a collection of 252 full-length portraits by Penn from 1950 to 1951
  • 2010  Exhibition at the National Portrait Gallery (London): an exhibit of over 120 portraits of people from the worlds of literature, music and the visual and performing arts
  • 2012 Diverse Worlds, Museum of Modern Art (Moderna Museet), Malmö, Sweden
  • 2013 On Assignment, Pace Gallery, New York City, New York.
  • 2015-2016  Beyond Beauty, career retrospective of 146 photographs at the Smithsonian American Art Museum.
  • 2017 Centennial, Metropolitan Museum of Art, New York City;[21] Irving Penn – Le Centenaire, Grand Palais, Paris.

 

 

picasso Irving PENN Photographe

Irving Penn photographe 5

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Les livres d’Irvin  Penn

  • Moments Preserved. 1960
  • Worlds in a Small Room. 1974. ISBN 978-0-670-79025-8
  • Inventive Paris Clothes, 1909–1939. 1977. ISBN 0-670-40067-X
  • Flowers. 1980. ISBN 0-517-540746
  • Passage. 1991. ISBN 0-679-40491-0
  • Drawings. 1999. ISBN 0-9665480-0-0
  • The Astronomers Plan a Voyage to Earth. 1999. ISBN 0-9665480-1-9
  • Irving Penn Regards The Work of Issey Miyake. 1999. ISBN 0-224-05966-1
  • Still Life. 2001. ISBN 0-8212-2702-5
  • A Notebook at Random. 2004. ISBN 0-8212-6192-4
  • Photographs of Dahomey. 2004. ISBN 3-7757-1449-9

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Livres à propos d’Irving Penn

  • A Career in Photography. Colin Westerbeck. 1997.
  • Earthly Bodies: Irving Penn’s Nudes, 1949-50. By Irving Penn, Maria Morris Hambourg, Metropolitan Museum of Art, 2002.
  •  Platinum Prints. Sarah Greenough, David Summers. 2005.
  •  Small Trades. 2009. ISBN 978-0-89236-996-6
  • Irving Penn Portraits. 2010. ISBN 978-1-85514-417-0
  • Beyond Beauty. Merry A. Foresta. Yale University Press, 2015. ISBN 978-0-300214-901
  • Centennial. Maria Morris Hambourg, Jeff L. Rosenheim, Alexandra Dennett, Philippe Garner, Adam Kirsch, Harald E.L. Prins, Vasilios Zatse., New York: Metropolitan Museum of Art/Yale University Press, 2017. ISBN 978-1588396181
  • Irving Penn: Le Centenaire. Paris: Editions de la Réunion des musées nationaux, 2017.

 

 

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Eric CANTO Photographe : Photos de concerts, portraits, pochettes d’albums.

 

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Mass Hysteria Olympia Artwork

Mass Hysteria Olympia Artwork

Mass Hysteria Olympia est le second live que j’ai fait pour le groupe. Le précédent live, je l’avais shooté au BIKINI à Toulouse. LE BIKINI est LA salle du sud de la France, elle et son boss, le bien nommé Hervé, bon vivant légendaire du rock’n roll, lui et ses fantastiques magrets de canard (…). Pour ce second live, on passait d’une salle fantastique, à une salle mythique : l’Olympia à Paris. Le 5 avril 2013 est donc une date important pour Mass Hysteria et pour moi.

Après une journée à tourner dans les 4 coins de cette salle mythique, une soirée riche en décibels et en sueur, je me suis attelé à créer les visuels des versions CD et DVD de ce double album que je vous laisse découvrir ci-dessous.

 

Mass Hysteria Olympia

Mass Hysteria Olympia : Le concert

Le groupe avait annoncé son passage dans la mythique salle parisienne de L’Olympia pour fêter comme il se doit ses 20 ans. C’est dans une salle complète et bouillante et devant 2200 furieux que le groupe a célébré ses 20 ans.

Pour compléter l’événement, histoire de compliquer la tâche, Mass Hysteria a invité deux formations : The Arrs, ​​qui ouvrira le bal avec un nouvel album en poche à présenter au public, et Punish Yourself, le combo industriel toulousain.

Ce concert fait le tour de la carrière du groupe pour nous offrir probablement le meilleur de La discographie. Le groupe en profite pour réunir le Line Up original pour le plaisir des fans de la première époque.

Le groupe vise haut, mélange les tempos et les ambiances pour créer des moments forts en maintenant ce lien qu’il a toujours eu avec le public. Il s’agit bien d’une des qualités du groupe une proximité et un respect qui lui permet de générer cette furia propre qu’au groupe.

 

Mass Hysteria Olympia

 

Mass Hysteria Olympia est un album de 21 titres pour environ 1h40 de Furia.

Mass Hytseria Olympia l’album live le plus complet du groupe, mais également comme un très beau cadeau pour les fans du groupe.On y retrouve les classiques. Des titres comme  Positif à Bloc, World on Fire, Babylone, Une Somme de Détails….

La version Blue Ray commence par l’installation des mythiques lettres sur la façade de l’Olympia, la célèbre salle de concert parisienne qui a vu passer des milliers d’artistes. C’est cette image qui sert de fond au menu du disque.

Ce Blu-ray propose la vidéo du concert à l’Olympia, le set grandiose du Hellfest et le clip vidéo de « Même si J’explose ».

 

Mass Hysteria Olympia

Mass Hysteria Olympia – Crédit photo Eric CANTO

Mass Hysteria Olympia : deux versions disponibles

« Mass Hysteria à l’Olympia » (VERYCORDS)  disponible en deux éditions :

  • Digipack (2CD + DVD) : en bonus le documentaire « Sur la route des Festivals » (45 min) & Clip « Même si j’explose »
  • Blu-Ray : en bonus le live du Hellfest 2013 (nouveau mixage, nouveau montage) & Clip « Même si j’explose » 

 

Mass Hysteria Olympia - Crédit photo Eric CANTO

Mass Hysteria Olympia – Crédit photo Eric CANTO

mass hystera olympia cd dvd credit photo eric canto 19

 

Mass Hysteria Olympia : Production

Il a été enregistré en live à l’Olympia à Paris le 5 avril 2013.

 

Mass Hysteria Olympia : Liste des titres par support

La version CD de Mass Hysteria Olympia

CD 1

  • Positif à Bloc
  • Tout Doit Disparaître
  • World on Fire
  • Babylone
  • Une Somme de Détails
  • L’Homme S’Entête
  • P4
  • Sur la Brèche
  • Donnez-Vous la Peine
  • Remède

 

CD 2

  • Pulsion
  • Sérum Barbare
  • Vertige des Mondes
  • L’Archipel des Pensées
  • L’Esprit du Temps
  • Même Si J’Explose
  • Knowledge Is Power
  • Respect to the Dancefloor
  • Des Nouvelles du Ciel
  • Contraddiction
  • Furia

 

La version DVD Mass Hysteria Olympia 

  • Positif à Bloc
  • Tout Doit Disparaître
  • World on Fire
  • Babylone
  • Une Somme de Détails
  • L’Homme S’Entête
  • P4
  • Sur la Brèche
  • Donnez-Vous la Peine
  • Remède
  • Pulsion
  • Sérum Barbare
  • Vertige des Mondes
  • L’Archipel des Pensées
  • L’Esprit du Temps
  • Même Si J’Explose
  • Knowledge Is Power
  • Respect to the Dancefloor
  • Des Nouvelles du Ciel
  • Contraddiction
  • Furia

 

mass hystera olympia cd dvd credit photo eric canto 18

mass hystera olympia cd dvd credit photo eric canto 20

 

Mass Hysteria Olympia : Les Crédits

  • Mouss Kelai — chant
  • Yann Heurtaux — guitare
  • Nicolas Sarrouy — guitare
  • Vincent Mercier — basse
  • Raphaël Mercier — batterie et samples
  • Erwan Disez — guitare (sur le morceau Respect to the Dancefloor)
  • Stéphan Jaquet — basse (sur le morceau Respect to the Dancefloor)
  • Pascal Jeannet — chœurs (sur le morceau Respect to the Dancefloor)

 

Une version Blu Ray a également été éditée, mais la piste 5.1 étant défectueuse (contrairement à la PCM et la 2.0) sa commercialisation s’est limitée à la sortie. À noter qu’elle contenait en bonus inédit l’intégralité du concert au Hellfest de 2013.

 

Récompense de Mass Hysteria Olympia

En mars 2018, soit 5 ans après sa sortie, il s’est vendu à plus de 7 500 exemplaires et est certifié vidéo or.

 

Mass Hysteria Olympia - Crédit photo Eric CANTO

 

 

L’histoire du groupe MASS HYSTERIA

Mass Hysteria est né en 1993 dans le 20ème arrondissement de Paris, le groupe est constitué en grande majorité de bretons immigrés. Mass Hysteria enregistre 2 démos avant de produire le premier album. Des démos où la guitare est tenue par Alain Fornassari un ancien de Treponem Pal. Le groupe trouve sa configuration de croisière avec l’arrivée de Pascal aux machines et de Yann Heurtaux à la seconde guitare.

En 1997, le premier album suivi d’un live les placeent au sommet du Métal Industriel. Kmar, le chanteur de No One Is Innocent n’hésite pas à les encenser en affirmant que Mass Hysteria est  » un des seuls trucs qui soit arrivé comme ça, qui a débarqué et qui tient vraiment bien la route » .

 

Et puis, en 2005, c’est la chute : l’album éponyme tente une percée vers la pop rock. A tel point que 3 morceaux sont signés par Miossec… Une déconvenue commerciale qui signe un retour aux sources avec la sortie de « Une somme de détails » en 2007 où l’on trouve Fred de Watcha à la préproduction… Et Emmanuelle Monet (ex Dolly) sur le dernier titre en hommage à son bassiste décédé en 2006.

Un très bon opus qui (re)place Mass Hysteria comme un des leaders de Métal français. Et pourquoi pas une percée hors de l’Hexagone puisque pour « Contraddiction » – déjà – Korn, médusé par la puissance du groupe, évoquera une participation des frenchies à leur US Family Values !

 

Mass Hysteria Olympia - Crédit photo Eric CANTO

 

En juillet 2009, c’est Metallica qui souhaite les voir assurer leur première partie aux Arènes de Nîmes. Un beau défi qui devance de quelques mois la sortie de leur 5ème album sorti fin septembre.

Mais autant de défis scéniques ne pouvaient rester sans récompense : en juin 2011 « Mass Hysteria live » témoigne, une seconde fois dans l’histoire du groupe, de cette puissance ravageuse. Le tout enregistré au Bikini à Toulouse et au Hellfest en Bretagne.

« L’armée des ombres » sort en 2012 suivi un an plus tard d’un autre live enregistré le 5 avril 2013 à l’Olympia et au Hellfest de la même année par Arte. En 2015, Nicolas Sarrouy quitte le groupe remplacé par le guitariste et producteur Fred Duquesne.

En 2016, ils sont de nouveau au Hellfest où ils affirment haut et fort que Clisson est bien en Bretagne !

 

Mass Hysteria Olympia - Crédit photo Eric CANTO

 

Mass Hysteria Olympia - Crédit photo Eric CANTO


 

Eric CANTO Photographe : Photos de concerts, portraits, pochettes d’albums.

 

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BONUS: Critique de l’album Mass Hysteria – A L’Olympia (Live) par  Karnogal de lagrosseradiométal.com

En bonus un retour sur la critique de l’album MASS HYSTERIA à L’Olympia par la grosse radio.com lors de la sortie de l’album en DVD. En Un grand merci à eux pour ce retour intéressant.

Poursuivant son parcours extrêmement riche depuis la sortie de L’Armée des ombres, Mass Hysteria vient de sortir un troisième album live enregistré à l’Olympia en avril 2013 à l’occasion de ses vingt ans. Histoire de poursuivre une année extrêmement riche, la bande se fait également plaisir en proposant cet enregistrement en DVD et Blue Ray. Ben l’ancien va se faire un plaisir de décortiquer ce dernier. Mais d’abord, place au CD!

5 avril 2013. Une date à placer sous le signe de la fête et de la réussite. En effet, Mass Hysteria avait annoncé que ce passage dans la mythique salle parisienne qu’est L’Olympia serait l’occasion de fêter ses vingt ans. Et c’est donc dans une salle complète de chez complète et devant 2200 furieux et furieuses que le groupe a célébré sa double décennie.

Ces furieux et furieuses ont d’ailleurs été particulièrement gâtés. Avec 21 pistes pour environ 1h40 d’indus-metal, À L’Olympia s’affiche non seulement comme l’album live le plus complet du groupe, mais également comme un très beau cadeau pour ses fans.

Mass Hysteria Olympia - Crédit photo Eric CANTO

 

La discographie, composée de sept disques, voit tous ses classiques joués avec une énergie et une rage évidente (même sans les images!). Seul Mass Hysteria est laissé de côté, ce qui n’est surement pas une mauvaise chose pour certains.

Après avoir envoyé du très très lourd avec le totalement efficace « Positif à bloc », Mass Hysteria continu de manœuvrer le bulldozer L’Armée des ombres avec « Tout doit disparaitre ».

Pierre angulaire de ce live, la dernière production de MH voit huit de ses pistes jouées lors de ce concert. Les classiques « P4 », « Donnez-vous la peine » ou encore « Babylone » sont évidemment présents et le plaisir que l’on ressent, aussi bien chez les musiciens que dans les oreilles, est le même que lorsque l’on écoutait ces titres il y a cinq, dix ou quinze ans.

La bande reste fidèle à elle même en terminant sa setlist par des compositions qui ont fait son succès comme « Respect to the Dancefloor » ou la complètement déjantée « Furia ».

Célèbre pour être très proche de son public, Mouss Kelai n’est pas avare en parole et clame régulièrement son amour pour la scène française. Seul bémol, certaines de ses interventions ont été coupées nette. Dommage. Enfin côté son, l’équilibre entre chaque instrument est excellent. On a plus qu’à fermer les yeux et s’imaginer les cinq bonhommes retourner la scène avec frénésie
.
Bilan des courses: À L’Olymbia est un très bon album live avec pour seul défaut son manque de surprise. Les classiques, et seulement les classiques, composent ces deux disques. Des titres comme « Attracteurs étranges » ou encore un « Killing The Hype » auraient été les bienvenues. Mais en dépit de cette petite déception, Mass Hysteria comblera tous ses fans.

 

Mass Hysteria Olympia - Crédit photo Eric CANTO

 

Le son c’est génial, l’image, c’est encore mieux, surtout chez Mass Hysteria qui a toujours apporté à l’aspect visuel de ses créations beaucoup de soin, aidé en cela par l’extraordinaire travail d’Eric Canto.

Pour célébrer dignement ses 20 ans, le groupe investit donc l’Olympia, et c’est tout naturellement que le Blue Ray s’ouvre sur l’installation des mythiques lettres rouges sur la façade de la célèbre salle de concert parisienne.

C’est d’ailleurs cette image qui sert de fond au menu du disque et Mouss le rappellera avec une poignante sincérité durant le concert  » les grands groupes, ils sont blasés …pour eux, l’Olympia, c’est un showcase, mais pour nous, c’est 20 ans pour arriver à ça, et un putain de bonheur ! »

Dans le détail, le blue-ray propose la vidéo du concert à l’Olympia (set entier ou accès par titre), le set hallucinant du Hellfest et la vidéo de « Même si J’explose ». Dans le détail, le blue-ray propose la vidéo du concert à l’Olympia (set entier ou accès par titre), le set hallucinant du Hellfest et la vidéo de « Même si J’explose »  C’est un peu léger et cela me donne l’occasion de souligner une légère déception, dans ce format, point de documentaire sur la tournée des festivals de l’été, uniquement disponible sur le DVD.
Côté audio, c’est le classique choix : stéréo ou 5.1.

Avant de revenir sur le concert parisien, parlons du clip. C’est une pure merveille ! Esthétiquement très travaillé avec un sublime rendu noir et blanc, des ralentis et des gros plans de toute beauté, cette vidéo referme magnifiquement le visionnage (eh oui, je commence par la fin, comme dans un roman qu’on attend avec impatience).

Le concert du Hellfest… à part vous conseiller d’aller lire le report publié fin juin, que dire ? Que Mouss était définitivement dans une très grande forme ce jour-là, insufflant une énergie diabolique à cette prestation, que le groupe et le public ne faisait qu’un, et que rien que pour l’image du circle pit sur « P4 » avec Mouss, Nico et Yann encerclés par une marée humaine tourbillonnante, l’achat de cette vidéo est purement indispensable !

Inutile d’en dire plus, si ce n’est peut-être que la durée du set (45 minutes) confère à ce gig une atmosphère d’urgence encore plus palpable que sur un concert classique du combo.

 

mass hystera olympia cd dvd credit photo eric canto 22

 

Mais abordons maintenant le véritable objet de cette chronique (en essayant de ne pas trop être redondant avec ce que Karnogal vient de vous dire (et auquel j’adhère tout à fait).

On démarre avec l’entrée dans la salle (chargée d’histoire) entrecoupée de courte interviews de fans. Sur scène, le noir se fait et l’intro voit des percussions japonaises martelées un rythme lancinant, tandis qu’en milieu de scène se dressent les deux personnages qui illustrent la pochette de L’Armée des ombres. Un long moment de calme, de fascination, d’immobilisme terminé par un noir assez long. Lorsque la lumière revient, le quintet est sur scène et c’est l’explosion avec l’ouverture sur « Positif à bloc ».

Visuellement, c’est simple, c’est la première fois que je regarde une vidéo de concert qui donne REELLEMENT l’impression d’assister au spectacle, d’être totalement immergé dans l’action. Le secret ?

En plus des prises de vue habituelles, des caméras dans le public, ou bien en fond de salle mais filmant à ras des spectateurs donnent un réalisme hors norme à cette captation (y compris quand les cadreurs se font embarquer dans les mouvements de foule !).

La réalisation est très organique (sans surjouer dans le montage épileptique) et j’ai particulièrement apprécié la discrétion des cameramen sur scène qu’on ne voit quasiment pas dans le montage

Quelques lignes plus haut, j’ai parlé de quintet, mais c’est faux, car ce soir-là, encore plus que les autres, outre Mouss, Yann, Nico, Vincent et Raphaël, il faut aussi compter le public, omniprésent (sur Babylone, c’est juste époustouflant !), ressemblant autant à un océan déchaîné qu’à un lac de lave en fusion. Un mouvement permanent secoué de spasmes, de convulsions.

Et puis il y a ces visages, proches de l’extase, ces regards dans lesquels on lit la ferveur, mais aussi la reconnaissance, le plaisir de voir le chemin parcouru, tous ces fans connaissant tous les textes du premier au dernier mot…Une osmose qui atteint peut-être son paroxysme sur les morceaux les plus calmes, notamment « Remède » (et tant pis si ce titre voit Mouss être approximatif dans sa justesse).

Une foule qui mange littéralement dans la main du vocaliste, qui s’exécute lorsque celui-ci lui demande de se séparer en deux pour un braveheart (difficile à mettre en place dans l’exiguïté de la salle, mais qui donne lieu à une mémorable bataille !).

La soirée défile à grande vitesse et pour donner une dimension encore plus humaine à cette célébration, le groupe remercie son staff dans un superbe hommage (ingé son, light) mais appelle aussi les anciens membres et même tous les gamins des musiciens (il faut voir l’émotion et la fierté de Yann, prenant son bout de chou dans les bras et venant se poster en milieu de scène) avant une version ultra festive de « Respect to The Dancefloor ».

Le final est carrément surprenant avec l’arrivée de danseuses brésiliennes avant « Furia » (un joli clin d’œil aux grandes heures de ce temple parisien de la variété).

Que vous aimiez Mass Hysteria ou que vous souhaitiez simplement découvrir ce groupe, précipitez-vous sur ce témoignage live car il est aussi impressionnant que fidèle à tout ce que ce combo peut représenter dans le paysage métal français. Un must !

 

Retour sur l’histoire du Heavy Métal

Pendant les années 60, la musique rock était un élément fondamental du divertissement collectif.

Pendant ce temps, une autre vague musicale s’est également développée, connue sous le nom de heavy métal, dérivée de grands interprètes avec une toute nouvelle approche des compositions de chansons et des performances live.

Il a été largement accepté par des millions de jeunes, qui se sont immédiatement identifiés avec ses paroles et son visuel.

Des sons intenses et puissants de riffs déformés et des motifs de batterie uniques, accompagnés d’une forte présence de la guitare électrique et des sons stridents typiques du genre dont il est dérivé, c’est la marque de ce style musical.

Bien que l’apparition de ce genre se soit produite fin des années 60, sa popularité continue de croître aujourd’hui, on peut donc affirmer avec certitude que le heavy métal sera toujours présent et résonnera.

 

heavy métal

Heavy Métal

Origines du heavy métal : comment le terme a-t-il été créé ?

L’origine de ce mot provient de plusieurs sources, il est donc difficile de déterminer exactement où il a été créé.
Cependant, certaines théories semblent répondre à cette question.

Bien que le mot dérivé du célèbre romancier William Burroughs soit largement accepté, qui inclut dans l’un de ses romans un personnage dont le surnom est «le garçon de heavy métal», le terme remonte au 19e siècle.

Le terme est apparu pour la première fois dans les paroles du célèbre album de Steppenwolf «Born to be Wild» (1968) et en 1970, les critiques de musique faisaient déjà référence au terme heavy métal Music comme un style spécifique et unique.

Si nous remontons à la naissance du heavy métal, il y a un grand fond de musique classique.
Des guitaristes expérimentés dans la musique classique ont développé de nouvelles formes d’accords et de progressions solo.

 

 l'histoire du Heavy Métal

Rammstein concert Retour sur le concert et la tournée Rammstein

Cette influence a donné naissance à une approche complètement nouvelle des compositions, de l’énergie, de l’atmosphère, des solos de guitare, des voix, des paroles et des performances live.

Les musiciens ont commencé à s’écarter des sonorités classiques standard et les ont mélangées à de lourds riffs et motifs de batterie.
Les paroles avaient un thème de base et tournaient autour d’un message personnel. Les chansons devenaient de plus en plus ciblées et politiques.

Dans les années 1960, le heavy métal s’est propagé dans les esprits musicaux du monde et a gagné une place solide sur presque tous les continents.

 

 l'histoire du Heavy Métal

AVATAR-metal-band-concert-festival-nimes-credit photo Eric CANTO

Précurseurs du heavy métal

L’histoire du heavy métal est un peu déroutante, et il n’est pas possible de dire exactement où et quand il est apparu.

Ceci grâce au fait que ce genre a différentes influences musicales, c’est-à-dire que différentes régions du monde ont apporté une contribution significative au concept qui existe aujourd’hui.

On sait qu’au milieu des années 1960, de nombreux groupes britanniques ont exercé une véritable influence pour renforcer les fondations du heavy métal. Ce sont ces artistes qui ont grandement contribué à ce que nous savons maintenant du heavy métal.

Des groupes comme Cream, The Jeff Beck Group et The Yardbirds ainsi que des professionnels comme Jimmy Hendrix étaient connus pour faire des rythmes de batterie lourds, des riffs déformés et uniquement des basses profondes.

Ces styles n’avaient jamais été expérimentés auparavant. Ces nouvelles formes ont détourné la musique rock centrale basée sur le blues vers une approche plus lourde (heavy métal) et de ces mélanges, il a été possible de valider que ce nouveau mouvement allait complètement secouer toute l’industrie du rock.

 

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De nombreuses théories indiquent que ceux qui ont suivi les traces des artistes susmentionnés et ont commencé à jouer du vrai heavy métal étaient le groupe Black Sabbath.

Puisqu’ils ont réussi à intégrer le heavy du genre avec d’autres éléments caractéristiques, grâce à leur succès, ce groupe a ouvert la voie à de nombreux autres qui s’ajouteront à la liste des groupes de heavy métal au cours des prochaines années.

Ces nouveaux mixages sonores sont devenus de plus en plus populaires dans les années 70 par des groupes de pionniers anglais comme Led Zeppelin et Deep Purple, qui ont complètement modelé le concept actuel du heavy métal.

Bien sûr, il existe de nombreux autres noms de groupes qui sont également apparus simultanément.

 

Heavy Métal

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Comment le heavy métal a-t-il marqué l’histoire ?

La musique est une forme d’expression qui agit comme une entité libérant de l’énergie. Par conséquent, beaucoup pensent que le heavy métal incite à la violence. Le heavy métal représente surtout l’expression de sentiments négatifs.

Cependant, la musique à elle seule n’encourage pas les actes de vandalisme ou le non-respect de la loi. Depuis que le genre a atteint le sommet de sa popularité, beaucoup se sont fortement prononcés contre lui. Une chose est claire : tout le monde ne partage pas la même idéologie et peu se reconnaissent dans les paroles, les sentiments et les situations que la plupart des artistes du genre décrivent dans leurs compositions.

Le heavy métal a toujours été au centre des critiques depuis son apparition et certains groupes politiques ainsi que des universitaires l’ont blâmé pour avoir poussé au crime et à la violence.

Les amateurs de heavy métal ont noté qu’il n’y avait pas de lien entre la violence et la musique, au contraire, il a exploré un large éventail de possibilités d’expression à travers son son puissant.

Le heavy métal a émergé dans le but d’exprimer les sentiments que beaucoup réprimaient, et sa popularité a augmenté parce que des millions de personnes partageaient les mêmes sentiments que cette musique a réussi à transmettre.

 

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Beaucoup des premiers groupes de heavy métal, tels que Led Zeppelin, Deep Purple, Uriah Heep et UFO, sont maintenant considérés, au sein de la communauté métal actuelle, comme des groupes de heavy métal au sens où vous l’entendrez aujourd’hui, mais plutôt comme des groupes de hard rock.

Beaucoup de ces groupes ne se revendiquent pas du heavy métal, même s’ils admettent, que grâce à leurs œuvres, le développement du genre. À cette époque, ainsi que dans les années 70, les concepts de heavy métal et de hard rock étaient en fait à peu près synonyme.

 

 

Pour illustrer la confusion des genres qui en résultent, on peut citer le groupe de rock progressif Jethro Tull, qui n’est pas considéré comme un groupe de heavy métal et qui n’a jamais prétendu appartenir à ce genre, mais qui a marqué l’esprit avec l’album Aqualung (1971) 72 , dans un style similaire aux codes du heavy métal, le groupe a reçu après de nombreuses années un Grammy Award du meilleur album du genre pour « Crest of a Knave (1987) ».

