« J’essaie de faire en sorte que les autres reconnaissent quelque chose d’eux-mêmes plutôt que moi. » —Cindy Sherman
Cindy Sherman est l’une des artistes les plus connues et les plus importantes qui travaillent aujourd’hui.
Sa pratique performative de plusieurs décennies consistant à se photographier sous différentes formes, a produit de nombreuses images parmi les plus emblématiques et les plus influentes de l’art contemporain.
Au cœur du travail de Sherman se trouve la multitude de stéréotypes identitaires qui ont surgi à la fois dans l’histoire de l’art et dans l’histoire de la publicité, du cinéma et des médias.
Sherman révèle et démantèle ces stéréotypes ainsi que les mécanismes de leur production en créant série après série de photographies qui se concentrent sur des procédures particulières de création d’images. La collection Broad est dédiée au travail de Sherman depuis plus de trente ans et ses collections sont inégalées dans le monde.
Dans ses premières œuvres, de petites photographies en noir et blanc connues sous le nom de série Untitled Film Still , Sherman a exploré les images de femmes dans les films des années 1950 et 1960.
Dans les images fixes du film, plutôt que de citer des films reconnaissables, Sherman suggère des genres, ce qui donne des personnages qui émergent comme des types de personnalité au lieu d’actrices spécifiques.
Les six premières images de la série, dont Untitled Film Still #6 , 1977, montrent la même actrice blonde à différentes étapes de sa carrière. Plus tard, le personnage dans Untitled Film Still # 34 , 1979, apparaît comme une séductrice, attendant à la maison son amant, et dans Untitled Film Still # 35, 1979, Sherman pourrait être considérée comme le trope de la femme diligente au foyer qui reste sexuellement attirante et disponible pour son mari.
Dans une série plus récente, comprenant des photographies couleur plus grandes, Sherman a reconstitué les décors de divers portraits européens du XVe au début du XIXe siècle. Dans Untitled #205 , 1989, Sherman se fait passer pour La Fornarina, tout comme le modèle aurait pu être peint par son amant, le peintre italien du XVIe siècle Raphaël, ou plus tard par Ingres.
Cindy Sherman
Cindy Sherman
Ici, cependant, Fornarina de Sherman expose des seins gonflés de lait en plastique et berce un faux ventre de femme enceinte sous son châle. L’utilisation évidente par Sherman de parties du corps prothétiques et d’un décor théâtral oblige le spectateur à réfléchir à la posture et à la modélisation des sources historiques originales.
Pour cette raison, de nombreux critiques ont loué la déconstruction par Sherman des visions ouvertement masculines de la femme dans l’histoire de l’art.
Biographie de Cindy Sherman
Cindy Sherman , en entier Cynthia Morris Sherman , (née le 19 janvier 1954 à Glen Ridge, New Jersey , États-Unis), est une photographe américaine connue pour ses images – en particulier pour ses autoportraits minutieusement « déguisés » – qui commentent les jeux de rôle sociaux et stéréotypes sexuels .
Sherman a grandi à Long Island, New York . En 1972, elle s’inscrit à l’ Université d’État de New York (SUNY) à Buffalo et se spécialise en peinture, puis se tourne vers la photographie . Elle est diplômée de SUNY en 1976 et en 1977 a commencé à travailler sur Untitled Film Stills (1977–80), l’une de ses séries les plus connues.
La série de photographies en noir et blanc de 8 × 10 pouces mettant en vedette Sherman dans une variété de rôles, rappelle le film noir et présente aux téléspectateurs une représentation ambiguë des femmes en tant qu’objets sexuels. Sherman a déclaré que la série parlait « de la fausseté du jeu de rôle ainsi que du mépris pour le public » masculin « dominant qui lirait à tort les images comme sexy. »
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Elle a continué à être le modèle de ses photographies, enfilant des perruques et des costumes qui évoquent des images des domaines de la publicité, de la télévision, du cinéma et de la mode et qui, à leur tour, remettent en question les stéréotypes culturels soutenus par ces médias.
Au cours des années 1980, Sherman a commencé à utiliser des films couleur, à exposer de très grands tirages et à se concentrer davantage sur l’éclairage et l’expression faciale.
À l’aide d’appendices prothétiques et de quantités généreuses de maquillage, Sherman est entré dans le domaine du grotesque et du sinistre avec des photographies représentant des corps mutilés et reflétant des préoccupations telles que les troubles de l’alimentation, la folie et la mort.
Son travail est devenu moins ambigu, se concentrant peut-être davantage sur les résultats de l’acceptation par la société des rôles stéréotypés pour les femmes que sur les rôles eux-mêmes.
Sherman est revenue aux commentaires ironiques sur les identités féminines clichées dans les années 1990, introduisant des mannequins dans certaines de ses photographies, et en 1997, elle a réalisé le film comique noir Tueur de bureau .
Deux ans plus tard, elle a exposé des images troublantes de poupées sauvages et de parties de poupées qui exploraient son intérêt pour la juxtaposition de la violence et de l’artificialité. Sherman a poursuivi ces juxtapositions dans une série de photographies de 2000 dans lesquelles elle se faisait passer pour des femmes hollywoodiennes avec un maquillage exagéré et des implants mammaires en silicone, obtenant à nouveau un résultat pathétique énigmatique.
Cette même année, une importante rétrospective de son œuvre est présentée au Museum of Contemporary Art de Chicago et au Musée d’art contemporain de Los Angeles.
Une rétrospective de 2012 au Museum of Modern Art (MoMA) de New York était accompagnée d’une série de films comprenant des films que Sherman considérait comme ayant influencé son travail.
En 2016, Sherman a reçu le prix Praemium Imperiale de peinture, une catégorie qui englobe également la photographie. Cette même année, elle a débuté une série de nouvelles photographies dans l’exposition « Imitation of Life » au Broad Museum, Los Angeles, et Metro Pictures, New York. En 2017, Sherman a fait sensation lorsqu’elle a fait son privé Compte Instagram public.
La plate-forme de médias sociaux , où les utilisateurs peuvent exposer des vignettes de leur vie quotidienne et manipuler leur apparence à l’aide de filtres, semblait faite pour son travail, et Sherman a été célébrée pour son utilisation habile de l’application pour faire de l’art.
Ses selfies, parfois grotesquement déformés et parfois énigmatiques, attirent l’attention sur certaines des caractéristiques les plus troublantes d’Instagram, à savoir l’ ambiguïté entre le réel et la mise en scène. Une rétrospective a été organisée par la National Portrait Gallery, Londres, en 2019.
Technique photo
Cindy Sherman est une artiste et photographe américaine connue pour son travail photographique qui explore les thèmes de l’identité, du genre, et de la représentation de soi. Sa technique photographique est très diversifiée, mais elle est surtout connue pour ses autoportraits, dans lesquels elle joue différents rôles et utilise des accessoires, des costumes et des décors pour créer des images surprenantes et intrigantes.
Sherman utilise souvent des éclairages directs et des couleurs vives pour donner à ses images un aspect cinématographique et dramatique. Elle utilise également différents formats, tels que le format carré, pour créer des images qui rappellent les photographies de mode ou de publicité.
Une autre caractéristique importante de la technique de Cindy Sherman est son utilisation de la mise en scène. Elle crée souvent des décors et des costumes complexes pour ses images, qui ajoutent des éléments de réalisme et de fiction à ses autoportraits. Cette technique de mise en scène donne à ses images une dimension narrative qui invite le spectateur à réfléchir sur les questions d’identité et de représentation de soi.
Enfin, Sherman utilise souvent la post-production pour retoucher ses images et leur donner un aspect plus dramatique ou surréaliste. Elle ajoute parfois des effets de maquillage, des filtres et des textures pour créer des images qui semblent sortir tout droit d’un rêve ou d’un film.
Cindy Sherman
Chronologie de Cindy Sherman
1954
Née à Glen Ridge, New Jersey
1976
BA en photographie du State University College de Buffalo, Buffalo, NY
1977
Récipiendaire, National Endowment for the Arts Fellowship
1983
Récipiendaire, Bourse commémorative John Simon Guggenheim
1995
Récipiendaire, Subvention de la Fondation John D. et Catherine T. MacArthur
Vit et travaille à New York, NY
Expositions de Cindy Sherman
2012
Cindy Sherman, (rétrospective) The Museum of Modern Art, New York, NY; Musée d’art moderne de San Francisco; Walker Art Center, Minneapolis (2012-2013); Dallas Museum of Art (2013) (solo) Portland Art Museum, OR (solo) Gagosian Gallery, Paris, France (solo) Metro Pictures, New York, NY (solo) That’s Me – That’s Not Me, Sammlung Verbund, Vertikale Galerie, Vienne, Autriche (solo)
2011
Made in Italy, Gagosian Gallery Rome Sprüth Magers, Londres (solo) Cindy Sherman: Works from Friends of the Bruce Museum, Bruce Museum, Greenwich, CT (solo)
2010
Untitled Film Stills, National Gallery of Iceland, Reykjavík, Islande (solo) Crash, Gagosian Gallery, Londres, Angleterre
2009
Cindy Sherman, Sprüth Magers, Londres, Angleterre (solo) Cindy Sherman, Sprüth Magers, Berlin, Allemagne (solo) Cindy Sherman, Gagosian Gallery, Rome, Italie (solo) The Pictures Generation, 1974-1984, Metropolitan Museum of Art, New York
2008
Second Thoughts, The Center for Curatorial Studies at Bard College, Annandale-on-Hudson, NY Body Work, Le Case d’Arte, Milan, Italie 2041, Artnews Projects, Berlin, Allemagne History Portraits, Skarstedt Fine Art, New York, NY (solo) Metro Pictures, New York, NY (solo) Street and Studio, Tate Modern, Londres; Museum Folkwang, Essen, Allemagne The Broad Contemporary Art Museum, Los Angeles County Museum of Art, Los Angeles, Californie
2007
Faces, Cook Fine Art, New York, NY Imagination Becomes Reality, œuvres de la Goetz Collection, ZKM, Karlsruhe, Allemagne Held Together with Water, art from the Verbund Collection, Museum of Applied Arts, Vienne, Autriche Que veut la méduse ? , Museum Ludwig, Cologne, Allemagne There is never a stop and never a finish, Hamburger Bahnhof, Berlin, Allemagne Foto.Kunst, Essl Museum, Klosterneuburg, Autriche All the more real: Portrayals of Intimacy and Empathy, Parrish Art Museum, Southampton, NY Traum und Trauma, Kunsthalle Wien, Vienne, Autriche Into Me / Out of Me, Museo d’Arte Contemporanea, Rome, Italie Eros in Modern Art, BA-CA Kunstforum, Vienne, Autriche Bus Riders, Barbara Krakow Gallery, Boston, MA (solo) A Play of Selves, Galerie Monika Sprüth Philomene Magers, Londres, Angleterre (solo) WACK! L’art et la révolution féministe, The Museum of Contemporary Art, Los Angeles, Californie ; Musée national des femmes dans les arts, Washington DC ; PS 1 Contemporary Art Center, New York, NY Théâtre sans Théâtre, Musée d’Art Contemporain, Barcelone, Espagne Musée Ludwig, Cologne, Allemagne Panic Attack! Art in the Punk Years, Barbican Art Gallery, Londres, Angleterre Sammlung Verbund, MAK, Vienne, Autriche Wrestle, Hessel Museum of Art, Bard College, Annandale-on-Hudson, New York, NY Portrait/Homage/Embodiment, Pulitzer Foundation for les Arts, St. Louis, MO
2006
A Play of Selves, Metro Pictures, New York, NY (solo) Anos 80 : Uma Topologia, Museu Serralves, Porto, Portugal The Eighth Field. Gender, Life and Desire in Art since 1960, Museum Ludwig, Cologne, Allemagne Surprise, Surprise, Institute of Contemporary Arts, Londres, Angleterre Eros in Modern Art, Fondation Beyeler, Bâle, Suisse The Other Side, Tony Shafrazi Gallery, New York, NY Memento Mori, Mireille Mosler Ltd., New York, NY Into Me / Out of Me, Oeuvres Berlin, Berlin, Allemagne
2005
Faites vos jeux ! Art et jeux depuis Dada, Kunstmuseum Liechtenstein, Vaduz ; Académie des Arts, Berlin, Allemagne ; Musée d’Art Contemporain, Siegen, Allemagne Cindy Sherman, Galerie du Château d’Eau, Toulouse, France (solo) Auto-performance. Jürgen Klauke et Cindy Sherman, Neues Museum, Weimar, Allemagne (solo)
2004
The Unseen Cindy Sherman: Early Transformations 1975/1976, Montclair Art Museum, Montclair, NJ (solo) Cindy Sherman: Clowns, Kestner Gesellschaft, Hannover, NH (solo) Cindy Sherman, Metro Pictures, New York, NY (solo) révèle : Le nu dans l’art photographique du XXe siècle, Musée municipal de Heilbronn, Heilbronn, Allemagne The Last Picture Show, Fotomuseum Winterthur, Winterthur, Suisse Faces in the Crowd, Whitechapel Art Gallery, Londres, Angleterre Incantations, Metro Pictures, New York, NY
2003
Cindy Sherman : Centerfolds, 1981, Skarstedt Fine Art, New York, NY (solo) Cindy Sherman, Serpentine Gallery, Londres ; Galerie nationale écossaise d’art moderne, Édimbourg, (solo)
2001
Cindy Sherman: Early Works, Studio Guenzani, Milan, Italie (solo) Cindy Sherman: Moment of Truth, Copenhagen Contemporary Art Center, Copenhague, Danemark (solo)
2000
Cindy Sherman, Hasselblad Center, Göteborg, Suède (solo) Cindy Sherman, Gagosian Gallery, Los Angeles, CA (solo) Cindy Sherman, Galería Juana de Aizpuru, Madrid, Espagne (solo) Cindy Sherman, Greengrassi, Londres, Angleterre (solo) Cindy Sherman, Metro Pictures, New York, NY (solo) Let’s Entertain, Walker Art Center, Minneapolis Centre Georges Pompidou, Paris, France Open Ends, Museum of Modern Art, New York, NY Hyper Mental, Kunsthaus Zürich; Hamburger Kunsthalle, Hambourg, Allemagne
1999
Gesammelte Werke 1: Zeitgenössische Kunst seit 1968, Kunstmuseum, Wolfsburg, Allemagne Notorious, Museum of Modern Art, Oxford, Royaume-Uni Cindy Sherman, Monika Sprüth Galerie, Cologne, Allemagne (solo) Cindy Sherman, Metro Pictures, New York, NY (solo) The American Century, Whitney Museum of American Art, New York, NY Inverted Odysseys, Grey Art Gallery, New York, NY The Century of the Body: Photoworks 1900-2000, Musée de l’Elysée, Lisbonne, Portugal Triennale Exhibition: Sentiment of the Year 2000, Triennale di Milano, Milan, Italie Concernant la Beauté, Hirshhorn Museum, Washington, DC
1998
Images miroir : Femmes, surréalisme et auto-représentation, MIT List Center, Cambridge, MA ; Musée d’art de Miami, Miami, Floride ; San Francisco Museum of Modern Art, San Francisco, Californie Allegories, Seattle Art Museum, Seattle, WA (solo) Cindy ShermanMetro Pictures, New York, NY (solo)
1997
Cindy Sherman: The Complete Untitled Film Stills, Museum of Modern Art, New York, NY (solo) Cindy Sherman: A Selection From the Eli Broad Foundation’s Collection, Museo de Bellas Artes, Caracas, Venezuela (solo) Cindy Sherman: Retrospective, Museum of Contemporary Art, Los Angeles, CA (solo) Cindy Sherman, Museum Ludwig, Cologne, Allemagne (solo) Gender Performance in Photography, Solomon R. Guggenheim Museum, New York, NY On the Edge: Contemporary Art from the Werner and Elaine Dannheisser Collection, The Museum of Modern Art, New York, NY Von Beuys bis Cindy Sherman Sammlung Lothar Schirmer, Kunsthalle, Brême, Allemagne
1996
L’Informe: le Modernisme a Rebours, Centre Georges Pompidou, Musée National d’Art Moderne, Paris, France Cindy Sherman, Museum Boymans-van Beuningen, Rotterdam, Pays-Bas (solo) Cindy Sherman, Museum of Modern Art, Shiga, Japon Hall of Mirrors: Art and Film Since 1945, The Museum of Contemporary Art, Los Angeles, CA Biennale di Firenze, Florence, Italie
1995
1995 Exposition biennale, Whitney Museum of American Art, New York, NY Signs & Wunder, Kunsthaus Zurich, Zurich, Suisse XLVI Esposizione Internazionale d’Arte 1995, La Biennale di Venezia, Venise, Italie FeminiMasculin: Le Sexe de l’Art?, Centre Georges Pompidou, Musée d’Art Moderne, Paris, France 1995 Carnegie International, The Carnegie Museum of Art, Pittsburgh, PA Directions : Cindy Sherman Film, Hirshhorn Museum, Washington, DC (solo) Cindy Sherman : Photographs 1975-1995, Deichtorhallen Hambourg, Hambourg, Allemagne (solo) Cindy Sherman, Museu de Arte Moderna de Sao Paulo, Sao Paulo, Brésil (solo) Monika Sprüth Galerie, Cologne, Allemagne (solo) Metro Pictures, New York, NY (solo)
1994
Cindy Sherman, ACC Galerie, Weimar, Allemagne (solo) Cindy Sherman, Manchester City Art Gallery, Manchester, Royaume-Uni (solo) Cindy Sherman, The Irish Museum of Modern Art, Dublin, Irlande (solo) World Morality, Kunsthalle, Bâle, Suisse Corps et âme, The Baltimore Museum of Art, Baltimore, MD Jurgen Klauke – Cindy Sherman, Sammlung Goetz, Munich, Allemagne
1993
Louise Lawler, Cindy Sherman, Laurie Simmons, Kunsternes Hus, Oslo, Norvège 1993 Exposition biennale, Whitney Museum of American Art, New York, NY American Art of This Century, Martin-Gropius-Bau, Berlin, Allemagne
1992
Post Human, Musée d’Art Contemporain, Pully/Lausanne, Switzerland
1991
1991 Exposition biennale, Whitney Museum of American Art, New York, NY Metropolis, Martin-Gropius-Bau, Berlin, Allemagne Cindy Sherman, Basel Kunsthalle, Bâle, Suisse (solo)
1990
Padiglione d’arte Contemporanea, Milan, Italie (solo) University Art Museum, Université de Californie, Berkeley, CA (solo) Monika Sprüth Galerie, Cologne, Allemagne (solo) Metro Pictures, New York, NY (solo) Culture and Commentary, The Hirshhorn Museum, Washington, DC Culture and Commentary, The Hirshhorn Museum, Washington, DC Energies, The Stedelijk Museum, Amsterdam, Pays-Bas The Readymade Boomerang, Huitième Biennale de Sydney, Sydney, Australie
1989
Cindy Sherman, National Art Gallery, Wellington, Nouvelle-Zélande (solo) Cindy Sherman, Metro Pictures, New York, (solo) A Forest of Signs: Art in the Crisis of Representation, The Museum of Contemporary Art, Los Angeles, CA Bilderstreit, Messehallen, Cologne, Allemagne Image World: Art and Media, Whitney Museum of American Art, New York, NY
1988
Monika Sprüth Galerie, Cologne, Allemagne (solo)
1987
Cindy Sherman, Metro Pictures, New York, NY (solo) Avant-Garde in the Eighties, Los Angeles County Museum of Art, Los Angeles, Californie Implosion: A Postmodern Perspective, Moderna Museet, Stockholm, Suède
1986
Art and Its Double: A New York Perspective, Fundacio Caixa de Pensions, Barcelone, Espagne Individus: A Selected History of Contemporary Art, 1945-1986, Museum of Contemporary Art, Los Angeles, CA The American Exhibition, The Art Institute of Chicago, Chicago, IL
1985
Cindy Sherman, Westfälischer Kunstverein, Münster, Allemagne (solo) Cindy Sherman, Metro Pictures, New York, (solo) Carnegie International, Carnegie Museum of Art, Pittsburgh, PA 1985 Exposition biennale, Whitney Museum of American Art, New York, NY ( chat.)
1984
Alibis, Centre Pompidou, Musée d’Art Moderne, Paris, France (cat.) Content: A Contemporary Focus, 1974-84, Hirshhorn Museum, Washington, DC (cat.) The Fifth Biennale of Sydney, Private Symbol: Social Metaphor, Art Gallery of New South Wales, Sydney, Australie (cat.) Cindy Sherman, Akron Art Museum, Akron, OH (solo) Monika Sprüth Galerie, Cologne, Allemagne (solo)
1983
Musée
d’Art et d’Industrie de Saint Etienne, Saint Etienne, France (solo) The St. Louis Art Museum, St. Louis, MO (solo) Metro Pictures, New York, NY (solo) Directions 1983, Hirshhorn Museum, Washington, DC (cat.) 1983 Exposition biennale, Whitney Museum of American Art, New York, NY (cat.) The New Art, The Tate Gallery, Londres, Angleterre
1982
Documenta 7, Kassel, Allemagne (cat.) Eight Artists: The Anxious Edge, Walker Art Center, Minneapolis, MN (cat.) Cindy Sherman, The Stedelijk Museum, Amsterdam, Pays-Bas (solo) Cindy Sherman, Déjà Vu, Dijon, France (solo) Cindy Sherman, Metro Pictures, New York, NY (solo) La Biennale di Benezia, Venise, Italie (cat.)
1980
Cindy Sherman, Musée d’art contemporain, Houston, TX (solo) Cindy Sherman, Metro Pictures, New York, NY (solo)
Collections publiques
– Collection FAIF, Zurich, Suisse
– Musée d’art contemporain, Los Angeles, Californie
– Musée d’art moderne, New York, NY
– Musée d’art de Philadelphie, Philadelphie, Pennsylvanie
– Musée d’art moderne de San Francisco, San Francisco, Californie
– Musée Solomon R. Guggenheim, New York, NY
– Tate Gallery, Londres, Royaume-Uni
– Victoria and Albert Museum, Londres, Royaume-Uni
En 2003, il a déclaré: « Je n’ai pas de qualifications formelles, juste l’école de la vie.
J’ai appris le plus en prenant simplement des photos; beaucoup de photos. J’ai fait beaucoup d’erreurs, mais c’est souvent de vos erreurs que vous apprenez le plus . Être photographe, c’est comme être un athlète. Il faut s’entraîner tous les jours. »
Patrick Demarchelier photographe
Les débuts de Patrick Demarchelier photographe
Né en 1943, Patrick Demarchelier a été élevé dans la petite ville de La Havre, près de Paris, par sa mère.
Il a eu une éducation modeste et a passé la majeure partie de son enfance à vivre avec ses quatre frères et sa mère au Havre. Son beau-père lui a acheté un appareilphoto pour ses 17 ans et il a rapidement appris à développer des films et à retoucher des négatifs. Il a ensuite commencé à photographier des amis et des mariages.
Son amour de la photographie a commencé à 17 ans quand il a été donné. sa première caméra par son beau-père. Il s’installe à Paris à l’âge de 20 ans pour travailler dans un laboratoire de photographie, imprimant des photographies de journaux.Vogue .
Patrick Demarchelier photographe
Il a travaillé avec Grace Coddington pendant son mandat chez British Vogue et lui a attribué le mérite d’avoir aidé à lancer sa carrière. «C’était le meilleur magazine du monde, celui pour lequel vous vouliez vraiment travailler, donc être avec elle était une grande avancée», a-t-il déclaré au Telegraph en 2012. En 1975, après avoir gagné une réputation de photographe de mode respecté en France, Demarchelier a décidé de suivre sa petite amie à New York, même s’il ne parlait pas un mot d’anglais.