Un autre groupe qui flirte également avec les frontières encore floues entre le rock psychédélique et le heavy métal: Hawkwind, notamment sa chanson Master of the Universe (1971). De nombreux artistes précurseurs de métal sont également considérés comme des précurseurs punk tels que The Stooges, MC5, Grand Funk Railroad, The Who, The New York Dolls, The Troggs et Blue Cheer.

 


 

Eric CANTO Photographe : Photos de concerts, portraits, pochettes d’albums.

 

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Pochette d’album: La relation entre l’artwork et la musique

Pochette d’album: La relation entre l’artwork et la musique

Pochette d’album : comme le suggèrent les lois de la physique, vous verrez les choses avant de les entendre. Ce n’est pas différent quand il s’agit d’écouter un album ou une chanson, car le plus souvent, avant d’appuyer sur la lecture, la première chose qui attirera votre attention est la Pochette d’album, son esthétisme, ses couleurs, son message…

Dans cet article, je vais explorer la relation entre la musique et les œuvres d’art, en détaillant son importance pour améliorer l’expérience de l’auditeur, mais aussi, comment les œuvres d’art ont changé et continueront de changer à l’ère numérique.

 

 

Pochette d’album: Relation entre l’œuvre d’art et la musique

Bien qu’il puisse sembler qu’un album soit centré uniquement sur la musique, l’illustration ornant sa pochette est essentiellement l’équivalent de la couverture d’un livre. En effet, la musique est une expérience qui met tous nos sens en éveil. L’auditeur va ressentir l’émotion générée par l’univers de l’artiste,  parce que la musique va nourrir son imagination. C’est pour cette raison que l’artwork est important dans la musique.

En conséquence, les œuvres d’art et la musique vont de pair.
Les clips vidéo font partie intégrante de l’industrie musicale et il en va de même pour les illustrations de votre album.

L’œuvre d’art sert de portail à ce que l’auditeur peut attendre d’un album, et même à quel type de musicien se cache derrière la créativité.
Des couvertures d’album solides font une déclaration, car après tout, cette imagerie est l’occasion de faire la bonne première impression.

De nos jours, avec les nombreux progrès technologiques, les fabricants de disques sont capables de produire un kaléidoscope de vinyles de toutes les couleurs et de tous les motifs.l’aspect visuel sert un projet musical, le met en avant et influence le public.

Ainsi, le vinyle physique lui-même devient partie intégrante de l’œuvre d’art et à son tour partie intégrante de l’expérience musicale collective. On écoute aussi avec les yeux.

 

pochette d'album olivia ruiz

Pochette d’album

Pochette d’album : L’évolution de l’oeuvre dans l’industrie musicale actuelle

Avant Internet, la musique ne pouvait être achetée que dans un format physique et, par conséquent, l’emballage et la présentation d’un album étaient primordiaux pour assurer son succès commercial.

Les artistes avaient une toile en carton de 30 x 30 cm ou une boîte en plastique de 10 x 10 cm pour embellir les albums avec des illustrations qui inciteraient les auditeurs à prendre en mains l’objet, le découvrir pour finalement l’acheter.

De nos jours, les pochettes d’album et de single apparaissent comme de minuscules carrés sur nos bibliothèques de musique et nos sites de streaming. Pourtant, malgré cette miniaturisation, ces aides visuelles sont toujours d’actualité.

 

 

Pochette d'album

Pochette d’album : Avons-nous encore besoin d’une cover, d’un artwork ?

La musique n’est pas seulement une expérience auditive. C’est une affaire multi sensorielle qui déclenche toutes sortes de sentiments et d’émotions.”

Lorsque nous écoutons de la musique, nous voulons ressentir d’une certaine manière, être transporté dans un endroit entièrement différent, et laPochette d’album peut aider à le faire.

La sensation de toucher est également quelque chose qui améliore l’expérience d’écoute.

Malgré la récente augmentation des sites de streaming musical, les ventes de vinyles ont continué d’augmenter au cours des cinq dernières années environ, ce qui a donné aux artistes la liberté de travailler sur une plus grande toile.

Quoi qu’il en soit, il est quelque chose de spécial et profondément personnel de placer un vinyle sur une platine et d’écouter un album tout en ayant la pochette à portée de main.

Et n’oublions pas que pour un artiste, se créer une identité artistique est primordiale pour se démarquer et se faire un nom. L’identité visuelle de l’artiste (typographie, charte graphique, une histoire, pochettes, affiches de concerts…) est donc primordiale pour que son nom et projet musical soient reconnus.

 

 

Pochette d'album

 MASS HYSTERIA « TRIANON »Pochette d’album

 

Sur la plupart des versions de luxe, les artistes ont tendance à inclure des illustrations d’accompagnement, des photographies, des livrets de paroles, qui sont tous conçus pour l’interaction.

Cela nous amène également à l’un des aspects les plus sous-discutés de l’attrait esthétique des couvertures de vinyle : la texture.

Certaines pochettes sont fabriquées avec un extérieur brillant, tandis que d’autres optent pour un style parchemin plus rugueux.

Cet aspect de la création de pochettes d’album joue sur le toucher.
C’est une caractéristique que l’on retrouve chez les lecteurs. Toucher le livre apporte une certaine dimension à sa lecture. Il en va de même pour les vinyles.

Même si les illustrations d’album sont maintenant (principalement) réduites à une minuscule vignette sur nos écrans, c’est toujours un aspect si important du processus de création d’un monde pour un album particulier.

Donc, afin de répondre à la question de savoir si nous avons encore besoin de pochettes d’album, je vous laisse avec une pensée : imaginez ce que ce serait, si tous les CD, vinyles, albums numériques que vous possédez n’avaient pas d’illustration.

 


 

Eric CANTO Photographe : Photos de concerts, portraits, pochettes d’albums.

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FAQ sur les Pochettes d’Album

Qu’est-ce qu’une pochette d’album ?

C’est un élément clé de la présentation visuelle d’un album musical. Elle est souvent constituée d’une image ou d’une illustration, accompagnée du nom de l’artiste, du titre de l’album et éventuellement d’autres informations. La Pochette d’album peut également contenir les paroles des chansons, les crédits de l’album, les remerciements ou autres éléments qui peuvent être pertinents pour le projet musical.

Quels sont les différents types de pochettes d’album ?

Il existe différents types de pochettes d’album, allant de simples photographies en noir et blanc à des illustrations complexes et colorées. Certaines pochettes d’album mettent en avant l’image de l’artiste, tandis que d’autres se concentrent sur une idée ou un concept en particulier. Les pochettes d’album peuvent également varier en termes de taille et de forme, allant de petits formats pour les CD à des Pochette d’album plus grandes pour les vinyles.

Qui crée les pochettes d’album ?

Les pochettes d’album peuvent être créées par des graphistes, des designers, des illustrateurs ou même des artistes eux-mêmes. Les artistes ont souvent une vision claire de ce qu’ils veulent pour leur Pochette d’album  et peuvent travailler avec des designers pour réaliser cette vision. Dans d’autres cas, les labels peuvent embaucher des graphistes ou des designers pour travailler sur la pochette de l’album.

Comment la pochette d’album peut-elle influencer l’expérience d’écoute ?

La Pochette d’album peut jouer un rôle important dans l’expérience d’écoute d’un album. Elle peut évoquer des émotions et des sentiments, ou offrir un aperçu visuel de l’ambiance et du ton de l’album. En tant qu’élément clé de l’identité visuelle de l’album, la pochette peut également influencer la façon dont les auditeurs perçoivent l’artiste et le projet musical dans son ensemble.

Quelles sont certaines des pochettes d’album les plus emblématiques de l’histoire de la musique ?

Il y a de nombreuses pochettes d’album iconiques dans l’histoire de la musique. Voici quelques exemples :

  • « Abbey Road » des Beatles : l’image des quatre membres du groupe traversant un passage clouté est l’une des images les plus emblématiques de l’histoire de la musique.
  • « Nevermind » de Nirvana : l’image d’un bébé nageant sous l’eau pour attraper un billet de un dollar est devenue une icône culturelle.
  • « The Dark Side of the Moon » de Pink Floyd : la pochette représente un prisme lumineux traversant un triangle, un visuel qui est devenu indissociable de la musique elle-même.

 

Comment créer une pochette d’album?

Il y a plusieurs façons de créer une pochette d’album, mais voici quelques étapes générales pour vous aider à démarrer:

  • Définissez le concept et le thème de votre album: pensez à ce que vous voulez communiquer à travers votre musique et à ce qui représente le mieux l’essence de votre travail. Cela peut vous aider à définir le style visuel de votre pochette d’album.
  • Trouvez un designer graphique ou un photographe: Si vous n’êtes pas un expert en conception graphique ou en photographie, il peut être utile de faire appel à un professionnel pour créer votre pochette . Assurez-vous de trouver quelqu’un qui comprend votre vision artistique et qui peut travailler en étroite collaboration avec vous pour réaliser votre projet.
  • Sélectionnez une image ou une illustration: Si vous travaillez avec un photographe, discutez avec lui des images que vous souhaitez utiliser. Si vous travaillez avec un designer graphique, vous pouvez envisager d’utiliser une illustration ou une création numérique. Assurez-vous que l’image que vous choisissez est de haute qualité et convient à la taille de la pochette d’album .
  • Concevez votre pochette : travaillez avec votre designer graphique ou photographe pour créer un design qui reflète votre concept artistique. Assurez-vous que le nom de l’artiste et le titre de l’album sont clairement visibles, ainsi que les informations nécessaires telles que le nom du label et les crédits de production.
  • Soignez les détails : la pochette de votre album est souvent le premier point de contact avec votre public. Assurez-vous que le design est cohérent avec votre image artistique et le thème de l’album. Prenez le temps de vérifier les détails tels que les couleurs, les polices et les images pour vous assurer que tout est cohérent et professionnel.
  • Imprimez votre pochette d’album: une fois que vous êtes satisfait de votre design final, il est temps de l’imprimer. Trouvez une imprimerie qui peut imprimer des pochettes d’album et assurez-vous que le design est imprimé sur un support de haute qualité.

 

Comment trouver des inspirations pour des pochettes d’album ?

Il existe de nombreuses façons de trouver de l’inspiration pour les pochettes d’album. Voici quelques idées pour vous aider:

  • Recherchez les pochettes d’albums de vos artistes préférés: Analysez les pochettes d’album d’artistes que vous appréciez pour voir comment ils ont représenté leur musique visuellement.
  • Parcourez les galeries d’art: Visitez des galeries d’art pour découvrir des œuvres qui peuvent inspirer votre pochette . Les expositions de photographie, de peinture ou de design peuvent fournir des idées intéressantes pour votre design.
  • Parcourez les sites web de design graphique: Il existe de nombreux sites web qui présentent des conceptions graphiques pour les pochettes d’album et d’autres projets. Parcourez ces sites pour voir les tendances actuelles et pour trouver de l’inspiration pour votre propre pochette .

 

Quels sont les différents types de pochettes d’albums?

Il existe de nombreux types de pochettes d’albums, chacune avec ses propres caractéristiques et avantages. Voici quelques-uns des types les plus courants :

  • Pochette standard : Il s’agit de la pochette d’album la plus courante pour les albums, généralement en papier cartonné avec une ouverture sur le côté pour insérer le disque. Elle peut comporter des illustrations, des photos ou des textes pour l’artwork.

 

  • Pochette gatefold : Une pochette gatefold s’ouvre comme un livre et a généralement plus d’espace pour les illustrations ou les photos. Elle peut contenir un livret ou un poster à l’intérieur, ou un disque supplémentaire.

 

  • Pochette en digipack : Il s’agit d’une pochette en carton pliable qui ressemble à une boîte à CD. Elle peut avoir plusieurs panneaux pour des illustrations ou des photos, ainsi qu’un livret.
    Pochette en jewel case : Il s’agit d’une pochette en plastique rigide qui s’ouvre comme un livre et contient un livret. Elle est souvent utilisée pour les CD.

 

  • Pochette en vinyle coloré : Certaines pochettes pour les disques vinyles sont fabriquées à partir de vinyle coloré, ce qui ajoute un aspect visuel unique à la pochette d’album.

 

Comment peut-on créer une pochette d’album ?

Il y a plusieurs façons de créer une pochette d’album. Si vous êtes un artiste professionnel, vous pouvez embaucher un graphiste pour créer la pochette pour vous. Si vous êtes un artiste indépendant, vous pouvez créer vous-même la pochette à l’aide d’un logiciel de conception graphique comme Adobe Photoshop ou Illustrator.

Voici quelques étapes de base pour créer une pochette d’album :

  • Définir le concept et le thème de la pochette d’album
  • Sélectionner les images ou les illustrations qui seront utilisées pour l’artwork
  • Définir la police de caractères et la disposition pour le titre et les crédits de l’album
  • Créer une maquette pour avoir une idée de l’ensemble de la pochette d’album
  • Obtenir les autorisations pour les images et les illustrations utilisées si elles ne sont pas de votre propriété
  • Finaliser la conception et enregistrer les fichiers pour l’impression

 

Il est important de se rappeler que la pochette d’album est souvent le premier point de contact entre l’auditeur et l’artiste, il est donc crucial de créer une pochette d’album qui attire l’attention et reflète l’esthétique de l’artiste.

Festival les Déferlantes Sud de France depuis 2007

Festival les Déferlantes Sud de France depuis 2007

Les Déferlantes est un festival de musique incontournable en France, qui se déroule chaque été depuis 2007 à Argelès-sur-Mer, dans le sud de la France. Ce festival attire des milliers de fans de musique chaque année, grâce à une programmation éclectique qui met en vedette des artistes internationaux et nationaux de renom.

Le festival « Les Déferlantes » est un festival de musique qui se déroule chaque année en France, à Argelès-sur-Mer, dans les Pyrénées-Orientales. Il est organisé depuis 2007 et accueille chaque été des artistes nationaux et internationaux de renom dans différents genres musicaux, tels que le rock, la pop, l’électro, le hip-hop, le reggae, etc.

Le festival se déroule sur plusieurs jours et offre aux spectateurs des concerts, des animations et des activités variées. Le site du festival est situé en bord de mer, ce qui permet également de profiter de la plage et de l’environnement naturel de la région.

En plus de sa programmation musicale, le festival est également connu pour son engagement en faveur de l’environnement, avec une politique de développement durable et une sensibilisation du public à l’écologie.

Le festival Les Déferlantes propose une programmation variée, qui s’adresse à tous les goûts musicaux. Des artistes de renommée mondiale comme Muse, Depeche Mode et Arctic Monkeys ont déjà participé au festival, mais il y a aussi de la place pour les artistes émergents et les talents locaux. Le festival accueille également des DJ sets pour les fans de musique électronique.

 

Festival les Déferlantes Sud de France

Festival les Déferlantes Sud de France

 

Festival les Déferlantes Sud de France

La mer, un château, les vignes pour seul décor. Quatre jours de musique, de partage, de sourires, de rencontres et de découvertes sous le soleil catalan… Vivement l’été !

 

La naissance du Festival les Déferlantes Sud de France

Né de la rencontre de deux amis, David Garcia, programmateur au Médiator de Perpignan et Christophe Samitier, organisateur de soirées électro, l’événement illumine la belle région catalane et lui permet d’accueillir les plus grands noms du monde entier de Sting à Iggy POP en passant par Lenny Kravitz sans parler des Français comme -M-, IAM et une bonne liste de découvertes locales.

«Nous avions organisé Argelès Rock au printemps 2005 et lorsque les femmes méditerranéennes ont quitté Valmy Park, nous avons demandé à la communauté de changer de musique. Souvenez-vous de David Garcia qui, en 2007, avec l’aide de son ami le musicien Cali, a écrit sa première édition. Lors de la programmation, le directeur du festival explique d’abord la question des têtes d’affiche:  »

 

Festival les Déferlantes Sud de France

 

 

Je me demande s’ils ne me coûteront pas un bras car les frais ont augmenté ces dernières années. Les premières offres aux artistes remontent à presque un an plus tôt. En fait, on nous informe qu’un musicien va tourner et on décide de se positionner dessus ou non. Cela s’applique à la fois aux têtes d’affiche et aux autres musiciens prévus. Cela peut prendre quelques mois avant le premier retour.»

L’avantage du Festival les Déferlantes Sud de France est leur capacité à plaire à toute la famille quels que soient leurs goûts musicaux. Pour s’en assurer, il faut prendre des décisions: « Nous essayons de trouver un équilibre pour nous assurer qu’une soirée n’est pas juste du rock ou du vintage par exemple. Nous nous assurons que le public trouve au moins deux artistes qui ils sont adorer puis découvrir. Il peut découvrir quelqu’un d’une autre génération ou quelque chose de nouveau. Nous nous assurons d’avoir un large spectre artistique.  »

Ces passionnés de musique veulent stimuler la découverte et continuer à se connaître puis la partager … Pour y parvenir, ils attirent les festivaliers avec l’aide de grands noms avant de proposer leurs enregistrements du cœur de demain. À cela s’ajoute la présence de la scène Nouvelle Vague, dans laquelle seuls des artistes régionaux apparaissent.

Et la formule est payante: «En 2015, nous avions Christine and the queen, qui avaient très peu de date cet été. Nous en sommes très fiers. Nous avons également eu Arcade Fire en 2010. Plus personnellement, nous avons programmé les Spécials qui sont le groupe de ma vie. Nous devons également nous rappeler que nous sommes à Argelès, où il n’y a pas de grande salle, donc tout ce que nous avons est déjà génial.»

 

Festival les Déferlantes Sud de France

FESTIVAL LES DÉFERLANTES

L’engagement du festival Les déferlantes

Le festival Les Déferlantes est engagé en faveur de l’environnement et de la responsabilité sociale. Voici quelques exemples de son engagement :

  • Développement durable : Le festival met en place des actions pour limiter son impact sur l’environnement. Par exemple, il encourage les festivaliers à venir en transport en commun, en covoiturage ou à vélo. Il utilise également des énergies renouvelables, comme des panneaux solaires, pour alimenter une partie des équipements. Les déchets sont triés et recyclés autant que possible.
  • Responsabilité sociale : Le festival encourage l’inclusion sociale et la diversité. Il travaille avec des associations locales pour proposer des activités aux personnes en situation de handicap ou en difficulté sociale. Il offre également des opportunités d’emploi et de formation pour les jeunes de la région.
  • Sensibilisation du public : Le festival sensibilise les festivaliers aux enjeux environnementaux et sociaux à travers des animations et des actions de sensibilisation. Il propose également des espaces de rencontre et de débat pour discuter de ces enjeux avec le public.
  • Soutien aux associations : Le festival soutient des associations locales en leur offrant une visibilité sur le site et en leur permettant de collecter des fonds. Il organise également des actions de solidarité pour soutenir des causes sociales et environnementales.

L’ensemble de ces actions témoigne de la volonté du festival Les Déferlantes d’être un acteur responsable et engagé sur les plans social et environnemental.

Donnez vie à la région…

Sur place, les festivaliers sont étonnés de ne pas avoir l’habitude de voir de grands noms chez eux, de ne pas voir de concert dans cette belle ville au bord de la mer. Il n’est pas rare de leur parler uniquement pour les entendre raconter qu’ils sont heureux lorsqu’une affiche principale évoque le nom d’Argelès-sur-Mer.

Un sentiment que le réalisateur partage toujours: « Quand j’en parle, ça me fait peur. Le montage du festival est encore compliqué. On est dans les profondeurs de la France, il faut 5h30 en train pour arriver de Paris Joe Cocker, Lenny Kravitz, Sting … les voir dans la région était inimaginable il y a encore un certain temps. Avant de devoir faire tout un voyage pour les voir, ce n’est pas à tout le monde qui peux se payer une nuit d’hôtel, le transport, les billets…c’est un sacré coût  », a-t-il déclaré.

Le lieu lui-même est un atout essentiel de l’événement: « Dans les Pyrénées-Orientales il y a des châteaux, la mer et les montagnes. Et quand il s’agit du Festival les Déferlantes Sud de France, il y a tout. C’est comme à Paris au même endroit que vous pourriez trouver le Louvre et la Tour Eiffel.  »

 

FESTIVAL LES DÉFERLANTES

FESTIVAL LES DÉFERLANTES

Toutes les informations pratiques sur le Festival les Déferlantes

  • Date : Le festival Les Déferlantes se déroule chaque année sur plusieurs jours en été. Les dates exactes peuvent varier d’une année à l’autre, mais elles sont généralement annoncées plusieurs mois à l’avance. Il est conseillé de consulter le site officiel du festival pour connaître les dates de l’édition en cours.
  • Lieu : Le festival se déroule à Argelès-sur-Mer, une ville située dans les Pyrénées-Orientales, dans le sud de la France. Le site du festival est situé à proximité de la plage, sur l’Esplanade de la Mer.
  • Accès : Le festival est accessible en voiture, en train ou en avion. Si vous venez en voiture, vous pouvez utiliser les autoroutes A9 ou A61 pour vous rendre à Argelès-sur-Mer. Si vous venez en train, la gare la plus proche est la gare d’Argelès-sur-Mer, à environ 3 km du site du festival. En avion, vous pouvez atterrir à l’aéroport de Perpignan-Rivesaltes, situé à environ 30 km d’Argelès-sur-Mer.
  • Hébergement : Il existe de nombreuses options d’hébergement à Argelès-sur-Mer et dans les environs, notamment des hôtels, des campings et des locations de vacances. Il est recommandé de réserver votre hébergement à l’avance, car les disponibilités peuvent être limitées pendant la période du festival.
  • Billets : Les billets pour le festival Les Déferlantes sont disponibles à l’achat sur le site officiel du festival, ainsi que dans certains points de vente physiques. Les tarifs varient en fonction des jours et des artistes programmés. Il est conseillé de réserver vos billets à l’avance, car le festival peut être complet certains jours.
  • Infos pratiques : Sur le site du festival, vous pouvez trouver des informations pratiques sur les horaires, les consignes de sécurité, les moyens de paiement acceptés, les points de restauration et les activités proposées sur le site.

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FAQ

Questions générales

Q : Quand aura lieu le Festival Les Déferlantes ?

R : Le Festival Les Déferlantes aura lieu du jeudi 7 juillet au dimanche 10 juillet.

Q : Où se déroule le Festival Les Déferlantes ?

R : Le Festival Les Déferlantes se déroule sur le site du Parc de Valmy, à Argelès-sur-Mer, dans le sud de la France.

Q : Comment puis-je obtenir des billets pour le Festival Les Déferlantes ?

R : Les billets pour le Festival Les Déferlantes peuvent être achetés en ligne sur le site officiel du festival ou dans les points de vente autorisés.

Q : Y a-t-il des mesures de sécurité spéciales en place pour le Festival Les Déferlantes ?

R : Oui, le Festival Les Déferlantes dispose d’un plan de sécurité complet qui est mis en place pour garantir la sécurité de tous les participants. Cela comprend des fouilles à l’entrée, des patrouilles de sécurité et des caméras de surveillance.

Questions pratiques

Q : Puis-je amener de la nourriture et des boissons au Festival Les Déferlantes ?

R : Il est interdit d’apporter de la nourriture et des boissons sur le site du festival. Cependant, il y a de nombreux stands de nourriture et de boissons à l’intérieur du site.

Q : Y a-t-il un camping sur place pour le Festival Les Déferlantes ?

R : Oui, il y a un camping sur place pour le Festival Les Déferlantes. Les campeurs peuvent acheter un billet pour le camping qui leur donne accès au site du festival et au camping.

Q : Y a-t-il des restrictions d’âge pour assister au Festival Les Déferlantes ?

R : Oui, les personnes de moins de 16 ans doivent être accompagnées d’un adulte pour assister au festival. Les personnes de moins de 18 ans ne sont pas autorisées à acheter ou à consommer de l’alcool sur le site du festival.

Questions sur les artistes

Q : Qui sont les artistes confirmés pour le Festival Les Déferlantes 2023 ?

R : Les artistes confirmés pour le Festival Les Déferlantes 2023 seront annoncés prochainement sur le site officiel du festival.

Q : Comment savoir quand mes artistes préférés joueront-ils au Festival Les Déferlantes ?

R : L’horaire complet des performances des artistes sera annoncé sur le site officiel du festival avant le début du festival. Vous pouvez également télécharger l’application officielle du festival pour avoir toutes les informations en temps réel.

Questions sur les billets

Q : Les billets pour le Festival Les Déferlantes sont-ils remboursables ?

R : Les billets pour le Festival Les Déferlantes ne sont pas remboursables, sauf en cas d’annulation du festival. Cependant, il est possible de revendre les billets sur des plateformes de revente officielles.

Q : Puis-je transférer mon billet à quelqu’un d’autre ?

R : Oui, vous pouvez transférer votre billet à quelqu’un d’autre en le revendant sur des plateformes de revente officielles. Il est important de noter que le billet doit être au nom de la personne qui assiste au festival.

Q : Puis-je acheter des billets pour une seule journée du Festival Les Déferlantes ?

R : Oui, il est possible d’acheter des billets pour une seule journée du Festival Les Déferlantes. Les billets pour une seule journée sont généralement mis en vente après l’annonce de la programmation.

Q : Quel est le coût des billets pour le Festival Les Déferlantes ?

R : Le coût des billets pour le Festival Les Déferlantes varie en fonction du type de billet que vous achetez. Les billets pour le festival peuvent être achetés en ligne sur le site officiel du festival et les prix varient en fonction de la date d’achat et du type de billet choisi.

 

 


 

Eric CANTO Photographe : Photos de concerts, portraits, pochettes d’albums.

 

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Festival les Déferlantes Sud de France

Festival les Déferlantes Sud de France

Rock en Seine : L’épicentre de la musique rock en France

Rock en Seine : L’épicentre de la musique rock en France

Chaque été, le parc de Saint-Cloud, aux portes de Paris, se transforme en une scène musicale vibrante où les plus grands noms du rock, de la pop, et de l’électro se rencontrent pour le plus grand plaisir des festivaliers. Bienvenue à Rock en Seine, l’un des festivals de musique les plus emblématiques de France.

Depuis sa création en 2003, Rock en Seine a su s’imposer comme un rendez-vous incontournable pour les amateurs de musique, attirant des milliers de spectateurs venus de tout le pays et d’ailleurs. Dans cet article, nous allons plonger dans l’univers de Rock en Seine, en explorant son histoire, ses moments mémorables, et l’impact culturel qu’il a eu sur la scène musicale française et internationale.

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1. L’Histoire de Rock en Seine : Du Début Modeste à la Gloire Internationale

1.1 Les Origines : Naissance d’un Festival

Rock en Seine a vu le jour en 2003, une époque où la scène musicale parisienne avait besoin d’un nouvel élan. À l’origine, le festival a été conçu pour combler un vide dans l’agenda des festivals en France, qui manquait alors d’un événement majeur consacré au rock et aux musiques alternatives. Le pari était audacieux : organiser un festival à la fin de l’été, après la plupart des autres grands événements musicaux.