Patrick Demarchelier a travaillé comme photographe indépendant et a assisté des personnalités telles que Henry Cartier-Bresson, Terry King et Jacques Guilbert.Son travail a depuis figuré dans de nombreuses publications, dont de nombreuses Voguecouvertures, et il a tourné des campagnes pour Calvin Klein, Ralph Lauren, Chanel, Elizabeth Arden, Dior, Giorgio Armani et Louis Vuitton pour n’en citer que quelques-uns.
Patrick Demarchelier photographe
Patrick Demarchelier devient le photographe de Diana
En 1989, Patrick Demarchelier est devenu le photographe personnel de Diana, princesse de Galles, qui l’a contacté après avoir vu une de ses photographies en couverture de Vogue . «Je me souviens quand elle m’a contacté pour la première fois.
« J’avais fait une photo pour vogue dans laquelle un mannequin ouvrait son manteau pour montrer la photo d’un petit garçon riant caché dans la poche intérieure. Le garçon était, en fait, mon fils, et Diana, peut-être à cause de ses petits garçons, a tellement aimé cette photo qu’elle est entrée en contact. Nous sommes devenus amis. »
Elle était drôle et gentille – mais fondamentalement, c’était une femme très simple qui aimait les choses très simples », a-t-il déclaré au Telegraphen 2008. Il a été le premier photographe officiel non britannique de la famille royale. En novembre 2007, il a été honoré en tant qu’officier de l’ordre des arts et des lettres par le ministre français de la Culture.
L’année suivante, son travail fait l’objet d’une grande rétrospective intitulée Le culte de la célébrité au Petit Palais de Paris.En octobre 2011,Patrick Demarchelier publie le livre de table basse Dior Couture Patrick Demarchelier– une collection de photographies de pièces Dior Couture allant de la toute première collection de Dior lui-même en 1947 à celles de Galliano à la maison.
Il a dit que son sujet préféré à photographier est son teckel, Puffy. « Quand les gens me demandent quel est votre portrait préféré, ils s’attendent à ce que ce soit Diana, ou quelqu’un de célèbre. Mais la réponse est mon chien, Puffy. Ils pensent que je veux dire Puff Daddy. Non, c’est le chien », at-il dit au Telegraph en 2012. Il a tourné le calendrier Pirelli en 2005, 2008 et le numéro du 50e anniversaire avec Peter Lindberg en 2014.Il vit à New York avec sa femme Mia, une ancienne mannequin, avec qui il a trois enfants.
Patrick Demarchelier photographe
La carrière de Patrick Demarchelier photographe
À New York, Patrick Demarchelier en a appris davantage sur la photographie de mode. Il a travaillé avec de nombreux photographes de mode, dont Terry King, Henri Cartier-Bresson et Jacque Guilbert. Son travail a rapidement été remarqué par les rédacteurs en chef des magazines Marie Claire , Elle et 20 Ans . En 1989, il a commencé à tourner des couvertures pour Vogue . Pendant ce temps, la princesse Diana lui a demandé de prendre des photos d’elle et de ses fils. Cela a fait de lui le premier photographe non britannique officiel d’un membre de la famille royale.
Quelques années plus tard, Patrick Demarchelier a commencé à travailler plus régulièrement pour Harper’s Bazaar et Vogue . Cela a abouti à une collaboration de douze ans. Il a également photographié de nombreuses campagnes publicitaires internationales pour Louis Vuitton, Dior, TAG Heuer, Céline, Chanel, Lacoste, Yves Saint Laurent, Ralph Lauren, Revlon, Elizabeth Arden, Lancôme et Calvin Klein.
A partir de 1992, Patrick Demarchelier travailla pour Harper’s Bazaar et il fût leur premier photographe. Il a également reçu un contrat en 2005 pour le calendrier Pirelli. Au fil des ans, il a lancé la carrière de nombreux maquilleurs tels que Jason Marks, Laura Mercier et Pat McGrath.
Les réalisations notables de Patrick Demarchelier
Patrick Demarchelier a également travaillé avec un grand nombre de célébrités au fil des ans, telles que Farrah Fawcett, Madonna et Kate Hudson. Demarchelier était le photographe principal du livre On Your Own de Brooke Shields, qui était un guide sur la beauté et le style de vie pour les jeunes femmes.
En 2007, la ministre française de la Culture, Christine Albanel, a décerné à Demarchelier l’honneur d’Officier dans l’ordre des Arts et des Lettres. En octobre 2011, il publie Dior Couture Patrick Demarchelier , un livre de table basse qui est une collection photographique de pièces Dior Couture, de la toute première collection Dior en 1947 à la collection de John Galliano.
La vie de Patrick Demarchelier
Patrick Demarchelier est bien connu de ses collègues qui appréciaient sa gentillesse et sa patience. Ces qualités ont fait de lui un favori des top models et des célébrités. Il vécut à New York avec sa femme, Mia. Ils ont trois fils, Gustaf, Arthur et Victor.
Patrick Demarchelier livre
Bonus : critique du livre Dior Couture par Patrick Demarchelier
Tout d’abord, parlons du livre du point de vue de sa sublime présence physique. Dior Couture est de très grande taille, le papier est suffisamment lourd pour être confondu avec du carton léger, la qualité de reproduction de la photographie est au-delà de premier ordre, et le sujet? Eh bien, ça ne va pas beaucoup mieux.
Félicitations à Patrick Demarchelier pour son «œil», pour sa compréhension de la couture, à Carine Roitfeld pour avoir évoqué des assemblages aussi incroyables de ces créations, et surtout à Rizzoli pour avoir émis un hymne si exquis à Christian Dior haute couture.
Il manque quelques ingrédients qui font de cet hommage un peu moins de 100% de perfection. Tout d’abord, on est déçu qu’il n’y ait pas de Dior plus original; puis qu’il y a une pénurie de Dior de Marc Bohan depuis qu’il a mis son empreinte sur la maison pendant des décennies; troisièmement, l’omission complète du bref séjour de Gianfranco Ferre chez Dior est étrange; enfin, le livre est vraiment principalement axé sur John Galliano et son mandat à la maison vénérée de Dior.
Mis à part les lacunes, il ne fait aucun doute qu’il s’agit d’un livre à convoiter et à chérir. M. Demarchelier nous montre les vrais talents des ateliers Dior qui n’ont d’égal que ceux de Chanel, les talents extraordinaires de M. Galliano, et les designs sans couture et intemporels de la maison légendaire elle-même. Les images sont saisissantes car M. Demarchelier ne sacrifie jamais les vêtements pour la photographie artistique; les vêtements sont au centre de chaque photographie, ce qui rend la présentation globale impeccable.
Le bref texte de Mme Sischy est un cours intensif de Dior qui se révèle à la fois instructif et amusant. L’avant-propos très court de Jeff Koons était incisif, contenant quelques comparaisons et observations très astucieuses.
Dans l’ensemble, c’est un livre qui peut être comparé à Alexander McQueen: Savage Beauty d’Andrew Bolton par n’importe quel standard que vous choisissez. Dire que Dior Couture ferait un cadeau mémorable pour toute personne ayant la moindre appréciation pour la couture, Galliano, Dior ou la mode, serait un euphémisme terrible.
Des livres comme celui-ci sont rares et devraient être considérés comme un incontournable pour toute bibliothèque de mode et certainement pour toute personne ayant un intérêt sérieux pour la mode en tant que forme d’art.
Patrick Demarchelier photographe
Eric CANTO Photographe : Photos de concerts, portraits, pochettes d’albums.
Bonus : interview de Patrick Demarchelier par Keira Knightley
Tout film sur la vie de Patrick inclurait nécessairement la scène poignante de son beau-père donnant au trublion autoproclamé une caméra Eastman Kodak pour ses 17 ans. Après avoir aidé des gens comme Hans Feurer, le jeune Demarchelier s’est détaché de lui-même, a déménagé à New York et a développé son style de photographie de mode désormais emblématique et frappant.
Déstabilisant un éditorial de mode minutieusement mis en scène ou un portrait de Diana, princesse de Galles, dont il était le photographe officiel, avec une étincelle de spontanéité, Demarchelier crée une sorte de verve, un frisson qui a fait de lui une légende, et son nom un synonyme de la royauté de la mode – la toute première chose que Miranda Priestly veut savoir de sa nouvelle assistante désespérée dans Le diable s’habille en Prada est « Demarchelier a-t-il confirmé? »
Patrick Demarchelier par Keira Knightley
La star de la duchesse (2008), Keira Knightley, connaît un peu la royauté à l’écran. En novembre, elle apparaîtra aux côtés de Benedict Cumberbatch dans le drame de la Seconde Guerre mondiale The Imitation Game, sur la machine à casser le code Enigma. Ici, elle tente de décoder Demarchelier, amenant le photographe à regarder sa vie à travers l’objectif. Tout comme le diable de redresseur de torts assistant, elle a Patrick.
KEIRA KNIGHTLEY: Hé, Patrick! Comment ça va?
PATRICK DEMARCHELIER: Très bien. Je suis à Long Island en vacances. Dans quelques jours, j’ai un voyage en Suède. Après ça, je retourne à New York pour un jour puis à St. Barth pour un voyage au travail pendant quelques jours, puis j’ai fini.
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KNIGHTLEY: Oh mon Dieu, vous êtes partout. Où vas-tu en Suède?
Patrick Demarchelier : Nous allons vers le nord. C’est un hôtel et un spa. C’est au sommet d’un arbre.
KNIGHTLEY: Au sommet d’un arbre? Est-ce l’endroit où ils ont une boîte de miroirs, donc vous ne pouvez pas le voir? Avez-vous déjà séjourné dans cet hôtel?
Patrick Demarchelier : Non, jamais. Je suis allé en Suède – ma femme est suédoise – mais c’est un nouvel endroit. Comment allez vous? Tu fais un film maintenant?
KNIGHTLEY: Non, je ne le suis pas. Que suis-je en train de faire? Je viens d’acheter un tas de livres que je vais lire au cours de l’été et j’espère choisir un autre film basé sur cela. Je ne sais pas si cela arrivera, mais c’est une bonne façon de travailler. D’accord. Je vais vous poser des questions. Quelle est votre photo préférée que vous avez déjà prise?
Patrick Demarchelier : Je n’y pense pas vraiment. Pour moi, les nouvelles images sont ce à quoi je pense chaque jour. Le passé est le passé, non? Chaque jour est un nouveau défi. Comme pour vous, le film dans lequel vous serez est un nouveau défi. La photographie n’est que la photo – un jour, deux jours – et le lendemain, vous êtes parti.
KNIGHTLEY: Prends-tu des photos même quand tu n’es pas en tournage? Avez-vous toujours un appareil photo avec vous?
Patrick Demarchelier : Pas trop, non. Je ne sors pas la caméra avec moi. Mes yeux sont la caméra pour moi tous les jours.
KNIGHTLEY: Cela signifie-t-il que si vous vous promenez, vous obtenez l’inspiration, vous la consignez dans votre tête et peut-être l’utiliser à un moment donné?
Patrick Demarchelier : Exactement. Si vous l’aimez, c’est dans votre système.
KNIGHTLEY: Quelle serait votre journée idéale, votre journée de rêve?
Patrick Demarchelier : Chaque jour est un rêve, chaque jour que je passe avec ma femme.
KNIGHTLEY: Oh. C’est juste la mode que tu fais?
Patrick Demarchelier : Non. Je fais de la mode, des portraits, du nu. Parfois des animaux aussi. J’adore l’Afrique. J’adore la nature. J’aime mon chien. En fait, le meilleur portrait que j’ai fait était celui de mon chien.
KNIGHTLEY: De quelle sorte de chien s’agit-il?
Patrick Demarchelier : C’est un daschund aux cheveux longs. Et c’est très drôle, lors d’un spectacle à Paris, il y a environ six ans – au Petit Palais, le musée des Champs-Élysées – il y avait un grand spectacle là-bas, avec une grande photo de mon chien, Puffy, comme trois mètres de haut . [ rires ]
KNIGHTLEY: Quelle est votre prochaine émission?
Patrick Demarchelier : Je fais un show à Tokyo, avec Dior. J’ai fait un livre pour Dior haute couture il y a trois ans, et j’ai un nouveau livre pour eux qui sortira en novembre. On fait un show à Tokyo avec les photos et les vêtements mélangés.
KNIGHTLEY: Vous m’avez dit quelque chose de vraiment intéressant sur le tournage: «Vous devez vous détendre le visage, parce que c’est ce qu’est un bon jeu d’acteur, un visage détendu. C’est la même chose que de prendre des photos. »
Patrick Demarchelier : Le visage est censé être détendu. Plus vous vous détendez…
KNIGHTLEY: Vous avez absolument raison. C’est très drôle, car aucun photographe ne m’a jamais dit cela auparavant et n’a fait le genre de lien entre les deux choses. Vous filmez en numérique, non? Vous filmez-vous toujours aussi sur pellicule?
Patrick Demarchelier : Très rarement, uniquement pour des effets spéciaux lorsque j’en ai besoin. Sinon, je ne filme plus.
KNIGHTLEY: J’ai remarqué que les gens qui ont commencé le film ont toujours la capacité de voir la personne en face d’eux. Alors que pour beaucoup de photographes qui n’ont jamais travaillé que dans le numérique, la relation entre le photographe et la personne qu’ils prennent en photo n’existe plus. Ils regardent un écran d’ordinateur par opposition à la personne.
Patrick Demarchelier : Exactement. J’adore le numérique, mais le seul problème est moins d’intimité. Les gens regardent l’écran tout de suite. Avant, personne n’avait vu la photo avant que vous ayez vu la photo finale. Il y avait plus d’intimité d’une certaine manière.
KNIGHTLEY: Est-ce que tout le monde est obsédé par l’image, essayant soudain d’être parfait, par opposition à essayer de capturer un moment?
Patrick Demarchelier : Oui. Maintenant, vous travaillez plus en équipe, avec des gens qui ont bon goût. C’est intéressant. Vous pouvez corriger des choses, et si vous n’aimez pas une image tout de suite, vous pouvez la changer. Avant, vous faisiez beaucoup de photos et vous en preniez une après. Vous ne pouvez pas vraiment comparer; c’est une manière différente de travailler.
KNIGHTLEY: Reviendriez-vous jamais au tournage sur film ou pensez-vous que vous devez continuer à avancer?
Patrick Demarchelier : Le cinéma n’est pas très pratique. Le nouveau monde va plus vite et le numérique est très rapide.
KNIGHTLEY: Vous manquez quelque chose de physique? Je pense que je suis une sorte de romantique horrible sur le cinéma. Il y a quelque chose dans cette seule prise de vue qui était un moment dans le temps, et quelque chose sur le processus physique de la lumière frappant l’objectif et la pièce sombre. J’ai du mal à voir la romance dans le numérique.
Patrick Demarchelier : Il peut le faire aussi, en fait. Je fais un Polaroid avant de tirer. Un Polaroid tu fais une photo, trois photos, c’est vraiment un moment. Capturer ce moment avec ces images est intéressant.
KNIGHTLEY: Votre séance photo de l’autre jour était probablement la séance photo la plus rapide de ma vie, ce qui était excellent. Avez-vous toujours été très rapide?
Patrick Demarchelier : Ah. Les choses vont vraiment vite avec moi. J’aime faire les photos avant que les gens ne deviennent trop gênés. J’aime être spontané et prendre une photo avant que le sujet n’y pense trop. Parfois, il peut être intéressant d’être très lent, donc si vous êtes très, très lent, vous vous ennuyez tellement que c’est intéressant aussi. [ rires ]
Tout le monde peut prendre une bonne photo. Tout le monde est intéressant. Tout le monde a un visage intéressant. Certaines personnes sont plus difficiles ou plus nerveuses ou plus fatiguées. Quand tu fais un film, tu as de l’action, tu parles, tu bouges. Vous ne voyez pas la caméra. Prendre une photo avec un photographe, on ne parle pas, c’est plus difficile que dans un film pour ton corps de se détendre, d’être soi-même.
KNIGHTLEY: Certainement. Vous recherchez un moment qui raconte cette histoire ou tout ce que vous essayez de capturer. Avez-vous déjà fait du cinéma?
Patrick Demarchelier : Je fais des publicités parfois. C’est drôle parce que, pour les publicités, parfois je travaille pour un client et ils disent: « Le modèle n’était pas génial. » Dans l’image en mouvement, elle allait bien, mais sur la photo fixe, il était difficile d’obtenir une image d’elle. C’est typique de faire un film, parce que dans le film, vous bougez, vous avez de la personnalité, vous n’avez pas besoin d’être beau.
KNIGHTLEY: Comment en êtes-vous venu à votre idée de la beauté? Aviez-vous des idoles dans votre enfance, des gens que vous admiriez artistiquement?
Patrick Demarchelier : La beauté est partout. Et, non, ma photographie est venue naturellement sans qu’aucune inspiration particulière ne grandisse.
Patrick Demarchelier par Keira Knightley
Patrick Demarchelier par Keira Knightley
Patrick Demarchelier par Keira Knightley
FAQ : Patrick Demarchelier, le Photographe de Mode
1. Qui est Patrick Demarchelier ?
Patrick Demarchelier est un photographe de mode français né en 1943. Il a commencé sa carrière en photographiant pour des magazines de mode français, avant de devenir l’un des photographes les plus influents de l’industrie de la mode. Ses travaux ont été publiés dans de nombreux magazines de renommée internationale, tels que Vogue, Harper’s Bazaar, Vanity Fair, Elle, Glamour, etc.
2. Quel est le style de photographie de Patrick Demarchelier ?
Le style de photographie de Patrick Demarchelier est souvent décrit comme élégant, glamour, et sophistiqué. Il est connu pour sa capacité à capturer la beauté et l’élégance des mannequins, tout en créant des images intemporelles et mémorables.
3. Quelles sont les campagnes publicitaires les plus célèbres de Patrick Demarchelier ?
Patrick Demarchelier a travaillé sur de nombreuses campagnes publicitaires pour des marques de mode et de beauté célèbres, telles que Chanel, Dior, Louis Vuitton, Estée Lauder, Calvin Klein, et bien d’autres encore. Certaines de ses campagnes publicitaires les plus célèbres incluent la campagne pour le parfum J’adore de Dior, ainsi que la campagne pour la ligne de sacs Lady Dior de la même marque.
4. Quelles sont les collaborations les plus célèbres de Patrick Demarchelier avec des célébrités ?
Patrick Demarchelier a collaboré avec de nombreuses célébrités pour des projets de mode et de portrait, notamment avec Lady Diana pour la couverture de Vanity Fair en 1997, avec Madonna pour la couverture de Vogue en 2005, ou encore avec Kate Moss pour de nombreuses campagnes publicitaires.
5. Quels sont les prix et les distinctions remportés par Patrick Demarchelier ?
Patrick Demarchelier a remporté de nombreux prix et distinctions tout au long de sa carrière. En 2005, il a été nommé commandeur de l’ordre des Arts et des Lettres en France, et en 2007, il a reçu le prix de la photographie de mode de la CFDA (Council of Fashion Designers of America). En 2015, il a également été élu membre de l’Académie des beaux-arts de Paris.
6. Comment Patrick Demarchelier travaille-t-il avec les mannequins ?
Patrick Demarchelier est connu pour son approche professionnelle et amicale envers les mannequins qu’il photographie. Il est réputé pour sa capacité à créer un environnement de travail détendu et confortable pour ses modèles, leur permettant ainsi de se sentir à l’aise devant l’objectif et de donner le meilleur d’eux-mêmes.
7. Quels sont les livres de photographie publiés par Patrick Demarchelier ?</h
eric.canto@groupe-grim.com
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7. Quels sont les livres de photographie publiés par Patrick Demarchelier ?
Patrick Demarchelier a publié plusieurs livres de photographie tout au long de sa carrière. Ses livres les plus célèbres comprennent « Patrick Demarchelier : Photographs » (1992), « Fashion Photographs » (2008), et « The Art of Beauty » (2016). Ces livres présentent une sélection de ses photographies les plus emblématiques, ainsi que des images exclusives et des coulisses de ses séances photo.
8. Quelle est la contribution de Patrick Demarchelier à l’industrie de la mode ?
Patrick Demarchelier a apporté une contribution majeure à l’industrie de la mode en tant que photographe de renom et en aidant à façonner l’image de marques de mode et de beauté célèbres. Il est également connu pour avoir aidé à lancer les carrières de nombreux mannequins célèbres, tels que Gisele Bündchen, Karlie Kloss, et Christy Turlington, entre autres.
9. Quels sont les projets futurs de Patrick Demarchelier ?
Malgré ses nombreuses réalisations, Patrick Demarchelier continue de travailler dans l’industrie de la mode et de la photographie. En 2021, il a publié un livre de photographie intitulé « Tribute » en hommage à son ami et mentor Azzedine Alaïa. Il continue également de travailler sur des projets de photographie de mode et de portrait, tout en inspirant les générations futures de photographes de mode.
10. Quelle est l’influence de Patrick Demarchelier sur la photographie de mode ?
Patrick Demarchelier a une influence majeure sur la photographie de mode, en particulier en ce qui concerne la création d’images élégantes, sophistiquées et intemporelles. Sa capacité à capturer la beauté et l’élégance des mannequins tout en créant des images qui résistent à l’épreuve du temps en fait un photographe de mode emblématique. Il a également inspiré de nombreux photographes de mode avec son approche professionnelle, sa passion pour l’art de la photographie et sa capacité à créer des images qui racontent une histoire.
Rarindra Prakarsa est un photographe indonésien né en 1979 à Jakarta. Il est reconnu pour son style unique qui mélange des éléments du quotidien avec des scènes de nature et des paysages urbains.
Rarindra Prakarsa est un photographe indonésien reconnu pour son style réaliste, expressif et très émotionnel. Ses photographies nocturnes et portraits en lumière naturelle sont marquées par des couleurs vives, des contrastes dramatiques, une composition équilibrée et une utilisation audacieuse de la lumière et de l’ombre. Avec sa maîtrise technique et sa capacité à capturer des moments forts, il est devenu un photographe de renom, remportant de nombreux prix et exposant ses travaux dans le monde entier.
Rarindra Prakarsa, son histoire
Rarindra Prakarsa est né en 1979 à Jakarta, en Indonésie, et il y vit actuellement. Il a grandi à la campagne, dans le village de Banjarnegara, où il a développé une passion pour la photographie en capturant des images de la vie quotidienne de sa communauté. Depuis, il a exploré de nombreuses régions de l’Indonésie pour photographier ses paysages, ses villes et ses habitants.
Bien qu’il voyage souvent pour des projets photographiques et des expositions à l’étranger, Jakarta reste sa ville de résidence principale.
Il a découvert sa passion pour la photographie dès son adolescence, et il a commencé à pratiquer la photographie en autodidacte. Il a ensuite suivi des cours de photographie à l’université, où il a appris les techniques de base de la photographie.
Après avoir obtenu son diplôme, Rarindra Prakarsa a commencé à travailler comme photographe indépendant, en se concentrant principalement sur la photographie commerciale. C’est seulement en 2012 qu’il a décidé de se consacrer entièrement à la photographie d’art.
En effet, il a commencé sa carrière en tant que graphiste dans les journaux locaux. La convergence des deux disciplines a montré que Prakarsa a toujours eu un talent particulier pour la composition et une utilisation frappante des couleurs.
Depuis, il a remporté de nombreux prix pour son travail, notamment le prestigieux prix Sony World Photography Awards en 2015.
Les photographies de Rarindra Prakarsa sont très appréciées pour leur beauté, leur atmosphère mystérieuse et leur capacité à capturer des moments de la vie quotidienne de manière poétique et émotionnelle. Il utilise souvent des techniques de post-traitement pour créer des effets visuels uniques, qui donnent une ambiance particulière à ses photos.
Rarindra Prakarsa est également très actif sur les réseaux sociaux, partageant régulièrement son travail avec ses nombreux fans et followers. Ses photographies sont très populaires sur Instagram, où il compte plus de 500 000 abonnés.
Il capture des scènes de la vie rurale sur des photographies cinématographiques luxuriantes caractérisées par une atmosphère dense et une utilisation habile de la lumière volumétrique.