Le parc de Saint-Cloud : Le choix du lieu s’est porté sur le parc de Saint-Cloud, un vaste domaine historique aux portes de Paris, offrant un cadre verdoyant et spacieux. Ce cadre idyllique, combiné à la proximité de la capitale, a rapidement fait de Rock en Seine un succès populaire. Dès la première édition, le festival a attiré une foule enthousiaste, séduite par la programmation éclectique et l’atmosphère unique du site.

Les débuts modestes : La première édition de Rock en Seine s’est déroulée sur une seule journée, avec une affiche modeste mais prometteuse. Des groupes comme Massive Attack, Morcheeba, et les Queens of the Stone Age ont attiré les premiers festivaliers, posant les bases d’une longue tradition de qualité. Malgré des débuts modestes, l’accueil positif du public et des critiques a encouragé les organisateurs à voir plus grand pour les éditions suivantes.

Rock en seine

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1.2 La Croissance du Festival : De la Niche à l’Événement Majeur

Au fil des ans, Rock en Seine a connu une croissance spectaculaire, tant en termes de fréquentation que de notoriété. Ce qui avait commencé comme un petit événement estival est rapidement devenu l’un des festivals les plus importants de France, attirant des artistes de renommée mondiale et un public toujours plus nombreux.

Une programmation de plus en plus ambitieuse : Dès 2004, le festival s’étend sur deux jours, puis trois à partir de 2007, pour offrir une programmation encore plus riche et diversifiée. Les organisateurs ont su attirer des têtes d’affiche prestigieuses, comme Radiohead, The Chemical Brothers, et R.E.M., tout en offrant une plateforme aux artistes émergents. Cette montée en puissance a permis à Rock en Seine de se forger une réputation de festival incontournable sur la scène européenne.

L’élargissement des genres musicaux : Bien que le rock soit au cœur de l’ADN du festival, Rock en Seine n’a jamais hésité à explorer d’autres genres musicaux, de la pop à l’électro, en passant par le rap et le folk. Cette ouverture a permis d’attirer un public plus diversifié, tout en garantissant une expérience musicale riche et variée. Le mélange des genres est devenu l’une des marques de fabrique du festival, qui continue d’attirer des festivaliers aux goûts éclectiques.

rock en seine 2020 photographe concert

Un impact international : À mesure que le festival prenait de l’ampleur, il a commencé à attirer l’attention des médias et des professionnels de la musique à l’échelle internationale. Les collaborations avec d’autres festivals européens et la participation d’artistes venus du monde entier ont contribué à faire de Rock en Seine un événement de référence sur la scène musicale mondiale. Aujourd’hui, le festival est reconnu bien au-delà des frontières françaises, attirant des spectateurs venus des quatre coins de l’Europe.

1.3 Rock en Seine Aujourd’hui : Un Festival Mûr et Établi

Aujourd’hui, Rock en Seine est bien plus qu’un simple festival de musique ; c’est un événement culturel majeur qui fait partie intégrante de la vie estivale parisienne. Avec une capacité d’accueil de plus de 100 000 festivaliers sur trois jours, Rock en Seine est devenu un incontournable pour les amateurs de musique, offrant chaque année des performances mémorables dans un cadre unique.

Un lieu de découvertes musicales : Rock en Seine est non seulement un lieu où les grands noms de la musique se produisent, mais aussi un tremplin pour les nouveaux talents. Le festival accorde une place importante aux artistes émergents, leur offrant une visibilité précieuse sur une scène prestigieuse. Cette volonté de soutenir la nouvelle génération de musiciens est l’un des éléments qui rendent le festival si dynamique et attrayant.

Un engagement pour l’environnement : Conscient de son impact écologique, Rock en Seine s’est engagé dans une démarche de développement durable, en mettant en place diverses initiatives pour réduire son empreinte environnementale. Le tri des déchets, l’utilisation de gobelets réutilisables, et la promotion des transports en commun sont autant d’actions qui témoignent de la volonté du festival de minimiser son impact sur l’environnement.

Un festival pour tous : Rock en Seine s’efforce d’être un événement inclusif, accessible à tous, y compris aux personnes à mobilité réduite. Des dispositifs spécifiques sont mis en place pour faciliter l’accès et le confort des festivaliers, rendant ainsi l’expérience Rock en Seine accessible au plus grand nombre.

2. Les Moments Inoubliables de Rock en Seine : Des Concerts Mémorables

2.1 Les Performances Légendaires : Quand le Rock Prend le Pouvoir

 

Rock en Seine a été le théâtre de performances légendaires qui ont marqué l’histoire du festival et laissé une empreinte indélébile dans la mémoire des festivaliers. Chaque édition apporte son lot de moments forts, où la magie de la musique se mêle à l’énergie du public.

Rage Against the Machine en 2008 : L’un des concerts les plus emblématiques de Rock en Seine reste celui de Rage Against the Machine en 2008. Après plusieurs années d’absence, le groupe californien a fait son grand retour sur scène à Paris, offrant une performance explosive qui a enflammé le public. Le concert, marqué par l’intensité et l’engagement politique du groupe, a été l’un des moments forts du festival, laissant un souvenir impérissable chez les spectateurs.

Arctic Monkeys en 2014 : En 2014, les Arctic Monkeys ont livré une performance mémorable lors de leur passage à Rock en Seine. Avec un setlist composé de leurs plus grands succès, le groupe britannique a captivé la foule avec son énergie et son charisme. Ce concert a été salué comme l’un des meilleurs de cette édition, renforçant la place des Arctic Monkeys parmi les têtes d’affiche incontournables du festival.

David Bowie en 2005 : Le passage de David Bowie à Rock en Seine en 2005 reste l’un des moments les plus marquants de l’histoire du festival. Le légendaire chanteur britannique, accompagné de son groupe, a offert une performance électrisante, interprétant certains de ses plus grands succès dans une ambiance survoltée. Ce concert, devenu mythique, a contribué à asseoir la réputation internationale de Rock en Seine.

2.2 Les Moments Surprenants : Quand l’Inattendu Crée la Magie

Au-delà des performances prévues, Rock en Seine a également été le théâtre de moments inattendus qui ont ajouté une touche de magie à l’événement. Les invités surprises, les collaborations improvisées, et les interactions spontanées avec le public font partie de ces instants qui rendent chaque édition unique.

Les invités surprises : Il n’est pas rare que des artistes invités fassent des apparitions surprises lors des concerts, créant des moments de pure excitation pour le public. Lors du concert de The Last Shadow Puppets en 2016, les spectateurs ont eu la surprise de voir Miles Kane et Alex Turner être rejoints sur scène par Johnny Marr, l’ex-guitariste des Smiths, pour un duo improvisé. Ces moments imprévus sont souvent ceux qui restent gravés dans les mémoires, car ils ajoutent un élément d’imprévisibilité à l’expérience.

Concert Placebo

Les collaborations inédites : Rock en Seine est aussi un lieu où des collaborations inattendues peuvent voir le jour. En 2019, lors d’un concert de Jorja Smith, la chanteuse britannique a été rejointe sur scène par Loyle Carner pour un duo improvisé. Cette rencontre entre deux étoiles montantes de la scène musicale a donné lieu à une performance exceptionnelle, marquant les esprits par sa spontanéité et son authenticité.

Les moments de communion avec le public : Certains concerts à Rock en Seine ont été marqués par des moments de communion particulièrement forts entre les artistes et le public. Lors du concert de Massive Attack en 2010, le groupe a réussi à créer une atmosphère de pure émotion avec des morceaux comme « Teardrop » et « Unfinished Sympathy », chantés en chœur par des milliers de festivaliers. Ce genre de moments, où la musique transcende la scène pour unir les spectateurs, est l’une des raisons pour lesquelles Rock en Seine reste un festival si spécial.

2.3 L’Expérience Rock en Seine : Plus Qu’un Simple Concert

Assister à un concert à Rock en Seine, c’est vivre une expérience unique où la musique, le cadre, et l’ambiance se rejoignent pour créer quelque chose de plus grand que la somme de ses parties. Le parc de Saint-Cloud, avec ses vastes espaces verts et son atmosphère bucolique, offre un cadre idéal pour un festival de cette envergure.

Le cadre idyllique : Le parc de Saint-Cloud, avec sa vue imprenable sur Paris et ses jardins à la française, ajoute une dimension particulière à chaque concert. Les festivaliers peuvent profiter d’un environnement naturel exceptionnel tout en assistant à des performances de qualité. Le contraste entre la nature paisible du parc et l’énergie brute des concerts crée une atmosphère unique, où chaque spectateur peut se sentir à la fois détendu et exalté.

Une ambiance conviviale : Rock en Seine est réputé pour son ambiance conviviale et festive, où les festivaliers de tous horizons se retrouvent pour partager leur passion de la musique. Que ce soit en pique-niquant sur l’herbe, en déambulant entre les scènes, ou en dansant devant les artistes, l’atmosphère du festival est toujours joyeuse et décontractée. Cet esprit de communauté est l’une des forces du festival, qui attire chaque année un public fidèle et enthousiaste.

Un festival pour les curieux : Au-delà des têtes d’affiche, Rock en Seine est aussi un lieu de découvertes musicales, où les festivaliers peuvent explorer de nouveaux genres et artistes. Les scènes plus petites, dédiées aux talents émergents, offrent une vitrine précieuse aux artistes en début de carrière, permettant aux spectateurs de découvrir des pépites avant qu’elles ne deviennent les stars de demain. Ce côté exploratoire fait partie intégrante de l’expérience Rock en Seine, où chaque édition réserve son lot de surprises et de révélations.

3. L’Impact Culturel et Économique de Rock en Seine

3.1 Un Moteur Économique pour la Région

Rock en Seine joue un rôle crucial dans l’économie locale, attirant chaque année des milliers de visiteurs qui contribuent à la vitalité économique de la région parisienne.

Les retombées économiques : Chaque été, Rock en Seine attire un large public, tant national qu’international. Cet afflux de visiteurs génère des retombées économiques importantes pour la région. Les hôtels, restaurants, et commerces locaux bénéficient directement de l’événement, avec une augmentation notable de l’activité pendant la période du festival. Selon des études locales, le festival contribue de manière significative à l’économie de la région, en particulier dans les secteurs de l’hôtellerie et de la restauration.

La création d’emplois : Le festival génère également des emplois temporaires, tant directs qu’indirects. De la billetterie à la sécurité, en passant par la logistique et le service à la clientèle, de nombreux postes sont créés pour répondre aux besoins du festival. De plus, l’événement soutient l’activité des prestataires locaux, tels que les techniciens du son, les entreprises de location de matériel, et les fournisseurs de services divers, contribuant ainsi à la dynamique économique locale.

La promotion touristique : Rock en Seine joue un rôle clé dans la promotion de la région parisienne sur la scène nationale et internationale. En attirant des visiteurs de toute la France et d’au-delà, le festival contribue à renforcer l’image de Paris en tant que destination culturelle de premier plan. De nombreux spectateurs profitent de leur venue pour explorer la ville et ses environs, visitant les monuments historiques, les musées, et les sites naturels, ce qui augmente l’attrait touristique de la région.

3.2 Un Catalyseur Culturel : Promouvoir la Musique et les Arts

Au-delà de son impact économique, Rock en Seine est également un catalyseur culturel, contribuant à la promotion de la musique et des arts dans la région.

Une scène pour tous les genres : Rock en Seine se distingue par sa capacité à rassembler des artistes de tous horizons musicaux, offrant une scène aux talents émergents comme aux artistes confirmés. Cette diversité musicale permet au festival de toucher un large public, tout en offrant une vitrine aux différents genres musicaux. Du rock au jazz, en passant par la pop, la musique classique, et l’électro, le festival célèbre la richesse et la diversité de la musique contemporaine.

Le soutien aux artistes locaux : En plus des grands noms de la scène internationale, le festival accorde une place importante aux artistes locaux, leur offrant une opportunité unique de se produire dans un cadre prestigieux. Ce soutien aux talents régionaux contribue à dynamiser la scène musicale locale, en offrant une visibilité précieuse aux artistes et en encourageant la création musicale dans la région. Le festival collabore également avec des associations culturelles locales pour organiser des événements parallèles, tels que des expositions, des ateliers, et des rencontres artistiques.

Une plateforme pour l’innovation artistique : Rock en Seine n’est pas seulement un lieu de diffusion de la musique ; il est aussi un laboratoire d’innovation artistique. De nombreux artistes profitent du cadre unique du festival pour expérimenter de nouvelles formes de performances, en intégrant des éléments visuels, scénographiques, et technologiques à leurs concerts. Cette ouverture à l’innovation fait du festival un espace de création et de découverte, où le public peut assister à des spectacles qui repoussent les limites de la scène musicale traditionnelle.

3.3 Un Héritage Durable : Conjuguer Culture et Patrimoine

Rock en Seine joue un rôle essentiel dans la préservation et la valorisation du patrimoine historique et culturel de la région, tout en contribuant à la transmission culturelle pour les générations futures.

La valorisation du parc de Saint-Cloud : En organisant des concerts dans le parc de Saint-Cloud, le festival contribue à la valorisation de ce site historique exceptionnel. Plutôt que de rester un simple espace de verdure, le parc devient un lieu vivant, où le patrimoine historique et la culture contemporaine se rejoignent. Cette utilisation moderne du site permet de le maintenir en vie, tout en offrant au public une expérience culturelle unique. De plus, une partie des revenus générés par le festival est réinvestie dans l’entretien et la restauration du parc, contribuant ainsi à la préservation du patrimoine pour les générations futures.

La transmission culturelle : Rock en Seine s’inscrit dans une démarche de transmission culturelle, en mettant l’accent sur l’accessibilité et l’éducation. Des initiatives telles que des billets à tarif réduit pour les jeunes, des concerts pédagogiques, et des rencontres avec les artistes sont organisées pour sensibiliser les nouvelles générations à la musique et aux arts. Cette démarche éducative vise à susciter l’intérêt des jeunes pour la culture et à les encourager à devenir les spectateurs et les créateurs de demain.

Un engagement écologique : Conscient de l’impact environnemental des grands événements, Rock en Seine a également pris des mesures pour réduire son empreinte écologique. Des initiatives telles que le tri sélectif, la réduction des déchets plastiques, et l’utilisation d’énergies renouvelables sont mises en place pour rendre le festival plus respectueux de l’environnement. De plus, des partenariats avec des associations locales de protection de l’environnement sont établis pour sensibiliser le public aux enjeux écologiques et promouvoir des pratiques durables.

Conclusion

Rock en Seine est bien plus qu’un simple festival de musique ; c’est une rencontre entre la musique, l’histoire et la culture, un espace où les genres se mélangent et où les talents émergents se côtoient avec les légendes de la scène internationale.

Depuis sa création en 2003, ce festival a su s’imposer comme un acteur incontournable de la scène culturelle française et européenne, attirant chaque année des milliers de festivaliers venus du monde entier.

En conjuguant la préservation du patrimoine, l’innovation artistique, et l’engagement pour la durabilité, Rock en Seine continue de jouer un rôle essentiel dans la promotion de la musique et des arts, tout en contribuant à l’économie et à la vitalité culturelle de la région parisienne. Que vous soyez un amateur de rock, un curieux à la recherche de nouvelles découvertes musicales, ou simplement un amoureux de la culture, Rock en Seine vous offre une expérience inoubliable, où la musique se mêle à la nature pour créer des souvenirs durables.

 

FAQ

  • Quand se déroule Rock en Seine ? Rock en Seine se déroule chaque année à la fin du mois d’août, au parc de Saint-Cloud, aux portes de Paris.
  • Comment puis-je acheter des billets pour Rock en Seine ? Les billets pour Rock en Seine peuvent être achetés en ligne via le site officiel du festival ou dans les points de vente autorisés. Il est recommandé de réserver à l’avance, car certains concerts se vendent rapidement.
  • Quels genres musicaux sont représentés à Rock en Seine ? Rock en Seine propose une programmation éclectique, couvrant une large gamme de genres musicaux, du rock à l’électro, en passant par la pop, le rap, et bien d’autres.
  • Rock en Seine est-il accessible aux personnes à mobilité réduite ? Oui, Rock en Seine met en place des dispositifs pour accueillir les personnes à mobilité réduite, avec des accès dédiés et des places réservées dans le parc. Il est conseillé de contacter l’organisation à l’avance pour toute demande spécifique.
  • Y a-t-il des activités en dehors des concerts lors de Rock en Seine ? En plus des concerts, Rock en Seine propose parfois des expositions, des rencontres avec les artistes, et d’autres événements culturels en parallèle. Le parc de Saint-Cloud offre également de nombreuses possibilités de promenades et de découvertes historiques.

 

Erwin Olaf Photographe Berlin 2012

Erwin Olaf Photographe Berlin 2012

Erwin Olaf (né en 1959 à Hilversum, Pays-Bas) est apparu sur la scène artistique internationale avec sa série Chessmen, qui a remporté le prix du jeune photographe européen de l’année en 1988.
Elle a été suivie d’une exposition au Ludwig Museum de Cologne, suivie d’expositions individuelles et collectives dans d’importants musées et galeries du monde entier, notamment au Centro de Arte Contemporáneo de Málaga, Málaga, Espagne; Museu da Imagem e do Som, São Paulo; Martin-Gropius-Bau, Berlin; Centre d’art contemporain du sud-est, Winston-Salem, Caroline du Nord; et le Museo de Arte Contemporáneo, Santiago, Chili.
erwin olaf photographe

Erwin OLAF Photographe

Il est surtout connu pour son travail commercial et personnel. Il a été chargé de photographier des campagnes publicitaires pour de grandes entreprises internationales telles que Levi’s , Microsoft et Nokia . Certaines de ses séries photographiques les plus célèbres incluent « Grief », « Rain » et « Royal Blood ». Ne craignant jamais la controverse, son travail est souvent audacieux et provocateur.

Erwin Olaf a étudié le journalisme à l’École de journalisme d’ Utrecht . Son travail est montré dans des galeries et des musées partout dans le monde, par exemple chez Wagner + Partner, Berlin; Flatland Gallery, Amsterdam; Hamiltons Gallery, Londres; Galerie Magda Danysz, Paris ; Galerie Espacio Minimo, Madrid; et plein d’autres.

Erwin Olaf a conçu les pièces en euros néerlandaises de 2014 avec le portrait du roi Willem-Alexander .

 

erwin olaf photographe

Erwin OLAF Photographe

La carrière d’ Erwin Olaf photographe

Erwin Olaf a commencé sa carrière en tant que photojournaliste documentant la vie nocturne des années 1980. Il a de plus en plus recherché et défini ses propres sujets, qu’il a fréquemment examinés dans une série d’œuvres en noir et blanc (Squares, Chessmen and Blacks) et en couleurs (Mind of Their Own, Rain, Hope) (chagrin, aube et aube). Ces dernières années, il a développé ses sujets sous forme de peintures monumentales, pour lesquelles il assume à la fois le rôle de réalisateur et de photographe.

Ses travaux les plus récents à Berlin, Shanghai et Palm Springs marquent la fin du projet en trois parties Shifting Metropolises (titre provisoire), une série d’œuvres d’art sur des villes de renommée internationale en pleine mutation sismique dans le monde de la modernité.

Au lieu de créer un environnement de studio contrôlé, Olaf a filmé sur place pour la première fois dans cette trilogie tout en conservant ses associations cinématographiques caractéristiques pour produire une série d’œuvres façonnées par les émotions et les névroses authentiques de ces lieux et de leurs habitants.

L’approche audacieuse d’ Erwin Olaf dans son travail lui a valu un certain nombre de missions institutionnelles, notamment Louis Vuitton, Vogue, le Stedelijk Museum Amsterdam et le Rijksmuseum d’Amsterdam, pour lesquels il a conçu l’exposition Catwalk 2016, y compris une vidéo promotionnelle et une campagne photo. Il a reçu le prix du photographe de l’année aux International Color Awards 2006 et le Dutch Artist Award 2014 du magazine Kunstbeeld ainsi que le célèbre Johannes Vermeer Award des Pays-Bas en 2011. D’autres prix internationaux incluent le Lion d’argent à Cannes Festival de la publicité et Lucie Award pour ses services publicitaires, tous deux en 2008.

 

erwin olaf photographe

Erwin OLAF Photographe

Olaf a projeté une œuvre vidéo au Centre Pompidou, Paris; Musée de la FIT, New York; et Nuit Blanche Toronto, avec une partition en direct commandée pour sa série Waiting.
Il a également projeté son installation vidéo trente canaux L’Éveil sur l’Hôtel de Ville pour Nuit Blanche à Paris, organisée par Jean de Loisy (directeur, Palais de Tokyo). En mars 2018, le Museu da Imagem e do Som de São Paulo a accueilli une rétrospective de son travail.

En 2018, le Rijksmuseum a acquis cinq cents œuvres clés des quarante ans de travail d’Olaf pour leur collection. Cela fait suite aux portraits officiels d’Olaf pour la famille royale néerlandaise en 2017-2018 et au design de la nouvelle pièce en euros du roi Willem-Alexander en 2013.

Rutger Pontzen, critique d’art pour le journal néerlandais le Volkskrant, a déclaré: «Controverse ou non, Erwin Olaf donne une photo des pays-bas. ,et cela le rend distinctif dans la photographie néerlandaise.

 

erwin olaf photographe

Erwin OLAF Photographe

 

En d’autres termes, son travail fait partie du patrimoine culturel. La photographie de renommée internationale d’Erwin Olaf fait toujours partie intégrante de la culture néerlandaise. Taco Dibbits, directeur du Rijksmuseum, déclare: « Son travail est profondément enraciné dans les traditions visuelles de l’art néerlandais. C’est pourquoi Olaf est » l’un des photographes les plus importants du dernier quart du XXe siècle « .

En 2019, le Gemeentemuseum Den Haag et le Fotomuseum Den Haag aux Pays-Bas organiseront une exposition personnelle conjointe pour Erwin Olaf pour commémorer son 60e anniversaire et célébrer son 40e anniversaire en tant que photographe. Le Shanghai Center of Photography présente également une exposition personnelle cette année, et le Rijksmuseum présente une exposition d’une sélection d’œuvres acquises par Olaf en 2018. L’artiste vit et travaille à Amsterdam.

 

erwin olaf photographe

Erwin OLAF Photographe

erwin olaf photographe

Erwin OLAF Photographe

Erwin Olaf photographe

Erwin Olaf photographe

INTERVIEW 
Pourquoi avez-vous choisi ces emplacements particuliers ?

Erwin Olaf Photographe : Les lieux que j’ai utilisés existaient tous au début du 20e siècle et ils sont chacun importants pour l’histoire des Berlins. Le Rathaus Schöneberg, par exemple, est l’endroit où le président Kennedy a prononcé ces mots célèbres: «Ich bin ein Berliner». Le stade olympique de Berlin était l’endroit où Hitler refusait de serrer la main du grand athlète Jesse Owens parce qu’il était noir. Une autre raison est l’escalier.

J’ai de l’emphysème, donc les escalader est de plus en plus difficile. Berlin est aussi une confrontation de mes propres démons et c’est pourquoi j’ai intégré des escaliers dans beaucoup de photographies. C’est moi que j’ai photographié dans les escaliers du stade olympique de Berlin.

Vous avez utilisé beaucoup d’enfants dans ce projet, pourquoi Erwin Olaf photographe ?

Erwin Olaf Photographe : J’ai tendance à travailler uniquement avec des personnes matures mais avec ce projet, je n’étais pas satisfait des résultats. Pendant que j’étais à l’aéroport en Espagne, j’ai regardé des enfants et leurs parents ensemble. Les enfants ont tellement de contrôle sur leurs mères et leurs pères et les adultes écoutent les enfants.

J’ai commencé à penser que si un jour c’était des enfants qui dirigeaient. Ce serait terrifiant car ils ne sauraient pas gérer le pouvoir, en plus de cela, ils peuvent être erratiques et irrationnels. C’est la même chose pour les adultes mais avec les enfants c’est plus extrême.

Pouvez-vous nous parler de la signification de ces images?

Erwin Olaf Photographe : Certains d’entre eux abordent des événements historiques associés aux bâtiments tandis que d’autres sont complètement abstraits. La photo représentant le clown debout sur un plongeoir au Stadtbad Neukölln par exemple. Je ne pourrais jamais vous dire ce qu’il y a dans la lettre qu’il tient ou pourquoi il la présente au garçon assis près de la piscine.

Ce n’était que l’instinct. J’avais étudié beaucoup d’art du 20e siècle et je voulais entamer un dialogue avec le spectateur. Souvent, les photographies ne le font pas aussi bien que les peintures. Je veux que le spectateur invente sa propre histoire et crée son fantasme.

Votre marque de commerce est des impressions couleur grand format. Lors de cette exposition, nous comprenons que vous présenterez de petites impressions au carbone faites à la main. Parlez-nous de ces derniers et du processus de fabrication.

Erwin Olaf Photographe : J’ai commencé à penser, c’est mieux mieux? J’en doute, alors j’ai étudié l’impression au carbone. Cette technique a 150 ans et j’ai été aidé par l’une des deux personnes aux Pays-Bas qui pouvaient le faire.

Le processus est incroyablement délicat et difficile et cela peut prendre 24 heures avant de vous retrouver avec une impression qui vous satisfait.