Bien que documentaires dans leur concept, les photographies de Rarindra Prakarsa sont méticuleusement mises en scène, presque comme une peinture. La combinaison de sources de lumière naturelles et artificielles permet à des situations ordinaires telles que des enfants jouant dans l’eau ou un vieil homme fumant une pipe, de voir ces événements majestueux, presque irréels à travers l’objectif.
A travers ses photographies, il est possible de voir certaines des choses qui l’inspirent et qui pourraient être considérées comme ses passions. Par exemple, ses photographies nocturnes mettent souvent en vedette des scènes de la vie urbaine animée, avec des lumières vives, des rues bondées et des gens en mouvement. Cela suggère qu’il pourrait être passionné par la ville et la vie urbaine.
De plus, de nombreuses photographies de Prakarsa montrent des gens dans leur vie quotidienne, souvent en train de travailler ou de faire des tâches ménagères. Cela suggère qu’il est intéressé par les gens et leur vie quotidienne.
Il a remporté de nombreux prix pour son travail de photographie, notamment le prix Sony World Photography Awards en 2015 dans la catégorie « Portrait », ainsi que plusieurs autres prix dans des concours de photographie locaux et internationaux. il est respecté pour ses compétences techniques et sa créativité dans la photographie de paysages, de portraits et de scènes urbaines.
Rarindra Prakarsa est connu pour son travail de photographie d’art qui capture souvent des scènes de la vie quotidienne, des paysages urbains et naturels, ainsi que des portraits. Parmi ses clichés les plus célèbres, on peut citer :
« Morning Prayer » : une photo qui capture des enfants en train de prier à l’aube, dans une mosquée de Java.
« Serenade » : une photo qui montre un groupe de musiciens traditionnels indonésiens jouant de la musique à la lumière du soir.
« Man of Dream » : une photo qui montre un homme en train de dormir sur une barque dans un paysage idyllique.
« Fireflies » : une photo qui capture des lucioles volant dans un champ de riz au crépuscule.
« Rainy Day » : une photo qui montre une rue animée de Jakarta sous la pluie.
Ces photos sont très appréciées pour leur beauté, leur poésie et leur capacité à capturer des moments de la vie quotidienne avec une grande sensibilité.
Rarindra Prakarsa a déclaré dans plusieurs interviews que ses principales sources d’inspiration sont la nature, la lumière et les émotions. Cependant, il a également cité quelques photographes qui l’ont influencé dans son travail :
Steve McCurry : Rarindra Prakarsa admire le travail de Steve McCurry pour sa capacité à capturer des moments émouvants et à raconter des histoires à travers ses photographies.
Henri Cartier-Bresson : Rarindra Prakarsa apprécie le travail de Cartier-Bresson pour sa technique de « l’instant décisif » et sa capacité à capturer des moments uniques.
James Nachtwey : Rarindra Prakarsa est inspiré par le travail de Nachtwey pour sa capacité à documenter des événements historiques et à donner une voix aux personnes qui n’en ont pas.
Michael Kenna : Rarindra Prakarsa admire le travail de Kenna pour sa maîtrise de la lumière et de l’ombre, ainsi que pour son esthétique minimaliste et poétique.
Ces photographes ont tous influencé le travail de Rarindra Prakarsa à des degrés divers, mais il a également développé son propre style distinctif qui est devenu très populaire auprès des amateurs de photographie à travers le monde.
Le style de Rarindra Prakarsa peut être décrit comme étant réaliste, expressif et très émotionnel. Il est connu pour utiliser la lumière naturelle et les couleurs vives pour créer des images saisissantes et dynamiques. Ses photographies se caractérisent souvent par une utilisation audacieuse de la lumière et de l’ombre pour créer des contrastes forts et dramatiques, ainsi que par une composition soigneusement équilibrée qui attire l’œil vers le sujet principal.
Techniquement, Rarindra Prakarsa utilise souvent une technique de post-traitement pour ajouter du contraste et de la saturation aux couleurs de ses images. Il utilise également souvent des objectifs grand angle pour capturer de vastes paysages urbains et des portraits environnementaux. En outre, il est connu pour travailler principalement en utilisant la lumière naturelle, en particulier la lumière du soleil, qui peut créer des effets de lumière et de couleur spectaculaires dans ses images.
Dans l’ensemble, le style de Rarindra Prakarsa est très distinctif et reconnaissable, et sa technique est très raffinée et maîtrisée. Sa capacité à capturer des moments forts et à créer des images émotionnelles et vivantes a contribué à sa notoriété en tant que photographe professionnel.
Rarindra Prakarsa, ses projets photographiques
Au cours de sa carrière, Rarindra Prakarsa a travaillé sur de nombreux projets photographiques, allant des portraits de la vie quotidienne dans les villages indonésiens aux paysages urbains nocturnes. Il a également réalisé des projets de photographie de mode et de publicité pour des marques et des magazines.
En 2012, il a publié un livre intitulé « Indonesia », qui présente une collection de ses photographies les plus remarquables de l’Indonésie, montrant la diversité culturelle et géographique du pays. En 2015, il a lancé un projet appelé « Invisible People », qui met en lumière la situation difficile de certains groupes de la société indonésienne, tels que les enfants des rues et les travailleurs migrants.
En plus de ses projets personnels, Rarindra Prakarsa travaille également avec des marques et des entreprises pour créer des campagnes publicitaires et des projets de photographie de mode. Parmi ses clients figurent des marques internationales telles que Canon, Nokia, Samsung, et Marie Claire.
Rarindra Prakarsa a collaboré avec de nombreuses marques et entreprises au fil des ans pour des projets de photographie de mode, de publicité et de marketing. Parmi les marques internationales avec lesquelles il a travaillé, on peut citer :
Canon
Nokia
Samsung
LG
Nike
Adidas
Marie Claire
Elle
Cosmopolitan
Il a également travaillé avec des marques et des entreprises locales indonésiennes, notamment :
Aqua
Indosat
BCA
Garuda Indonesia
Les projets de photographie pour ces marques comprennent des campagnes publicitaires, des photographies de produits, des portraits de personnalités et des projets de mode.
Rarindra Prakarsa, ses publications
Rarindra Prakarsa a publié plusieurs livres de photographie. En voici quelques exemples :
« Rarindra Prakarsa: Illuminating Journey » (2014) : Ce livre présente une sélection de photographies de Rarindra Prakarsa prises au cours de ses voyages à travers l’Indonésie. Il comprend des images de paysages naturels, de scènes de la vie quotidienne, de portraits, etc.
« Rarindra Prakarsa: Inspired by Light » (2017) : Ce livre rassemble une série de photographies de Rarindra Prakarsa prises au cours de ses voyages en Indonésie et à l’étranger. Les images sont principalement axées sur les paysages, les portraits et les scènes de la vie quotidienne.
« Rarindra Prakarsa: Luminous Journey » (2019) : Ce livre présente une sélection de photographies de Rarindra Prakarsa prises dans différents endroits d’Indonésie. Il met en avant le travail de l’artiste sur la lumière et l’utilisation de celle-ci pour créer des images dramatiques et poétiques.
Ces livres offrent aux lecteurs un aperçu de l’esthétique de Rarindra Prakarsa, de son style de photographie, ainsi que de son travail sur la lumière et l’atmosphère.
Rarindra Prakarsa, ses expositions
Rarindra Prakarsa a participé à plusieurs expositions de photographie en Indonésie et à l’étranger. Voici quelques exemples d’expositions auxquelles il a participé :
« Luminous Journey » : une exposition solo de photographies de Rarindra Prakarsa qui a eu lieu à la galerie Dia.Lo.Gue à Jakarta en 2019. L’exposition présentait une sélection d’images mettant en avant le travail de l’artiste sur la lumière et l’atmosphère.
« Asia Photo Festival » : une exposition de photographies qui a eu lieu à Pingyao en Chine en 2017. Rarindra Prakarsa a été invité à présenter son travail aux côtés d’autres photographes asiatiques renommés.
« Indonesia Through the Lens » : une exposition de photographies indonésiennes qui a eu lieu au Musée national de Singapour en 2016. Rarindra Prakarsa a été sélectionné pour présenter son travail aux côtés d’autres photographes indonésiens.
Ces expositions ont permis à Rarindra Prakarsa de présenter son travail à un public plus large et de faire connaître son esthétique poétique et atmosphérique.
Rarindra Prakarsa, son interview
Prakarsa nous a donné un aperçu de son flux de travail et nous a donné quelques conseils pour capturer ses faisceaux lumineux cinématiques bien connus lors de ses prises de vue en extérieur:
D’où vient cette obsession pour la lumière?
La lumière est venue de moi. J’aime toujours voir la lumière du matin et de l’après-midi. Je ne sais pas depuis que j’aime tellement cette belle lumière, mais je pense que c’est depuis que j’ai appris la photographie pendant mes études. Pendant mes études de graphisme, j’ai visité l’ambassade des Pays-Bas à Jakarta, à quelques pas de mon collège, et il s’est avéré qu’il y avait une exposition de peinture.
Les photos étaient si belles pour moi et très uniques en termes d’éclairage. Toutes les photos concernaient l’Indonésie (en particulier Bali), mais ont été peintes par un peintre non indonésien. A cette époque, j’ai trouvé le nom du peintre: Walter Spies. Un peintre allemand qui a vécu en Indonésie de 1930 à 1940.
Ce travail a vraiment changé ma vision de l’éclairage et de ma vision du paysage indonésien. L’autre chose qui a vraiment changé la façon dont je vois la lumière est le film Le dernier empereur de Bernardo Bertolucci. Il montre une très belle lumière, surtout la lumière intérieure.
Comment obtenez-vous cette «sensation de studio» dans votre travail?
J’utilise des appareils « ordinaires ». Rien de spécial. Un Canon 5d Mark III et un Sony A7 avec des objectifs grand angle au téléobjectif et quelques flashs et diffuseurs. Vous êtes connu pour avoir adopté Photoshop comme partie intégrante de votre flux de travail. Quand savez-vous que votre post-traitement est allé trop loin? Je dirais que Photoshop n’est pas si important pour moi.
L’éclairage est beaucoup plus important. De nombreuses personnes (généralement des étudiants / participants) pensent que Photoshop est essentiel pour créer un tel sentiment.
Mais ils sont toujours surpris quand ils regardent mes fichiers bruts ou regardent l’écran LCD de mon appareil photo. Je ne nierai pas que Photoshop est important pour corriger, dramatiser et changer les couleurs / tons. Malheureusement, Photoshop ne peut pas changer la direction de la lumière.
Comment vous placez-vous par rapport au soleil?
La clé est de vous placer en diagonale, peut-être à 45 degrés, que ce soit derrière ou devant le soleil. Cela crée vraiment plus de dimension à soumettre. La prochaine chose à prendre en compte est la qualité et la quantité de lumière solaire avec laquelle nous souhaitons toucher le sujet. Pouvez-vous nous donner quelques conseils pour créer de telles atmosphères? Utilisez-vous des machines à brume ou quelque chose du genre?
La lumière du matin et de l’après-midi est toujours utile pour créer des images plus spectaculaires et spectaculaires. Surtout quelques minutes après le lever et le coucher du soleil. Ayez toujours vos lumières artificielles à portée de main, que vous les utilisiez ou non. Dans les deux cas, 70% de mes photos utilisent de la lumière artificielle. Une machine à fumée (machine à fumée) ou toute fumée / poussière de la nature peut mieux accentuer votre motif. Vous perdez quelques détails en arrière-plan, mais cela crée un « aspect magique » dans vos photos.
Qu’est-ce qu’un étudiant peut attendre de vos ateliers? Avez-vous pensé à les développer pour les cours en ligne?
Je m’attends à ce que mes élèves comprennent mieux comment la photographie fait partie de l’art. Telle est la mentalité de base. Vous devez donc enrichir votre sens artistique. Cette idée est tout. Ce que j’enseigne habituellement (et ce qu’ils veulent) ne concerne que deux choses: l’éclairage et le post-traitement.
Certains sujets supplémentaires sont la composition et la pose. Je pensais à un cours en ligne. Cependant, je comprends que les gens dépensent plus d’argent pour des cours hors ligne, donc c’est difficile. J’ai récemment commencé à prendre des cours privés sur Skype.
Ce que j’ai vu, c’est que la plupart des gens veulent combiner études photo et voyages. Ils apprennent et expérimentent en même temps. Pour cette raison, de nombreux étudiants viennent apprendre et demander des excursions et des ateliers.
Quelles sont les astuces rapides que n’importe qui peut appliquer, quel que soit l’appareil photo utilisé, pour améliorer la photo de son profil sur les réseaux sociaux?
Une petite LED, des flashs rapides ou un petit réflecteur peuvent vraiment rendre les images très différentes. Vous pouvez trouver des informations sur les ateliers et les cours Skype de Rarindra Prakarsa sur son site Web ou lui envoyer une question sur sa page Facebook et sur Instagram .
Henri Cartier Bresson est né en 1908. Il prend ses premières photos en 1930 en Côte d’Ivoire, puis en Espagne, en Italie, au Mexique et au Maroc. En 1947, il fonde l’agence Magnum avec Robert Capa, entre autres. Il est décédé à l’âge de 96 ans en 2004. Henri Cartier Bresson est un photographe de légende.
« La photo, c’est la concentration du regard. C’est l’œil qui tourne inlassablement, toujours prêt, à l’affût . La photo est un dessin immédiat. Elle est question et réponse. »
Henri Cartier Bresson photos célèbres.
Henri Cartier-Bresson est un photographe et cinéaste français connu pour être le pionnier de la photographie de rue. Ses images en noir et blanc sont parmi les plus emblématiques du monde de la photographie, dont certaines présentent de grands moments politiques du XXe siècle. Henri Cartier Bresson , surnommé l’Œil du siècle, a un œil artistique exceptionnel. Il photographie de manière réaliste des scènes de rue et des scènes de la vie quotidienne. Son cadrage est toujours impeccable, de sorte qu’il n’a plus à recadrer ses photos par la suite.
Il invente le terme «instantané» ou «moment décisif», titre de son livre publié en 1952. « Moment décisif » décrit ce moment précis ou le photographe décide de prendre une photo. « Prendre une photo c’est reconnaître en une fraction de seconde à la fois le fait lui-même et la capacité d’organiser les formes visuellement perçues qui lui donnent un sens », explique-t-il. Né le 22 août 1908 à Chanteloup en Seine-et-Marne, Henri Cartier Bresson étudiera la peinture avec André Lhote avant de devenir photojournaliste dans les années 1930.
Ces photos sont présentées dans tous les cours d’introduction à la photographie pour inspirer leur fonctionnement. Peut-être que ce nom ne vous dit rien pour le moment, mais vous reconnaîtrez probablement certaines de ces photos.
Henri Cartier Bresson photos célèbres
« Sans émotion, s’il n’y a pas de choc, si vous ne répondez pas à cette sensibilité, vous ne devriez pas prendre de photo. C’est l’image qui nous fait. C’est ainsi qu’Henri Cartier Bresson perçoit la photographie. Toute son existence a été façonnée par la recherche de la photo parfaite au bon endroit au bon moment.
Inspiré du mouvement surréaliste, le Chanteloup-en-Brie, né à Paris, a pris le cubisme d’André Lhote et le réalisme dialectique de Jean Renoir pour façonner la jambe de son photographe. Leica de Cartier-Bresson a capturé des moments clés de l’histoire du XXe siècle, de la libération de Paris en 1944 à la crise de Cuba pendant la guerre froide, y compris la mort de Gandhi. L’homme est toujours célèbre pour son travail de photojournaliste, notamment sous la bannière de Magnum Photos, une coopérative photographique qu’il a cofondée, même si son travail personnel a certainement façonné sa légende.
Une époque proche du Parti communiste français dans les années 1930, sans en faire partie, HCB a défendu des questions qui lui tiennent à cœur, comme la situation au Tibet. Voici les dix étapes importantes de la vie d’un homme qui a été témoin de son temps.
Henri Cartier Bresson photos célèbres
Henri Cartier Bresson: 22 août 1908.
Henri Cartier Bresson est né à Chanteloup-en-Brie, petite ville à une quarantaine de kilomètres à l’est de Paris. Ce fils qui est attiré par l’art, en particulier la photographie, le dessin,refuse catégoriquement de se charger des affaires paternelles. HCB s’est d’abord tourné vers la peinture et aiguisé son œil créatif sur les ordres du peintre cubiste André Lhote, qui était également graveur, sculpteur ou même théoricien de l’art.
Henri Cartier Bresson : 1930.
Après diverses rencontres qui le caractérisent comme André Lhote et lui font découvrir la photographie (Max Ernst, André Breton, Gretchen et Peter Powell),Henri Cartier Bresson se rend en Côte d’Ivoire, au Cameroun, au Togo, découvrir le Soudan. Le jeune de 22 ans aime voyager. Au cours de ce voyage, il a produit son premier reportage, Impressions d’Afrique.
Henri Cartier Bresson: 1933.
Entre deux voyages, Henri Cartier Bresson visite l’Association des écrivains et artistes révolutionnaires présidée par Louis Aragon. Cette association proche du parti communiste rassemble des artistes et des penseurs séduits par le courant marxiste. Il se liera d’amitié avec Robert Capa et David Seymour, deux photographes avec lesquels il a fondé Magnum Photos. Il a travaillé pour le journal Ce Soir, fondé par le PCF en 1937 et dirigé par Aragon.
Henri Cartier Bresson photos célèbres
Henri Cartier Bresson: 1937.
Henri Cartier Bresson épouse Ratna Mohini, une danseuse indonésienne qui lui fait découvrir l’Asie et la danse. Ces deux points inspireront son travail sur le mouvement du corps dans l’espace. Il est allé de 1937 à 1940 pour toucher le cinéma alors qu’il était élève de Jean Renoir, le deuxième fils du peintre Auguste Renoir.
Henri Cartier Bresson: 1947.
Après la Seconde Guerre mondiale, quand il a été capturé par l’armée allemande – son militantisme envers le PCF lui a certainement servi – Henri Cartier Bresson était cofondateur de Magnum Photos. L’objectif est de couvrir des événements importants à travers le monde avec le désir d’une totale liberté d’expression. Le Français entre dans le photojournalisme. Son premier rapport au nom de cette coopérative l’a amené à rencontrer Gandhi. Toujours au bon endroit au bon moment, HCB reçoit la dernière interview du père de la nation indienne avant sa mort, qu’il soignera.
Henri Cartier Bresson photos célèbres
Henri Cartier Bresson: 1948.
Henri Cartier Bresson décide de se rendre en Chine pour onze mois. La situation tendue entre les forces de Mao Zedong et du général Chiang Kai-shek offrira une fois de plus au photographe un moment de l’histoire. Le communiste chinois est repris de Pékin à Nanjing au sud de la capitale. Quelques années plus tard, en 1955, Henri Cartier-Bresson a vécu les bouleversements de la mort de Staline au cœur du bloc soviétique. Ces reportages photo assureront sa renommée dans le monde du journalisme.
Henri Cartier Bresson: 1969.
Après divers voyages – notamment à Cuba lors de l’avènement de Fidel Castro – Henri Cartier Bresson enregistre les manifestations de mai 1968 avec son film. Il traverse ensuite la France et publie Vive la France, l’une de ses célèbres œuvres photographiques humaines et mécaniques, pour n’en citer qu’une. Il y a la fameuse Fotorue de Vaugirard à Paris pendant le mois de soulèvement étudiant « Profitez sans obstacle ».
Henri Cartier Bresson: 1972.
Henri Cartier Bresson est marié une deuxième fois à Martine Franck et père d’une petite Mélanie. Il freine et quitte Magnum Photos. Il préfère désormais sa vie de famille et se démarque de la nouvelle vague de photojournalistes de la coopérative. Puis il devient professeur. Il est décédé dans les Alpes-de-Haute-Provence en 2004 et a laissé un bel héritage dans la photographie et le journalisme.
Henri Cartier Bresson: 1974
En 1974, Bresson se détache de l’agence Magnum Photos et renonce à sa qualité d’associé, mais laisse l’agence la gestion de ses archives. Il se consacre alors au dessin.
Henri Cartier Bresson meurt en 2004 à Montjustin en Provence.
Henri Cartier Bresson photos célèbres
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Eric CANTO Photographe : Photos de concertS, portraits, pochettes d’albumS.
Bonus : 10 choses que nous apprend Henri Cartier-Bresson
1. L’art de la géométrie
Si vous regardez le travail d’Henri Cartier-Bresson, il a appliqué la géométrie à ses images de manière poétique. Si vous regardez la composition de ses images, il a intégré à son avantage les lignes verticales, horizontales et diagonales, les courbes, les ombres, les triangles, les cercles et les carrés. Il a également accordé une attention particulière aux cadres.
Ne voyez pas seulement le monde tel qu’il est, recherchez les formes et la géométrie qui se produisent également naturellement. Ouvrez votre esprit et divisez votre environnement en différents éléments formels. Recherchez les lignes qui peuvent conduire à vos sujets ou les carrés qui peuvent encadrer votre image. Devenez poétique avec vos images et intégrez des acteurs et des scènes intéressants lorsque vous sortez en tournage.
2. Le Voyage
Henri Cartier-Bresson a parcouru le monde et tourné dans des endroits comme l’Inde, toute l’Europe, les États-Unis, la Chine et l’Afrique. Quand il a voyagé à travers le monde, il a pu capturer une tranche de vie différente et en apprendre davantage sur la population locale avec laquelle il était. Par exemple, quand il tournait en Inde, il y est resté environ un an et s’est plongé dans la culture.
3. La patience du photographe
Quand Henri Cartier-Bresson parlait de «Le moment décisif», il a dit que parfois ce serait spontané, mais parfois il fallait être patient et l’attendre. Quoi qu’il en soit, il était très méthodologique lorsqu’il sortait et photographiait, et ne conservait ses images que si chaque élément de son image (les gens, le fond, le cadrage et la composition) était parfait.
Lorsque vous prenez des photos et que vous voyez des scènes fascinantes, attendez que la bonne personne passe pour terminer votre image. Bien que vous ne vouliez pas camper pendant des heures pour attendre le bon moment, faites preuve de patience. Vous n’avez pas toujours besoin de sortir et de rechercher des opportunités de photos. Laissez-les venir à vous.
Bien qu’il soit bon de prendre des photos de rue dans votre jardin, il est bon de voyager aussi souvent que possible. Explorez différents pays et cultures, et cela vous aidera à inspirer votre photographie et à ouvrir les yeux.
4. L’objectif 50mm
Bien qu’Henri Cartier-Bresson photographiait avec plusieurs objectifs différents alors qu’il travaillait pour Magnum, il ne shootait qu’avec un 50 mm s’il shootait pour lui-même. En étant fidèle à cet objectif pendant des décennies, l’appareil photo est devenu véritablement «une extension de son œil».
Appliquez la même mentalité lorsque vous sortez et tirez. Utilisez différentes longueurs focales pour voir le monde différemment et à expérimenter, mais en fin de compte, rester avec une seule distance focale vous aidera à consolider votre vision artistique. Vous pourrez voir des lignes de cadrage naturelles dans votre vie quotidienne et savoir exactement comment vos photos apparaîtront lors de la prise de vue sous certains angles et distances.
5. Les photos d’enfants
L’une de mes photos préférées d’Henri Cartier-Bresson est ce petit garçon portant deux bouteilles de vin sous les bras, avec le sourire triomphant d’un champion. Quand j’ai vu l’image pour la première fois, elle m’a frappé au cœur, car elle me rappelait ma propre enfance. Henri Cartier-Bresson était un maître dans la prise de photos d’enfants dans leur état ludique naturel, créant des images qui transmettent une belle nostalgie à ses téléspectateurs.
De nos jours, il est incroyablement difficile de photographier des enfants. Cependant, les enfants sont d’excellents sujets à photographier en matière de photographie de rue. D’après mon expérience, j’ai remarqué que cela ne les dérange pas d’être devant la caméra et l’ignore souvent. Par conséquent, vous pouvez capturer leur véritable essence: ludique, curieuse et souvent espiègle.