 

Les autres expositions d’Erwin Olaf

  • 2019:
    • Exposition personnelle anniversaire, Musée Gemeente de La Haye et Musée de la photographie de La Haye, La Haye, Pays-Bas
    • Palm Springs Unseen, Flatland, Amsterdam
  • 2017:
    • Album 13 d’Indochine, Galerie Rabouan Moussin, Paris, France
    • Human & Nature, Gallery Kong, Séoul, République de Corée
  • 2016:
    • Erwin Olaf – Four Series, Centro de Arte Contemporaneo de Málaga, Málaga, Espagne
    • Cell of Emotions, National Art Gallery, Sofia, Bulgarie
    • Hommage à Louis Gallait, Musée des beaux-arts Pouchkine, Moscou, Russie
  • 2015:
    • A Corps Perdu, Galerie Magda Danysz , Paris
    • Erwin Olaf: The Empire of Illusion, Museo de Arte Contemporaine de Rosario, Rosario, Argentine
    • En attente, Flatland, Amsterdam
    • « Rétrospective », Fondation Oriente Museu, Macao, Chine
  • 2014:
    • Art & Mode, Galerie Magda Danysz , Paris
  • 2013:
    • « Erwin Olaf – Berlin », Galerie Rabouan Moussion, Paris
    • « Erwin Olaf – En attente », Galerie Rabouan Moussion, Paris
    • « Émotions – Installations », La Sucrière, Lyon
    • «Berlin», Hasted Kraeutler Gallery, New York
    • «Berlin», Hamiltons Gallery, Londres
  • 2012:
    • The Dark Side , Galerie Rabouan Moussion, Paris
    • «Works 2000 – 2010», Art Statements Gallery, Hong Kong
    • «Erwin Olaf», Galerie Kong, Séoul
    • « Short Stories », Galerie Wagner, Berlin
  • 2011:
    • «Erwin Olaf», Art Statements Gallery, Tokyo
    • « Paradis le club », Galerie Rabouan Moussion, Paris
    • « High Tension », Carbon, Dubaï
    • « Captured sens », Cer Modern, Ankara
    • «Erwin Olaf», Festival international de photographie nordique de lumière, Kristiansund
  • 2010:
    • «Hôtel Erwin Olaf», Galerie Magda Danysz , Paris
    • «Hôtel Erwin Olaf», Galerie Paris-Benijing, Pékin
    • « Erwin Olaf – Travaux récents », Hamiltons Gallery, Londres
    • «Hotel, Dawn & Dusk», Hasted Kraeutler Gallery, New York
  • 2009:
    • Crépuscule, Flatland, Amsterdam
    • « Série Laboral Escena », Galerie Magda Danysz , Paris
    • « Rain, Hope, Grief & Fall », Institut des Pays-Bas, Paris
    • « Fléchettes du plaisir », Musée Domus Artium, Salamanque
    • «Moving Targets», Musée d’art de Haïfa, Haïfa

 

 

 

Biographie officielle d’Erwin Olaf

Erwin Olaf (né à Hilversum, Pays-Bas, 1959) a émergé sur la scène artistique internationale avec sa série Chessmen, qui a remporté le prix du jeune photographe européen de l’année en 1988.

Elle a été suivie d’une exposition au Museum Ludwig de Cologne, avec des expositions personnelles et collectives ultérieures dans les principaux musées et galeries du monde entier, notamment le Centro de Arte Contemporáneo de Málaga, Málaga, Espagne; Museu da Imagem e do Som, São Paulo; Martin-Gropius-Bau, Berlin; Southeastern Center for Contemporary Art, Winston-Salem, Caroline du Nord; et Museo de Arte Contemporáneo, Santiago, Chili.

Débutant sa carrière de photojournaliste documentant la vie nocturne des années 1980, Olaf a de plus en plus cherché et défini ses propres sujets, souvent explorés dans des séries d’œuvres en noir et blanc (Squares, Chessmen, and Blacks) et en couleur (Mind of their Own, Rain, Hope, Grief, Dusk et Dawn).

Ces dernières années, il a développé ses thèmes sous la forme de tableaux monumentaux, pour lesquels il adopte à la fois le rôle de réalisateur et de photographe. Son travail le plus récent, à Berlin, Shanghai et Palm Springs, marque la conclusion du projet en trois parties Shifting Metropolises (titre provisoire), une série d’œuvres d’art examinant des villes de renommée internationale subissant des changements sismiques dans le monde moderne.

Plutôt que de fabriquer un environnement de studio contrôlé, dans cette trilogie Olaf a tourné sur place pour la première fois, conservant ses associations cinématographiques caractéristiques pour produire un corpus d’œuvres travaillé avec les émotions et les névroses authentiques de ces lieux et de leurs habitants.

L’approche audacieuse d’Olaf envers son travail a remporté un certain nombre de commandes d’institutions, notamment Louis Vuitton, Vogue, le Stedelijk Museum d’Amsterdam et le Rijksmuseum d’Amsterdam, pour lesquels il a conçu l’exposition Catwalk 2016, y compris une vidéo promotionnelle et une campagne photographique.

Il a reçu le prix du photographe de l’année aux International Color Awards 2006 et de l’artiste néerlandais de l’année 2014 du magazine Kunstbeeld, ainsi que le prestigieux prix Johannes Vermeer des Pays-Bas en 2011. Parmi les autres prix internationaux, citons le Lion d’argent au Festival de la publicité de Cannes et un prix Lucie pour ses réalisations en publicité, tous deux en 2008.

Olaf a projeté des œuvres vidéo au Centre Pompidou, Paris; Musée au FIT, New York; et Nuit Blanche Toronto, avec une partition en direct commandée pour sa série Waiting. Il a également projeté son installation vidéo de trente chaînes L’Éveil sur l’Hôtel de Ville pour Nuit Blanche à Paris, sous la direction de Jean de Loisy (réalisateur, Palais de Tokyo). En mars 2018, le Museu da Imagem e do Som de São Paulo a accueilli une rétrospective de son travail.

En 2018, le Rijksmuseum a acquis cinq cents œuvres d’art clés de l’œuvre d’Olaf depuis quarante ans pour sa collection. Cela faisait suite aux portraits officiels réalisés par Olaf pour la famille royale néerlandaise en 2017-2018 et à la conception de la nouvelle pièce en euros pour le roi Willem-Alexander en 2013. Rutger Pontzen, critique d’art pour le journal néerlandais Volkskrant, a déclaré: «Controversé ou non, Erwin Olaf donne une image des Pays-Bas. . . et cela le rend distinctif dans la photographie néerlandaise. . . .

En d’autres termes, son œuvre appartient au patrimoine culturel. Désormais de renommée internationale, la photographie d’Erwin Olaf reste un élément essentiel de la culture néerlandaise. Taco Dibbits, directeur du Rijksmuseum, déclare: «Son travail est profondément enraciné dans les traditions visuelles de l’art hollandais», et par conséquent Olaf est «l’un des photographes les plus importants du dernier quart du XXe siècle».

Plus récemment, en 2019, le Gemeentemuseum Den Haag et le Fotomuseum Den Haag, aux Pays-Bas, ont accueilli une exposition solo conjointe pour Erwin Olaf pour commémorer son soixantième anniversaire et célébrer ses quarante ans de photographie.

En juillet de la même année, pour marquer le transfert de sa collection principale au musée, le Rijksmuseum a ouvert l’exposition 12x Erwin Olaf, dans lequel Olaf a placé onze de ses photographies et une installation vidéo, en dialogue avec des peintures hollandaises de la collection du musée.

Les célébrations d’ouverture ont eu lieu le 2 juillet, jour du 60e anniversaire de l’artiste, lorsque Olaf a été nommé Chevalier de l’Ordre du Lion des Pays-Bas, un ordre hollandais de chevalerie décerné à ceux qui ont des mérites d’une nature très exceptionnelle pour la société. Le photographe a été distingué au Rijksmuseum d’Amsterdam pour ses principales photos et son engagement envers la communauté LGBTq, selon la municipalité d’Amsterdam.

Olaf vit et travaille à Amsterdam.

Boutique HELLFEST

Boutique HELLFEST

Lorsque le Hellfest ouvre ses portes à Clisson, il y a déjà une ruée vers le « merch » officiel, la boutique Hellfest. Derrière le comptoir, dix vendeurs ne savent plus vers qui se tourner. Plusieurs articles sont déjà en stock dés les premières heures. «Les T-shirts L et XL sortent toujours très vite», précise l’un des deux responsables du «Merch» qui sont au cœur du site. C’est pourquoi nous recommandons de faire vos achats au début du festival.  »

 

Site du Hellfest

 

Boutique HELLFEST : Une file d’attente chaque année

Chaque année, la file d’attente est sans fin et le soleil frappe. Mais après plus d’une heure d’attente et environ 90 euros, vous pouvez sortir en souriant. « J’ai pris un polo pour mon père, un porte-clés et une chemise pour moi, une tasse et des aimants pour les amis à la boutique Hellfest.

Attendre dans la file d’attente, même si cela prend quelques heures, fait partie du jeu lorsque vous venez au festival. Le métallurgiste aime les objets, surtout lorsqu’il s’agit de souvenirs. Passer par la boutique Hellfest, C’est comme une nécessité!  »

Boutique Hellfest - Hellfest shop

Chaque année, pour réduire les temps d’attente, il est possible de compléter le bon de commande après avoir effectué votre sélection dans un petit livret qui contient une cinquantaine de références ( Briquet, badge, couette …). Les organisateurs l’assurent chaque année: il ne restera presque plus rien dimanche.

Boutique Hellfest: La course au tee-shirt

Dimitri et Hugues, qui sortent les mains chargées, sont pressés de retirer les articles de l’emballage. « J’ai pris un pantalon court, un chapeau et un marcel. Je vais les mettre de suite ».

Lorsque vous regardez autour de nous, vous vous rendez compte que beaucoup ont déjà trouvé et enfilé leurs nouveaux tee-shirts. Cela va du chapeau de cow-boy au tee-shirt, sweat, pulls molletonnés aussi, il peut faire un peu froid la nuit à Clisson.

 

Boutique Hellfest - Hellfest shop

Boutique Hellfest – Hellfest shop

 

Des six modèles de la version 2019 du T-shirt par exemple, tous les modèles affichent une programmation à l’arrière, il y en a pour tous, du fluo, du sobre, du trash. Des modèles très sobres aussi permettant d’utiliser le tee-shirt à l’année, même au bureau. Car la discrétion et aussi disponible avec juste un petit logo du festival.

Boutique Hellfest : Un vrai village de « merch », bientôt.

Le merchandising au festival génère près d’un million de chiffre d’affaires, est selon les organisateurs l’un des points noirs du festival. « Nous avons de nombreuses demandes, nous avons souvent de très longues files d’attente », explique Alex Rebecq, porte-parole du Hellfest.

Heureusement, nous avons affaire à un public très respectueux qui ne se presse pas et attend patiemment. Les organisateurs espèrent que le problème sera enfin résolu et un site de vente en ligne est maintenant disponible pour pallier à ces ruptures de stock pendant l’édition.

« Nous devons repenser complètement notre approche du merch sur site. « Nous pensons à un véritable village de merch, un truc un peu fou » poursuit Alex. « Ce serait mieux pour les participants du festival, mieux pour le travail de nos équipes sur place ».

 

Boutique Hellfest - Hellfest shop

Boutique Hellfest – Hellfest shop

 

La boutique Hellfest en ligne : le Hellfest Shop

Le festival a ouvert il y a déjà plusieurs années un site en ligne permettant de commander toute l’année le « Merch » du festival.

T-shirts, Sweats, Vestes, Accesoires…le merchandising officiel du festival est a porté de clic. De très nombreux produits textiles et accessoires, mais aussi les livres du festival.

 

Livre Hellfest : le festival raconté par les groupes.

Près de 2,5 kilos pour ce livre étonnant, 300 pages, à peu près autant de photographies,un tirage de 20 000 exemplaires, 100 groupes, des heures et des heures de lecture et une diffusion en France, Belgique et Suisse francophone.

Ce livre parle de l’un des plus grands festivals de France, du plus grand rendez-vous du métal au monde. Trois jours de folie, plus de 150 concerts et 170 000 festivaliers amoureux de métal qui engloutissent chaque année la ville de Clisson.

Ce livre raconte le festival, tout simplement, mais le  festival depuis le backstage, vu de la scène, par les coulisses, par des groupes qui y ont arpenté le festival tout au long des quatorze éditions.

 

Vous pouvez retrouver le Shop ici : www.hellfestshop.com

FAQ sur le Hellfest Shop


1. Qu’est-ce que le Hellfest Shop ?

Le Hellfest Shop est la boutique en ligne officielle du Hellfest, le célèbre festival de musique metal qui se déroule chaque année à Clisson, en France. Cette boutique permet aux fans du festival et du genre metal de se procurer des produits dérivés, des vêtements, et des accessoires estampillés Hellfest. Que vous soyez un amateur de heavy metal, de hard rock ou de death metal, vous trouverez ici de quoi afficher fièrement votre amour pour l’un des plus grands festivals européens de musique extrême.

2. Quels types de produits puis-je acheter sur le Hellfest Shop ?

Le Hellfest Shop propose une large gamme de produits pour répondre à tous les goûts des fans de metal. Voici quelques exemples des produits que vous pouvez y trouver :

  • Vêtements : T-shirts, hoodies, vestes, pantalons, casquettes, et même des chaussettes, tous ornés des logos et des designs uniques inspirés du Hellfest.
  • Accessoires : Badges, pin’s, patchs brodés, porte-clés, écharpes, mugs et autres goodies pour agrémenter votre quotidien avec une touche de Hellfest.
  • Vinyles et CD : Sélection d’albums de groupes ayant joué au festival.
  • Affiches et lithographies : Posters officiels du festival et de ses différentes éditions, souvent en édition limitée.
  • Merchandising exclusif : Objets rares et collectors, parfois disponibles uniquement pendant des périodes spécifiques ou lors d’événements spéciaux liés au Hellfest.

3. Les produits du Hellfest Shop sont-ils disponibles à l’international ?

Oui, le Hellfest Shop livre à l’international. Peu importe où vous vous trouvez dans le monde, vous pouvez commander vos produits Hellfest favoris. Les délais de livraison peuvent varier en fonction de votre lieu de résidence, mais le shop s’efforce d’expédier rapidement, que vous soyez en France, en Europe ou à l’autre bout du globe.

4. Comment sont sélectionnés les produits vendus sur le Hellfest Shop ?

Les produits proposés sur le Hellfest Shop sont soigneusement sélectionnés pour leur qualité et leur authenticité. L’équipe du Hellfest travaille en collaboration avec des designers, des artistes et des marques partenaires pour créer des produits uniques qui reflètent l’esprit du festival. Les vêtements, par exemple, sont souvent en coton bio, garantissant confort et durabilité. Les collections varient au fil des éditions, avec de nouvelles gammes dévoilées chaque année pour coller à l’actualité du festival.

5. Y a-t-il des collections limitées sur le Hellfest Shop ?

Oui, le Hellfest Shop propose régulièrement des collections limitées, particulièrement autour des périodes de festival ou à l’occasion de collaborations spéciales. Ces collections sont souvent disponibles en quantités réduites et incluent des articles collectors, tels que des affiches signées, des vêtements numérotés ou des produits dérivés en série limitée. Il est conseillé aux fans de surveiller les annonces du Hellfest et du shop pour ne pas manquer ces occasions uniques.

6. Quels sont les délais de livraison pour les produits commandés sur le Hellfest Shop ?

Les délais de livraison dépendent de plusieurs facteurs, notamment votre lieu de résidence. Voici quelques estimations :

  • France métropolitaine : 3 à 5 jours ouvrables.
  • Europe : 5 à 10 jours ouvrables.
  • Reste du monde : 10 à 15 jours ouvrables.

Cependant, pendant les périodes de forte demande, comme juste avant le festival ou lors de la sortie de nouvelles collections, les délais peuvent être un peu plus longs.

7. Quels sont les frais de livraison appliqués par le Hellfest Shop ?

Les frais de livraison varient en fonction du pays de destination et du poids du colis. Vous pouvez consulter ces frais lors du processus de commande, juste avant de valider votre achat. Le Hellfest Shop propose également des promotions occasionnelles où les frais de livraison peuvent être réduits ou offerts pour des commandes dépassant un certain montant.

8. Puis-je retourner un produit acheté sur le Hellfest Shop ?

Oui, le Hellfest Shop accepte les retours sous certaines conditions :

  • Les produits doivent être retournés dans leur état d’origine, non portés, non lavés et avec toutes les étiquettes attachées.
  • Vous disposez de 14 jours à compter de la réception de votre commande pour demander un retour.
  • Les frais de retour sont à la charge de l’acheteur, sauf en cas d’erreur de la part du shop (produit défectueux ou mauvaise commande).
  • Une fois le retour validé, un remboursement sera effectué ou un échange proposé en fonction des disponibilités.

9. Comment puis-je suivre ma commande sur le Hellfest Shop ?

Une fois votre commande passée, vous recevrez un e-mail de confirmation avec un lien de suivi. Ce lien vous permettra de suivre l’avancement de la livraison de votre colis, depuis le départ de l’entrepôt jusqu’à la réception chez vous. Si vous rencontrez un problème ou si vous ne recevez pas cet e-mail, vous pouvez contacter le service client du Hellfest Shop pour obtenir de l’aide.

10. Les produits du Hellfest Shop sont-ils de bonne qualité ?

Absolument ! Le Hellfest Shop met un point d’honneur à offrir des produits de haute qualité. Que ce soit pour les vêtements, fabriqués à partir de matériaux durables et confortables, ou pour les accessoires et objets de collection, chaque article est conçu pour durer et refléter l’esprit du Hellfest. Les avis des clients sont généralement très positifs, notamment sur la durabilité des produits et la fidélité des designs au thème du festival.

11. Comment le Hellfest Shop soutient-il la communauté metal ?

En achetant sur le Hellfest Shop, vous soutenez directement l’organisation du Hellfest et sa capacité à organiser ce festival majeur de la scène metal. Une partie des bénéfices des ventes est réinvestie dans le développement du festival, ainsi que dans des initiatives caritatives et écologiques menées par l’organisation Hellfest. De plus, certains produits exclusifs sont créés en collaboration avec des artistes ou des groupes de la scène metal, renforçant ainsi les liens entre la communauté musicale et le festival.

12. Le Hellfest Shop propose-t-il des cartes-cadeaux ?

Oui, le Hellfest Shop propose des cartes-cadeaux que vous pouvez acheter pour offrir à vos proches. Ces cartes sont disponibles en plusieurs montants et permettent à l’heureux bénéficiaire de choisir parmi une vaste gamme de produits. C’est une excellente option si vous voulez faire plaisir à un fan de Hellfest sans vous tromper sur le produit !

13. Quels sont les modes de paiement acceptés sur le Hellfest Shop ?

Le Hellfest Shop accepte plusieurs modes de paiement pour faciliter vos achats :

  • Cartes bancaires (Visa, MasterCard, etc.).
  • PayPal.
  • Paiement en plusieurs fois, disponible pour certaines commandes.

Tous les paiements sont sécurisés grâce aux normes en vigueur pour garantir la protection de vos informations.

14. Le Hellfest Shop propose-t-il des articles pour enfants ?

Oui, le Hellfest Shop propose également une gamme d’articles pour enfants, notamment des t-shirts et des accessoires. Ces articles permettent aux plus jeunes de la famille de partager leur passion pour le Hellfest et la musique metal tout en étant habillés confortablement et avec style.

15. Les produits du Hellfest Shop sont-ils éco-responsables ?

Le Hellfest Shop s’engage à promouvoir des pratiques durables et éco-responsables. De nombreux produits, notamment les vêtements, sont fabriqués à partir de coton biologique ou de matériaux recyclés. L’équipe met un point d’honneur à limiter l’impact écologique du shop en utilisant des emballages écoresponsables et en collaborant avec des partenaires respectueux de l’environnement.

16. Comment puis-je contacter le service client du Hellfest Shop ?

Si vous avez des questions ou des préoccupations concernant une commande ou un produit, vous pouvez contacter le service client du Hellfest Shop via leur formulaire en ligne ou par e-mail. Le service client s’efforce de répondre rapidement et efficacement à toutes les demandes, que ce soit pour des questions de commande, de retour ou de produit.

17. Y a-t-il des promotions régulières sur le Hellfest Shop ?

Le Hellfest Shop propose régulièrement des promotions et des offres spéciales, notamment autour des périodes de festival ou à l’occasion d’événements comme le Black Friday. Pour ne rien manquer, il est conseillé de s’inscrire à la newsletter du Hellfest Shop ou de suivre les réseaux sociaux du festival pour être tenu informé des dernières offres.

18. Comment s’inscrire à la newsletter du Hellfest Shop ?

Vous pouvez vous inscrire à la newsletter du Hellfest Shop directement sur leur site. Cette inscription vous permettra de recevoir des informations exclusives sur les nouvelles collections, les promotions et les événements liés au Hellfest. En plus, vous serez informé en avant-première des collaborations spéciales et des lancements de produits en édition limitée.

19. Le Hellfest Shop a-t-il une boutique physique ?

En dehors des périodes du festival, le Hellfest Shop est principalement en ligne. Cependant, pendant le Hellfest, une grande boutique physique est installée sur le site du festival, où les festivaliers peuvent acheter des produits exclusifs et en édition limitée.

THE ARRS

THE ARRS

The ARRS, abréviation de The Alien’s Right Respect Sect, est un groupe de métalcore français originaire de Paris Île-de-France. The ARRS a été fondée en 1998 à Paris, Île-de-France.

 

Après plusieurs années d’investissements en Île-de-France et sur des scènes de démo, qui ont rapidement acquis une bonne réputation, The ARRS est devenu populaire en 2005.

The ARRS 2

Le premier album de The ARRS

Avec le premier album … Et la douleur est la même (Beat im All / PIAS). Les dix titres qui le composent sont très bien reçus par le public et permettent de reconnaître le quintette de ses pairs et professionnels, et ainsi de réaliser des centaines de dates à travers l’Europe.

La performance constatée sur la scène principale du Furyfest la même année confirme leur potentiel. The ARRS a sorti son deuxième album, intitulé Trinité en 2007, avec les labels de disques Active Entertainment / PIAS, et est reparti avec encore plus de férocité.

C’est en raison de sa superbe et magnifique prestation que le groupe a de nouveau participé au Hellfest avec de grands groupes internationaux.

 

 

 

Le deuxième album de THE ARRS : TRINITE

En 2007, le deuxième album Trinité’s sonne différemment, même s’il reste dans la continuité du travail du groupe, et les paroles du groupe portent toujours des thèmes religieux. The Arrs s’exporte en Europe pour 80 concerts, sa popularité ne cesse de grandir, d’augmenter.

THE ARRS - trinité

Heros/ Assassins, le troisiéme album

En 2009, « Heros / Assassins » sort le label « Misty Season ». Les gens ont ressenti la maturité acquise lors de la tournée précédente, et l’équipe était plus ferme dans son authenticité. L’album se situe entre le rythme hardcore punk et la mélodie heavy metal, consolidant sa position de référence dans le genre français.

ARRS a ensuite annoncé un DVD live gratuit, capté par dix caméras dans la salle du Trabendo Trabendo à Paris.

THE ARRS - Héros / assassins

THE ARRS – Héros / assassins

 

 

Soleil noir en 2012

2012 est une nouvelle année. Des années plus tard, Paskual et Jérôme quittent le groupe pour faire place à Stefo (guitare) et Phil (basse). À travers cette nouvelle forme, le groupe s’est modernisé et porté dans la vision des gens avec une nouvelle image visuelle, considérée comme sa meilleure œuvre, Soleil noir (Verycords / Warner Music France). Cet album est plus violent, plus sombre et plus réussi que les épisodes précédents, et a été bien accueilli par l’industrie.

THE ARRS - Soleil noir

 

Dernier album de The ARRS : Khrónos

En 2015, Khrónos est le cinquième album studio du groupe (Verycords / Warner Music France), qui est également le deuxième album sorti sous la même formation 2.0. Le 5 janvier 2017, le groupe annonce que sa tournée 2017 sera la dernière, qu’il n’y aura pas de nouveaux albums et que l’aventure se terminera au concert de Paris en octobre.

 

The ARRS - Khronos

The ARRS – Khronos

Après avoir traversé la France pour la dernière fois, la route de THE ARRS s’est terminée à Trabendo le 11 novembre 2017, avec une date d’adieu magnifique. La carrière d’un groupe est terminée. Depuis près de 19 ans, le groupe a vu beaucoup de jeunes groupe arriver et a principalement sorti des albums de grande qualité, tels que le petit dernier : KHronos.

 

Discographie

  • 2015 : Khrónos
  • 2012 : Soleil noir
  • 2009 : Héros assassin
  • 2007 : Trinité
  • 2005 : …Et la douleur est la même

 

Autres sorties

  • 2003 : Condition Humaine – EP (Autoproduction)
  • 2009 : Condition Humaine – Réédition EP (Customcore Records)
  • 2010 : Just Live – DVD Live (En téléchargement à prix libre)
  • 2011 : Dans la chair et par le sang – Coffret 2CD + DVD live (Customcore Records)
  • 2017 :  » Crépuscule  » – EP ( Autoproduction ) Format numérique 3 Titres 12 min 36
THE ARRS - crédit photo Eric CANTO

THE ARRS – crédit photo Eric CANTO

Membres de THE ARRS

  • Nicolas Laurent — chant (depuis 1998)
  • Pierre Acedo — guitare (depuis 1998)
  • Mickaël « Jean-Michel-Muscle-Up » Desvergnes — guitare (depuis 2016)
  • Philippe Cavaciuti — basse (depuis 2012)
  • Vincent « Toki » Bertuit — batterie (depuis 1999)

 

Anciens membres

  • Mathieu « Paskual » Arnal — guitare (2001-2011)
  • Erwan — basse (1998; 1999-2004)
  • Jerome Nalet — basse (2004-2011)
  • Stephane « Stefo » Martin — guitare (2012-2016)


Eric CANTO Photographe : Photos de concerts, portraits, pochettes d’albums.

 

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Vente photos de concert : un moyen unique d’immortaliser les moments les plus mémorables

Vente photos de concert : un moyen unique d’immortaliser les moments les plus mémorables

 

Vente tirage photos de concert Rammstein - Photo de concert par Eric CANTO

Vente tirage photos de concert Lenny Kravitz - Photo de concert par Eric CANTO

Vente photos de concert Kiss - Photo de concert par Eric CANTO

Vente photos de concert d'Iggy Pop - Crédit photo Eric CANTO


Les concerts sont l’un des événements les plus captivants et les plus excitants que l’on puisse assister. Les artistes donnent tout sur scène pour offrir une expérience inoubliable à leur public. Pour de nombreux fans, la musique et l’ambiance des concerts restent gravées dans leur mémoire pour toujours. Mais que diriez-vous d’immortaliser ces moments grâce à des photos de concert professionnelles?

La vente de photos de concert est un moyen unique de garder des souvenirs tangibles de vos artistes préférés et de leur musique. Que vous soyez un fan inconditionnel ou que vous cherchiez simplement à ajouter à votre collection de photos, les photos de concert peuvent être un investissement précieux.

Les photos de concert professionnelles captent l’énergie et l’émotion de l’instant. Les photographes spécialisés dans la photographie de concert ont l’œil pour capturer les moments les plus mémorables, les moments les plus épiques et les moments les plus intenses de chaque concert. Ils travaillent avec des équipements haut de gamme pour produire des images nettes et de haute qualité qui transmettent l’excitation et l’atmosphère du moment.

Les photos de concert peuvent également être un excellent ajout à votre décor intérieur. En les accrochant sur les murs de votre maison ou de votre bureau, vous pouvez rappeler les moments les plus excitants de vos concerts préférés. Les photos de concert peuvent également être un excellent cadeau pour les fans de musique de votre entourage.

Si vous cherchez à acheter des photos de concert, il existe de nombreuses options disponibles. De nombreux photographes professionnels vendent leurs photos de concert en ligne ou dans des boutiques spécialisées. Les sites de vente en ligne tels que Etsy et Amazon proposent également une grande sélection de photos de concert.

En conclusion, l’achat de photos de concert est un moyen unique et excitant d’immortaliser les moments les plus mémorables de vos concerts préférés. Que vous soyez un fan inconditionnel ou simplement à la recherche d’un moyen de décorer votre espace, les photos de concert peuvent être un investissement précieux et un souvenir intemporel.

Importance de la photographie de concert

La photographie de concert joue un rôle important pour les fans de musique et les artistes eux-mêmes. Tout d’abord, elle permet de capturer les moments les plus mémorables d’un concert, notamment l’énergie et l’émotion que les artistes transmettent à leur public. Les photos de concert permettent également aux fans de garder des souvenirs tangibles de leurs concerts préférés et de les revivre même des années plus tard.

De plus, la photographie de concert est un moyen pour les artistes de promouvoir leur travail et d’interagir avec leur public. Les photos de concert peuvent être partagées sur les réseaux sociaux et utilisées pour la promotion de futurs événements musicaux. Les photographes de concert professionnels peuvent également être invités à photographier des événements privés pour les artistes ou les maisons de disques.

Enfin, la photographie de concert est un art en soi. Les photographes de concert doivent être en mesure de capter les moments les plus intéressants tout en travaillant dans des conditions de faible luminosité et de mouvement rapide. Ils doivent également être capables de produire des images nettes et de haute qualité pour créer des souvenirs durables pour les fans de musique.

 

Vente tirage photos de concert Mass Hysteria - Photo de concert par Eric CANTO

Vente photos de concert de Mass HysteriaPhoto de concert par Eric CANTO

 

Les avantages de l’achat de photos de concert

Il y a plusieurs avantages à acheter des photos de concert, que ce soit pour les fans de musique ou pour les collectionneurs d’art. Voici quelques-uns des avantages les plus importants :

  1. Garder des souvenirs tangibles : Les photos de concert sont un moyen de garder des souvenirs tangibles de vos concerts préférés. Elles vous permettent de revivre les moments les plus mémorables de l’événement, y compris les performances des artistes, l’ambiance et l’énergie de la foule. Les photos de concert vous permettent également de vous rappeler de l’expérience que vous avez vécue avec vos amis et votre famille.
  2. Ajouter à votre collection de photos : Si vous êtes un passionné de photographie ou un collectionneur d’art, les photos de concert peuvent être un excellent ajout à votre collection. Elles peuvent être considérées comme une forme d’art contemporain et peuvent ajouter une dimension intéressante à votre collection.
  3. Décoration intérieure : Les photos de concert peuvent être utilisées pour décorer votre maison ou votre bureau. Elles peuvent être encadrées et accrochées sur les murs pour ajouter une touche personnelle à votre décor.
  4. Cadeau pour les fans de musique : Si vous cherchez un cadeau original pour un fan de musique, les photos de concert peuvent être une excellente option. Elles sont uniques et personnalisées, et peuvent être choisies en fonction des goûts musicaux de la personne.

En résumé, l’achat de photos de concert peut être bénéfique pour les fans de musique et les collectionneurs d’art. Les photos de concert permettent de garder des souvenirs tangibles, d’ajouter à votre collection de photos, de décorer votre maison ou votre bureau, et de servir de cadeau original pour les fans de musique.

 

Vente tirage photos de concert Sick of it all - Photo de concert par Eric CANTO

Vente photos de concert de Sick of it all – Photo de concert par Eric CANTO

Comment acheter des photos de concert

Il existe plusieurs moyens d’acheter des photos de concert :

  1. Directement auprès du photographe : Vous pouvez contacter directement le photographe qui a pris les photos lors du concert. La plupart des photographes ont un site web ou une boutique en ligne où ils vendent leurs photos. Vous pouvez également les contacter par email ou par téléphone pour passer une commande.
  2. Sur des sites web spécialisés : Il existe plusieurs sites web spécialisés dans la vente de photos de concert. Ces sites regroupent des photos de différents photographes et artistes, et vous pouvez facilement trouver des photos de vos artistes préférés.
  3. Lors de festivals et de concerts : Si vous assistez à des festivals et à des concerts, il est possible que des photographes soient présents pour prendre des photos de l’événement. Certains d’entre eux vendent ensuite leurs photos sur place, ou vous pouvez les contacter ultérieurement pour passer une commande.

Avant d’acheter des photos de concert, assurez-vous de vérifier la qualité des photos et de vérifier les tarifs. Les prix peuvent varier considérablement en fonction de la qualité de la photo et de la notoriété du photographe. Il est également important de vérifier les droits d’utilisation des photos, surtout si vous comptez les utiliser pour un usage commercial.

 

La photographie de concert professionnelle

La photographie de concert professionnelle est une discipline de la photographie qui consiste à capturer les moments les plus marquants des performances en direct des artistes et des groupes de musique. Cette forme de photographie est très populaire auprès des fans de musique, des artistes et des professionnels de l’industrie musicale.

Pour conclure : Récapitulation des avantages de l’achat de photos de concert

L’achat de photos de concert présente plusieurs avantages, notamment :

  1. Capturer des moments uniques : Les concerts sont des événements en direct qui ne se répètent pas et qui peuvent produire des moments uniques et mémorables. L’achat de photos de concert permet de capturer ces moments pour les revivre et les apprécier plus tard.
  2. Obtenir des images de haute qualité : Les photographes professionnels de concerts utilisent des équipements de pointe pour capturer des images de haute qualité. Les photos achetées seront donc nettes, claires et parfaitement exposées.
  3. Posséder des souvenirs uniques : Les photos de concert sont des souvenirs uniques qui permettent de revivre l’expérience du concert encore et encore. Elles peuvent être encadrées et exposées dans votre maison ou votre bureau, ou utilisées pour personnaliser votre téléphone ou votre ordinateur.
  4. Soutenir les artistes et les photographes : En achetant des photos de concert, vous soutenez les artistes et les photographes qui travaillent dur pour capturer ces moments uniques. Cela peut aider à encourager leur travail et leur permettre de continuer à créer de superbes images de concerts.
  5. Accéder à une grande variété de photos : Les photographes de concerts prennent souvent des centaines de photos lors d’un seul événement, offrant ainsi une grande variété de choix pour trouver l’image parfaite. De plus, il est souvent possible de trouver des photos de différents angles ou perspectives qui ne sont pas accessibles au public pendant le concert.

 

Découvrez notre selection de PHOTOS DE CONCERT

Vente photos de concert : Découvrez notre sélection de photos de concert. Nos nombreuses photos de musique n’attendent que vous pour donner une touche d’originalité à votre décoration. Si vous êtes passionné de rock, de métal ou encore de pop et que vous allez régulièrement assister à des concerts, vous avez sans doute remarqué la présence de photographes de concert pendant le spectacle.

Si vous souhaitez opter pour une ambiance particulière parcourez notre sélection de photos couleur Toutes les photographies de concert mises en vente sur ericcanto.com sont vendues en édition limitée.

 

Eric CANTO Photographe : Photos de concerts, portraits, pochettes d’albums.

 

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Beastie Boys Story

Beastie Boys Story

Beastie Boys Story

Un premier teaser ultra efficace pour le documentaire de Spike Jonze : Beastie Boys Story. Le réalisateur de Her accompagne les Beastie Boys depuis des années et a réalisé certains de leurs clips. L’histoire d’amour entre Spike Jonze et les Beastie Boys remonte à plusieurs années.

Le réalisateur de Her and In the Skin de John Malkovich a rencontré les Beastie Boys au début des années 1990. Ils ont ensuite travaillé plusieurs fois ensemble, sur des clips comme « Ricky’s Theme », « Root Down » ou même « Sabotage« . À l’occasion du 25e anniversaire de la sortie de l’album Ill Communication, Spike Jonze a produit un documentaire intimiste qui retrace l’histoire du groupe.

Le réalisateur a pu accompagner Mike D (Mike Diamond), Ad-Rock (Adam Horovitz) et feu MCA (le musicien décédé d’un cancer en 2012) dans leur vie quotidienne pendant plusieurs années.

Le premier teaser ultra-efficace du documentaire Beastie Boys Story vient de sortir. Vous pouvez y voir les trois Mc de l’autel à leurs débuts, dans des sessions hip-hop improvisées et dans des clips. Mike D et Ad-Rock apparaissent alors plus âgés sur une immense scène de théâtre devant un public de fans.

« Bonjour à tous! Ce que nous allons faire ici, c’est que nous voyagerons loin, très loin dans le temps! », entend-on en arrière-plan. Quelque chose qui vous met l’eau à la bouche.

Le film sera disponible dans certaines salles IMAX à partir du 3 avril et sur Apple TV + à partir du 24 avril Les Beastie Boys ont développé une approche et un style qui va de quinze ans de punk rock animé au hip-hop, un style ouvert et particulié. Loin d’être des adolescents douteux, ils ont redéfini la jeunesse: une secte cool ouverte à tous et qui a entre 7 et 77 ans. La discographie des Beastie Boys est sans faille.

Beastie boys story

Beastie boys Story

Le début des Beastie boys

Hiver 1981: Un obscur groupe punk de New York enregistre une chanson forte à huit pistes pour un magasin de disques hardcore dans l’East Village de New York: le certificat de naissance en vinyle des Beastie Boys, Polly Woog Stew, une naissance époustouflante. Mars 1982: Le groupe, dont la composition est encore incertaine, troque ses singles hardcore contre le maxi rap de Sugarhill.

Adam Horovitz a ensuite accompagné Mike D., Adam Yauch et Kate Schellenbach à la batterie  (maintenant avec Luscious Jackson) pour enregistrer le Single Cookie Puss, une farce téléphonique dans la cour de récréation qui lorgne ouvertement vers le hip-hop. À partir de là, « nous avons laissé tomber nos instruments et commencé à faire des MCs », explique Mike D. Encore une fois, nous prouvons que le punk mène à tout lorsque vous le quittez.

License to ill  (Def Jam, 1986)   

“Fight for your right to party / Your father was caught smoking ¬ he said « No way » / Now your mother threw » (fight for your rights). Concentré de manière particulièrement explosive sur la colère des jeunes, le premier album des Beastie Boys, précédé du tonnerre Maxi Rock Hard (1984), est le tout premier.

Insolent, provocateur et sexiste, des paroles bruyantes plutôt stridentes, associées à une collision sonore titanesque entre le heavy métal et les rythmes hip hop. Rick Rubin, co-fondateur du label Def Jam, qui a signé le trio Thug sous contrat, n’est pas étranger à cette effraction brutale de riffs de tartre dans le chaudron de rap Horovitz aujourd’hui.

Rick Rubin, l’architecte sonore du duo mémorable de Run DMC avec Aerosmith on Walk, a l’intention d’utiliser sa vision musicale élargie pour servir une approche entre deux clans qui est incompatible dès le départ, mais qui est similaire à bien des égards: les cheveux métalliques et que B-Boys.

Avec ce Licensed to Ill, le premier album de rap dans les charts américains, qui étonnera encore et encore douze ans plus tard, il connaîtra un brillant succès.

 

 

Avec un paradoxe, la batterie de John Bonham (Led Zeppelin) à l’ouverture. Au niveau de l’enregistrement,  Adam Horovitz voulait  rendre un hommage au Zeppelin sur New Style (« Si j’étais guitariste, je serais Jimmy Page »), Page ne l’entendra pas de cette oreille quand il découvrira son riff de The Ocean sur le disque. L’affaire est finalement réglée à l’amiable pour une dizaine de dollars.

Si un bon nombre de B-boys sont immédiatement conquis par ce feu  contagieux, une partie de la jeune nation hip-hop fronce les sourcils face à ce rappeur blanc de blancs (juifs et aussi de bonnes familles) dont le succès écrasant leur rappelle le succès, la réappropriation opportuniste dont le jazz et le rock étaient déjà victimes.

Surtout, contrairement au « message » politique qui commence à émerger dans le hip-hop (l’émergence des groupes de rap les plus engagés, Public Enemy, n’aura lieu que l’année suivante), ces escrocs lubriques  à l’humour d’écolier, qui n’ont apparemment d’autre souci que de revendiquer « le droit de faire la fête ».

C’est le début de l’aventure de l’un des groupes les plus importants de ces trente dernières années.

Le , Adam Yauch, âgé de 47 ans ,meurt après une bataille de trois ans contre le cancer. Le groupe décide de ne pas survivre à la perte d’Adam. Le , Mike D annonce la fin définitive du groupe : Nous ne sommes plus capables de tourner depuis que MCA, Adam Yauch, est mort […] nous ne pouvons pas faire de nouveaux morceaux.

beastie boys story

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Membres des Beastie Boys

Anciens membres des Beastie boys

John Berry – guitare (1981–1982)
Mike D – chant, batterie (1981–2012)
Kate Schellenbach – batterie, percussions (1981–1984)
MCA – chant, basse (1981–2012)
Ad-Rock – chant, guitare (1982–2012)

Membres de tournée

DJ Double R – DJing (1984–1985)
Doctor Dré – DJing (1986)
DJ Hurricane – DJing (1986–1997)
Eric Bobo – percussions (1992–1996)
Money Mark (Mark Ramos-Nishita) – clavier, chant (1992–2012)
AWOL – batterie (1994–1995)
Alfredo Ortiz – batterie, percussions (1996–2012)
Mix Master Mike – DJing, platines, chœurs (1998–2012)

 

Discographie des Beastie Boys

1986 : Licensed to Ill
1989 : Paul’s Boutique
1992 : Check Your Head
1994 : Ill Communication
1996 : The In Sound From Way Out
1998 : Hello Nasty
2004 : To the 5 Boroughs
2007 : The Mix-Up
2011 : Hot Sauce Committee Part Two

 


 

Eric CANTO Photographe : Photos de concerts, portraits, pochettes d’albums.

 

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Bonus : Interview du NY Times, Les Beastie Boys posent le micro et ramassent le stylo

Après la mort d’Adam Yauch, Michael Diamond et Adam Horovitz ont travaillé pour capturer l’esthétique et l’héritage du groupe révolutionnaire sur la page. Voici comment ils l’ont fait.

Michael Diamond (Mike D) des Beastie Boys (à gauche) et Adam Horovitz (Ad-Rock) ont tenté de définir leur propre héritage dans leur «Beastie Boys Book».Crédit…Brad Ogbonna pour le New York Times

L’histoire commence – ou peut-être se termine – avec trois gars au début de la cinquantaine qui traînent dans un bel après-midi de fin d’été, buvant du café glacé et parlant de combien ils aiment le Clash, et à quel point c’est étrange que l’hôtel encombré de célébrités où ils Être assis est juste en haut du bloc de là où CBGB était à l’époque. Des trucs de papa.

Deux des papas, cependant, sont les membres survivants des Beastie Boys: Adam Horovitz, avec des cheveux gris surélevés et un T-shirt blanc avec un léger graffito sur le devant; et Michael Diamond, vêtu d’un bouton rouge vif, ses cheveux toujours sombres, son visage froissé et bronzé après des années de vie dans le sud de la Californie. Ad-Rock et Mike D, en d’autres termes.

Le troisième Beastie, Adam Yauch – MCA, la conscience, le chaman et l’épine dorsale intellectuelle du groupe – est décédé en 2012 après une bataille de trois ans contre le cancer des glandes salivaires. Son absence, six ans plus tard, est un fait palpable dans la salle. Son nom revient souvent dans la conversation, comme dans le nouveau livre qu’Horovitz et Diamond ont écrit.

Appelé «Beastie Boys Book» (bien que la page de couverture puisse vous faire croire que le véritable titre est «PIZZA»), c’est un butoir de 571 pages et une pierre tombale, un recueil d’anecdotes, de recettes, de riffs espiègles et d’histoires de chiens hirsutes et une élégie sincère à un ami très regretté.

Le volume, plein de photographies et de bandes dessinées anciennes, avec une multitude de polices et de mises en page, est un summa non musical de l’esthétique Beastie.

Histoire personnelle, folklore des bus de tournée, geek de studio et drame générationnel qui convoque une liste impressionnante de témoins, y compris les écrivains Jonathan Lethem, Ada Calhoun et Colson Whitehead, la comédienne / actrice Amy Poehler et divers collègues musiciens.

Certains comptes sont réglés, du bœuf est écrasé, et sans aucun doute, certaines affaires laides sont aérographiées ou sautées. Un mauvais comportement est reconnu; La bonne foi des alliées féministes est maintenue. Puisqu’il n’y aura plus de nouvelle musique de Beastie Boys, cet album aidera à consolider un héritage tentaculaire et compliqué.

La construction de monuments n’est pas quelque chose que vous attendez nécessairement des Beasties, qui ont construit leur carrière par irrévérence, sournoiserie et cool discret. Au début, au début des années 1980, le nom était un acronyme pour Boys Entering Anarchistic States Toward Internal Excellence, écrit Diamond, et la programmation comprenait une fille, Kate Schellenbach.

Le groupe est passé du hardcore au hip-hop lorsque le rap ressemblait plus à une mode qu’à une force dominante de la culture pop. Ils étaient puérils et profanes puis, d’une manière ou d’une autre, dans les années 90, des musiciens sérieux avec quelque chose à dire et des innovations surprenantes à apporter. Yauch était une bouddhiste et une féministe affirmée.

Leur vidéo « Sabotage » de 1994 , réalisé par Spike Jonze, était un jetable rétro loufoque qui a contribué à transformer le genre.

 

Les beastie boys ont pratiqué l’extension de marque multiplateforme avant que ces mots horribles ne deviennent une monnaie culturelle. Ils étaient conscients de la mode, de la nourriture et du graphisme, ils ont trouvé de l’art et de vieux «médias physiques» étranges au moment où le genre numérique commençait à les balayer.

«J’écoute de la cire / je n’utilise pas le CD», se vantait Mike D dans «Sure Shot» en 1994, anticipant la reconquête millénaire de la suprématie du vinyle d’une décennie ou plus.

À peu près au même moment, ils ont lancé un magazine appelé Grand Royal qui était aussi une sorte de label de disques et aussi une sorte de magasin de consommation de style de vie et aussi une sorte de club-house où l’on pouvait se sentir à la fois comme un noob et un savant.

C’était comme un site Web, mais sur papier. Idiot et à faire soi-même, il avait le sens désarmant, improvisé et ressemblant à ce que j’ai trouvé, de l’intégrité artistique qui est au cœur de l’héritage de Beastie.

Cet héritage entre les couvertures rigides ne ressemble pas beaucoup à un mémoire de rock star standard. À la manière d’apt Gen X, c’est plus drôle et plus modeste que les best-sellers des héros musicaux des baby-boomers. Nous en avons parlé tous les trois et de bien d’autres choses. Ce sont des extraits édités de la conversation.

Alors, comment est né le livre?

MICHAEL DIAMOND des beastie boys : C’est mieux que de nous faire tenter une comédie musicale à Broadway, je pense.

ADAM HOROVITZ Whoa.

DIAMOND des beastie boys : Yauch, quand nous étions enfants, il adorait «The Kids Are Alright», le documentaire Who. C’était comme une obsession.

Et donc il était intéressé, lorsque nous travaillions sur «Hot Sauce Committee» ou même un peu avant cela, à rassembler des documents d’archives dans un projet de type documentaire. Ensuite, il a été question de quelqu’un qui ferait un livre sur le groupe, alors nous étions en quelque sorte comme, nous devrions nous rassembler et le faire.

Puis Yauch est mort et nous étions trop tristes et ce n’était certainement pas le moment pour nous d’y toucher. Et puis nous y sommes retournés et cela a traversé différentes manifestations. Nous avons commencé avec l’idée d’amener les gens qui étaient autour du groupe et nos amis et personnes impliquées à différents moments à raconter l’histoire.

Qu’est-ce que vous vouliez le plus que ce ne soit pas?

DIAMANT des beastie boys : Nous ne voulions certainement pas que ce soit comme une autobiographie rock typique. «Je suis monté dans le bus un jour et il y avait un garçon qui jouait de la guitare et il s’est avéré qu’il s’agissait de John Lennon.

HOROVITZ des beastie boys : Bien que ce serait génial – dans une histoire sur les Beastie Boys. Nous ne voulions pas faire le truc où ces autobiographies sont comme un tas de trucs, puis quelques photos, et plus de trucs, et plus de photos.

DIAMANT des beastie boys : Voici 20 pages de nous quand nous grandissions. Voici 20 pages quand nous devenons célèbres. Voici 20 pages quand nous sommes célèbres et voici 20 pages après que nous ne pouvions pas nous supporter et maintenant j’ai écrit toutes ces choses diffamatoires sur les gars avec qui j’étais dans le groupe.

HOROVITZ des beastie boys : En 2018, vous pouvez simplement Google tout cela et écrire votre propre livre. Nous ne voulions pas non plus avoir d’histoires sur des choses vraiment personnelles, ou des trucs scandaleux ou [jurons] qui ne sont l’affaire de personne.

 

Y a-t-il des endroits où vous vous souvenez des choses différemment?

HOROVITZ des beastie boys : Non. C’était plutôt: Est-ce que l’un de nous se souvient?

DIAMANT des beastie boys : Nous avons tous deux été étonnés de voir à quel point nous nous souvenons peu.

Eh bien, cela fait longtemps.

DIAMANT des beastie boys : Surtout parce que c’était important de vivre le moment fou de notre adolescence. Parce que c’était si formateur et à cause de l’époque où c’était à New York .

Comment vous souvenez-vous de cela maintenant – de la musique que vous avez écoutée et qu’est-ce qui vous a donné l’idée que c’était quelque chose que vous pouviez faire?

HOROVITZ des beastie boys : Nous avions environ 15 ans, et nous allions voir des groupes, et beaucoup de groupes étaient comme des groupes punk hardcore. J’avais une guitare, et je connaissais quelques accords, et tu as réalisé que tu pouvais jouer cette chanson des Ramones, et c’est comme, Jésus, chaque chanson des Ramones est juste ça? Je pourrais faire ça.

La seule musique accessible que nous pourrions faire serait le hard-core. Même le punk semblait sophistiqué.

DIAMANT des beastie boys : Le point d’entrée était là. Avant cela, de grands groupes de rock étaient sur scène et c’était inaccessible. Mais si vous alliez dans un club comme A7, tout le club avait peut-être la taille de cette chambre d’hôtel, et il y avait littéralement un canapé comme ce canapé sur le côté de la scène.

La barrière entre le public et le groupe n’existait pas vraiment, et la plupart des gens du public étaient dans des groupes. Une autre chose intéressante qui se passait lorsque nous avons commencé à sortir dans des clubs à l’adolescence – que ce soit Mudd Club , Danceteria ou ailleurs – était cette culture de tout le monde faisant quelque chose.

S’ils ne faisaient pas partie d’un groupe, ils essayaient de vous vendre leur petit fanzine de poésie ou de devenir le prochain artiste visuel. Tout le monde avait un peu de créativité.

 

DIAMOND des beastie boys : Au début, nous étions un groupe hard-core comme tout le monde. Sauf que peut-être que nous avions le sens de l’humour à ce sujet.

HOROVITZ des beastie boys : Et puis nous avons commencé à rapper. Nous étions comme les rappeurs du centre-ville. Il n’y avait personne d’autre qui frappait au centre-ville. Droite? Le pont était que nous avons rencontré Rick Rubin . Nous allions tous dans les mêmes clubs mais il était un peu plus âgé et il avait une boîte à rythmes.

DIAMANT des beastie boys : Et nous avons en quelque sorte atteint un moment d’épuisement avec le hardcore. Le rap 12 pouces a commencé à sortir, et cela semblait être une chose vraiment excitante. «Sucker MC’s» [de Run-DMC] était vraiment le disque qui a tout brisé, c’était ce dépouillé, minimal… voilà ce que le rap allait être.

HOROVITZ des beastie boys : Cette époque du rap était vraiment punk pour une raison quelconque. Quelque chose était connectable dans la mesure où nous voulions faire des disques de rap, en plus d’aimer les disques de rap.

DIAMANT des beastie boys : Ou peut-être que nous étions tellement naïfs et que nous n’avions aucun adulte responsable autour de vous pour dire: «À quoi pensez-vous les gars?»

Étiez-vous un peu gêné d’être des enfants blancs travaillant dans l’idiome du rap?

HOROVITZ des beastie boys : Eh bien, nous venions du centre-ville, donc nous frappions à Danceteria, dans ces clubs blancs du centre-ville, vraiment. Personne au centre-ville ne rappait. Personne que nous connaissions ne rappait. Donc nous étions comme, nous devrions le faire. On ne s’en moquait pas, on adorait ça et on voulait en faire partie.

Au bout d’une minute, nous avons eu des costumes Puma assortis, et nous portions des chiffons, et nous avons joué dans ce club du Queens appelé Encore, et tout le monde se moque de nous. Ils ont allumé les lumières fluorescentes quand nous sommes arrivés à faire nos deux chansons d’ouverture pour Kurtis Blow, et nous étions comme, mec, nous avons l’air stupides.

DIAMOND des beastie boys : Nous nous sommes tous sentis comme [juron] après ce concert. Mais nous étions toujours déterminés à faire du rap car c’est ce que nous aimions faire. Nous avons en quelque sorte réalisé que nous devions être notre propre version.

Beaucoup d’enfants grandissent maintenant dans un monde créé par Beastie, où la musique, les baskets, les vêtements, la nourriture, une grande partie de ce qu’ils consomment sont connectés et inter-marques. Et vous avez été des pionniers dans ce genre de choses. Comment cela est-il né de la musique?

DIAMOND des beastie boys : C’était la grande leçon du punk et du hardcore. Que vous puissiez publier quoi que ce soit. Pour jouer à des concerts, vous voliez l’accès à une machine Xerox et fabriquiez des dépliants.

HOROVITZ des beastie boys : Punks n’engage pas de personnes pour faire la couverture de leur disque. Les punks font tout eux-mêmes. C’est ça le vrai punk – le faire soi-même et bâtir une communauté où les gens partagent des idées et partagent leur créativité.

J’ai l’impression que nous avons toujours essayé d’y revenir. Grand Royal a commencé parce que nous étions sur la tournée Lollapalooza et nous voulions envoyer ce message aux gens que le Mosh Pit est ringard.