6. Ne recadrez pas
Henri Cartier-Bresson était farouchement opposé au recadrage. Il pensait que chaque fois que vous preniez une photo, cela devait toujours être fait à huis clos. Si son cadrage ou sa composition était un peu décalé, il ignorerait l’image.
Cependant, à titre de mise en garde, l’une de ses photos les plus célèbres (l’homme sautant) a été recadrée, car Henri Cartier-Bresson a dit qu’il devait le photographier en regardant à travers une clôture.
Bien que ma philosophie personnelle soit un peu plus laxiste sur le recadrage, je pense toujours qu’il est préférable que vous puissiez réaliser votre photographie de rue sans recadrage. Si vous recadrez trop souvent, vous devenez paresseux avec votre cadrage lorsque vous photographiez, ce qui nuira à votre vision photographique.
7. La discrétion
Lorsque Henri Cartier-Bresson photographiait dans les rues, il restait aussi discret et discret que possible. J’ai même lu qu’il couvrirait son Leica chromé avec du ruban noir et même parfois avec un mouchoir pour le rendre moins visible quand il photographiait. La plupart des images qu’il a capturées sur ses sujets étaient inconscientes de la caméra, et donc vraiment sincères.
Si vous souhaitez photographier de la même manière, portez des vêtements qui se fondent dans votre environnement et travaillent rapidement et ne s’attardent pas. Si vous voyez des vidéos de tournage d’Henri Cartier-Bresson, vous pouvez voir qu’il a la dextérité d’un félin et qu’il est assez agile et rapide. Si vous voyez une scène que vous souhaitez capturer, portez rapidement votre appareil photo à votre œil et avancez avant que quiconque ne vous remarque.
8. Voir le monde comme un peintre
Avant qu’Henri Cartier Bresson se lance dans la photographie, il s’intéresse d’abord à la peinture. Une fois que HCB a découvert la photographie, il a appliqué la même esthétique de la peinture classique à ses images. Pour HCB, la composition était essentielle, et ses images reflètent celle des peintres romantiques avant lui. Assez intéressant quand il était beaucoup plus âgé, il a en fait dénoncé la photographie et concentré le reste de sa vie sur le dessin.
Afin de devenir un meilleur photographe de rue, étudiez le travail des peintres. Découvrez comment ils utilisent le cadrage, la composition, les personnes et les scènes. Un peintre que je trouve absolument fascinant est Edward Hopper, qui était essentiellement un photographe de rue armé d’un pinceau. Ne vous contentez pas de limiter votre inspiration dans les livres de photographie, explorez également d’autres formes d’art classique, moderne, surréaliste et abstrait.
9. Ne vous inquiétez pas du traitement
Bien qu’ Henri Cartier Bresson ait su traiter et développer son propre film, il ne l’a jamais fait seul. Il sortait, photographiait et envoyait ses photos à des personnes en qui il avait confiance, qui les développeraient pour lui. Cela lui a donné un énorme avantage, car cela lui permettrait de passer moins de temps dans la chambre noire et plus de temps à photographier.
À l’ère moderne et numérique, les photographes sont trop préoccupés par le post-traitement. Si vous prenez une mauvaise photo, aucune quantité de « photoshopping » ne peut l’améliorer.
10. Toujours chercher plus
Henri Cartier Bresson n’a jamais eu beaucoup d’attachement émotionnel à ses images. Dans un documentaire, les intervieweurs ont essayé de le surprendre en imprimant et en lui montrant tout son travail classique et antérieur sur les murs de la galerie où ils l’interviewaient. Cependant, HCB les a regardés avec peu d’intérêt et leur a dit qu’une fois qu’il aurait pris une photo, il irait simplement de l’avant et chercherait la photo suivante.
Il n’y a pas de magie dans l’image. La photo est magique. Dans sa capacité à capturer un instantané et à nous la servir. La caméra est une boîte magique qui génère une certaine fascination. Mais la photographie est technique. Il demande des compétences d’apprentissage. Le génie créatif et l’intuition ne fonctionnent qu’avec un grand travail.
Si vous avez un grand portefeuille d’images, essayez d’obtenir des images encore meilleures. Ne devenez pas satisfait et complaisant. Cherchez toujours la grandeur.
Eric CANTO Photographe : Photos de concerts, portraits, pochettes d’albums.
Henri Cartier-Bresson (1908-2004) était un photographe français considéré comme l’un des pionniers de la photographie moderne. Il était également connu pour sa contribution au développement du photojournalisme, un genre qui utilise la photographie pour raconter des histoires d’actualité.
2. Qu’est-ce que l’instant décisif ?
L’instant décisif est une notion clé dans la photographie d’Henri Cartier-Bresson. Il s’agit du moment précis où le photographe doit appuyer sur le déclencheur pour capturer une image qui raconte une histoire ou exprime une émotion. Selon Cartier-Bresson, c’est ce moment qui rend une photographie unique et précieuse.
3. Quel est le style photographique d’Henri Cartier-Bresson ?
Le style photographique d’Henri Cartier-Bresson était basé sur l’utilisation d’une caméra Leica 35mm, qui lui permettait de capturer des images spontanées et non posées. Ses photographies étaient souvent en noir et blanc et se caractérisaient par une composition précise et équilibrée.
4. Quels sont les sujets photographiques préférés d’Henri Cartier-Bresson ?
Henri Cartier-Bresson était connu pour sa capacité à capturer des moments de la vie quotidienne, notamment dans les rues des grandes villes comme Paris, New York et Bombay. Il a également photographié des personnalités célèbres comme Pablo Picasso, Marilyn Monroe et Mahatma Gandhi.
5. Quelle est l’influence d’Henri Cartier-Bresson sur la photographie moderne ?
Henri Cartier-Bresson est considéré comme l’un des photographes les plus influents de tous les temps. Son style photographique spontané et non posé a influencé de nombreux autres photographes, ainsi que les mouvements artistiques tels que le surréalisme et le nouveau réalisme.
6. Quels sont les livres les plus célèbres d’Henri Cartier-Bresson ?
Parmi les livres les plus célèbres d’Henri Cartier-Bresson figurent « Images à la sauvette » (1952), « Les Européens » (1955) et « D’une Chine à l’autre » (1956). Ces livres ont contribué à établir sa réputation de photographe de renom.
7. Quelles sont les expositions les plus célèbres d’Henri Cartier-Bresson ?
Henri Cartier-Bresson a eu de nombreuses expositions à travers le monde tout au long de sa carrière. L’une des plus célèbres est l’exposition rétrospective organisée par le Museum of Modern Art de New York en 1947, qui a permis de faire découvrir son travail au public américain.
8. Comment Henri Cartier-Bresson a-t-il contribué au photojournalisme ?
Henri Cartier-Bresson a contribué au développement du photojournal
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isme en créant, avec Robert Capa et d’autres photographes, l’agence Magnum Photos en 1947. Cette agence était destinée à permettre aux photographes de garder le contrôle sur leur travail et de garantir leur indépendance vis-à-vis des magazines et journaux qui achetaient leurs images. Magnum Photos est devenue l’une des agences de photographie les plus respectées au monde, représentant des photographes de renom tels que Elliott Erwitt, Susan Meiselas et Martin Parr.
9. Quels sont les prix et distinctions reçus par Henri Cartier-Bresson ?
Henri Cartier-Bresson a reçu de nombreuses distinctions tout au long de sa carrière, notamment le prix de la Fondation Hasselblad en 1982 et le prix international de la Fondation de la culture japonaise en 1987. En 1981, il a été nommé commandeur de la Légion d’honneur, la plus haute distinction française.
10. Quel est l’héritage d’Henri Cartier-Bresson dans le monde de la photographie ?
L’héritage d’Henri Cartier-Bresson est immense et continue d’inspirer de nombreux photographes à travers le monde. Son style photographique a influencé des générations de photographes, tandis que son engagement en faveur du photojournalisme a permis de montrer au monde entier les réalités souvent difficiles et complexes de notre monde. En tant que co-fondateur de Magnum Photos, il a également contribué à promouvoir la liberté et l’indépendance des photographes, garantissant ainsi que leur travail pourrait être vu et apprécié pour les générations à venir.
Slipknot : Découverte du groupe emblématique de nu-metal
Dans le monde du nu-metal, nombreux sont les groupes qui ont su se démarquer et s’imposer au fil des années. Slipknot est sans conteste l’un d’entre eux, ayant réussi à créer un univers musical et visuel aussi unique que marquant.
Histoire et formation de Slipknot
Formé en 1995 aux États-Unis, plus précisément dans la ville de Des Moines en Iowa, ce groupe comprend initialement quatre membres avant d’évoluer et de compter jusqu’à neuf musiciens. Aujourd’hui composé de huit artistes talentueux sur scène, Slipknot doit son nom à un morceau du groupe NOFX et non pas à l’étonnante parure portée lors de ses concerts.
Des débuts marqués par la recherche d’un style propre
Au début de sa carrière, cette formation a connu des hauts et des bas, mais a toujours gardé une volonté farouche de créer quelque chose de novateur, différents et personnel. En effet, alors qu’ils peinent à trouver leur direction musicale, deux nouveaux membres rejoignent Slipknot, offrant ainsi au groupe davantage de possibilités aussi bien musicales que visuelles.
C’est alors que commence la conceptualisation de leur premier album éponyme sorti en 1999. Produit par Ross Robinson, celui-ci puise dans divers courants tels que le metal extreme, le punk et même un peu de rap pour donner naissance à un opus aux sonorités brutes et énergiques.
Un succès populaire croissant
Dès lors, la notoriété de Slipknot augmente rapidement. Le public est conquis par l’énergie dégagée sur scène, les masques inquiétants et l’univers sombre développé autour du groupe. Après le passage de deux membres supplémentaires, Slipknot connaît un succès international, grâce notamment au single « Wait and Bleed » présent sur leur premier album. C’est ainsi que commence une longue série de tournées à travers le monde et de collaborations avec des groupes renommés, comme Korn, Rammstein ou Marilyn Manson.
Principaux albums et chansons marquantes
Iowa (2001) : Second opus du groupe, cet album confirme le succès rencontré par Slipknot et affiche des ventes impressionnantes. On y retrouve des morceaux tels que « Disasterpiece », « People = Shit » ou encore « My Plague », qui témoignent d’une maîtrise grandissante du style propre de Slipknot.
Vol. 3 : The Subliminal Verses (2004) : Troisième production de Slipknot, cet album est le résultat d’un travail approfondi sur les ambiances et les mélodies. Les titres tels que « Duality » et « Vermilion » en sont des exemples frappants.
All Hope Is Gone (2008) : Plus engagé sur le plan politique et social, ce disque aborde des thèmes tels que la guerre et la manipulation. Les morceaux « Psychosocial » et « Snuff » en sont les principales illustrations.
.5 : The Gray Chapter (2014) : Album hommage au bassiste Paul Gray décédé en 2010, cet opus se veut plus introspectif que les précédents, avec des chansons comme « The Devil in I » ou « Killpop ».
We Are Not Your Kind (2019) : Cinquième production studio du groupe, cet album a été acclamé par le public notamment grâce aux titres « Unsainted », qui possède un clip vidéo spectaculaire, et « Nero Forte ».
Prestation scénique et univers de Slipknot
Slipknot se démarque clairement de ses pairs dans le domaine du nu-metal grâce à son univers visuel unique et effrayant.
Le concept des masques caractéristiques à chaque membre
Cette idée est apparue lors de la création de leur premier album, afin de renforcer l’ambiance sombre qu’ils souhaitaient diffuser à travers leur musique. Chaque musicien porte un masque qui lui est propre, régulièrement modifiés au fil des années. En concert, ces masques contribuent pour beaucoup à l’énergie déployée sur scène, captivant ainsi le public.
Prestations scéniques explosives
Lors de concerts ou festivals, on peut admirer un show digne de ce nom. Chaque membre joue son rôle à la perfection, y compris les percussionnistes et le batteur, qui utilisent des instruments aux formes spécifiques pour mieux répondre à leurs besoins musicaux.