Arrêter de faire ça. MTV l’a ruiné, et c’est dangereux, et les filles sont blessées. Donc Mike avait conçu tout ça et nous l’avons fait passer à Lollapalooza et ensuite nous nous sommes dit, faisons juste un fanzine et sortons-le.

Et puis il est simplement passé au niveau suivant. Nous avons eu de la chance d’avoir de l’argent.

DIAMANT des beastie boys : Et que nous avons eu le public. Le fait que nous ayons eu un public plus large pour ces choses que nous avons faites est encore un petit miracle pour moi.

Quand je pense à vous les gars, je pense à deux moments. Le premier, le début et le milieu des années 80, dont nous parlions.

Mais il y a aussi le début et le milieu des années 90, une décennie plus tard, quand il y a une floraison créative dans le hip-hop et le moment indie-rock. D’une manière ou d’une autre, vous étiez dans ces deux endroits. Comment pensez-vous y être arrivé?

HOROVITZ des beastie boys : Eh bien, cela revient probablement à aimer le Clash. Ils avaient des chansons punk-rock, des chansons reggae et des chansons mélodiques, et ils ont juste suivi ce qu’ils voulaient faire, non?

DIAMOND des beastie boys : Il ne nous est jamais venu à l’esprit de ne pas faire de musique qui incluait quelque influence que ce soit.

Heureusement, nous avons pu faire des disques sur une bonne période de temps, car vous n’allez pas tout découvrir à la fois. La réalité que nous pourrions être joués sur «Yo! MTV Raps »à côté de« 120 Minutes »- je suppose que c’est là que MTV était à l’époque.

Même s’ils présentaient de la musique rap et de la musique alternative, ils les présentaient de manière séparée. Nous essayions de tout mettre ensemble, et en quelque sorte nous étions l’enfant étrange dont les vidéos pouvaient jouer sur les deux.

Une chose qui était certainement vraie des premiers Beastie Boys était la personnalité ludique et odieuse. Il y avait le pénis gonflable sur scène à vos spectacles.

HOROVITZ des beastie boys : Hydraulique. C’était un pénis hydraulique.

Et déjà, il y a probablement 20 ans, vous vous êtes éloigné de certains des aspects les plus offensants de cela. En ce moment, à travers la culture, il y a beaucoup de comptes en cours sur la misogynie et l’homophobie, passées et présentes, et je me demande si cela est revenu à nouveau en travaillant sur le livre?

DIAMANT des beastie boys : Nous avons tous, en grandissant, soit eu l’expérience de nous comporter mal, soit de faire un mauvais travail de la façon dont nous traitions les autres dans n’importe quel type de relation. Pour nous, bien sûr, une grande partie de cela était dans le personnage public que nous avons créé.

C’était quelque chose d’inspirant dans le livre, c’était l’occasion de s’ouvrir et de se plonger dedans et de pouvoir dire: «Nous étions [jurons]. Nous aurions vraiment pu mieux gérer cela. Mais peut-être que nous devions être [jurons] pour apprendre notre leçon.

HOROVITZ des beastie boys : Je veux dire que vous ne pouvez pas ne pas en parler. C’est une grande partie de notre histoire pour nous.

Parce que pendant longtemps nous n’avons pas joué «Fight for Your Right to Party», nous n’avons joué aucune de ces chansons. «Licensed to Ill» était comme un rhume, et nous avons pris tellement de vitamine C que nous n’aurions plus jamais eu ce rhume.

Mais ensuite on s’est rendu compte que l’on peut séparer le bien du mal, que ce n’est pas tout, quelle est l’expression, coupée et séchée?

DIAMANT des beastie boys : Cela ne semblait plus binaire.

HOROVITZ des beastie boys : Oh maintenant, nous utilisons des mots fantaisistes.

DIAMANT des beastie boys : Ce qui a ouvert la porte, ce sont les paroles de Yauch à la fin des années 90 sur «Sure Shot» sur «le manque de respect des femmes doit être passé».

Au fur et à mesure que nous avons évolué pour avoir cette voix, nous pourrions être à l’aise de revenir en arrière et de jouer l’une de ces chansons, en disant maintenant que nous sommes suffisamment clairement établis comme autre chose pour pouvoir jouer cette musique sans le devenir.

Il y a quelque chose de doux-amer dans ce livre, à cause de la mort de Yauch.

HOROVITZ des beastie boys : C’est [juron] triste. Il n’y a aucun moyen de le contourner. Comment êtes-vous censé terminer ce livre? Moi et Mike assis ici? Moi et Mike allons au cinéma? Il y a tellement de films Dwayne «The Rock» Johnson que nous n’avons pas encore vus.

DIAMANT des beastie boys : Ce qu’il y avait de gentil à ce sujet, c’était de pouvoir revenir en arrière et d’exploiter ces histoires dont il était au-delà de tout. C’était une chose gratifiante, quelque chose qui nous manque chaque jour.

Je ne sais pas comment nous pourrions faire cela avec un degré d’honnêteté sans avoir cette tristesse et cette perte.

HOROVITZ des beastie boys : Il n’y a pas moyen de contourner cela. Il est le groupe.

Mass Hysteria l’armée des ombres

Mass Hysteria l’armée des ombres

Mass Hysteria l’armée des ombres est le 7e album studio de Mass Hysteria, groupe de métal français.L’armée des ombres est sorti le 27 août 2012. Je me suis occupé sur cet album de l’artwork, des photos presse ainsi que de toute la communication.

L’armée des ombres est le premier album avec Vincent Mercier à la basse, remplaçant Stéphan Jacquet « Titou », ainsi que le dernier avec Nicolas Sarrouy à la guitare. L’ancien guitariste du groupe Olivier Coursier, aujourd’hui dans AaRON s’est occupé des samples de l’album.

 

Mass Hysteria larmee des ombres credit Eric CANTO 1

Mass Hysteria l’armée des ombres : Premier single

Mass Hysteria a 18 ans, une majorité que le cours des années ne dément pas. L’âge de l’émancipation, l’âge auquel rien n’est impossible.

Où nous voyons la liberté, où nous rêvons. Combattant la mode, les périodes sombres, un amour sans faille pour la musique et pour cette alchimie indescriptible entre le groupe et le public. Fort de son expérience et des années passées, Mass Hysteria ne fait plus attention aux détails, et distille aujourd’hui une recette unique en France, faisant fi des détails pour ne conserver que le nécessaire.

 

Mass Hysteria l’armée des ombres : Liste des morceaux

  • Positif à bloc – 2:57
  • L’homme s’entête – 3:36
  • Commedia Dell’ Inferno – 3:37
  • Même si j’explose – 5:05
  • L’esprit du temps – 3:24
  • Tout doit disparaître – 4:24
  • Sérum barbare – 4:04
  • Raison close – 4:57
  • Pulsion – 2:17
  • Vertige des mondes – 2:50
  • La valse des pantins (Bonus)
  • Soyez vous-même (Bonus)

 

Mass Hysteria l’armée des ombres : Crédits

  • Mouss Kelai — chant
  • Yann Heurtaux — guitare
  • Nicolas Sarrouy — guitare
  • Vincent Mercier — basse
  • Raphaël Mercier — batterie
  • Olivier Coursier — samples

 

Mass Hysteria l’armée des ombres : l’album

Trois ans après « Failles » MASS HYSTERIA change de label, bassiste et adopte le côté sombre de l’album, dont la pochette annonce la couleur: sombre.

Il n’y a plus d’humeurs révolutionnaires festives des albums précédents, le monde a changé, de même MASS et « l’armée des ombres » ne sont rien d’autre qu’un bataillon de survivants face au système actuel qui envisage la destruction de l’homme lui-même.

Oui, pas joyeux, joyeux, mais c’est l’atmosphère qui sort du battage médiatique, il suffit de regarder l’artwork dérangeant pour le remarquer. Même « Positive A Bloc » avec son titre optimiste n’est pas pour là pour calmer l’ambiance.

C’est juste une bombe en introduction à cet album. Un de ces morceaux qui vous frappe sans le voir venir, et annonce la couleur et montre que le groupe n’est pas venu là pour faire de la figuration.

 

Mass Hysteria l’armée des ombres en tournée

 

Les samples nous permettent de comprendre que cette chanson est une machine qui écrase tout sur son passage, des guitares grasses et lourdes accompagnent la batterie et sa double grosse caisse sur la quasi-totalité du titre. Le son est très dense, presque étouffant, avec le goût de l’Indus, ce qui n’est pas désagréable.

C’est une recette magique qui déroule sur l’ensemble de l’album. Cela dit, on pourrait penser que « L’Armée des Ombres » n’est qu’un régiment en marche, que le CD est une frontière très linéaire et ennuyeuse. Eh bien, si vous l’écoutez de manière substantielle, oui. Mais l’ambiance est ce que le groupe impose donne toute sa subtilité à l’album.

En effet, les échantillons électros et les sons occupent une grande place dans les chansons, ajoutant à l’atmosphère dure créée par les instruments, des climats différents pour augmenter la pression, comme dans « Commedia Dell » Inferno.

 

mass hysteria armee des ombres

 

MASS sait aussi surprendre l’auditeur avec le titre « Même si j’explose », son intro sur le clavier et le refrain sont forts et engageants, et dégagent une atmosphère post-apocalyptique dérangeante, mais terriblement excitante.

Aussi dur, sérieux et puissant que l’armée de l’ombre, vous partez bien éveillé et bien ancré dans la réalité économique de plus en plus difficile. Cette fois, Mouss ne porte plus de gants, car ses paroles n’ont jamais été aussi directes. Ils témoignent de son anxiété, de sa profonde préoccupation pour ce monde et de la chute actuelle.

On ne rit plus, l’état d’urgence est annoncé et l’Armée fantôme revient sur scène. Cette nouvelle chanson est la chanson la plus métal, la plus dure et la plus compacte que Mass Hysteria nous ait jamais offerte. Sur cet album, il y a l’occasion de présenter le nouveau bassiste Vince Mercier, qui remplace le symbolique Titou parti l’an dernier.

Le changement s’est opéré avec style avec une basse ronde et éclatante, comme dans « L’homme sans tête ». Mass Hysteria l’armée des ombres est encore plus réussi que Failles, car les titres qui composent cet album sont plus intenses. Au final, on ne voit qu’une chose, le résultat est impressionnant. L’armée des ombres réussit, car en perdant un peu d’insouciance, Mass Hysteria a gagné en efficacité.

 

 

 

Mass Hysteria l’armée des ombres : Le making of


Mass Hysteria l’armée des ombres : Teaser Basse

 

 

Mass Hysteria l’armée des ombres : le Teaser

Mass Hysteria l’armée des ombres : Teaser de l’album

 

Mass Hysteria l’armée des ombres : l’interview 

Il semble que Mass Hysteria ait parcouru un long chemin entre un album noir, plus introspectif et personnel, et l’armée des ombres, qui apparaît presque comme un « cri du peuple ». Le rock’n roll doit-il être positionné comme un art de la résistance, dans le contexte actuel ?

Raphaël: Sans faire partie de l’approche punk, le rock’n roll doit redevenir « dangereux ».

Yann: J’écoute et j’aime certaines choses dans le rock d’aujourd’hui, mais je pense aussi que c’est un peu trop propre. Ce qui est actuellement un succès, comme Black Keys, est peut-être trop intelligent, même si la musique est très bien structurée et que le groupe est excellent au concert.

La page « image » est importante, mais elle semble prendre trop de place. En général, je pense qu’il y a un manque de rébellion dans la scène actuelle, une certaine rébellion. Peut-être faut-il qu’un groupe américain émerge en tête du discours pour faire repartir le rock français dans cet esprit. Lorsque Rage Against The Machine est apparu au début des années 90, ils ont profondément changé le paysage musical.

La scène américaine doit-elle être le moteur des artistes français?

Raphaël: Personnellement, je ne suis pas influencé par la scène française. Trust, Bérurier Noir et Lofofora m’ont alors fait forte impression. Ce qui se fait aujourd’hui ne m’intéresse pas vraiment. Cependant, il existe de très bons groupes qui offrent une musique extrêmement forte.

Yann: Il ne s’agit pas de critique, je pense que la musique d’aujourd’hui répond aux exigences du système. Si une grosse locomotive américaine atterrit en France, elle sera suivie par une foule de groupes français.

Cela s’est produit avec la vague de Korn et Deftones. Mass Hysteria a grandement profité de l’explosion de la scène américaine. Le métal existe, le succès du Hellfest est d’en témoigner, mais il se développe en «sous-marin». Aucun média ne veut supporter ce genre, nous sommes fermés plus que toute autre chose.

Raphaël: D’un autre côté, si un gars a l’intention de détruire des tombes et de porter un t-shirt Slayer, les magazines feront la une avec cette anecdote. Il est difficile de développer ce genre de musique en France. Le genre est malheureusement ultra-stéréotypé et pour beaucoup ce n’est rien d’autre que du bruit. C’est toujours une musique complexe qui nécessite une certaine technique et beaucoup d’efforts.

 

Mass Hysteria larmee des ombres credit Eric CANTO 4

Mass Hysteria est de retour avec un nouvel album, L’Armée des Ombres. Le groupe propose ici un disque plus sombre et plus impliqué, idéalement adapté à l’époque par rapport au message. Comment avez-vous abordé ce septième album : Mass Hysteria l’armée des ombres ?

Yann: Les graphismes de cet album sont très sombres et je pense que cela donne le côté sombre de l’album. Les compositions sont plus « métal » et nettes, mais en termes de paroles l’armée des ombres s’inscrit parfaitement dans la continuité de son prédécesseur. Les textes sont cependant très réalistes et directs par rapport au monde actuel. Je pense que les graphiques peuvent avoir un petit impact sur le contenu de cet enregistrement.

Raphaël: « World on Fire » sur Failles était déjà une chanson engagée, comme « Babylon » sur Une Somme de Détail. Malgré cela, l’armée fantôme a prononcé un discours encourageant et Mouss a d’abord utilisé son slogan « Positif à bloc ».

Yann: Mass vieillit également. Les temps changent et pas nécessairement dans le bon sens. Après tout, nous essayons d’être positifs sur un monde qui devient un peu barbare.

Vous avez changé le bassiste avec le départ de Stéphane, qui était là depuis le début. Comment vous êtes-vous retrouvé dans cette situation et comment avez-vous intégré votre ami Vincent?

Yann Heurtaux: Je ne veux pas m’étendre sur le pourquoi, mais Stephan est parti…,  tout ce que je peux dire, c’est que c’était difficile pour les deux côtés. Ensuite, le choix a été fait rapidement: nous ne voulions pas quelqu’un que nous ne connaissions pas, alors nous avons regardé autour et il y avait Vince. Il a passé du temps dans les mêmes bars et nous avons passé de nombreuses soirées ensemble, nous sommes amis depuis longtemps.

Au niveau de la guitare, nous ressentons des influences plus diverses, à la fois plus lourdes et plus repliées si nécessaire. Comment décririez-vous le travail des guitares ?

Yann : Nous avons vraiment pris la tête du son. Il fallait ensuite équilibrer le moment où les machines devaient être présentes et le moment où les guitares devaient prendre le contrôle: le mix était très important, c’est pourquoi nous travaillons avec Fred Duquesne, il nous connaît, je lui fais confiance!

Selon vous, qu’est-ce qui a le plus contribué à ces nouvelles compositions par rapport à ce que vous avez réussi à écrire sur Failles ?

Raphaël: Mass Hysteria l’armée des ombres est plus compact, vous pouvez l’écouter en même temps. A la fin de Failles, je pense qu’il y a deux ou trois titres moins forts. L’armée passe d’elle-même sans se désagréger.

Le disque a une meilleure structure. Mass Hysteria l’armée des ombres est en fait relativement monolithique. Un titre comme « Raison close » impose cependant un tempo moyen plus fort et est enregistré comme un souffle « léger » au milieu de compositions très « métal »

Yann: le titre se distingue par son ambiance et son rythme. J’adore les paroles de Mouss, il a abordé la chanson un peu différemment. J’aime cette chanson, mais nous ne la jouerons probablement pas, elle scellera l’ensemble, qui est plus axé sur les chansons fortes.

Raphaël: Parmi les chansons « lentes » que nous avons composées, « Raison close » est probablement ma préférée. Mais ce n’est pas vraiment un titre live. C’est génial sur l’album, mais c’est une chanson que vous pouvez écouter dans les deux.

Tous les groupes ont les leurs, à commencer par AC / DC avec « Touch Too Much ». Deux compositions sont également réservées uniquement à la sortie de Digipak, dont le très bon « Soyez vous-même » …

Yann: C’est une combinaison de circonstances. Nous avons fourni notre liste de chansons, et la maison de disques a décidé de faire exploser deux chansons dans la version standard pour réserver une édition limitée. Pour être honnêtes, nous pourrions choisir d’autres opportunités potentielles. Tout s’est passé rapidement, l’ordre de mastering n’a pas pu être modifié.

Mass Hysteria a signé un nouveau label, et comme Failles avait déjà trois ans, nous ne voulions pas perdre de temps inutilement. Vous devez également répondre aux exigences de planification. Cependant, il a été pensé bien à l’avance, nous avons consacré le temps nécessaire à l’écriture.

Raphaël: L’actualité de Mass Hysteria a été particulièrement chargée ces dernières années, notamment en matière de concerts. Nous avons également préparé notre premier DVD live. Nous avons attaqué des compos pour l’armée fin 2011. Nous sommes également à une époque où nous ne pouvons pas nous permettre d’oublier.

Pour De Cercle en Cercle et l’album noir, nous avions composé pendant de longs mois, même si ce n’était pas vraiment volontaire. Aujourd’hui, nous n’avons plus ce luxe, nous devons rapidement revenir au premier plan.

 

Mass Hysteria larmee des ombres credit Eric CANTO 5

 

 

Mass Hysteria L’Armée des ombres reste particulièrement cohérente avec les Failles et Une somme de détails. Le tout peut être écouté comme un bloc ou une trilogie …

Yann: Bien sûr. L’unité résulte également du fait que la trilogie a été produite par Fred Duquesne. Compte tenu du travail qu’il a réalisé sur l’armée des ombres, il est difficile pour cette collaboration d’aller au-delà de ces trois albums.

Dès le premier album, la « touche » de Mass Hysteria était sa capacité à combiner la puissance des guitares avec le côté dance des samples électroniques. Après le départ d’Olivier Coursier, personne n’a repris cette fonction dans le groupe.

Comment avez-vous abordé Mass Hysteria l’armée des ombres ?

Yann: Olivier s’est occupé des appareils de ce nouvel album. Nous avions de très bonnes relations avec lui. Sur Failles, Julien a occupé un poste temporaire. C’est quelqu’un qui a travaillé avec Sinclair. Pour Mass Hysteria l’armée des ombres l’armée des ombres, nous ne savions pas vraiment qui appeler. Nous avons bien sûr frappé à la porte d’Olivier. Son travail est vraiment très bon, il a sublimé les chansons.

Le titre de L’Armée des Ombres fait-il référence au roman de Kessel ?
Bien sûr ! C’est le nom de la résistance des hommes et des femmes pour moi et nos vrais héros. Ce film est exceptionnel avec  Lino Ventura! La résistance est le sujet qui nous fascine. La chanson de L’esprit Du Temps leur rend hommage, elle cite deux grands héros, Edgar Morin et Stéphane Hessel, et je recommande fortement la lecture de leurs œuvres.

En tant qu’ancien membre, qu’a-t-il pensé de ce dernier album ?

Il a vraiment aimé cet album. Bien qu’il joue dans AaRON, Olivier écoute toujours du métal. Il suit de près Mass Hysteria. Je sais qu’il aime nos derniers albums et pense que Mass Hysteria l’armée des ombres est l’une de nos meilleures œuvres.

Raphaël: Parmi nos proches, beaucoup de gens semblent avoir la même opinion. Nous avons de vieux fans qui reviennent maintenant sur la musique du groupe.

Yann: L’évolution s’est déroulée progressivement. Mass Hysteria est née d’une somme des détails. Bien que j’adore l’album noir, les gens l’ont mal compris, principalement parce que nous avons fait de mauvais choix en matière de production. J’ai du mal à écouter cet album, mais j’adore ces chansons.

A cette époque, nous avions déjà contacté Fred Duquesne, je regrette toujours de ne pas avoir pu concrétiser cette coopération. Il fallait ramener les fans à la maison. Nous avons vraiment travaillé le son avec Fred. Le public répond de plus en plus, en une semaine nous avons vendu mille disques de plus que Failles sur la même période. Au regard de l’état de l’industrie musicale actuellement, c’est vraiment positif.

 

Au début de sa carrière, Mass Hysteria aborde la fusion des styles, transplantant des samples dans une musique plutôt rock. Quelle est votre opinion sur les expériences avec le métal et le dubstep qui semblent se multiplier depuis un certain temps?

Yann: J’ai été frappé par la première chanson de Korn, « Get Up! » … Le Dubstep existe depuis des années, mais aujourd’hui il apparaît partout.

Ce mélange crée une musique ultra efficace, notamment grâce au côté fort du rock’n’roll. Personnellement, je trouve ce style de musique assez intéressant, même s’il a tendance à tourner en rond . Rien ne vaut les bons vieux classiques électros. J’ai récemment assisté au concert de Chemicals Brothers, c’était tellement puissant.
Mais Skrillex Zenith était également énorme.

Extraits Interview crédit Vacarm.net

 

Mass Hysteria l’armée des ombres : l’interview vidéo de Raphael Mercier

Mass Hysteria l’armée des ombres : Interview Rapha – Mass Hysteria l’armée des ombres

 


 

Eric CANTO Photographe : Photos de concerts, portraits, pochettes d’albums.

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David LaChapelle Lizzo : la rencontre

David LaChapelle Lizzo : la rencontre

David LaChapelle photographe et Lizzo

Lizzo a inspiré les pages du numéro de février de Rolling Stone avec une belle série de photos par David LaChapelle. Le photographe et artiste hawaïen a fait ses armes pour le magazine d’interview d’Andy Warhol dans les années 1980 et est depuis devenu une figure importante du monde de l’art pour ses séances de photo hardcore qui apparaissent dans Rolling Stone et d’autres revues nationales du passé.

Les œuvres colorées et remarquables de David LaChapelle sont inspirées de l’iconographie religieuse, du surréalisme et de l’apocalypse. Lorsqu’ils sont lus le plus cyniquement, ils peuvent mettre en évidence les éléments les plus intrépides de leurs sujets célèbres. Mais David  LaChapelle est rarement cynique à propos de qui il photographie, et il pense que ce CD combine spécifiquement les aspects « amusants et sains » de son travail avec Lizzo.

 

David LaChapelle photographe

David LaChapelle photographe

Le photographe David LaChapelle

En fait, le directeur créatif de la chanteuse Lizzo, Quinn Wilson, a déclaré que l’équipe avait reçu les premiers exemples du style et de l’inspiration uniques du photographe. « Je pense que sur le plan esthétique et élargi, j’ai toujours regardé David LaChapelle« , a déclaré Wilson à Rolling Stone sur le tournage de la couverture de Lizzo à Los Angeles.

Pendant l’un des plans, j’ai commencé à halluciner parce que c’est tellement incroyable que j’ai travaillé d’une manière ou d’une autre – même si c’est juste un peu de couleur ou juste un peu d’influence de sa part qui a été tourné dans notre travail nous en voyons maintenant le véritable créateur ensemble. Avec elle. Elle est devant son objectif. C’est un moment où je me dis: « Nous avons fait notre travail, nous l’avons bien fait. »

Wilson a ajouté que la chanteuse Lizzo avait probablement mis quelque chose dans la tête de David LaChapelle: « Il n’a besoin d’aucune action », a-t-elle déclaré le matin. Depuis que David LaChapelle a déménagé vers Los Angeles depuis son île il y a environ 14 ans, il s’est éloigné de la photographie de célébrités et s’est concentré sur les films d’art et de danse . Il est apparu en 2018 avec des images surréalistes et souvent risquées de Tupac Shakur, David Bowie, Whitney Houston et Keith Richards. Kanye West, Miley Miley Cyrus et bien d’autres.

La photo de Lizzo réalisée par David LaChapelle photographe en couverture de Rolling Stone

David LaChapelle avec Rolling Stone a récemment parlé, depuis sa maison à Maui, de travailler avec la chanteuse Lizzo pour faire une premiere couverture. Qu’est-ce qui vous a amené à Lizzo en premier et vous a permis de travailler ensemble ? « Un ami a joué une chanson d’elle; Je suis ici à Hawaï, donc je suis un peu déconnecté. J’écoute Stevie Wonder.  De temps en temps, il y a une chanson qui vous éblouit et nous shootons ici  avec mon ami: « Je fais ma coiffure. Regarde mes ongles Bébé, comment vas-tu? Je me sens bien.  » Je veux dire que c’est la chanson de joie qui n’est jamais sortie.

C’est tellement joyeux et plein de lumière et nous avons tous dansé et juste soufflé les haut-parleurs dans la jungle. Tellement merveilleux. Je l’ai aimée, puis je l’ai oubliée. Et puis j’ai regardé quelque chose sur YouTube et je pense que mes algorithmes sont similaires … J’aime Chaka et Aretha, alors ils ont posté une vidéo d’elle. Et j’ai pensé, attends, c’est cette fille !

Elle fait son truc, chante et bouge, puis joue de la flûte, et je me suis dit: que se passe-t-il?

Chaque fois que quelqu’un peut jouer d’un instrument, c’est juste magique pour moi. C’est comme la fille de la classe assise à l’arrière. C’est la fille que j’ai forcée à être ma meilleure amie au lycée. Elle a juste pleuré sur cette flûte et j’ai pensé: « OK, ça doit arriver. Je veux la prendre en photo. » Et c’était tout.