De plus, Slipknot se focalise sur l’esthétique scénique, ajoutant pyrotechnie et autres effets visuels lors de ses prestations. Ce côté explosif combiné à leur musique puissante contribue à faire de chaque concert une expérience incomparable pour toute personne présente.
Un groupe en constant renouvellement
Au fil du temps plusieurs membres ont quitté ou ont été intégrés au sein du groupe; néanmoins, les musiciens actuels de Slipknot poursuivent avec ardeur l’aventure musicale démarrée il y a plus de 25 ans. Que réserve l’avenir pour cette formation emblématique ? Une chose est sûre : fans et amateurs de nu-metal garderont un oeil attentif sur leurs prochains projets.
Quel est le style musical de Slipknot ?
Le style musical de Slipknot est une combinaison unique de métal extrême, de nu metal, et de rock alternatif. Leur musique a des influences de death métal, thrash métal, hardcore punk et métal industriel.
Les membres du groupe se servent de leurs instruments pour créer des riffs de guitare lourds et des lignes de basse agressives, tout en utilisant des claviers et des samples pour ajouter des textures supplémentaires. Les chansons de Slipknot se caractérisent par leurs paroles agressives et leurs rythmes saccadés.
Quelle est l’influence de Slipknot sur le métal extrême ?
Slipknot a eu une influence considérable sur le métal extrême. Le groupe a révolutionné le genre avec son influence sur le son, les riffs, les paroles et la présentation scénique, introduisant une nouvelle forme de métal extrême qui aété adoptée par de nombreux groupes à travers le monde.
Le groupe a contribué à populariser le nu–métal, qui aété caractérisé par des riffs lourds, des paroles agressives et une image provocante. De plus, Slipknot aété le premier groupe à introduire le masque sur scène, ce qui a contribué à créer une atmosphère mystérieuse et puissante.
Combien de Grammy Awards a remporté Slipknot ?
Slipknot a remporté deux Grammy Awards depuis leur formation en 1995. En 2006, ils ont remporté le Grammy pour la meilleure performance métal avec « Before I Forget », et en 2019, ils ont remporté le Grammy pour la meilleure performance métal avec « All Out Life ».
Discographie complète de Slipknot
Albums studio :
Slipknot (1999)
Iowa (2001)
Vol. 3: (The Subliminal Verses) (2004)
All Hope Is Gone (2008)
.5: The Gray Chapter (2014)
We Are Not Your Kind (2019)
Albums live :
9.0: Live (2005)
Day of the Gusano: Live in Mexico (2017)
Compilations :
Antennas to Hell (2012)
Slipknot: Collector’s Edition Slipcase (2013)
Singles :
« Wait and Bleed » (1999)
« Spit It Out » (2000)
« Left Behind » (2001)
« My Plague » (2002)
« Duality » (2004)
« Vermilion » (2004)
« Before I Forget » (2005)
« The Nameless » (2006)
« The Blister Exists » (2006)
« Psychosocial » (2008)
« Dead Memories » (2008)
« Snuff » (2009)
« The Negative One » (2014)
« The Devil In I » (2014)
« Killpop » (2015)
« All Out Life » (2018)
« Unsainted » (2019)
« Solway Firth » (2019)
DVDs :
Welcome to Our Neighborhood (1999)
Disasterpieces (2002)
Voliminal: Inside the Nine (2006)
(sic)nesses (2010)
Day of the Gusano: Live in Mexico (2017)
Slipknot a également sorti plusieurs clips vidéo pour leurs chansons, ainsi que des éditions spéciales et des rééditions de leurs albums. La liste ci-dessus reflète leur discographie principale et la plus reconnue.
Slipknot : The End, So Far
The End, So Far , à l’origine The End, for Now… , est le septième album studio du groupe de heavy metal américain Slipknot .
Ce sera aussi leur dernier album avec Roadrunner. Il était initialement prévu pour une date de sortie printemps/été 2022, mais a finalement été publié le 30 septembre 2022.Slipknot a également apparemment confirmé que cela serait leur dernier album.
Slipknot The End So Far : la génèse
En mars 2021, Corey Taylor a déclaré que l’album pourrait être un album concept.
En juin 2021, la page Diluted Maggot Tumblr a republié huit photos de Slipknot dans le studio enregistrant l’album, à l’origine pour les membres OT9. L’une de ces photos comprend le nom du morceau, » Heirloom « .
En juillet 2021, le guitariste Jim Root a publié une vidéo sur sa story Instagram intitulée « k, bye ». Les fans ont émis l’hypothèse que cela signifiait que Jim avait fini d’enregistrer ses parties pour l’album.
Le 26 août 2021, alors qu’il parlait à un fan dans le cadre de Galaxy Con, Corey a expliqué que l’obtention de Covid-19 avait interrompu ses dernières sessions vocales pour l’album.
Le 22 octobre 2021, Slipknot a révélé qu’il devait diffuser en direct Knotfest Los Angeles dans le monde le 5 novembre.
En plus du composant de diffusion en direct, Knotfest a publié des packs de produits dérivés en édition spéciale spécifiques à l’événement de Los Angeles, dont l’un comprend un sweat à capuche avec « Secret Artwork » qui a été révélé le 5 novembre.
Slipknot The End, So Far 2022
Le 2 novembre 2021, Slipknot a publié un nouveau site Web, thechapeltownrag.com, que les fans ont découvert en trouvant des graphiques et des liens sur Knotfest.com .
Le site Web, à l’époque, comprenait 6 graphiques de type NFT, dont chacun comprenait un bref échantillon de nouvelle musique. Et avec chaque graphique inclus un fragment, qui, une fois combiné, a fait le « Secret Artwork » précédemment taquiné sur le site Web de Knotfest Veeps.
Le lendemain, le 3 novembre, 3 autres graphiques ont été publiés. Le titre officiel de la chanson, « The Chapeltown Rag », a été révélé en utilisant le site Web Identify Songs Online .
Le lendemain, le 4 novembre, Slipknot a officiellement annoncé la chanson, qui est sortie et jouée en direct pour la première fois au Knotfest Los Angeles le vendredi 5 novembre.
Le 15 décembre 2021, Jim a publié une vidéo sur son histoire Instagram détaillant comment Slipknot était toujours en studio pour enregistrer l’album. Le 19 décembre, Jay Weinberg a fait de même.
Au cours de quelques mois, Corey Taylor a révélé plus d’informations sur The End, So Far . Le 16 décembre, lors d’une interview avec HardDrive Radio, a déclaré que l’objectif était de le mixer en janvier, afin qu’il soit prêt à sortir, deux ou trois mois plus tard, en mars ou en avril.
Il a également déclaré que Clown travaillait actuellement sur la pochette de l’album et sur les vidéoclips de « The Chapeltown Rag » et « quel que soit le premier single « . Le 11 janvier, il a tweeté confirmant que l’album sortirait en 2022.
Le 15 janvier, lors d’une interview avec Tony Toscano, a déclaré qu’il venait de terminer le chant de l’album et qu’il espérait sortir l’album d’ici l’été, ou dans les deux ou trois prochains mois.
Le 2 février, Corey a confirmé que l’album était fini avec l’enregistrement et devait seulement être mixé. Il a réitéré en disant que l’album sortira dans les trois prochains mois, tout en confirmant que la pochette et le titre de l’album avaient été réalisés.
Et le 3 février, a déclaré que l’album est « une version plus lourde du Vol. 3 . »
Le 23 mars, lors d’une interview avec Loudwire, Sid Wilson a révélé qu’il utilisait « des échantillons de différentes lunes autour de différentes planètes » et qu’il travaillait sur le disque pendant que le groupe était en tournée.
Le 28 mars, lors d’une interview avec WZOR, Jay Weinberg a révélé que l’album contiendrait « la chanson de blues la plus lourde du monde ».
Les 5, 6, 18 mai et les 9 et 25 juin, alors qu’il se trouvait sur le serveur officiel Knotverse Discord, Clown a organisé une séance de questions-réponses et a répondu à quelques questions sur le prochain album.
Le 1er juin, alors qu’il se produisait en direct au Heritage Bank Center de Cincinnati, OH, États-Unis, Taylor a réitéré en disant que l’album, bien qu’il n’ait pas de date de sortie officielle, sortirait « très bientôt ».
Le 6 juin, alors qu’il était sur le compte officiel de Knotfest Twitch , Weinberg a parlé du prochain album, déclarant que l’album est entièrement terminé, sauf que le groupe attend une date de sortie, mais qu’il arrive « très, très bientôt ».
Une nouvelle chanson sortira, espérons-le, « dans le mois prochain environ ». Et le groupe « a augmenté l’expérimentation » sur le disque.
Le 19 juillet, le groupe a officiellement annoncé l’album, The End, So Far , dont la date de sortie est le 30 septembre et a également sorti un clip pour le deuxième single, » The Dying Song (Time to Sing) « .
Slipknot The End, So Far : les Fuites
Dans les jours qui ont précédé l’annonce officielle de l’album, diverses informations ont été divulguées sur les réseaux sociaux, en particulier la page reddit non officielle du groupe.
À partir du 14 juillet, l’utilisateur de Reddit @oooahh85 a publié une conversation qu’il a eue avec un ami détaillant comment Slipknot avait enregistré deux vidéoclips.
L’utilisateur a également déclaré, dans un commentaire laissé sur le message, que l’un des vidéo clips devait, à l’époque, sortir le samedi 16 juillet, tandis que l’autre devait sortir début août.
Slipknot The End, So Far 2022
Plus tard dans la journée, l’utilisateur a publié l’une des photos qu’il a reçues de son ami du vidéoclip.
Le 16 juillet, l’utilisateur de Reddit a commencé à taquiner le single à venir, en publiant un message crypté avec des mots aléatoires, qu’en combinant uniquement les premières lettres que vous avez reçues » Dying » & » Yen « , qui devaient plus tard être révélées à être les deux chansons pour lesquelles Slipknot a enregistré des vidéoclips.
Plus tard dans la journée, l’utilisateur a posté l’autre photo prise par son ami à partir du clip vidéo avec la légende « Ḏëšœḻâṯę Ÿęãṟŋíṉg Įŋṯèṟfėṟèḏ Ṉêṯhėṟ Gøṉë. » Et le 17 juillet, l’utilisateur a posté un fil de discussion récapitulant/clarifiant les informations.
Le 18 juillet, des informations sur le deuxième single de l’album, « The Dying Song », qui présentait la pochette officielle de l’album avec le titre original de The End, for Now… , ont été divulguées sur Reddit.
L’utilisateur de Reddit @badboystwo , qui avait précédemment divulgué que l’album serait pressé sur du vinyle transparent et a déclaré que le deuxième single était en fait le titre « Dying Song » et non « Dying », a révélé quelques informations à propos de l’album dans les commentaires de l’article.
En disant que la date de sortie estimée de l’album était la « première semaine de septembre », l’album aurait 12 titres et la dernière chanson de l’album s’appellerait «
Slipknot The End, So Far 2022
Track Listing: Slipknot The End, So Far
1. « Adderall » 5:40
2. « The Dying Song (Time to Sing) » 3:24
3. « The Chapeltown Rag » Corey Taylor • Jim Root 4:52
4. « Yen » 4:45
5. « Hivemind »
6. « Warranty »
7. « Medicine for the Dead »
8. « Acidic »
9. « Heirloom »
10. « H377 »
11. « De Sade »
12. « Finale »
Slipknot The End, So Far 2022
Musicien Slipknot The End, So Far
(#8) Corey Taylor – chant
(#7) Mick Thomson – guitares
(#6) Shawn Crahan – percussions, direction artistique, photographie
(#5) Craig Jones – échantillons, médias, claviers
(#4) Jim Root – guitares
(#0) Sid Wilson – platines, claviers
(V) Alex Venturella – basse
(J) Jay Weinberg – batterie
Michael Pfaff – percussions
Date de sortie : 30 septembre 2022
Studio Henson Studios (Hollywood, Californie)
Enregistré Début 2021 – Février 2022
Producteur Slipknot • Joe Barresi
Eric CANTO Photographe : Photos de concerts, portraits, pochettes d’albums.