 

David LaChapelle photographe

David LaChapelle photographe

David LaChapelle photographe

David LaChapelle photographe

David LaChapelle photographe

David Lachapelle photographe

David LaChapelle photographe

David LaChapelle photographe

David Lachapelle photographe

David Lachapelle photographe – David Lachapelle photographe

David LaChapelle Lizzo

Bonus:  David LaChapelle photographe explique son inspiration pour le tournage de la couverture de Lizzo ‘Rolling Stone’

La « musique de Lizzo est une sorte d’évasion et de joie, et j’étais vraiment attirée par elle pour cette joie qu’elle a. C’est le genre de fille vers qui j’aurais gravité au lycée R…
Lizzo orne les pages du numéro de février 2020 de Rolling Stone avec une magnifique série de photographies de David LaChapelle.
Le photographe et artiste basé à Hawaï a fait ses premières armes en travaillant pour le magazine Andy Warhol’s Interview dans les années 1980, et est depuis devenu une figure majeure du monde de l’art pour ses séances photo de célébrités non traditionnelles, apparaissant dans Rolling Stone et d’autres magazines nationaux pour les trois dernières décennies. Les œuvres colorées et saisissantes de LaChapelle s’inspirent de l’iconographie religieuse, du surréalisme et de l’apocalypse.
S’ils sont lus de la manière la plus cynique, ils peuvent mettre en évidence les éléments les moins recommandables de leurs sujets célèbres. Mais LaChapelle est rarement cynique à propos de qui il photographie, et il dit que ce tournage en particulier visait à fusionner les aspects « amusants et sains » de son travail avec la personnalité de Lizzo.
En fait, la directrice créative de Lizzo, Quinn Wilson, a déclaré que pour les premiers exemples de style et d’art unique de la pop star, son équipe s’était inspirée du photographe. « Je pense que d’un point de vue esthétique et de référence, j’ai toujours regardé vers David LaChapelle », a déclaré Wilson à Rolling Stone sur le tournage de la couverture de Lizzo à Los Angeles.
« Pendant l’un des tournages, j’ai commencé à pleurer, parce que c’est tellement incroyable d’avoir fait du travail d’une manière ou d’une autre – même si c’est juste, comme, une petite touche de couleur, ou juste une toute petite influence de lui qui est incluse dans notre travail – nous voyons maintenant le véritable créateur de cela avec elle.
Elle est devant son objectif. C’est un moment où je me dis: « Nous avons fait notre travail, nous avons bien fait notre travail. » Wilson a ajouté que Lizzo a dû déclencher quelque chose à LaChapelle depuis, « Il n’a pas besoin du concert », a-t-elle dit en riant. Depuis qu’il a déménagé sa base de travail de Los Angeles vers sa résidence actuelle sur l’île il y a environ 14 ans, LaChapelle s’est largement éloigné de la photographie de célébrités, se concentrant plutôt sur les belles œuvres d’art et les films de danse occasionnels. Il a publié ce qu’il a dit être ses dernières collections de livres, Lost + Found, Part I et Good News, Part II,…

 

Eric CANTO Photographe : Photos de concerts, portraits, pochettes d’albums.

 

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AVATAR Metal Band

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Concert de AVATAR Métal Band au Festival de NÎMES : retour en image.

Le groupe AVATAR m’avait demandé de shooter cette date unique que le groupe faisait avec Slipknot dans les arènes de Nîmes dans le cadre du Festival de Nîmes.

All access pour ce shooting avec un groupe décontracté malgré l’enjeu. Avoir un accès à la scène et aux backstages est toujours un grand bonheur, car si les 3 premiers morceaux dans le pit, c’est déjà une bonne chose, pouvoir avoir aussi des points de vue de derrière la scène est assez exaltant.

Un moment toujours trop court dans des arènes que je commence à connaître par cœur.
Retour en image et interview du groupe par Mike Smith.
Enjoy.

 

 AVATAR-metal-band-concert-festival-nimes-credit photo Eric CANTO

AVATAR Métal Band – Crédit photo Eric CANTO

AVATAR Métal Band au Festival de NIMES
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AVATAR Métal Band au Festival de NIMES - arènes de nimes

AVATAR Métal Band au Festival de NIMES - arènes de nimes

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AVATAR Métal Band – Crédit photo Eric CANTO

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AVATAR Métal Band – Crédit photo Eric CANTO

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AVATAR Métal Band – Crédit photo Eric CANTO

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AVATAR Métal Band – Crédit photo Eric CANTO

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AVATAR Métal Band – Crédit photo Eric CANTO

Interview Johannes Eckerström (AVATAR Métal Band) par Mike Smith

Avatar , l’un des groupes de métal les plus intrigants et visuellement les plus intrigants à émerger de Suède cette décennie, s’est produit dans une machine à sous pour Mushroomhead lors de la phase 2 à Lynchburg, en Virginie.

Bien avant l’heure du spectacle, alors que les premiers arrivants se rassemblaient nonchalamment devant les portes du lieu, je me suis assis à une table dans le restaurant adjacent avec Johannes Eckerström, un vrai leader s’il en était.

Géant sortant d’un jeune homme, à la fois en taille physique et en esprit, Johannes est le dernier d’une longue lignée de figures de proue métalliques inclinées dans le théâtre telles que Marilyn Manson et King Diamond.

Avec le port de la peinture faciale macabre de marque encore à quelques heures de distance, le chanteur germano-suédois et moi avons pu nous rapporter en tant que contemporains sur une multitude de sujets, en commençant par son groupe lui-même et en passant par la nostalgie musicale, jusqu’à «Selling Out », aux malheurs du nü-metal, au piratage, aux différences culturelles, au mythe du« Rock God »et à la« mentalité de groupie », et bien plus encore.

Nous avons discuté d’artistes aussi divers que KISS, Foo Fighters, Christina Aguilera, Black Sabbath, Mayhem, Pink Floyd, Opeth, Cannibal Corpse, Slipknot, In Flames, Rammstein, System Of A Down, Limp Bizkit, Soilwork, Blind Guardian, Devin Townsend, Les Beatles, Beethoven, Machine Head, Nine Inch Nails, les Jonas Brothers et Led Zeppelin.

Si jamais une interview pouvait être décrite comme un portrait d’une personne, j’ose dire que ce serait celle-ci. Je vous donne Johannes Eckerström d’Avatar – non abrégé, non édité et non censuré.

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AVATAR Métal Band – Crédit photo Eric CANTO

Mike Smith : J’avoue que je suis encore très nouveau sur Avatar. J’ai passé en revue «Black Waltz» en 2012 pour un magazine, mais je n’en ai jamais eu de copie, et ce n’est qu’à «Hail The Apocalypse», [2014] et maintenant cette tournée que je suis vraiment devenu curieux. Avatar semble assez différent de beaucoup de ce qui existe, donc en gros, de quoi êtes-vous les gars?

Johannes Eckerström (AVATAR Métal Band): Eh bien, « Black Waltz » a été le premier album à sortir aux États-Unis. Les trois albums précédents, nous n’en avions sorti qu’en Europe – en fait le troisième n’a été sorti que par un petit gars indépendant dans un garage au Japon.

Et il a cessé de répondre aux e-mails après un mois, donc je ne compte pas vraiment celui-là. [rires] « Black Waltz » était le premier album où nous nous sommes vraiment mis ensemble. Cela a commencé à devenir plus qu’une simple chanson, même si je sentais que nous avions fait nos meilleures chansons à ce jour sur cet album.

Nous avons compris que nous voulions tout traiter sur Avatar comme un art, comme un projet d’art conceptuel. C’est ce que nous avons admiré dans de nombreux autres groupes dans toutes sortes de genres différents. Si vous regardez quelqu’un de The Hives à Mushroomhead, ce sont des gens qui réussissent à assembler les visuels avec ce que la musique dit.

Tout communique la même chose. La plupart des plus grands groupes le font, soit dans des exemples extrêmes comme KISS, soit subtilement comme Foo Fighters. Ils ressemblent à leur son, sans rien faire de fou ou de théâtral. Nous savions que nous voulions faire quelque chose comme ça, dans un sens très large du terme.

Nous expérimentions beaucoup en enregistrant et en faisant des séances photo, en essayant des idées de couvertures d’albums et tout. Nous lui avons donné un peu de temps, et à un moment donné, nous avons eu une idée pour une couverture d’album me mettant en vedette dans un lac de feu.

Et un lac de feu n’est amusant que si vous avez un vrai lac et un vrai feu. [rires] Nous sommes donc allés à la campagne, et le seul pyrotechnicien assez fou pour l’essayer était un gars du nom de Bryce Graves, d’un groupe américain appelé soit dans des exemples extrêmes comme KISS, soit subtilement comme Foo Fighters. Ils ressemblent à leur son, sans rien faire de fou ou de théâtral.

Ils ressemblent à leur son, sans rien faire de fou ou de théâtral. Nous savions que nous voulions faire quelque chose comme ça, dans un sens très large du terme. Nous expérimentions beaucoup en enregistrant et en faisant des séances photo, en essayant des idées de couvertures d’albums et tout.

 

 AVATAR-metal-band-concert-festival-nimes-credit photo Eric CANTO

AVATAR Métal Band – Crédit photo Eric CANTO

Nous sommes donc allés à la campagne, et le seul pyrotechnicien assez fou pour l’essayer était un gars du nom de Bryce Graves, d’un groupe américain appelé au sens très large du terme. Nous expérimentions beaucoup en enregistrant et en faisant des séances photo, en essayant des idées de couvertures d’albums et tout.

Nous expérimentions beaucoup en enregistrant et en faisant des séances photo, en essayant des idées de couvertures d’albums et tout. Nous lui avons donné un peu de temps, et à un moment donné, nous avons eu une idée pour une couverture d’album me mettant en vedette dans un lac de feu.

Alors il m’a allumé le feu, et c’était très cool. [rires] Puis il a montré d’autres astuces qu’il pouvait faire, comme manger le verre d’une ampoule et des trucs comme ça. Cela nous a amenés à décider d’utiliser tout cela dans un clip, et tout ce dont nous avions besoin était de m’intégrer dans le contexte de la vidéo.

Nous l’avons vu comme une vidéo de performance, mais il y aurait eu TROP de performances en incluant tout le groupe. C’était une Christina Aguilera, «laisser la chanteuse se promener et chanter et faire des poses sexy».

[rires] Et nous avons eu toute cette ambiance de cirque dans la chanson, avec le son de la valse et des échantillons avec des orgues, alors nous avons étoffé le contexte: faisons de moi un clown effrayant! [rires] Et ça vient de cliquer. Cela a si bien fonctionné, résonné avec moi et l’ensemble du groupe.

Nous avions trouvé le visage de la musique, et quelque chose à partir duquel construire. Depuis lors, c’est une chose très organique, et nous voici aujourd’hui.

Nous savons maintenant que nous voulons toujours connecter la musique avec les visuels, et mettre les vidéos musicales main dans la main avec les chansons elles-mêmes. Chaque aspect est également important. Voilà ce que nous sommes aujourd’hui: un projet d’art conceptuel.

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AVATAR Métal Band – Crédit photo Eric CANTO

 

Mike: Et à part votre niveau de confiance à cet égard, qu’est-ce qui a changé dans la musique? Selon vous, qu’est-ce qui a rendu la musique de « Black Waltz » tellement meilleure?

Johannes Eckerström (AVATAR Métal Band): Eh bien, nous avons commencé à apprendre le principe «moins c’est plus». Personnellement, j’ai eu l’impression de redécouvrir le métal. Je suis redevenu treize ans, en quelque sorte. C’est très simple: en métal, le riff est roi, et le riff est groove. Prenez «Iron Man» de Sabbath, ce rythme, ce riff… [commence à taper sur la table, chanter]

 

Mike: D’accord. Et TOUT LE MONDE le sait!

Johannes Eckerström (AVATAR Métal Band): Exactement. Et imaginez si ça avait sonné comme ça. [tape un rythme rapide et technique en chantant le riff] Ça aurait été la pire chanson de tous les temps! Il devait avoir ce rythme et cette rythmique spécifiques qu’ils avaient élaborés avec Bill Ward. Ils ont créé le bon groove pour cette chanson en particulier.

 

Mike: Si ça avait été une explosion, les gens ne s’en souviendraient peut-être pas.

Johannes Eckerström (AVATAR Métal Band): Oui, mais dans d’autres cas, ce groove peut également signifier un beat. Je veux dire, je n’aurais pas voulu entendre « De Mysteriis Dom Sathanas » de Mayhem commençant par [tape un rythme de danse, commence la techno-beatboxing, rit]. Pas de groove disco backbeat sur celui-là !

 

Mike: D’accord. Quel que soit le rythme, il doit être adapté à la chanson.

Johannes Eckerström (AVATAR Métal Band): Oui, exactement – le rythme résonne avec le riff, ce qui crée un groove, et résonne avec le style de jeu des musiciens spécifiques.

Passant du noir au Black Sabbath, «Paranoid» ne sonne VRAIMENT bien que lorsqu’il est interprété par Sabbath, la gamme originale. Ronnie James Dio était un chanteur incroyable, mais l’une des choses les plus faibles qu’il ait jamais faites, à mon avis, est de chanter «Paranoid». Ça n’a pas marché.

 

Mike: Certaines interprétations de Dio des chansons d’Ozzy sonnaient très bien, mais sur d’autres, vous pouvez certainement dire que quelqu’un d’autre les avait déjà faites, quelqu’un de plus approprié.

Johannes Eckerström (AVATAR Métal Band): D’accord. Personne ne peut toucher Dio en tant que chanteur en soi, mais parfois cela n’a pas fonctionné aussi bien que quand Ozzy Osbourne a chanté ces chansons particulières.

Il s’agit donc de trouver ce qui vous convient en tant que musicien individuel. Une fois que nous avons compris ces morceaux, écrit des riffs que nous aimions et obtenu quelques titres de chansons dans nos têtes, le ciel était la limite.

Vient ensuite la partie «Pink Floyd» de la composition, où nous emmenons la chanson partout où elle doit aller. Heureusement pour nos carrières, cela signifiait que certaines chansons ne durent que trois minutes et trente-trois secondes, avec un refrain accrocheur.

C’était bien. [rires] Parce qu’ici, aux États-Unis, la radio est toujours importante, même pour le métal, d’une manière qui ne l’est pas du tout en Europe, sauf en Finlande, en gros.

Nous n’écrivons pas de «chansons radio» – nous écrivons simplement des chansons – et certaines chansons devaient durer neuf minutes, et contiennent des guitares de diapositives et des échantillons étranges de comédies musicales indiennes.

Mais de toute façon, il s’agit de respecter les fondations du métal comme nous le définissons, puis de faire ce que nous voulons avec lui.

 

Mike: Rencontrez-vous des gens qui n’aiment tout simplement pas le fait que vous ayez des chansons à la radio? J’imagine que certains cyniques ne se soucieraient même pas de faire la distinction entre un groupe comme Avatar, dont le processus créatif se traduit parfois par une «chanson radio» et un groupe de cookies que vous pouvez dire, écrit des chansons spécifiquement destinées à la radio.

Johannes Eckerström (AVATAR Métal Band): Je pense que dans un sens… cela nous met dans une foule de gens qui ne me dérange pas d’être.

Une partie de notre public vient de la radio, mais cela ne me dérange pas, parce que je vois toujours des tonnes d’Opeth Des t-shirts à nos concerts aussi, ce qui est très cool pour moi.

Cela me fait penser: «Wow, vous aimez Opeth et nous aussi? Nous devons être plutôt bons, je suppose! Cool! » [rires]

Mais c’est intéressant d’être ici aux États-Unis, parce que le truc de la radio ne nous est pas arrivé en Europe, et je ne pense pas que cela arrivera jamais, parce que ces chaînes ne sont tout simplement pas là. Ici, nous sommes plutôt considérés comme un groupe de rock radio-friendly, mais c’est bizarre…

Il y a quelque temps, j’ai mentionné Mayhem. Nous venons de ce genre de formation en tant que groupe; nous étions à l’origine un groupe de death metal quand nous apprenions à jouer en faisant des reprises.

C’était tout «Hammer Smashed Face. « [Cannibal Corpse] Et puis d’autres trucs ont été intégrés au fil des ans, puis d’une certaine manière, certains ont commencé à s’intégrer dans le format radio. Mais ça ne me dérange pas, tu sais? Tant que je ne suis pas tenté d’écrire uniquement dans ce but.

 

Mike: Bien sûr. Ensuite, tout deviendrait vicié assez rapidement.

Johannes Eckerström (AVATAR Métal Band): Exactement. Nous devions donc rester concentrés sur ce sentiment que nous avions lors de notre petite «fête de réunion» dans la brasserie de Göteborg.

[rires] «Ne nous répétons pas; mettons-nous au défi; faisons-le pour nous. Et si la direction peut le mettre à la radio, alors oui, tant mieux pour eux!

 

Mike: Cela vous a-t-il étonné qu’Avatar ait atteint ce niveau ici aux États-Unis? Après quelques tournées et la performance Rock on the Range, et bien sûr la radio, les gens bourdonnent vraiment sur vous.

Johannes Eckerström (AVATAR Métal Band): Eh bien, j’essaie de trouver un équilibre avec ma mégalomanie. [rires] L’auto-qualification est un sentiment que je déteste juste… mais quand vous êtes concentré sur votre travail, vous êtes comme, [parlant très rapidement]

«OK, donc nous devons aller à la direction et obtenir cet accord et allons à notre [charabia indéchiffrable].  » [rires] Vous transformez ces rêves en objectifs très rapidement, vous savez?

Bien sûr, parfois vous vous arrêtez et l’appréciez, comme « Hé, c’est assez mignon. »

Mais pour nous… Oui, en quelque sorte, nous avons été surpris que les gens nous aiment tellement. Nous ne pouvions pas savoir cela à l’avance. Mais là encore, nous avons eu près de dix ans de pratique en Europe et dix ans d’erreurs, ce qui a conduit le groupe qui a sorti «Black Waltz» comme son premier album ici.

Le niveau d’entrée d’expérience que nous avons eu en arrivant ici a conduit à des partenariats que nous avons construits immédiatement. Nous n’avions plus d’agent de réservation travaillant dans le garage de sa maman à côté de la maison de la maman de notre bassiste. [rires]

Ce type était de retour en Suède. Ici, nous n’avons pas eu à parcourir ces étranges contrats de label où ils spécifient toutes les planètes du système solaire, où ils ont également les droits de libération à des fins futures, lorsque de nouvelles planètes sont découvertes, et bla bla bla. Toute cette merde bizarre.

[rires] Nous n’en avions pas ici, car nous avons vécu ces expériences en Europe. Nous sommes venus ici en tant que groupe beaucoup plus expérimenté, sachant mieux ce que nous voulions. Vous pensez toujours que vous êtes honnête sur le plan artistique, mais c’est toujours un processus d’apprentissage pour décoller des couches de vous-même et trouver de nouveaux niveaux d’honnêteté. «Black Waltz», en ce sens, était notre album le plus profond jusqu’à cette date.

Donc pour ces raisons, je n’ai pas été vraiment choqué par notre succès, parce que la configuration était déjà là, mais nous avons eu de la chance que les chansons semblent également être aux normes, et que les gens les aiment.

Cette partie que vous ne pouvez jamais connaître et ne garantissez jamais, et nous ne savons toujours pas. Nous écrivons maintenant des chansons pour un nouvel album, et si les gens ne l’aiment pas… très bien!

Je vais m’assurer que j’aime ça, donc je peux l’écouter après avoir détruit ma carrière. [rires] Je suis cool avec ça. Ce n’est pas SI IMPORTANT que je fasse ça pour le monde, tu sais? Je ne suis pas impressionné par moi-même juste parce que je suis musicien, un gars sur scène. Il y a des ambulanciers, Médecins sans frontières, des enseignants du préscolaire.

Tout ça est plutôt cool. Nous écrivons maintenant des chansons pour un nouvel album, et si les gens ne l’aiment pas… très bien! Je vais m’assurer que j’aime ça, donc je peux l’écouter après avoir détruit ma carrière. [rires] Je suis cool avec ça.

Ce n’est pas SI IMPORTANT que je fasse ça pour le monde, tu sais? Je ne suis pas impressionné par moi-même juste parce que je suis musicien, un gars sur scène.

Il y a des ambulanciers, Médecins sans frontières, des enseignants du préscolaire. Tout ça est plutôt cool. Nous écrivons maintenant des chansons pour un nouvel album, et si les gens ne l’aiment pas… très bien! Je vais m’assurer que j’aime ça, donc je peux l’écouter après avoir détruit ma carrière. [rires] Je suis cool avec ça.

Ce n’est pas SI IMPORTANT que je fasse ça pour le monde, tu sais? Je ne suis pas impressionné par moi-même juste parce que je suis musicien, un gars sur scène. Il y a des ambulanciers, Médecins sans frontières, des enseignants du préscolaire. Tout ça est plutôt cool.

 

Mike: Je peux imaginer prendre les choses au fur et à mesure – «Nous sommes arrivés à ce niveau, cool… Allons-nous aller plus haut? Peut-être, peut-être pas – Oh, niveau suivant! C’est cool aussi. « 

Johannes Eckerström (AVATAR Métal Band): Oui, je veux dire, nous avons faim, et maintenant nous sentons que nous pouvons construire le groupe, sur le plan professionnel, d’une manière que nous avons eu du mal à comprendre il y a cinq ans. Cela n’a pas vraiment bougé à l’époque. Maintenant ça bouge et c’est très amusant.

Mais c’est aussi devenu un peu un travail. Ce n’est pas un mauvais travail, mais encore une fois, vous transformez ces rêves en objectifs, et l’idée est de rester à la terre et concentré. Cela rend difficile de s’arrêter et de célébrer.

Ce qui ressemble à un point de réussite de l’extérieur est en fait un point de travail intense pour le groupe. Nous sommes très occupés maintenant, ce qui est très cool, mais nous ne nous arrêtons pas pour secouer les bouteilles de champagne. [des rires]

 

Mike: Au sujet de ce type théâtral de hard rock et de métal … il y a eu un grand succès populaire il y a dix, quinze ans, lorsque des groupes ont éclaté comme Slipknot, Mudvayne et Mushroomhead – qui sont ici ce soir, bien sûr.

Si Avatar avait fait son truc à cette époque ou légèrement avant, pensez-vous que les choses se seraient déroulées de la même manière? Ou pensez-vous que quelque chose devait changer en premier, comme la montée en popularité de groupes suédois comme In Flames?

Johannes Eckerström (AVATAR Métal Band): C’est la partie intéressante, ce que tu dis là. Évidemment, si nous devions sortir « Hail The Apocalypse » il y a vingt ans, tout un tas de nos influences n’auraient pas encore existé.

J’ai toujours l’impression que nous avons fait un nouvel album, et il est toujours dans le genre du métal, donc dans ce sens, il aurait été lié à quelque chose de préexistant, avec notre propre petit point de vue bien sûr.

Mais si nous l’avions sorti à cette époque… l’album « Mutter » de Rammstein [2001] n’aurait probablement pas été sorti, et nous l’avons beaucoup écouté. [rires] Donc je suppose que si vous le formuliez ainsi, nous aurions encore plus époustouflé!

Oui, peut-être que nous nous serions adaptés au contexte de cette scène… mais inévitablement, cela aurait été légèrement différent. Je ne sais pas vraiment. Mais il est toujours intéressant de spéculer!

 

Mike: Oui, les divisions entre les scènes américaine et européenne, et les grandes migrations de tendance, m’ont toujours beaucoup fasciné. Par exemple, il a fallu quelques années au style métallique de Göteborg pour se faire remarquer ici aux États-Unis.

Johannes Eckerström (AVATAR Métal Band): Et vice-versa. Parce que quand on écoutait ces groupes de Göteborg… enfin, pour moi en particulier, ce sont des groupes un peu plus anciens qui m’ont fait entrer dans le métal en général. Années 70 et 80. Et donc, les nouvelles choses à l’époque – ce terme méprisable de «nü-métal» – n’étaient pas correctes.

Les fans de Slipknot n’étaient pas du tout des metalheads, selon moi à l’époque. [rires] Ça m’a pris du temps, parce que maintenant j’adore Slipknot, et j’entre dans Mushroomhead. «Mesmerize» de System Of A Down est à chaque fois l’un des albums de fête de notre groupe. Tellement de ces trucs. Mais à quinze ans…

 

Mike: « Posers! »

Johannes Eckerström (AVATAR Métal Band): « Posers » n’était même pas assez fort. Cela ressemblait plus à du «poison». Nous pensions que cela détruisait le métal. [rires] Cela me fait me demander… si nous faisions cela en Suède en 1999, en nous peignant, en faisant le truc théâtral dans cet environnement à l’époque… [grimace]

Je pense que l’Europe est plus ouverte MAINTENANT à ce que nous faisons. Tout comme il a fallu un certain temps aux groupes suédois pour percer en Amérique du Nord, il a fallu un certain temps aux enfants comme moi pour aimer Slipknot.

Mike: Une chose similaire m’est arrivée. J’avais quinze ans lorsque Slipknot a sorti ses débuts, que je suis devenu fou, et j’étais aussi à Korn à cette époque, mais j’ai ensuite quitté la phase et j’ai fait une grande croisade élitiste «anti-nü-metal» pendant quelques années. .

Johannes Eckerström (AVATAR Métal Band): Mais ensuite, quelques années plus tard, je parie que vous avez accidentellement entendu « Spit It Out » et que vous avez commencé à faire cela … [commence un tête à tête « Night At The Roxbury »] et que vous avez pensé: « C’ÉTAIT hypocrite. » [des rires]

 

Mike: [rires] C’est exactement ce qui s’est passé. J’avais rangé mes CD Slipknot et je me suis promené en disant aux gens: «Blah, Korn est le pire», et cetera.

Johannes (AVATAR Métal Band) : «Je ne les ai jamais aimés! Ce n’est jamais arrivé! » [rires] Ouais, je me souviens d’un gars de quelques années plus jeune que moi qui vivait dans ma rue. Il a commencé avec les trucs nü-metal, et chaque année, il a continué à devenir plus d’un « truc metalhead ».

Et pendant la période de transition, il a précisé qu’il n’aimait que le VIEUX ÉCOLE Limp Bizkit. [rires] Il disait: « Je n’aime que leurs affaires avant qu’elles ne soient toutes vendues. » Parce que c’est ce que vous avez dit à propos de n’importe quel groupe au cours d’une transition – vous n’aimiez que la «vieille école», l’original, la vraie «avant qu’ils ne soient tous vendus». Et personne ne définit jamais vraiment quand ils ont vendu.

 

Mike: Beaucoup de gens doivent mettre un qualificatif sur les choses. Vous ne pouvez jamais simplement aimer un groupe; vous devez vous annoncer «ne les aimez que jusqu’à [X] album».

Johannes Eckerström (AVATAR Métal Band): D’accord, et l’histoire de Limp Bizkit montre vraiment à quel point c’est bizarre, surtout à l’époque où In Flames a sorti « Reroute To Remain ». [2002] Cela a changé beaucoup de choses.

 

Mike: C’est un super album, cependant.

Johannes (AVATAR Métal Band) : J’adore! Mais je devais les voir en direct avant de me sentir à l’aise avec ça. Parce que pour un, ils… [fait une grimace horrifiée] ont tourné avec Slipknot! En Amérique! Porter une salopette blanche sur scène! [rires]

Nous étions tous du genre: « Hmmm, je ne suis pas sûr de ça… » nous sommes en sécurité; «Natural Born Chaos» [2002] est un album incroyable », et tout.

Nous avons donc vu cela, et cela nous a réchauffé à «Reroute To Remain». Nous nous sommes finalement simplement dit: «Eh bien, qu’est-ce qu’un sold out de toute façon?»

Pour moi, c’était comme si Avatar flirtait avec le «sold out» sur le troisième album, mais ensuite ça a explosé! Personne n’a aimé ça. Parce que vous ne pouvez pas faire de la bonne musique de cette façon. Aucune chance.

 

Mike: Et vous ne pouvez pas techniquement «vendre» si personne ne l’achète.

Johannes Eckerström (AVATAR Métal Band): Exactement. Nous avions tellement de sentiments mitigés, parce que nous voulions être plus thrash et plus brutaux, mais aussi plus traditionnels…

nous voulions être TOUT en même temps, sauf pour nous-mêmes. C’était étrange. Il était difficile de se concentrer artistiquement, car nous essayions de plaire à tout le monde.

Mike: Et je suppose qu’avec plus d’âge et de maturité vient la simple satisfaction de vous plaire, comme avec la redécouverte de groupes comme Slipknot et Korn et en décidant que vous les avez vraiment aimé à nouveau après tout.

Johannes Eckerström (AVATAR Métal Band): Bien sûr, et à quelques exceptions près, j’ai arrêté d’adorer les catalogues entiers des groupes. Non pas parce que certains albums sont «à guichets fermés» et d’autres «pas à guichets fermés», mais simplement parce qu’ils deviennent plus sélectifs.

Ce n’est même pas vraiment une question de genre. C’est juste de bonnes choses. Je pense que dix pour cent de ce que Marilyn Manson a fait est vraiment incroyable pour moi. Il m’a fait peur et a déclenché ma puberté d’une manière si étrange.

 Je n’étais pas prêt quand j’avais douze ans, quand « Mechanical Animals » [1998] est sorti!

C’était bizarre et explique beaucoup de choses qui ne me conviennent pas aujourd’hui. [rires] Mais à part ça… Aujourd’hui, je reconnais certaines choses qui sont plus faibles, mais j’aime toujours ces dix pour cent – ces chansons en particulier, ou peut-être un album complet ici ou là.

 

 

Mike: Êtes-vous un gros téléchargeur?

Johannes Eckerström (AVATAR Métal Band): Non, mais je suis un produit de mon temps. Je possède bien plus de CD et de vinyles que la plupart des mecs nés en ’86, mais aussi beaucoup moins que ceux nés quelques années avant moi.

Johannes Eckerström (AVATAR Métal Band): Tout le groupe, nous sommes tous un produit de notre temps. Avatar n’a jamais existé avant Napster. Ils avaient le nom en 2001, et j’ai rejoint en 2002, quand nous étions enfants. Napster était déjà fini et mort à ce moment-là.

C’était Kazaa ou autre chose, tout ce partage de fichiers. Nous n’avons donc publié de musique que pendant l’ère du téléchargement. Je préfère la solution iTunes, Spotify, «venez nous voir et achetez un T-shirt».

Qui a besoin d’être aussi riche que les Rolling Stones? Sérieusement. Cela me rend un peu d’accord avec ça. Lorsque l’argent disparaît, il supprime un peu de la cupidité au fil du temps.

 

Mike: Et peut-être aussi un peu de pression financière.

Johannes Eckerström (AVATAR Métal Band): Oui, et l’inconvénient est qu’avec le niveau où nous sommes maintenant, à une époque différente, nous aurions peut-être obtenu beaucoup plus d’argent à l’avance pour faire des conneries plus folles que nous ne pouvons le faire maintenant, mais quand même, nous le faisons ont un support d’étiquette et nous en sommes satisfaits. Donc, c’est comme ça aujourd’hui.

 

A suivre…

 


 

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AC/DC Highway to hell : L’HISTOIRE DE L’ALBUM RÉVOLUTIONNAIRE D’AC/DC EN 1979

AC/DC Highway to hell : L’HISTOIRE DE L’ALBUM RÉVOLUTIONNAIRE D’AC/DC EN 1979

AC/DC Highway to hell 

L’histoire d’AC/DC Highway to Hell

AC/DC Highway to hell est une chanson du groupe de rock australien AC/DC . C’est le morceau d’ouverture de leur album de 1979 Highway to Hell . Il est initialement sorti en single en 1979.

AC/DC Highway to hell a été écrite par Angus Young , Malcolm Young et Bon Scott , avec Angus Young crédité pour avoir écrit le riff de guitare qui est devenu un classique instantané.

AC / DC avait fait plusieurs albums de studio avant et les promouvait constamment via un programme de tournée exténuant, mentionné par Angus Young comme étant sur une autoroute vers l’enfer, d’où le nom.

Cela fait 44 ans qu’AC / DC est sorti pour la première fois d’Australie avec son premier album bruyant, High Voltage , et il est sûr de dire que, à cette époque, le groupe a tout vu et tout fait:

des albums en tête des charts et singles, a été intronisé au Rock and Roll Hall of Fame en 2003, a perdu certains membres clés dans des circonstances tragiques en cours de route.

Mais peut-être le cran le plus impressionnant sur le pied-à-terre collectif d’AC / DC est celui-ci: le fait que, sur la liste des artistes les plus vendus de tous les temps aux États-Unis, AC / DC est classé 10e.

Ce qui signifie que Guns N ‘Roses , Metallica , Van Halen, U2, Aerosmith, les Rolling Stones et d’innombrables autres actes légendaires sont bien derrière AC / DC en ce qui concerne les ventes de disques de tous les temps en Amérique.

 

AC/DC Highway to hell

 

AC/DC Highway to hell : Les débuts…

À la fin des années 70, les choses étaient assez différentes pour AC / DC, et il y avait un chemin difficile devant eux avant de pouvoir créer ce qui allait s’avérer être leur album révolutionnaire créatif et commercial, Highway to Hell de 1979. .

Entre la formation du groupe à Sydney, en Australie, en 1973 – avec une formation initiale composée des frères écossais Angus et Malcolm Young aux guitares, Dave Evans au micro, Larry Van Kriedt à la basse et Colin Burgess à la batterie – et 1978, le rugueux- and-tumble rockers a sorti cinq albums studio complets: High Voltage (1975), TNT (1975), Dirty Deeds Done Dirt Cheap (1976), Let There Be Rock (1977) et Powerage(1978).

 

AC/DC Highway to hell

Le groupe – qui s’était alors solidifié dans l’unité désormais classique de Bon Scott au chant, Cliff Williams à la basse, Phil Rudd à la batterie et les frères Young – a maintenu un rythme assez furieux d’enregistrement et de tournées pendant ces premières années.

Ils construisaient certainement une base de fans fidèles comme en témoignent les foules en constante augmentation et l’augmentation des ventes d’albums à chaque fois. Mais ce n’était pas suffisant – pas pour Atlantic Records, le label américain d’AC / DC, en tout cas.

En 1978, le disco était toujours l’une des formes dominantes de musique sur les ondes américaines, et du côté rock, des tubes dansants savamment produits comme « Baker Street » de Gerry Rafferty, « Miss You » des Rolling Stones, « Foreigner’s » Hot Blooded « et » Wheel in the Sky « de Journey étaient en tête des charts.

 

AC/DC Highway to hell

 

Atlantic voulait que AC / DC atteigne un certain niveau de succès radiophonique mesurable aux États-Unis, et le groupe n’allait certainement pas le faire avec des hurlements bruyants et parfois insipides comme « Whole Lotta Rosie », « Riff Raff » ou « She’s Got Balls » .  » Enfer, le label n’a même pas sorti Dirty Deeds – qui a été enregistré au début de 1976 – aux États-Unis jusqu’à un an après Bon Scott ‘

Le finale pour Atlantic est arrivée vers la fin de 1978, lorsque le label a sorti le premier album live d’AC / DC, If You Want Blood You’ve Got It.

Cela faisait à peine six mois depuis la sortie de Powerage , et avec cet album ne produisant rien de proche d’une chanson à succès, Atlantic espérait que If You Want Blood ferait pour AC / DC ce que Alive! avait fait pour KISS cinq ans plus tôt – exploitez l’énergie live inégalée du groupe dans un album et priez pour qu’au moins une chanson attrape le feu de la radio à la Kiss « Rock and Roll All Nite », ou la version live de Peter Frampton de « Show Me the Way » « de Frampton Comes Alive en 1976 !

 

AC/DC Highway to hell

AC/DC Highway to hell – AC/DC Highway to hell

 

« If you want blood » a moyennement bien performé lors de sa sortie en novembre 1978, devançant les albums studio récents du groupe, mais il est rapidement devenu évident pour Atlantic qu’AC / DC n’allait jamais percer en grand aux États-Unis s’ils étaient autorisés à continuer à écrire de la musique selon leurs propres conditions et enregistrement sur leur propre terrain de Sydney, Australie.

En ce qui concerne le label, une intervention s’impose. Alors que le calendrier passait de 1978 à 1979, le vice-président senior d’Atlantic Records, Michael Klenfner, était dans un avion pour Sydney pour rencontrer les membres d’AC / DC et élaborer un plan de match pour le prochain album du groupe, la suite de Powerage.

Jusque-là, tous les disques d’AC / DC avaient été produits par l’équipe de Harry Vanda et George Young, le frère aîné d’Angus et Malcolm, et enregistrés aux Albert Studios à Sydney – alors quand Klenfner l’a suggéré, pour ce prochain album , le groupe abandonne Vanda et Young et travaille avec un producteur extérieur choisi par Atlantic, les tensions ont commencé à s’intensifier.

Vanda and Young avait connu un succès considérable dans le monde entier en tant que producteurs, auteurs-compositeurs et musiciens, mais cela n’avait pas d’importance pour Atlantic – le label voulait du sang frais dans le camp AC / DC, quelqu’un qui pourrait prendre la puissance brute du blues-rock du groupe et l’énergie live maniaque et l’ajuster en quelque chose qui générerait des chansons à succès et des ventes d’albums plus puissantes.

 

AC/DC Highway to hell

AC/DC Highway to hell

 

Comme l’ancien manager d’AC / DC Michael Browning l’a dit aux écrivains Murray Engleheart et Arnaud Durieux dans le livre AC / DC: Maximum Rock & Roll de 2006 , « George et Harry étaient assez honorables à ce sujet. Ils auraient pu être en quelque sorte énervés. »

 » Je suis sûr qu’ils l’étaient. Pour une maison de disques américaine, dire qu’il faut changer de producteur alors qu’ils sont en quelque sorte vénérés dans leur propre pays était un peu une gifle, je suppose. Donc c’était très, très difficile. Malcolm et Angus n’aimaient pas du tout ça. Ils étaient très énervés.  »

Quand il s’agissait de choisir un producteur qui pourrait, espérons-le, élever le jeu d’AC / DC à un niveau supérieur, Atlantic avait un nom en tête: Eddie Kramer. Kramer travaillait comme producteur et ingénieur depuis le milieu des années 60, et son curriculum vitae comptait des crédits impressionnants: Jimi Hendrix, les Beatles, les Rolling Stones, Led Zeppelin et KISS, entre autres.

 

AC/DC Highway to hell

AC/DC Highway to hell

 

Kramer s’est rendu à Sydney où lui et les garçons se sont enfermés dans les studios Albert pour enregistrer des pistes de démonstration, après quoi ils se sont tous envolés pour Miami pour commencer à enregistrer l’album qui deviendrait finalement Highway to Hell – du moins c’est ce qu’ils pensaient tous.

Il n’a fallu que quelques semaines à Criteria Recording Studios, le lieu de travail principal de Kramer, pour que tout le monde se rende compte que, malgré son apparence sur papier, ce n’était pas un match fait au paradis du rock & roll.

« Il ne correspondait pas vraiment à nous en tant que producteur », a déclaré Malcolm Young dans le numéro d’avril 2003 du magazine Guitar World . « Nous lui avons montré les riffs de ‘Highway to Hell’ et il ne l’a pas tout à fait compris. Nous avons pensé, ce type est déconnecté de ce que nous sommes. »

« Et en même temps, je suppose que toutes les idées d’Eddie ne semblent pas nous inspirer », a commenté Angus dans le même numéro de Guitar World .

« Je ne sais pas pourquoi, mais il n’arrêtait pas de parler de pianos. Peut-être pensait-il qu’un piano était une chose intéressante pour un groupe de rock and roll. Mais ce n’était pas le bon mot à utiliser autour de nous. »

Après avoir travaillé ensemble à Criteria pendant trois semaines sans même avoir dépassé la phase de répétition, il était évident pour tous que cette mission devait être interrompue, pronto – et il a fallu un coup de téléphone fortuit de Malcolm Young au manager Michael Browning pour y arriver.

Avec Browning en ligne, un Young clairement agité lui a annoncé que l’enregistrement avec Kramer n’allait pas bien et a demandé à Browning de faire sortir le groupe de Miami.

Comme le destin l’aurait voulu, à l’époque, Browning partageait une maison à New York avec un jeune producteur renommé nommé Robert John « Mutt » Lange et le manager de Lange, Clive Calder.

Alors qu’il était toujours au téléphone avec Young, Browning s’est tourné vers Lange et a dit: « Mec, tu dois faire ce disque. »

Lange était un producteur accompli à l’époque, ayant travaillé avec des artistes principalement britanniques comme City Boy, Graham Parker, les Motors, Savoy Brown et les rockers irlandais les Boomtown Rats – et même s’il n’avait pas le palmarès hard-rock d’Eddie Kramer, Atlantic Records était très favorable à ce que Mutt Lange prenne la tête de l’enregistrement de Highway to Hell .

Après la débâcle de Kramer, les membres d’AC / DC hésitaient naturellement à entrer dans une autre situation avec un producteur autre que leur équipe de confiance de longue date de George Young et Harry Vanda.

«Nous étions très prudents à l’idée de travailler avec n’importe qui de nouveau», a déclaré Angus Young dans le numéro d’avril 2003 de Guitar World .

«À un moment donné, nous avons pensé, y a-t-il quelqu’un là-bas, autre que George et Harry, qui peut vraiment rendre justice à notre musique?

Et en fait, certaines des choses que nous entendrions sur ce que les gens faisaient avec les disques, nous Je dirais: « Décidément, c’est trop extravagant.

 » Vous entendiez dire que des producteurs ont enlevé un groupe pendant deux ans, les ont mis dans un manoir. Et c’était quelque chose que nous ne voulions pas. Nous étions donc assez nerveux.  »

Avec Mutt Lange maintenant enfermé en tant que nouveau producteur d’AC / DC, le vrai travail sur AC/DC Highway to hell pourrait enfin commencer.

Le groupe était trop heureux de quitter Miami ensoleillé et de se diriger vers Londres froide et morne au début de 1979 pour rencontrer Lange et commencer.

Pendant les deux semaines suivantes, le groupe a travaillé sur toutes les nouvelles chansons dans un espace de répétition miteux qui n’avait pas de chaleur, à l’exception d’un petit radiateur au kérosène et d’un sol en terre battue. Les manteaux d’hiver étaient souvent portés lors des séances d’entraînement.

Mais c’est exactement là que Highway to Hell a finalement commencé à se réunir, et à la fin des deux semaines, toutes les chansons étaient affinées et prêtes à être enregistrées – ce qui était différent des sessions d’enregistrement précédentes, pendant lesquelles AC / DC passait habituellement le temps d’écrire et de réécrire des chansons en studio jusqu’à ce qu’elles soient prêtes.

En mars 1979, AC / DC se retrouva niché dans les Roundhouse Studios de Londres avec leur nouveau producteur pour commencer ce qui allait être la session d’enregistrement la plus importante et la plus critique de la carrière du groupe.

AC / DC et Mutt Lange ont cliqué tout de suite, et leur respect mutuel a fait que les sessions d’AC/DC Highway to hell se sont déroulées rapidement et sans heurts, avec très peu de bosses en cours de route (à part la rencontre occasionnelle avec Scott sur sa performance vocale. ).

Le groupe avait toujours enregistré en direct en studio, et Lange savait qu’il ne valait pas mieux que de suggérer une approche différente.

«Mutt s’est rendu compte que nous étions un bon groupe qui pouvait jouer de leurs instruments, alors il nous a laissé aller», a déclaré Malcolm Young dans Guitar World .

« La liberté était là. Et nous lui avons donné la liberté aussi – nous essayions tout ce qu’il nous demandait. Mutt s’intégrait très bien avec le groupe. »

Quelques semaines plus tard – après des sessions d’enregistrement supplémentaires aux Chalk Farm Studios puis un mixage aux Basing Street Studios – AC/DC Highway to hell était terminé.

En fin de compte, Lange a donné à Atlantic exactement ce qu’il voulait: un disque AC / DC avec des chansons bien conçues et entraînantes, des refrains palpitants et une touche raffinée.

La qualité et l’énergie des albums précédents d’AC / DC étaient tout à fait intactes, mais l’élément punk-rock déséquilibré et chaotique qui, selon Atlantic, retenait le groupe sur le plan commercial avait disparu.

Dix chansons et à peine 42 minutes de longueur, AC/DC Highway to hell est un chef-d’œuvre d’écriture tendue et précise et de production sans fioritures – une expérience d’écoute du début à la fin qui plus que tient aujourd’hui, 40 ans depuis son 27 juillet 1979, date de sortie.

AC/DC Highway to hell  est dirigé par la chanson titre, avec son refrain entraînant et adapté à la radio, un riff d’ouverture simple mais efficace qui rappelle le classique gratuit « All Right Now », et des paroles sur la vie sur la voie rapide.

Il y a aussi le dansant «Girls Got Rhythm», le boogie-swing de «Walk All Over You», l’explosion de blues au rythme rapide «Beating Around the Bush», le classique du concert «Shot Down in Flames» et l’album sexy, se rapprochant, « Night Prowler. »

 

AC/DC Highway to hell – AC/DC Highway to hell

 

1979 a été l’année où tout a changé pour AC / DC. C’était l’année où ils ont établi ce qui allait devenir une relation très fructueuse avec Mutt Lange;

l’année où ils ont appris ce dont ils étaient vraiment capables en tant qu’auteurs-compositeurs et musiciens; l’année où ils ont appris qu’il était acceptable de quitter leur nid confortable à Sydney et de faire de la musique ailleurs dans le monde.

Ils ont également appris à quoi ressemblait le grand succès en Amérique, alors que Highway to Hell atteignait la 17e place des charts américains et était le premier album de platine d’AC / DC aux États-Unis, se vendant à plus d’un million d’exemplaires.

Malheureusement, ce serait aussi la dernière année de Bon Scott sur terre – en février 1980, le chanteur écossais qui faisait la fête serait mort après avoir bu dangereusement, et la carrière soudainement florissante d’AC / DC serait envoyée dans une spirale sombre et déprimante. Bien sûr, ils finiraient par revenir de la tragédie – de retour en noir, pour être précis.

 

AC/DC Highway to hell : le contexte de l’album

Le titre et les paroles de AC/DC Highway to hell reflètent la nature incroyablement ardue des tournées constantes et de la vie sur la route.

L’autoroute qui a inspiré le nom de la chanson, Canning Highway , relie l’ autoroute Perth Kwinana à son port Fremantle et abritait de nombreux pubs et hôtels préférés de Bon Scott, y compris le Raffles Hotel .

AC/DC Highway to hell a passé 45 semaines sur le tableau des singles allemands , même s’il n’a culminé qu’à la 30e place, à sa 19e semaine sur ce tableau.

Le chanteur principal Bon Scott a été retrouvé mort à l’arrière de la voiture d’un ami, un peu plus de six mois après la sortie de la chanson. La chanson est dans la tonalité de la majeur.

AC/DC Highway to hell a remporté la catégorie « titre australien le plus joué à l’étranger » aux APRA Awards 2009 .

 

AC/DC Highway to hell : le groupe

Bon Scott – chant principal
Angus Young – guitare solo
Malcolm Young – guitare rythmique, choeurs
Cliff Williams – guitare basse, choeurs
Phil Rudd – batterie

 

AC/DC Highway to hell : la production

AC/DC Highway to hell a été produit par Mutt Lange dans le cadre de l’album du même nom, et son travail est considéré comme un facteur important dans la livraison de l’un des albums classiques d’AC / DC, l’émergence du son de double guitare, qui a ensuite été perfectionné sur Back in Black , et amélioré les chœurs avec Malcolm Young, rejoint par Cliff Williams pour la première fois.

 

 


 

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Festival de Lunel 2020

Festival de Lunel 2020

Festival de Lunel 2020 : A quelques kilomètres de Montpellier, dans le cadre idyllique des nouvelles arènes de la ville, un nouveau festival dévoile sa seconde programmation.  J’ai eu le plaisir d’y shooter quelques artiste en 2019, des artistes nationaux et internationaux qui ont présenté leur univers unique dans un nouveau lieu, celui des arènes. Lunel est une commune du département de l’Hérault en région Occitanie. 

 

Festival de Lunel 2019 : Retour sur la programmation.

L’inauguration Festival  eut lieu en 2019 avec un démarrage prestigieux et une programmation variée, organisée par l’agence Onze Productions. Une saison estivale mouvementée et musicale pour ce premier Festival avec de superbes invités et des artistes talentueux!

Au programme de ce Festival 2019 du 24 mai au 3 août 2019 onze soirées pour des artistes français et internationaux. D’Aldebert et son enfance le 28 juillet à Barbara Hendricks le 27 juillet via Aya Nakamura le 3 août , il y en eu pour tous les goûts! Le groupe Rock Skip the The Use electro rock ouvrit les festivités lors de la première soirée du Festival  le 24 mai 2019.

Festival de Lunel 2019

Feder et Mome, les DJs vedettes des platines ont transformé les arènes de Lunel en une immense piste de danse en rythme avec leurs tubes planétaires et house, hip-hop, électro et remix profonds. Le 15 juillet 2019, au soir de la Pescalune, c’est au groupe L.E.J. qui a enflammé les nouvelles arènes de Lunel. Tournée, victoire musicale et nouvel album en préparation, on ne peut plus arrêter la montée en puissance de ces 3 amies d’enfance au talent indéniable.

Julien Clerc participa à ce premier ensemble festival dans les arènes de Lunel et interpréta son répertoire de tubes de chansons françaises pour le plus grand plaisir de ses fans! La Bienheureuse Prêtresse du Blues Barbara Hendricks et ses musiciens donna un concert extraordinaire le 27 juillet 2019 !

Aldebert  le 28 juillet (concert à 17h) avec le troisième épisode de ses enfantillages et pour clôturer ce festival  le 3 août 2019, l’aspirante star française des 3 dernières années: Aya Nakamura.

 

Festival de Lunel 2019

 

Une Programmation polyvalente et populaire pour l’édition 2019 du Festival de Lunel qui a jeté des ponts entre les styles et entre les générations.
De l’électro (Feder, Møme, Synapson, Bleu Toucan, Joris Delacroix, Vimala …) au hip-hop (Fianso, Aya Nakamura Joey Star, Cut Killer, Rim K du 113 …) à la chanson (Julien Clerc, LEJ, Barbara Hendricks). ..), le spectacle jeunesse (Aldebert …) et le format pop-rock (Skip the Use …). En plus des nombreux concerts, des conférences et réunions, des ateliers philo et des activités autour de la culture furent organisées.
une offre large et riche qui fit le succès de l’édition 2019.

Programmation 2019
Skip The Use – Feder – Møme – Vimala – Earth Wind And Fire – Synapson – Joris Delacroix – Bleu Toucan – LEJ – Maxenss – Julien Clerc – Barbara Hendricks – Aldebert – Jeanne Added – Léonie Pernet – Fianso – Joey Starr – Cut Killer – RimK du 113 – Aya Nakamura – Fabien Olicard…

Festival de Lunel 2019

Festival de Lunel 2020 : Une deuxième édition pleine de promesse.

le Festival de Lunel 2020 aura lieu les 5, 6, 7 et 8 août. Il propose pour 2020 de la nouvelle chanson française avec GAUVAIN SERS, les tubes d’OLDELAF, un vent d’indépendance avec BLACK M, suivis de près de LORD ESPERANZA, étoile montante du rap français.

Le Festival de Lunel 2020 célébrera également les 15 ans du label CHINESE MAN RECORDS avec un spectacle explosif de CHINESE MAN, SCRATCH BANDITS CREW et BAJA FREQUENCIA, qui fera bouger la scène de l’arène avec son électro hip-hop classique.

En clôture du Festival  de Lunel, MARWA LOUD, nouveau phénomène du hip hop français nommé dans la catégorie French Revelation NRJ Music Awards 2018, offrira au public l’opportunité de découvrir sa voix douce et ses mélodies enivrantes.

Site du Festival de Lunel : ICI

 

Les arènes de Lunel

Les arènes Francis San Juan sont les arènes de la ville de Lunel dans le département français de l’Hérault. Selon Torofiesta, elle peuvent  accueillir plus de 4000 personnes, selon Jean-Baptiste Maudet 3000 personnes.

Elles ont été construites en 1861 et redessinées en 1981. Des courses espagnoles s’y déroulent, principalement des Novilladas, mais surtout des courses camarguaises. Grâce à la restructuration, les arènes de Lunel peuvent étendre leur vocation à organiser des concerts, spectacles et autres événements. L’inauguration de cette nouvelle salle d’arène a eu lieu le samedi 29 septembre 2018.

En décembre 2014, la ville a lancé un concours limité de gestion de projet pour restructurer les arènes afin de créer 1 000 places supplémentaires et un toit qui protège les spectateurs. La capacité totale peut varier entre 3 500 et 5 000 places selon la configuration et le type de spectacle joué (corrida, concert, théâtre, événements sportifs, etc.).

Trois cabinets d’architecture ont répondu au concours: Jakob + MacFarlane, A + Architecture et Jacques Ferrier Architects. L’agence Jacques Ferrier Architects a remporté le concours. Le groupe était composé des architectes CoO Architects, TPF Engineering, Line Environment and Building et dUCKS Sceno. La restructuration des arènes a permis d’augmenter et d’actualiser la capacité d’accueil des spectateurs. Cet endroit est surmonté d’un toit avec des motifs en dentelle qui donnent à l’ensemble un cachet que l’on ne retrouve nul part ailleurs.

Une véritable première pour les arènes semi-couvertes, qui donne à Lunel une touche de charme et de modernité sans précédent. L’inauguration eut lieu le samedi 29 septembre 2018.


 

Eric CANTO Photographe : Photos de concerts, portraits, pochettes d’albums.

 

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